Système immunitaire cutané

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Système immunitaire cutané"

Transcription

1 24/02/2015 BARTHELEMY Laura L2 CR : Victor Chabbert Revêtement Cutané Pr. MEGE 10 Pages REVETEMENT CUTANE STRUCTURE DE LA PEAU - Système immunitaire cutané Système immunitaire cutané Plan : A. Anatomie de la réponse immune cutanée B. Le microbiote cutané C. Réponse immune cutanée : les effecteurs I. Les kératinocytes II. Les cellules dendritiques D. Les mécanismes de défense cutanés contre les infections à Staphylococcus aureus (S. aureus). I. Déficits immunitaires II. Le rôle de IL 1 dans la réponse cutanée à S. aureus. III. Le rôle de IL 17 dans la réponse cutanée à S. aureus. E. Conclusion A. Anatomie de la réponse immune cutanée 1/10

2 Il faut concevoir le système immunitaire cutané comme un ensemble. Il part de ce qu'il se trouve à la surface de la peau c'est-à-dire les peptides antimicrobiens, les facteurs physico-chimiques (température, ph, ), et le microbiote cutané (flore microbienne). C'est donc une surface qui coexiste avec une flore commensale. Cela ressemble un peu à ce que l'on trouve au niveau de l'épithélium intestinal ou respiratoire. La différence au niveau cutané, est l'existence de la couche cornée. Cette couche cornée représente une barrière importante comportant des peptides anti-microbiens. Ces peptides sont de petites molécules produites entre autres par les kératinocytes. Ils exercent des effets bactério-statiques et bactéricides vis à vis des agents infectieux pathogènes. L'épiderme est le revêtement élaboré par les kératinocytes. Ces derniers ne sont pas uniquement des structures de soutient, ils sont également des effecteurs de la défense anti-infectieuse (cf. suite du cours). Au sein de l'épiderme on trouve aussi les cellules de Langerhans. Ces cellules sont de véritables cellules dendritiques dont la fonction est de migrer jusqu'aux ganglions pour transmettre l'information. Il existe des différences entre le revêtement cutané de l'homme et celui de la souris. Chez la souris on trouve en plus les cellules gamma delta, qui sont absentes de l'épiderme humain. Le derme contient l'ensemble des cellules du système immunitaire : cellules de l'immunité innée : cellules dendritiques du derme, macrophages, mastocytes (rôle important dans le réaction inflammatoire cutanée) mais aussi des cellules de l'immunité adaptative : cellules T et cellules B. Au final, on a au niveau du derme un système immunitaire constitué de cellules dispersées. Ce système ressemble à ce que l'on retrouve au niveau de l'intestin, à la différence près qu'au niveau intestinal le système immunitaire est «organisé». Vient ensuite l'hypoderme avec sa vascularisation. Celle-ci est extrêmement importante car c'est elle qui apporte les cellules immunitaires qui ont été recrutées suite à l'agression. Au niveau de la peau on a donc : - des cellules résidentes qui assurent une fonction sentinelle - et des cellules recrutées qui proviennent du compartiment circulatoire. B. Le microbiote cutané On trouve à la surface de la peau toutes sortes de bactéries, de virus et de champignons. Ils se retrouvent à la surface cutanée, au sein des follicules pileux et des glandes sébacées. Leur concentration sur la peau est de bactéries (densité microbienne extrêmement importante +++). Remarque : au niveau de l'intestin la densité microbienne est plus élevée : /10

3 Il existe dans ce microbiote cutané une diversité qui dépend d'un certain nombre de facteurs. L'un de ces facteurs est la nature du site. On différencie alors : les sites secs (mains, avant-bras) les sites humides les sites gras (au niveau du segment céphalique) La nature du site influe donc fortement sur la nature du microbiote. En effet on ne va pas avoir le même microbiote si on est en site humide ou gras : les sites sébacés : majoritairement les bactéries ayant un comportement lipophile, telles que Propionibacterium sp. les sites humides : essentiellement Staphylococcus sp. et Corynebacteriumm sp. Néanmoins, on retrouve une certaine homogénéité au niveau des champignons présents sur l'ensemble du corps. Il s'agit de champignons essentiellement du genre Malassezia, SAUF au niveau des pieds où il y a une forte diversité. Caractérisation de ce microbiote cutané Comme vous l'aurez compris on le compare très souvent à celui présent au niveau du tube digestif. On peut cependant noter quelques différences. La peau est plus inhospitalière (c'est-à-dire moins favorable aux micro-organismes) que le tube digestif : la température y est plus basse, le milieu est plus acide, la quantité de nutriments y est plus faible (majoritairement des lipides et des peptides provenant du sébum de la couche cornée), on note une certaine richesse en sels, présence de molécules antibactériennes (peptides antibactériens). Les bactéries ont de ce fait dû développer des stratégies de survie, c'est le cas par exemple : des staphylocoques symbiotes de la peau : elles tolèrent une forte concentration en sel et utilisent l'urée de la sueur comme nutriment. des Propionibacterium acnes : elles hydrolysent les triglycérides présents dans le sébum. Cela permet la libération d'acides gras qui vont favoriser l'adhérence et la colonisation bactérienne des sites sébacés. des espèces Malassezia et Corynebacterium utilisent les lipides cutanés pour survivre à cet environnement hostile. Le microbiote cutané évolue au cours de la vie : chez le jeune enfant/adolescent : essentiellement Streptococcus, Betaproteobacteria, Gammaproteobacteria. chez le adolescent/jeune adulte : prédominance de bactéries lipophiles comme Propionibacterium et Corynebacterium. 3/10

4 Le microbiote intestinal évolue lui aussi selon les différentes périodes de la vie. Le fonction principal du microbiote est de rentrer en compétition avec des agents pathogènes de façon à amplifier la défense. Une question s'est posée : est ce que le microbiote cutané a la même fonction que le microbiote intestinal? Contrairement au rôle du microbiote intestinal, le microbiote cutané n'est pas nécessaire à l'organisation de la réponse immune. Cependant il participe au renforcement de cette réponse immunitaire à l'échelle locale. Remarque : Le microbiote intestinal façonne le système immunitaire intestinal, et même au-delà, le système immunitaire systémique de la personne. L'ensemble des bactéries, virus et champignons se retrouvent à la surface de la peau, à l'intérieur des follicules pileux et dans les glandes sébacées. Leur présence induit la fabrication de peptides anti-microbiens (produits en particulier par les kératinocytes). Ces micro-organismes commensaux vont également agir sur les cellules présentes, macrophages et cellules dendritiques notamment. Celles-ci vont s'activer pour, entre autres, produire des cytokines comme l'interleukine 1 (IL 1). Ces mêmes cellules vont être capables de phagocyter directement les microbes (ces derniers doivent être présents en certaine concentration, mais ne doivent pas être en excès). L'IL 1 est sans doute la cytokine la plus importante de la réponse immunitaire cutanée. La présence des micro-organismes à la surface cutanée va permettre de mettre en place une réponse locale (peptides antimicrobiens et IL 1) mais ne va pas façonner ce système immunitaire comme c'est le cas dans l'intestin. 4/10

