La capacité de stockage agronomique. Jacques Capdeville Vincent Manneville Sylvain Foray
|
|
- Ariane Grenon
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 La capacité de stockage agronomique Jacques Capdeville Vincent Manneville Sylvain Foray
2 La capacité de stockage agronomique : définition 1. Adéquation entre la capacité de stockage et la valorisation agronomique des déjections 2. Résultat de la confrontation entre les calendriers de production et d épandage bâtiments agronomie les produits et leur gestion scénarios de fertilisation
3 La capacité de stockage agronomique : définition Calendrier de production Valorisation agronomique J F M AM J JtA S O N D Calendriers d épandage Dimensions des stockages J F M A M J Jt A S O N D
4 La capacité de stockage agronomique : définition Cas n 1 Capacité agronomique > Capacité réglementaire / forfaitaire => retenir la capacité agronomique Cas n 2 Capacité agronomique < Capacité réglementaire / forfaitaire => retenir la capacité réglementaire Sauf IC Déclaration en Zones Vulnérables (à confirmer) Déterminer une capacité agronomique structurelle et non conjoncturelle
5 La capacité de stockage agronomique : définition Les produits solides Les unités de mesure Au niveau du stockage, raisonnement en m² Au niveau de l épandage, raisonnement en tonnes et en kg d azote Calcul des capacités agronomiques : Raisonnement en tonnes puis conversion en m² Validation des épandages sur l azote Les produits liquides Les unités de mesure Au niveau du stockage, raisonnement en m³ Au niveau de l épandage, raisonnement en m³ et en kg d azote Calcul des capacités agronomiques Raisonnement en m³ Validation des épandages sur l azote
6 Exemple d une fumière à créer Fumière à créer : STO3 Nbre murs : 3 Proposition de référentiel Tonnes/UGB/an FTC 13,5 FC 15 FC et entravée 15 FMC 16 FM 16,75 FTM 17,5 Production en tonne en bovins: pour l animal de référence (même méthode que pour le dimensionnement des ouvrages de stockage.
7 Produits solides - fumière Produit Animaux Origine Type Nombre Catégorie Quelle production? Logettes fumier mou 50 VL 7 mois en bât Produit Animaux KgN produit Origine Type Nbre Catégorie Total Maîtrisable B1 FM 50 VL 6000 à 8000 kg Kg N maîtrisable : Qté totale d N maîtrisable sur l unité de fonctionnement et pour cette déjection
8 Produits solides - fumière Tp% : présence mensuelle des animaux dans l unité de fonctionnement Tp% = 100 x (heures de présence quotidienne / 24) x (jours de présence mensuelle / 30) Tonnes de l unité de fonctionnement (UF) : production mensuelle de l Uf en tonnes Tonnes de l Uf (n) = production mensuelle tonnes x Tp% (n) / 100
9 PRODUCTION Produits solides - fumière Production totale tonnes : calcul du poids global de fumier produit mensuellement A S O N D J F M A M J J Tps UF (%) Tonnes fum sur UF TOTAL 7 mois 513 tonnes Teneur indicative moyenne : calcul de la teneur en azote du produit stocké Valeur fertilisante indicative 4,7 kgn
10 Produits solides - fumière Durée réglementaire Capacité de stockage réglementaire ajustée m² références de stockage ajustée selon type de fumier type de fumière catégorie animale nombre d animaux temps de présence Réglementaire "ajustée" m² Capacité de stockage Durée forfaitaire (Plateaux boisés du Nantais - Type 1 - > 4 mois à l'extérieur) mois
11 Produits solides - fumière Les épandages Cultures ou îlots, surface sole, m³/ha Fumière Culture Surface Tonnes / ha kg N / ha indicatif Maïs A S O N D J F M A M J J TOTAL Ha épandus Tonnes épandues Kg N/ha indicatifs : calcul de l apport azoté par hectare compte tenu de la valeur indicative moyenne. Ajustement production-épandage sur la surface Tonnes épandues : calcul des tonnages épandus mensuellement sur la culture ou l îlot. Epandage total ha, épandage total tonnes : calcul des épandages mensuels.
12 Produits solides - fumière Quelle capacité? Détermination du point 0 tonne : calcul du stock mensuel selon la formule : Stock (n) = stock (n 1) + produc (n) épandage (n) Remarque : en Août prendre stock (n 1) = 0 Stock de fin de mois (tonnes) : calcul du stock mensuel en positionnant le point zéro sur le mois où le déficit sur la ligne précédente est maximal. Stock avant épandage (tonnes) : Stock avant épandage = stock (n 1) + produc totale (n) / 2 A S O N D J F M A M J J Production par mois Point zéro Stock fin de mois (tonnes) Stock avant épandage (tonnes) Epandage total ha Epandage total tonnes
13 Produits solides - fumière Capacité agronomique Stock maximal avant épandage en tonnes. Conversion de la capacité en tonnes en une capacité en m². Calcul de la production moyenne hivernale pour la période du 1/10 au 31/03 Détermination d une durée en équivalent mois de production Détermination d une surface. La capacité de 367 tonnes représente 5 équivalents mois de production moyenne mensuelle hivernale. Capacité agronomique 367 tonnes 5 mois eq mois temps plein 345 m² 5 équivalents mois de production représentent 345 m².
