Apport de l Imagerie dans les Ruptures spléniques au CHU de Conakry

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Apport de l Imagerie dans les Ruptures spléniques au CHU de Conakry"

Transcription

1 Apport de l Imagerie dans les Ruptures spléniques au CHU de Conakry Auteurs: (1)BAH M.O*., BAH OA*. DIALLO B **; TOURE BM***, (2)BOUDGHENE F. *Service d imagerie, ** Chirurgie viscérale *** Service de Chirurgie pédiatrique Service de radiologie Hôpital Tenon 1) CHU de Conakry / Guinée 2) Hôpital Tenon Paris / France

2 RESUME Les auteurs rapportent : 2394 cas de splénomégalies diagnostiquées et 123 cas de ruptures spléniques. Ils insistent sur la diversité et l association des étiologies. En milieu endémique, la splénomégalie est fréquente et très fragile dans les cas de paludisme, surtout que dans la littérature, le paludisme représente la principale cause de rupture spontanée de la rate. Dans un contexte socio économique difficile, le retard de consultation, la mort subite, le coût onéreux de l imagerie peu développée et l absence d autopsie justifient les quelques cas de ruptures observées. L imagerie en général et l échographie en particulier ont permis aux chirurgiens de prendre une décision thérapeutique cohérente afin de sauver plusieurs vies humaines.

3 Généralités Etude mixte (rétrospective et dynamique) de janvier 2008 à décembre splénomégalies: 1198 cas paludismes(50%). L âge moyen, 25,5 ans sex ratio 3/1 H/F : 2394, Au sud du Sahara, le paludisme est endémique et se complique ou prédispose à des ruptures spléniques. Il est difficile d estimer le nombre exact de sujets porteurs de splénomégalies, d échecs thérapeutiques, de piqures virulentes d anophèle et des cas de ruptures spléniques, car bon nombre de patients meurent tranquillement dans leurs lits avant d avoir un diagnostic. L autopsie est encore un tabou dans notre pays. La médecine légale et les statistiques restent un défi à relever dans l avenir. Rate saine est fréquemment lésée dans les accidents de la voie publique, malgré sa topographie. Force est de constater qu en zone endémique de paludisme, les lésions spléniques sont d autant plus fréquentes que les facteurs de risques sont nombreux et souvent associés.

4 ANATOMIE DE LA RATE FRANk H. NETTER,MD Atlas d anatomie humaine 4 ème Edition Masson 2007: planche 305 FOIE ESTOMAC RATE Fonctions de la rate 1. Filtration macrophagique 2. Filtre vasculaire 3. Fonction Immune 4. Vicariance hématopoiétique

5

6 Etio pathogénie (littérature) 1. Fonction de filtration Macrophagique -Splénomégalie infectieuse et parasitaire -Splénomégalie inflammatoire -Splénomégalie de surcharge 2. Fonction vasculaire : -Splénomégalie vasculaire: hypertension portale - splénomégalie de Séquestration: anémie hémolytique 3.Fonction Immune: splénomégalie par Hémopathies 4. Fonction vicariance hématopoiétique 5.Splénomégalies primitives isolées.bénignes: Fibrome, dysembryome, kyste lymphatique.malignes: Fibrosarcome, hémangioblastome, métastases

7 CLASSIFICATION DE HACKETT en 5 stades (OMS,1963) 1. Stade I: rate palpable en inspiration forcée 2. Stade II: rate palpable en respiration normale, sur la ligne mamelonna ire gauche ne dépassant la ligne horizontale passant à égale distance entre le rebord costal et l ombilic 3. Stade III: rate descendant en dessous de cette ligne, sans dépasser la ligne horizontale passant par l ombilic 4. Stade IV: rate dépassant cette dernière ligne, mais ne franchissant pas l horizontale passant à égale distance entre l ombilic et la symphyse pubienne 5. Stade V: Rate descendant en dessous de cette ligne.

8 2394 splénomégalies cas paludismes(50%), hépatites (10,3%), poly parasitoses (7,4%), cirrhoses hépatiques(7,1%), anémies(7,1%), associations de pathologies (4,6%), de cardiopathies(4,5%), drépanocytoses(3,3%), cas de lymphomes(2,9%), HIV Sida(0,7%), cas d abcès (0,3%) cas de leucémies(0, 08)

9 b a a) Patient âgé de 17 ans avec une splénomégalie stade 5 b) Rate de 2000g de poids du même malade

10 a b c a) Splénectomie per opératoire b) Rate de 1150 g de poids c) Enfant de 8 ans (suite opératoire)

11 Facteurs de prédisposition ou de risques de ruptures spléniques: - sujet porteur de splénomégalie d étiologies diverses et associées (parasitose, anémie, hépatopathies, cardiopathies étc ). - Sujets exposés aux risques quotidiens (accidents de la voie publique, jeux et sports, chutes de chantier ou d arbre, bagarres, ). - Croyance à des mauvaises pratiques traditionnelles (scarification, brûlure au fer chaud, ventouse) - Ne consulter un médecin qu en cas de gravité - N ayant aucune couverture médicale ou manque totale de ressources financières

12 MAUVAISES PRATIQUES THERAPEUTIQUES ET CERTAINES CROYANCES Certains malades ou parents de malades déclinent toute Transfusion sanguine (radicaux musulmans) Certains patients refusent toute intervention chirurgicale Certaines personnes de quelques ethnies de la basse côte préfèrent investir sur les funérailles que d acheter une petite ordonnance pour sauver le malade Lésions cutanées dans un but thérapeutiques -Scarification en région forestière - Brûlures cutanées au fer chaud (application d huile et de fer chaud) en région montagneuse.

