Les personnes âgées dépendantes

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1 Les personnes âgées dépendantes 9 novembre Dossier presse

2 Sommaire 1- L augmentation attendue du nombre de personnes âgées dépendantes Des dépenses publiques pour les personnes âgées dépendantes estimées à 15 milliards d euros en La complexité des circuits de décision et de financement (circuits pour 2006) Les coûts restant à la charge des personnes âgées dépendantes Projection de coûts pour la prise en charge des personnes âgées dépendantes à domicile et en institution à l horizon de 2020 (coûts supplémentaires annuels) Le financement de l APA L évolution de l offre de services et de structures d accueil Des disparités de traitement entre départements : l exemple des montants des plans d aide APA Ressources et charges de la CNSA La tarification des établissements 13 2

3 1 - L AUGMENTATION ATTENDUE DU NOMBRE DE PERSONNES AGEES DEPENDANTES En 2000, le nombre de personnes âgées dépendantes s élevait à 0,8 million selon la grille AGGIR (GIR 1 à 4) et à 0,85 million selon la grille EHPA 1. Les projections à 2020 et 2040 sont les suivantes : Projections en nombre de personnes âgées dépendantes GIR 1 à 4 EHPA 11 à 22 GIR 1 à 4 EHPA 11 à 22 Scénario optimiste 0,91 1,00 1,06 1,17 (en millions) Scénario central 1,00 1,07 1,22 1,34 Scénario pessimiste 1,05 1,14 1,43 1,54 Source : DREES L'INSEE, dans une étude de 2004, parvient à des résultats convergents. 1 Les grilles AGGIR et EHPA mesurent la dépendance psychique et physique des personnes. 3

4 2 - DES DEPENSES PUBLIQUES POUR LES PERSONNES AGEES DEPENDANTES ESTIMEES A 15 MILLIARDS D EUROS EN 2003 Répartition des dépenses par types de financeurs 5% 2% 20% 9% 2% <1 % 60% 2% Budgets départementaux (*) Solidarité nationale-anah Exonérations de charges sociales Assurance vieillesse Solidariré nationale FFAPA Budget de l'etat Assurance maladie Allocations familiales (*) déduction faite de la contribution du FFAPA ANAH : Agence nationale pour l amélioration de l habitat FFAPA : Fonds de financement de l APA Répartition des dépenses par sources de financement 6% 11% 13% 37% 33% ressources propres collectivités ressources Etat CSG ITAF Cotisations autres ITAF : Impôts et autres taxes affectés aux régimes de sécurité sociale. 4

5 3 - LA COMPLEXITE DES CIRCUITS DE DECISION ET DE FINANCEMENT (CIRCUITS POUR 2006) Fiscalité nationale CSG Journée de solidarité Cotisations sociales ACOSS Etat Caisses nationales d ass. maladie (2) Caisses de retraite 0,3 % sur rev placements et patrimoine Crédits médicosociaux (pour ordre) (1) Contribution à l APA CNSA Fiscalité locale dotations Préfet de région/préfets dépts ARH/CRAM Caisses pivot (dotations) CRAM Départements DDASS CPAM (soins de ville) hôpitaux Exonérations de charges Dépenses fiscales APA SSIAD, EHPAD USLD Action sociale caisses Personne âgée Légende Décision de répartition des crédits Circuit des financements (pour la sécurité sociale, régime général seul) Recettes de la journée de solidarité et part de CSG portant sur les rémunérations : (1) 5

