Croissance de la productivité et réallocation des ressources : le tissu productif français depuis 2000

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1 Document de traval Hathem Ben Hassne N jullet Crossance de la productvté et réallocaton des ressources : le tssu productf franças depus Les documents de traval de France Stratége présentent les travaux de recherche réalsés par ses experts, seuls ou en collaboraton avec des experts extéreurs. L objet de leur dffuson est de suscter le débat et d appeler commentares et crtques. Les documents de cette sére sont publés sous la responsablté édtorale du commssare général. Les opnons et recommandatons qu y fgurent engagent leurs auteurs et n ont pas vocaton à refléter la poston du Gouvernement.

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3 Crossance de la productvté et réallocaton des ressources : le tssu productf franças depus 2000 Sommare Résumé... 3 Introducton Les décompostons des gans de productvté La décomposton selon la méthode de Foster, Haltwanger et Krsan (2001) La décomposton selon la méthode de Grlches et Regev (1995) La décomposton selon la méthode de Meltz et Polanec (2015) Les données La PTF estmée selon la méthode de Levnsohn et Petrn (2003) Sources de (dé)crossance de la productvté sectorelle : réallocaton ou apprentssage? Premers ensegnements d une analyse globale Une analyse plus fne par secteur Une analyse plus fne de la réallocaton et du processus de destructon-créaton (méthode FHK) La robustesse des résultats Untés légales vs entreprses au sens de la LME : quelles conséquences du chox de l unté statstque? Le recours à des sous-pérodes de durée dentque Concluson Annexes Références Document de traval n jullet

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5 Crossance de la productvté et réallocaton des ressources : le tssu productf franças depus 2000 Hathem Ben Hassne 1 Résumé La crse fnancère a eu un mpact négatf sur la productvté totale des facteurs en France, mas cet mpact a été atténué par le rôle mportant joué par le processus de réallocaton des ressources. Ce rôle s est appuyé sur deux mécansmes dstncts. Le premer est un mécansme de destructon-créaton (processus de renouvellement du tssu productf) qu s est tradut à partr de 2008 par un effet de dsparton des entreprses les mons performantes. Le deuxème est un processus de transfert de ressources vers les entreprses les plus dynamques ayant améloré leur nveau de productvté quel qu en sot le nveau ntal. Ces résultats obtenus à l ade d un large échantllon d entreprses françases observées sur deux pérodes avant et après la crse ( et ), masquent des dspartés sectorelles mportantes. Ils montrent que la crse a davantage touché les secteurs manufacturers et la constructon que les servces. Classfcaton JEL : L2, L25, O4, C10. Mots clés : productvté totale des facteurs, réallocaton des ressources, apprentssage, processus de destructon-créaton, Schumpeter. 1 Chef de projet, France Stratége, département Économe, hathem.ben-hassne@stratege.gouv.fr Nous tenons à remercer les partcpants à dfférents sémnares pour leurs remarques et suggestons sur pluseurs versons prélmnares de ce traval. Celu-c a également bénéfcé des commentares éclarés de Vncent Ausslloux, Dder Blanchet, Laurence Bloch, Jean Psan-Ferry, Catherne Fuss, Clare Lelarge, Fabrce Lenglart, Claude Matheu, Jean-Paul Ncolaï, Cornne Prost, Fabenne Rosenwald et les tros rapporteurs anonymes de la revue Économe et Statstque. Ce traval a bénéfcé d une ade de l État gérée par l Agence natonale de la recherche au ttre du Programme d nvestssements d avenr, portant la référence ANR-10-EQPX-17 (Centre d accès sécursé aux données CASD). Document de traval n jullet

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7 Crossance de la productvté et réallocaton des ressources : le tssu productf franças depus 2000 Introducton En 2009, le nombre de créaton d entreprses a bassé de près de 21,5 % par rapport à l année précédente. Dans le même temps, défallances supplémentares ont été enregstrées, sot une augmentaton annuelle de 14,5 % par rapport à l année Les entreprses défallantes, c est-à-dre celles qu sortent du marché, mas auss les entreprses pérennes les mons productves lbèrent des ressources au proft des plus performantes. Ce transfert de ressources vers les entreprses les plus productves, qualfé dans la lttérature de «réallocaton des ressources», n est pas sans conséquence sur les agrégats macroéconomques. De fat, une lttérature récente s est développée sur les réallocatons de ressources et l mpact du processus de renouvellement et de crossance des entreprses sur la productvté agrégée au nveau sectorel et natonal (vor notamment Alfaro, Charlton et Kanczuk, 2009 ; Hseh et Klenow, 2009 ; Restucca et Rogerson, 2013 ; Mdrgan et Xu, 2014). Les gans lés à une melleure réallocaton des ressources sont non néglgeables. Hseh et Klenow (2009) les estment entre 30 % et 50 % pour la Chne, entre 1998 et 2005 et entre 40 % et 60 % pour l Inde entre 1987 et Les auteurs utlsent l écart entre la productvté des entreprses amércanes (comme un benchmark) avec celles de l Inde et de la Chne pour mesurer la mésallocaton (allocaton non optmale) des ressources dans ces deux pays. Petrn et Svadasan (2011) estment pour leur part que la réducton d une unté monétare de l écart entre productvté margnale et prx des facteurs de producton entraîne une augmentaton de la valeur ajoutée des entreprses chlenne de 0,5 % en moyenne, entre 1982 et Dans ce document de traval, nous analysons la dynamque de la réallocaton des ressources entre les entreprses françases et sa contrbuton à la crossance de la productvté sectorelle et natonale. La réallocaton est mesurée c au travers de l évoluton des parts de marché. Nous cherchons également à évaluer la capacté d apprentssage des entreprses et ses effets sur la crossance de la productvté sectorelle et natonale. La capacté d apprentssage est mesurée par l évoluton de la productvté des entreprses pérennes. Notre analyse couvre un large champ de l actvté économque. Elle porte non seulement sur les ndustres manufacturères (hors ndustres extractves) mas auss sur les secteurs des servces (en nomenclature agrégée de la NACE rév2) sur deux pérodes avant et après la crse ( pus ). Dans la lttérature théorque, deux types d apprentssage sont consdérés : l apprentssage passf (Jovanovc, 1982) et l apprentssage actf (Ercson et Pakes, 1995). Pour (Jovanovc 1982), les entrants potentels sur un marché ne connassent pas leur nveau de productvté. Une fos sur le marché, ls découvrent leur chance de surve et leur nveau de crossance. Le modèle d apprentssage passf (passve learnng) à la Jovanovc (1982) suppose que les entreprses sont dans une stuaton d ncerttude sur leur nveau de productvté/performance. Par contre, elles connassent la dstrbuton des performances du secteur. Leur présence sur le marché va leur permettre d apprendre progressvement leur nveau de productvté fxé a Document de traval n jullet

