Rapport de la Session d apprentissage sur les nouvelles opportunités de la micro-assurance

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Rapport de la Session d apprentissage sur les nouvelles opportunités de la micro-assurance"

Transcription

1 Ministère de l Economie et des Finances Direction des Assurances Rapport de la Session d apprentissage sur les nouvelles opportunités de la micro-assurance Dakar, Sénégal Le 30 Septembre

2 Sommaire Annexes :... 2 I. Rappel du contexte... 3 II. Rappel des objectifs de l atelier... 4 Objectif général... 4 Objectifs spécifiques... 4 III. Déroulement de l atelier... 4 A. Plénière 1 : Rôle et enjeux de la micro assurance pour les économies africaines... 5 B. Plénière 2 : Expérience en Assurance agricole... 6 C. Plénière 3 : Education financière, Protection du consommateur et valeur client... 7 D. Plénière 4 : Assurance et Technologies mobiles... 8 E. Clôture de la session... 9 Annexes : - Les communications 2

3 Le 30 Septembre 2014 à Dakar, s est tenue une session d apprentissage sur les nouvelles opportunités de la micro-assurance organisée par la Direction des Assurances du Ministère de l Economie, des Finances et du Plan en collaboration avec le Bureau International du Travail (BIT) et le United Nations Capital Development Fund (UNCDF). I. Rappel du contexte Le diagnostic a révélé que les populations les plus exposées et fragiles aux chocs exogènes et autres aléas de la vie sont celles qui sont les plus pauvres, exclues des systèmes classiques de couverture et de transfert de risques. Elles constituent la masse laborieuse de l économie sénégalaise et sont concentrées dans le secteur agricole dominé par l agriculture pluviale (95% des cultures) et le secteur informel marqué par une précarité de l activité, une irrégularité des revenus et une absence de couverture des personnes et des biens. Le Sénégal vient de lancer son programme de développement de la micro-assurance le 07 Août 2014 avec un atelier de formulation stratégique qui a regroupé l ensemble des acteurs concernés par la résilience des populations. Le programme a pour but d élargir l accès à l assurance afin d atteindre ces ménages vulnérables et à faible revenu. Lors dudit atelier, des questions extrêmement intéressantes ont été soulevées, à savoir : - Le potentiel contributif de la micro-assurance dans les politiques publiques ; - L assurance et les risques agricoles de la petite exploitation agricole familiale (EAF) ; - L utilisation des technologies mobiles en assurance pour atteindre l échelle ; - Et l éducation financière des populations ainsi que la protection du consommateur. Dès lors, il était important d approfondir ces problématiques autour d une session d apprentissage à l endroit de l ensemble des acteurs (gouvernement, ONG, partenaires techniques et financiers, assureurs, courtiers d assurance, association professionnelle, Opérateurs de téléphonie, développeurs de solutions mobiles, mutuelles de santé, chercheurs universitaires, instituts de recherche, etc.). 3

4 II. Rappel des objectifs de l atelier Objectif général Apprendre, partager et mettre à niveau l ensemble des acteurs sur ce qui se fait de mieux au Sénégal et ailleurs sur les quatre thèmes retenus par la session. Objectifs spécifiques D une manière particulière, l atelier poursuivait les objectifs suivants : 1. Mettre en relation les différents acteurs du marché et susciter leur intérêt pour qu ils commencent à travailler sur les produits de micro-assurance 2. Exposer et partager le plan d actions du programme pour les deux ans à venir 3. Echanger autour de modèles qui ont réussi dans des contextes similaires mais aussi des expériences pratiques tirées du marché sénégalais. 4. Identifier quelques enjeux majeurs pour le marché sénégalais de la micro-assurance III. Déroulement de l atelier L atelier a regroupé quatre-vingt-cinq (85) participants, représentant : - Le Ministère de l Economie, des Finances et du Plan (Direction des Assurances) ; le Ministère de la Santé et de l Action sociale (Cellule d Appui à la CMU) ; le Ministère de la Fonction publique, du Travail, du Dialogue social et des Organisations professionnelles (Direction de la Protection Sociale) ; Ministère de l élevage (Direction de l élevage ; la Délégation Générale à la Protection Sociale et à la Solidarité Nationale ; l Observatoire National de la Qualité des Services Financiers (OQSF). - les Partenaires Technique et Financiers (BIT, MIF, UNCDF, AFD, DID, SFI, PAM, ACDI, GIZ, OXFAM, SENFINANCES, Délégation de l UE, FAO) - Banque classique et institution de microfinance (CBAO et UM PAMECAS) - Conférence Interafricaine des Marchés d Assurance (CIMA) - le Fonds d Impulsion à la Microfinance (FIMF) ; - les Assureurs et Micro-assureurs Individuels (AXA Assurance ; Allianz Vie ; SALAMA Assurance ; CNAAS ; PMAS ; MICROSEN.AFRIQUE) - les organisations mutualistes (TRANSVIE, Mutuelle de santé PAMECAS, UNAMUSC) - la Fédération Sénégalaise des Sociétés d Assurance (FSSA) - Fédération des sociétés d Assurance de droit National Africains (FANAF) - les ONG (CIDR, CSF, Africare, HUB RURAL, PAFA) ; - les institutions de formation en assurance (CPFA IIA Yaoundé) - les Opérateurs de Téléphonie et développeurs (Tigo Cash ; Amarante ; Microensure) - les Courtiers Individuels d assurance et de micro-assurance ; - le Syndicat Africain des Courtiers d Assurance (SACA) - Institut de recherche agronomique, Consultants, Universitaires, 4

5 A. Plénière 1 : Rôle et enjeux de la micro assurance pour les économies africaines Dans cette plénière nous avons eu droit aux exposés de M. Mamadou FAYE, DG de la Senassurance Vie et M. Moussa DIENG Coordonnateur national du projet de développement de la micro-assurance. Nous pouvons retenir de ces interventions et échanges ce qui suit : La micro-assurance agit sur le potentiel économique et social de nos économie en ayant un impact significatif sur : l accès au crédit et le financement des petites activités ; sur la productivité et la création de richesse ; sur le développement de l agriculture et la sécurité alimentaire mais aussi et également sur l amélioration des conditions de vie et l extension du socle de protection sociale. A ce titre, 135 millions d individus sont concernés dans la zone CIMA et plus de 7 millions de personnes au Sénégal. La structuration de notre économie entre le secteur agricole (60% de la population, 30% du PIB et 60 à 70% de couverture des besoins alimentaires) et le secteur informel (35% de la population) nous oblige à trouver les moyens de sécuriser les mécanismes de financement et à couvrir les risques auxquels ces acteurs et leurs activités sont exposés. Pour ce faire, nous avons besoin d harmoniser certains textes règlementaires comme le code CIMA, le règlement UEMOA sur la mutualité sociale, les nouvelles directives de la BCEAO sur les SFD etc. Pour être efficace, le processus de développement de la micro-assurance a besoin de fédérer l ensemble des acteurs par une démarche inclusive dans ces trois niveaux d intervention (macro, méso et micro). Les activités clés identifiées pour les deux ans à venir concernent : l offre et les canaux de distribution (renforcement des capacités, structuration, etc.) ; la demande (éducation financière, stimulation, etc.) ; l environnement (politiques publiques, incitations, etc.) et la gestion de la connaissance (accès à la documentation, partage d expérience, capitalisation, etc.). Recommandations Plus de concours des pouvoirs publics (incitation fiscale, PPP, financement, etc.) Trouver des solutions pour réduire les coûts d administration et de distribution des produits Simplifier les procédures, les contrats et trouver les moyens de rétablir la confiance des cibles dans l assurance Trouver un cadre de concertation et d orientation multi-acteurs Une stratégie d éducation à l assurance intégrée dans les programmes d éducation financière actuelle Bâtir un modèle économique profitable de la micro-assurance 5