6 4 - LES COUTS RESTANT A LA CHARGE DES PERSONNES AGEES DEPENDANTES 1- A domicile La Cour a rapproché les montants moyens d APA et les besoins en aide et a cherché à mesurer le taux d effort demandé aux personnes âgées dépendantes vivant à domicile. Un nombre d heures finançables par l APA inférieur au besoin GIR 1 GIR 2 GIR 3 GIR 4 GIR 5 GIR 6 Temps de soins nécessaire par mois (en heures) selon la grille , ,5 7,5 AGGIR Montant moyen versé par le département Nombre d heures finançables par mois en prestataire En pourcentage du temps de soins nécessaire 46 % 44 % 43 % 43 % Nombre d heures finançables par mois en gré à gré En pourcentage du temps de soins nécessaire 80 % 77 % 76 % 76 % Source : DGAS, CNAVTS et DREES Réalisation : Cour des comptes Des aides non ciblées sur les personnes les plus démunies La Cour a chiffré le montant des principales aides dont peut bénéficier une personne âgée (APA et réduction d impôt sur le revenu au titre de l emploi d un salarié à domicile) en fonction de son revenu 2. Le plan d aide APA prévoit que la participation de la personne croît avec son revenu jusqu à 90 % du plan d aide. Le dispositif de réduction fiscale 3 bénéficie quant à lui aux personnes effectivement appelées à payer l impôt sur le revenu. L aide fiscale augmente donc avec le revenu, la réduction fiscale étant au maximum de Au total, il ressort de ce travail que le montant des aides perçues décrit une courbe en U (voir tableau suivant) en fonction du revenu. Une personne en GIR 1 ne disposant que de faibles revenus sera relativement bien aidée car exonérée de participation au plan d aide APA ; elle ne bénéficiera pas en revanche de réduction fiscale. Entre et de revenus annuels, le total des aides diminue du fait de l augmentation de la participation de la personne au plan d aide APA que ne compense pas la réduction fiscale (les personnes ne sont, en effet, pas imposables ou le sont à un niveau qui limite la portée de la réduction fiscale). Par contre, pour des revenus supérieurs à annuels, la réduction fiscale prend toute sa portée et le total des aides augmente jusqu à ce que le plafond de 5000 de réduction soit atteint. Il apparaît ainsi qu une personne disposant d un revenu annuel de bénéficiera de plus d aides (6 064 ) qu une personne aux revenus deux fois inférieurs (pour des revenus annuels de 2) Hypothèse d une personne seule, ayant eu des enfants qui ne sont plus à charge et qui bénéficie d une demi-part supplémentaire. 3) Réduction fiscale de 50 % des dépenses exposées pour l emploi d un salarié à domicile et effectivement supportées par la personne (c est-à-dire non couvertes par une aide publique comme l APA) dans la limite de

7 21 600, les aides sont de ). Le dispositif de réduction fiscale favorise ainsi les plus hauts revenus. Aides percues (APA et réduction d'impot sur le revenu au titre de l'emploi d'un salarié à domicile) en fonction du revenu. Exemple d'une personne en GIR aides (euros) revenus (euros) Réalisation : Cour des comptes Dépenses restant à la charge de la personne âgée (déduction faite de l APA versée par le département et de la réduction fiscale pour l emploi d un salarié à domicile). Revenu annuel Reste à charge en valeur et en pourcentage du revenu 4 pour une personne en GIR 1 (en euros) Pour un besoin 3 heures et demi d aide professionnelle par jour Pour un besoin de 12 heures d aide professionnelle par jour % % % % % % % % % % % % 4 Coût horaire moyen de 12,57 reposant sur une intervention pour moitié en mode «prestataire» et pour moitié en mode «gré à gré». 7

8 Pour des personnes qui auraient besoin d un nombre important d heures (comme dans l hypothèse retenue ici d un besoin de 12 heures d aide par jour), le revenu mensuel peut ne plus être suffisant pour couvrir les coûts d aide à domicile (qui atteignent jusqu à plus de trois fois les revenus moyens des personnes les plus démunies). 2 - En hébergement Les résidents ont à leur charge le tarif hébergement et une partie du tarif dépendance (le total des deux constituant un prix de journée). Dans les départements contrôlés par la Cour et les CRC, les prix de journée pratiqués dans les établissements habilités à l aide sociale étaient les suivants : Prix de journée dans 9 départements contrôlés par les juridictions financières (en ) Départements Coût journalier moyen total pour l'usager 2000 Coût journalier moyen total pour l'usager 2004 Estimation Coût moyen mensuel 2000 Estimation Coût moyen mensuel 2004 Evolution 2000 à 2004 Aisne 41,59 42, , ,8 1,3 % Corrèze 33, , ,3 % Eure-et-Loir 43,98 48, , ,5 10,61 % Haute-Garonne 38,91 44, , ,2 13,4 % Mayenne 40,20 43, , ,4 % Rhône 46,66 48, , ,10 3,4 % Paris 64,42 60, , ,5-6,2 % Var 45,73 45, , ,4-0,3 % Vosges 33,93 36, , ,9 7 % Les tarifs de 2000 sont des tarifs d avant la réforme, les tarifs 2004 sont les tarifs consécutifs à la réforme de la tarification. Source : Département et chambres régionales des comptes Réalisation : Cour des comptes On constate dans la plupart des départements une hausse des tarifs entre 2000 et Ces prix sont bien supérieurs dans les établissements privés. Ces prix de journée moyens doivent être comparés aux pensions moyennes des personnes âgées. La retraite moyenne d une personne entre 80 et 84 ans est de et celle d une personne de 85 ans ou plus de ) Pensions tous régimes confondus (Etude CNAVTS, janvier 2004). 8

