Guide de formation des formateurs
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- Marie-Dominique Milot
- il y a 8 ans
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1 Guide de formation des formateurs Mobilisation des communautés pour l eau, l hygiène et l assainissement en République de Guinée UNICEF Guinée P. O. Box 222 Conakry, République de Guinée Tél : Télécopie : Satellite Fax conakry@unicef.org Juin
2 Remerciements L élaboration de ce guide de formation n aurait pas été possible sans la collaboration des partenaires techniques et financiers, notamment le Royaume des Pays Bas qui à travers l UNICEF, a permis la réalisation de cet outil. Ceux-ci, d une manière ou d une autre, ont apporté leurs inestimables contributions à sa conception, à sa préparation et à son achèvement. Le présent guide permettra aux utilisateurs et bénéficiaires de mieux comprendre les enjeux liés au secteur de l eau, de l hygiène et de l assainissement. Loin d être exhaustif, ce guide pourrait servir de base d une réflexion et sera revu périodiquement à la lumière de la recherche, des leçons apprises, des découvertes, des feedbacks, des pré et post test et des innovations technologiques. Ce manuel est le produit d une compilation, un résumé des travaux de recherches et des ressources mis à la disposition de tous ceux qui s intéressent à la promotion des bonnes pratiques en matière d eau, d hygiène et d assainissement. Nous remercions : - Le Gouvernement Guinéen à travers les départements ministériels chargés des questions relatives à l eau, l hygiène et l assainissement (Ministère de la Santé et de l Hygiène publique, Ministère de l Energie et de l Hydraulique, Ministère de l Environnement); les départements ministériels en charge de l Education, de la Communication, de l Administration du territoire et de la décentralisation, de l Habitat et de l aménagement du territoire. - Le Fonds des Nations Unies pour l Enfance (UNICEF), particulièrement Mr Julien LABAS dont la contribution a été d un apport inestimable. - Search for Common Ground et son Directeur Pays, Mme Béatrice ODOUNTAN ABOUYA pour son appui et ses analyses pertinentes. - L ONG Terre des Hommes, le Service National des Points d Eau (SNAPE), le Réseau National des Communicateurs Traditionnels (RENACOT), les médias publics et privés pour leur grande participation. - Que tous ceux qui, de près ou de loin ont collaboré activement à l élaboration de ce guide de formation trouvent ici l expression de notre profonde gratitude. Le Comité de rédaction 2
3 Table des matières Remerciements...2 Table des matières Acronymes...6 Avant propos...7 Introduction...8 Objectif...9 Objectif général...9 Objectifs spécifiques...9 Méthodologie d utilisation du guide de formation Première partie : Module 1 : Eau Module 1 : Eau A- Fiche Pédagogique I- Objectifs pédagogiques II- Contenu du module III- Méthodologie IV- Matériels/ Supports pédagogiques V- Données générales de la séance B- Déroulement de la séance I- Introduction II- Reconnaissance des images III- Formulation des messages IV- Engagement V- Conclusion C- Fiches d informations essentielles I- Définition de l eau potable II- Le cycle de l eau III- Les différentes sources d approvisionnement en eau ) Les sources d eau ) Les sources d eau potable IV- L importance de l eau potable ) Mesures recommandées ) Avantages économiques V- Les sources de contamination de l eau VI- Les maladies liées à l eau ) L eau de boisson ) L eau de baignade ) L eau dans notre environnement ) Le manque d eau et mauvaises conditions d hygiène VII- Les méthodes de prévention et de traitement de l eau ) La prévention ) Le traitement
4 Deuxième partie : Module 2 : Hygiène Module 2 : Hygiène A- Fiche Pédagogique I- Objectifs pédagogiques II- Contenu du module III- Méthodologie IV- Matériels/ Supports pédagogiques V- Données générales de la séance B- Déroulement de la séance I- Introduction II- Reconnaissance des images III- Formulation des messages IV- Engagement V- Conclusion C- Fiches d informations essentielles I- Définition de l hygiène II- Généralités III- Importance de l hygiène IV- Les formes d hygiène ) L hygiène alimentaire ) L hygiène corporelle ) L hygiène environnementale V- Le lavage des mains à l eau et au savon ) Les bonnes manières de se laver les mains ) Les moments critiques pour se laver les mains ) Mesures recommandées ) Les comportements à adopter Troisième partie : Module 3 : Assainissement Module 3 : Assainissement A- Fiche Pédagogique I- Objectifs pédagogiques II- Contenu du module III- Méthodologie IV- Matériels/ Supports pédagogiques V- Données générales de la séance B- Déroulement de la séance I- Introduction II- Reconnaissance des images III- Formulation des messages IV- Engagement V- Conclusion C- Fiches d informations essentielles I- Définition de l assainissement II- Les différents types d assainissement ) L assainissement autonome
5 2) L assainissement semi-collectif ) L assainissement collectif avec réseaux d égouts III- La latrinisation ) Les types de latrines ) L implantation des latrines IV- La défécation à l air libre et utilisation des latrines ) La définition de la défécation à l air libre ) Les voies de contamination ) Les conséquences V- La gestion des latrines ) Les mauvaises pratiques ) Les bonnes pratiques Annexes Annexe 1 : Références bibliographiques Annexe 2 : Photos, voies de contamination et moyens de lutte Annexe 3 : Liste des membres du comité d élaboration du guide
6 Acronymes ATPC : Assainissement Total Piloté par les Communautés ECOSAN : Ecological Sanitation OMD : Objectif du Millénaire pour le Développement OMS : Organisation Mondiale de la Santé PHAST : Participatory for Hygiene and Sanitation RENACOT : Réseau National des Communicateurs Traditionnels SanPlat : Sanitation Plat form SARAR : Self esteem Associative strengths Resources fullness Action planning Responsability SFCG : Search for Common Ground SNAPE : Service National des Points d Eau TCM : Toilette à Chasse Manuelle TDH : Terre des hommes UNICEF : Fonds des Nations Unies pour l Enfance VIP : Ventilated Improved Pit 6
