HEALTH BEHAVIOUR IN SCHOOL-AGED CHILDREN (HBSC) ALSACE 2012

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1 HEALTH BEHAVIOUR IN SCHOOL-AGED CHILDREN (HBSC) ALSACE III. CONSOMMATION DE SUBSTANCES PSYCHOACTIVES RAPPEL DU CONTEXTE ET DE LA MÉTHODE 1 1 Voir le Fascicule 1 : Polesi H., Anselm M., Imbert F., Schauder N., «Health Behaviour in School-aged Children (HBSC) Alsace : I. Méthodologie et environnement familial», ORS Alsace, décembre 2013, p. LES FASCICULES HBSC ALSACE Les fascicules présentent, thématique par thématique, les résultats de l étude Health Behaviour in Schoolaged Children menée en Alsace en. Ils sont téléchargeables sur et sont distribués sous licence Creative Commons BY-NC- ND 3.0. Les fascicules relatifs à l enquête HBSC Alsace sont disponibles à la même adresse. Health Behaviour in School-aged Children (HBSC) est l enquête la plus importante s intéressant à la santé globale des élèves menée à l échelon mondial. Initiée en 192, elle a lieu depuis lors, tous les quatre ans, dans un nombre croissant de pays ou de régions (43 en 2010), sous l égide du bureau Europe de l Organisation mondiale de la santé (OMS). Elle est centrée sur la période charnière de l adolescence et concerne ainsi les jeunes de 11, 13 et scolarisés. Cette enquête est pilotée pour la France depuis 1996 par le Rectorat de Toulouse. Si l enquête nationale est représentative de l ensemble de la France, les effectifs enquêtés ne sont pas suffisants pour disposer d un échantillon exploitable à l échelon de la région. C est la raison pour laquelle des déclinaisons HBSC Alsace ont été menées depuis plusieurs années par l Observatoire régional de la santé d Alsace (ORS Alsace). Une première extension a été réalisée en. En, le recueil régional a été renouvelé et enrichi, pour les élèves de 4 e -3 e, de deux extensions urbaines, une sur la Communauté urbaine de Strasbourg (CUS) et l autre sur la ville de Mulhouse. L objectif, en, de l enquête régionale et de ses extensions urbaines était de réaliser un état des lieux de la situation des jeunes alsaciens au moment où plusieurs programmes de promotion de la santé des jeunes se mettaient en place dans le cadre du Programme régional de santé (PRS -2014) et des Contrats locaux de santé (CLS, signés en janvier ) de Strasbourg, de la CUS et de Mulhouse. L enquête permet ainsi : de comparer, pour la région entière, les résultats de l HBSC aux résultats, afin de suivre d éventuelles évolutions ; d observer et d analyser les spécificités des jeunes de la ville de Strasbourg, de la CUS hors Strasbourg et de la ville de Mulhouse par rapport aux jeunes des classes de 4 e -3 e de l ensemble de l Alsace. L enquête menée en, sur le modèle de l enquête nationale HBSC 2010, a permis d interroger élèves scolarisés du CM2 à la seconde. Dans le cadre de l exploitation des résultats de l édition, nous nous intéressons aux jeunes âgés strictement de 11, 13 et de la région, soit : 1 9 élèves de, 97 élèves de et 9 élèves de. Les extensions urbaines permettent de comparer les réponses des jeunes scolarisés dans les classes de 4 e et 3 e de la CUS (1 996 jeunes) et de Mulhouse (30 jeunes) à celles des jeunes de la région interrogés.