13 a b a) H.26 ans : Scarification cutanée ou ventouse (splénomégalie.stade III) b) Enfant 10 ans : Brûlures cutanées à la forge ( splénomégalie Stde IV)

14

15 Diagnostic positif 1. Circonstance de découverte: 2. Interrogatoire: splénalgie, 3. Examen clinique 4. Examen para clinique. Bilan Biologique. Imagerie Médicale

16 Clinique Signes fonctionnels: augmentation du volume abdominal, /x altération de l état général, douleur abdominale Signes physiques : Organomégalie, signes de collapsus ou choc hémorragique, défense abdominale, douleur à l examen. En cas de traumatisme : lésions post-traumatiques (fractures, lésions cutanées, hémorragie.) Malade stable état conservé avec une douleur abdominale et une défense abdominale. Malade instable, état de choc hémorragique et altération de l état général

17 Bilan Biologique NFS, Hte Hb ont permis d apprécier la perte sanguine, l existence d une hyperleucocytose en cas d infection, des hémopathies. TE à la recherche d une drépanocytose GE confirmant un paludisme existant SRV à la recherche de HIV SIDA Tests hépatiques (GOT et GTP) dans les hépatopathies Hbs Ag l existence d une hépatite Parasitologie des selles ( schistosoma Mansoni)

18 IMAGERIE MEDICALE 1. Echographie abdominale 2. Scanner abdominal 3. Radiographie conventionnelle

19 1) Echographie: Elle a été un examen de première intention (accessible par son coût,disponibilité de l appareil) Examen demandé par tous les médecins prescripteurs (de Centre de santé, des généralistes au spécialistes)et parfois réclamé par certains malades ou parents de malades Appareils disponibles Les circonstances de découverte ont été très variables dans le temps. Seuls les accidentés de la voie publique et certains malades intellectuels ou ceux là dont la bourse est consistante étaient arrivés entre 12 et 24 heures. Le reste des malades arrivaient entre 48 et 72 heures après une consultation dans un centre de santé ou une clinique de proximité. La réalisation de l échographie ne posait aucun problème. La réalisation d autres examens suscitait beaucoup de polémiques avant d arriver à réaliser certains scanners. L accessibilité de l échographie a été parfois fonction de la demande d examen, du contexte socio économique du malade car la prise en charge du patient pouvait être coûteuse selon les structures sanitaires (faible revenue et absence de couverture médicale). L exploration complémentaire par la sonde de haute fréquence donne plus de précisions sur l état du parenchyme et des lésions sous jacentes que la sonde de basse fréquence. Elle a été systématique chez tous les malades. Ceux qui n ont pas pu réalisé le scanner abdominal pour une raison ou autre à l aide de l approche diagnostique ont bénéficié d une prise en charge médico-chirurgicale adéquate

20 SIGNES ECHOGRAPHIQUES RENCONTRES Hypertrophie de la rate (stades : 1,2,3,4,5) Parenchyme homogène sans lésion associée Lésions parenchymateuses ( remaniement structurel diffus, plages hypo- ou échogènes circonscrits, nodules hypo échogène isolé ou disséminés, calcifications parenchymateuses ( isolées ou diffuses) Varices hilaires, dilatation du tronc porte (17 à 32 mm de diamètre) Epanchement péri splénique ou abdominal ( ascite ou Hémo péritoine) Hépatomégalie ou hypo-ou atrophie hépatique avec lésions cirrhotiques ou nodulaires Dilatation des veines sus hépatiques et la veine cave inférieure Adénomégalie (abdominale profonde, pariétale ou intra parenchymateux)

21 a Echographie b c a) Splénomégalie homogène b) Splénomégalie avec calcifications diffuses et un nodule isolé (VIH Sida) c) Rate poly fragmenté (stade II)

22 Lésion semi kystique post traumatique

23 2) Tomodensitométrie abdominale (TDM): Méthode de seconde intention moins accessible que l échographie (coût, disponibilité de l équipement) Examen avantageux par rapport l échographie.après injection du contraste, il permet de classer les lésions Les malades arrivent tardivement et dans un état critique (instable). Le chirurgien est ténu par le temps perdu et l instabilité du malade s appuie sur les données cliniques et échographiques parfois. b a a Rupture splénique avec important hémopéritoine a) Lésion récente avec Prise de contraste b) Pas de PDC b

24

25 Deux images de ruptures spléniques sur rates saines (H/42 ans et H/40 ans

26 a b Rupture Splénique sur terrain de splénomégalie stade IV ( a) enfant de 11ans b)mr de 46 )

27 Pièce opératoire d un hématome sous capsulaire sur splénomégalie 1680 g de poids

28 LESIONS ANATOMIQUES GRADATION DE L ORGAN INJURY SCALING [Traduit de Moore EE.CogbillTH. Jurkovick.MD et Coll.Organ injury scaling Spleen an liver (1994 révision ) Trauma 1995 :38(3)323-4] Grade I Description des lésions Hématome: Hématome sous capsulaire intéressant moins de 10% la surface splénique Lacération : déchirure capsulaire avec plaie parenchymateuse moins de 1 cm de profondeur II Hématome: Hématome sous capsulaire intéressant 10 à 50% de la surface splénique Hématome intra parenchymateux de moins de 5 cm de diamètre Lacération : déchirure capsulaire avec plaie parenchymateuse de 1 à 3 cm de profondeur III Hématome: Hématome sous capsulaire intéressant plus de 50% de la surface splénique ou expansif Hématome sous capsulaire ou intra capsulaire rompu de 1 cm de profondeur IV Hématome intra parenchymateux Lacération : déchirure intéressant les vaisseaux segmentaires ou hilaires entrainant une dé vascularisation de plus 25 % de la rate V Lacération : Fragmentation splénique complète Lésion vasculaire hilaire avec dé vascularisation splénique totale. Ajouter un grade en cas de lésions multiples jusqu au grade III

29 Nombre et caractéristiques des observations Grade Lésions anatomiques nombre % I Hématome intra parenchymateux ou Déchirure sous capsulaire de 1 cm 12 10% II Hématome sous capsulaire de 10 à 50% lacération sous capsulaire de 1 à 3 cm 9 7,3% III Hématome parenchymateux couvrant 50% de la surface splénique 10 8% IV Lacération avec déchirure des vx segmentaires ou hilaires ,4% V Lacération avec fragmentation splénique Lésion vasculaire hilaire avec dé vascularisation splénique totale 53 43% Patients non classés N ayant pas bénéficié de scanner abdominal ( instabilité du patient, manque de moyens financiers ou refus ) 25 20,3% Total %

30 3) Radiographie conventionnelle Elle est toujours sollicitée dans les cas de traumatisme (accident de la voie publique, chute d arbre et de chantier). Elle a pour but de diagnostiquer les lésions osseuses associées. L Abdomen Sans Préparation est de plus en plus abandonné pour sa faible information

31 Lésions associées 41 lésions spléniques isolées dans les ruptures spontanées, quelques chutes de bagarres. Présentes dans les accidents de la voie publique, chutes d arbre et de chantier -Poly traumatismes: 42 -Fracture des côtes: 02 -Traumatisme crânien: 05 -Traumatisme viscéral: 19 -Lésions du bassin et vertébrale: 03 - Fractures des membres : 10