7 Avant propos Ce guide de formation est le résultat de réflexion d une équipe de spécialistes en eau, hygiène et assainissement à l intention des formateurs, à l endroit des communautés sur financement du Royaume des Pays Bas octroyé à l Unicef et, dans le cadre de la mise en œuvre du projet : «Mobilisation des communautés pour l eau, l hygiène et l assainissement en République de Guinée». Son objectif est d encourager un leadership positif au niveau des communautés, pour un changement de comportement durable à travers le plaidoyer, la mobilisation sociale, l information, la sensibilisation et la communication pour les changements de comportement et le changement social lié aux bonnes pratiques en matière d eau, d hygiène et d assainissement. Il redonne espoir et offre, à tous ceux qui pourraient s en servir, l occasion d utiliser les approches et techniques testées et approuvées pour développer les compétences des différents groupes cibles, en vue de consolider les connaissances, les aptitudes et les pratiques requises pour devenir des leaders dans la promotion de la santé. Il fournit à la fois un cadre conceptuel et pratique pour la consolidation de la santé communautaire. Nous avons fait l effort de prendre en compte les multiples suggestions, pour élaborer un guide utile, adapté et équilibré reflétant un large consensus. Toute omission devra être mise à notre imperfection humaine et à notre souci de sélectionner et d intégrer parmi tant d autres des idées émises par les uns et les autres. Enfin, la valeur de ce guide sera mesurée à l aune de la pratique à l école, au centre de santé et dans la communauté, grâce aux formateurs compétents, habiles et dévoués qui feront de l hygiène, une culture de promotion de la santé. 7
8 Introduction Le système de santé en Guinée n est pas performant. Il n est ni accessible, ni équitable et ni capable de satisfaire le droit à la santé pour tous, en particulier les plus vulnérables. La situation socio-économique difficile à laquelle le pays a été exposé depuis plus d une décennie affecte négativement les indicateurs sanitaires dans leur ensemble. En conséquence, elle compromet l atteinte des Objectifs du Millénaire pour le Développement (OMD) d ici 2015 à savoir : la Réduction de la mortalité infantile, l amélioration de la santé maternelle et la lutte contre les maladies et apporte une faible contribution du secteur de la santé à la réduction de la pauvreté. En dépit des efforts conjugués au niveau des acteurs locaux et internationaux intervenant dans le domaine sanitaire, à travers l information et la sensibilisation de la population sous les auspices du Ministère de la santé et de l hygiène publique, les maladies liées à l eau et au manque d assainissement restent un problème majeur de santé publique. En effet, en 2012, selon des estimations du Ministère Guinéen de la Santé et de l hygiène publique, le virus du choléra a infecté, pendant une période de Cinq (5) mois, 655 personnes contre 41 cas de décès dans Six (6) préfectures de la Basse Guinée (Boké, Boffa, Dubréka, Coyah, Forécariah et Conakry). Les maladies liées à l eau et aux mauvaises pratiques d hygiène constituent 64% des causes de consultation dans les structures sanitaires. Cette récurrence de ces maladies est surtout liée au manque d hygiène, à la mauvaise utilisation des latrines, à l utilisation d eau non désinfectée et au non lavage des mains à l eau propre et au savon. De ces constats, il a été prouvé que l'intervention Eau-Hygiène-Assainissement intégrée comprenant l'utilisation de latrines hygiéniques, l'utilisation de chlore pour le traitement de l'eau de consommation et le lavage des mains au savon avant de toucher à la nourriture et après contact avec les selles y compris celles des enfants, peut conduire à une réduction de l'incidence des maladies diarrhéiques de près de 60% et la réduction de l'infection parasitaire de 40%. Pour l atteinte des OMD et le passage à échelle des interventions, il est urgent au regard de ce qui précède, qu en plus des politiques novatrices et très ambitieuses menées de façon synergique à tous les niveaux avec le Gouvernement et les partenaires au développement, de s assurer que les informations nécessaires et utiles, atteignent les communautés les plus défavorisées. Partant de cela, c est dans le souci de préserver la santé des populations que l UNICEF a souscrit à cette présente campagne de : «Mobilisation des communautés pour l Eau, l Hygiène et l Assainissement en Guinée». 8
9 Ce présent guide de formation des formateurs s adresse à tous les acteurs évoluant dans les secteurs de l Eau, de l Hygiène et de l Assainissement. Objectifs de la formation Objectif général L objectif général de ce guide est de renforcer les capacités des acteurs clés sur la promotion de l eau, l hygiène et l assainissement de manière à promouvoir un environnement favorable à la santé en Guinée. Il vise aussi à engager les acteurs clés dans les actions de promotion de l hygiène sanitaire et de l eau potable au sein des villages cibles et dans la gestion des conflits liés à l accès aux services sanitaires nouvellement créés dans ces villages. Objectifs spécifiques Les objectifs spécifiques ont été classés par ordre thématique : Eau - Amener les participants à connaitre ce qu est une eau potable - Amener les participants à comprendre les dangers liés à la consommation de l eau souillée - Amener les participants à comprendre les mesures préventives utilisées pour éviter la contamination de l eau - Amener les participants à connaitre les méthodes de traitement de l eau. Hygiène - Amener les participants à comprendre les règles d hygiène alimentaire - Amener les participants à comprendre la nécessité de se laver régulièrement les mains à l eau propre et au savon - Amener les participants à apprendre comment se laver correctement les mains à l eau propre et au savon - Amener les participants à rendre propre l environnement dans lequel ils vivent. Assainissement - Amener les participants à identifier les comportements d hygiène qu ils souhaitent modifier, renforcer ou adopter - Amener les participants à gérer correctement les ordures ménagères - Encourager les participants à identifier les endroits favorables à une bonne gestion des excrétas des adultes et des enfants - Amener les participants à identifier les meilleurs comportements à adopter pour une bonne gestion des excrétas. 9