2 HBSC - CONSOMMATION DE SUBSTANCES PSYCHOACTIVES Présentation des résultats Le fascicule 1 présente la méthodologie de l enquête et la description de l échantillon, notamment pour ce qui est de l environnement familial et socio-économique des élèves. Le fascicule 2 reprend l analyse des réponses apportées aux questions concernant les habitudes alimentaires, l image du corps, les activités physiques et les comportements sédentaires des élèves. Ce fascicule 3 concerne l expérimentation et la consommation de substances psychoactives des jeunes alsaciens. Le fascicule 4 analyse les rapports des jeunes avec les phénomènes de violence dans et hors l école, la violence envers soi et envers les autres, la peur de la violence. Le fascicule 5 porte sur le vécu scolaire des élèves, ainsi que sur les interlocuteurs privilégiés selon les difficultés rencontrées. Le dernier fascicule thématique aborde les questions de perception de la santé et de bien-être des élèves. Enfin, un fascicule présente les résultats de l enquête pour les extensions urbaines ; reprenant les thématiques abordées au sein des précédents fascicules, ce document insiste sur les indicateurs qui permettent d observer des spécificités dans le mode de vie et les habitudes des jeunes des classes de 4 e et de 3 e domiciliés dans la CUS (hors Strasbourg), à Strasbourg et à Mulhouse par rapport aux jeunes de la région. 2 «À quel âge as-tu fait les choses suivantes pour la première fois? Boire de l alcool (plus qu un petit peu) ; Etre ivre (soûl, soûle) ; Fumer une cigarette (plus qu une bouffée) ; Fumer du cannabis (haschisch, marijuana, herbe, un joint ou du shit) ; Prendre d autres drogues que le cannabis, l alcool et le tabac.» L élève peut indiquer s il ne l a jamais fait ou son âge lors de l expérimentation ( ou moins, ans,, 14 ans, ou plus). Spécificités méthodologiques Le questionnaire permet d aborder la question de l usage des substances psychoactives (tabac, alcool et cannabis) de différentes manières : une question, posée à tous les élèves, quel que soit leur âge, porte sur l âge de leur première expérimentation 2 ; la consommation actuelle (en termes de fréquence au cours des 30 derniers jours) est posée à tous les âges pour le tabac et l alcool, et seulement à pour le cannabis ; pour l alcool, certains items sur le type d alcool consommé complètent la fréquence de consommation. Les élèves sont également interrogés sur l expérience d ivresse. 2

3 HBSC - CONSOMMATION DE SUBSTANCES PSYCHOACTIVES TABAC EXPÉRIMENTATION DU TABAC Globalement, un élève sur quatre (25 %) déclare avoir expérimenté le tabac 3, proportion qui varie selon l âge des répondants, allant de 7 % pour les élèves de à 49 % pour ceux de, et selon le sexe (27 % des garçons et 23 % des filles). Figure 1 : Proportion d élèves déclarant avoir déjà fumé, selon l âge et le sexe (en %) 60 49,9 47, ,6 3 «As-tu déjà fumé du tabac (au moins une cigarette, un cigare ou une pipe)?» Deux modalités de réponse : oui ou non ,1 10,4 0 4,3 Entre et, une diminution de l expérimentation des filles... L expérimentation entre et passe, tous âges et deux sexes confondus, de 29 % à 25 %. Cette évolution positive est surtout liée à une différence de comportement de la part des filles. En effet, la proportion de garçons ayant expérimenté le tabac reste stable (2 % en vs 27 % en ), tandis que celle des filles diminue (30 % vs 23 %). Notons que contrairement à ce que l on observe en, il n existait pas de différence significative entre les garçons et les filles pour cet item en. La diminution entre et de la proportion de filles ayant déjà fumé concerne tous les âges. Parmi les élèves de, 5 % déclarent avoir déjà expérimenté le tabac à ou moins, aussi