14 Produits solides - fumière Capacité agronomique Graphique de synthèse
15 Produits solides - fumière Présentation de la fosse FOSSE A CRÉER : STO1 Fosse couverte (O/N)? 0 Hauteur totale de la fosse 2,50 m Hauteur de garde 0,50 m Animaux et bâtiment Produit Animaux Origine Type Nombre Catégorie Logettes lisier + eaux salle de traite Épi simple 2 x 4 40 VL, 7 mois en bât
16 Produits liquides - fosse Production de lisier Produit Animaux KgN produit Production mensuelle Origine Type Nbre Catégorie Total Maîtrisable m 3 B2 Lisier 40 VL 6000 à 8000 kg A S O N D J F M A M J J Pluviométrie Tps UF (%) Volume lisier sur UF Eaux Salle de traite TOTAL TOTAL 12 mois 797 m 3
17 Produits liquides - fosse Production mensuelle m³ : Volume de déjections ou effluents produits mensuellement pour un temps de présence de 100 % Lisier, purin référence de stockage Production mensuelle par animal x nbre place ou nbre d animaux Production mensuelle par animal = référence 4 mois de stockage 4 Effluents salle de traite Production mensuelle de l équipement Production mensuelle = référence de stockage
18 Produits liquides - fosse Tp% : présence mensuelle des animaux dans l unité de fonctionnement Tp% = 100 x (heures de présence quotidienne / 24) x (jours de présence mensuelle / 30) Pour les effluents de traite Tp% = 100 m³ de l Uf : production mensuelle de l Uf en m³ m³ de l Uf (n) = production mensuelle m³ x Tp% (n) 100
19 Produits liquides - fosse Les surfaces non couvertes Fumière et aire indiquer mensuellement les surfaces Fosse existante report mensuel de la surface m³ pluie sur fosse : calcul du volume de pluie tombant sur la fosse calcul itératif Teneur indicative moyenne : calcul de la teneur en azote du produit stocké
20 Produits liquides - fosse Les épandages Cultures ou îlots, surface sole, m³/ha Fosse Culture Surface Volume / ha kg N / ha indicatif Prairies S O N D J F M A M J J A TOTAL Ha épandus Liser épandu (m 3 ) Kg N/ha indicatifs : calcul de l apport azoté par hectare compte tenu de la valeur indicative moyenne. Remarque : ne pas oublier de prendre en compte les exportations
21 Produits liquides - fosse ha épandus : mensuellement sur les surfaces réceptrices m³ épandus [ kg N/ha ]: calcul des volumes épandus mensuellement sur la culture ou l îlot, [apport azoté / ha compte tenu de la concentration instantanée] Epandage total ha, épandage total m³ : calcul des épandages mensuels.
22 Produits liquides - fosse Quelle capacité? Détermination du point 0 m³ : calcul du stock mensuel selon la formule : Stock (n) = stock (n 1) + produc (n) épandage (n) Stock de fin de mois (m³) : calcul du stock mensuel en positionnant le point zéro sur le mois où le déficit sur la ligne précédente est maximal. Stock avant épandage (m³) : Stock avant épandage = stock (n 1) + produc totale (n) A S O N D J F M A M J J Production lisier par mois Eaux salle de traite Pluviométrie Point zéro Stock fin de mois (tonnes) Stock avant épandage (m 3 ) 749 Epandage total ha 20 Epandage total tonnes 797
23 Produits liquides - fosse Capacité agronomique 749 m 3 utile 817 m 3 totale Graphique de synthèse
Conventions de calcul pour la réalisation des cas types en agriculture biologique
Conventions de calcul pour la réalisation des cas types en agriculture biologique Conjoncture retenue pour la construction des cas-types Prix de la viande bovine Conjoncture 1 er trimestre 2012 Prix des
Plus en détailÉvaluation du coût de la gestion des effluents dans différents types d exploitations porcines
2006. Journées Recherche Porcine, 38, 263-270. Évaluation du coût de la gestion des effluents dans différents types d exploitations porcines Claudie GOURMELEN (1), Michel RIEU (2) (1) Institut Technique
Plus en détailEn zones herbagères, un système spécialisé lait, tout herbe
Cas type HL 1 En zones herbagères, un système spécialisé lait, tout herbe Rouen Évreux Amiens Beauvais Arras Lille Laon Culture à faible densité d'élevage Herbagère à forte densité d'élevage Mixte à moyenne
Plus en détailDAIRYMAN aux Pays-Bas
DAIRYMAN aux Pays-Bas Frans Aarts, Wageningen-UR 15 October 2013 Le secteur laitiers Néerlandais: Une place importante Une production intensive 65% des surfaces agricoles dédiées à la production laitière
Plus en détailDIRECTIVE NITRATES ZONE VULNERABLE 4ème Programme d Actions
DIRECTIVE NITRATES ZONE VULNERABLE 4ème Programme d Actions Novembre 2010 CHAMBRE D AGRICULTURE 47 4ème Programme d Actions ZONE VULNERABLE Quelle zone? 93 communes 2466 exploitations 94425 ha 4ème Programme
Plus en détailOrganisation des bâtiments dans les grands troupeaux 5 exemples d organisation spatiale en Europe
