Plan Culturel pour Bruxelles GT Interculturalité Réunion plénière 28/04/ Beursschouwburg
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- Simone Corriveau
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1 Plan Culturel pour Bruxelles GT Interculturalité Réunion plénière 28/04/ Beursschouwburg Présents: Soufiane Bouabaya, Anja Van Roy (Lasso), Patricia Balletti (Les Tanneurs), Anne-Sophie Noël (Les Halles), Frédérique Versaen (Wiels), Abdelmalek El Houari (Zinnema), Virginie Pierreux, Laurence Adam & Alice Andrietti (Article 27), Luc Mishalle (MetX), Nzuamo Noah (The Soul affair), Ditte Vanbrempt en Karel Dombrecht (KVS), Carlos Ramirez (KWB), Paul Kamisy (Globe Aroma), Thais Haerens (AMAK), Maarten Bresseleers (SFP), Mariet Eyckmans (Globe Aroma), Jolien Gadeyne (BKO/RAB), Leen De Spiegelaere (BKO) en Christine Kulakowski (CBAI) 1. Introduction Le jeudi 12 mai, le GT Interculturalité présentera son projet lors du Troisième Etat des lieux du Plan culturel. Il est important que les projets des trois sous-groupes redeviennent une histoire. Ce qui sera présenté: - Sous-groupe public: la note de trajet + calendrier - Sous-groupe personnel: le processus, l arbre à objectifs et cing actions concrètes - Sous-groupe programmation: le processus, les difficultés du groupe et l idée d un inventaire Actiris présentera aussi l état d avancement des Plans de Diversit 2. Presentatie CBAI (Centre Bruxellois d Action Interculturelle) Christine Kulakowski 1. CBAI (Centre Bruxellois d Action Interculturelle)- ASBL Fondé en 1981, en tant que Centre Socio-culturel des Immigrés de Bruxelles 1991 : Région Bruxelloise. Se renomme CBAI 2006 : Mission de Centre Régional d appui à la Cohésion sociale (Décret relatif à la cohésion sociale, 13 mai 2004, COCOF) Une équipe multiculturelle de 29 collègues, organisés en 4 secteurs (et à différents niveaux de responsabilité). En référence au sous-groupe Personnel du groupe de travail interculturalité, quelques questions à se poser : - Composition multiculturelle à tous les niveaux de responsabilité? - Réseau de recrutement informel/proche ou plus large? - La «gestion» des différences culturelles/cultuelles éventuelles au sein de ce type d équipe? Textes de référence : - Manifeste de l Action interculturelle, Marc André, 2002, - Vision, Missions, positionnement stratégique et expertise du CBAI, AG du CBAI, avril L ethnicité, nouvelle dynamique des sociétés multiculturelles, Albert Bastenier (sociologue UCL), in Dépasser les peurs, construire un monde commun, Editions Etopia, Rapport final des Assises de l Interculturalité, novembre 2010, 2. Multiculturalité, Interculturalité, diversité (ethno-) culturelle, minorités (ethno-) culturelles : de quoi on parle? 2.1. Une dimension sociologique : la donnée multiculturelle
2 Une multiculturalité diversifiée : la co-existence de personnes ou de groupes porteurs d identités culturelles (et philosophiques/cultuelles) différentes, phénomène qui a été amplifié, entre autres par les différentes vagues d immigration. Bruxelles, une ville-région bi-communautaire, siège des institutions européennes (et internationales), de plus en plus multiculturelle, avec des personnes et groupes de personnes à capital social et économique très variable. Au 1 er janvier 2006, 73,14% de la population bruxelloise est de nationalité belge, et 26,86 est de nationalité étrangère. Dans cette population de nationalité étrangère, 58% sont des ressortissants de l UE (sans la Roumanie et la Bulgarie) et 42% sont de nationalités non-ue. La population de nationalité étrangère et celle d origine étrangère qui a acquis la nationalité totalisent près de 47% des résidants bruxellois. A ces données, il faudrait ajouter les populations «statistiquement invisibles» (estimées à à personnes dans la Région bruxelloise). Diversification des profils sociologiques : descendants des immigrés (la plupart belges), les nouvelles migrations (primo-arrivants), les fonctionnaires européens et internationaux ; une variété de situations socio-économiques, de capitaux socio et culturels et de statuts (dont demandeurs d asile et sans-papiers). Une «nouvelle» pluralité confessionnelle et culturelle (7 cultes reconnus : catholique, protestant, anglican, orthodoxe, judaïsme, islam, laïque). Une certaine ségrégation/dualisation spatiale, sociale, économique et culturelle, dans la ville (FR/NL, personnes et groupes issus de la multiculturalité) Une dimension politique : le projet d interculturalité Alternative à Assimilation, Communautarisme (Multiculturalisme), Racisme, replis identitaires. Processus dynamique, interaction, relations et rencontres entre des individus ou des groupes d individus porteurs d identités culturelles différentes. Il faut donc qu il y ait d abord une situation multiculturelle- qu il y ait de la multiplicité