32 REPARTITION DES CAS SELON L ETIOLOGIE 58 cas de ruptures spléniques par accident de la voie publique (47,1%) ont été dominées par l apparition des motos taxis. 19 cas par jeux et sports (15,4%) sont liés par la brutalité des jeunes générations (consommation de drogue et formation de clans). 16 cas de ruptures par chute d arbre (13%) est liée à l aggravation de la famine et l imprudence infantile. 9 cas de chute dans les chantiers de construction ( 7,3%) témoignant l absence de sécurité ou de protection civile. 8 cas par bagarre (6,5%) s expliqueraient par la cosmopolarité de nos populations et les conflits sociaux quotidiens. 7 cas de ruptures spontanées par paludisme (5,7%), certes taux plus faible par rapport à la réalité. Des milliers de paludéens meurent subitement sans déclaration et sans autopsie en milieu endémique 6 cas d autres causes (4,9%) observés chez les éleveurs et paysans

33

34 Les limites de cette étude sont à plusieurs niveaux : la multiplicité et l association des étiologies des splénomégalies et de ruptures spléniques n ont pas permis d incriminer le paludisme d avantage. Le coût élevé et le nombre limité à 2 scanner s dans le pays, l absence de couverture médicale et la pauvreté du citoyen, ont contribué à limiter fortement le nombre de cas diagnostiqué. La mauvaise tenue des dossiers médicaux (dossiers incomplets et altérés par l humidité). Compte tenu de la gravité de l urgence, bon nombre de patients décèdent sans diagnostic (avant et après la mort) Le manque d information ou d éducation de la population et d une partie du personnel soignant de la gravité de l urgence. Malgré, les conditions de travail difficiles rencontrées, l étude a permis de connaitre la fréquence des splénomégalies et leurs étiologies et les complications hémorragiques. Dans les pays développés, où toute l imagerie est au complet, les malades sont assurés et reçus après l accident, les médecins compétents travaillent par Equipe pour conclure à un diagnostic de rupture splénique. Contrairement dans notre situation ou toutes les données du problème sont soit absentes ou fausses, il suffit d avoir un bon clinicien, un radiologue expérimenté et un échographe moyen pour une prise en charge correcte d un malade avec rupture de la rate. Nos résultats sont comparables à ceux à

35

36 Le traitement classique des traumatismes spléniques fermés dépend de l état hémodynamique du patient -Traitement non chirurgical : repos absolu au lit et une observation médicale stricte -Traitement Chirurgical (splénoraphie, splénectomie). Chirurgie conservatrice réalisée sur la rate saine. Splénectomie : grosses rates et patient instable NB: tous les malades ont reçu d Antibiotique ( ampicilline et ) du métronidazol en perfusion pendant l hospitalisation.

37 EVOLUTION Splénoraphie 6 cas Splénectomie 117 cas. Guérisons complètes 85 cas. Infections post splénectomie 13 cas. Décès 8 cas. Porter disparu après cicatrisation de la plaie 11 cas

38

39 En milieu tropical, toute splénomégalie est pathologique. La splénomégalie de la forme chronique du paludisme associée à plusieurs pathologies et à des facteurs de risques ont augmenté les complications hémorragiques de la splénomégalie Le développement limité de l imagerie et son coût onéreux dans notre pays constituent un frein pour l amélioration de la prise en charge et la diminution de la mortalité des complications hémorragiques de la rate. Néanmoins ; elle a intervenu efficacement pour la prise de décision thérapeutique et la classification des lésions spléniques.

40

41 1. FRANK H.Netter,MD Atlas d Anatomie Humaine 4 ème Edition m.masson:2007, planche MAETELOet al.(1969) Rupture of the spleen ; World health organization Vol.80 (supplement) 1986; pp Haan JM et al. Nonoperative management of bluntsplenic injury: are we getting better? J Trauma 2006 ;61: Fernando KEMTA et al. Splénomégalie Fondation LEKPA Jean Bernard 5. Arvieux C. Traumatisme splénique :prise en charge et surveillance.reférentiel de l AFC n Richardson JD.Changes in the management of injuries to the Liver and Spleen J.Am.coll. Surgy : 2005; MP Federle et al.:abdominal ; Elsevier, 2004, 922p 8. ANNE Marie et coll. Pole Anesthésie et Réanimation.Protocole de prise en charge des traumatismes spléniques M.Mattei Garagnes et all., Urgences abdominales traumatiques,radiodiagnostic IV.Appareil digestif ; 2005:33-705

42 POINTS FORTS cas de splénomégalies cas de traumatisme de la rate 3. Splénectomie d une rate de 2000 g 4. Diversité des étiologies des splénomégalies 5. L apport de nouvelles causes de rupture splénique (bagarre, chute d arbre et de chantier) 6. Mauvaises pratiques traditionnelles et croyances pouvant augmenter les cas de ruptures 7. L échographie : l usage de la sonde superficielle (5,5 à 12 MHz) pour des micros lésions spléniques souvent invisibles avec la sonde 3,5 à 5,0MHz. 8. Faible pourcentage de décès et d infection post splénectomie.

43 QCM 1. Pour réduire le fléau de rupture splénique dans notre sous région, des nouvelles dispositions sont proposées à l Assemblée nationale. SVP participez à ce vote par un OUI en tenant compte de l efficacité et la faisabilité des dispositions : a) Limitation des vitesses des engins roulants en ville(sécurité routière) b) Protection civile par les sociétés de construction c) Vaccination de la population contre le paludisme d) Surveillances des plantations en période de récolte des fruits e) Aménager des terrains de jeux et de sports 2. Vu la fréquence des splénomégalies ; mettez une CROIX sur les 5 principales étiologies VIH SIDA Association de pathologies Drépanocytose Cancers primitifs du foie Cardiopathies Lymphome Cirrhose hépatique Poly parasitose Paludisme Leucémie Anémie 3. Connaissant la fréquence des ruptures spléniques et les complications infectieuses des splénectomies, COCHEZ l attitude thérapeutique la plus adaptée devant chaque cas clinique: N Cas clinique Traitement proposé 1 Splénomégalie stade II avec hématome sous capsulaire sans hémopéritoine a) Repos strict au lit b) Splénoraphie c) Splénectomie 2 Splénomégalie stade IV avec une plaie Parenchymateuse de 3 cm de profondeur a) Repos strict au lit b) Splénoraphie c) Splénectomie

LES CONTUSIONS DU REIN

LES CONTUSIONS DU REIN LES CONTUSIONS DU REIN Table des matières Table des matières 3 I - Épidémiologie 9 II - Mécanismes lésionnels 11 A. 1. Choc direct...11 B. 2. Lésions indirectes...11 C. 3. Plaies pénétrantes...11 D. 4.