10 Méthodologie d utilisation du guide de formation Ce guide est destiné avant tout aux formateurs et à toute autre personne évoluant dans le secteur de l eau, l hygiène et l assainissement. Il décrit la démarche à suivre pour aborder, présenter et discuter chaque thème. Chaque thème est présenté sous forme d images qui montre les bonnes et les mauvaises pratiques. Chaque participant devra reconnaitre l image et le comportement à risques, tirer des leçons et apporter des solutions correctives qui améliorent la situation. L approche permet de susciter une réaction positive auprès des participants. Cette réaction sera transférée au niveau des communautés, des écoles et des centres de santé. La présentation du thème voudrait que le formateur puisse faire défiler correctement l image devant chaque participant afin de créer une interaction. Pour ce faire, les participants seront disposés en demi-cercle ou sous forme de U pour faciliter l observation parfaite des images et leur participation active. Il sera chargé de corriger et de rectifier les mauvaises interprétations des images au risque d altérer le contenu et les objectifs de la formation. Le temps de formation doit être respecté conformément au thème pour éviter de créer un désintérêt des apprenants. Le formateur doit utiliser un langage accessible à son groupe cible, être courtois et à l écoute de son auditoire. Il doit favoriser l échange d expériences et développer une synergie d action entre les participants en organisant au besoin des visites de terrain. Les approches participatives (SARAR/PHAST, ATPC, ) sont les plus appropriées dans la promotion de l eau, l hygiène et l assainissement. Elles visent à encourager les communautés dans l amélioration des comportements en matière d hygiène, de gestion des ouvrages d eau et d assainissement pour limiter la propagation des maladies liées à l eau et au manque d hygiène et d assainissement. A la fin de la séance, il doit pouvoir capitaliser les meilleures pratiques pour leur promotion. 10
11 Première partie Module 1 : Eau 11
12 Module 1 : Eau A- Fiche pédagogique I. Objectifs Pédagogiques : - Amener les participants à connaitre ce qu est une eau potable - Amener les participants à comprendre les dangers liés à la consommation de l eau souillée - Amener les participants à comprendre les mesures préventives utilisées pour éviter la contamination de l eau - Amener les participants à connaitre les méthodes de traitement de l eau II. Contenu du module 1. Définition de l eau potable 2. Le cycle de l eau 3. Les différentes sources d approvisionnement en eau 4. L importance de l eau potable 5. Les sources de contamination de l eau 6. Les maladies liées à l eau 7. Les méthodes de prévention et de traitement de l eau III. Méthodologie - Brainstorming - Exposé - Projection de film - Visite de terrain - Présentation de boite à images - Travaux de groupe - Démonstration (exercice de la fleur fanée par exemple) IV. Matériels/Supports Pédagogiques - Manuel de formation - Boite à images - Film - Dépliants - Affiches - Vidéo/ projecteur - Groupe électrogène - T-shirt - Markers - Papiers Padex 12
13 V. Données générales de la Séance Objectifs Immédiat : - Aider le groupe à connaitre ce qu est une eau potable, à comprendre les dangers liés à la consommation de l eau souillée, à comprendre les mesures préventives utilisées pour éviter la contamination de l eau et à connaitre les méthodes de traitement de l eau. A long terme : - Amener les usagers à adopter les pratiques favorables à la préservation de la qualité de l eau. Messages à diffuser - Arrêter de boire l eau des points d eau traditionnels sans l avoir traitée ; - Protéger les sources d eau contre toute forme de contamination ; - Traiter toute eau dont la qualité est douteuse ; - Rendre propres les récipients de transport et de stockage de l eau ; - Réglementer l accès et l utilisation des sources d eau dans nos communautés ; - Consommer de l eau potable en toute saison ; - Privilégier la source d eau la plus propre ; - Réserver l eau non potable à d autres usages. Groupe cible Cadre de la séance/ lieu Utilisateurs Durée de la séance Images à utiliser Elèves, enseignants, l administration scolaire, comité de gestion scolaire, club de santé / gouvernement des enfants, association des parents / des mères d élèves, et ONG, chargé communal de l eau Ecoles, centres de santé et communautés Enseignants, agents de la santé, animateurs (-trices) d ONG et d associations 1h30mn Bonnes et mauvaises pratiques B- Déroulement de la séance I. Introduction - Salutations et présentation de l animateur (-trice) - Introduction de la séance - Présentation des objectifs de la séance II. Reconnaissance des images Annoncer clairement cette étape. Exemple : «Nous allons maintenant examiner les images que nous avons apportées. Vous allez dire ce que vous voyez sur chacune des images. Tout le monde a droit à la parole pour dire ce qu'il pense.» 13
14 - Prendre le lot d images dans les mains (boite à images), les présenter une à une à l assemblée en demandant : «Qu est-ce que vous voyez sur cette image?» - Laisser les gens discuter librement. - Poser des questions d approfondissement pour aider à comprendre chaque image. - Ne passer à l image suivante que si la précédente image est parfaitement identifiée par chacun des participants. - Une fois que les participants se sont accordés sur l image, la mettre de côté. - Procéder de la même façon pour toutes les images. - À la fin, féliciter les participants pour leur contribution. Recommandations pour cette étape : - Bien tenir l image par le haut, la montrer à chacun des participants et la poser au centre de l assemblée de façon à ce que chacun puisse bien la voir. - S il y a discussion sur une image, poser des questions afin que les participants arrivent à décrire l essentiel de ce que l on veut montrer. - Si la discussion persiste, résumer ce que l on veut faire comprendre à travers l image. - Eviter les jugements (bonnes ou mauvaises pratiques) lors de cette étape. III. Formulation des messages : - Protégeons les sources d eau contre toute forme de contamination ; - Rendons propres les récipients de transport et de stockage de l eau ; - Réglementons l accès et l utilisation des sources d eau dans nos communautés, à l école et au centre de santé ; - Consommons de l eau potable en toute saison ; - Privilégions la source d eau la plus propre ; - Nettoyons régulièrement les alentours de notre point d eau! Cela donne une bonne image de notre quartier/village et encourage les partenaires à investir ; - Payons le service de l eau afin de pouvoir entretenir et renouveler notre pompe ; - Puisons notre eau de boisson au forage, au puits moderne ou au robinet car c est là qu elle est propre! Elle nous protège de beaucoup de maladies et nous évite ainsi les dépenses pour l achat de médicaments ; - Stockons notre eau de boisson dans un récipient propre, couvert et à l intérieur de la maison! Ainsi, elle sera à l abri des dégâts des animaux domestiques, du vent et de la poussière ; - Gardons le gobelet propre sur le couvercle de la jarre ; - Séparons notre eau de boisson de celle réservée aux autres usages! Cela facilite son entretien car la quantité est réduite ; - Réservons l eau non potable à d autres usages ; - Traitons notre eau de boisson afin de la maintenir potable. 14