6 B. Plénière 2 : Expérience en Assurance agricole MM. Pape Amadou Ndiouga Ndiaye (DG CNAAS), Mathieu DUBREUIL (ADG PlaNet Guarantee) et Mamadou NDIAYE (Point Focal du GIIF) ont eu à animer cette session importante relative à l assurance agricole. L agriculture au Sénégal est portée principalement par les exploitations agricoles familiales (EAF). Elle est essentiellement pluviale (95%) et est exposée à de nombreux risques (sécheresse, invasion sauteriaux, parasitisme, divagation des animaux, pluies hors saison, invasion aviaire, vol de bétail, commerciaux, etc.) avec des impacts négatifs comme la perte de capital, la perte d outils de production, les difficultés de remboursement de crédit, la sécurité alimentaire, la santé maternelle et infantile. La forte exposition aux risques explique, entre autres, le fait que l agriculture attire moins de 5% des concours bancaires nationaux. L assurance agricole est un domaine transversal qui fait intervenir l Etat, les assureurs, les réassureurs, le régulateur, les instituts de recherche et les intermédiaires. Les coûts liés à l obtention des données agricoles, pluviométriques, satellitaires et de la mise en place d un système d information et de gestion en font un domaine très complexe et très couteux à mettre en place pour une compagnie d assurance seule voire l industrie seule. Dans ce contexte et compte tenu de la spécificité de la cible, les assurances indicielles semblent être la formule la plus adaptée. D autres facteurs empêchent la micro-assurance de progresser convenablement. C est entre autres : - La faiblesse des canaux de distribution face à une fenêtre de vente très courte ; - La désorganisation du financement de l agriculture et des intrants ; - Les coûts liés à la formation et la sensibilisation des cibles ; - Les disponibilités en réassurance ; - Le manque d organisation et d encadrement des producteurs ; - La limite du TEG, quand on veut lier l assurance au crédit agricole. - Etc. Cependant, l implication de plus en plus accrue des IMF dans le financement de l agriculture est une opportunité à saisir. Recommandations L intégration de la micro-assurance et de la microfinance suivant un modèle Partenaire Agent où l IMF est un intermédiaire et non un porteur du risque L organisation des chaines de valeurs agricoles pour une meilleure efficacité La mise en place d infrastructure et de mesures incitatives (pluviomètres automatiques, cartographies des risques, sensibilisation et communication, incitations fiscale, etc.) nécessite l implication de l Etat et des PTF pour faire bénéficier aux acteurs des externalités positives Harmonisation des calendriers culturales et la programmation plus rigoureuse des campagnes agricoles (semences, engrais, prêt campagne, etc.) 6

7 La conception d une cartographie nationale des risques socioprofessionnels des EAF et des UPI La mise en place d outils de gestion et de mitigation des risques au niveau local C. Plénière 3 : Education financière, Protection du consommateur et valeur client La finalité de l assurance inclusive étant de servir les populations, il est important que dans la relation déséquilibrée assureur-assuré que toutes les dispositions soient prises pour garantir une bonne protection du consommateur qui passe aussi par une bonne éducation financière. Les communications sur cette session ont été faites par MM. Miguel SOLANA du Fonds pour l innovation du BIT, Momath NDAO ancien commissaire contrôleur et point focal micro-assurance au niveau de la DA, Pape Omar NDIAYE Auditeur et expert en micro-assurance au sein de DID et Papa Cissé expert financier Coordonnateur du programme d éducation financière des PME au niveau de l OQSF. De cette session, nous pouvons retenir ce qui suit. L éducation financière en assurance c est : développer au moyen d une information, d un enseignement ou d un conseil objectif, les connaissances, les capacités et la confiance des cibles de manière à arriver à un comportement proactif face aux risques. Dans ce domaine, il s agira de stimuler la demande de manière responsable et éthique. Les acteurs les plus concernés sont : l Etat le régulateur l industrie de l assurance (objectifs commerciaux et RSE). Pour cette, dernière l éducation financière doit être intégrée à ses activités fondamentales bien que ne conduisant pas nécessairement, ni immédiatement d ailleurs, à une augmentation des volumes de ventes. La protection du consommateur est un des rôles fondamentaux des régulateurs, CIMA et la Direction des Assurances. Cette dernière, l exerce par un contrôle stricte des compagnies d assurance, des intermédiaires et par la validation de tous les produits d assurance qui doivent être présentés au public. Sur ce plan, la réglementation et les capacités du régulateur ne sont pas tout à fait en adéquation avec les opportunités qu offrent les nouvelles technologies. La protection du consommateur doit être préservée à travers : - Le droit de regard du régulateur sur la conception et la vente des produits - La prévention de la sur-assurance, la sous-assurance et la non assurance - Une tarification responsable et une transparence sur tout le process - Un traitement équitable et respectueux des clients - Une confidentialité des données clients - Et un mécanisme efficace et diligent de traitement des différends et des sinistres Recommandations 7

8 Renforcer les capacités du régulateur pour apprécier et intégrer les innovations tout en assurant la protection du consommateur Engager l Etat et l industrie dans une éducation à l assurance intégrée au programme d éducation financière en cour Aller au-delà d un simple effet de mode et asseoir une éducation financière qui entraine des changements de comportements Pour la réussite d une EF : o Etablir un diagnostic des besoins et un état de l existant (information, formation, formateur) o Elaborer des modules de formation pratique o Concevoir des messages ciblés (déclic/choc, comportement proactif, spots, sketchs, jeux interactifs, quizz, etc.) o Coupler une approche andragogique avec une éducation classique et une sensibilisation de masse D. Plénière 4 : Assurance et Technologies mobiles Le taux de pénétration de la téléphonie mobile et la croissance de la monnaie électronique et des transferts d argent offrent des opportunités énormes pour la microassurance pour atteindre l échelle et réduire les coûts administratifs et de transaction. L assurance par le mobile est le fait d utiliser le téléphone portable pour fournir des services de micro-assurance à des personnes non ou faiblement bancarisés. Un des effets induits est également le relèvement du taux d accès aux services financiers pour les ménages à faible revenu. La valeur pour le client est réelle. Par exemple, dans certaines expériences on a pu noter une réduction du délai d instruction et de paiement des sinistres de 03 mois à 06 jours! Pour réussir le défis de l assurance par le mobile, il sera nécessaire de faire beaucoup de sensibilisation, de communication et une éducation des cibles pour l utilisation de l outil mobile, de disposer de plateformes compatibles avec les téléphones simples et de pouvoir garantir la protection du consommateur. Ce dernier point est très important dans la mesure où le régulateur n est pas encore outillé pour pouvoir contrôler ces nouveaux procédés. Le succès passera également par la mise sur le marché de produits simples (décès, accident-incapacité, accident-hospitalisation) puis de produits plus complexes en moyen terme (santé, assurance agricole, mortalité du bétail, etc.) Il est communément accepté 4 modèles d affaire en assurance par le mobile : - Loyauté passive (gratuit) : assurance offerte par l opérateur de téléphonie pour fidéliser le client 8

9 - Loyauté active (gratuit) : assurance offerte suivant un niveau de consommation ou d utilisation d un service - Freemium : garantie optionnelle contre payement proposée aux clients déjà bénéficiaire d une formule loyauté - Payant : c est quand une offre traditionnelle (classique) est adressée aux clients de l opérateur avec l utilisation du téléphone portable pour effectuer les différentes opérations. Recommandations La collaboration avec un partenaire expérimenté est déterminante Monter des expériences pilotes encadrées par la DA pour en apprendre avant la mise à l échelle L accès du Régulateur à toutes les bases de données liées aux opérations d assurance par le mobile Bâtir sur la confiance déjà acquise par les opérateurs de téléphonie auprès du public Les opérateurs de transfert d argent sont aussi des supports importants dans la distribution E. Clôture de la session Avant de conclure, Monsieur Momath NDAO n a pas manqué de réitérer les excuses du Directeur des Assurances en déplacement et d adresser les remerciements du Ministère de l économie, des finances et du Plan, à l UNCDF et au BIT, pour leur accompagnement. M. Ndao a insisté sur l engagement et la détermination de l Etat à poursuivre de façon résolue la dynamique d amélioration de la résilience des populations vulnérables par l extension des socles de protection sociale et la protection des activités population à faible revenu. Ce programme, dit il est venu à son heure et le Ministère de l Economie, des Finance et du Plan lui apportera tout le soutien nécessaire. 9