Organisation des bâtiments dans les grands troupeaux 5 exemples d organisation spatiale en Europe Avril 2009 FICHES TECHNIQUES Auteur : Jacques CHARLERY Pôle Herbivores Chambres d agriculture de Bretagne
Plus en détailGESTION ET VALORISATION DES CENDRES DE CHAUFFERIES BOIS
GESTION ET VALORISATION DES CENDRES DE CHAUFFERIES BOIS Stockage et Epandage Etude réalisée pour le compte de l ADEME par : SOLAGRO : M. Christian COUTURIER AQUASOL : M. Thierry BRASSET Coordination technique
Plus en détailMerci de retourner ce document complété par courrier, fax ou mail (Joindre un plan de situation des bâtiments)
15, rue Gustave Eiffel, ZI Jarny-Giraumont 54800 JARNY Votre référence / Intervenant: N : Diagnostic MENAO N : Notre référence / Intervenant: M. / Mme : M. / Mme : Téléphone : Téléphone : 03 82 20 39 70
Plus en détailContexte : Objectif : Expérimentation :
Estimation de la valeur fertilisante de digestats issus de la biométhanisation. Résultat de 3 années d expérimentation en culture de maïs (2009 à 2011). (JFr. Oost 1, Marc De Toffoli 2 ) 1 Centre pilote
Plus en détailmon maïs fourrage, (GNIS) rassemble toutes les parties prenantes de la filière semences française, soit 72 entreprises de sélection,
Ma vache, mon maïs fourrage, et moi 50 ans de progrès! Depuis maintenant 50 ans, le maïs fourrage a bénéficié avec succès du progrès génétique et de l innovation variétale. Il a su s inscrire durablement
Plus en détailMoyens de production. Engrais
Engrais Moyens de production Lors de la campagne 2012-2013, les tonnages d engrais livrés diminuent de près de 17% en et représentent à peine plus de 1% des livraisons françaises. Cette évolution est principalement
Plus en détailProduire avec de l'herbe Du sol à l'animal
GUIDE PRATIQUE DE L'ÉLEVEUR Produire avec de l'herbe Du sol à l'animal avril 2011 BRETAGNE PAYS DE LA LOIRE SOMMAIRE Paroles d éleveurs 4 Quelle place donner à l herbe Le choix d un système fourrager 8
Plus en détailGrandes cultures Engrais liquides ou granulaires?
Grandes cultures Engrais liquides ou granulaires? Louis Robert, agronome, M. Sc. Conseiller régional en grandes cultures Même s ils ne sont pas nouveaux sur le marché, les engrais de démarrage liquides
Plus en détailRotations dans la culture de pomme de terre : bilans humiques et logiciel de calcul
Colloque sur la pomme de terre Une production à protéger 13 novembre 2009, Québec Rotations dans la culture de pomme de terre : bilans humiques et logiciel de calcul Marc F. CLÉMENT., agronome, conseiller
Plus en détailSystèmes bovins laitiers en Poitou-Charentes
R E F E R E N C E S Systèmes bovins laitiers en Poitou-Charentes Avril 2008 Les cas-types... mode d emploi R E F E R E N C E S Vous avez dit cas-type? Un cas-type est une exploitation représentative d'un
Plus en détailLe développement durable peut-il se passer d engrais minéraux?
Avec la participation i de l Le développement durable peut-il se passer d engrais minéraux? Philippe EVEILLARD UNIFA Union des Industries de la Fertilisation Le développement durable et l agriculture :
Plus en détailMINISTERE DE LA REGION WALLONNE
MINISTERE DE LA REGION WALLONNE Direction générale des Ressources naturelles et de l Environnement Direction générale de l Aménagement du Territoire, du Logement et du Patrimoine Décret du 11 mars 1999
Plus en détailSTOCKAGE DES BOUES DE STATIONS D EPURATION URBAINES Bassin Artois Picardie
PREFECTURE REGION NORD PAS DE CALAIS Direction Régionale de l Environnement Nord - Pas de Calais Service Eau, Milieux Aquatiques et Risques Naturels Cellule Réglementation et Gestion Territoriale de l'eau
Plus en détailTrajectoires laitières
Trajectoires laitières Yannick PECHUZAL Lot Conseil Elevage 13 mars 2014 Cantal 2100 producteurs de lait 1000 élevages mixtes 420 ML 5 AOP fromagères Filière Collecte : 360 Ml 60% SODIAAL et assimilés
Plus en détailUNE MEILLEURE CONNAISSANCE
CONCEVOIR ET GÉRER DES AMAS DE FUMIER SOLIDE AU CHAMP UNE MEILLEURE CONNAISSANCE pour un meilleur environnement En 2002, le Règlement sur les exploitations agricoles (REA) prévoyait l échéance des dispositions
Plus en détailAVIS. Complément d étude. Objet : Réf. : CWEDD/06/AV.1565. Liège, le 23 octobre 2006
AVIS Réf. : CWEDD/06/AV.1565 Liège, le 23 octobre 2006 Objet : Demande de permis unique relative à la régularisation d une porcherie d engraissement de 3.500 porcs et d une étable de 30 bovins à Kettenis
Plus en détailRéférences technico-économiques Palmipèdes gras. Année 2011
Références technico-économiques Palmipèdes gras Année 2011 FILIERE LONGUE : ELEVAGE 1-Les points clés de «l'atelier type» élevage d'aujourd'hui DESCRIPTIF 36 000 Volume animal /an 6 000 6 Nb de bandes