Plus en détail

Leucémies de l enfant et de l adolescent

Leucémies de l enfant et de l adolescent Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE

Plus en détail

Accidents des anticoagulants

Accidents des anticoagulants 30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER

Plus en détail

Apport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales

Apport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales Apport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales A propos de 35cas L.Derouich, N.El Benna, N.Moussali, A.Gharbi, A.Abdelouafi Service de Radiologie Hôpital 20 Aout CHU Ibn Roch Casablanca Maroc plan

Plus en détail

Collection Soins infirmiers

Collection Soins infirmiers Collection Soins infirmiers Une production du Université de Caen Basse-Normandie Traumatologie : traitements des fractures Dr. J-P de ROSA CH. AVRANCHES-GRANVILLE Fractures diagnostic 2 Fractures-diagnostic

Plus en détail

Conduite à tenir devant une morsure de chien (213b) Professeur Jacques LEBEAU Novembre 2003 (Mise à jour mars 2005)

Conduite à tenir devant une morsure de chien (213b) Professeur Jacques LEBEAU Novembre 2003 (Mise à jour mars 2005) Conduite à tenir devant une morsure de chien (213b) Professeur Jacques LEBEAU Novembre 2003 (Mise à jour mars 2005) Pré-Requis : Anatomie faciale Principes de traitement des plaies Principes d'antibiothérapie

Plus en détail

TVP fémorale. Systématisation. La TVP : écho-doppler JP Laroche Unité de Médecine Vasculaire CHU Montpellier. Thrombus mobile

TVP fémorale. Systématisation. La TVP : écho-doppler JP Laroche Unité de Médecine Vasculaire CHU Montpellier. Thrombus mobile Systématisation VCI Fémorale Superf. 3/4 Iliaque Poplitée La TVP : écho-doppler JP Laroche Unité de Médecine Vasculaire CHU Montpellier Mars 2015 Fémorale Sural Difficultés et Pièges: écho-doppler Veineux

Plus en détail

TRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir?

TRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir? TRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir? H Le Hors-Albouze Urgences pédiatriques Timone enfants Marseille Traumatismes crâniens (TC) de l enfant Grande fréquence même si incidence réelle mal

Plus en détail

TECHNIQUES D AVENIR LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING

TECHNIQUES D AVENIR LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING TECHNIQUES D AVENIR Jonathan LONDNER, Aurélie HAUTIER Centre Régional de Traitement des Grands Brûlés Service de chirurgie Plastique, Hôpital de la Conception, Marseille. DIAGNOSTIC DÉTERSION BOURGEONNEMENT

Plus en détail

G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané

G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre mélanome cutané Mars 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le mélanome

Plus en détail

Traitement des plaies par pression négative (TPN) : des utilisations spécifiques et limitées

Traitement des plaies par pression négative (TPN) : des utilisations spécifiques et limitées BON USAGE DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ Traitement des plaies par pression négative (TPN) : des utilisations spécifiques et limitées Les systèmes de traitement des plaies par pression négative (TPN) sont des

Plus en détail

Compte rendu d hospitalisation hépatite C. À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie

Compte rendu d hospitalisation hépatite C. À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie Compte rendu d hospitalisation hépatite C À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS HOPITAL DU BON SECOURS Service d HEPATHOLOGIE du Professeur

Plus en détail

Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés

Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés - décembre 2009 - CARCINOMES BASOCELLULAIRES La chirurgie : traitement de référence et de 1 ère intention Classification clinique et histologique

Plus en détail

La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène

La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène 1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients

Plus en détail

Résultat du traitement de la varicocèle chez l'adolescent par l'association coils-sclérosants.

Résultat du traitement de la varicocèle chez l'adolescent par l'association coils-sclérosants. Résultat du traitement de la varicocèle chez l'adolescent par l'association coils-sclérosants. P. Fajadet, L. Carfagna, O. Loustau, J. Vial, J. Moscovici, J.J. Railhac, N. Sans. Radiologie Interventionnelle

Plus en détail

Artéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques

Artéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques Artéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques T Smayra, L Menassa-Moussa, S Slaba, M Ghossain, N Aoun Hôtel-Dieu de France, Université

Plus en détail

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86 LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT

Plus en détail

SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES

SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES Dr Virginie NAEL Service de Santé au travail du personnel hospitalier CHU Nantes 44èmes journées FMC ANMTEPH / SOHF - Lausanne - Septembre

Plus en détail

Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie

Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie Bull. Acad. Natle Chir. Dent., 2007, 50 113 Commission de l exercice professionnel et Groupe de réflexion Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie

Plus en détail

L hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015

L hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015 L hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015 Objectifs de la présentation Décrire l évolution clinique et la prise en charge d

Plus en détail

Item 182 : Accidents des anticoagulants

Item 182 : Accidents des anticoagulants Item 182 : Accidents des anticoagulants COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Cruralgie par hématome

Plus en détail

Gastric Bypass, Mini-Gastric Bypass et Sleeve Gastrectomy

Gastric Bypass, Mini-Gastric Bypass et Sleeve Gastrectomy Service de Chirurgie Viscérale Centre Hospitalier de Saint Malo Gastric Bypass, Mini-Gastric Bypass et Sleeve Gastrectomy Chère Patiente, Cher Patient, Vous devez être opéré(e) en raison de votre forte

Plus en détail

Transplantation hépatique à donneur vivant apparenté. Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin

Transplantation hépatique à donneur vivant apparenté. Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin Transplantation hépatique à donneur vivant apparenté Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin Introduction Le prélèvement d une partie du foie chez une personne «vivante» et apparentée

Plus en détail

Nous avons tous un don qui peut sauver une vie. D e v e n i r. donneur de moelle. osseuse

Nous avons tous un don qui peut sauver une vie. D e v e n i r. donneur de moelle. osseuse Nous avons tous un don qui peut sauver une vie D e v e n i r donneur de moelle osseuse Pourquoi s inscrire comme donneur de moelle osseuse? Pour des personnes atteintes de maladies graves du sang, la greffe

Plus en détail

IRM du Cancer du Rectum

IRM du Cancer du Rectum IRM du Cancer du Rectum quels CHOIX TECHNIQUES pour quels OBJECTIFS THERAPEUTIQUES? Frank Boudghène, T. Andre, A. Stivalet, I. Frey, L. Paslaru, V. Ganthier, M. Tassart Hopital Tenon - Université Paris

Plus en détail

Bulletin n 10 2014. Cher adhérent, cher donateur,

Bulletin n 10 2014. Cher adhérent, cher donateur, Bulletin n 10 2014 Cher adhérent, cher donateur, La maladie crée souvent une situation de stress aussi il nous a semblé nécessaire de préciser les différentes étapes du parcours de soins afin de faciliter