culturelle-, pour que se produisent alors des interactions interculturelles. Mais il ne suffit pas qu il y ait multiplicité pour que se produisent des interactions : les individus ou les groupes peuvent être séparés, isolés ou se nier mutuellement (cfr habitants d un immeuble). Le projet d interculturalité (et l action Interculturelle) est un projet volontariste, à caractère politique et social. Au niveau global, l approche interculturelle implique que le mode de pensée occidental n est pas un mode culturel supérieur (que c est un mode parmi d autres). Contrairement aux approches assimilationniste et communautarienne, qui trouvent leur origine dans la philosophie politique (c'est-à-dire qu elles sont pensées «d en haut et idéologiquement à priori»), l approche interculturelle est issue des pratiques et de la créativité expérimentale des acteurs sociaux de terrain, confrontés à des situations concrètes nouvelles. (Mais Quid du Rapport des Assises de l Interculturalité? ) Ce projet conjugue l émancipation individuelle à la réalité des ancrages communautaires et met en avant la prise en compte de la variable (ethno-)culturelle, comme une des variables, sans réduire la personne ou les groupes à celle-ci. (Ex : je suis belge, 25 ans, d origine marocaine, musulmane, comédienne, et la rencontre peut avoir lieu à partir de l un ou plusieurs traits de cette identité plurielle).
3 Plutôt que de parler en termes de diversité (ethno-)culturelle diversité par rapport à qui?-, parler en termes de pluralité (ethno-)culturelle (dimension interne à la personne, et relationnelle entre les personnes). La notion d ethnicité vise uniquement à mettre en lumière des clivages basés sur une différenciation sociale autre que celles traditionnellement reconnues de la classe, du sexe ou de l âge. La prise en compte de ce nouveau clivage de nature culturelle ouvre une perspective d analyse supplémentaire à l étude de l espace public, vu comme espace à la fois de risque et d accomplissement social (A. Bastenier). Les Minorités ethno-culturelles? Position du Manifeste de l Action Interculturelle et du Rapport final des Assises de l Interculturalité. Manifeste de l Action interculturelle Trois approches /conceptions socio-politiques du «vivre ensemble» en société multiculturelle : - l approche assimilationniste ; - l approche communautarienne ; - l approche interculturelle. L approche communautarienne (de l anglais «communitarian», appelée parfois multiculturaliste est d origine anglo-saxonne. Dans cette approche, c est l appartenance communautaire qui prime sur la conception individualiste du citoyen. Au nom de la reconnaissance nécessaire des différentes minorités (c est le terme utilisé par les communautariens) culturelles présentes dans une société multiculturelle, c est alors l appartenance communautaire et l identité culturelle qui sont valorisées. Différentes dispositions sont alors prises en faveur des personnes dans la mesure où elles revendiquent leur appartenance à telle ou telle communauté ou minorité (on parlera alors de discrimination positive, de quotas, de cours d histoire spécifiques pour chaque minorité, etc.) La perspective générale est celle de la gestion par l Etat de la coexistence de différents groupes «communautaires» qui constituent une multiculturalité non interactive. Rapport des Assises de l Interculturalité (pp25-26) Quelle définition de «minorité»? Comment nommer les groupes de personnes parfois appelées «personnes issues de l immigration», «minorités culturelles», «allochtones» etc. et dont question à plusieurs reprises dans le rapport? En 2005, la Commission du Dialogue Interculturel (CDI) s était posée la même question. Elle avait récusé les termes «allochtones» (dont l usage est prépondérant en Flandres et «immigrés» (utilisé surtout en Wallonie et Bruxelles) avec l argument que ces termes ne devraient s appliquer qu aux personnes arrivées récemment et sûrement plus à leurs enfants et petits-enfants. Ceux-ci, nés ici, sont au sens propre, des «autochtones». Ils ne sont pas euxmêmes «immigrés» et il ne convient pas non plus de les réduire pour l éternité à la catégorie des «personnes issues de l immigration», bien qu un patrimoine culturel ou religieux issu des cultures d origine des parents puisse être important pour certaines d entre elles. La CDI avait proposé de les désigner par le terme de «minorités culturelles», une expression «qui traduit à la fois une réalité spécifiquement culturelle et une situation d inégalité de fait par rapport à un modèle culturel dominant». Le CDI ajoutait cette précision fondamentale : «il ne s agit pas d enfermer les individus dans des identités closes sur elles-mêmes ( ), mais au contraire de leur permettre de faire reconnaître la complexité et la richesse de la situation où elles se trouvent».