Plus en détailles cinq étapes pour calculer les jours d avance
À retenir l expérience, acquise grâce à ces outils, permet également une bonne évaluation de la ressource disponible. une fois les mesures réalisées, la quantité d herbe disponible pour le lot se calcule
Plus en détailLa gestion intégrée des produits résiduaires organiques de la micro-régionouest de la Réunion Etat d avancement du projet
La gestion intégrée des produits résiduaires organiques de la micro-régionouest de la Réunion Etat d avancement du projet T. Wassenaar, J. Queste, J.M. Paillat Assemblée Générale du RMT Fertilisation &
Plus en détailLa campagne 2004/05 a vu des livraisons globalement stables:
Conférence de presse UNIFA - 23 septembre 2005 Sommaire Le marché des engrais : campagne 2004-2005 La hausse des prix de l énergie pèse sur la nouvelle campagne Le contexte réglementaire : la nouvelle
Plus en détailOUVERT02 - Maintien de l ouverture par élimination mécanique ou manuelle des rejets ligneux et autres végétaux indésirables Sous-mesure :
OUVERT02 - Maintien de l ouverture par élimination mécanique ou manuelle des rejets ligneu et autres végétau indésirables Sous-mesure : 10.1 Paiements au titre d'engagements agroenvironnementau et climatiques
Plus en détailSynthèse du rapport d activité 2007 du CCAS
Synthèse du rapport d activité 2007 du CCAS I- Moyens financiers Budget 2007 : Recettes totales = 3.604.581 dont : Budget CCAS : 1.487.913 Budget annexe SSIAD : 438.284 Budget annexe MAD : 1.678.384 Dépenses
Plus en détailPrésentation du Master Ingénierie Informatique et du Master Science Informatique 2007-2008, Année 2 Université Paris-Est Marne-la-Vallée
Présentation du Master Ingénierie Informatique et du Master Science Informatique 2007-2008, Année 2 Université Paris-Est Marne-la-Vallée Responsable du Master Informatique : Marc Zipstein Responsable de
Plus en détailPRÉFECTURE DE LA VENDÉE DIRECTION DÉPARTEMENTALE DES AFFAIRES SANITAIRES ET SOCIALES RÈGLEMENT SANITAIRE DÉPARTEMENTAL EXTRAIT TITRE VIII
PRÉFECTURE DE LA VENDÉE DIRECTION DÉPARTEMENTALE DES AFFAIRES SANITAIRES ET SOCIALES RÈGLEMENT SANITAIRE DÉPARTEMENTAL EXTRAIT TITRE VIII "PRESCRIPTIONS APPLICABLES AUX ACTIVITES D ELEVAGE ET AUTRES ACTIVITES
Plus en détailInstructions de montage et d utilisation
Instructions de montage et d utilisation TOUR ESCALIERS - 2 - SOMMAIRE SOMMAIRE...- 3 - TOUR ESCALIERS : CONFIGURATION 6 M...- 4-1. CARACTERISTIQUES GENERALES :...- 4 - Caractéristiques dimensionnelles
Plus en détailCONGRES REGIONAL CTA/ ATPS DE LA JEUNESSE EN AFRIQUE
CONGRES REGIONAL CTA/ ATPS DE LA JEUNESSE EN AFRIQUE Exploiter le Potentiel de la Science, de la Technologie et de l Innovation dans les chaînes Agro-alimentaires en Afrique : Créer emplois et richesse
Plus en détailNote technique. Consommation électrique d'un poêle à granulés à émission directe
Note technique Consommation électrique d'un poêle à granulés à émission directe Version / Date Version 1.0 du 06/02/2012 Auteur David Chénier 2012, Amoès SAS. Toute utilisation, reproduction intégrale
Plus en détailLa réalisation d essais en réacteur pilote en vue d une demande d homologation de digestat
La réalisation d essais en réacteur pilote en vue d une demande d homologation de digestat M CORDELIER, JF. LASCOURREGES, C. PEYRELASSE, C.LAGNET, P.POUECH 4 ième Journées Industrielles Méthanisation 4
Plus en détailComment concevoir son lit biologique
santé - sécurité au travail > RISQUE PHYTOSANITAIRE Gestion des effluents phytosanitaires Comment concevoir son lit biologique > Choix du procédé > Méthode de conception > Construction du lit biologique
Plus en détailREGLEMENT SANITAIRE DEPARTEMENTAL TITRE VIII. Prescriptions applicables aux activités d élevage et autres activités agricoles
REGLEMENT SANITAIRE DEPARTEMENTAL TITRE VIII Prescriptions applicables aux activités d élevage et autres activités agricoles (Les dispositions ci-dessous ne s appliquent qu aux installations non soumises
Plus en détailFertiliser le maïs autrement
Fertiliser le maïs autrement Dans un contexte de renchérissement des ressources en azote organique et de recherche de plus d autonomie, les agriculteurs biologiques picards et leurs conseillers au sein
Plus en détailTCS, strip-till et semis direct
Témoignage dethierry Lesvigne Polyculture Elevage Bovin Lait La Bernaudie 24 480 ALLES- SUR-DORDOGNE Depuis 2008, Thierry Lesvigne a choisi repenser l ensemble de son système agronomique et a arrêté définitivement
Plus en détailFiche technique n 1 : le logement construction des boxes.