8 Crossance de la productvté et réallocaton des ressources : le tssu productf franças depus 2000 pror. Une fos connu ce nveau, les entreprses peuvent rester dans la branche ou au contrare sortr s leur nveau de productvté est trop fable. Dans le modèle d apprentssage actf (actve learnng) d Ercson et Pakes (1995), les entreprses ont la possblté de fare évoluer leur productvté par des nvestssements (en R & D, en captal physque, etc.) sachant que les nvestssements réalsés tardent généralement à se concrétser, leurs rendements sont ncertans et que l envronnement économque peut condure à davantage de pressons concurrentelles sur les marchés. Dans ce cadre d analyse, les entreprses qu ne sont pas capables de s adapter aux changements d envronnement en réalsant un volume d nvestssement suffsant par rapport à leurs concurrentes ou en accrossant leur productvté, vont pérclter et dsparaître du marché. Pakes et Ercson (1998) montrent que le modèle de «passve learnng» semble s ajuster assez ben avec le secteur du commerce de détal alors que le secteur manufacturer serat plutôt compatble avec le modèle d «actve learnng». Nous ne cherchons pas c à dfférencer actve et passve learnng, mas plutôt à dfférencer la part dans la productvté sectorelle due à l apprentssage et celle due à la réallocaton des ressources. Nous dstnguons la réallocaton entre entreprses pérennes et la réallocaton entre entreprses entrantes et sortantes. Cette dernère est qualfée de processus schumpétéren de destructon-créaton 2. La réallocaton entre entreprses pérennes reflète les gans de part de marché pour les plus productves et pour celles qu amélorent leurs performances (Consel d analyse économque, 2015). S ce n est pas le cas, on parle alors de «mésallocaton» 3. Le processus de destructon-créaton est la traducton de la dynamque de renouvellement d entreprses dans les secteurs (Bartelsman, Haltwanger et Scarpetta, 2013). Fontagné et Santon (2015) montrent que la réallocaton des facteurs de producton s est dégradée depus le début des années 2000 et que cette mésallocaton concerne partculèrement les pettes entreprses et les entreprses âgées. Osotmehn (2013) s nterroge sur l mportance de la réallocaton entre entreprses pérennes d un côté et sur celle du processus de destructon-créaton de l autre. Elle montre, sur la pérode , que la contrbuton à l évoluton de la productvté totale des facteurs (PTF) sectorelle françase des premères est plus mportante que celle émanant d un processus de destructon-créaton. Foster, Haltwanger, et Krzan (2001) estment que la réallocaton du facteur traval entre entreprses entrantes et sortantes d un même secteur explque plus de 50 % de la crossance de la productvté ndustrelle des États-Uns. Cette part dépasse les 2 Le processus schumpétéren de destructon-créaton fat référence c à une entrée sur un marché (concurrentel) de nouvelles entreprses qu, grâce à des nnovatons (de produt, de procédé, d organsaton, marketng, etc.), entraîne la dsparton et l obsolescence des ancennes et assurent le renouvellement permanent des structures de producton. Pour un cadre théorque formel de l hypothèse schumpétérenne, vor Aghon et Howtt (1992). 3 On pourrat auss consdérer la mesure de la mésallocaton au travers de l écart entre prx des outputs et coûts margnaux. Dans ce cas, les nputs se réallouant des entreprses dont l écart entre prx et coût margnal est fable vers des entreprses dont l écart est plus élevé (Petrn et Levnsohn, 2012). Document de traval n jullet

9 Crossance de la productvté et réallocaton des ressources : le tssu productf franças depus % dans certans secteurs. Lentz et Mortensen (2008) montrent que la réallocaton de la man-d œuvre au Danemark y contrbue à près de 50 %. Dfférentes méthodes de décomposton de la productvté ont été proposées pour quantfer l effet de la réallocaton sur la varaton de la productvté sectorelle. Les résultats varent selon la pérode étudée et surtout selon la méthode de décomposton adoptée. La premère décomposton a été proposée par Baly et al. (1992) désormas BHC. Dans cette méthode, l effet du processus de destructon-créaton est très sensble au nombre d entrées et de sortes des entreprses : s à productvté donnée, l y a plus d entrées que de sortes, l effet net de l entrée (entrées mons sortes), sera systématquement négatf (Haltwanger, 1997). Foster, Haltwanger & Krzan (2001) désormas FHK et Grlches & Regev (1995) ; désormas GR proposent deux méthodes de décomposton qu corrgent de ce bas en tenant compte d un effet «talle». La décomposton à la FHK calcule la contrbuton des entrées et des sortes en écart par rapport à la productvté moyenne du secteur en début de pérode alors que GR calcule cette contrbuton relatvement à la moyenne de la productvté agrégée entre deux années (t et t-k). Selon GR, la méthode de FHK est sensble aux erreurs de mesure. De son côté, la méthode de GR pose un problème lé à l nterprétaton des effets d apprentssage et de réallocaton. Meltz et Polanec (2015) désormas MP postulent que toutes ces méthodes souffrent d un bas lé à la surestmaton de la contrbuton des entreprses entrantes et que par conséquent cela sous-estme la contrbuton des entreprses pérennes qu serat deux à tros fos plus mportante que ce qu elle est avec les méthodes de GR et de FHK. Nous utlsons dans ce traval toutes ces décompostons, horms celle de BHC qu ne contrôle pas d un effet «talle», pour évaluer l effet de la crse de 2008 sur l apprentssage, sur le processus de destructon-créaton et sur les mécansmes de réallocaton des ressources dans les secteurs manufacturers et des servces en France. Les résultats obtenus font apparaître clarement les effets de la crse de 2008 qu a fortement affecté la productvté de tous les secteurs. Les entreprses n ont pas réuss à s adapter à cet envronnement de crse. Cependant, deux mécansmes ont joué un rôle prépondérant dans l atténuaton de la basse de la productvté des secteurs en France : ) un processus de réallocaton des ressources entre entreprses pérennes dont l effet est postf malgré un léger nfléchssement après la crse et ) un processus schumpetéren de destructon-créaton qu est notable avant la crse et qu joue un rôle mons marqué durant la pérode d après crse. Toutefos, le processus schumpétéren dot être c consdéré comme un processus d assanssement (cleansng). En effet, les entreprses entrantes contrbuent plus que la moyenne aux gans de productvté du secteur, contrarement aux entreprses sortantes. L effet de l entrée nette (entrées mons sortes) est surtout tré par la dsparton des entreprses les mons productves. Quant à l effet d apprentssage, l a essentellement contrbué à la chute de la PTF en France : l est le prncpal facteur explcatf de la chute de la productvté en France après la crse. Document de traval n jullet