bien pour les filles que pour les garçons. Cette expérimentation concerne davantage de filles que de garçons aux âges jeunes (respectivement 26 et 19 %), puis 22 et 23 % à 14 ou. L âge à l expérimentation est stable par rapport à. Figure 2 : Proportion d élèves déclarant avoir déjà fumé, selon l âge et le sexe : évolution - (en %) Figure 3 : Répartition des élèves de selon l âge à l expérimentation du tabac et le sexe : évolution - (en %) Jamais ou moins ans CONSOMMATION DE TABAC AU MOMENT DE L ENQUÊTE Un peu plus d un élève sur dix déclare être fumeur au moment de l enquête 4 (11 %) : 4 % fument chaque jour, 3 % au moins une fois par semaine, mais pas tous les jours et 4 % moins d une fois par semaine. La proportion de fumeurs, stable par rapport à, est très variable selon l âge des répondants, allant de 2 % à à 26 % à. On ne note en revanche pas de différence selon le sexe. 14 ans 4 «Tous les combien fumes-tu actuellement? Chaque jour, au moins une fois par semaine, mais pas tous les jours, moins d une fois par semaine, ne fume pas.» 3

4 HBSC - CONSOMMATION DE SUBSTANCES PSYCHOACTIVES... mais une proportion de fumeuses en augmentation, alors que le tabagisme quotidien diminue chez les garçons... A contrario, le tabagisme quotidien, qui concerne % des jeunes de, est nettement plus fréquent chez les filles (16 %) que chez les garçons ( %). Les différences avant ne sont pas significatives. Figure 4 : Proportion de fumeurs quotidiens, selon l âge et le sexe (en %) , Ce constat est nouveau par rapport à l enquête précédente, puisqu en aucune différence n était observée entre les deux sexes. En effet, le tabagisme quotidien n a pratiquement pas évolué chez les filles de (15 % d entre elles fumaient en, 16 % en ), alors qu il a eu tendance à fortement baisser chez les garçons (15 % en, contre % en ) ,5 0,2 3,6 1,6 7,... qui sont en revanche plus nombreux à fumer de façon régulière Soulignons tout de même que cette très forte baisse de consommateurs quotidiens de tabac chez les garçons de est compensée par une augmentation de la proportion de consommateurs réguliers (plus d une fois par semaine, mais pas tous les jours) et occasionnels (moins d une fois par semaine). Chez les filles, si la proportion de consommatrices quotidiennes n a pas varié, la proportion de fumeuses régulières a fortement augmenté, ce qui fait que la proportion des fumeuses de a fortement augmenté. Ainsi globalement, la proportion de filles qui fument à est passée de 24 % en à 31 % en. Figure 5 : Répartition des élèves de selon la fréquence de consommation de tabac et le sexe : évolution - (en %) Chaque jour > 1x/semaine <1x/semaine La comparaison des résultats des enquêtes et au travers de trois profils de consommateurs de tabac (ceux qui ne fument pas et n ont jamais fumé, ceux qui ne fument pas mais ont déjà essayé et ceux qui fument) est intéressante. En, un élève sur deux à n a pas expérimenté le tabac (51 %) ; environ un quart a déjà fumé une cigarette, mais ne fume pas au moment de l enquête (23 %) et le dernier quart déclare être fumeur au moment de l enquête (26 %). Cette situation reste stable par rapport à. Cependant, cette stabilité apparente masque des différences selon le sexe. En effet, on constate des évolutions pour les filles. Celles-ci sont moins nombreuses qu en à avoir déjà fumé (50 % vs 54 % en ), mais sont plus nombreuses à fumer au moment de l enquête (31 % vs 24 % en ). Figure 6 : Répartition des élèves de selon la situation vis-à-vis du tabac et le sexe : évolution - (en %) Fumeur Exp mais non fumeur Non fumeur 4