Plus en détail

Carte de soins et d urgence

Carte de soins et d urgence Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase

Plus en détail

ALLOGREFFE DE CELLULES SOUCHES HEMATOPOÏETIQUES (CSH) CHEZ 26 PATIENTS ATTEINTS DE β THALASSEMIES MAJEURES

ALLOGREFFE DE CELLULES SOUCHES HEMATOPOÏETIQUES (CSH) CHEZ 26 PATIENTS ATTEINTS DE β THALASSEMIES MAJEURES ALLOGREFFE DE CELLULES SOUCHES HEMATOPOÏETIQUES (CSH) CHEZ 26 PATIENTS ATTEINTS DE β THALASSEMIES MAJEURES R. Belhadj, R.Ahmed Nacer, F.Mehdid, M.Benakli, N.Rahmoune, M.Baazizi, F. Kaci, F.Harieche, F.Zerhouni,

Plus en détail

ASPECT ECHOGRAPHIQUE NORMAL DE LA CAVITE UTERINE APRES IVG. Dr D. Tasias Département de gynécologie, d'obstétrique et de stérilité

ASPECT ECHOGRAPHIQUE NORMAL DE LA CAVITE UTERINE APRES IVG. Dr D. Tasias Département de gynécologie, d'obstétrique et de stérilité Hôpitaux Universitaires de Genève ASPECT ECHOGRAPHIQUE NORMAL DE LA CAVITE UTERINE APRES IVG Dr D. Tasias Département de gynécologie, d'obstétrique et de stérilité Introduction (1) L IVG chirurgicale est

Plus en détail

Incontinence anale du post-partum

Incontinence anale du post-partum Incontinence anale du post-partum Laurent Abramowitz Unité de proctologie médico-chirurgicale de l hôpital Bichat, Paris Et cabinet libéral Prévalence Inc anale France (1) : 11% > 45 ans Damon et al (2):Pop

Plus en détail

LE SYNDROME DE BUDD CHIARI

LE SYNDROME DE BUDD CHIARI CENTRE DE REFERENCE DES MALADIES VASCULAIRES DU FOIE (C.R.M.V.F.) Hôpital Beaujon 100 bd du Général Leclerc 92110 Clichy Service d Hépatologie Pavillon Abrami (consultation) Pavillon Sergent (hospitalisation)

Plus en détail

Etablissement Français du Sang

Etablissement Français du Sang Etablissement Français du Sang LE LIEN ENTRE LA GÉNÉROSITÉ DES DONNEURS DE SANG ET LES BESOINS DES MALADES Document de préparation à l entretien médical préalable au don de sang Partie médicale La sécurité

Plus en détail

Don de moelle osseuse. pour. la vie. Agence relevant du ministère de la santé. Agence relevant du ministère de la santé

Don de moelle osseuse. pour. la vie. Agence relevant du ministère de la santé. Agence relevant du ministère de la santé Don de moelle osseuse Engagez-VOUS pour la vie 1 Pourquoi devenir veilleur de vie? Le don de moelle osseuse peut sauver des vies La greffe de moelle osseuse représente une chance importante de guérison

Plus en détail

le guide DON D ORGANES : DONNEUR OU PAS, je sais pour mes proches, ils savent pour moi L Agence de la biomédecine

le guide DON D ORGANES : DONNEUR OU PAS, je sais pour mes proches, ils savent pour moi L Agence de la biomédecine le guide L Agence de la biomédecine L Agence de la biomédecine est un établissement public national de l État créé par la loi de bioéthique de 2004. Elle exerce ses missions dans les domaines du prélèvement

Plus en détail

Hépatite C une maladie silencieuse..

Hépatite C une maladie silencieuse.. Hépatite C une maladie silencieuse.. F. Bally Centre de Maladies Infectieuses et Epidémiologie Institut Central des Hôpitaux Valaisans Histoire Années 70 Hépatite non-a-non-b = hépatite post-transfusionelle

Plus en détail

ANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER

ANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER ANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER Dr Michael Hummelsberger, Pr Jean-Gabriel Fuzibet, Service de Médecine Interne, Hôpital l Archet, CHU Nice 1. ANEMIE L étiologie de l anémie

Plus en détail

MANUEL DE CHIRURGIE PÉDIATRIQUE (chirurgie viscérale) Année 1998

MANUEL DE CHIRURGIE PÉDIATRIQUE (chirurgie viscérale) Année 1998 Collège Hospitalo-Universitaire de Chirurgie Pédiatrique MANUEL DE CHIRURGIE PÉDIATRIQUE (chirurgie viscérale) Année 1998 TRAUMATISMES DE L ABDOMEN. J.M. GUYS INTRODUCTION I - LE MECANISME DES LESIONS

Plus en détail

La drépanocytose. Sikkelcelziekte (Frans)

La drépanocytose. Sikkelcelziekte (Frans) La drépanocytose Sikkelcelziekte (Frans) Qu est-ce que la drépanocytose? La drépanocytose est une maladie causée par un changement héréditaire du pigment rouge dans les globules rouges : l hémoglobine.

Plus en détail

Don d organes et mort cérébrale. Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper

Don d organes et mort cérébrale. Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper Don d organes et mort cérébrale Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper La mort cérébrale Cessation irréversible de toute fonction cérébrale

Plus en détail

L ACCÈS VEINEUX DE COURTE DURÉE CHEZ L ENFANT ET LE NOUVEAU-NÉ

L ACCÈS VEINEUX DE COURTE DURÉE CHEZ L ENFANT ET LE NOUVEAU-NÉ L ACCÈS VEINEUX DE COURTE DURÉE CHEZ L ENFANT ET LE NOUVEAU-NÉ Plan de la présentation Introduction L enfant Le cathéter court La voie veineuse centrale La voie intra-osseuse Plan de la présentation Le

Plus en détail

La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence

La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence Nathalie Bourdages, inf., B. Sc., conseillère en soins infirmiers, Direction des soins infirmiers et des regroupement clientèles, Centre hospitalier de

Plus en détail

Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT

Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT ANAMACaP Association Nationale des Malades du Cancer de la Prostate 17, bis Avenue Poincaré. 57400 SARREBOURG Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT Place des nouvelles techniques d imagerie

Plus en détail

Généralités sur fractures, luxation et entorses

Généralités sur fractures, luxation et entorses Généralités sur fractures, luxation et entorses JP. MARCHALAND HIA Bégin Saint-Mandé I- Définitions PLAN II- Consolidation des fractures III- Etiologie IV- Etude anatomique V- Signes cliniques et radiographiques