5 Chez les patients ayant un déficit immunitaire, le microbiote évolue. On va alors avoir une diminution de la spécificité de site ainsi qu'une colonisation plus importante avec des bactéries comme Clostridium sp. et Serratia marcesens. On en conclut alors qu'il y a un dialogue entre le système immunitaire et le microbiote. Les affections inflammatoires cutanées, le psoriasis, la dermatite atopique et l'acné provoquent une altération de la flore cutanée. Mécanismes par lesquels le microbiote cutané initie ou amplifie les désordres cutanés. Il existe une multitude de facteurs qui font que le microbiote a un effet direct sur les désordres cutanés. Il peut s'agir par exemple : d'une altération des sources nutritionnelles ou de leurs disponibilités de prédispositions génétiques d'un phénomène d'augmentation de la densité de micro-organismes de la survenue d'une co-infection. 5/10

6 C. Réponse immune cutanée : les effecteurs. I. Les kératinocytes Reconnaissance et Inflammation : Les kératinocytes représentent une source très importante de médiateurs de l'inflammation : des interférons : - limitation de l'infection virale - modulation des tissus conjonctifs sous-jacents - augmentation MHC (le prof n'a pas expliqué ce que c'était...) (CR : j'imagine qu'il s'agit d'une augmentation de l'expression du CMH) des cytokines inflammatoires : - activation de cellules endothéliales - activation macrophages et neutrophiles des chémokines : elles ont un effet direct sur le recrutement des cellules immunitaires et l'activation de l'épithélium. des prostaglandines et des leucotriènes : - augmentent la perméabilité vasculaire (fonction principale, favorise la réaction inflammatoire) - vasodilatation - chimiotactisme divers facteurs de croissance : modulation tissu conjonctif Les kératinocytes ont une capacité à reconnaître les agents infectieux via leurs différents récepteurs (TLR, par exemple). Ce sont des cellules potentiellement très réactives à la stimulation. Homéostasie et Inflammation : Les kératinocytes se comportent différemment selon qu'on est dans une peau au repos (sans agression) ou dans une peau inflammatoire. Dans une peau au repos, les kératinocytes sont dans un état basal. Ils évoluent naturellement jusqu'à la mort cellulaire et produisent peu de facteurs inflammatoires (juste ce qu'il faut pour assurer le renouvellement des cellules immunitaires) Fonction sentinelle (sorte d'état de veille). Si on a une agression (infection, réaction inflammatoire,...), on a une multiplication des kératinocytes entraînant un épaississement de la couche d'épiderme. Ils produisent énormément de facteurs inflammatoires capables entre autres d'attirer des cellules dendritiques, des lymphocytes, des polynucléaires neutrophiles... 6/10

7 II. Les cellules dendritiques Les cellules dendritiques sont importantes car elles assurent le transport de l'information depuis la peau jusqu'aux ganglions de drainage. Les cellules dendritiques de Langerhans : elles représentent environ 10% des cellules épidermiques (distribution dans l'épiderme interfolliculaire et l'épithélium des follicules pileux). Ce sont de vraies cellules dendritiques, c'est-à-dire qu'elles captent l'antigène au niveau de la peau et le transportent jusqu'au paracortex ganglionnaire. Durant cette migration ces cellules maturent et deviennent ainsi capable de présenter des antigènes d'origine cutanés aux lymphocytes T naïfs. Ces cellules dendritiques sont radiorésistantes et sont très fortement associées aux kératinocytes voisins. Lors de leur maturation il faut qu'elles s'en libèrent pour pouvoir migrer (phénomène de dépression de l'expression de la E-cadhérine). Les cellules de Langerhans poussent-elles vers un seul type de réponse immunitaire? A l'heure actuelle, on sait que ces cellules dendritiques sont capables d'induire des réponses Th 17, anticorps ou des réponses tolérogéniques. Il n'y a donc pas une réponse spécifique aux cellules de Langerhans, elles sont capables d'induire globalement l'ensemble des réponses immunitaires. Elles sont dites immunogéniques. Aux côtés des cellules de Langerhans présentes dans l'épiderme, on retrouve un ensemble de cellules dendritiques au sein du derme. Cellules dendritiques dermiques : Il existe au moins 3 sous populations de cellules dendritiques dermiques «conventionnelles» (migrent de la même façon jusqu'au ganglion). Les macrophages cutanés : ceux-ci sont présents au niveau du derme. Ils sont différents des autres cellules dendritiques cutanées : ils ont une forte activité phagocytaire ils possèdent un faible taux d'expression de CCR2 (récepteur de la chémokine la plus active sur les cellules myéloïdes) et un taux élevé de CD64 (et MERTK le prof n'en a pas parlé mais c'était inscrit sur sa diapositive). Ces macrophages dermiques présentent en plus une faible, voire absente, capacité à migrer au niveau du ganglion (ils restent présents au niveau du derme) ainsi qu'un très faible potentiel de présentation de l'antigène. Ces macrophages ont une particularité très importante : ils produisent beaucoup d'il 10 (cytokine antiinflammatoire). Leur fonction principale est donc très probablement de ralentir la réaction inflammatoire et d'éviter que cela se transforme en une pathologie inflammatoire cutanée persistante. Rappel : Les macrophages cutanés dérivent des monocytes circulants contrairement aux cellules de Langerhans qui proviennent de précurseurs spécifiques. 7/10

8 a. Macrophages et Cellules dendritiques versus inflammation cutanée. L'inflammation cutanée peut être modélisée en utilisant soit des allergènes de contact (en particulier le DNFB) soit des ligands du récepteur TOLL (TLR 7 par exemple). L'application cutanée d'un allergène de contact (le DNFB = 2,4-dinitro-1-fluorobenzène) conduit à l'augmentation de la fréquence des cellules de Langerhans et des cellules dendritiques dermiques. Celles-ci vont migrer en direction du ganglion et ainsi induire la production de lymphocytes T CD4 et CD8 spécifiques du DNFB. Une fois ces cellules T activées dans le ganglion, elles vont produire des molécules permettant le recrutement des monocytes dans le derme. L'inflammation cutanée induite par les micro-organismes, ou parasites, est légèrement différente de celle induite par des allergènes. La réaction inflammatoire induite par ces micro-organismes (et agents infectieux en général) est beaucoup plus intense. Elle est portée par les cellules dendritiques inflammatoires qui deviennent productrices de dérivés nitrés et de TNF. L'application cutanée répétée du ligand de TLR 7 (imiquinod) induit une inflammation cutanée qui ressemble à celle du psoriasis. (le nom du ligand n'est pas à retenir) On remarque une infiltration de polynucléaires neutrophiles dans l'épiderme ainsi que des cellules dendritiques, macrophages et cellules T dans le derme. Autrement dit, on a une expansion de la réponse immunitaire locale. On va avoir, aussi et surtout, l'activation de la voie de l'il 17. Cette voie IL 17 aura deux effets que l'on abordera par la suite : recruter les polynucléaires neutrophiles et induire la prolifération des kératinocytes. (On est alors dans la boucle d'amplification que l'on retrouve ans la pathologie du psoriasis.) NB : sur la diapositive il était marqué : «en réponse à l'il 23, les cellules T du derme produisent IL 17 et IL 22» mais en cours le prof n'a parlé ni de l'il 23 ni de l'il b. Rôle des cellules T cutanées. Les cellules T effectrices et mémoires ont la capacité de pénétrer la peau et contribuer au contrôle de l'infection (contrairement aux cellules T naïves). L'injection en sous-cutanée d'un antigène avec de l'adjuvant complet de Freund (facteur inflammatoire) induit l'accumulation de CD4 + effectrices au sites de dépôt de l'antigène. Il y a aussi le recrutement simultané de cellules T régulatrices au site de dépôt de l'antigène où elles produisent de l'il 10 et diminuent la proportion de cellules T CD4 + productrices d' interférons gamma. Rappel : IL 10 est aussi sécrétée sur le lieu de l'inflammation par les macrophages présents. 8/10