Bâtiments d élevage : Pourquoi? Aspects climatiques : Fiche technique n 1 : le logement construction des boxes. - le porc est sensible aux brusques changements du climat, - surexposition au soleil : déshydratation
Plus en détailLa vie du sol : «Les racines de la fertilité de vos cultures»
Donner à la nature les moyens d exprimer son potentiel! La vie du sol : «Les racines de la fertilité de vos cultures» BIO3G : 3 rue Basse Madeleine - BP 22-22230 MERDRIGNAC Tél : 02 96 67 41 41 - Fax :
Plus en détailGuide pratique. Semaine. Bâtiment d élevage. Organisée par les organisations professionnelles du Rhône
Guide pratique Semaine du Bâtiment d élevage Organisée par les organisations professionnelles du Rhône Pour construire un bâtiment d élevage, il faut........................4 La réglementation applicable
Plus en détailL intérêt technico-économique. avec simulations à l'appui
L intérêt technico-économique Titre de du l'engraissement diaporama des mâles avec simulations à l'appui Christèle PINEAU Institut de l'elevage Christele.Pineau@idele.fr Matthieu COUFFIGNAL ARVALIS, Institut
Plus en détailRÉSULTATS DE L OBSERVATOIRE TECHNICO-ÉCONOMIQUE DU RAD Synthèse 2011 - Exercice comptable 2010
Les essentiels du Réseau agriculture durable RÉSULTATS DE L OBSERVATOIRE TECHNICO-ÉCONOMIQUE DU Synthèse 2011 - Exercice comptable 2010 Réseau d information comptable agricole du Ministère de l Agriculture,
Plus en détailELABORATION D'UN AUDIT ET DU SCHÉMA DIRECTEUR DU SYSTÈME D INFORMATION DE LA CNOPS
ELABORATION D'UN AUDIT ET DU SCHÉMA DIRECTEUR DU SYSTÈME D INFORMATION DE LA CNOPS Présentation à la journée des cadres de la CNOPS Hicham El Achgar Version 1.0 Rabat, le 26 mars 2011 1 Le sommaire Synthèse
Plus en détailNOP: Organic System Plan (OSP) / EOS: Description de l Unité Information et documents requis
TITRE NOP: Organic System Plan (OSP) / EOS: Description de l Unité Information et documents requis Selon le règlement NOP de l USDA 205.406(a), un opérateur certifié doit transmettre chaque année à son
Plus en détailProduction de Biogaz L Allemagne leader incontesté. La France demeure incontestablement en retrait!
Production de Biogaz L Allemagne leader incontesté. La France demeure incontestablement en retrait! Actualisation janvier 2009 Processus de production de biogaz BIOMASSE Matière organique fraîche (déjections,
Plus en détailLes politiques de réduction du coût salarial en Belgique
Les politiques de réduction du coût salarial en Belgique Mars 2015 Luc Masure Plan de la présentation 1. Le Bureau fédéral du Plan 2. Cadre historique de la politique salariale et des dispositifs d exonération
Plus en détailINVETISSEMENTS, PRODUCTION, COMMERCIALISATION, EXPORTATION: FACILITES & CONTRAINTES. CAS DU GROUPE FALY EXPORT
INVETISSEMENTS, PRODUCTION, COMMERCIALISATION, EXPORTATION: FACILITES & CONTRAINTES. CAS DU GROUPE FALY EXPORT LA SECURITE ALIMENTAIRE DANS L INDIANOCEANIE INVESTIR DANS LA PRODUCTION AGRICOLE 25-27 MARS
Plus en détailM221 Planification de projet TP n 1 DUT QLIO Semestre 2
M221 Planification de projet TP n 1 DUT QLIO Semestre 2 Objectif : découverte du logiciel Microsoft Project 2003 Un compte-rendu est à rendre en fin de séance (avec évidemment une introduction et une conclusion).
Plus en détailNOUVEL AÉROPORT INTERNATIONAL BLAISE DIAGNE
NOUVEL AÉROPORT INTERNATIONAL BLAISE DIAGNE Révision : 16/04/07 Impression : 16/04/07 NOUVEL AÉROPORT INTERNATIONAL BLAISE DIAGNE 2 JUSTIFICATION DU PROJET Le Sénégal a connu depuis la dévaluation de 1994
Plus en détailbiophyt sa Institut de recherches et de consultations en agronomie et écologie appliquées
biophyt sa Institut de recherches et de consultations en agronomie et écologie appliquées Le compost, c est quoi? Définition, composition, valorisation, qualité Dr. Jacques G. Fuchs, biophyt sa 1. Généralités
Plus en détailREFERENTIEL DE CERTIFICATION
REFERENTIEL DE CERTIFICATION DU TITRE PROFESSIONNEL Technicien(ne) Médiation Services Niveau IV Site : http://www.emploi.gouv.fr REFERENTIEL DE CERTIFICATION D'UNE SPECIALITE DU TITRE PROFESSIONNEL DU
Plus en détailAgricultures paysannes, mondialisation et développement agricole durable
Agricultures paysannes, mondialisation et développement agricole durable Marcel MAZOYER professeur à La Paz juillet 2 007 Contenu 1. Une situation agricole et alimentaire mondiale inacceptable 2. Développement
Plus en détailConditions d'abonnement Premium (durée : 1 an)