15 IV. Engagements Les images des bonnes pratiques étant toujours exposées ; passer en revue chacune d entre elles en demandant : - Qu est-ce que vous faites déjà? - Qu est-ce que vous ne faites pas et qui est facile à faire? - Qu est-ce que vous ne faites pas et qui est difficile à faire? Laisser les participants échanger sur les contraintes liées aux pratiques qui semblent difficiles à adopter (point le plus important de l animation à approfondir). Demander aux participants de s engager à adopter chacune des bonnes pratiques. V. Conclusion - Encourager les participants à adopter de meilleures pratiques - Encourager la promotion de meilleures pratiques - Remercier les participants et annoncer la prochaine visite pour vérifier si l engagement a été tenu. Images mauvaises Pratiques Images bonnes Pratiques 15
16 C- Fiches d information essentielles I- Définition de l eau potable : L eau potable est une eau incolore, inodore, sans saveur et sans danger pour la santé. L eau potable est une eau provenant d une adduction d eau, d un forage ou d un puits moderne bien protégé. L eau, c est la vie. Elle constitue plus de 60% du poids corporel. Elle est indispensable dans toutes les activités humaines (agriculture, élevage, transport, industrie, pêche, énergie, ). II- Le cycle de l eau : Le cycle de l eau est principalement mû par des causes physiques. Il y a une circulation continue de l eau entre l atmosphère et le sol, et vice-versa. De l atmosphère vers le sol, ce sont les précipitations (pluies, grêles). Du sol, et à partir des eaux de surface (mers, fleuves, lacs, rivières, marigots, etc.), c est l évaporation qui restitue l eau à l atmosphère. Quand il pleut, une partie de l eau ruisselle et rejoint les cours d eau, les lacs ou la mer, d où part une évaporation de surface. Une autre partie de cette eau s infiltre dans le sol et 16
17 alimente la nappe phréatique. Une partie de l eau infiltrée est absorbée par les racines des plantes et retourne dans l atmosphère par l évapotranspiration. III- Les différentes sources d approvisionnement en eau 1) Les sources d Eau - L eau de pluie - Les sources non aménagées - Les puits traditionnels - Les puisards - Les cours d eau (marres, lacs, fleuves, rivières, marigots) - Le robinet (adduction d eau) - Le forage d eau - Le puits moderne (grand diamètre, busé, cuvelé, protégé par une margelle et un bon couvercle, avec une aire assainie tout autour) - L impluvium 2) Les sources d Eau potable - Les sources aménagées - Le robinet (adduction d eau) - Le forage d eau - Le puits moderne avec exhaure (grand diamètre, busé, cuvelé, protégé par une margelle et un bon couvercle, avec une aire assainie tout autour) IV- L importance de l eau potable Qu'elle importance l'eau potable revêt-elle pour la santé? L'approvisionnement en eau potable, les moyens d'assainissement de base et la bonne gestion des ressources en eau sont essentiels pour assurer la santé. Près d'un dixième de la charge de morbidité pourrait être évité : - en améliorant l'accès à l'eau potable ; - en améliorant l'hygiène et l'assainissement ; - en améliorant la gestion de l'eau de manière à réduire les risques de maladies infectieuses à transmission hydrique et les risques de noyade pendant les activités récréatives. Dans le monde, chaque année, selon l OMS, une bonne gestion de l'eau permettrait d'éviter : - 1,4 million de décès d'enfants par diarrhée ; décès par paludisme ; décès d'enfants par malnutrition ; et décès par noyade. En outre cinq millions de personnes pourraient être protégées d'une incapacité grave due à la filariose lymphatique (éléphantiasis) et cinq millions d'autres du trachome. 17
18 1) Mesures recommandées Les efforts entrepris pour la promotion de l accès à l'eau potable, l'hygiène et l'assainissement améliorent la santé dans son ensemble. L'accès à des moyens d'assainissement (par exemple à des latrines simples dans les communautés) permet d'éviter la contamination fécale de l'eau et réduire le nombre d'infections. Les solutions technologiquement les plus avancées ne sont pas nécessairement les meilleures : le simple fait de se laver souvent les mains avec du savon et le stockage adéquat de l'eau de boisson ont des effets positifs et considérables sur la santé. Grâce à l'aménagement de l'environnement, on peut réduire le nombre de cas de paludisme et d'autres maladies propagées par des insectes et éviter des décès. Il s'agit notamment d'éliminer les gîtes larvaires (par exemple les eaux stagnantes) et de se protéger contre les moustiques en munissant portes et fenêtres de moustiquaires. 2) Avantages économiques D'un point de vue économique, les investissements consentis en faveur de l accès à l'eau potable, les moyens d'assainissement, de l'hygiène et la gestion des ressources en eau sont parfaitement rentables. Les avantages retirés pouvant atteindre jusqu'à huit fois le montant de l'effort financier consenti. Ainsi les investissements annuels de 11,3 milliards de dollars nécessaires pour atteindre les cibles concernant l'eau et l'assainissement établies dans le cadre des Objectifs du Millénaire pour le Développement pourraient produire des avantages d'une valeur de 84 milliards par an. En plus des vies sauvées, d'autres avantages seraient enregistrés notamment une meilleure productivité, des progrès en matière d'éducation et des économies réalisées sur les soins de santé. V- Les sources de contamination de l eau Les risques de contamination de l eau par des microbes sont nombreux sur le chemin de l eau : Pendant le puisage, l eau peut être souillée : - Si la puisette et la corde traînent à terre - Si le récipient de transport est sale - Si le puits ou le forage est mal aménagé et entretenu Pendant le transport, l eau peut être souillée : - Si le récipient de transport n est pas couvert - Si des éléments se déposent à la surface de l eau (feuilles, plastique, poussière ) - Si les mains sont en contact avec l eau Au cours du stockage, l eau peut être souillée : - Si le récipient de stockage n est pas protégé et nettoyé régulièrement 18