9 L'infection cutanée avec HSV-1 (virus de l'herpès) induit la séquestration dans l'épiderme de cellules T CD8 + mémoires. Lors d'une réinfetion, les cellules T CD8 + peuvent être réactivées dans l'épiderme via l'action des kératinocytes et/ou des cellules de Langerhans. Au final, lors d'une infection on va recruter des CD4 mais aussi des CD8. Toutes deux, mémoires et effectrices. D. Les mécanismes de défense cutanés contre les infections à Staphylococcus aureus (S. aureus). I. Déficits immunitaires. Si on a un déficit immunitaire on aura une plus grande fréquence d'infections, et en particulier des infections à Staphylococcus aureus. Les infections à Staphylocoque vont concerner la peau (sa partie superficielle) mais aussi les tissus sous-jacents. Ces infections vont venir compliquer les déficits immunitaires. Le premier groupe de déficit immunitaire où l'on est très souvent porteur d'infections à Staphylocoque est un déficit en neutrophiles. En général ces déficits induisent des infections à la fois cutanées et systémiques à S. aureus. Les déficits immunitaires portant sur les voies de signalisation (IL 1) et sur les lymphocytes T (Th 17) s'associent à des infections spécifiques superficielles à S. aureus. II. Le rôle de IL 1 dans la réponse cutanée à S. aureus. Il existe 2 types d'il 1 : IL1 α, produite essentiellement par les kératinocytes et IL1 β, produite par les macrophages et les cellules dendritiques. Ces deux cytokines vont être différemment produites suite à la même présence du S. aureus. Toutes les deux vont combiner leurs actions pour aboutir à la production de médiateurs inflammatoires. Ces médiateurs vont permettre : d'une part, la synthèse de peptides antimicrobiens en agissant sur les kératinocytes, et d'autre part, la synthèse de molécules de l'inflammation dont la fonction sera d'activer les polynucléaires. Les polynucléaires se trouvant dans le sang circulant migrent alors au niveau du derme et forment un abcès. Rappel : un abcès est la présence de polynucléaires qui se collectent au niveau d'un tissu. A l'heure actuelle on sait que IL 1 α joue un rôle essentiel dans les infections superficielles tandis que IL 1 β a un rôle dans les infections un peu plus profondes. On constate que si on a un déficit immunitaire de type neutropénie, l'infection à staphylocoque continue à se développer. Les peptides antimicrobiens à eux seuls ne sont pas suffisant pour arrêter l'infection. Il faut nécessairement combiner les actions des peptides antimicrobiens et des polynucléaires. 9/10

10 III. Le rôle de IL 17 dans la réponse cutanée à S. aureus. Les IL 17 sont produites par un très grand nombre de cellules (cellules T, NK, gamma-delta) en réponse à un signal. Signal qui est médié notamment par IL 1. IL 1 favorise la production de Th 17 d'autant plus qu'elle va s'associer à d'autres interleukines (IL 6 et IL 23) connues pour activer elles aussi cette voie Th 17. Ces IL 17 nouvellement produites vont d'abord se fixer aux kératinocytes par l'intermédiaire de récepteurs. Cette fixation provoque l'activation des kératinocytes et induit la production de peptides antimicrobiens. Ainsi les kératinocytes vont être sous l'influence de deux stimulations : une par IL 1 et la seconde par IL 17. Une particularité des IL 17 est d'activer les polynucléaires en produisant des facteurs de croissance pour ceux-ci. Elles vont également les activer par la production de chémokines permettant leur recrutement au niveau du foyer infectieux. Si il y a un déficit en IL 17 moindre activation des kératinocytes et de ce fait une moindre activation/recrutement des polynucléaires. C'est ce qui se passe dans le syndrome à hyper-ige. Une de ses manifestations cliniques est la présence d'infections cutanées récidivantes à S. aureus. Ces maladies sont dues à un déficit dans la voie Th 17. E. Conclusion Nette efficacité de la fonction de barrière de la couche cornée qui ne laisse passer que les haptènes et petites molécules. Densité importante du réseau de sentinelles des cellules de Langerhans, des cellules dendritiques dermiques et des lymphocytes T mémoire. Importance du système immunitaire cutané dans la vaccination. Les vaccinations sous-cutanées se font en réalité plus dans l'hypoderme qu'en sous-cutané à proprement parler. Cette vaccination est permise par le fait que les antigènes injectés vont être récupérés par les cellules dendritiques et transportés jusqu'au ganglion. Une réponse immunitaire spécifique est alors mise en place. MADA <3 10/10

Mécanisme des réactions inflammatoires

Mécanisme des réactions inflammatoires 01/04/2014 THOMASSIN Guillaume L2 Revêtement Cutané Dr. Sophie Deplat-Jégo Relecteur 4 8 pages Revêtement cutané Mécanisme des réactions inflammatoires cutanés Mécanisme des réactions inflammatoires Plan

Plus en détail

PARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME. Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement

PARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME. Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement PARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement I- Les microbes dans notre environnement Qu est-ce qu un microbe? Où se trouvent-ils?

Plus en détail

Explorations des réponses Immunitaires. L3 Médecine

Explorations des réponses Immunitaires. L3 Médecine 2012 Explorations des réponses Immunitaires L3 Médecine Rappel sur les réponses Immunitaires DIFFERENTS TYPES DE REPONSES IMMUNITAIRES Naturelle = innée Adaptative Non spécifique Spécifique Immédiate Barrière

Plus en détail

Cibles et mécanismes d action des traitements par cytokines et anti-cytokines

Cibles et mécanismes d action des traitements par cytokines et anti-cytokines Cibles et mécanismes d action des traitements par cytokines et anti-cytokines Jean Daniel Lelièvre, Yves Lévy, Pierre Miossec I-Introduction... 2 II-Les interférons... 2 II-1.L interféron... 3 II-1-a.

Plus en détail

IMMUNOLOGIE. La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T. Informations scientifiques

IMMUNOLOGIE. La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T. Informations scientifiques IMMUNOLOGIE La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T Informations scientifiques L infection par le VIH entraîne des réactions immunitaires de l organisme qui se traduisent par la production

Plus en détail

Chapitre II La régulation de la glycémie

Chapitre II La régulation de la glycémie Chapitre II La régulation de la glycémie Glycémie : concentration de glucose dans le sang valeur proche de 1g/L Hypoglycémie : perte de connaissance, troubles de la vue, voire coma. Hyperglycémie chronique

Plus en détail

Cytokines & Chimiokines

Cytokines & Chimiokines Cytokines & Chimiokines I. (D après Förster, R. et al. (1999) Cell 99:23) Dans le but d étudier la régulation de la circulation des leucocytes dans l organisme, des souris déficientes pour le récepteur

Plus en détail

Cytokines ; Chimiokines

Cytokines ; Chimiokines Cytokines ; Chimiokines I. Dans le but d étudier la régulation de la circulation des leucocytes dans l'organisme, des souris déficientes pour le récepteur CCR7 de chimiokine ont été générées par recombinaison