4 Ces minorités n existent donc pas de façon figée. Elles doivent leur existence au libre choix des personnes qui s en revendiquent, tout en étant conditionnée «de l extérieur» par le regard que le société en général porte sur elles. La CDI soulignait encore que c est le droit individuel des personnes d affirmer une identité collective si elles le souhaitent, et d inscrire cette identité dans l espace public. Le Comité de Pilotage des Assises a estimé néanmoins que l adjectif «culturel» ne couvre pas toutes les situations. La lutte contre les discriminations (qui occupe une place importante dans le rapport du Comité de Pilotage), concerne notamment des «minorités visibles» identifiables par leurs couleurs de peau ou leurs patronymes, indépendamment de leurs caractéristiques culturelles. Et certaines personnes ne diffèrent de la majorité que par leur religion, ce qui est par exemple le cas des personnes d origine juive ou converties à l Islam. C est pourquoi le Comité de pilotage des Assises de l Interculturalité a préféré opter pour une expression plus complète et parler de «minorités ethniques, culturelles et/ou religieuses», en mettant l accent sur l un ou l autre qualificatif selon le contexte Une dimension pédagogique ou une pédagogie de l Interculturalité Au sens d un processus d apprentissage de la rencontre avec l autre, de «laboratoire de l interculturel», dans les domaines de la formation, de la diffusion culturelle, de l action associative, etc. Cette démarche pédagogique est constituée de pratiques, de savoir-faire, d attitudes individuelles et collectives qui font le pari de la rencontre, de la coopération, de la négociation où la diversité est considérée comme une richesse et où elle peut être mise en débat. Elle suppose de prendre en compte chacun des acteurs de l interaction interculturelle et de considérer chaque situation de rencontre ou de «choc» comme spécifique. Elle exige d intégrer la complexité, la réflexivité, les contextes et les phénomènes de domination. Une pédagogie de l interculturel s adresse à la société dans son ensemble, et vise à développer des compétences interculturelles à 4 niveaux (via un processus de formation) : - l identité de l individu : la construction de la conjonction (et/et, je peux être Belge, flamande et orthodoxe par exemple) est la recherche d un «inter», entre les différents traits de l identité. A ce premier niveau, il s agit de soutenir les individus à opérer une négociation interne. La formation peut-être un des lieux de transformation personnelle qui vise à favoriser la synthèse identitaire. L activité artistique interculturelle est aussi l expression de synthèses identitaires souvent inédites. - l interpersonnel, la rencontre avec «l autre» : la rencontre entre le sujet et «l autre», nécessite la recherche d une articulation entre parties. Elle peut avoir lieu plus aisément si le premier niveau, la négociation interne, a été travaillé, même s il s agit d un processus continu, sans doute toujours à revoir. Une autre condition de l articulation entre parties est l existence d un désir de rencontrer «l autre», ce qui suppose un intérêt pour «l autre». Ce désir de rencontre peut ne pas exister au départ ; il peut être découvert et travaillé à l occasion d un cheminement, par exemple dans le cadre d une formation. Enfin, une articulation réussie entre parties ne peut avoir lieu que s il y a un objectif commun, au nom duquel chacune des parties fait des concessions.