19 - Si le stock d eau de boisson n est pas régulièrement renouvelé Dans les classes et les habitations, le stockage de l eau dans des récipients sans couvercle adéquat expose l eau aux souillures des animaux domestiques et à la poussière entre autres. La non-séparation de l eau de boisson de l eau réservée aux autres usages (lessive, vaisselle, etc.) entraîne une manipulation fréquente de l eau, ce qui augmente le risque de souillure. Lors de la consommation, l eau peut être souillée : - Si le récipient de prélèvement est sale (gobelet, calebasse) - Si les mains sont en contact avec l eau lors du prélèvement - Si le reste de l eau consommée est remis dans la jarre de stockage - Si un même récipient de prélèvement (gobelet, calebasse) est utilisé par plusieurs personnes à la fois. VI- Les maladies liées à l eau Beaucoup de maladies courantes et meurtrières dans les communautés sont liées à l eau et au manque d hygiène. 1) L eau de boisson Si l eau que l on boit est non potable, elle peut entraîner l apparition de maladies parfois mortelles telles que : les diarrhées, le choléra, la poliomyélite, les amibiases, la typhoïde, la dysenterie Les parasitoses intestinales (anguillulose, ankylostomiase) : quand on marche pieds nus dans des endroits souillés par les excréments. Le choléra : quand on absorbe de la nourriture souillée, de l eau contaminée et par contact avec une personne malade du choléra. La poliomyélite, les dysenteries, les diarrhées et l ascaridiose: quand on absorbe de la nourriture souillée ou de l eau non potable ou quand on mange avec les mains sales. 2) L eau de baignade Si l eau dans laquelle on se lave ou on se baigne est insalubre, ou si l eau est stagnante, elle peut contenir des agents ou vecteurs de maladies telles que : la bilharziose, l éléphantiasis, le ver de guinée 3) L eau dans notre environnement 19
20 Les moustiques et autres insectes qui transmettent des maladies telles que : le paludisme, la fièvre jaune, l onchocercose ou cécité des rivières se reproduisent dans les eaux stagnantes sales. 4) Le manque d eau et mauvaises conditions d hygiène Des maladies dermatologiques telles que : la gale, les mycoses Des maladies ophtalmologiques telles que : la conjonctivite. VII- Les méthodes de prévention et de traitement de l eau 1) La prévention Pendant le puisage - Assainir l environnement immédiat des sources d approvisionnement en eau potable - Suspendre les récipients ayant servi au puisage de l eau Pendant le transport - Laver à l eau propre et au savon les récipients de transport - Utiliser des récipients fermés et propres pour le transport de l eau Au cours du stockage - Laver chaque jour à l eau propre et au savon les récipients de stockage - Renouveler régulièrement l eau dans les récipients de stockage - Utiliser des récipients fermés et propres pour le stockage de l eau - Séparer l eau de consommation de l eau réservée aux autres usages (lessive, vaisselle, etc.) Lors de la consommation - Se laver les mains à l eau propre et au savon avant de prélever l eau à boire - Utiliser deux gobelets de préférence (l un pour puiser et l autre pour boire) - Conseiller l utilisation et l entretien par les élèves d un récipient individuel approprié (gourde, bouteille d eau recyclée ) pour l eau de consommation. 2) Le traitement de l eau Il existe plusieurs méthodes de traitement de l eau. De toutes ces méthodes nous présenterons ici quelques unes : La désinfection : c est une méthode qui permet de détruire les germes pathogènes contenus dans l eau par utilisation des produits chimiques, la chaleur, ou même la lumière du soleil. 20
21 La décantation : c est une méthode qui consiste à laisser les matières en suspension se déposer au fond du récipient. La filtration : c est une méthode qui permet d éliminer les impuretés physiquement en filtrant l eau à l aide de matériaux tels que la céramique ou le sable. La désinfection chimique : elle consiste a utiliser diffe rents produits chimiques pour désinfecter l eau. Ces produits sont souvent d une efficacité et d une fiabilité variables (Javel, HTHJ). En Guinée, Le Sur eau est le produit le plus conseillé pour désinfecter l eau car, il est facile à utiliser, efficace, disponible et d un coût accessible (5.000 GNF le flacon). Comment traiter l eau avec le Sûr Eau? 21
22 Deuxième partie Module 2 : Hygiène 22
23 Module 2 : Hygiène A- Fiche pédagogique I. Objectifs Pédagogiques : - Amener les participants à comprendre les règles d hygiène alimentaire, d utilisation et de conservation de l eau - Amener les participants à comprendre la nécessité de se laver régulièrement les mains à l eau propre et au savon - Amener les participants à apprendre comment se laver correctement les mains à l eau propre et au savon - Amener les participants à rendre et à garder propre l environnement dans lequel ils vivent II. Contenu du module 1. Définition de l hygiène 2. Importance de l hygiène 3. Les formes d hygiène 4. Le lavage des mains à l eau propre et au savon III. Méthodologie - Brainstorming - Exposé - Projection de film - Présentation de la boite à images - Travaux de groupe - Démonstrations IV. Matériels/Supports Pédagogiques - Manuel de formation - Boite à images - Film - Dépliants - Affiches - Vidéo/ projecteur - Groupe électrogène - T-shirt - Markers - Papiers Padex 23