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11 Crossance de la productvté et réallocaton des ressources : le tssu productf franças depus Les décompostons des gans de productvté La productvté agrégée pour l ensemble de l économe ou du secteur P t à l nstant t se défnt comme une moyenne pondérée de la productvté de chaque entreprse : P t = θ t p t Où θ t représente la part de la valeur ajoutée de l entreprse à l nstant t et p t mesure le log de la PTF. Ben que d autres mesures de performance aent été utlsées dans la lttérature, nous nous concentrons dans ce traval sur la productvté totale des facteurs. La premère décomposton proposée par Baly, Hulten et Campbel (1992) fat apparaître quatre composantes de la varaton de la productvté agrégée : ΔP t = θ t k Δp t + Δθ t p t + θ t p t θ t k p t k C Effet ntra C Effet nter N X Effet entrée nette où Δ représente le taux de varaton (la PTF étant exprmée en logarthmes) sur un ntervalle de k années entre la premère année (t-k) et la dernère année (t) ; C, N et X sont des catégores d entreprses pérennes, entrantes et sortantes 4, respectvement. La crossance de la productvté se décompose en deux effets dstncts : un effet d apprentssage (learnng process) des entreprses et un effet de réallocaton de ressources. Nous consdérons que le premer terme représente la part de la productvté due à l apprentssage qu découle de l évoluton de la productvté dans les entreprses pérennes, l s agt de l effet ntra. Le deuxème terme consttue l effet nter des entreprses pérennes qu mesure la varaton de la productvté, à la sute d un changement de composton des parts de marché. Enfn, les deux derners termes mesurent l effet d entrée nette du processus de destructon-créaton. Cette décomposton, contrarement à celles qu suvront, n est pas calculée relatvement à un nveau de productvté de référence ce qu mplque que la contrbuton des entreprses entrantes est toujours postve et que la contrbuton des sortantes est toujours négatve, ndépendamment de leur nveau de productvté. Pour paller ce problème lé à la contrbuton des entrées-sortes, FHK mas auss GR proposent une décomposton où la contrbuton des entrées-sortes est calculée relatvement à une productvté agrégée de référence (en écart à la moyenne de début de pérode pour FHK et en écart à la moyenne temporelle pour GR). Dans la sute du document, nous présentons dans un premer temps les méthodes de décomposton de FHK (2001), de GR (1995) et de MP (2015). Pus, nous exposons et 4 Une entreprse est dte «pérenne» s elle est en actvté en (t-k) et en (t). Elle est consdérée comme une entreprse «sortante» s elle est en actvté en (t-k) et nexstante en (t). S elle est en actvté en (t) et nexstante en (t-k), elle a le statut «entrante». Document de traval n jullet

12 Crossance de la productvté et réallocaton des ressources : le tssu productf franças depus 2000 comparons les résultats de ces dfférentes méthodes sur données françases La décomposton selon la méthode de Foster, Haltwanger et Krsan (2001) Pour FHK, le nveau de productvté de référence correspond à la productvté moyenne de début de pérode. De fat, la décomposton proposée par FHK permet de dfférencer la contrbuton des entreprses entrantes, sortantes et pérennes dans la crossance de la productvté moyenne pondérée. Nous dstnguons cnq effets communément appelés effet ntra (wthn), effet nter (between), effet covarance (cross), effet de l entrée (entry) et effet de la sorte (ext), comme présentés c-dessous dans l ordre : ΔP t = θ t k Δp t + Δθ t (p t k P t k ) + Δθ t Δp t C Effet ntra C Effet nter C Covarance + θ t (p t P t k ) θ t k (p t k P t k ) N X Effet entrée nette Le premer terme, effet ntra, représente la part de la productvté due à l apprentssage, le deuxème terme est un effet nter mesurant la contrbuton de la réallocaton des ressources entre les entreprses pérennes. Une hausse des parts de marché condut à un effet nter postf s la productvté de l entreprse est plus élevée que la productvté moyenne du secteur en début de pérode. Le trosème terme est une covarance entre la productvté et la talle des entreprses. Il est postf lorsque la productvté et les parts de marché de l entreprse évoluent dans le même sens. Ce terme montre que pour qu une entreprse pusse contrbuer à la crossance de la PTF elle dot être de plus en plus performante et gagner des parts de marché même s sa productvté est en dessous de la productvté moyenne de son secteur. Il s agt donc d un terme qu rend compte d un processus de réallocaton mas pas forcément vers les entreprses les plus productves. Enfn, les deux derners termes mesurent l effet de l entrée et de la sorte du marché. Avec la prse en compte de l effet net des entrées, l est possble d apprécer le processus de destructoncréaton sur la productvté agrégée. La méthode de décomposton à la FHK pose des problèmes de mesure comme cela a été évoqué par les auteurs eux-mêmes. Le calcul des dfférentes contrbutons relatvement à la productvté moyenne de début de pérode rsque de surévaluer la contrbuton de l effet d entrée et de sous-estmer par voe de conséquence, la contrbuton des entreprses pérennes. En effet, les entreprses entrantes ne sont pas, par constructon, ncluses dans le calcul de la productvté moyenne de début de pérode qu apparaît dans les termes nter et entrée nette. Ne pas tenr compte de ces entreprses entrantes dans le calcul de la productvté de référence mplque une surestmaton de leur contrbuton et une sousestmaton de la contrbuton des entreprses pérennes. La décomposton de GR permet de contrôler de ces erreurs de mesure pusque la Document de traval n jullet

