Report sur le voyage de reconnaissance

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1 Report sur le voyage de reconnaissance Ingenieure ohne Grenzen e.v. (IoG) Pilotage du projet: Matthias Breitwieser, Robin Grab, Benedikt Heudorfer Organisation partenaire haïtienne: Haïti Projet Education e.v. (HPE) Contact: Equipe du voyage: Robin Grab, Sarah Röttinger, Lukas Kleine Contact: Données du problème - résumé Le projet concerne l alimentation en eau des villages Duverger et Tête l Étang. Dans la région l eau saumâtre est utilisée pour laver et nettoyer, pour faire boire les bêtes ou pour l arrosage des jardins. Cependant, pour boire, cuisiner ou le soin corporel on nécessite de l eau contenant moins de sel. En ce moment, pour les gens dans les deux villages c est seulement possible avec un transport de l eau compliqué et cher. Tandis que la quantité de l eau douce est faible, la qualité de l eau qui est utilisée pour boire est suffisante. L eau de source qui vient de la «Source Pia» par la conduite d eau possède seulement une faible concentration en germe. En plus, la majorité de la population utilise des moyens chimiques pour purifier l eau ou achète l eau potable dans des bouteilles. Les eaux de rivières ne jouent pas de rôle pour l alimentation de la population, en majorité l eau de source est utilisée. Date du voyage de reconnaissance Le voyage a commencé le 10 mars 2015 et a duré jusqu'au 07 avril 2015.

2 Déroulement du voyage Le début de notre voyage de reconnaissance était marqué par une excursion de deux jours à une localité dénommée Hinche, on est accompagné par des représentants de notre partenaire HPE et des habitants sélectionnés des villages de Tête L'Étang et Duverger. Nous avons visité premièrement un projet sur le thème de l'agroécologie, et deuxièmement un autre projet avec plusieurs lacs collinaires endigués artificiellement avec le but de stocker l'eau des pluies pour l'utiliser pour l'arrosage agricultural. Cette excursion-là a été financée avec des ressources de projet d'isf et visait entre autres à l'éducation et la motivation des habitants de Tête L'Étang et Duverger. Ensuite, nous avons fréquenté plusieurs institutions à Port-au-Prince avant de nous déplacer à la zone cible (Aquin / Tête L'Étang). Les semaines suivantes, nous étions basés principalement à Tête L'Étang, où nous avons reçu l'hospitalité d'une famille locale. Nous avons passé les week-ends à Aquin pour nous réunir avec des magistrats et d'autres personnes qui étaient importantes pour notre projet. En plus, nous avons profité de ces périodes pour évaluer et documenter les résultats de nos études menées en semaine. Nous avons fait une enquête dans les villages avoisinants de Tête L'Étang et Duverger où nous avons visité chaque maison (en total 165 domiciles) pour demander aux gens des informations sur leur alimentation en eau, leur consommation d'eau, leurs problèmes spécifiques et leurs propositions de solution. Nous avons trouvé que l'eau utilisée pour les besoins alimentaires provient principalement d'un système de tuyaux qui fournit l'eau d'une source située à une distance d'environ 20 km de la zone cible. Pendant la saison sèche, cette eau n'atteint que les premières maisons de Duverger tous les trois jours. Dû probablement à un manque de pression et / ou des dégâts dans le système des tuyaux, l'eau de ce système n'arrive plus du tout jusqu'à Tête L'Étang. Les personnes dont les foyers ne sont pas desservis se déplacent vers les zones où l'eau arrive encore et remplissent des bidons chez les personnes qui reçoivent de l'eau. Normalement, l'eau du système est traitée avec du chlore centralement près de la source. Lors de notre visite, ce dispositif de désinfection était hors service, pourtant, l'eau était relativement pauvre en germes. Néanmoins, la plupart des gens traitent l'eau encore une fois avec des additifs chimiques. Certains foyers plus privilégiés ne boivent pas l'eau des tuyaux, mais achètent de l'eau potable filtrée. En ce qui concerne l'eau sanitaire, les provenances sont plus diverses. On utilise l'eau des tuyaux, l'eau des puits creusés à la main (toujours saumâtre), l'eau des citernes ou l'eau des pompes. En tout, l'eau sanitaire disponible est fortement limitée. La plupart des familles ne disposent pas d'eau d'une qualité et quantité suffisante pour l'arrosage des champs et des jardins. En outre, nous avons organisé un atelier participatif avec dix habitants sélectionnés des villages qui répondaient à des questions concernant la structure sociale de la zone cible et l espace de temps idoine pour une implémentation éventuelle. Selon les résultats, des périodes idéales pour une implémentation sont les mois de janvier, février, mai, juin et juillet. Afin de trouver des alternatives pour une alimentation en eau améliorée, nous avons analysé des puits, des pompes et d'autres points d'eau dans les villages et les environs. En prenant des