5 HBSC - CONSOMMATION DE SUBSTANCES PSYCHOACTIVES ALCOOL EXPÉRIMENTATION DE L ALCOOL L alcool reste la substance psychoactive la plus consommée, bien qu en diminution L alcool reste la substance psychoactive que le plus grand nombre d adolescents déclare avoir expérimentée. À déjà, près de la moitié (45 %) des élèves est concernée. On note que les filles sont plus nombreuses à déclarer n avoir jamais consommé d alcool (63 % vs 45 %). À l âge de, cette différence n existe plus : elles sont alors aussi nombreuses que les garçons à déclarer avoir déjà consommé une boisson alcoolisée (77 % des filles vs 76 % des garçons). Comme pour le tabac, l expérimentation de l alcool diminue entre les deux éditions de l enquête, passant globalement de 65 % à 59 %. Le phénomène est visible à pour les deux sexes (-5 points) et, pour les filles, également à 11 et. Figure 7 : Proportion d élèves déclarant avoir déjà consommé de l alcool, selon l âge et le sexe : évolution - (en %) Figure : Répartition des élèves de selon l âge à l expérimentation de l alcool et le sexe : évolution - (en %) 3 La première consommation d alcool des filles est un peu plus tardive (Figure ) : chez les élèves de, 11 % des garçons déclarent avoir consommé de l alcool pour la première fois à ou moins contre 5 % des filles Jamais ou moins 14 ans ans CONSOMMATION D ALCOOL AU MOMENT DE L ENQUÊTE À la question concernant la consommation actuelle de boissons contenant de l alcool 5, 56 % répondent positivement. La consommation d alcool occasionnelle (chaque mois ou rarement) concerne un peu moins de la moitié des élèves (47 %). Moins d un élève sur dix déclare boire de l alcool chaque semaine (6 %), mais cette proportion varie beaucoup selon l âge, puisqu elle fait plus que doubler à chaque tranche d âge (tous sexes confondus : 2 % à, 6 % à, 14 % à ). La consommation quotidienne d alcool est plutôt rare (2 % des répondants). Figure 9 : Répartition des élèves selon la fréquence de consommation d alcool actuelle, l âge et le sexe (en %) 34, Occasionnelle 45,5 47,1 51,2 50,6 0,7 0,2 61,2 3,3 2,9 3,5 0, Hebdomadaire 7,5 4,5 16,0,7 4, 1,2 Quotidienne Les garçons sont plus nombreux à consommer occasionnellement, hebdomadairement ou quotidiennement de l alcool que les filles. 5 «Actuellement, tous les combien bois-tu des boissons alcoolisées, par exemple bières, vins ou alcools forts? Les boissons alcoolisées sont bière, Vin-champagne-sangria, alcools forts, prémix, cidre, boisson énergisante associée à de l alcool, autre boisson contenant de l alcool.» Pour chaque type de boisson, les réponses peuvent être : jamais, rarement, chaque mois, chaque semaine, chaque jour. 5

6 HBSC - CONSOMMATION DE SUBSTANCES PSYCHOACTIVES Cette différence de comportement s observe de façon modérée en ce qui concerne la consommation globale (61 % des garçons déclarent en consommer actuellement contre 50 % des filles) et de façon nette en ce qui concerne la consommation régulière ( % des garçons déclarent consommer de l alcool hebdomadairement ou quotidiennement contre 5 % pour les filles). La consommation d alcool diminue de 7 points entre les deux éditions de l enquête (56 % vs 63 % en ), du fait d une diminution de la consommation occasionnelle. Cette baisse de la consommation s observe à tous les âges, de façon plus marquée pour les filles (entre 4 et 10 points suivant les âges). Figure 10 : Proportion d élèves déclarant une consommation actuelle d alcool, selon l âge et le sexe : évolution - (en %) La consommation au moins occasionnelle concerne les élèves qui consomment au moins «rarement» une boisson alcoolisée. Consommation actuelle suivant le type de boissons alcoolisées Le vin, le cidre et la bière sont les alcools les plus consommés par les jeunes de 11, 13 et confondus (respectivement 31, 30 et 2 %, pour une consommation au moins occasionnelle 