13 Crossance de la productvté et réallocaton des ressources : le tssu productf franças depus 2000 productvté de référence est calculée à l ade d une moyenne temporelle ncluant ans les entreprses entrantes et pérennes La décomposton selon la méthode de Grlches et Regev (1995) Grlches et Regev (1995) utlsent la productvté agrégée moyenne entre deux pérodes (P ) comme mesure de la productvté de référence : ΔP t = θ Δp t + Δθ t (p P ) + θ t (p t P ) θ t k (p t k P ) C Effet ntra C Effet nter N X Effet entrée nette Le premer terme représente toujours l effet ntra mas pondéré désormas par la moyenne temporelle des parts de marché de l entreprse. L effet nter et de l entrée nette sont calculés relatvement à la productvté moyenne temporelle. Cette décomposton présente l ntérêt d être mons sensble aux erreurs de mesure. Toutefos, elle peut poser un problème d nterprétaton des contrbutons. L effet ntra et l effet nter sont nterdépendant entre eux pusque dans le premer la pondératon utlsée est la moyenne des parts de marché et dans le second leur dfférence (Duhautos, El Hamne & El Basr 2008). De plus, cette décomposton ne fat pas apparaître un terme de covarance qu pourrat rendre compte d un éventuel mécansme de réallocaton vers des entreprses devenant plus productves au cours de la pérode étudée, ndépendamment de leur nveau de productvté ntal La décomposton selon la méthode de Meltz et Polanec (2015) À partr de la décomposton statque d Olley et Pakes (1996) désormas OP, P t = θ t p t = p t + (θ t θ t)(p t p t) = p t + cov(θ t, p t ) MP propose une décomposton dynamque qu tent compte des mouvements d entrée-sorte des entreprses : + θ t [ θ t N N N Avec : p t = 1 n t θ t p t C ΔP t = θ t C θ t p t Effet ntra + Δcov(θ t, p t ) Effet covarance p t ] θ t k [ X X Effet entrée nette θ t k X θ t k p t k C p t 1 n C p t k et cov(θ t, p t ) = =C (θ t θ t)(p t p t) t k C θ t k C θ t k p t k ] Le premer terme représente l effet ntra. Il est dfférent de l effet ntra obtenu avec les méthodes de BHC, FHK et GR. Il s agt d une moyenne non pondérée de la productvté des entreprses pérennes. Il est consttué à partr du premer terme de la décomposton d OP en Document de traval n jullet

14 Crossance de la productvté et réallocaton des ressources : le tssu productf franças depus 2000 prenant la dfférence de cette moyenne entre l année t et l année t-k. Le deuxème terme, effet covarance, correspond auss au terme de covarance de la décomposton OP en varaton. Il ne pourrat donc pas être comparé à celu de FHK (calculé en écart par rapport à la productvté de la pérode ntale des entreprses pérennes). Bartelsman, Haltwanger, et Scarpetta (2013) et Olley et Pakes (1996), utlsent le terme de covarance de la décomposton OP comme une mesure de l mpact des dstorsons des marchés lées à la dérégulaton sur la réallocaton des ressources. OP (1996) montrent par exemple, que dans l ndustre amércane des équpements de télécommuncaton, la dérégulaton a perms une réallocaton plus rapde des nputs et des outputs des entreprses les mons effcaces vers les entreprses les plus effcaces. Le même résultat est confrmé par l étude de Bartelsman, Haltwanger, et Scarpetta (2013) en comparant l effet de dstorsons sur les marchés dans pluseurs pays 5 sur la réallocaton des ressources et sur la productvté agrégée. On peut toutefos questonner une telle nterprétaton de ce terme de covarance. Un sgne postf correspond à un len entre crossance de la talle et crossance de la productvté. La causalté peut jouer c dans les deux sens : les gans de productvté adent à la crossance, ou ben la crossance ade aux gans de productvté. Dans ce second cas, la lecture est nverse de celle de Bartelsman, Haltwanger, et Scarpetta (2013), pusqu elle correspond à une forme de rendements d échelle crossants. Il s agt de rendements d échelle hors facteur captal et traval, c est-à-dre des effets provenant de la R & D, de l organsaton, de la marque, de la relaton-clent, etc. Mas de tels rendements d échelle s accommodent mal de l hypothèse qu sous-tend la logque de dérégulaton, qu nécesste l hypothèse de rendements d échelle décrossants pour que la lbre concurrence sot source d effcacté. Contrarement à la dérégulaton ou à la lbéralsaton des échanges, un choc de productvté exogène comme celu déclenché par la crse de 2008 pourrat avor des effets ambgus. D un côté, la basse de la demande entrane une basse de la producton et de ce fat, une dégradaton des performances productves des entreprses par le jeu nversé des économes d échelles. D un autre côté, la crse va «assanr» les dfférents secteurs en évnçant les entreprses les mons performantes, en rédusant éventuellement les barrères à l entrée pour les entrants potentels et en permettant aux survvants de se restructurer pour retrouver leurs nveau de crossance d avant-crse 6. Dans ce contexte, l n est pas mpossble que la crse fnancère de 2008 at joué un rôle prépondérant dans le processus de destructon-créaton va les flux net de créaton d entreprses. En effet, ce renouvellement des entreprses qu favorse le processus de réallocaton des ressources peut être à l orgne de gans de productvté comme le suggère l étude de Foster, Haltwanger et Krzan (2006) dans le secteur du commerce de détal durant les années 1990 aux États-Uns. 5 France, États-Uns, Royaume-Un, Allemagne, Pays-Bas, Hongre, Roumane et Slovéne. 6 En pérode de crse, les autortés publques peuvent être nctées à déréguler l accès aux marchés pour en favorser l entrée. Document de traval n jullet