CONGRES INTERNATIONAL SUR L ASSURANCE ET LA RÉASSURANCE DES RISQUES AGRICOLES. Partenariat Public Privé dans l Assurance Agricole

CONGRES INTERNATIONAL SUR L ASSURANCE ET LA RÉASSURANCE DES RISQUES AGRICOLES. Partenariat Public Privé dans l Assurance Agricole CONGRES INTERNATIONAL SUR L ASSURANCE ET LA RÉASSURANCE DES RISQUES AGRICOLES 1 Marrakech -29, 30 et 31janvier 2014 Session 2 Partenariat Public Privé dans l Assurance Agricole L expérience de la Compagnie

Plus en détail

L Assurance agricole au Sénégal

L Assurance agricole au Sénégal COLLOQUE FARM - Pluriagri : Assurer la production agricole Comment faire des systèmes assurantiels des outils de développement? 1 Paris, le 18 décembre 2012 Thème L Assurance agricole au Sénégal Un système

Plus en détail

Présenté par OUEDRAOGO Adolphe Chef de Brigade de la CIMA. DAKAR, les 3-4 et 5 novembre 2009

Présenté par OUEDRAOGO Adolphe Chef de Brigade de la CIMA. DAKAR, les 3-4 et 5 novembre 2009 EXPERIENCE SENEGALAISE DE LA MICROASSURANCE: DEFIS ET OPPORTUNITES Présenté par OUEDRAOGO Adolphe Chef de Brigade de la CIMA DAKAR, les 3-4 et 5 novembre 2009 2 INTRODUCTION Le thème sera abordé en cinq

Plus en détail

Présenté par Jean Claude Ngbwa, Secrétaire Général de la CIMA. DAKAR, les 3-4 et 5 novembre 2009

Présenté par Jean Claude Ngbwa, Secrétaire Général de la CIMA. DAKAR, les 3-4 et 5 novembre 2009 PERSPECTIVES DES MARCHES D ASSURANCES AFRICAINS Présenté par Jean Claude Ngbwa, Secrétaire Général de la CIMA DAKAR, les 3-4 et 5 novembre 2009 2 INTRODUCTION Le thème qui nous a été confié porte sur les

Plus en détail

Note Simplifiée. UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE ---------------- La Commission ------------

Note Simplifiée. UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE ---------------- La Commission ------------ UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE ---------------- La Commission ------------ PROJET D APPUI A L EXTENSION DE LA COUVERTURE DU RISQUE MALADIE DANS LES PAYS MEMBRES DE L UEMOA Note Simplifiée

Plus en détail

INTÉGRATION DES SERVICES FINANCIERS DANS LES STRATÉGIES DE LUTTE CONTRE LA PAUVRETÉ Un aperçu Général --------

INTÉGRATION DES SERVICES FINANCIERS DANS LES STRATÉGIES DE LUTTE CONTRE LA PAUVRETÉ Un aperçu Général -------- INTÉGRATION DES SERVICES FINANCIERS DANS LES STRATÉGIES DE LUTTE CONTRE LA PAUVRETÉ Un aperçu Général -------- Colloque UEMOA-CRDI, du 08-10 Décembre 2009, Ouagadougou Samuel T. KABORE; Dieudonné OUEDRAOGO,

Plus en détail

Cas de la Plateforme du Niger

Cas de la Plateforme du Niger Plateformes Nationales de Dialogue entre Acteurs pour l Adaptation de l Agriculture au Changement Climatique Cas de la Plateforme du Niger M me HIMA Fatimatou, Plateforme Paysanne/Niger avril 2013 UNE

Plus en détail

ATELIER Les mutuelles de santé comme acteur et partenaire de la couverture santé universelle

ATELIER Les mutuelles de santé comme acteur et partenaire de la couverture santé universelle FORMATION SUR LE DEVELOPPEMENT DE L ASSURANCE MALADIE UNIVERSELLE www.coopami.org ATELIER Les mutuelles de santé comme acteur et partenaire de la couverture santé universelle Projet d Appui Institutionnel

Plus en détail

RECOMMANDATION DU CONSEIL SUR LES BONNES PRATIQUES POUR AMELIORER LA SENSIBILISATION AUX RISQUES ET L'EDUCATION SUR LES QUESTIONS D'ASSURANCE

RECOMMANDATION DU CONSEIL SUR LES BONNES PRATIQUES POUR AMELIORER LA SENSIBILISATION AUX RISQUES ET L'EDUCATION SUR LES QUESTIONS D'ASSURANCE RECOMMANDATION DU CONSEIL SUR LES BONNES PRATIQUES POUR AMELIORER LA SENSIBILISATION AUX RISQUES ET L'EDUCATION SUR LES QUESTIONS D'ASSURANCE RECOMMANDATION DU CONSEIL Ces Bonnes Pratiques ont été approuvées

Plus en détail

Titre : La Mutuelle Communautaire de Santé de Yaoundé : Un mécanisme solidaire de financement collectif d accès aux soins de santé de qualité.

Titre : La Mutuelle Communautaire de Santé de Yaoundé : Un mécanisme solidaire de financement collectif d accès aux soins de santé de qualité. Titre : La Mutuelle Communautaire de Santé de Yaoundé : Un mécanisme solidaire de financement collectif d accès aux soins de santé de qualité. Sous titre: Projet d appui aux mutuelles de santé et incidence

Plus en détail

Challenge Fund (Fonds d appui) du CGAP sur la Banque à Distance dans l UEMOA

Challenge Fund (Fonds d appui) du CGAP sur la Banque à Distance dans l UEMOA Challenge Fund (Fonds d appui) du CGAP sur la Banque à Distance dans l UEMOA Etat de la banque à distance dans l'uemoa Avec environ 20 initiatives enregistrées auprès de la banque centrale (BCEAO) à la

Plus en détail

Programme d Appui au Développement du Secteur Privé (PADSP) du Cameroun. Le 5 novembre 2013

Programme d Appui au Développement du Secteur Privé (PADSP) du Cameroun. Le 5 novembre 2013 Programme d Appui au Développement du Secteur Privé (PADSP) du Cameroun Le 5 novembre 2013 Plan de la présentation 1. Contexte du Programme 2. Objectifs et méthode du Programme 3. Activités prévues dans

Plus en détail

AGENCE FRANCAISE DE DEVELOPPEMENT. Commission de l UEMOA

AGENCE FRANCAISE DE DEVELOPPEMENT. Commission de l UEMOA NCO NOTE DE COMMUNICATION PUBLIQUE D OPERATION AGENCE FRANCAISE DE DEVELOPPEMENT Commission de l UEMOA Projet d appui à l extension de la couverture du risque maladie dans les États membres de l UEMOA

Plus en détail

CONGRES REGIONAL CTA/ ATPS DE LA JEUNESSE EN AFRIQUE

CONGRES REGIONAL CTA/ ATPS DE LA JEUNESSE EN AFRIQUE CONGRES REGIONAL CTA/ ATPS DE LA JEUNESSE EN AFRIQUE Exploiter le Potentiel de la Science, de la Technologie et de l Innovation dans les chaînes Agro-alimentaires en Afrique : Créer emplois et richesse