3 échantillons d'eau, nous étions capables d'évaluer la qualité biologique et chimique de l'eau. En plus, nous avons parcouru les collines avoisinantes à la recherche de structures bénéfiques. Dans les villages mêmes qui sont situés très proche du niveau de la mer, l'eau souterraine est saumâtre ou saline et, par conséquent, d'une utilité inférieure. Dans les collines qui entourent les villages, l'eau souterraine est difficilement accessible et il n y a pas de sources permanentes. Nous avons également visité des sources dans les environs plus lointains dont une source dénommée Pia est la plus intéressante à cause de sa localisation et parce qu'elle fournit une grande quantité d'eau propre même en saison sèche. En plus, cette source est déjà captée et jadis livrait de l'eau jusqu'aux villages de Duverger et Tête L'Étang. Dû à un débit de source réduit, des dégâts et des fuites dans le système des tuyaux, une gestion d'eau défavorable et une consommation exagérée des abonnés, l'eau n'atteint que les premières maisons de Duverger à présent. Le système est géré par un comité d'eau local. En raison de l'alimentation en eau de plus en plus faible, des conflits entre une partie de la population et le comité d'eau ont surgi. Pour préparer une phase d'implémentation éventuelle, nous avons visité des magasins de matériaux de construction et discuté avec des menuisiers afin de connaître les prix locaux des matériaux et leur disponibilité. Au cours de notre voyage, nous avons remis des pluviomètres à deux familles de Tête L'Étang pour estimer la quantité de précipitation. Un volontaire d'hpe copiera les dates régulièrement et nous enverra les résultats. Ainsi, nous envisageons d'améliorer notre base de dates sur les climats locaux. En plus, cet activisme renforcera l'engagement de nos contacts et nous permettra une communication permanente avec les gens sur place. Lors de notre séjour en Haïti, nous avons participé à beaucoup de réunions avec des acteurs divers. Le but de ces réunions était de mieux comprendre l'alimentation en eau actuelle, de préparer de futures activités et d'informer sur les résultats de nos enquêtes. En particulier, nous avons fait rendez-vous avec le maire de la ville d'aquin, avec le chef de la province d'aquin du service local de l'eau DINEPA, avec l'association Concert-Action qui a mis en place des projets d'eau dans d'autres région d'haïti, et avec des membres du comité d'eau. Tant au début qu'à la fin de notre séjour dans la zone, nous assistions dans des réunions des habitants des villages. Lors de la réunion finale, nous avons présenté des résultats préliminaires de notre étude. Nos rapports et nos conclusions provoquaient une discussion engagée des participants de la réunion. Après être retournés à Port-au-Prince, nous avons conclus notre voyage avec une évaluation finale de nos buts originaux et nos résultats ensemble avec notre partenaire du projet HPE. Nous avons discuté les résultats de notre étude et parlé des possibilités et des conditions préalables pour une continuation du projet.