15 Crossance de la productvté et réallocaton des ressources : le tssu productf franças depus Les données Les données utlsées sont trées du fcher complet unfé de SUSE 7 (FICUS 8 ) qu fournt des nformatons sur des varables économques et comptables sur les entreprses. Ce fcher est lu-même construt à partr de deux sources : la lasse fscale et l enquête annuelle d entreprses (EAE). Depus 2008, un seul dspostf exste : l Élaboraton des Statstques Annuelles d'entreprses (ESANE). Ces bases de données couvrent l ensemble des entreprses soumses à l mpôt sur les socétés. Elles contennent des nformatons sur le chffre d'affares, la valeur ajoutée, les consommatons ntermédares, l'nvestssement, les mmoblsatons corporelles et ncorporelles, etc. Les varables d emplo sont auss dsponbles mas potentellement soumses à des erreurs de mesure. Il nous a paru préférable d utlser les nformatons trées des déclaratons annuelles de données socales (DADS). Les estmatons par secteur des élastctés du traval et du captal sont réalsées en se basant sur la noton d entreprse selon la défnton de la Lo n de modernsaton de l Économe (Lo LME), qu tent compte de la dmenson «groupe». Nous avons donc utlsé l'enquête sur les lasons fnancères (LIFI 9 ). Nous utlsons par alleurs les données de l Insee par branche d actvté pour obtenr des déflateurs de la valeur ajoutée, du captal, des consommatons ntermédares et de l nvestssement. Nous retenons les entreprses de plus de 9 salarés pour évter que nos estmatons soent sensbles aux toutes pettes entreprses fortement soumses aux erreurs de mesure. Nous avons également exclu les secteurs suvants : Agrculture, Sylvculture et pêche ; Industres extractves ; Admnstraton publque, Ensegnement, Santé humane et Acton socale ; Actvtés culturelles et les Autres actvtés et servces. Comme dans Gullou et Nesta (2015), dx secteurs ont été sélectonnés recouvrant près de 90 % de la valeur ajoutée marchande : cnq secteurs manufacturers (Fabrcaton de denrées almentares de bossons et de produts à base de tabac, Cokéfacton et Raffnage, Fabrcaton d équpements et de machnes, Fabrcaton de matérels de transport, Fabrcaton d autres produts ndustrels), le secteur de la constructon et quatre grandes catégores du secteur des servces : () les servces aux entreprses de «Basse et moyenne technologe» ncluant Transports et entreposage et les Servces admnstratfs et de souten ; () les servces aux entreprses de «haute technologe» comprenant Informaton et communcaton et les Servces scentfques et technques ; () les actvtés fnancères et mmoblères ; (v) les autres servces comprenant les servces Commerce et réparaton et Hébergement et Restauraton. La pérode étudée ( ) est très mportante car elle est marquée par la crse de 2008 et le début de la reprse à partr de C est une pérode où les mouvements d entréesorte des entreprses ont été assez nombreux, avec la sorte des entreprses les plus 7 Système unfé de statstques d'entreprses (Insee). 8 Fcher complet et unfé de Suse. 9 Enquête sur les lasons fnancères entre socétés (Insee). Document de traval n jullet

16 Crossance de la productvté et réallocaton des ressources : le tssu productf franças depus 2000 touchées par les falltes et l entrée, dans une proporton mondre, de concurrents potentels des entreprses survvantes. Entre 2000 et 2007, une entreprse est consdérée comme entrante s elle état en actvté en 2007 et nexstante en 2000 ; sortante s elle état en actvté en 2000 et nexstante en 2007 et pérenne s elle état en actvté en 2000 et en En suvant la même méthode de dénombrement sur la pérode , nous obtenons le tableau suvant : Tableau 1 Nombre d entreprses par type Nombre d'entreprses Nombre annuelle moyen Entrantes Sortantes Pérennes Source : Fcus/Fare (Insee) : Calculs de l auteur Le nombre d entreprses entrantes et sortantes 10 est plus mportant sur la pérode ( et entreprses, respectvement) par rapport à la pérode ( et entreprses, respectvement). Cet écart est dû, compte tenu de notre méthode de dénombrement, au fat que la premère pérode est plus longue que la deuxème. Comptablser les entrées (sortes) chaque année de 2001 à 2007 (2000 à 2006) mplque de cumuler le nombre d entreprses entrantes (sortantes) sur sept années, ce qu donne automatquement un nombre plus élevé que lorsque le dénombrement se fat sur quatre années, de 2009 à Le champ temporel couvert par les données ( ) permet également d apprécer les effets de la crse pour les secteurs qu connassaent déjà des dffcultés avant même de subr le choc négatf de Un secteur déjà en dffculté avant la crse ne devrat pas connaître le même rythme d ajustement d après crse qu un secteur qu a connu une pérode d avant crse plus florssante. Les tableaux 2 et 3 ndquent les dffcultés rencontrées après la crse de 2008 par dfférents secteurs comme celu de la constructon ou des actvtés fnancères et mmoblères pour retrouver des nveaux de valeur ajoutée et de productvté au mons équvalents à ceux de la pérode d avant-crse. Cependant, une smple analyse descrptve ne permet pas de détermner les dfférents mécansmes de réallocaton des ressources entre entreprses et leur contrbuton à l évoluton de la productvté. Nous proposons donc, dans ce qu sut, de mener une analyse permettant d dentfer les sources de (dé)crossance de la productvté totale des facteurs et d dentfer les secteurs les plus à même de connaître une dynamque de renouvellement des entreprses et de réallocaton des ressources. 10 Nous avons contrôlé que les sortes correspondent ben à des sortes de la base et qu l ne s agt pas d une sorte lée à la basse d effectf en-dessous du seul que nous avons retenu de 10 salarés. En revanche, nous ne pouvons contrôler les sortes lées à des opératons de fuson-acquston. Document de traval n jullet

17 Crossance de la productvté et réallocaton des ressources : le tssu productf franças depus 2000 Secteurs 1 Classe de talle mesurée par l effectf en fn d année Source : Fcus/Fare (Insee) : Calculs de l auteur Tableau 2 Évoluton de la valeur ajoutée par secteur et talle d entreprse (en mllards d euros) [10- [ [ [ 1 [2000 et + [ 1 [10-200[ 1 [ [ 1 [2000 et + [ 1 [10-200[ 1 [ [ 1 [2000 et + [ 1 [10-200[ 1 [ [ 1 [2000 et + [ 1 Manufacturer 40,09 26,10 16,22 45,28 25,50 3,63 45,08 18,47 2,89 40,26 12,90 3,69 Constructon 34,99 4,97 1,20 39,32 5,29 1,56 35,62 5,86 1,56 30,47 5,56 0,67 Servces aux entreprses de «Basse et moyenne technologe» Servces aux entreprses de «haute technologe» Actvtés fnancères et mmoblères 22,54 12,30 47,03 24,74 14,65 16,85 25,44 18,01 14,67 27,26 16,02 13,20 22,64 11,40 3,09 26,77 12,47 2,53 26,68 11,67 2,32 27,58 8,97 2,06 15,19 76,99 0,47 16,64 7,71 0,49 10,63 5,68 0,52 11,22 7,18 0,46 Autres servces 64,36 21,22 12,52 72,30 24,47 16,08 73,89 34,85 16,02 75,70 35,74 13,72 Total 199,81 152,98 80,53 225,05 90,09 41,14 217,33 94,54 37,99 212,50 86,37 33,80 # d entreprses Document de traval n jullet