6, c est-à-dire moins d une fois par semaine). Les préférences en matière d alcools changent beaucoup entre 11 et. Tableau 1 : Proportion d élèves déclarant une consommation d alcool (consommation au moins occasionnelle), selon le type d alcool et l âge (en %) Ensemble Bière Vin Alcools forts Prémix Cidre Alcool + boisson énergisante Aucun Si l on s intéresse aux consommations au moins occasionnelles, le cidre est la boisson alcoolisée préférée des. À, cidre, vin et bière se situent au même niveau alors, qu à vin et bière prédominent. On peut également souligner que la consommation au moins occasionnelle d alcools forts, qui concerne moins d un jeune sur dix à et un jeune sur six à, progresse très rapidement entre 13 et. À cet âge, près d un adolescent sur deux déclare consommer au moins occasionnellement ce type de boissons. À, une consommation équivalente pour les garçons et les filles 7 Modalité introduite dans l enquête, non présente dans l édition. Les garçons sont plus nombreux à consommer de la bière, du vin et du cidre (respectivement 36, 34 et 32 %), tandis que les filles consomment principalement du cidre et du vin (respectivement 2 et 27 %). Deux éléments sont à préciser : Avant, les filles déclarent systématiquement une consommation inférieure à celle des garçons, les plus grandes différences étant observées pour la bière (36 % pour les garçons vs 21 % pour les filles) et les boissons énergisantes associées à de l alcool 7 (21 % pour les garçons vs 13 % pour les filles). Figure 11 : Proportion d élèves de déclarant une consommation d alcool (au moins occasionnelle), selon le type d alcool et le sexe (en %) Bière Vin Alcools forts Prémix Cidre Alcool + B. énergisante Aucun Fille Garçon

7 HBSC - CONSOMMATION DE SUBSTANCES PSYCHOACTIVES Cependant, à, ce constat n est plus valable et la consommation des filles rattrape celle des garçons. Seule la bière est davantage consommée par les garçons que par les filles (54 % vs 42 %). La consommation de prémix chute de 19 points entre et Les boissons consommées (au moins occasionnellement) par les élèves de restent les mêmes entre et, exception faite du prémix (mélange de sodas ou de jus de fruits et d alcools forts), qui n est plus consommé que par un élève sur trois, contre plus d un sur deux en. Enfin, près de trois élèves sur dix déclarent consommer des boissons énergisantes associées à de l alcool (29 %). IVRESSE Figure : Proportion d élèves de déclarant une consommation d alcool (au moins occasionnelle), selon le type d alcool : évolution - (en %) 47 Bière 4 Vin Alcools forts Prémix Cidre Alcool + B. énergisante Aucun Concernant cette boisson, se reporter au fascicule portant sur les substances psychoactives. Le phénomène de l ivresse est abordé au travers de la question : «As-tu déjà consommé de l alcool au point d être complètement ivre (soûl, soûle)?» 9. Un élève sur sept déclare au moins un épisode d ivresse au cours de sa vie 9 Les modalités de réponse sont : «Non jamais ; Oui une fois ; Oui 2 ou 3 fois ; Oui 4 à 10 fois ; Oui plus de 10 fois». Une grande majorité des jeunes déclare n avoir jamais connu d ivresse (6 %). La proportion de jeunes déclarant cette expérience au moins une fois est très dépendante de l âge. À, seuls 5 % des enquêtés affirment avoir déjà été ivres, cette proportion double pour les élèves de (13 %) et double à nouveau pour les élèves de (31 %). À, pas de différence entre les sexes pour l ivresse À 11 et, les épisodes d ivresse concernent avant tout les garçons (respectivement % vs 3 % des filles à et 16 % vs % à ), alors qu à, le phénomène est de même ampleur pour les deux sexes. Si à, les ivresses sont essentiellement des évènements uniques, on observe que ces