Plus en détail

REFERENCES PROFESSIONNELLES

REFERENCES PROFESSIONNELLES Expertise Microfinance LOUGA/MONTAGNE NORD, IMMMEUBLE IBRA NDIAYE TEL: 77 569 39 09/77 560 29 54 Mail : ascodevlg@gmail.com /ascodev@orange.sn REFERENCES PROFESSIONNELLES PRESENTATION DES SERVICES DE LA

Plus en détail

Manuel de formation des formateurs pour le Crédit Mutuelle du Sénégal «CMS» Préparé par: Tamaris Mwabala

Manuel de formation des formateurs pour le Crédit Mutuelle du Sénégal «CMS» Préparé par: Tamaris Mwabala Manuel de formation des formateurs pour le Crédit Mutuelle du Sénégal «CMS» Préparé par: Tamaris Mwabala Frankfurt School of Finance & Management Sonnemannstrasse 9-11 60314 Frankfurt a.m. Tel. +49-69-154008-0

Plus en détail

LE SYSTÈME DE PROTECTION SOCIALE EN SANTÉ DU SÉNÉGAL

LE SYSTÈME DE PROTECTION SOCIALE EN SANTÉ DU SÉNÉGAL République du Sénégal Un Peuple Un But Une Foi Ministère de la Santé et de l Action Sociale Cellule d Appui à la Couverture maladie Universelle LE SYSTÈME DE PROTECTION SOCIALE EN SANTÉ DU SÉNÉGAL Par:

Plus en détail

COOPAMI? Rôle des mutuelles sociales dans les processus de mise en place de Couverture Maladie Universelle (CMU).

COOPAMI? Rôle des mutuelles sociales dans les processus de mise en place de Couverture Maladie Universelle (CMU). www.coopami.org COOPAMI? Rôle des mutuelles sociales dans les processus de mise en place de Couverture Maladie Universelle (CMU). Abidjan 15 juillet 2014 Michel Vigneul Cellule Expertise&COOPAMI Mutuelle

Plus en détail

FORUM INTERNATIONAL DU DAKAR-AGRICOLE

FORUM INTERNATIONAL DU DAKAR-AGRICOLE FORUM INTERNATIONAL DU DAKAR-AGRICOLE La fracture agricole mondiale : «Ouvrir des perspectives pour les espaces en développement» 4 et 5 février 2005 Rapport - ATELIER 2A Thème : Les modèles économiques

Plus en détail

Analyse des Performances Sociales de CREDI - Togo Centre de Recherche-action pour l Environnement et le Développement Intégré

Analyse des Performances Sociales de CREDI - Togo Centre de Recherche-action pour l Environnement et le Développement Intégré Analyse des Performances Sociales de CREDI - Togo Centre de Recherche-action pour l Environnement et le Développement Intégré Considérations générales Ce rapport synthétique est issu de l étude d une organisation

Plus en détail

Développement de la microassurance au Vietnam : quelques expériences intéressantes. Grégoire Chauvière Le Drian Adjoint au directeur ADETEF Vietnam

Développement de la microassurance au Vietnam : quelques expériences intéressantes. Grégoire Chauvière Le Drian Adjoint au directeur ADETEF Vietnam Développement de la microassurance au Vietnam : quelques expériences intéressantes Grégoire Chauvière Le Drian Adjoint au directeur ADETEF Vietnam Atelier du Forum économique et financier Hanoï, 10 et

Plus en détail

MEMORANDUM POSITIONNEMENT DES ORGANISATIONS DE LA SOCIETE CIVILE SENEGALAISE SUR LA COUVERTURE MALADIE UNIVERSELLE

MEMORANDUM POSITIONNEMENT DES ORGANISATIONS DE LA SOCIETE CIVILE SENEGALAISE SUR LA COUVERTURE MALADIE UNIVERSELLE MEMORANDUM MEMORANDUM POSITIONNEMENT DES ORGANISATIONS DE LA SOCIETE CIVILE SENEGALAISE SUR LA COUVERTURE MALADIE UNIVERSELLE Novembre 2013 1. CONTEXTE DU MEMORANDUM Le Sénégal, à l image des pays de la

Plus en détail

Opportunités offertes à l Assurance par la banque d affaires

Opportunités offertes à l Assurance par la banque d affaires Opportunités offertes à l Assurance par la banque d affaires Présentation : Banque Régionale de Marchés (BRM) Assemblée Générale Annuelle FANAF Février 2011, Dakar LA BRM EN QUELQUES MOTS Première banque

Plus en détail

Analyse. Le mouvement mutualiste et les politiques nationales de santé et de protection sociale au Burkina Faso Par Esther Favre-Félix.

Analyse. Le mouvement mutualiste et les politiques nationales de santé et de protection sociale au Burkina Faso Par Esther Favre-Félix. Le mouvement mutualiste et les politiques nationales de santé et de protection sociale au Burkina Faso Par Esther Favre-Félix Esther Favre-Félix est diplômée en Relations internationales de l Université

Plus en détail

Couverture du risque maladie dans les pays en développement: qui doit payer? (Paris, 7 mai 2008)

Couverture du risque maladie dans les pays en développement: qui doit payer? (Paris, 7 mai 2008) Couverture du risque maladie dans les pays en développement: qui doit payer? (Paris, 7 mai 2008) Excellences, Chers collègues, Mesdames et Messieurs, Chers amis, Quelles méthodes, quels instruments pour

Plus en détail

SELECTION D UN CONSULTANT CHARGE DE LA MISE EN PLACE DES REFERENTIELS DE CONTROLE INTERNE ET DE LA MISE A JOUR DES MANUELS DE PROCEDURES DU GIM-UEMOA

SELECTION D UN CONSULTANT CHARGE DE LA MISE EN PLACE DES REFERENTIELS DE CONTROLE INTERNE ET DE LA MISE A JOUR DES MANUELS DE PROCEDURES DU GIM-UEMOA TERMES DE REFERENCE SELECTION D UN CONSULTANT CHARGE DE LA MISE EN PLACE DES REFERENTIELS DE CONTROLE INTERNE ET DE LA MISE A JOUR DES MANUELS DE PROCEDURES DU GIM-UEMOA TDR : REFERENTIELS ET PROCEDURES

Plus en détail

Recrutement d un consultant. Appui à la mutuelle Harena et à la plateforme Zina. PlaNet Finance Madagascar

Recrutement d un consultant. Appui à la mutuelle Harena et à la plateforme Zina. PlaNet Finance Madagascar Termes de références Recrutement d un consultant Appui à la mutuelle Harena et à la plateforme Zina Version finale 15 janvier 2015 1 / 8 Sommaire I. Contexte 3 I.1. Au niveau international 3 I.2. Au niveau

Plus en détail

SEMINAIRE SUR LES RISQUES AGRICOLES

SEMINAIRE SUR LES RISQUES AGRICOLES SEMINAIRE SUR LES RISQUES AGRICOLES ASSURANCE ET REASSURANCE EL AURASSI le 10 juin 2007 Alger LA REASSURANCE DES RISQUES AGRICOLES EN ALGÉRIE Expérience de la CCR Présentation de la CCR Historique de la

Plus en détail

PJ 28/12. 7 février 2012 Original : anglais. Comité des projets/ Conseil international du Café 5 8 mars 2012 Londres, Royaume Uni

PJ 28/12. 7 février 2012 Original : anglais. Comité des projets/ Conseil international du Café 5 8 mars 2012 Londres, Royaume Uni PJ 28/12 7 février 2012 Original : anglais F Comité des projets/ Conseil international du Café 5 8 mars 2012 Londres, Royaume Uni Encourager l intensification de la production caféière et vivrière au moyen

Plus en détail

Mobiliser les banques pour l Inclusion Financière en Afrique. La démarche de l AFD