9 5 - PROJECTION DE COUTS POUR LA PRISE EN CHARGE DES PERSONNES AGEES DEPENDANTES A DOMICILE ET EN INSTITUTION A L HORIZON DE 2020 (COUTS SUPPLEMENTAIRES ANNUELS) 1 Coûts supplémentaires pour l assurance maladie (M ) Hypothèse basse Hypothèse haute Coût du renforcement des taux d encadrement en établissement (0,35 ETP soignant par lit) M M Coût de l augmentation de capacité des établissements (coût de fonctionnement annuel supplémentaire) Coût des SSIAD (coût de fonctionnement annuel supplémentaire) Augmentation des soins de ville et des dépenses d hospitalisation (estimation de M en 2003) lits 180 M Maintien du taux d équipement 300 M Taux d augmentation du nombre de personnes âgées dépendantes de 13,75 % 270 M (=1 970 x 13,75 %) lits 500 M Doublement du taux d équipement M Taux d augmentation du nombre de personnes âgées dépendantes de 31 % 610 M (=1 970 x 31 %) TOTAL M 4 710M 2 Coûts supplémentaires d APA Hypothèse basse Hypothèse haute Augmentation du coût de l APA par rapport à 2003 (projection du ministère des affaires sociales) M 3000 M Renforcement du taux d encadrement (0,35 ETP soignant) et des capacités des établissements lits 700 M lits 800 TOTAL M M 3 Coûts supplémentaires pour les résidents Hypothèse basse Hypothèse haute Coût du renforcement des taux d encadrement (0,35 ETP soignant par lit) M M Coût de l augmentation de capacité ( lits) 120 M ( lits) 350 M Coût de la mise aux normes (charge annuelle de l amortissement) 380 M M TOTAL M M 9

10 6 - LE FINANCEMENT DE L APA Le financement public de l APA jusqu en (prévision) Prévision de bénéficiaires (en ) Nombre de bénéficiaires au 31/ Nombre de bénéficiaires en moyenne annuelle Prévision de dépenses (en Md Md ) Md Dépense effective d APA (1) M M M M Dépense résiduelle de PSD (2) 348 M 120 M - - Concours du FFAPA/CNSA 6 (3) Charge nette des départements (4)=(1)+(2)-(3) Potentiel fiscal des départements M 798 M M M M M M M M M M M Taux d effort fiscal moyen 9 9 % 11,09 % 11,88 % 12,39 % Part du FFAPA/CNSA dans le financement de l APA + PSD (5)=(3)/(1+2) Source : DGAS 36 % 40 % 37 % 36,8 % Projection du coût de l APA avec indexation du plafond de l allocation sur les salaires (M ) départements bénéficiaire 6) La CNSA s est substituée au FFAPA en milieu d année ) Montant en cours d arbitrage au 21 mars ) En 2003 le potentiel fiscal est celui de 2002, en 2004 et 2005 c est celui de ) Après prise en compte de la dotation du FFAPA. 10

11 Source : INSEE. La part du bénéficiaire correspond au ticket modérateur 7 - L EVOLUTION DE L OFFRE DE SERVICES ET DE STRUCTURES D ACCUEIL 1 - Evolution du nombre d établissements et du nombre de places de 1996 à 2003 en distinguant les structures à but non lucratif et les structures à but lucratif Nombre de structures Variation Nombre de places / Variation 96 / 03 Logements-foyers publics % % Logements-foyers privés à but non lucratif ,2 % % Logements-foyers privés à but lucratif % % Total logements-foyers % % Maisons de retraite rattachées à un hôpital % % Maisons de retraite autonomes publiques % % Maisons de retraite privées à but lucratif ,5 % % Maisons de retraite privées à but non lucratif % % Total maisons de retraite % % Résidences d héberge-ment temporaire % % Unités de soins de longue durée (USLD) % % Total général % % Sources : données 1996 et 2003 DREES - Réalisation Cour des comptes 2- Evolution des capacités de prise en charge à domicile : a/evolution du nombre de places de SSIAD (services de soins infirmiers à domicile) depuis Nombre de places autorisées (+ 55 %) (+ 28 %) (+ 20 %) (+ 30 %) Nombre de services * Taux d équipement ** ND ND 14,6 15,3 18,7 * Approximation : en 2001 et 2004, la DGAS et la DHOS ne connaissent que le nombre de places et pas le nombre de services. ** Nombre de places pour habitants de plus de 75 ans. Source : DGAS b/evolution de l activité des services d aide à domicile en faveur des personnes âgées des réseaux ADMR et UNASSAD / 2004 Activité «prestataire» d aide à domicile auix ADMR 19,2 20,4 23,3 26, % personnes de 60 ans et + (millions d heures) UNASSAD 33,1 35,2 39,2 45,5 55, % Activité «mandataire» (millions d heures) ADMR 17,2 17,9 18, , % UNASSAD 21,3 22,7 23, , % Services de soins (millions de journées) ADMR 2,1 2,2 2,3 2,5 2,8 +33 % UNASSAD 3 3,2 3,6 4,2 5, % Tous publics confondus, mais les personnes âgées représentent 90 % des bénéficiaires Source : ADMR et UNASSAD Néanmoins, les chiffres disponibles ne permettent pas d évaluer la progression du taux de couverture des besoins d aide et de soins à domicile. 11