Table des matières 1. Préambule... 1 2. Application des Conditions générales d utilisation... 2 3. Postulations et vacations en avant-première... 2 4. Accès illimité aux Modèles de la Bibliothèque des
Plus en détailPlan de modernisation des installations industrielles
Plan de modernisation des installations industrielles 1 Sommaire 1 - Contexte - Introduction 2 - Réglementation 3 - Périmètre 4 - Guides techniques 5 - Synthèse : périmètre-actions 2 1 Contexte - Introduction
Plus en détailLe miscanthus : opportunités énergétiques à la ferme. Laurent Somer, ValBiom asbl Sankt Vith / Saint-Vith 13 juin 2014
Le miscanthus : opportunités énergétiques à la ferme Laurent Somer, ValBiom asbl Sankt Vith / Saint-Vith 13 juin 2014 Plan de l exposé Pourquoi du miscanthus? Chaudières polycombustibles : aspects techniques
Plus en détailREGLEMENT SANITAIRE DEPARTEMENTAL DE MAINE ET LOIRE TITRE VIII PRESCRIPTIONS APPLICABLES AUX ACTIVITES D'ELEVAGE ET AUTRES ACTIVITES AGRICOLES
REGLEMENT SANITAIRE DEPARTEMENTAL DE MAINE ET LOIRE TITRE VIII PRESCRIPTIONS APPLICABLES AUX ACTIVITES D'ELEVAGE ET AUTRES ACTIVITES AGRICOLES Arrêté préfectoral du 20 novembre 1985 153.1. Champ d application
Plus en détailFORMATION CONTINUE ÉDITION 2014-2015 LA FORMATION MÈNE AUX ACCOMPLISSEMENTS
FORMATION CONTINUE ÉDITION 2014-2015 LA FORMATION MÈNE AUX ACCOMPLISSEMENTS POUR S INSCRIRE RÉSERVEZ VOTRE PLACE LE PLUS TÔT POSSIBLE AUPRÈS DE MARC-ANDRÉ TESSIER 1 877 425-8366 COMMUNICATION@UCFO.CA WWW.UCFO.CA
Plus en détailLa production énergétique à partir de la biomasse forestière : le devenir des nutriments et du carbone
La production énergétique à partir de la biomasse forestière : le devenir des nutriments et du carbone Jessica François, Mathieu Fortin et Anthony Dufour Journées CAQI les 8 et 9 avril 2014, Gembloux,
Plus en détailLe printemps et l été du compost
Le printemps et l été du compost Le printemps du compost 1 A la sortie de l hiver, le compost est souvent trop tassé et/ou trop humide. Il faut, avant les nouveaux apports, penser à bien l aérer en faisant
Plus en détailTechniques agronomiques innovantes de la conduite du maïs fourrage
Techniques agronomiques innovantes de la conduite du maïs fourrage Romain LEGERE- Arvalis(station de la Jaillière Collaboration Bruno Couilleau-CA44 (Ferme de Derval) Techniques agronomiques innovantes
Plus en détailANAIS LE LOGICIEL DE GESTION PRÉVISIONNELLE DE L ENTREPRISE AGRICOLE ET RURALE. Laboratoire Informatique de l ENITA de Bordeaux Tél.
LE LOGICIEL DE GESTION PRÉVISIONNELLE DE L ENTREPRISE AGRICOLE ET RURALE Laboratoire Informatique de l ENITA de Bordeaux Tél. 05 57 35 07 95 PHILOSOPHIE DU LOGICIEL - CONCEPTS DE BASE ET MECANISMES 1.
Plus en détailQualité. Sécurité Alimentaire
Le service Qualité Présentation du Service Démarche Qualité Qualité Réalisation des dossiers d agrément sanitaire pour les cuisines centrales >60 affermés API Réalisation des dossiers d accréditation en
Plus en détailDEMANDE DE SUBVENTION 2012 PLAN DE MODERNISATION DES BATIMENTS D ELEVAGE (121 A)
Mise à jour 01 décembre 2011 DEMANDE DE SUBVENTION 2012 PLAN DE MODERNISATION DES BATIMENTS D ELEVAGE (121 A) Cette demande d aide une fois complétée constitue, avec les justificatifs joints par vos soins,
Plus en détailCegid Business Restaurant
CegidBusinessRestaurant Cegid Business Restaurant Encaissement Gérer efficacement tous les aspects de votre métier Facturation Avec Cegid Business Restaurant, dotez-vous d un véritable système d information
Plus en détailRENTABILITÉ ÉCONOMIQUE MODÈLES DE CALCUL
Faits et chiffres de l aviculture CH 2.6 RENTABILITÉ ÉCONOMIQUE MODÈLES DE CALCUL 1. Généralités sur les coûts de production et la rentabilité économique Les modèles de calcul en annexe sont à interpréter
Plus en détailSYSTEMES ELECTRONIQUES NUMERIQUES
BACCALAURÉAT PROFESSIONNEL SYSTEMES ELECTRONIQUES NUMERIQUES (S.E.N.) REF : TASI110 Taxonomie TP Alarme Intrusion type 2 MELODIA 2605 1 je sais de quoi je parle X 2 je sais en parler 3 je sais faire 4
Plus en détailL observatoire national des ressources en biomasse Évaluation des ressources disponibles en France
>ÉDITION octobre 2012 L observatoire national des ressources en biomasse Évaluation des ressources disponibles en France LES ÉTUDES DE Introduction p.1 Fiches ressources p.7 Agriculture 1-01- Cultures
Plus en détailLe gabarit des vaches laitières a
CONCEVOIR ET INSTALLER des logettes Le gabarit des vaches laitières a augmenté significativement au cours des dernières décennies. La taille des troupeaux conduit les éleveurs à choisir de plus en plus
Plus en détailoption pour le climat?