Plus en détail

F.Benabadji Alger 22.11.13

F.Benabadji Alger 22.11.13 F.Benabadji Alger 22.11.13 ALLERGIE DANS LE MONDE 4ÉME RANG MONDIAL (OMS) PROBLÈME DE SANTÉ PUBLIQUE LES CAUSES Notre environnement (industriel, technologique, scientifique et climatique) * Allergènes

Plus en détail

Les cytokines et leurs récepteurs. Laurence Guglielmi laurence.guglielmi@univ-montp1.frli

Les cytokines et leurs récepteurs. Laurence Guglielmi laurence.guglielmi@univ-montp1.frli Les cytokines et leurs récepteurs Laurence Guglielmi laurence.guglielmi@univ-montp1.frli l i@ i 1 Les cytokines et leurs récepteurs 2 mécanismes principaux d interactions cellulaires : - contact membranaire

Plus en détail

Système immunitaire artificiel

Système immunitaire artificiel République Algérienne Démocratique et Populaire Ministère de l Enseignement Supérieure Université des Sciences et de la Technologie D Oran Mohammed Boudiaf (USTO) Faculté des Sciences Département d Informatique

Plus en détail

TECHNIQUES D AVENIR LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING

TECHNIQUES D AVENIR LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING TECHNIQUES D AVENIR Jonathan LONDNER, Aurélie HAUTIER Centre Régional de Traitement des Grands Brûlés Service de chirurgie Plastique, Hôpital de la Conception, Marseille. DIAGNOSTIC DÉTERSION BOURGEONNEMENT

Plus en détail

GRANULOMATOSE SEPTIQUE CHRONIQUE

GRANULOMATOSE SEPTIQUE CHRONIQUE GRANULOMATOSE SEPTIQUE CHRONIQUE Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement Disponible:

Plus en détail

Transgene accorde une option de licence exclusive pour le développement et la commercialisation de son produit d immunothérapie TG4010

Transgene accorde une option de licence exclusive pour le développement et la commercialisation de son produit d immunothérapie TG4010 Parc d Innovation d Illkirch, France, le 10 mars 2010 Transgene accorde une option de licence exclusive pour le développement et la commercialisation de son produit d immunothérapie TG4010 Transgene (Euronext

Plus en détail

Prépration cutanée de l opéré

Prépration cutanée de l opéré Prépration cutanée de l opéré Xème Journée d Hygiène Hospitalière de Bizerte. Bizerte le 3 décembre 2005 Conférence de Consensus de la Société Française d Hygiène Hospitalière 1 Définition: Ensemble de

Plus en détail

EXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410

EXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410 EXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410 EXERCICE 1 PAGE 406 : EXPERIENCES A INTERPRETER Question : rôles respectifs du thymus et de la moelle osseuse dans la production des lymphocytes.

Plus en détail

Unité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané

Unité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané Énoncés Unité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané N 109 Dermatoses faciales : acné, rosacée, dermatite séborrhéique Diagnostiquer l acné, la rosacée, la dermatite séborrhéique.

Plus en détail

Mécanismes de l alloréactivité, des rejets de greffe et de la réaction du greffon contre l hôte.

Mécanismes de l alloréactivité, des rejets de greffe et de la réaction du greffon contre l hôte. Mécanismes de l alloréactivité, des rejets de greffe et de la réaction du greffon contre l hôte. Marcelo de Carvalho Bittencourt, Christophe Baron, Gilles Blancho, Myriam Labalette, Hélène Moins Teisserenc

Plus en détail

L eau dans le corps. Fig. 6 L eau dans le corps. Cerveau 85 % Dents 10 % Cœur 77 % Poumons 80 % Foie 73 % Reins 80 % Peau 71 % Muscles 73 %

L eau dans le corps. Fig. 6 L eau dans le corps. Cerveau 85 % Dents 10 % Cœur 77 % Poumons 80 % Foie 73 % Reins 80 % Peau 71 % Muscles 73 % 24 L eau est le principal constituant du corps humain. La quantité moyenne d eau contenue dans un organisme adulte est de 65 %, ce qui correspond à environ 45 litres d eau pour une personne de 70 kilogrammes.

Plus en détail

Pourquoi une femme-enceinte présente un certain nombre de douleurs inconnues jusqu'à lors?

Pourquoi une femme-enceinte présente un certain nombre de douleurs inconnues jusqu'à lors? Pourquoi une femme-enceinte présente un certain nombre de douleurs inconnues jusqu'à lors? elle va pour cela créer des éléments chargées de transmettre un message à son corps (les hormones) : la «relaxine»

Plus en détail

Vaccins du futur Atelier «Croisière dans l archipel des nouveaux vaccins»

Vaccins du futur Atelier «Croisière dans l archipel des nouveaux vaccins» Vaccins du futur Atelier «Croisière dans l archipel des nouveaux vaccins» Bernard Duval Institut National de Santé Publique du Québec 18 avril 2002 Objectifs Grands axes de la réponse immunitaire Conjugaison

Plus en détail

Rôle des acides biliaires dans la régulation de l homéostasie du glucose : implication de FXR dans la cellule bêta-pancréatique

Rôle des acides biliaires dans la régulation de l homéostasie du glucose : implication de FXR dans la cellule bêta-pancréatique Rôle des acides biliaires dans la régulation de l homéostasie du glucose : implication de FXR dans la cellule bêta-pancréatique Tuteur : Anne Muhr-Tailleux cardiovasculaires et diabète (Equipe 1) Institut

Plus en détail

NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR. Delphi 0,1 % crème Acétonide de triamcinolone

NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR. Delphi 0,1 % crème Acétonide de triamcinolone NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR Delphi 0,1 % crème Acétonide de triamcinolone Veuillez lire attentivement cette notice avant d utiliser ce médicament car elle contient des informations importantes

Plus en détail

TEST DE DÉTECTION DE LA PRODUCTION D INTERFÉRON γ POUR LE DIAGNOSTIC DES INFECTIONS TUBERCULEUSES

TEST DE DÉTECTION DE LA PRODUCTION D INTERFÉRON γ POUR LE DIAGNOSTIC DES INFECTIONS TUBERCULEUSES TEST DE DÉTECTION DE LA PRODUCTION D INTERFÉRON γ POUR LE DIAGNOSTIC DES INFECTIONS TUBERCULEUSES Classement NABM : non inscrit code : non codé DÉCEMBRE 2006 Service évaluation des actes professionnels

Plus en détail

Les nouveaux traitements du psoriasis

Les nouveaux traitements du psoriasis Les nouveaux traitements du psoriasis Ci-après, vous trouverez 3 articles, parus récemment, parmi d'autres tout aussi intéressants, dans notre bulletin trimestriel Pso Magazine: - un extrait de l'exposé

Plus en détail

Première partie: Restitution + Compréhension (08 points)

Première partie: Restitution + Compréhension (08 points) Lycée M hamdia Année scolaire : 2011/2012 Prof : Saïd Mounir Date : 17/05/2012 Première partie: Restitution + Compréhension (08 points) EXERCIE N O 1: (4 points) : 1 : a-b 2 : b 3 : a-b 4 : d 5 : d 6 :

Plus en détail

Le psoriasis est une maladie qui touche environ 2 à 3 % de la population et qui se