4 Contacts et rencontres pendant le séjour : visite de l ambassade allemande. Discussion de la sécurité, présentation de notre projet. Echange des adresses : Visite de l office du GIZ (Gesellschaft für internationale Zusammenarbeit la société allemande pour la coopération internationale). Présentation du projet. Echange des contacts avec les responsables du GIZ Haïti : Discussion avec HPE concernant l objectif du projet, préparation de l assemblée des habitants de Duverger : Rassemblement dans le village Duverger/Tête l Étang. Présentation, on fait la connaissance des gens, identification des responsables du village : Rendez-vous à la mairie. Présentation au maire, on fait la connaissance du technicien de l eau : Contact à l école communautaire : Premier contact avec Gwoupman Men Anpil chay pa lou : Rencontre avec 10 habitants de Duverger/Tête l Étang: Application des méthodes (participatory rapid appraisal) pour comprendre mieux la situation sur place : Première rencontre avec un représentant du comité d eau. Il nous montre l état actuel de l alimentation en eau. Des coopérations possibles sont discutées : Présentation à la police d Aquin, rencontre avec le président : Rencontre avec des représentants de l organisation haïtienne Concert-Action qui organise depuis 17 ans des programmes concernant l eau, l agriculture, la santé. L organisation possède une grande compétence dans la formation des comités de l eau et la construction socialement supportable de petits réseaux de l eau : Rencontre avec quelques habitants importants du village pour la préparation de l assemblée finale de notre séjour : Rencontre avec le comité d eau. Des défis importants pour la réalisation d un réseau d eau sont discutés. HPE doit aider à améliorer la communication entre le comité et la population. Une coopération avec l organisation «Hydrauliques sans frontières» (HSF) est discutée : Rencontre avec le directeur du DINEPA à Aquin. DINEPA soutient l alimentation de l eau de la ville Aquin. On souffre d une justesse de l eau de plus en plus importante en raison de moins de précipitation et du déboisement. On restera en contact avec DINEPA par nos partenaires de HPE : L assemblée du village pour la présentation de notre travail (détermination du comportement de consommation, l actuelle alimentation en eau, améliorations possibles, conseils), discussion avec les habitants : Rencontre avec un ingénieur aquinois qui vit dans les Etats-Unis. Il possède beaucoup d informations concernant des projets précédents et beaucoup de contacts personnels dans la région : Evaluation de notre séjour d exploration avec HPE. HPE et nous sont contents des résultats du séjour. HPE est très intéressé à implémenter un projet commun. Une coopération

5 étroite avec le comité d eau, la DINEPA et possiblement l organsiation HSF est importante pour réaliser un projet gagnant : Première prise de contact avec HSF : Rencontre avec un membre de l organisation HSF à Paris. On discute des possibilités pour une future coopération. Études et résultats Qualité de l'eau Conductivité [μs/cm] Bactéries [CfU] Citernes Puits 1090 > Pompes 761 > Système des tuyaux Conductivité Citernes Puits Pompes Tuyaux Bactéries Zistern en Brunne n Pumpe Citernes Puits Pompes Tuyaux Conductivité: La conductivité démontre la salinité de l'eau. Un contenu élevé de sel cause une conductivité augmentée. À partir d'environ 1500 µs/cm, le goût humain détecte une salinité de l'eau. Le directive allemand sur l'eau potable permet une conductivité jusqu'à 2790 µs/cm, mais les salinités très hautes ont des effets négatifs sur la santé humaine si l'on boit une telle eau de façon permanente. L'eau potable en Allemagne a typiquement une conductivité en-dessous de 500 µs/cm.

6 Bactéries: Le nombre de colonies qui se forment à partir d'un échantillon d'eau. Une quantité élevée de bactéries signifie une qualité réduite de l'eau et peut mener à des maladies. L'eau des citernes a montré une qualité fluctuante. Fréquemment, les citernes sont employées pour stocker l'eau provenant d'autres sources. Par conséquent, on ne peut pas évaluer la qualité d'eau d'une manière compréhensive. Si les citernes sont bien maintenues, la qualité de l'eau de pluie collectée est en général d'une qualité suffisante pour la consommation. Comme la zone cible se trouve très proche de la mer, l'eau des puits est salée. En plus, comme les puits sont ouverts et ne sont pas dotés d'un couvercle ou protégés autrement, il y a une accumulation extrême de bactéries dedans. L'eau des puits n'est certainement pas appropriée à la consommation humaine. Les pompes offrent une meilleure protection des bactéries grâce à leur construction fermée. Il y a des pompes dont l'eau n'est pas très salées, mais celles-ci se trouvent plus éloignées des villages de Tête L'Étang et Duverger. À cause de la situation géographique, le plus proche les pompes sont situées de la zone cible, le plus important est le niveau de salinité. L'eau des tuyaux est généralement d'une bonne qualité et montre des niveaux très bas de salinité et de charge bactériale. À cet égard, il faut constater que normalement, l'eau des tuyaux est traitée centralement avec du chlore. Ce système de traitement était hors service lors de notre voyage. Cependant, l'eau pure de la source montre une bonne qualité. Enquête Pendant notre visite, nous avons pu visiter en total 165 maisons, dont 34 à Tête L Etang et 131 à Duverger. Le nombre de personnes qui sont représentées par l enquête est au moins 226 à Tête L Etang et 734 à Duverger. Ce nombre ne représente quand même pas la population totale des deux communes, du fait qu il n y avait pas toujours quelqu un à la maison, comme nous n avons pas demandé à chaque maître de maison le nombre des membres de famille et étant donné que les réponses surtout dans les familles avec nombreuses d enfants n étaient pas toujours précise. Comme déjà décrit dans la partie Déroulement de voyage, nous avons demandé les maîtres des maisons ou les personnes qui étaient présente pour leur alimentation et consommation en eau et pour leurs idées et perspectives en ce sujet et en général. Les réponses étaient très diverses en plusieurs aspects, ce qu on discutera plus en bas. Comme les résultats varient aussi entre les deux communes, nous allons les présenter d une manière séparée. Tête L Etang: Pour boire, toutes les familles sauf une utilise de l eau de provenance des tuyaux de Duverger qui doit être cherchée soit par moto soit à pied ou à l aide d un âne. En plus, le puits «Leau Sandrier» qui est en direction sud de Tête L Etang sert pour l alimentation en eau.