Biosolides municipaux Quelle est la meilleure option pour le climat? Claude Villeneuve, professeur titulaire, directeur de la Chaire en éco-conseil de l Université du Québec à Chicoutimi (Claude_Villeneuve@uqac.ca)
Plus en détailACTION N 1 Réseau d élevages bovins laitiers en Agrobiologie
ACTION N 1 Réseau d élevages bovins laitiers en Agrobiologie Capacité d adaptation des systèmes en Agriculture Biologique aux épisodes de sécheresse AUTONOMIE ALIMENTAIRE Maître d œuvre : Chambres d Agriculture
Plus en détailEXAMEN CRITIQUE D UN DOSSIER TECHNIQUE
EXAMEN CRITIQUE D UN DOSSIER TECHNIQUE (Préparation : 5 heures -- Exposé et Questions : 1 heure) Rapport établi par : P.J. BARRE, E. JEAY, D. MARQUIS, P. RAY, A. THIMJO 1. PRESENTATION DE L EPREUVE 1.1.
Plus en détailCahier des Clauses Administratives Particulières
MARCHES PUBLICS DE FOURNITURES COURANTES ET SERVICES Communauté de Communes du Volvestre Direction Générale des Services Service des Marchés Publics 34 avenue de Toulouse BP 9 31390 CARBONNE Tél: 05 61
Plus en détailDISPOSITIF DE MISE EN ŒUVRE D UN SERVEUR GEOSPATIAL COMMUNAUTAIRE
DISPOSITIF DE MISE EN ŒUVRE D UN SERVEUR GEOSPATIAL COMMUNAUTAIRE Journées ESRI France 3/4 Octobre 2012 CARVALHAIS Frédéric Chef de projet SIG communautaire PLAN DE PRESENTATION La place de l information
Plus en détailRemerciements. EFMA European Fertilizer Manufacturers Association Av E. Van Nieuwenhuyse, 4 B-1160 Brussels-Belgium www.efma.org
Remerciements Ce dossier technique est pour une grande part la traduction de la brochure EFMA publiée en anglais Producing bioenergy and making the best of european land sous la direction de Christian
Plus en détailLes nouveaux modes de distribution : impacts et enjeux
Les nouveaux modes de distribution : impacts et enjeux 1. Le E-Commerce et ses nouveaux usages Constat : Le Web 2.0 = Le renversement des pouvoirs Les consommateurs ne font plus confiance aux marques (Brand
Plus en détailTable des matières. Sommaire exécutif... I 1.0 Introduction... 1 2.0 Constats et faits saillants... 2
Table des matières Sommaire exécutif... I 1.0 Introduction... 1 2.0 Constats et faits saillants... 2 2.1 Quantités et caractéristiques des produits à valoriser... 2 2.2 Apprentissages des expériences de
Plus en détailLa Commission des Titres d ingénieur a adopté le présent avis
Avis n 2010/05-10 relatif à l habilitation de l École polytechnique fédérale de Lausanne (Suisse) à délivrer des titres d ingénieur diplômé admis par l état Objet : G : accréditation et admission par l'état
Plus en détailen Appartement Besoins, Choix du Système, Coûts...
Le Chauffage Individuel en Appartement Besoins, Choix du Système, Coûts... www.ale-lyon.org >> Quel est le meilleur système de chauffage chez moi? Il n y a pas de réponse unique, chaque logement et chaque
Plus en détailRenc. Rech. Ruminants, 2006, 13
Conséquences d une maximisation de la part du pâturage sur les performances techniques d un troupeau ovin allaitant E. POTTIER (1), L. SAGOT (1), L.M. CAILLEAU (2) (1) Institut de l Élevage, Ferme Expérimentale
Plus en détailPrésentation sur l immatriculation des véhicules. Par Michelle Bélanger et Jacques Vézina
Présentation sur l immatriculation des véhicules Par Michelle Bélanger et Jacques Vézina Plan de la présentation Qu est-ce qu un agriculteur? Principe de base de l immatriculation Exemptions à l immatriculation
Plus en détailThème 17: Optimisation
OPTIMISATION 45 Thème 17: Optimisation Introduction : Dans la plupart des applications, les grandeurs physiques ou géométriques sont exprimées à l aide d une formule contenant une fonction. Il peut s agir
Plus en détailPour optimiser l utilisation du lisier, à des fins de traitement ou de valorisation agronomique,
Composition et volume de lisier produit par le porc Données bibliographiques Pascal Levasseur Pour optimiser l utilisation du lisier, à des fins de traitement ou de valorisation agronomique, il est indispensable
Plus en détailLa cohabitation des races ovines Ouled Jellal (OJ) et Beni Guil (BG) et développement de l'élevage ovin dans le système pastoral du Maroc Oriental
Mediterranean biodiversity as a tool for the sustainable development of the small ruminant sector: From traditional knowledge to innovation Institut Agronomique et Vétérinaire Hassan II Rabat, 16 décembre
Plus en détailPAPIER OU SUPPORT NUMÉRIQUE, QUEL EST LE BON CHOIX ÉCOLOGIQUE?