Le psoriasis est une maladie qui touche environ 2 à 3 % de la population et qui se Le psoriasis est une maladie fréquente Le psoriasis est une maladie qui touche environ 2 à 3 % de la population et qui se traduit le plus souvent par des plaques rouges sur la peau, légèrement surélevées

Plus en détail

BACTÉRIE PARTICULE D ARGENT

BACTÉRIE PARTICULE D ARGENT Tissu High-tech BACTÉRIE FIBRE MEDICAL STYLE FIBRE NORMALE PARTICULE D ARGENT FIBRE MEDICAL STYLE FIBRE NORMALE La partie interne des tissus Medical Style contient des particules d argent à l action biocide

Plus en détail

Séquence 10. Le maintien de l intégrité de l organisme : quelques aspects de la réaction immunitaire. Sommaire

Séquence 10. Le maintien de l intégrité de l organisme : quelques aspects de la réaction immunitaire. Sommaire Séquence 10 Le maintien de l intégrité de l organisme : quelques aspects de la réaction immunitaire Sommaire Chapitre 1. Pré-requis Chapitre 2. La réaction inflammatoire, un exemple de réponse innée Chapitre

Plus en détail

Anticorps, vaccins, immunothérapies allergéniques tout savoir sur les progrès de l immunothérapie en 20 questions

Anticorps, vaccins, immunothérapies allergéniques tout savoir sur les progrès de l immunothérapie en 20 questions Anticorps, vaccins, immunothérapies allergéniques tout savoir sur les progrès de l immunothérapie en 20 questions De quoi se compose le système immunitaire? Chaque jour, des substances étrangères, appelées

Plus en détail

Epaisseur cutanée. Et selon le sexe : femme < homme

Epaisseur cutanée. Et selon le sexe : femme < homme Plan Épaisseur cutanée Absorption transcutanée Protection contre la pénétration d allergènes Protection contre la pénétration d agents infectieux JPSA Thermorégulation Nettoyage de la peau Hydratation

Plus en détail

ACTUALITES THERAPEUTIQUES. Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012

ACTUALITES THERAPEUTIQUES. Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012 ACTUALITES THERAPEUTIQUES Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012 Traitement de fond Objectifs: Réduire le nombre de poussées Arrêter ou freiner la progression du handicap Les traitements disponibles

Plus en détail

AMAMI Anaïs 3 C LORDEL Maryne. Les dons de cellules & de tissus.

AMAMI Anaïs 3 C LORDEL Maryne. Les dons de cellules & de tissus. AMAMI Anaïs 3 C LORDEL Maryne Les dons de cellules & de tissus. Introduction : Une greffe (don) de cellules consiste à administrer à un patient dont un organe vital ne fonctionne plus correctement, une

Plus en détail

Insulinothérapie et diabète de type 1

Insulinothérapie et diabète de type 1 Insulinothérapie et diabète de type 1 Introduction: la molécule d insuline L instauration de l insulinothérapie Dispositif d administration de l insuline Les propriétés de l insuline Insuline et schémas

Plus en détail

DERMATOSES ECZEMATIFORMES LICHENOIDES ET ERYTHEMATO-SQUAMEUSES

DERMATOSES ECZEMATIFORMES LICHENOIDES ET ERYTHEMATO-SQUAMEUSES DERMATOSES ECZEMATIFORMES LICHENOIDES ET ERYTHEMATO-SQUAMEUSES I ECZEMA ET LESIONS ECZEMATIFORMES II LICHEN PLAN III LICHEN SCLERO-ATROPHIQUE IV MALADIE LUPIQUE V PSORIASIS VI AUTRES Parapsoriasis Kératodermies

Plus en détail

Le Test d effort. A partir d un certain âge il est conseillé de faire un test tous les 3 ou quatre ans.

Le Test d effort. A partir d un certain âge il est conseillé de faire un test tous les 3 ou quatre ans. Le Test d effort L'épreuve du test d'effort est un examen effectué en général par un cardiologue ou un médecin du sport. Le test d'effort permet de mesurer le rythme cardiaque, la pression artérielle,

Plus en détail

82 collaborateurs 52 millions

82 collaborateurs 52 millions Édito Chiffre d affaires à fin Septembre 2007 Assemblée générale du 26 juin 2007 Réponses aux questions des actionnaires * Actualité R&D et produits I 2 : la science d Innate * Innate Pharma et ses actionnaires

Plus en détail

Tuberculose bovine. Situation actuelle

Tuberculose bovine. Situation actuelle Tuberculose bovine Situation actuelle 21 mai 2013 Dr G. Peduto Vétérinaire cantonal Service de la consommation et des affaires vétérinaires 1 Tuberculose bovine La Suisse est indemne depuis 1959 Dernier

Plus en détail

Transfusions sanguines, greffes et transplantations

Transfusions sanguines, greffes et transplantations Transfusions sanguines, greffes et transplantations Chiffres clés en 2008 La greffe d organes est pratiquée depuis plus de 50 ans. 4 620 malades ont été greffés. 1 563 personnes ont été prélevées. 222

Plus en détail

Le Monde des insectes, son importance pour l Homme et l apport de l étude des insectes aux sciences du vivant.

Le Monde des insectes, son importance pour l Homme et l apport de l étude des insectes aux sciences du vivant. MEDAILLE D OR DU CNRS 2011 Le Monde des insectes, son importance pour l Homme et l apport de l étude des insectes aux sciences du vivant. Extrait de l allocution prononcée le 19 juin 2007 par Jules Hoffmann,

Plus en détail

DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE

DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement Disponible

Plus en détail

Vaccinologie et Stratégie de Développement des Vaccins

Vaccinologie et Stratégie de Développement des Vaccins Vaccinologie et Stratégie de Développement des Vaccins Vaccinologie 1977 - Terme utilisé par Jonas Salk. 1983 - Rassemble tous les aspects des vaccinations : biologiques, immunologiques et cliniques ainsi

Plus en détail

NOTICE : INFORMATION DE L'UTILISATEUR. DAKTOZIN 2,5 mg/150 mg pommade Nitrate de miconazole et oxyde de zinc

NOTICE : INFORMATION DE L'UTILISATEUR. DAKTOZIN 2,5 mg/150 mg pommade Nitrate de miconazole et oxyde de zinc NOTICE : INFORMATION DE L'UTILISATEUR DAKTOZIN 2,5 mg/150 mg pommade Nitrate de miconazole et oxyde de zinc Veuillez lire attentivement cette notice avant d utiliser ce médicament car elle contient des

Plus en détail

Chapitre 1 : Introduction aux bases de données

Chapitre 1 : Introduction aux bases de données Chapitre 1 : Introduction aux bases de données Les Bases de Données occupent aujourd'hui une place de plus en plus importante dans les systèmes informatiques. Les Systèmes de Gestion de Bases de Données

Plus en détail

Chapitre III Le phénotype immunitaire au cours de la vie

Chapitre III Le phénotype immunitaire au cours de la vie Chapitre III Le phénotype immunitaire au cours de la vie Le phénotype immunitaire d un individu caractérise sa capacité à répondre, grâce aux effecteurs de l immunité adaptative, aux différents agents

Plus en détail

III RESULTATS LE LONG DU TRACE PREFERENTIEL DE LA LIGNE 2

III RESULTATS LE LONG DU TRACE PREFERENTIEL DE LA LIGNE 2 FUTURE LIGNE 2 DE TRAMWAY DE L'AGGLOMERATION DE MONTPELLIER Etat initial des principaux traceurs de la pollution liée au trafic routier Résumé Rédacteur : AFM Date : 29/1/3 pages I CONTEXTE Etude réalisée