7 Avant de boire, l eau est traitée dans la plupart des maisons: À 29 sur 34 domiciles, des additifs désinfectants sont utilisés ou les gens achètent directement de l eau potable dans les bidons. Par des raisons économiques, quelques-uns de ces 29 ne traitent pas toujours l eau. Les réponses en ce qui concerne l amélioration de la situation étaient diverses : Bien que nous ayons vu des domiciles avec des citernes cassées, quelques personnes ont dit que les citernes étaient la meilleure solution pour les questions de l eau. Par contre, une réparation et amélioration du système des tuyaux était favorisée par d autres. Aussi les puits ont été nommé quelque fois, surtout s il y avait une possibilité de les dessaler. La situation agronomique était plus évidente pendant notre visite en saison sèche: La plupart des familles n exploitent pas de jardins. Les raisons sont surtout le manque d eau et la destruction des plantes par des bêtes dans des propriétés sans clôtures, bien qu il y ait des familles qui ont réussi à maintenir des jardins avec des méthodes qui nécessitent peu de l eau. En ce qui concerne la mentalité des habitants, presque tous les personnes que nous avons demandées aideront à construire un nouveau système des tuyaux. Demandés pour leurs plus grands soucis, c était surtout l eau qu on nous a répondue. Demandés depuis quand et pourquoi les tuyaux ne marchent plus, les réponses ont varié, mais la construction de la rue avec les tuyaux là-dessus paraît jouer un rôle. Beaucoup de foyers creusent des puits à la main ou en avaient déjà pendant notre visite. Même si l eau près du niveau de mer sort salée, l eau est quand même utile, par exemple pour faire boire les bêtes ou pour laver les vêtements. Duverger: Pendant notre visite, l eau dans les tuyaux est arrivée jusqu à les premières maisons de Duverger. Pour ces personnes, l accès à l eau était donc plus facile. Les voisins des autres parties de Duverger et de Tête L Etang y allaient régulièrement pour chercher de l eau. Quand il pleut, l eau arrive encore plus loin dans le village. A Duverger, seulement 9 de 131 maisons ne traitent jamais l eau du tuyau avant de la boire, la plupart la traite régulièrement. Une plus grande partie de personnes qu à Tête L Etang achète de l eau filtrée dans des bidons. La partie sud de Duverger, qui est plus éloigné des tuyaux en fonctionnement, utilise également des puits tout comme à Tête L Etang. La situation est en général plutôt comparable à la situation à Tête L Etang. En ce qui concerne les plus grands soucis, c est aussi la santé qu on a fréquemment nommée, puis l eau. Options d'implémentation Option 1: Expansion du système de citernes du village