Mobiliser les banques pour l Inclusion Financière en Afrique. La démarche de l AFD Mobiliser les banques pour l Inclusion Financière en Afrique La démarche de l AFD Positionnement AFD et Proparco Rôle moteur des politiques publiques Sensibilisation + R&D Démonstration Industrialisation

Plus en détail

Cérémonie de clôture de la réunion débat sur le thème de la 56 e session ministérielle

Cérémonie de clôture de la réunion débat sur le thème de la 56 e session ministérielle 1 Cérémonie de clôture de la réunion débat sur le thème de la 56 e session ministérielle Discours de Madame ALBATOUL Zakaria, Ministre de l'enseignement fondamental et de l'alphabétisation du Tchad, Présidente

Plus en détail

Sélection d un Consultant chargé d accompagner le GIM-UEMOA dans le processus de mise en place d un Plan de Continuité de l Activité (PCA)

Sélection d un Consultant chargé d accompagner le GIM-UEMOA dans le processus de mise en place d un Plan de Continuité de l Activité (PCA) TERMES DE REFERENCE Sélection d un Consultant chargé d accompagner le GIM-UEMOA dans le processus de mise en place d un Plan de Continuité de l Activité (PCA) TDR_Plan de Continuité de l Activité (PCA)

Plus en détail

PLACE DE L ASSURANCE PRIVEE DANS LA MISE EN ŒUVRE D UNE ASSURANCE MALADIE DITE UNIVERSELLE

PLACE DE L ASSURANCE PRIVEE DANS LA MISE EN ŒUVRE D UNE ASSURANCE MALADIE DITE UNIVERSELLE PLACE DE L ASSURANCE PRIVEE DANS LA MISE EN ŒUVRE D UNE ASSURANCE MALADIE DITE UNIVERSELLE 37 ème Assemblée Générale de la FANAF YAOUDE (CAMEROUN) 23-28 Février 1 ASSURANCE MALADIE 2 - Un des principaux

Plus en détail

Coup de projecteur : Transferts d'argent des migrants et produits financiers associés

Coup de projecteur : Transferts d'argent des migrants et produits financiers associés Coup de projecteur : Transferts d'argent des migrants et produits financiers associés BIM n - 19 février 2008 Ce BIM est réalisé en partenariat avec le Portail francophone de la microfinance : www.lamicrofinance.org.

Plus en détail

Plateforme d informations climatiques au Niger Présentation de l opportunité

Plateforme d informations climatiques au Niger Présentation de l opportunité Plateforme d informations climatiques au Niger Présentation de l opportunité 23 Novembre 2012 Pour diffusion publique Résumé Exécutif Une opportunité Pour un opérateur privé, la plateforme d'informations

Plus en détail

Caisse Nationale de Mutualité Agricole

Caisse Nationale de Mutualité Agricole Séminaire national sur la vulgarisation, l appui-conseil et les bonnes pratiques agricoles Le rôle des Assurances Agricole dans le développement de la politique du renouveau Agricole et Rural Présentation

Plus en détail

OBJECTIFS. Objectif général

OBJECTIFS. Objectif général Le Programme d action pour la promotion et le financement des PME dans l UEMOA est une déclinaison de la Politique Industrielle Commune (PIC) de l UEMOA. Il vise la création de mécanismes de financement

Plus en détail

Guide des technologies front-end en micro-assurance

Guide des technologies front-end en micro-assurance Choisir une technologie adaptée à la micro-assurance Guide des technologies front-end en micro-assurance conseils pratiques 1. Clear project objectives Michiel Berende et Eric Gerelle Guide des technologies

Plus en détail

Post-alphabétisation des jeunes agriculteurs / éleveurs (JA/JE) déscolarisés

Post-alphabétisation des jeunes agriculteurs / éleveurs (JA/JE) déscolarisés Atelier pour l Afrique Subsaharienne FORMATION DE MASSE EN MILIEU RURAL, ÉLÉMENT DE RÉFLEXION POUR LA DÉFINITION D UNE POLITIQUE NATIONALE Ouagadougou, Burkina Faso 30 mai au 3 juin 2005 Post-alphabétisation

Plus en détail

Atelier Transferts de fonds et développement au Sénégal Dakar, 20-21 Mars 2014

Atelier Transferts de fonds et développement au Sénégal Dakar, 20-21 Mars 2014 Atelier Transferts de fonds et développement au Sénégal Dakar, 20-21 Mars 2014 Synthèse pays Mécanisme de financement pour l envoi de fonds La présente publication peut être reproduite en tout ou en partie

Plus en détail

PRESENTATION GENERALE DU MASTER MAITRISE D OUVRAGE PUBLIQUE ET PRIVEE

PRESENTATION GENERALE DU MASTER MAITRISE D OUVRAGE PUBLIQUE ET PRIVEE PRESENTATION GENERALE DU MASTER MAITRISE D OUVRAGE PUBLIQUE ET PRIVEE 1. Règlement des études Habilité par arrêté du Ministère français de l Enseignement Supérieur et de la Recherche, le Master «Maîtrise

Plus en détail

PROGRAMME D APPUI A MAÎTRISE D OUVRAGE DES ADMINISTRATIONS DU SECTEUR RURAL MINADER-MINEPIA (AMO) PHASE II 2013-2016 FINANCEMENT C2D

PROGRAMME D APPUI A MAÎTRISE D OUVRAGE DES ADMINISTRATIONS DU SECTEUR RURAL MINADER-MINEPIA (AMO) PHASE II 2013-2016 FINANCEMENT C2D MINISTERE DE L AGRICULTURE ET DU DEVELOPPEMENT RURAL MINISTERE DE L ELEVAGE, DES PÊCHES ET DES INDUSTRIES ANIMANES PROGRAMME D APPUI A MAÎTRISE D OUVRAGE DES ADMINISTRATIONS DU SECTEUR RURAL MINADER-MINEPIA

Plus en détail

L assurance récoltes en France

L assurance récoltes en France P A C I F I C A - A S S U R A N C E S D O M M A G E S L assurance récoltes en France Colloque FARM - Pluriagri du 18 décembre 2012 Thierry LANGRENEY Directeur général de Pacifica L assurance, un outil

Plus en détail

En 2003, la Fédération française des sociétés d assurance et la

En 2003, la Fédération française des sociétés d assurance et la L INVESTISSEMENT SOCIALEMENT RESPONSABLE : LE POINT DE VUE D UNE MUTUELLE SPÉCIALISTE EN ASSURANCE VIE L INVESTISSEMENT SOCIALEMENT RESPONSABLE : LE POINT DE VUE D UNE MUTUELLE SPÉCIALISTE EN ASSURANCE

Plus en détail

PRESENTATION GENERALE DU MASTER MAITRISE D OUVRAGE PUBLIQUE ET PRIVEE 1. Règlement des études

PRESENTATION GENERALE DU MASTER MAITRISE D OUVRAGE PUBLIQUE ET PRIVEE 1. Règlement des études PRESENTATION GENERALE DU MASTER MAITRISE D OUVRAGE PUBLIQUE ET PRIVEE 1. Règlement des études Habilité par arrêté du Ministère français de l Enseignement Supérieur et de la Recherche, le Master «Maîtrise

Plus en détail

Formation des Partenaires en Fundraising/Récolte de fonds. Termes de référence

Formation des Partenaires en Fundraising/Récolte de fonds. Termes de référence Formation des Partenaires en Fundraising/Récolte de fonds Termes de référence 1 1. Contexte et justification La formation en recherche de financement s inscrit dans le cadre du programme «Promouvoir l

Plus en détail

Résumé du rapport final du Projet ECDD

Résumé du rapport final du Projet ECDD Résumé du rapport final du Projet ECDD Janvier 2010 avril 2013 A propos du projet ECDD Le projet ECDD a été mis en œuvre par la Bristol Conservation & Science Foundation (une unité opérationnelle de Bristol,

Plus en détail

Insurance of agricultural Risks. Jeudi 30 Janvier 2014

Insurance of agricultural Risks. Jeudi 30 Janvier 2014 Insurance of agricultural Risks Jeudi 30 Janvier 2014 1 Sommaire 1. Brève introduction d Al Amana Microfinance et de son historique dans le rural 2. Mécanisme d Assurance interne et comportement 3. Analyse

Plus en détail

Contributions françaises à la problématique internationale de la protection sociale des travailleurs informels et de leurs familles.