24 V. Données générales de la Séance objectifs Immédiat : - Amener les participants à comprendre les règles d hygiène alimentaire - Amener les participants à comprendre la nécessité de se laver régulièrement les mains à l eau propre et au savon - Amener les participants à apprendre comment se laver correctement les mains à l eau propre et au savon - Amener les participants à rendre et garder propre l environnement dans lequel ils vivent A long terme : - Amener les usagers à adopter les pratiques favorables à la promotion de toutes les formes d hygiène. Messages à diffuser La nourriture est l un des vecteurs de transmission des maladies, il est donc dangereux de manger une nourriture mal propre, mal cuite et mal conservée. Pour éviter cela, il faudrait : - Se laver systématiquement les mains à l eau propre et au savon avant de manipuler les aliments et de donner à manger - Consommer les repas chauds - Rendre propres la cuisine et les ustensiles de cuisine - Couvrir les aliments et l eau de boisson - Laver à l eau propre et au savon les fruits et les légumes avant de les consommer - Bien cuire les aliments, surtout la viande et le poisson, avant de les consommer - Garder au frais les produits laitiers - Garder les aliments dans un garde-manger - Utiliser des lave-mains (en versant de l eau propre sur les mains et non les plonger dans l eau) - Se laver systématiquement les mains à l eau propre et au savon au sortir des toilettes et après le nettoyage anal des enfants. - Disposer d une réserve d eau propre et du savon à proximité des toilettes (pour le lavage des mains et le nettoyage anal des enfants). - Se laver dans un endroit propre et approprié - Se couper les ongles - Se brosser régulièrement les dents - Bien soigner ses cheveux - Laver proprement les habits, les suspendre et les repasser - Mettre les ordures ménagères dans un endroit approprié - Bien gérer les eaux usées. Groupe cible Elèves, enseignants, l administration scolaire, comité de gestion scolaire, club de santé / gouvernement des enfants, association des parents / des mères d élèves, et ONG, chargé communal de l eau Cadre de la séance/ Ecoles, centres de santé et communautés lieu utilisateurs Enseignants, agents de la santé, animateurs (-trices) d ONG et d associations 24
25 Durée de la séance 1h30mn Images à utiliser Bonnes et mauvaises pratiques B- Déroulement de la séance I. Introduction - Salutations et présentation de l animateur (-trice) - Introduction de la séance - Présentation des objectifs de la séance II. Reconnaissance des images Annoncer clairement cette étape Exemple : «Nous allons maintenant examiner les images que nous avons apportées. Vous allez dire ce que vous voyez sur chacune des images. Tout le monde a droit à la parole pour dire ce qu'il pense.» - Prendre le lot d images dans les mains (boite à images), les présenter une à une à l assemblée en demandant : «Qu est-ce que vous voyez sur cette image?» - Laisser les gens discuter librement. - Poser des questions d approfondissement pour aider à comprendre chaque image. - Ne passer à l image suivante que si la précédente image est parfaitement identifiée par chacun des participants. - Une fois que les participants se sont accordés sur l image, la mettre de côté. - Procéder de la même façon pour toutes les images. - À la fin, féliciter les participants pour leur contribution. Recommandations pour cette étape : - Bien tenir l image par le haut, la montrer à chacun des participants et la poser au centre de l assemblée de façon à ce que chacun puisse bien la voir. - S il y a discussion sur une image, poser des questions afin que les participants arrivent à décrire l essentiel de ce que l on veut montrer. - Si la discussion persiste, résumer ce que l on veut faire comprendre à travers l image. - Eviter les jugements (bonnes ou mauvaises pratiques) lors de cette étape. III. Formulation des messages : - Se laver systématiquement les mains à l eau propre et au savon avant de manipuler des aliments, de donner à manger et de consommer les repas - Consommer les repas chauds - Rendre propres la cuisine et les ustensiles de cuisine 25
26 - Couvrir les aliments et l eau de boisson - Laver à l eau propre et au savon les fruits et les légumes avant de les consommer - Bien cuire les aliments, surtout la viande et le poisson, avant de les consommer - Garder au frais les produits laitiers - Garder les aliments dans un garde-manger - Utiliser des lave-mains (en versant de l eau propre sur les mains et non les plonger dans l eau) - Se laver systématiquement les mains à l eau propre et au savon au sortir des toilettes et après le nettoyage anal des enfants - Disposer d une réserve d eau propre et du savon à proximité des toilettes (pour le lavage des mains et le nettoyage anal des enfants) - Se laver dans un endroit propre et approprié - Se couper les ongles - Se brosser régulièrement les dents - Bien soigner ses cheveux - Laver proprement les habits, les suspendre et les repasser - Mettre les ordures ménagères dans un endroit approprié - Bien gérer les eaux usées. IV. Engagements Les images des bonnes pratiques étant toujours exposées, passer en revue chacune d entre elles en demandant : - Qu est-ce que vous faites déjà? - Qu est-ce que vous ne faites pas et qui est facile à faire? - Qu est-ce que vous ne faites pas et qui est difficile à faire? Laisser les participants échanger sur les contraintes liées aux pratiques qui semblent difficiles à adopter (point le plus important de l animation à approfondir). Demander aux participants de s engager à adopter chacune des bonnes pratiques. V. Conclusion - Encourager les participants à adopter de meilleures pratiques - Encourager la promotion des meilleures pratiques - Remercier les participants et annoncer la prochaine visite pour vérifier si l engagement a été tenu. Images mauvaises Pratiques Images bonnes Pratiques 26