8 - Citernes HPE: Montage de filtres et amélioration des défauts constructifs, connexion des surfaces de toit additionnelles (édifices avoisinantes), éducation des bénéficiaires pour introduire un concept systématique de gestion et maintenance - Construction de citernes additionnelles, notamment à côté des bâtiments publiques avec des grandes surfaces de toiture, par exemple des écoles ou des églises - Mesures d'aide et d'éducation pour propager la diffusion de tonnes de pluie pour augmenter la quantité d'eau sanitaire disponible - Avantages: L'eau de pluie n'est pas saline et peut être utilisée pour tous les besoins (si les citernes sont bien soignées), deux périodes des pluies avec des précipitations importantes, possibilité d'une alimentation décentralisée et économique, aucun effet négatif sur la nappe phréatique - Inconvénients: les quantités d'eau envisageables sont limitées, réduction apparente des précipitations dans les dernières années (déboisement, changement climatique, mais peu de dates fiables), les citernes existantes étaient hors service ou vide pendant notre séjour dans la zone, le nombre de bénéficiaires relativement limité pourrait causer des conflits, les bénéficiaires sont capables de financer et exécuter une partie de ces activités eux-mêmes Option 2: Rénovation et expansion du système des tuyaux de la source Pia - Réparation des conduites entre Carrefour 44 / Duverger et Tête L'Étang - Construction d'un château d'eau additionnel sur un endroit élevé et équipé d'une pompe (solaire?) pour augmenter la pression - Coopération avec «Hydrauliques sans frontières» (HSF) (ou une autre organisation partenaire) qui puissent rénover le captage et les autres parties du système d'eau, ce qui contribuerait à une quantité d'eau totale augmentée - Soutien du comité d'eau afin d'introduire un modèle de tarif réformé et un plan de maintenance - Gestion d'eau adaptée: réintroduction des kiosques d'eau ou, alternativement, d'une alimentation discontinue pour remplir les réservoirs, augmenter la pression et donc faciliter la répartition d'eau dans le système entier - Encourager des mesures pour éviter l'érosion et propager le reboisement dans le domaine de la source - Avantages: Alimentation avec de l'eau de bonne qualité et d'une quantité importante, la rénovation d'un système existant est économique, limite les conflits de répartition d'eau et facilite le consentement des autorités locaux, il y a un savoir-faire important dans la zone cible avec le système des tuyaux, une coopération avec HSF semble réaliste ainsi que IoG n'est pas obligé de réaliser le projet tout seul, une contribution de tous les bénéficiaires est envisageable ce qui augmenterait l'acceptation, grand nombre de bénéficiaires - Inconvénients: quantité d'eau insuffisante pour une irrigation agriculturale répandue, des conflits entre la population et le comité d'eau doivent être adressés (--> HPE), comité d'eau devrait reformer son financement pour le rendre plus durable, dépendance de la coopération avec HSF

9 Résumé et conclusions Le voyage préliminaire a montré que l'adduction d'eau dans le territoire cible est clairement insuffisante et cela mène à une souffrance de la population concernée. L'amélioration des conditions de vie des habitants par une mesure technique paraît possible et souhaitable. Il fut possible d'identifier plusieurs options techniques pour répondre à la problématique. L'option la plus intéressante est la réparation d'un système d approvisionnement en eau déjà existant, qui transporte de l eau de source jusqu'au bord du territoire cible. Cependant, pour assurer le succès de cette mesure sur le long terme, certaines conditions doivent être remplies: on peut citer entre autres : le désamorçage de conflits dans la population concernant la distribution de l'eau, l'élaboration d'un meilleur concept d'entretien du réseau et la coopération avec d autres partenaires pour le nettoyage de l aire de captage d eau de la source et du réseau de transport d eau. Prochains pas et recommandations La solution favorisée est l'option 2: réparation et agrandissement du réseau d alimentation en eau existant «Source Pia» Travaux préliminaires et conditions préalables Tâches d'hpe: - Médiation entre le comité d'eau et la population de Tête L'Étang - Supporter le comité à évaluer et reformer le concept financier tant que la gestion et maintenance du système de tuyaux - Maintenir le contact avec les autorités pour faciliter leur support lors du commencement des travaux Tâches d IoG: - Repartir les travaux entre IoG et HSF (ou autre partenaire) pour la réparation des conduites d'eau - Concevoir un plan technique pour les travaux - Collecte de fonds Mise en œuvre Selon la planification actuelle, les tâches d'iog dans les travaux pourraient être: - Remplacer les conduites d'eau entre Carrefour 44 et la zone cible - Construction d'un réservoir additionnel sur une colline dans le voisinage de Duverger avec un bassin correspondant au niveau de la plaine et une pompe solaire entre les deux - Conception de distributeurs, d'interconnections et de points de prélèvement - Mesures formatives et éducatives sur l'utilisation responsable de l'eau (ensemble avec HPE)