Contributions françaises à la problématique internationale de la protection sociale des travailleurs informels et de leurs familles. Contributions françaises à la problématique internationale de la protection sociale des travailleurs informels et de leurs familles. Un groupe de travail se réunit sous la Présidence de Pierre BURBAN au

Plus en détail

GUILLAUME GILKES PRINCIPALES QUALIFICATIONS

GUILLAUME GILKES PRINCIPALES QUALIFICATIONS GUILLAUME GILKES ESSEC MBA, Actuaire 10 ans d expérience dans le conseil, la formation et la gestion de projet à l international : Actuariat : protection sociale, assurance, finance Stratégie : étude de

Plus en détail

MAQUETTE GENERALE MASTER DIDL.

MAQUETTE GENERALE MASTER DIDL. MAQUETTE GENERALE MASTER DIDL. PROGRAMME DE FORMATION AU MASTER EN «DECENTRALISATION ET INGENIERIE DU DEVELOPPEMENT LOCAL» DE BAMAKO 2009-2010 Ministère de l Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique

Plus en détail

THEME 5: CONDITIONS DE VIABILITE FINANCIERE DE LA MICROFINANCE AGRICOLE

THEME 5: CONDITIONS DE VIABILITE FINANCIERE DE LA MICROFINANCE AGRICOLE RESEAU DES CAISSES POPULAIRES DU BURKINA ********************************* Fédération des Caisses Populaires du Burkina (F.C.P.B.) Tél.: 50.30.48.41, Fax : 50.30.49.10 ; E-mail : fcpb@fasonet.bf ; Adresse

Plus en détail

LES INDUSTRIES EXTRACTIVES

LES INDUSTRIES EXTRACTIVES LES INDUSTRIES EXTRACTIVES 1. Les mesures pratiques qui ont été prises et les progrès réalisés dans leur mise en œuvre Depuis son accession à l indépendance, le Mali, à travers ses différents plans de

Plus en détail

Le financement de l apprentissage informel

Le financement de l apprentissage informel Études de cas Financial arrangements in informal apprenticeships: Determinants and effects. Findings from urban Ghana, Working Paper n o 49, ILO, 2007. Financement de l apprentissage informel : zoom sur

Plus en détail

26 avril 2013. Réglementation et contrôle appuyant les marché d'assurance inclusifs. Lomé Togo 1

26 avril 2013. Réglementation et contrôle appuyant les marché d'assurance inclusifs. Lomé Togo 1 Questions sur la réglementation et le contrôle de la Micro-assurance (2007) et le Papier d'application sur la réglementation et le contrôle appuyant les marchés (2012) 3 ème Congrès Actuariel Africain

Plus en détail

La loi sur l économie sociale et solidaire. Les principales dispositions et quelques angles de vue

La loi sur l économie sociale et solidaire. Les principales dispositions et quelques angles de vue La loi sur l économie sociale et solidaire Les principales dispositions et quelques angles de vue La loi ESS du 31 juillet 2014 les racines de l ESS Un peu d histoire: Des lois sur les coopératives, les

Plus en détail

CURRICULUM VITAE. Assez bien. Langues Lu Parlé Ecrit Français 1 1 1 Anglais 3 4 4

CURRICULUM VITAE. Assez bien. Langues Lu Parlé Ecrit Français 1 1 1 Anglais 3 4 4 CURRICULUM VITAE 1. Nom de famille: FANAHEN 2. Prénom: Frédéric 3. Date et lieu de naissance: 27 avril 1968 à Cotonou - BENIN 4. Résidence : Cotonou 5. Formation : Etablissement : Date : de Diplôme(s)

Plus en détail

La traduction de ce document en français a été financée par la contribution allemande au Partenariat pour «La finance au service de l Afrique»

La traduction de ce document en français a été financée par la contribution allemande au Partenariat pour «La finance au service de l Afrique» La traduction de ce document en français a été financée par la contribution allemande au Partenariat pour «La finance au service de l Afrique» (www.mfw4a.org). ii Sommaire Liste des encadrés... iii Liste

Plus en détail

Evaluation du projet Fonds pour la consolidation de la paix, Welthungerhilfe Butembo République Démocratique du Congo

Evaluation du projet Fonds pour la consolidation de la paix, Welthungerhilfe Butembo République Démocratique du Congo Evaluation du projet Fonds pour la consolidation de la paix, Welthungerhilfe Butembo République Démocratique du Congo Numéro WHH du projet: AF 1519 / COD 1063-07 Numéro KfW du projet : KfW 2007 65 537

Plus en détail

Journal d apprentissage. Union Technique du Mali

Journal d apprentissage. Union Technique du Mali Journal d apprentissage Union Technique du Mali Projet Kénéya Sabatili «Assurer la santé» Contentus Le Projet... 1 Que quoi le projet traite t-il?... 1 Résumé du projet... 2 Faits Marquants... 3 Quelques

Plus en détail

FMB Forum 2012 sur le financement de l agriculture (Du 28 au 30 mars 2012) Kampala - Ouganda

FMB Forum 2012 sur le financement de l agriculture (Du 28 au 30 mars 2012) Kampala - Ouganda FMB Forum 2012 sur le financement de l agriculture (Du 28 au 30 mars 2012) Kampala - Ouganda Plan 1. À propos de la FMB 2. Évolution de la FMB 3. Présentation et caractéristiques des produits 4. Facteurs

Plus en détail

CONFERENCE INTERAFRICAINE DES MARCHES D ASSURANCE

CONFERENCE INTERAFRICAINE DES MARCHES D ASSURANCE CONFERENCE INTERAFRICAINE DES MARCHES D ASSURANCE GESTION DU RISQUE MALADIE EN ZONE CIMA Fangman Alain Ouattara Commissaire Contrôleur en Chef à la CIMA ofangman@yahoo.fr SOMMAIRE 1. ASSURANCE MALADIE

Plus en détail

ÉTUDE SUR LA MICROASSURANCE DANS LA ZONE CIMA

ÉTUDE SUR LA MICROASSURANCE DANS LA ZONE CIMA ÉTUDE SUR LA MICROASSURANCE DANS LA ZONE CIMA État des lieux et recommandations Dossier : 4410-36-34 (0052) Juin 2011 TABLE DES MATIÈRES Page 1.0 CONTEXTE ET OBJECTIFS DE L'ÉTUDE... 1 1.1 Contexte...

Plus en détail

Ameth Saloum NDIAYE. Colloque régional UEMOA-CRDI 2009 1

Ameth Saloum NDIAYE. Colloque régional UEMOA-CRDI 2009 1 Ameth Saloum NDIAYE CEPOD, Ministère de l Economie et des Finances, Sénégal Colloque régional UEMOA-CRDI, Ouagadougou, Burkina Faso, 8-10 décembre 2009 1 Problématique et justification Objectifs du papier

Plus en détail

Table des matières 1 INTRODUCTION.. 1

Table des matières 1 INTRODUCTION.. 1 Table des matières Liste des tableaux. VI Liste des schémas. IX Liste des graphiques. X Liste des abréviations... XII Summary and Conclusions... XIV Zusammenfassung und Schlussfolgerungen... XXI 1 INTRODUCTION..