PAPIER OU SUPPORT NUMÉRIQUE, QUEL EST LE BON CHOIX ÉCOLOGIQUE? F R A N Ç O I S E B E R T H O U D G D S E C O I N F O / C N R S w w w. e c o i n f o. c n r s. f r F r a n c o i s e. B e r t h o u d @ g
Plus en détailSPECIAL FINANCEMENT DE L AGRICULTURE
SPECIAL FINANCEMENT DE L AGRICULTURE L installation, la mise aux normes, le renouvellement d un matériel, ou tout autre investissement sont autant de situations ou d évènements qui nécessitent des besoins
Plus en détailMise au point de systèmes de culture innovants par un réseau d agriculteurs et production de ressources pour le conseil 1
Innovations Agronomiques 20 (2012), 79-100 Mise au point de systèmes de culture innovants par un réseau d agriculteurs et production de ressources pour le conseil 1 Petit M.-S. 1, Reau R. 2, Dumas M. 2,
Plus en détailSemis direct: de l essai à la pratique
Travail du sol - Semis direct 2.4.3 Semis direct: de l essai à la pratique Expériences acquises dans un système de semis direct en continu A. Chervet 1, L. Gubler 1, P. Hofer 1, C. Maurer-Troxler 1, M.
Plus en détailMARCHÉ SÉCURITÉ-SURVEILLANCE-GARDIENNAGE 2010
Vénissieux, le 20 janvier 2010 20 boulevard Marcel Sembat 69694 Vénissieux Tél. : 04 78 78 50 00 Fax : 04 78 78 50 01 MARCHÉ SÉCURITÉ-SURVEILLANCE-GARDIENNAGE 2010 CAHIER DES CLAUSES PARTICULIÈRES RÈGLEMENT
Plus en détailCompte tenu d une politique d achat de l électricité peu incitative, la centaine
L expérience allemande de la méthanisation à la ferme : transposition au contexte français Compte tenu d une politique d achat de l électricité peu incitative, la centaine d unités de méthanisation construites
Plus en détailCHAPITRE 8 PRODUCTION ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT
CHAPITRE 8 PRODUCTION ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT 1 Relations alimentaires entre les êtres vivants 1 1 Les chaines alimentaires. Une chaine alimentaire est constituée par une succession d êtres vivants
Plus en détailL amiante Désamiantage Gestion des déchets Sécurité/santé
CCW_DD02 L amiante Désamiantage Gestion des déchets Sécurité/santé De nombreuses entreprises sont confrontées à des matériaux amiantés lors de rénovations ou de démolition de bâtiments. Ces matériaux,
Plus en détailFICHE TECHNIQUE. Vers de terre Architectes des sols fertiles. Présence et mode de vie. N de commande 1619, Édition Suisse, 2013.
FICHE TECHNIQUE Vers de terre Architectes des sols fertiles Introduction Entre un et trois millions de vers de terre vivent dans la terre en bonne santé d un hectare de prairie. Plus il y en a plus le
Plus en détailMODE OPERATOIRE CIEL GESTION COMMERCIALE VERSION EVOLUTION BTS PME PMI
MODE OPERATOIRE CIEL GESTION COMMERCIALE VERSION EVOLUTION BTS PME PMI BTS AGPME Ciel Gestion commerciale (mai 2005) Pierre TASSION 1 Table des matières D après le référentiel BTS PME PMI Présentation
Plus en détailLE TRAVAIL EN ÉLEVAGE BOVIN LAIT, BOVIN VIANDE ET OVIN VIANDE
RÉSEAUX D ÉLEVAGE POUR LE CONSEIL ET LA PROSPECTIVE COLLECTION RÉFÉRENCES LE TRAVAIL EN ÉLEVAGE BOVIN LAIT, BOVIN VIANDE ET OVIN VIANDE DES RÉFÉRENCES POUR LE CONSEIL NORD-PAS-DE-CALAIS, PICARDIE ET NORMANDIE
Plus en détailBiogaz et méthanisation
Note pour les comités opérationnels 10 (Energies renouvelables) et 15 (agriculture) COMITE DE LIAISON ENERGIES RENOUVELABLES (CLER) Contact: Christian Couturier, christian.couturier@solagro.asso.fr 05
Plus en détailPilot4IT Monitoring : Mesurez la qualité et la performance perçue de vos applications.
Pilot4IT Monitoring : Mesurez la qualité et la performance perçue de vos applications. La supervision est la «surveillance du bon fonctionnement d un système ou d une activité». Elle permet de surveiller,
Plus en détailEnquête sur les perspectives des entreprises
Enquête sur les perspectives des entreprises Résultats de l enquête de l été 15 Vol. 12.2 6 juillet 15 L enquête menée cet été laisse entrevoir des perspectives divergentes selon les régions. En effet,
Plus en détailPREFECTURE DE LA REGION AQUITAINE
PREFECTURE DE LA REGION AQUITAINE DIRECTION REGIONALE DE L ALIMENTATION DE L AGRICULTURE & DE LA FORET Service Régional de la Forêt & du Bois Arrêté du 13 août 2009 conditions de financement par des aides
Plus en détailCircuits RL et RC. Chapitre 5. 5.1 Inductance
Chapitre 5 Circuits RL et RC Ce chapitre présente les deux autres éléments linéaires des circuits électriques : l inductance et la capacitance. On verra le comportement de ces deux éléments, et ensuite
Plus en détail