10 Description des conditions cadres Conditions préalables à la réalisation d une solution technique En cas de réparation du réseau d alimentation en eau existant, le besoin en nouveaux terrains sera limité. Seul l aménagement d une citerne supplémentaire avec des réservoirs surélevés et souterrains ainsi que les conduites d amenée et de sortie nécessiteront de nouvelles surfaces. Le lieu d implantation de la future citerne ne nécessite pas de conditions particulières et pourra être choisi librement, de telle manière à limiter tout conflit. Pour obtenir le permis de construire il faudra contacter l'agence de l'eau DINEPA et probablement la mairie d'aquin. Pendant notre voyage préliminaire nous avons déjà pris contact avec les deux parties et elles ont favorablement accueilli notre projet. Les règles à respecter pour l'approvisionnement en eau en Haïti sont listées dans le Référentiel technique national, eau potable et assainissement, qui est consultable sous Il convient de prévoir des protections antivol pour les robinets aux points de distribution. Validation du besoin de capacité Dans le territoire d étude vivent environ 1150 personnes (parmi lesquels beaucoup d'enfants) réparties en 180 ménages. Le futur volume d eau effectivement consommée est difficile à estimer, car il dépend principalement de réserves disponibles. Cependant, si on compte 20 L d eau par personne et par jour on obtiendrait, pour le territoire d étude en entier, 23 m³ d'eau par jour. Pour le moment, la consommation en eau potable est beaucoup plus faible ; pour un certain nombre d utilisations, l'eau saumâtre des puits est utilisée de manière satisfaisante et du fait qu actuellement l'accès à l eau potable est restreint, son usage est parcimonieux. Cependant, dès que le raccordement en eau potable sur le territoire d étude sera achevé, il est vraisemblable que le comportement d'utilisation changera de manière importante. Par des campagnes de sensibilisation, des mesures techniques et si possible, un paiement selon le volume d'eau prélevé, les habitants seront tout de même engagés dans une gestion durable de l'eau du robinet. Mesures réalisées Des échantillons d eau ont été prélevés dans tous les points d'eau situés dans le territoire d étude et aux alentours. Nous avons utilisé un kit pour tester la qualité de l eau: il nous a permis d effectuer une analyse de la teneur en électrolytes, de déterminer la valeur du ph, la pollution par nitrate et nitrite, la dureté de l'eau et la pollution bactérienne (le taux bactérien aérobique total, coliforme, Escheria coli et Enterobacteriaceae). L analyse des résultats démontre que généralement, l'eau des puits sur le territoire d étude est salée voire saumâtre et présente un nombre élevé de germes. Au moment de notre visite, les citernes étaient soit vides soit remplies avec l'eau du robinet et partiellement polluées de germes.

11 L eau des puits d alentour présente souvent une moindre salinité mais ils ne sont pas tous exempts d agents pathogènes. Au moment de nos mesures, il est à noter que l'eau du robinet provenant de la «Source Pia» était de bonne qualité, pauvre en sel et en pathogènes. Il est de plus à noter qu en temps normal, l'eau de cette source est traitée par chloration mais que le système était en panne au moment du prélèvement ; cependant peu d agents pathogènes ont été détectés dans l eau nontraitée de la source. Contribution du partenaire et du groupe cible La contribution propre du partenaire HPE dans une réalisation du projet n a pas encore été définitivement fixée. Comme ce fut le cas pendant le voyage préliminaire, cette contribution prendra la forme d une mise à disposition de l'hébergement à Port-au-Prince, Aquin et Tête L Étang. En plus, HPE devrait planifier, exécuter et financer des mesures nécessaires pour la préparation des travaux. Cela suppose la résolution de conflits éventuels dans la population, l accompagnement du comité de l'eau dans l établissement d un concept à long terme de gestion des finances et la communication avec les autorités officielles. Par cette répartition des tâches, HPE apportera indirectement une contribution large et essentielle à la réalisation du projet. En ce qui concerne la contribution propre des bénéficiaires, presque toutes les personnes interrogées ont indiqué vouloir fournir une contribution au projet, soit sous forme d'argent soit sous forme de travail. Le montant final des dons doit cependant encore être précisé. Dans le cas de projets précédents il s est souvent trouvé un groupe de villageois, travaillant surtout à l'étranger, qui a soutenu financièrement le projet. Il faudra se renseigner si une possibilité du même type sera possible une nouvelle fois. Etat de connaissance de la population cible en matière de gestion de l eau et transfert de connaissances Actuellement, les connaissances de la population cible en matière de gestion raisonnée de la ressource eau dans le territoire cible est très variable. Si pour une grande partie de la population il est clair qu'une désinfection de l'eau peut empêcher des maladies, il est par exemple moins évident pour certains habitants d utiliser la ressource eau de manière réfléchie; de même le rapport entre le déboisement d une forêt d une part et la pénurie d'eau potable d autre part n'est pas compris par tous. Pour remédier à cela, HPE organise déjà des cours dans les écoles et veut les étendre encore davantage. IoG veut soutenir ces efforts en mettant à disposition des matériaux de cours. Pour l'éducation des adultes, la problématique a déjà été soulignée pendant le voyage préliminaire lors de réunions et pendant des conversations informelles. Cela devra aussi se poursuivre dans le futur. Responsabilité et maintenance Sur le territoire d étude, depuis le raccordement de la «Source Pia» comme source d eau potable dans les années 90, un comité d eau s est créé qui est responsable de l'exploitation et de la