Plus en détail

TECHNIQUE DU FROID ET DU CONDITIONNEMENT DE L AIR. confort = équilibre entre l'homme et l'ambiance

TECHNIQUE DU FROID ET DU CONDITIONNEMENT DE L AIR. confort = équilibre entre l'homme et l'ambiance TECHNIQUE DU FROID ET DU CONDITIONNEMENT DE L AIR Tâche T4.2 : Mise en service des installations Compétence C1.2 : Classer, interpréter, analyser Thème : S5 : Technologie des installations frigorifiques

Plus en détail

Surveillance des toxi-infections alimentaires collectives

Surveillance des toxi-infections alimentaires collectives Surveillance des toxi-infections alimentaires collectives Données de la déclaration obligatoire, 2012 En 2012, 1 288 foyers de toxi-infections alimentaires collectives (Tiac) ont été déclarés en France,

Plus en détail

EURO DEFI PADS 52502000IU9I 2012/10

EURO DEFI PADS 52502000IU9I 2012/10 EURO DEFI PADS 52502000IU9I 2012/10 PLAQUES MULTI-FONCTIONS JETABLES EURODEFIPADS NOTICE D UTILISATION DESCRIPTION DU PRODUIT Les plaques multifonctions jetables EURODEFIPADS sont composées de deux électrodes

Plus en détail

THÈSE. Docteur. l Institut des Sciences et Industries du Vivant et de l Environnement (Agro Paris Tech) Leïla Périé. le 14/10/2009

THÈSE. Docteur. l Institut des Sciences et Industries du Vivant et de l Environnement (Agro Paris Tech) Leïla Périé. le 14/10/2009 THÈSE pour obtenir le grade de Docteur de l Institut des Sciences et Industries du Vivant et de l Environnement (Agro Paris Tech) Spécialité : Immunologie présentée et soutenue publiquement par Leïla Périé

Plus en détail

Bull. Acad. Natle Méd., 2014, 198,n o 1, 17-30, séance du 21 janvier 2014

Bull. Acad. Natle Méd., 2014, 198,n o 1, 17-30, séance du 21 janvier 2014 COMMUNICATION Psoriasis : physiopathologie. Comment l épithélium peut orienter la réponse immunitaire ou un «ménage à trois» : épithélium, cellule dendritique et lymphocyte T Mots-clés : Psoriasis. Épithélium.

Plus en détail

DIAPOSITIVE 1 Cette présentation a trait à la réglementation sur les thérapies cellulaires.

DIAPOSITIVE 1 Cette présentation a trait à la réglementation sur les thérapies cellulaires. Produits de thérapie cellulaire DIAPOSITIVE 1 Cette présentation a trait à la réglementation sur les thérapies cellulaires. DIAPOSITIVE 2 La fabrication des thérapies cellulaires est examinée par la Division

Plus en détail

Mon RECHERCHE EN DERMATOLOGIE

Mon RECHERCHE EN DERMATOLOGIE s i s a i r o s P Mon t e n r a c ivi de su RECHERCHE EN DERMATOLOGIE "Le psoriasis est une maladie chronique de la peau. Pour une prise en charge optimale, cette pathologie nécessite des consultations

Plus en détail

Innovations thérapeutiques en transplantation

Innovations thérapeutiques en transplantation Innovations thérapeutiques en transplantation 3èmes Assises de transplantation pulmonaire de la région Est Le 16 octobre 2010 Dr Armelle Schuller CHU Strasbourg Etat des lieux en transplantation : 2010

Plus en détail

Consensus Scientifique sur. les. Champs statiques

Consensus Scientifique sur. les. Champs statiques page 1/8 Consensus Scientifique sur Source : OMS (2006) les Champs statiques Résumé & Détails: GreenFacts Contexte - Les équipements d imagerie médicale par résonance magnétique (IRM), les trains et les

Plus en détail

Item 127 : Transplantation d'organes

Item 127 : Transplantation d'organes Item 127 : Transplantation d'organes Date de création du document 2008-2009 Table des matières * Introduction... 1 1 Allogreffe de moelle ou de cellules souches...1 2 Transplantation d'organes... 2 3 Diagnostic...3

Plus en détail

Sommaire de la séquence 8

Sommaire de la séquence 8 Sommaire de la séquence 8 Nous avons découvert dans la séquence 7 que les micro-organismes sont présents partout dans notre environnement et qu à la faveur d une lésion, ils sont capables de franchir nos

Plus en détail

GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG

GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG Version 1.0 1 Avant-propos Ce guide de bonnes pratiques a été préparé pour fournir des informations concernant la collecte

Plus en détail

Dr Pascale Vergne-Salle Service de Rhumatologie, CHU de Limoges. Membre enseignant chercheur EA 4021

Dr Pascale Vergne-Salle Service de Rhumatologie, CHU de Limoges. Membre enseignant chercheur EA 4021 Dr Pascale Vergne-Salle Service de Rhumatologie, CHU de Limoges Membre enseignant chercheur EA 4021 Rhumatisme inflammatoire chronique Prévalence des SA ies en Europe = 1 à 2% Age moy : 26 ans, ratio homme/femme:

Plus en détail

Observer : l'absence de noyau des hématies la petite taille des plaquettes la forme et la taille des noyaux (leucocytes) ACTIVITES ELEVES TS

Observer : l'absence de noyau des hématies la petite taille des plaquettes la forme et la taille des noyaux (leucocytes) ACTIVITES ELEVES TS 4.1 La réaction inflammatoire, un exemple de réponse innée 4.1.1 Les cellules de défense au microscope optique : Par l'observation d'une goutte de sang humain au microscope, repérer chaque type de cellule

Plus en détail

LASER DOPPLER. Cependant elle n est pas encore utilisée en routine mais reste du domaine de la recherche et de l évaluation.

LASER DOPPLER. Cependant elle n est pas encore utilisée en routine mais reste du domaine de la recherche et de l évaluation. LASER DOPPLER INTRODUCTION La technique qui utilise l effet Doppler à partir d un faisceau laser est l une des seules qui permette d enregistrer en continu le reflet de la perfusion superficielle de tissus

Plus en détail

RAID PIEGES ANTI-FOURMIS x 2 1/5 Date de création/révision: 25/10/1998 FICHE DE DONNEES DE SECURITE NON CLASSE

RAID PIEGES ANTI-FOURMIS x 2 1/5 Date de création/révision: 25/10/1998 FICHE DE DONNEES DE SECURITE NON CLASSE RAID PIEGES ANTI-FOURMIS x 2 1/5 RAISON SOCIALE JOHNSONDIVERSEY FICHE DE DONNEES DE SECURITE RISQUES SPECIFIQUES NON CLASSE 1 IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE - NOM DU PRODUIT RAID PIEGES ANTI-FOURMIS

Plus en détail

DOSSIER D'INSCRIPTION

DOSSIER D'INSCRIPTION CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE NICE ECOLE D' INFIRMIERS ANESTHESISTES CONCOURS D ENTREE DOSSIER D'INSCRIPTION DATE LIMITE DE DEPOT LE DERNIER JOUR OUVRABLE DU MOIS DE MARS ANNEE N ECOLE INFIRMIERS