18 Crossance de la productvté et réallocaton des ressources : le tssu productf franças depus 2000 Tableau 3 Moyenne de la PTF par secteur et type d entreprse avant et après la crse Secteurs Avant ( ) Après ( ) Pérennes Entrantes Sortantes Pérennes Entrantes Sortantes Manufacturer 3,84 3,74 3,74 3,79 3,69 3,70 Constructon 4,13 4,16 3,95 3,99 3,98 3,78 Servces aux entreprses de «Basse et moyenne technologe» 3,85 3,86 3,72 3,93 3,90 3,67 Servces aux entreprses de «haute technologe» 4,30 4,37 4,17 4,42 4,50 4,30 Actvtés fnancères et mmoblères 4,29 4,34 4,32 4,31 4,35 4,00 Autres servces 4,02 3,98 3,80 4,08 3,99 3,81 Moyenne (Tous secteurs d actvté) Source : Fcus/Fare (Insee) : Calculs de l auteur 3,98 4,02 3,81 4,02 4,02 3, La PTF estmée selon la méthode de Levnsohn et Petrn (2003) Pour calculer la PTF nous estmons une foncton de producton Cobb-Douglas à deux facteurs de producton : captal et traval sans mposer la nature des rendements d échelle. y jt = ptf jt + β lj l jt + β kj k jt + ε jt, Où y jt représente la valeur ajoutée de la frme du secteur j l année t, déflatée par son ndce de prx annuel ; Le paramètre ptf jt représente la productvté totale des facteurs, une mesure de l effcacté productve des entreprses ; l jt représente l effectf salaré en fn d année, une mesure du facteur traval ; k jt représente le stock de captal physque, déflaté par l ndce de prx annuel de l nvestssement. Toutes les varables sont exprmées en logarthme et les ndces de prx utlsés sont au nveau du secteur. Les estmatons sont réalsées par secteur selon la nomenclature agrégée à dx secteurs de la NAF rév 2 sur la pérode L unté statstque retenue est l «entreprse» au sens groupe. Le paramètre ε jt représente le terme d erreur dosyncratque qu mesure les éventuels chocs de productvté affectant la frme appartenant au secteur j l année t. Nous fasons l hypothèse que E(k jt ε jt ) = E(l jt ε jt ) = 0. Fnalement, la ptf jt évolue en foncton des chocs de productvté spécfques à l entreprse, antcpés par elle mas nobservés par l économètre. Parm les méthodes d estmatons récentes des fonctons de producton, nous utlsons celle développée par Levnsohn et Petrn (2003) désormas LP. L un des prncpaux avantages de cette méthode est de contrôler des chocs de productvté (postfs et/ou négatfs) Document de traval n jullet

19 Crossance de la productvté et réallocaton des ressources : le tssu productf franças depus 2000 parfatement nternalsés et ajustés par le manager et non dscernable par l économètre. Pour pouvor dentfer les coeffcents d nputs, l est nécessare de consdérer une varable auxlare (proxy) qu pour des rasons technques dot toujours être à valeurs strctement postves. Chez Olley et Pakes (1996), l s agt de l nvestssement tands que LP retennent les consommatons ntermédares. Pour lmter les bas d attrton, nous utlsons comme varable auxlare les consommatons ntermédares qu sont mons systématquement à valeurs nulles par rapport à l nvestssement. Les résultats montrent des dfférences notables des élastctés des facteurs de producton estmées entre secteurs. Ces dfférences témognent de l hétérogénété des technologes de producton utlsées et de la dfférence d ntensté captalstque. L estmaton de notre foncton de producton condut à des valeurs cohérentes des élastctés d nputs. Ans, nous retrouvons dans le secteur manufacturer un résultat smlare à ce qu est généralement obtenu dans la lttérature : 66 % pour le traval et 33 % pour le captal compte tenu des ntervalles de confance assocés à chaque coeffcent. En revanche, dans les secteurs des servces la part du captal dans la producton est assez fable, elle ne dépasse pas les 20 % : 13,3 % dans le secteur des servces aux entreprses de basse et moyenne technologe et 15,1 % dans le secteur des servces aux entreprses de haute technologe. La varaton entre les secteurs est plus mportante pour le captal que pour le traval : le coeffcent de varaton est de 12,2 % pour le traval et de 25,4 % pour le captal. Document de traval n jullet

20 Crossance de la productvté et réallocaton des ressources : le tssu productf franças depus 2000 Tableau 4-a Estmaton des facteurs de producton par secteur selon la méthode LP 1 (Nomenclature agrégée à 10 secteurs Entreprses au sens de la LME) Fabrcaton de denrées almentares de bossons Cokéfacton et Fabrcaton d équpements Fabrcaton de matérels Fabrcaton d autres et de produts à base de raffnage et de machnes de transport produts ndustrels tabac Log L 0,533*** 0,496*** 0,463*** 0,590*** 0,591*** (0,007) (0,087) (0,010) (0,019) (0,004) Log K 0,195*** 0,316* 0,231*** 0,231*** 0,217*** (0,008) (0,184) (0,012) (0,035) (0,008) # d observatons # d entreprses Les écarts-types sont entre parenthèses. Coeffcents sgnfcatfs au seul de 10 % *, au seul de 5 % **, au seul de 1 % ***, 1 LP est une méthode d estmaton en deux étapes. Comme l élastcté du traval est estmée à la deuxème étape, les écarts types sont basés. Pour corrger ce bas nous estmons des écarts types robustes en utlsant un bootstrap avec 250 réplcatons. Document de traval n jullet

21 Crossance de la productvté et réallocaton des ressources : le tssu productf franças depus 2000 Tableau 4-b Estmaton des facteurs de producton par secteur selon la méthode LP 1 (Nomenclature agrégée à 10 secteurs Entreprses au sens de la LME) Constructon Servces aux entreprses de basse et moyenne technologe Servces aux entreprses de haute technologe Actvtés fnancères et mmoblères Autres servces. Log L 0,570*** 0,726*** 0,641*** 0,627*** 0,589*** (0,003) (0,003) (0,004) (0,010) (0,003) Log K 0,197*** 0,133*** 0,151*** 0,159*** 0,162*** (0,003) (0,005) (0,004) (0,008) (0,003) # d observatons # d entreprses Les écarts-types sont entre parenthèses. Coeffcents sgnfcatfs au seul de 10 % *, au seul de 5 % **, au seul de 1 % ***, 1 LP est une méthode d estmaton en deux étapes. Comme l élastcté du traval est estmée à la deuxème étape, les écarts types sont basés. Pour corrger ce bas nous estmons des écarts-types robustes en utlsant un bootstrap avec 250 réplcatons. Document de traval n jullet