Plus en détail

R y o aume aume du du Maroc Mar Mai 2009

R y o aume aume du du Maroc Mar Mai 2009 Royaume du Maroc PLAN MAROC VERT Mai 2009 ENJEUX Enjeux économiques Contribue pour 19 % du PIB national 15% production 4% Agro industrie Rôle capital dans la stabilité macro économique Enjeux sociaux Emploie

Plus en détail

Elaboration du plan France Numérique 2020

Elaboration du plan France Numérique 2020 Paris, le 30 septembre 2011 Elaboration du plan France Numérique 2020 Réponse de l ARPP à la consultation publique Organisme de régulation professionnelle de la publicité en France, l Autorité de Régulation

Plus en détail

Profil du programme. 2 Synapse Center version : 2.0

Profil du programme. 2 Synapse Center version : 2.0 SYNAPSE CENTER CHALLENGE Un programme de création d emplois pour les jeunes Synapse Center/IYF Profil du programme Titre du programme : Challenge Composantes : 1. Renforcement de l employabilité des jeunes

Plus en détail

RAPPORT DU GROUPE I. Nouvelles gammes de produits et services financiers et accès accru aux produits et services existants

RAPPORT DU GROUPE I. Nouvelles gammes de produits et services financiers et accès accru aux produits et services existants RAPPORT DU GROUPE I Nouvelles gammes de produits et services financiers et accès accru aux produits et services existants MEMBRES DU GROUPE I 1. Raoul G.SANOU: Coordonnateur PAMER. PRESIDENT 2. Yacouba

Plus en détail

STRATEGIE DE GESTION DES RISQUES DANS LE SECTEUR AGRICOLE

STRATEGIE DE GESTION DES RISQUES DANS LE SECTEUR AGRICOLE Royaume du Maroc Ministère de l Agriculture et de la Pêche Maritime STRATEGIE DE GESTION DES RISQUES DANS LE SECTEUR AGRICOLE Congrès International sur l Assurance et la Réassurance des Risques Agricoles

Plus en détail

diffusion externe les services d'orange pour l agriculture en Afrique

diffusion externe les services d'orange pour l agriculture en Afrique les services d'orange pour l agriculture en Afrique ce catalogue a pour objectif d éclairer sur les méthodes développées par Orange pour améliorer la productivité dans le monde rural 2 sommaire 1 2 3 l'apport

Plus en détail

CATALOGUE 2013 DES SEMINAIRES

CATALOGUE 2013 DES SEMINAIRES Programme Master en Banque et Finance CATALOGUE 2013 DES SEMINAIRES INSCRIPTIONS ET RENSEIGNEMENTS CESAG - Boulevard du Général de Gaulle x Malick Sy - BP 3 802 Dakar - SENEGAL TEL: (221) 33 839 74 35

Plus en détail

Organisation des Nations Unies pour le développement industriel

Organisation des Nations Unies pour le développement industriel Organisation des Nations Unies pour le développement industriel Distr. générale 14 octobre 2014 Français Original: anglais Conseil du développement industriel Quarante-deuxième session Vienne, 25-27 novembre

Plus en détail

Programme du Forum National sur la Nutrition et l Alimentation à l Hôtel KEMPINSKI N Djamena. 28-30 avril 2015

Programme du Forum National sur la Nutrition et l Alimentation à l Hôtel KEMPINSKI N Djamena. 28-30 avril 2015 Deuxi ème jour Premier jour Jour 0 Programme du Forum National sur la Nutrition et l Alimentation à l Hôtel KEMPINSKI N Djamena 28-30 avril 2015 Date Heure Activité Veille du forum (Hôtel KEMPINSKI) Arrivée

Plus en détail

BANQUE CENTRALE DU CONGO

BANQUE CENTRALE DU CONGO BANQUE CENTRALE DU CONGO Allocution prononcée par Monsieur J-C. MASANGU MULONGO Gouverneur de la Banque Centrale du Congo à l occasion du lancement officiel de la Journée Internationale de l Epargne en

Plus en détail

PLAN R E V A RETOUR VERS L AGRICULTURE

PLAN R E V A RETOUR VERS L AGRICULTURE REPUBLIQUE DU SENEGAL Un Peuple Un But Une Foi ------------ MINISTERE DE L AGRICULTURE, DE L HYDRAULIQUE RURALE ET DE LA SECURITE ALIMENTAIRE ------------ NOUVELLE ORIENTATION DE LA POLITIQUE AGRICOLE

Plus en détail

INTERPRETER UN RAPPORT ACTUARIEL Sélection des hypothèses actuarielles dans le contexte africain Par Papa Babou NDIAYE, Directeur des Etudes

INTERPRETER UN RAPPORT ACTUARIEL Sélection des hypothèses actuarielles dans le contexte africain Par Papa Babou NDIAYE, Directeur des Etudes INTERPRETER UN RAPPORT ACTUARIEL Sélection des hypothèses actuarielles dans le contexte africain Par Papa Babou NDIAYE, Directeur des Etudes IPRES_SENEGAL Responsabilité d un administrateur Les évaluations

Plus en détail

LE TELEGRAMME DU CEPLIS

LE TELEGRAMME DU CEPLIS LE TELEGRAMME DU CEPLIS Conseil Européen des Professions Libérales European Council of the Liberal Professions Europäischer Rat der Freien Berufe Le Conseil Européen des Professions Libérales Coudenberg

Plus en détail

AMENDEMENTS PROPOSES A LA DECLARATION COMMUNE DE LA COORDINATION COE-UE-OIE SUR LE BIEN-ETRE DES ANIMAUX

AMENDEMENTS PROPOSES A LA DECLARATION COMMUNE DE LA COORDINATION COE-UE-OIE SUR LE BIEN-ETRE DES ANIMAUX L Europe pour le bien-être des animaux AMENDEMENTS PROPOSES A LA DECLARATION COMMUNE DE LA COORDINATION COE-UE-OIE SUR LE BIEN-ETRE DES ANIMAUX DEMANDE DE LA FRANCE Si nous voulons clairement intégrer

Plus en détail

ASSOCIATION INTERNATIONALE DES CONTRÔLEURS D ASSURANCE

ASSOCIATION INTERNATIONALE DES CONTRÔLEURS D ASSURANCE ASSOCIATION INTERNATIONALE DES CONTRÔLEURS D ASSURANCE et QUESTIONS SUR LA RÉGLEMENTATION ET LE CONTRÔLE DE LA MICRO-ASSURANCE Juin 2007 [Le présent document a été préparé par le Groupe de travail AICA-CGAP

Plus en détail

CAISSE LE SALUT RAPPORT DE STAGE. Janvier 2013. Faire des pauvres de vrais partenaires de développement. Tuteur : Mme NARBONNE NIJEAN JASON GEA1 TD5

CAISSE LE SALUT RAPPORT DE STAGE. Janvier 2013. Faire des pauvres de vrais partenaires de développement. Tuteur : Mme NARBONNE NIJEAN JASON GEA1 TD5 CAISSE LE SALUT Janvier 2013 RAPPORT DE STAGE Faire des pauvres de vrais partenaires de développement Tuteur : Mme NARBONNE NIJEAN JASON GEA1 TD5 Sommaire REMERCIEMENT... 1 INTRODUCTION... 2 DEVELOPPEMENT...

Plus en détail

Résultats et impacts

Résultats et impacts Résultats et impacts «Creusement d un puits pour une utilisation maraîchère à Fandène, Sénégal» Village de Diayane Localisation: Village de Diayane dans la commune de Fandene, département de Thiès, à 77

Plus en détail

LA MIGRATION DES FEMMES ET LES TRANSFERTS DE FONDS : CAS DU CAP VERT, DE LA CÔTE D IVOIRE, DU MAROC ET DU SENEGAL

LA MIGRATION DES FEMMES ET LES TRANSFERTS DE FONDS : CAS DU CAP VERT, DE LA CÔTE D IVOIRE, DU MAROC ET DU SENEGAL LA MIGRATION DES FEMMES ET LES TRANSFERTS DE FONDS : CAS DU CAP VERT, DE LA CÔTE D IVOIRE, DU MAROC ET DU SENEGAL 1. INTRODUCTION Depuis la nuit des temps, les peuples ont immigré d un espace vers un autre.