Plus en détail

AVIS URGENT RELATIF À LA SÉCURITÉ

AVIS URGENT RELATIF À LA SÉCURITÉ Juin 2013 AVIS URGENT RELATIF À LA SÉCURITÉ Identifiant : FSCA APR2013 Type d'action : Avis de sécurité Nom du produit : Contrôleur HeartWare Code du produit : 1400, 1401XX, 1407XX, 1408 Plage de n de

Plus en détail

Prévenir la colonisation par Campylobacter chez les poulets de chair. Dr. Wael Abdelrahman Consultant technique, Probiotiques volailles

Prévenir la colonisation par Campylobacter chez les poulets de chair. Dr. Wael Abdelrahman Consultant technique, Probiotiques volailles Prévenir la colonisation par Campylobacter chez les poulets de chair Dr. Wael Abdelrahman Consultant technique, Probiotiques volailles Prévenir la colonisation par Campylobacter chez les poulets de chair

Plus en détail

HUMI-BLOCK - TOUPRET

HUMI-BLOCK - TOUPRET FICHE DE DONNEES DE SECURITE Révision antérieure : (Selon l annexe II du Règlement REACH de l UE 1907/2006) Mise à jour : 19 janvier 2010 Version : 1 HUMI-BLOCK - TOUPRET 1-IDENTIFICATION DU PRODUIT ET

Plus en détail

La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002.

La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002. Le diagnostic de la tuberculose bovine La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002. 1. Tuberculination Dans la première phase d une infection de tuberculose bovine (Mycobacterium

Plus en détail

CONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE

CONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE Ministère de l enseignement supérieur et de la recherche Ministère de la santé et des sports CONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE Valeurs biologiques usuelles Edition de Novembre 2009 (6 pages) Conseil

Plus en détail

Psoriasis Vieux fléau Nouvelle maladie métabolique

Psoriasis Vieux fléau Nouvelle maladie métabolique Psoriasis Vieux fléau Nouvelle maladie métabolique Printemps médical de Bourgogne 21 mars 2015 Jean Friedel dermatologie-vénéréologie Chalon-sur-Saône Observation n 1 Un homme de 44 ans 23/12/2014 : psoriasis

Plus en détail

Niveau d assurance de stérilité (NAS) Hôpital Neuchâtelois Sylvie Schneider Novembre 2007

Niveau d assurance de stérilité (NAS) Hôpital Neuchâtelois Sylvie Schneider Novembre 2007 Niveau d assurance de stérilité (NAS) Hôpital Neuchâtelois Sylvie Schneider Novembre 2007 Plan Objectif de la stérilisation Rappel théorique Niveau d Assurance Stérilité Conséquence Destruction des micro-organismes

Plus en détail

Sérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde

Sérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde 1 ETSL Sérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde TP 1 GABIN-GAUTHIER 13/11/2009 I. LA MALADIE... 2 II. TECHNIQUES QUALITATIVES... 2 1. PRINCIPE... 2 2. MODE OPERATOIRE... 3 2.1. WRST ou Waaler Rose

Plus en détail

LE TABLEUR OPENOFFICE CALC : CONTRÔLES DE FORMULAIRES ACCÈS AUX BASES DE DONNÉES

LE TABLEUR OPENOFFICE CALC : CONTRÔLES DE FORMULAIRES ACCÈS AUX BASES DE DONNÉES LE TABLEUR OPENOFFICE CALC : CONTRÔLES DE FORMULAIRES ACCÈS AUX BASES DE DONNÉES 1. Les bases de données dans OpenOffice CALC Dans OpenOffice Calc une base de données désigne simplement un tableau de valeurs.

Plus en détail

La Greffe de Cellules Souches Hématopoïétiques

La Greffe de Cellules Souches Hématopoïétiques La Greffe de Cellules Souches Hématopoïétiques Professeur Ibrahim Yakoub-Agha CHRU de LILLE (Illustration de J. Cloup, extraite du CD-Rom «greffe de Moelle» réalisé par la société K Noë) La moelle osseuse

Plus en détail

Surveillance des toxi infections alimentaires collectives

Surveillance des toxi infections alimentaires collectives Nombre de foyers Surveillance des toxi infections alimentaires collectives Données de la déclaration obligatoire, 2011 En 2011, 1 153 foyers de toxi infections alimentaires collectives (Tiac) ont été déclarés

Plus en détail

PROPRIÉTÉS D'UN LASER

PROPRIÉTÉS D'UN LASER PROPRIÉTÉS D'UN LASER Compétences mises en jeu durant l'activité : Compétences générales : S'impliquer, être autonome. Elaborer et réaliser un protocole expérimental en toute sécurité. Compétence(s) spécifique(s)

Plus en détail

*Test sur 20 femmes présentant des taches de sénescence sur les 2 mains et sur le visage. Age moyen 59 ± 1 an. Test par colorimétrie.

*Test sur 20 femmes présentant des taches de sénescence sur les 2 mains et sur le visage. Age moyen 59 ± 1 an. Test par colorimétrie. WHITE RESOLUTION SOIN ÉCLAIRCISSANT ANTI-TÂCHES, ANTI-ÂGE AU WHITESPHERE TM PREMIUM ET IPARZINE -4A PERFORMANCE PRODUIT Ce soin est une formule ultra-active qui permet de lutter efficacement contre les

Plus en détail

DÉVELOPPEMENT D'UN MODÈLE DE CICATRISATION ÉPIDERMIQUE APRÈS UNE DÉSÉPIDERMISATION LASER

DÉVELOPPEMENT D'UN MODÈLE DE CICATRISATION ÉPIDERMIQUE APRÈS UNE DÉSÉPIDERMISATION LASER UNIVERSITÉ TOULOUSE III - PAUL SABATIER TOULOUSE U.F.R MÉDECINE THÈSE POUR OBTENIR LE GRADE DE DOCTEUR DE L'UNIVERSITÉ TOULOUSE III Discipline: Ingénierie Médicale et Biologique Par M. younes FERRAQ TITRE

Plus en détail

CONTROVERSE : IDR OU QUANTIFERON LORS D'UN CONTAGE EN EHPAD?

CONTROVERSE : IDR OU QUANTIFERON LORS D'UN CONTAGE EN EHPAD? CONTROVERSE : IDR OU QUANTIFERON LORS D'UN CONTAGE EN EHPAD? Hélène MANGEARD François MALADRY Tuberculose : infection mycobactérienne Infection mycobactérienne chronique (M. Tuberculosis ++ ou bacille

Plus en détail

Présentation générale des principales sources d énergies fossiles.

Présentation générale des principales sources d énergies fossiles. Présentation générale des principales sources d énergies fossiles. Date : 19/09/2012 NOM / Name SIGNATURE Etabli / Prepared Vérifié / Checked Approuvé /Approved G J-L & R-SENE R.SENE R.SENE Sommaire 1.