12 8 - DES DISPARITES DE TRAITEMENT ENTRE DEPARTEMENTS : L EXEMPLE DES MONTANTS DES PLANS D AIDE APA 12

13 9 - RESSOURCES ET CHARGES DE LA CNSA Emplois 1 section Financement des établissements ou services sociaux ou médicosociaux 2 section Concours aux départements au titre de l APA 3 section Concours aux départements au titre de la prestation de compensation et des maisons des personnes handicapées 4 section Modernisation des services d aide à domicile et professionnalisation des métiers de service en faveur des personnes âgées 5 section Autres dépenses en faveur des personnes âgées ou handicapées (études, actions de prévention) 6 section Charges de fonctionnement de la caisse Ressources - pour les personnes handicapées : entre 10 et 14 % du produit des recettes nouvelles - pour les personnes âgées : 40 % des recettes nouvelles - à partir de 2006 ONDAM médicosocial destiné aux établissements ou services sociaux ou médico-sociaux - 20 % des recettes nouvelles - recettes traditionnelles du FFAPA (0,1 point de CSG et contribution des caisses de retraite) - entre 26 et 30 % des recettes nouvelles10 - entre 5 et 12 % du produit du 0,1 point de CSG anciennement affecté au FFAPA - une fraction des recettes nouvelles - un prélèvement sur l ensemble des recettes réparti entre les sections au prorata du montant des ressources qui leur sont affectées. 10) Les ressources consacrées aux personnes handicapées au titre de la première ou de la troisième sections doivent être égales à 40 % des nouvelles recettes. 13

14 10 - TARIFICATION DES ETABLISSEMENTS Les tarifs et les financeurs Le tarif journalier relatif à l hébergement recouvre l ensemble des prestations d administration générale, d accueil hôtelier, de restauration, d entretien et d animation de la vie sociale de l établissement, ainsi que la totalité du coût immobilier. Il est à la charge de la personne accueillie. Le tarif a fférent à la dépendance recouvre l ensemble des prestations d aide et de surveillance nécessaires à l accomp lissement des actes essentiels de la vie ; ces frais sont à la charge du résident aidé par l APA (GIR 1 à 4). Enfi n, le tarif afférent aux soins recouvre les prestations médicales et paramédicales nécessaires à la prise en charge des affections somatiques et psychiques, ainsi que les prestations paramédicales liées à l état de dépendance ; il est totalement pris en charge par l assurance maladie 11. Les charges supportées par l établissement sont réparties entre les trois sections du budget, correspondant aux trois catégories de prestations. Elles sont soit imputées totalement à une section, soit réparties entre deux sections tarifaires (charges de personnel) selon des clés qui ont été arrêtées réglementairement. Chaque établissement ou structure arrête trois tarifs. Celui de l hébergement ne dépend pas de la perte d autonomie de la personne. En revanche, le tarif de la dépendance varie en fonction du degré de dépendance 12. Enfin, pour les tarifs soins, le total de points GIR est majoré d un nombre forfaitaire de points visant à tenir compte du coût de la prise en charge des pathologies, non proportionnel au degré de dépendance 13. L établissement connaît ainsi son nombre de points GIR Soins (GIRS) et la valeur historique de son «point GIRS», ce qui permet de calculer une dotation avant conventionnement, donc sans moyens nouveaux. Le schéma suivant résume la répartition des compétences en matière de tarifs : Tarif Autorité fixant le tarif Avis Soins Etat (Préfet ou ARH) Conseil général, Caisse régionale d assurance maladie Dépendance Président du Conseil général Etat, Caisse régionale d assurance maladie Hébergement Président du Conseil général (si habilitation à l aide sociale) 11) Toutefois, pour les soins, deux forfaits aux périmètres différents ont été créés : le forfait «global» et le forfait «partiel» dont le choix est laissé à l initiative de l établissement. La définition du périmètre des dépenses entrant dans ces deux types de forfait a connu de profondes modifications entre 1999 et Les modalités et les conséquences de ce système sont présentées infra dans le bilan de la réforme. 12) Trois tarifs sont établis à cette fin correspondant respectivement aux GIR 1 et 2, 3 et 4, 5 et 6. 13) Les USLD ont été dotées d un nombre de points forfaitaires supérieur à celui des établissements médico-sociaux, mais une récente étude réalisée par l assurance maladie sur la base de l outil de mesure des besoins en soins médico-techniques (PATHOS) montre que cette différence ne se justifie pas. 14

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