Plus en détail

dossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s

dossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s dossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours lat ransplantation hépatique p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s Contact presse Anne-Karen Nancey - Direction de la communication

Plus en détail

N o de contrat : Je demande par la présente une révision de la surprime concernant le numéro de contrat susmentionné. Signé à ce jour de 20

N o de contrat : Je demande par la présente une révision de la surprime concernant le numéro de contrat susmentionné. Signé à ce jour de 20 RÉVISION DE SURPRIME Nom : Prénom : Date de naissance : - - Année Mois Jour N o de contrat : Je demande par la présente une révision de la surprime concernant le numéro de contrat susmentionné. Signé à

Plus en détail

Vous intervenez en équipage SMUR sur un accident de la voie publique : à votre arrivée sur les lieux, vous trouvez un homme d environ 30 ans au sol à

Vous intervenez en équipage SMUR sur un accident de la voie publique : à votre arrivée sur les lieux, vous trouvez un homme d environ 30 ans au sol à Vous intervenez en équipage SMUR sur un accident de la voie publique : à votre arrivée sur les lieux, vous trouvez un homme d environ 30 ans au sol à plat dos, inconscient Glasgow 3, à 20 mètres d une

Plus en détail

Le GRAND CONSEIL de la République et canton de Genève décrète ce qui suit :

Le GRAND CONSEIL de la République et canton de Genève décrète ce qui suit : Secrétariat du Grand Conseil PL 10267 Projet présenté par le Conseil d Etat Date de dépôt: 22 mai 2008 Projet de loi ouvrant un crédit au titre d'indemnité cantonale d'investissement de 3 000 000 F, pour

Plus en détail

FICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION

FICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION FICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION Madame, Monsieur, Si votre état de santé nécessite une transfusion sanguine, ce document est destiné à vous informer sur les avantages et les risques de la transfusion,

Plus en détail

Dracunculose Association Française des Enseignants de Parasitologie et Mycologie (ANOFEL)

Dracunculose Association Française des Enseignants de Parasitologie et Mycologie (ANOFEL) Dracunculose Association Française des Enseignants de Parasitologie et Mycologie (ANOFEL) 2014 1 Table des matières Introduction... 3 1. Historique et actualité... 3 2. Agent pathogène et cycle... 4 3.

Plus en détail

G U I D E P A T I E N T - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge du cancer du foie

G U I D E P A T I E N T - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge du cancer du foie G U I D E P A T I E N T - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge du cancer du foie Décembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer

Plus en détail

Tout ce qu il faut savoir sur le don de moelle osseuse

Tout ce qu il faut savoir sur le don de moelle osseuse Tout ce qu il faut savoir sur le don de moelle osseuse 1. La moelle osseuse : un rôle vital pour le corps humain Page 2/23 1.1. Qu est ce que la moelle osseuse? La moelle osseuse est indispensable à la

Plus en détail

Le test de dépistage qui a été pratiqué à la

Le test de dépistage qui a été pratiqué à la élever CommenT UN enfant ayant une drépanocytose Q Le test de dépistage qui a été pratiqué à la maternité vient de révéler que votre bébé est atteint de drépanocytose. Aujourd hui, votre enfant va bien,

Plus en détail

1 of 5 02/11/2012 14:03

1 of 5 02/11/2012 14:03 1 of 5 02/11/2012 14:03 Le cancer du chat par Sandrine Cayet, docteur-vétérinaire Le cancer chez le chat n est pas une fatalité. Un cancer chez le chat, c est comme chez l homme, ça se diagnostique, ça

Plus en détail

DON DE SANG. Label Don de Soi

DON DE SANG. Label Don de Soi DON DE SANG Label Don de Soi 2015 SOMMAIRE Les différents types de dons p.3 Le don de sang total Le don de plasma Le don de plaquettes Le don de moelle osseuse Que soigne-t-on avec un don de sang? p.7

Plus en détail

Le don de moelle osseuse

Le don de moelle osseuse Le don de moelle osseuse Enfant, je rêvais de sauver des vies. Aujourd hui, je le fais. Grande cause nationale 2009 Olivier, 4 ans Olivier, 32 ans Établissement relevant du ministère de la santé Le don

Plus en détail

Principales causes de décès selon le groupe d âge. 0 24 25 44 45 64 65 84 85 et plus

Principales causes de décès selon le groupe d âge. 0 24 25 44 45 64 65 84 85 et plus Module 2 Exercice 1: Cellules souches hématopoïétiques 1. Causes de décès en Suisse (2010) La figure suivante montre les causes de décès les plus fréquentes en Suisse en 2010, telles qu elles ont été relevées

Plus en détail

LA CHOLÉCYSTECTOMIE PAR LAPAROSCOPIE

LA CHOLÉCYSTECTOMIE PAR LAPAROSCOPIE LA CHOLÉCYSTECTOMIE PAR LAPAROSCOPIE Une technique chirurgicale Pour vous, pour la vie Qu est-ce que la cholécystectomie? C est l intervention chirurgicale pratiquée pour enlever la vésicule biliaire.

Plus en détail

Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin

Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca MALADIE DE HODGKIN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du

Plus en détail

MIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC

MIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC MIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC SOMMAIRE UN QUIZ POUR FAIRE UN POINT SUR MES CONNAISSANCES Un quiz pour faire un point sur mes connaissances 3 Vrai Faux Qu est-ce que l on

Plus en détail

Vers une approche managériale des tarifs T2A

Vers une approche managériale des tarifs T2A Vers une approche managériale des tarifs T2A Contribution de CAHPP Consultant Juin 2013 Page 1 sur 35 SOMMAIRE SOMMAIRE... Page 2 PRÉAMBULE... Page 3 PARTIE I : MÉTHODOLOGIE... Page 5 PARTIE II : IMPACT

Plus en détail

Traitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée

Traitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée Traitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée Etude rétrospective de 45 cas Didier MAINARD, Jérôme DILIGENT Service de Chirurgie Orthopédique,

Plus en détail

Marchés des groupes à affinités

Marchés des groupes à affinités Marchés des groupes à affinités Guide du produit destiné aux conseillers Régime d assurance maladies graves Chèque-vie MD de base La Compagnie d Assurance-Vie Manufacturers Le produit en bref Nul n aime

Plus en détail

HTA et grossesse. Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice

HTA et grossesse. Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice HTA et grossesse Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice Définition HTA gravidique: Après 20 SA Systole> 140mmHg et/ou Diastole>90mmHg A 2 reprises séparées de plus de 6 heures Résolutive

Plus en détail

Décidezvous. Sinon, vos proches devront le faire pour vous. Informations sur le don d organes, de tissus et de cellules en cas de décès.