27 C- Fiches d information essentielles I- Définition de l hygiène : L hygiène est l ensemble des règles à suivre pour la préservation de la santé. Elle est destinée à prévenir les infections et l'apparition de maladies infectieuses. Elle se base essentiellement sur trois actions : le nettoyage ; la désinfection ; la conservation. Par extension, on parle aussi d'«hygiène de vie», «hygiène alimentaire» et d'«hygiène mentale» pour des actions et activités permettant de prévenir l'apparition de troubles, comme la pratique du sport, l'abstention de fumer ou de boire de l'alcool, par exemple. II- Généralités Avoir une bonne hygiène de vie c est avant tout se tenir en bonne santé. En effet, notre santé dépend énormément du mode de vie que l on mène, c est-à-dire si on se lave correctement, si on mange équilibré, etc... Une bonne hygiène de vie passe aussi par le respect de petits gestes quotidiens mais également par la mise en place de règles visant à améliorer et promouvoir la santé d un individu. L hygiène de vie au quotidien Nous devons quotidiennement prendre soin de nous tant sur le plan physique que moral. Étant en constante activité toute la journée, notre corps nécessite du repos. Ainsi, le sommeil est un élément essentiel et influence grandement notre qualité de vie. Pratiquer au moins 30 minutes d une activité sportive quelconque au moins une fois par jour est aussi important pour garder la forme. Ceci contribue également au développement personnel de la personne ainsi qu à son épanouissement. L alimentation doit aussi suivre pour permettre à l organisme de reprendre des forces. Les nutritionnistes conseillent de 27
28 consommer au minimum 5 fruits et légumes par jour pour avoir une alimentation équilibrée. Avoir une bonne hygiène de vie, c est être en bonne santé Garder une bonne hygiène de vie permet de bénéficier de nombreux avantages visibles ou non. En effet, quelqu un qui suit comme il se doit les conseils énoncés ci-dessus ne peut qu être mieux dans sa peau et dans sa tête. Quand on parle d hygiène de vie, on parle également de moral. Garder un esprit positif et être sûr de soi permet de combattre le stress et garantit une meilleure résistance à la maladie. Les conséquences d une mauvaise hygiène de vie Les effets d une mauvaise hygiène de vie sont, sans nul doute, plus nombreux que l on ne pense. Que ce soit sur la santé physique ou morale, le manque d hygiène peut nuire non seulement à l endurance mais peut dans certain cas causer la mort. Il faut savoir que beaucoup de personnes souffrent de malnutrition découlant d un laisser aller, ce qui entraîne de nombreuses complications telles que l obésité et diverses maladies du cœur. Le manque de sommeil est un problème de société certain tant parmi les jeunes que les adultes. Ce dernier engendre un déséquilibre dans la vie de tous les jours, génère des coups de fatigue et favorise l obésité. Avoir une mauvaise hygiène de vie favorise aussi le vieillissement des cellules du corps. C est pour cela que beaucoup d alcooliques et fumeurs meurent subitement ou des suites d une complication avant 60 ans. Le manque d hygiène buccodentaire entraîne aussi la prolifération de la plaque dentaire pouvant elle-même entraîner d autres complications comme la chute des dents ou la gingivite. III- Importance de l hygiène L hygiène favorise le développement de la santé individuelle et collective par la diminution des affections morbides et/ou mortelles. - L'hygiène contribue à l amélioration du cadre de vie - Contribue à la diminution des coûts de soins de santé - Augmente la productivité de la population - Accroit le taux de natalité L hygiène de vie permet d accroître l espérance de vie, et se reflète par plusieurs effets positifs visibles. Une personne ayant une vie saine a meilleure mine et possède un grain de peau beaucoup plus net et beau qu une personne négligée. Les yeux, les ongles et les cheveux paraissent aussi en meilleure santé et marquent une différence notoire. Dans la 28
29 majorité des cas, l amélioration de l hygiène de vie d une personne peut lui permettre d augmenter ses facultés mentales et physiques. De plus, on devient bien plus résistant à de nombreuses maladies. IV- Les formes d hygiène Il existe plusieurs formes d hygiène dont : 1) L hygiène alimentaire C est un ensemble de règles qui consistent à protéger l eau et les aliments contre toute forme de souillure. Elle aide à éviter les intoxications alimentaires et à s alimenter en toute sécurité. 2) L hygiène corporelle C est l ensemble des règles qui consistent à rendre le corps et les vêtements propres. Elle est aussi une pratique essentielle qui contribue grandement à réduire les infections par des microorganismes pathogènes, notamment en limitant les contaminations entre individus. 3) L hygiène environnementale C est l ensemble des mesures et pratiques qui consistent à rendre et maintenir propre son cadre de vie. V- Le lavage des mains à l eau et au savon C est une technique qui consiste à rendre les mains propres. 1) Les bonnes manières de se laver les mains 29
30 2) Les moments critiques pour se laver les mains Ci-dessous figurent les moments avant ou après lesquels il faut absolument se laver les mains à l eau propre et au savon : - Avant de manger - Avant l allaitement - Avant de préparer les repas - Après les selles - Après avoir manipulé les selles des enfants - Après les visites dans des lieux publics, marchés, manifestations, cérémonies, à l hôpital et au retour du cimetière. 3) Mesures recommandées Quand on parle d hygiène de vie, on ne peut exclure la façon dont on prend soin de notre corps au quotidien. Il y a certaines choses à faire et d autres qu il faut éviter à tout prix pour pouvoir être en bonne santé. - Le brossage des dents est indispensable et doit se faire après chaque repas que l on prend. Ceci permet d éviter la prolifération de bactéries formant à leur tour des caries nuisibles à l émail dentaire. - Il est également important de prendre une douche ou un bain une à deux fois par jour. Si l on ne peut se laver une deuxième fois, il est recommandé de faire une toilette le soir avant d aller se coucher. 30
31 - Changer ses vêtements quotidiennement et plus précisément après chaque douche est également quelque chose qu il ne faut pas négliger. Ceci inclut également les sous-vêtements car les vêtements sales contiennent des bactéries. - Se laver les mains avant les repas est aussi important pour garder une hygiène de vie impeccable. On ne peut malheureusement pas empêcher ces dernières d entrer en contact avec des objets mais aussi avec d autres personnes ayant des bactéries. - Se laver les mains à l eau propre et au savon après les cimetières. - Se débarrasser des vêtements des malades et des morts. Pour les fièvres hémorragiques genre Ebola, dans le contexte actuel de la Guinée par exemple, il est recommandé en plus des règles courantes d hygiène de : - Se laver les mains à l eau propre et au savon après avoir rendu visite à des malades, - Eviter de toucher les malades et d être en contact avec les objets, les vêtements utilisés par ceux-ci, - Ne pas enterrer soi-même/communauté les malades décédés, - Déclarer systématiquement les cas suspects aux structures compétentes, - Installer des dispositifs de lavage de mains à l école, dans les structures sanitaires et dans les lieux publics. 4) Les comportements à adopter Afin de rester en bonne santé, le mieux à faire est de : - Vivre dans un endroit propre - Respecter et faire respecter les principes d hygiène - Adopter une alimentation équilibrée - Pratiquer du sport - Eviter la consommation de produits toxiques. 31