Plus en détail

Plate-forme AUX MUTUELLES DE SANTÉ EN AFRIQUE

Plate-forme AUX MUTUELLES DE SANTÉ EN AFRIQUE Plate-forme d Abidjan STRATÉGIES D APPUI AUX MUTUELLES DE SANTÉ EN AFRIQUE Plate-forme d Abidjan STRATÉGIES D APPUI AUX MUTUELLES DE SANTÉ EN AFRIQUE Imprimé par le Centre international de formation de

Plus en détail

La FAFEC «Gnèna-Yèter», la «Banque» des Femmes rurales du Nord de la Côte d Ivoire

La FAFEC «Gnèna-Yèter», la «Banque» des Femmes rurales du Nord de la Côte d Ivoire La FAFEC «Gnèna-Yèter», la «Banque» des Femmes rurales du Nord de la Côte d Ivoire BIM n 136 - Mercredi 24 Octobre 2001 Bénédicte Laurent, FIDES Un BIM du mercredi qui nous vient de loin : nous avons demandé

Plus en détail

L EAU POTABLE : COMMENT LA PRÉSERVER Bien que l eau soit une ressource renouvelable, il ne faut pas pour autant la gaspiller. Les Québécois sont les

L EAU POTABLE : COMMENT LA PRÉSERVER Bien que l eau soit une ressource renouvelable, il ne faut pas pour autant la gaspiller. Les Québécois sont les L EAU POTABLE : COMMENT LA PRÉSERVER Bien que l eau soit une ressource renouvelable, il ne faut pas pour autant la gaspiller. Les Québécois sont les deuxièmes plus grands consommateurs d eau potable, juste

Plus en détail

10 ENGAGEMENTS, 30 PROPOSITIONS DE LA MAJORITÉ DÉPARTEMENTALE «Avec vous, une Saône et Loire innovante et attractive»

10 ENGAGEMENTS, 30 PROPOSITIONS DE LA MAJORITÉ DÉPARTEMENTALE «Avec vous, une Saône et Loire innovante et attractive» 10 ENGAGEMENTS, 30 PROPOSITIONS DE LA MAJORITÉ DÉPARTEMENTALE «Avec vous, une Saône et Loire innovante et attractive» Préambule Si l actuelle majorité peut indéniablement se prévaloir d un très bon bilan,

Plus en détail

Extension de la protection sociale à l économie informelle : vers un Régime simplifié pour les petits contribuables (RSPC) au Sénégal

Extension de la protection sociale à l économie informelle : vers un Régime simplifié pour les petits contribuables (RSPC) au Sénégal Bureau international du Travail Equipe d Appui Technique de l OIT au travail décent pour l Afrique Occidentale et Bureau pays de l OIT pour le Sénégal, le Bénin, le Burkina Faso, le Cap-Vert, la Côte d

Plus en détail

BETTERTHANCASH. La mise en œuvre d une aide alimentaire sous forme de paiements électroniques au Kenya : Étude de cas : le Kenya HIGHLIGHTS

BETTERTHANCASH. La mise en œuvre d une aide alimentaire sous forme de paiements électroniques au Kenya : Étude de cas : le Kenya HIGHLIGHTS BETTERTHANCASH A L L I A N C E Empowering People Through Electronic Payments Étude de cas : le Kenya HIGHLIGHTS Mars 2014 La mise en œuvre d une aide alimentaire sous forme de paiements électroniques au

Plus en détail

Expert(e) International(e) en santé publique Délégué(e) à la co-gestion de la composante «Appui à la demande de soins» Sénégal

Expert(e) International(e) en santé publique Délégué(e) à la co-gestion de la composante «Appui à la demande de soins» Sénégal Agence belge de développement, la CTB mobilise ses ressources et son expertise pour éliminer la pauvreté dans le monde. Contribuant aux efforts de la Communauté internationale, la CTB agit pour une société

Plus en détail

PRESENTATION GENERALE DU MASTER «MAITRISE D OUVRAGE PUBLIQUE ET PRIVEE»

PRESENTATION GENERALE DU MASTER «MAITRISE D OUVRAGE PUBLIQUE ET PRIVEE» PRESENTATION GENERALE DU MASTER «MAITRISE D OUVRAGE PUBLIQUE ET PRIVEE» 1. Règlement des études Habilité par arrêté du Ministère français de l Enseignement Supérieur et de la Recherche, le Master «Maîtrise

Plus en détail

Charte du tourisme durable

Charte du tourisme durable Annexes Charte du tourisme durable Annexe 1 Les participants de la Conférence mondiale du Tourisme durable, réunis à Lanzarote, îles Canaries, Espagne, les 27 et 28 avril 1995, Conscients que le tourisme

Plus en détail

SYNTHESE DE PRESENTATION DU PPILDA

SYNTHESE DE PRESENTATION DU PPILDA SYNTHESE DE PRESENTATION DU PPILDA INTITULE DU PROJET : PROJET DE PROMOTION DE L INITIATIVE LOCALE POUR LE DEVELOPPEMENT D AGUIE 1 Intitulé du Projet : Projet de Promotion de l Initiative Locale pour le

Plus en détail

Rapport d évaluation du master

Rapport d évaluation du master Section des Formations et des diplômes Rapport d évaluation du master Etudes internationales de l Université Paris-Sud Vague E 2015-2019 Campagne d évaluation 2013-2014 Section des Formations et des diplômes

Plus en détail

Avancées dans le domaine des performances sociales en microfinance, et applications en Europe. Cécile Lapenu, Cerise

Avancées dans le domaine des performances sociales en microfinance, et applications en Europe. Cécile Lapenu, Cerise Avancées dans le domaine des performances sociales en microfinance, et applications en Europe Cécile Lapenu, Cerise Septembre 2008 1 Cécile Lapenu, CERISE Dans le secteur de la microfinance, les performances

Plus en détail

Programme d Appui au Financement adapté à l agriculture familiale (AgriFinance-Burkina)

Programme d Appui au Financement adapté à l agriculture familiale (AgriFinance-Burkina) Programme d Appui au Financement adapté à l agriculture familiale (AgriFinance-Burkina) APPEL POUR LA SELECTION DE PRESTATAIRES DE SERVICES TECHNIQUES AGRICOLES (AS-001/AGRIFIN/2015) Date limite de dépôt

Plus en détail

Groupe UE-Afrique(s) Réunion du 9 avril 2015 Paris. «La place et le rôle de l assurance dans la mobilisation de l épargne en Afrique

Groupe UE-Afrique(s) Réunion du 9 avril 2015 Paris. «La place et le rôle de l assurance dans la mobilisation de l épargne en Afrique Intervenants : Groupe UE-Afrique(s) Réunion du 9 avril 2015 Paris «La place et le rôle de l assurance dans la mobilisation de l épargne en Afrique et le financement des projets de développement» COMPTE-RENDU

Plus en détail

Ministère de la Fonction publique, du Travail, du Dialogue social et des Organisations professionnelles

Ministère de la Fonction publique, du Travail, du Dialogue social et des Organisations professionnelles REPUBLIQUE DU SENEGAL Un peuple Un but Une foi ----------- Ministère de la Fonction publique, du Travail, du Dialogue social et des Organisations professionnelles SOMMAIRE I- PRESENTATION DES IPM 1. LE

Plus en détail

LE COURTAGE D ASSURANCE

LE COURTAGE D ASSURANCE Programme 1ère conférence : l éthique du courtier 2ème conférence : la profession du courtier Courtage et environnement concurrentiel Le cadre de l activité L activité La responsabilité des courtiers d

Plus en détail