Décidezvous. Sinon, vos proches devront le faire pour vous. Informations sur le don d organes, de tissus et de cellules en cas de décès. Informations sur le don d organes, de tissus et de cellules en cas de décès. Décidezvous. Sinon, vos proches devront le faire pour vous. Le court-métrage sur le sujet transplantinfo.ch Vous pouvez être

Plus en détail

LA HERNIE DISCALE LOMBAIRE

LA HERNIE DISCALE LOMBAIRE Feuillet d'information complémentaire à l attention du patient LA HERNIE DISCALE LOMBAIRE Madame, Monsieur, Suite aux examens, une hernie discale au niveau du rachis lombaire a été diagnostiquée, il faudrait

Plus en détail

Observation. Merci à l équipe de pharmaciens FormUtip iatro pour ce cas

Observation. Merci à l équipe de pharmaciens FormUtip iatro pour ce cas Cas clinique M. ZAC Observation Mr ZAC ans, 76 ans, 52 kg, est admis aux urgences pour des algies fessières invalidantes, résistantes au AINS. Ses principaux antécédents sont les suivants : une thrombopénie

Plus en détail

www.dondemoelleosseuse.fr

www.dondemoelleosseuse.fr Agence relevant du ministère de la santé www.dondemoelleosseuse.fr 01 Pourquoi devenir Veilleur de Vie? Le don de moelle osseuse peut sauver des vies. Chaque année, des milliers de personnes - enfants

Plus en détail

Maladies et Grands Syndromes : Angiomes (223) Professeur Guy Magalon Juin 2005

Maladies et Grands Syndromes : Angiomes (223) Professeur Guy Magalon Juin 2005 Maladies et Grands Syndromes : Angiomes (223) Professeur Guy Magalon Juin 2005 1. Définition Les angiomes sont des tumeurs très fréquentes. La définition de TOURAINE rend parfaitement compte de la complexité

Plus en détail

Le guide. pour tout comprendre. Agence relevant du ministère de la santé

Le guide. pour tout comprendre. Agence relevant du ministère de la santé DON D ORGANES, IL SUFFIT DE LE DIRE. MAINTENANT. Le guide pour tout comprendre Agence relevant du ministère de la santé La greffe D organes comment s y prendre? des vies La greffe d organes est un acte

Plus en détail

La gestion des risques en hygiène hospitalière

La gestion des risques en hygiène hospitalière La gestion des risques en hygiène hospitalière Rappels des fondamentaux Dr J-L. Quenon Comité de Coordination de l Évaluation Clinique et de la Qualité en Aquitaine Séminaire de la SF2H, 19 novembre 2013,

Plus en détail

Laurence LEGOUT, Michel VALETTE, Henri MIGAUD, Luc DUBREUIL, Yazdan YAZDANPANAH et Eric SENNEVILLE

Laurence LEGOUT, Michel VALETTE, Henri MIGAUD, Luc DUBREUIL, Yazdan YAZDANPANAH et Eric SENNEVILLE Laurence LEGOUT, Michel VALETTE, Henri MIGAUD, Luc DUBREUIL, Yazdan YAZDANPANAH et Eric SENNEVILLE Service Régional Universitaires des Maladies Infectieuses et du Voyageur, Hôpital Gustave Dron 59208 TOURCOING

Plus en détail

CRITERES DE REMPLACEMENT

CRITERES DE REMPLACEMENT ANATOMIE ET CYTOLOGIE PATHOLOGIQUES - 7 semestres dans des services agréés pour le DES d anatomie et cytologie pathologiques, dont au moins 5 doivent être accomplis dans des services hospitalouniversitaires

Plus en détail

Tuméfaction douloureuse

Tuméfaction douloureuse Santé bucco-dentaire Médecin de 1 er recours et problèmes dentaires fréquents Dre May SALMAN, médecin dentiste HUG Dr Jean-Pierre RIEDER, médecin interniste HUG Plan de présentation Santé bucco-dentaire

Plus en détail

LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B

LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B Actualisation février 2009 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication

Plus en détail

Quel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques?

Quel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques? Quel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques? L Fournier, D Balvay, CA Cuénod Service de radiologie, Hôpital Européen Georges Pompidou Laboratoire de Recherche en Imagerie, Equipe

Plus en détail

B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs

B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs B06-1 B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs L ischémie aiguë est une interruption brutale du flux artériel au niveau d un membre entraînant une ischémie tissulaire. Elle constitue

Plus en détail

AMAMI Anaïs 3 C LORDEL Maryne. Les dons de cellules & de tissus.

AMAMI Anaïs 3 C LORDEL Maryne. Les dons de cellules & de tissus. AMAMI Anaïs 3 C LORDEL Maryne Les dons de cellules & de tissus. Introduction : Une greffe (don) de cellules consiste à administrer à un patient dont un organe vital ne fonctionne plus correctement, une

Plus en détail

La version électronique fait foi

La version électronique fait foi Page 1/6 Localisation : Classeur VERT Disponible sur Intranet A revoir : 10/2015 Objet : La présente procédure a pour objet de décrire les responsabilités et les principes pour la réalisation des prélèvements.

Plus en détail

Lymphome non hodgkinien

Lymphome non hodgkinien Lymphome non hodgkinien Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca LYMPHOME NON HODGKINIEN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du cancer presque

Plus en détail

INSUFFISANCE CARDIAQUE DROITE Dr Dassier HEGP

INSUFFISANCE CARDIAQUE DROITE Dr Dassier HEGP INSUFFISANCE CARDIAQUE DROITE Dr Dassier HEGP I Définition L'insuffisance cardiaque droite (IVD) se traduit par une augmentation des pressions de remplissage télédiastolique du ventricule droit (VD). Le

Plus en détail

Sang, plasma, plaquettes...

Sang, plasma, plaquettes... Guide des dons Sang, plasma, plaquettes... et vous, que donnerez-vous? Le don de sang, un geste incontournable En donnant votre sang, vous aidez par exemple une femme qui a perdu beaucoup de sang lors

Plus en détail

Chirurgie assistée par robot et laparoscopie en 3D à l avantage des patients?