32 Troisième partie 32
33 Module 3 : Assainissement Module 3 : Assainissement A- Fiche pédagogique I. Objectifs Pédagogiques : - Amener les participants à connaitre les dangers liés à la défécation à l air libre - Sensibiliser sur l importance des latrines - Développer les connaissances et pratiques liées à l utilisation correcte des latrines II. Contenu du module 1- Définition de l assainissement 2- Les différents types d assainissement 3- La latrinisation 4- La défécation à l air libre et Utilisation des latrines 5- La Gestion des latrines III. Méthodologie - Brainstorming 33
34 - Exposé - Projection de film - Visite de terrain - Présentation de boite à images - Travaux de groupe IV. Matériels/Supports Pédagogiques - Manuel de formation - Boite à images - Film - Dépliants - Affiches - Vidéo/ projecteur - Groupe électrogène - T-shirt - Markers - Papiers Padex V. Données générales de la Séance Objectifs Immédiat : Aider le groupe à identifier les comportements d hygiène qu il souhaite modifier, renforcer ou adopter. A long terme : Tous les participants utilisent les latrines et les entretiennent de manière à ce qu elles restent toujours propres. Messages à diffuser - Arrêtons de déféquer à l air libre car elle entraine la contamination des points d eau - Construisons les latrines et utilisons-les correctement - Apprenons à nos enfants à utiliser les latrines - Fermons le trou de défécation après utilisation - Les selles des enfants sont aussi dangereuses que celles des adultes, mettons-les systématiquement dans les latrines - Utilisons des pots pour la défécation des jeunes enfants - Les latrines mal entretenues sont sources de maladies - Laissons les latrines propres après chaque passage 34
35 - Lavons systématiquement nos mains à l eau propre et au savon au sortir des toilettes et après le nettoyage anal des enfants Groupe cible Cadre de la séance/ lieu Utilisateurs Durée de la séance Images à utiliser Elèves, enseignants, l administration scolaire, comité de gestion scolaire, club de santé / gouvernement des enfants, association des parents / des mères d élèves, et ONG, chargé communal de l eau, comité /groupe d assainissement. Ecoles, centres de santé et communautés, marchés Enseignants, agents de la santé, animateurs (-trices) d ONG et d associations 1h30mn Bonnes et mauvaises pratiques B- Déroulement de la séance I. Introduction - Salutations et présentation de l animateur (-trice) - Introduction de la séance - Présentation des objectifs de la séance II. Reconnaissance des images Annoncer clairement cette étape. Exemple : «Nous allons maintenant examiner les images que nous avons apportées. Vous allez dire ce que vous voyez sur chacune des images. Tout le monde a droit à la parole pour dire ce qu'il pense.» - Prendre le lot d images dans les mains (boite à images), les présenter une à une à l assemblée en demandant : «Qu est-ce que vous voyez sur cette image?» - Laisser les gens discuter librement. - Poser des questions d approfondissement pour aider à comprendre chaque image. - Ne passer à l image suivante que si la précédente image est parfaitement identifiée par chacun des participants. - Une fois que les participants se sont accordés sur l image, la mettre de côté. - Procéder de la même façon pour toutes les images. - À la fin, féliciter les participants pour leur contribution. Recommandations pour cette étape : - Bien tenir l image par le haut, la montrer à chacun des participants et la poser au centre de l assemblée de façon à ce que chacun puisse bien la voir. 35
36 - S il y a discussion sur une image, poser des questions afin que les participants arrivent à décrire l essentiel de ce que l on veut montrer. - Si la discussion persiste, résumer ce que l on veut faire comprendre à travers l image. - Eviter les jugements (bonnes ou mauvaises pratiques) lors de cette étape. III. Formulation des messages : - A l école et à la maison, utilisons les latrines pour limiter la transmission des maladies - Les selles des bébés et des enfants peuvent aussi être dangereuses. Utilisons un pot pour la défécation des petits enfants et déversons les selles dans les latrines - Refermons le trou de défécation après usage pour limiter les odeurs et la prolifération des insectes (mouches, cafards, ) - Lavons nos mains à l eau propre et au savon au sortir des toilettes et après le nettoyage anal des enfants - Construisons les latrines et entretenons les bien, car cela donne une bonne image de notre école et de notre famille - Construisons nos latrines en aval et loin de nos points d eau - Gardons les latrines propres après chaque utilisation par respect pour celui ou celle qui va suivre - Quand la fosse est pleine, retirons la dalle, bouchons la fosse avec de la terre et creusons une nouvelle fosse (dalle SanPlat). IV. Engagements : Les images des bonnes pratiques étant toujours étalées ; passer en revue chacune d entre elles en demandant : - Qu est-ce que vous faites déjà? - Qu est-ce que vous ne faites pas et qui est facile à faire? - Qu est-ce que vous ne faites pas et qui est difficile à faire? Laisser les participants échanger sur les contraintes liées aux pratiques qui semblent difficiles à adopter (point le plus important de l animation à approfondir). Demander aux participants de s engager à adopter chacune des bonnes pratiques. V. Conclusion - Encourager les participants à adopter de meilleures pratiques - Encourager la promotion des meilleures pratiques - Remercier les participants et annoncer la prochaine visite pour vérifier si l engagement a été tenu. Images mauvaises Pratiques Images bonnes Pratiques 36
4. Comment la maladie est-elle transmise à l homme? 2. Les composantes des soins de santé primaires : 1. Qu est-ce que l Initiative de Bamako (IB)?
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