12 maintenance de la conduite d'eau. Dans le futur, d autres groupements pourraient aussi assumer la responsabilité et lancer de nouvelles initiatives. Hypothèses et risques Difficultés Un risque principal qui pourrait compliquer notre projet sont des conflits parmi les habitants du village et l absence d une structure d organisation pour une maintenance durable de l alimentation hydrique. Si ce n est pas possible de résoudre ces conflits, notre projet n est pas réalisable. Pour la réalisation de l option 2, il est nécessaire que, à côté de nos travaux dans la région cible, aussi des réparations du réseau de tuyaux soient faites, surtout dans l environnement de la source Pia. Pour cela nous sommes en contact avec l organisation française «Hydrauliques sans frontières» (HSF) qui est en train de planifier cette réparation. Si cette coopération n est pas possible, il faut réfléchir si un autre partenaire local est approprié (DINEPA ou autre ONG), sinon cette option n est plus réalisable. Corruption Avec la réparation du système la procédure d autorisation est moins dispendieuse, pour cela il y aura moins de risque de la corruption. Pendant l exécution du projet, le respect d une facturation correcte est évident. L attente des partenaires et la population locale En raison d une très bonne communication et la grande expérience de notre partenaire HPE dans la coopération avec d autres organisations internationales, l attente de notre partenaire est très réaliste. Dans la population l attente est difficile à estimer. Même si nous avons toujours insisté à dire pendant le premier voyage que seulement avec un grand engagement personnel des habitants le projet est réalisable, quelques habitants ont eu l espoir que nous «apportons» de l eau. D autres personnes du village ont réalisé leur propre responsabilité. Notre partenaire HPE est toujours sur lieu pour nous informer des progrès de la planification et pour maintenir la communication avec les habitants. Difficultés de communication Dans la région cible, il y a plusieurs personnes qui parlent bien français. Beaucoup d autres habitants comprennent la langue. Avec la connaissance de français, quelques connaissances de base du créole haïtien et à l aide de la traduction d une personne locale, la communication fonctionne très bien. Dans des situations critiques ou difficiles, un bon traducteur est nécessaire pour éviter des malentendus.

13 Mesurabilité du succès dans le projet Si option 2 (la réparation du système des tuyaux) est choisie, le critère le plus important est une alimentation hydrique qui fonctionne et satisfait les besoins des habitants, même dans la saison sèche. En plus, l introduction d un concept pour la maintenance et le financement du système est nécessaire. Finalement la conception d un cours sur les thèmes «l eau» et «agriculture durable» devrait être réalisé pour parler d un succès. Estimation des effets négatifs du projet Si le système de l alimentation hydrique est réparé, cela aura des effets sur le circuit économique dans le village. Le plus évident est le fait que les conducteurs Taxi-Moto gagneront moins d argent avec les transports de l eau. Après avoir parlé avec eux, nous savons que les conducteurs préfèrent quand même une amélioration de la situation. En plus, avec la construction de la route asphaltée la situation change de toute façon, parce qu avec la route aussi des voitures peuvent circuler facilement. Si l amélioration du système des tuyaux est un succès, le danger augmentera que les autres sources de l eau (fontaines, citernes) ne soient plus maintenues et la dépendance des gens de l alimentation hydrique soit plus haute que maintenant. Cela pourrait être problématique dans la saison sèche. Cartes et photos Carte de la région cible avec le système des tuyaux existant

14 Enquête sur la consommation d'eau Transport de l'eau

15 Puits creusé à la main Échantillonnage d'une pompe

16 Système des tuyaux - réservoir Système des tuyaux - robinet

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