5 - le collectif, le groupe, l organisation, l action collective : dans la construction d une société inclusive, il s agit de donner des moyens d unir, de fédérer, de faire groupe, d apprendre à construire la participation, de dépasser les logiques individualistes, interpersonnelles ou «communautaristes» (au sens des communautés culturelles qui sont dans une logique d exclusion les unes des autres). Ceci permet de construire une identité collective, un projet commun qui répond à l ambition du «et/et», au niveau de la société. - le politique et l institutionnel : il s agit d ancrer l action interculturelle dans le cadre d enjeux politiques plus larges. 3. Discussie Rechercher les points communs ou les différences? Les deux font partie : la recherche de ce qui nous ressemble par delà des différences et le choc des différences. Les différences peuvent nous interpeller. Réalité de la ville, comment travailler le partage de ce même espace? A Bruxelles les territoires sont ségrégés. Le grand enjeu est d aller au-delà des ségégrations. Les projets ne peuvent qu être volontaristes, parce que les espaces sont ségrégés. Les projets qui font croiser, rencontrer les personnes sont les plus intéressantes. Les lieux culturels peuvent jouer ce rôle d espace de rencontre. Le travail interculturel est toujours sur le long terme : on commence petit et on réfléchit comment aller plus loin. Il faut d abord un cadre, une première cofréquentation et après organiser une vraie rencontre. (ex le trajet) : mais cela prends du temps!! Les formations du CBAI ont comme objectif de devenir coordinateur de projet. L interculturalité est en même temps le sujet et l objet de travail du groupe. La composition du groupe est volontariste et se veut un mélange d origine culturelle, de niveau scolaire et de fonctions (professionnelles). L interculturalité et l expression artistique est un des domaines d action du CBAI via le programma Le monde en scènes : pour pouvoir répondre à la demande de programmateurs culturels à la recherche d artistes,un répertoire des productions musicales a été développé. Ensuite, ils ont organisé des rencontres de musiciens de différents disciplines / origines dans des lieux culturels bruxellois. Une troisième étape serait le développement d un outil pédagogique pour promouvoir l interculturalite (livret et cd pédagogiques) et des expositions. Le Monde en scènes servait surtout à la promotion d artistes amateurs, mais il y a très souvent encore un grand décalage avec le niveau professionnel. Il y a un décalage entre la qualité et l interculturalité. Dès qu un projet artistique a une certaine qualité, ce n est plus considéré comme un projet interculturel, comme quelque chose d intéressant. Dès qu on parle de l art, c est directement pas concu comme interculturel. L interculturalité reçoit par conséquence une connotation négative : semiprofessionnel, amateur, et n est plus liée à la qualité. Les programmateurs programment de manière diverse sans vouloir entrer dans le débat interculturel.
6 Le travail doit se faire des deux côté : la sensibilisation des programmateurs face à l interculturalité et le soutien aux artistes pour pouvoir atteindre les standards de qualité recommandés. Dualisation culturelle socioculturelle : où est la frontière entre l art / l animation sociale de l artiste. Qu est-ce qui est qualitatif? Par exemple : une danseuse de ventre flamande sera une artiste, un calligraphe de souche arabe sera un amateur Peut-être la différence se trouve au niveau des objectifs : pour l art, c est la qualité qui prime. Pour le socio-culturel, c est la promotion et la participation qui le remportent. La programmation : les gens se déplacent pour les événements qui leur parlent. Ils participent aux événements qui leur plaisent. Faut-il donc programmer ce que les gens aiment, ou faut-il préférer le défi? Cette discussion doit être menée à partir de l offre globale : en analysant la globalité, y a t-il des manques? Est-ce que tout le monde pourrait se retrouver dans cette offre. Face à la programmation, c est l effort de médiation qui est importante. On va toujours heurter des programmateurs. Il est donc plus facile de travailler par ricochet au lieu de vouloir attaquer la programmation. Et peutêtre l objectif que le sous-groupes programmation s est mis, découlera des actions des autres sous-groupes? 4. Calendrier des prochaines réunions Jeudi 12 mai de 9h30 à 12h30 au GC De Vaartkapoen: Troisième Etat des Lieux des groupes de travail dans le cadre du Plan Culturel pour Bruxelles ******
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