Chirurgie assistée par robot et laparoscopie en 3D à l avantage des patients? HigHligHts 2012: CHiRURgiE Chirurgie assistée par robot et laparoscopie en 3D à l avantage des patients? Lukasz Filip Grochola a, Hubert John b, Thomas Hess c, Stefan Breitenstein d a Clinique de chirurgie

Plus en détail

Définition de l Infectiologie

Définition de l Infectiologie Définition de l Infectiologie Discipline médicale clinique Spécialisée. Prise en charge des Maladies Infectieuses et Tropicales. Actuelles, émergentes ou ré-émergentes. Référents dans le cadre d un maillage

Plus en détail

Diagnostic des Hépatites virales B et C. P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux

Diagnostic des Hépatites virales B et C. P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux Diagnostic des Hépatites virales B et C P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux Diagnostic VHC Dépistage: pourquoi? Maladie fréquente (Ac anti VHC chez 0,84% de la population soit 367 055

Plus en détail

Recommandations 2005. Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO

Recommandations 2005. Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO Recommandations 2005 Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO Recommandations pour la Pratique Clinique : Standards, Options et Recommandations 2005 pour la prise en charge

Plus en détail

GHUPC Projet de transformation du site Hôtel Dieu. Pr S CHAUSSADE, Dr I. FERRAND

GHUPC Projet de transformation du site Hôtel Dieu. Pr S CHAUSSADE, Dr I. FERRAND GHUPC Projet de transformation du site Hôtel Dieu Pr S CHAUSSADE, Dr I. FERRAND PREAMBULE - Déçisions du directoire de l APHP : 1) le site de l HTD ne serait pas fermé 2) le site de l HTD ne serait pas

Plus en détail

Les Infections Associées aux Soins

Les Infections Associées aux Soins Les Infections Associées aux Soins Dr Catherine Sartor EOH Conception Assistance Publique Hôpitaux de Marseille Ecole IFSI, Marseille, 12 septembre 2014 Définitions 2007 Infection Nosocomiale (IN) 1999

Plus en détail

L arthrose, ses maux si on en parlait!

L arthrose, ses maux si on en parlait! REF 27912016 INFORMER UPSA BROCH ARTHROSE V2 08-12.indd 2 30/08/12 11:48 Qu est-ce que l arthrose? L arthrose est une maladie courante des articulations dont la fréquence augmente avec l âge. C est une

Plus en détail

Cette intervention aura donc été décidée par votre chirurgien pour une indication bien précise.

Cette intervention aura donc été décidée par votre chirurgien pour une indication bien précise. Qu est-ce qu une arthroscopie? Il s agit d une intervention chirurgicale mini-invasive dont le but est d explorer l articulation du genou et de traiter la lésion observée dans le même temps. Comment se

Plus en détail

DOSSIER DE PRESSE OUVERTURE DU NOUVEL HOPITAL DE CANNES. Service Communication Tel. 04 93 69 75 70 Fax 04 93 69 70 09 Email : a.helbert@ch-cannes.

DOSSIER DE PRESSE OUVERTURE DU NOUVEL HOPITAL DE CANNES. Service Communication Tel. 04 93 69 75 70 Fax 04 93 69 70 09 Email : a.helbert@ch-cannes. Service Communication Tel. 04 93 69 75 70 Fax 04 93 69 70 09 Email : a.helbert@ch-cannes.fr DOSSIER DE PRESSE OUVERTURE DU NOUVEL HOPITAL DE CANNES Crédit Photo : Nicolas MASSON Cannes, le 6 avril 2011

Plus en détail

LES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S

LES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S LES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S INTRODUCTION La lombalgie est un symptôme fréquent avec une prévalence

Plus en détail

Equipe de Direction : -Docteur Christine BOURDEAU Responsable médical. - Annie PAPON Cadre responsable

Equipe de Direction : -Docteur Christine BOURDEAU Responsable médical. - Annie PAPON Cadre responsable Equipe de Direction : -Docteur Christine BOURDEAU Responsable médical - Annie PAPON Cadre responsable 1 AFGSU Niveau 1 page 4 AFGSU Niveau 2 page 5 AFGSU face aux risques NRBC page 6 Recyclage AFGSU Niveau

Plus en détail

Donneur ou pas... Pourquoi et comment je le dis à mes proches.

Donneur ou pas... Pourquoi et comment je le dis à mes proches. L Agence de la biomédecine DON D ORGANES le guide L Agence de la biomédecine, qui a repris les missions de l Etablissement français des Greffes, est un établissement public national de l Etat créé par

Plus en détail

Greffe de moelle osseuse: Guérir ou se soigner?

Greffe de moelle osseuse: Guérir ou se soigner? Greffe de moelle osseuse: Guérir ou se soigner? Malika Benkerrou Site de référence pédiatrique national sur la drépanocytose Hôpital Robert Debré, Paris 3èmes Journées de la Drépanocytose en Martinique

Plus en détail

LASER DOPPLER. Cependant elle n est pas encore utilisée en routine mais reste du domaine de la recherche et de l évaluation.

LASER DOPPLER. Cependant elle n est pas encore utilisée en routine mais reste du domaine de la recherche et de l évaluation. LASER DOPPLER INTRODUCTION La technique qui utilise l effet Doppler à partir d un faisceau laser est l une des seules qui permette d enregistrer en continu le reflet de la perfusion superficielle de tissus

Plus en détail

Consignes de remplissage - Grille de recueil - Thème DAN2

Consignes de remplissage - Grille de recueil - Thème DAN2 Généralisation 2014 d un recueil d indicateurs pour l amélioration de la qualité et de la sécurité des soins dans les établissements de santé de soins de courte durée Consignes de remplissage - Grille

Plus en détail

QUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE?

QUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE? QUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE? Vous allez être opéré(e) à la clinique Saint-pierre d une fistule anale par l équipe chirurgicale des docteurs Bardou, Ben brahem

Plus en détail

DENSITOMÉTRIE OSSEUSE : CE QUE LE RADIOLOGUE DOIT SAVOIR

DENSITOMÉTRIE OSSEUSE : CE QUE LE RADIOLOGUE DOIT SAVOIR DENSITOMÉTRIE OSSEUSE : CE QUE LE RADIOLOGUE DOIT SAVOIR C Andreux et F L Huillier H Guerini, A Feydy, X Poittevin, F Thevenin, R Campagna, JL Drapé, A Chevrot Hôpital COCHIN, Paris, France OBJECTIF Proposer

Plus en détail

Le système de santé au Cambodge

Le système de santé au Cambodge Le système de santé au Cambodge Actualisation au 3 mai 2006 MINEFI DGTPE Prestation réalisée sous système de management de la qualité certifié AFAQ ISO 9001 INDICATEURS DE SANTE Les infrastructures sanitaires

Plus en détail