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23 Crossance de la productvté et réallocaton des ressources : le tssu productf franças depus Sources de (dé)crossance de la productvté sectorelle : réallocaton ou apprentssage? 2.1. Premers ensegnements d une analyse globale Le tableau 5 montre qu entre 2000 et 2007 la PTF agrégée a augmenté en France de 5,4 % tands qu elle a bassé de 1,6 % entre 2008 et Selon la décomposton FHK, la crossance de la PTF avant la crse fnancère repose prncpalement sur le processus de réallocaton des ressources entre entreprses pérennes au travers de l effet covarance (+2,8 pp 11 ), le processus de destructon-créaton des entreprses (entrée nette, +2,4 pp) et l apprentssage (effet ntra, +1,5 pp). Plus globalement, entre 2000 et 2007 la contrbuton de l effet d apprentssage est équvalente à celle de la réallocaton (effet nter + effet covarance). Durant cette pérode, nous remarquons clarement que le processus de réallocaton qu contrbue le plus à la crossance de la PTF, toujours selon la méthode de FHK, est celu des entreprses pérennes ayant améloré smultanément leur productvté et leur part de marché (effet covarance). On note également que les ressources ne sont pas réallouées des entreprses les mons productves vers les plus productves, entre 2000 et 2007, pusque l effet nter contrbue négatvement à la crossance de la PTF (-1,3 pp). Les entreprses sortantes contrbuent postvement 12, par leur sorte, aux gans de productvté des secteurs (-0,9 pp). De leur côté, les entreprses entrantes ont une contrbuton plus mportante (+1,5 pp). La crse de 2008 s est tradute par une basse relatvement mportante de la PTF (-1,6 %). Cette basse est le résultat d une chute assez mportante de l effet d apprentssage (ntra). Cet effet contrbue à hauteur de 280 % à la basse de productvté constatée. A contraro, l effet réallocaton des ressources (nter + covarance) contrbue postvement (1,4 pp). L effet réallocaton a donc consttué une force de rappel dans la chute de la PTF. Le terme de covarance a représenté à lu seul +3,3 pp sur la pérode De son côté, le processus de destructon-créaton fournt une contrbuton notable (+1,5 pp), mas nféreur à ce qu l état avant la crse, avec un rôle nversé entre entreprses entrantes et sortantes. Ans, les entreprses sortantes ont contrbué à hauteur de +1,4 pp entre 2008 et 2012 tands que les entreprses entrantes ne contrbuaent qu à hauteur de +0,1 pp. La contrbuton postve des entreprses sortantes est essentellement due à leur dsparton étant donné leur fable productvté par rapport à la productvté moyenne des secteurs. Par conséquent, le processus de destructon-créaton après la crse semble surtout s exprmer 11 Pont(s) de pourcentage. 12 Pour que les entreprses sortantes contrbuent postvement à la crossance de la productvté agrégée des secteurs, l faut qu elles soent mons productves que la moyenne sectorelle en début de pérode. En d autres termes, le fat qu elles ne soent plus présentes sur le marché en fn de pérode, alors qu elles avaent une productvté nféreure à la moyenne sectorelle avant leur sorte, a un effet postf sur le taux de crossance de la PTF agrégée. Document de traval n jullet

24 Crossance de la productvté et réallocaton des ressources : le tssu productf franças depus 2000 dans la dmenson destructon. Tableau 5 Décomposton de la crossance de la PTF selon FHK, GR et MP (Tous secteurs d actvté Entreprses au sens de la LME) Pérode P t (%) Intra Inter Covarance Entrée Sorte Entrée nette , , , , , ,6 1,5 (28) -4,5 (280) 2,9 (54) -2,8 (175) 3,5 (65) -2,2 (138) -1,3 (24) -1,9 (119) 0,3 (6) -0,2 (12) - - FHK GR MP 2,8 (52) 3,3 (206) - - 0,8 (15) -1,2 (75) 1,5 (28) 0,1 (6) 0,8 (15) 0,2 (12) 0,1 (2) 0,2 (13) -0,9 (17) -1,4 (87) -1,4 (26) -1,2 (75) -1,0 (19) -1,6 (100) 2,4 (44) 1,5 (94) 2,2 (41) 1,4 (87) 1,1 (20) 1,8 (113) Lecture : la PTF agrégée des secteurs en France a augmenté de 5,4 % entre 2000 et Selon la décomposton FHK le processus d apprentssage (Intra) contrbue pour 1,5 pp alors que la réallocaton de ressources entre entreprses pérennes contrbue pour 1,5 pp (nter + covarance). Le processus de réallocaton des entrées-sortes des entreprses contrbue pour 2,4 pp (entrée - sorte). Les valeurs entre parenthèses sont en pourcentage et représentent la part de chaque composante dans le taux de varaton de la PTF agrégée en valeur absolue. Les décompostons de FHK, de GR et celle de MP donnent des résultats dfférents. Nous remarquons qu effectvement FHK et GR surévaluent la contrbuton des entrées notamment durant la pérode ce qu mplque une sous-évaluaton de la contrbuton des entreprses pérennes. De son côté, l effet ntra est plus mportant dans la décomposton MP avant la crse. Cet effet d apprentssage contrbue pour 65 % (contre 28 % pour FHK et 54 % pour GR) à la crossance de la productvté agrégée entre 2000 et Le terme de covarance contrbue, quant à lu, de façon plus mesurée avant la crse à la crossance de la PTF (0,8 pp avec MP contre 2,8 pp avec FHK) et a même un effet négatf après crse (- 1,2 pp avec MP contre +3,3 pp avec FHK). Durant la pérode post-crse, la contrbuton de l effet ntra à la basse de la crossance de la PTF est négatve quelle que sot la méthode de décomposton retenue : elle représente -2,2 pp pour MP contre -4,5 pp pour FHK et -2,8 pp pour GR. Meltz et Polanec (2015) explquent cette plus fable contrbuton négatve de la Document de traval n jullet