Plus en détail

SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES

SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES Dr Virginie NAEL Service de Santé au travail du personnel hospitalier CHU Nantes 44èmes journées FMC ANMTEPH / SOHF - Lausanne - Septembre

Plus en détail

Spécialisation 3A AgroSup Dijon IAA Microbiologie Industrielle et Biotechnologie (MIB)

Spécialisation 3A AgroSup Dijon IAA Microbiologie Industrielle et Biotechnologie (MIB) Spécialisation 3A AgroSup Dijon IAA Microbiologie Industrielle et Biotechnologie (MIB) Responsable : Jean-François Cavin (Pr. Microbiologie Biotechnologie) Tel 03 80 77 40 72, Fax 03 80 77 23 84 jf.cavin@agrosupdijon.fr

Plus en détail

Mécanismes moléculaires à l origine des maladies autoimmunes

Mécanismes moléculaires à l origine des maladies autoimmunes Mécanismes moléculaires à l origine des maladies autoimmunes Sébastien Lacroix-Desmazes INSERM UMRS 1138 Immunopathology and herapeutic Immunointervention CRC - Paris, France Ma connaissance d un patient

Plus en détail

Critères pour les méthodes de quantification des résidus potentiellement allergéniques de protéines de collage dans le vin (OIV-Oeno 427-2010)

Critères pour les méthodes de quantification des résidus potentiellement allergéniques de protéines de collage dans le vin (OIV-Oeno 427-2010) Méthode OIV- -MA-AS315-23 Type de méthode : critères Critères pour les méthodes de quantification des résidus potentiellement allergéniques de protéines de collage (OIV-Oeno 427-2010) 1 Définitions des

Plus en détail

Sommaire de la séquence 7

Sommaire de la séquence 7 Sommaire de la séquence 7 De tout temps, l Homme a été frappé par des maladies mortelles qui décimaient des populations entières lors d épidémies connues comme la peste ou le choléra. Malgré ces fléaux,

Plus en détail

Prévention des escarres

Prévention des escarres Prévention des escarres MOBILISATION ET POSITIONNEMENT Historique 1848 : Robert Graves Ecrivait qu il était possible de prévenir les escarres par une mobilisation régulière. 1961 : Kosiak Etude sur les

Plus en détail

COUSIN Fabien KERGOURLAY Gilles. 19 octobre 2007. de l hôte par les. Master 2 MFA Responsable : UE Incidence des paramètres environnementaux

COUSIN Fabien KERGOURLAY Gilles. 19 octobre 2007. de l hôte par les. Master 2 MFA Responsable : UE Incidence des paramètres environnementaux COUSIN Fabien KERGOURLAY Gilles 19 octobre 2007 Inhibition des défenses de l hôte par les bactéries pathogènes Master 2 MFA Responsable : UE Incidence des paramètres environnementaux Gwennola ERMEL I Détection

Plus en détail

Notre système. Immunitaire

Notre système. Immunitaire Notre système Immunitaire Notre système Immunitaire Edito L association I.R.I.S. salue l initiative de Sara Lebien, qui en écrivant cet ouvrage et en proposant une illustration gaie et coloré a rendu l

Plus en détail

THEME 2 : CORPS HUMAIN ET SANTE : L EXERCICE PHYSIQUE

THEME 2 : CORPS HUMAIN ET SANTE : L EXERCICE PHYSIQUE THEME 2 : CORPS HUMAIN ET SANTE : L EXERCICE PHYSIQUE Introduction générale : L Homme, pour vivre, a besoin de se nourrir. La nutrition fait appel à différentes fonctions que sont l alimentation, la respiration

Plus en détail

La reconnaissez- vous?

La reconnaissez- vous? La reconnaissez- vous? Qu est ce qu une puce? C est un insecte piqueur sans ailes de couleur brune mesurant quelques millimètres et ayant la capacité de sauter 30 fois sa longueur. L espèce Cténocephalidès

Plus en détail

Les piscines à usage collectif Règles sanitaires. à usage collectif

Les piscines à usage collectif Règles sanitaires. à usage collectif Déclaration d ouverture La déclaration d ouverture d une piscine (accompagnée d un dossier justificatif) est à adresser en 3 exemplaires à la mairie d implantation de l établissement et un exemplaire en

Plus en détail

LA STOMATITE LYMPHOPLASMOCYTAIRE FELINE

LA STOMATITE LYMPHOPLASMOCYTAIRE FELINE ANNEE 2006 THESE : 06 TOU 3 4103 LA STOMATITE LYMPHOPLASMOCYTAIRE FELINE MECANISMES IMMUNOPATHOLOGIQUES ET APPLICATIONS THERAPEUTIQUES THESE pour obtenir le grade de DOCTEUR VETERINAIRE DIPLOME D ETAT

Plus en détail

A B C Eau Eau savonneuse Eau + détergent

A B C Eau Eau savonneuse Eau + détergent 1L : Physique et chimie dans la cuisine Chapitre.3 : Chimie et lavage I. Les savons et les détergents synthétiques 1. Propriétés détergentes des savons Le savon est un détergent naturel, les détergents

Plus en détail

Objectifs : piloter l organisation à travers des indicateurs (regroupés dans un tableau de bord), et informer des résultats la hiérarchie.

Objectifs : piloter l organisation à travers des indicateurs (regroupés dans un tableau de bord), et informer des résultats la hiérarchie. C HAPI TRE 8 Tableau de bord et reporting Objectifs : piloter l organisation à travers des indicateurs (regroupés dans un tableau de bord), et informer des résultats la hiérarchie. 1 Principes A Le tableau

Plus en détail

L APS ET LE DIABETE. Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie.

L APS ET LE DIABETE. Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie. 1. Qu est-ce que le diabète? L APS ET LE DIABETE Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie. Cette hyperglycémie est avérée si à 2 reprises

Plus en détail

Aspects juridiques de la transplantation hépatique. Pr. Ass. F. Ait boughima Médecin Légiste CHU Ibn Sina, Rabat

Aspects juridiques de la transplantation hépatique. Pr. Ass. F. Ait boughima Médecin Légiste CHU Ibn Sina, Rabat Aspects juridiques de la transplantation hépatique Pr. Ass. F. Ait boughima Médecin Légiste CHU Ibn Sina, Rabat CONTEXTE - La greffe, longtemps image expérimentale, est une thérapeutique éprouvée - Première

Plus en détail

Conférence technique internationale de la FAO

Conférence technique internationale de la FAO Décembre 2009 ABDC-10/7.2 F Conférence technique internationale de la FAO Biotechnologies agricoles dans les pays en développement: choix et perspectives pour les cultures, les forêts, l élevage, les pêches

Plus en détail

TITRE : On est tous séropositif!

TITRE : On est tous séropositif! PRÉPARER UNE «SITUATION COMPLEXE DISCIPLINAIRE», SITUATION D APPRENTISSAGE ET/OU D ÉVALUATION TITRE : On est tous séropositif! classe : 3 ème durée : 30 min I - Choisir des objectifs dans les textes officiels.

Plus en détail

1. Création d'un état... 2. 2. Création d'un état Instantané Colonnes... 3. 3. Création d'un état Instantané Tableau... 4

1. Création d'un état... 2. 2. Création d'un état Instantané Colonnes... 3. 3. Création d'un état Instantané Tableau... 4 1. Création d'un état... 2 2. Création d'un état Instantané Colonnes... 3 3. Création d'un état Instantané Tableau... 4 4. Création d'un état avec plusieurs tables... 9 5. Modifier la structure d'un état...11

Plus en détail

Boughanmi Hajer. JAOUA Noureddine. Membre du bureau exécutif de l OTEF

Boughanmi Hajer. JAOUA Noureddine. Membre du bureau exécutif de l OTEF Organisation Tunisienne pour L Éducation et de la Famille Elaboré par Diabète infantile Boughanmi Hajer Encadré par : Licence appliquée en Biotechnologie JAOUA Noureddine Membre du bureau exécutif de l

Plus en détail