25 Crossance de la productvté et réallocaton des ressources : le tssu productf franças depus 2000 composante ntra par une melleure prse en compte de la contrbuton des entreprses entrantes qu, entre 2000 et 2007, ne représente plus que 0,1 pp de la crossance de la PTF alors qu elle représentat 1,5 pp et 0,8 pp respectvement, avec la décomposton FHK et GR. Toutefos, durant la pérode post-crse, les méthodes FHK et GR ne font plus apparaître cette forte contrbuton des entreprses entrantes. D alleurs cette contrbuton a tellement bassé qu un résultat très smlare est obtenu à présent par la décomposton MP. Cette fable contrbuton postve des entreprses entrantes, assocée à une contrbuton relatvement mportante par la sorte des entreprses les mons productves après la crse, a perms d atténuer la chute de la PTF au processus schumpétéren de destructon-créaton. Les méthodes utlsées c produsent des résultats dfférents sur les effets des composantes de la productvté. Le seul résultat relatvement stable qu apparasse est celu du processus de destructon-créaton qu a une contrbuton notable après la crse sur l accrossement de la productvté agrégée, surtout au travers des entreprses sortantes Une analyse plus fne par secteur Les tableaux 6, 7 et 8 donnent les résultats des décompostons de la crossance de la PTF par secteur selon les tros méthodes. On remarque que les effets au nveau des secteurs varent peu par rapport à la tendance générale, à l excepton du secteur de la constructon qu fat apparaître une décrossance marquée de la PTF avant et après la crse de Tous les secteurs ont été mpactés par la crse, horms celu de la «Fabrcaton de denrées almentares de bossons et de produts à base de tabac» qu affche le même taux de crossance (6 %) avant et après la crse, grâce à un mportant effet d apprentssage qu a sgnfcatvement contrbué à cette stablté. Dans l ndustre manufacturère, mse à part le secteur «Cokéfacton et raffnage», deux secteurs en partculer ont le plus pât de la crse. Il s agt du secteur «Fabrcaton d équpements et de machnes», qu affche une basse de 10,7 %, et «Fabrcaton de matérels de transport» avec une basse de 15,4 %. Le nveau de réallocaton et les mouvements d entrée-sorte ont contrbué de façon quas-nsgnfante, snon négatve à la crossance de la PTF de ces secteurs. Plus largement, dans les secteurs manufacturers, c est essentellement l ncapacté des entreprses à s adapter à leur nouvel envronnement (effet négatf de l apprentssage) qu a contrbué à la décrossance de leur productvté. De nouveau, n le mécansme de destructon-créaton n celu de la réallocaton des ressources ont joué un rôle d amortsseur pour atténuer la chute de la PTF. Dans les secteurs des servces aux entreprses, ces mouvements d entrée-sorte ont clarement contrbué sur la pérode au manten d une crossance certes plus fable que celle d avant-crse mas qu est demeurée malgré tout postve, et cec quelle que sot la méthode de décomposton retenue. La contrbuton de la réallocaton des ressources est plus mtgée pour ces deux secteurs de servces aux entreprses (de «Basse et moyenne technologe» et de «haute technologe»). En effet, seule la méthode FHK permet d obtenr un effet postf de la réallocaton des ressources sur la crossance de la PTF des entreprses. Les méthodes de GR et de MP montrent des effets plutôt négatfs de la réallocaton après la crse de Ces effets sont ncompatbles avec l ntuton qu veut que les entreprses Document de traval n jullet

26 Crossance de la productvté et réallocaton des ressources : le tssu productf franças depus 2000 proftent des pérodes de crse pour se réorganser afn de restaurer leur nveau de performance. Cette ntuton suppose néanmons que des dstorsons ne vennent pas empêcher la réallocaton des facteurs de producton des mons productves vers les plus productves 13 et ans frener la crossance de la productvté (Bartelsman, Haltwanger, et Scarpetta 2013). Dans le secteur des actvtés fnancères et mmoblères, l effet schumpétéren de destructon-créaton a joué un rôle mportant dans l évoluton de la PTF autant avant qu après la crse. Cette composante a pu avor un effet d accélérateur de la crossance de la PTF pusqu l s agt du seul secteur qu at connu un accrossement de sa productvté après la crse en comparason de la pérode d avant-crse. Ce résultat est cohérent avec celu de Gullou et Nesta (2015) et pourrat être explqué par l effet précoce et mmédat de la crse sur ce secteur (dès 2008). Pour les autres secteurs, les mécansmes de transmssons retarderaent les effets de la crse. 13 Dans sa note n 25 de 2015, le Consel d analyse économque postule qu en France le passage d une entreprse de 49 à 50 salarés mplque «de se conformer à 34 oblgatons légslatves et réglementares supplémentares». Document de traval n jullet

27 Crossance de la productvté et réallocaton des ressources : le tssu productf franças depus 2000 Tableau 6 Décomposton de la crossance de la PTF sectorelle selon la méthode FHK Secteur P t (%) Apprentssage Réallocaton Fabrcaton de denrées almentares de bossons et de produts à base de tabac Entrée nette P t (%) Apprentssage Réallocaton Entrée nette 6 4,6 1,2 0,1 6,0 3,6 1,4 1,0 Cokéfacton et Raffnage 15,2 19,8 5,9-10,6-32,9-27,0-5,3-0,6 Fabrcaton d équpements et de machnes 38,2 27,9 2,9 7,4-10,7-7,7-0,7-2,3 Fabrcaton de matérels de transport 12,4 4,3 2,2 5,9-15,4-15,7-0,5 0,8 Fabrcaton d autres produts ndustrels 15,6 7,5 2,3 5,9 0,6-2,8 1,5 1,9 Constructon -6,6-6,8 2,1-2,0-12,1-14,6 0,6 1,9 Servces aux entreprses de «Basse et moyenne technologe» 4,4 1,8 0,5 2,1 1,2-1,6 1,0 1,7 Servces aux entreprses de «haute technologe» 8,2 3,7 1,0 3,6 2,1-0,7 1,5 1,3 Actvtés fnancères et mmoblères 9 2,5 1,9 4,4 9,4 2,5 2,3 4,6 Autres servces 1,7 0,1 2,1-0,4 0,4-2,6 1,6 1,5 Apprentssage = Effet ntra, Réallocaton = Effet nter + Effet covarance ; Entrée nette = Entrée - Sorte Document de traval n jullet

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