évènements deviennent plus fréquents dès, notamment chez les garçons, et, à, 7 % des garçons comme des filles ont connu plus de 3 épisodes d ivresse. Une expérience de l ivresse qui concerne moins d élèves de qu en Figure 13 : Répartition des élèves selon le nombre d épisodes d ivresse durant la vie, l âge et le sexe (en %) 0,2 2,5 0,0 0,5 6,2 0,9 4,7 2,6 0,4 9,3 3,1 3,7 15,2 9,3 6,9,7 9,7 6, Une fois 2-3 fois 4 fois ou plus Figure 14 : Répartition des élèves de selon le nombre d épisodes d ivresse durant la vie et le sexe : évolution - (en %) 16,6 13,4 4,2 Si, entre et, le fait d avoir vécu un épisode d ivresse n a pas évolué chez les plus jeunes (6 % en contre 5 % en pour les élèves de ), il a diminué pour les élèves de (-5 points, de 35 % à 30 %), notamment chez les garçons. Ces derniers sont 16 % à déclarer plusieurs (au moins 2) épisodes d ivresses en, contre 22 % en.,9,2 9,9 15,2 9,3 6,9,7 9,7 6, Une fois 2-3 fois 4 fois ou plus 7

8 HBSC - CONSOMMATION DE SUBSTANCES PSYCHOACTIVES L âge déclaré de la première ivresse reste stable entre les deux enquêtes et ne met pas en évidence de différence selon le sexe ; en, comme en, parmi les élèves de, moins de 1 % a connu leur première ivresse à ou moins. L expérience de l ivresse est plus tardive que le tabac ou l alcool, puisqu à, seuls 5 % des garçons et moins de 4 % des filles déclarent avoir déjà été soûls. Figure 15 : Répartition des élèves de selon l âge à l expérimentation de l ivresse et le sexe : évolution - (en %) Jamais ou moins ans 14 ans Ivresse récente En, l ivresse récente chez les élèves de concerne autant les filles que les garçons 10 «Combien de fois as-tu fait les choses suivantes au cours des 30 derniers jours, boire de l alcool, être ivre?» L ivresse récente (au moins une ivresse au cours des 30 derniers jours, question 10 posée uniquement aux élèves de ) concerne plus d un élève sur sept (14 %), sans différence selon le sexe. Figure 16 : Répartition des élèves de selon le nombre d épisodes d ivresse au cours des 30 derniers jours et le sexe : évolution - (en %),2 1,7 En, l ivresse récente concernait davantage les garçons que les filles. Ce n est plus vrai en et l on observe une augmentation du phénomène chez les filles (10 % en vs 15 % en ). Elles sont quasiment 3 fois plus nombreuses qu en à déclarer 3 ivresses ou plus dans les 30 derniers jours. Pour les garçons, en revanche, on ne note pas d évolution. 11, 3,0 10,3 4,6 10,3 3, fois 3 fois ou plus

9 HBSC - CONSOMMATION DE SUBSTANCES PSYCHOACTIVES CANNABIS EXPÉRIMENTATION DU CANNABIS Moins d un quart des élèves de déclare une expérimentation au cannabis, sans différence selon le sexe La question de l âge d expérimentation est la seule question relative à la consommation de cannabis posée à tous les élèves. Ils sont 1 % à et % à à déclarer une expérimentation du cannabis. À, moins d un quart des élèves (23 %) déclare avoir consommé du cannabis au moins une fois dans leur vie 11, expérimentation qui ne varie pas selon le sexe et qui n a pas évolué depuis la précédente édition de l enquête (24 % en ). Parmi les élèves de, moins de 1 % d entre eux déclare une expérimentation du cannabis avant l âge de. Aussi, 4 % des garçons et 5 % des filles déclarent une expérimentation du cannabis à ou moins et 17 % des garçons et 19 % des filles à 14 ou. Figure 17 : Répartition des élèves de selon la fréquence de consommation de cannabis au cours de la vie et le sexe : évolution - (en %) 10,3 9,3 2,5 10,1 10,4 5,3 9,3, 5,2,1 9,0 5, ou 2 fois 3 à 39 fois 40 fois ou plus Figure 1 : Répartition des élèves de selon l âge à l expérimentation du cannabis et le sexe : évolution - (en %) «As-tu déjà consommé du cannabis (haschich, joint, shit, herbe, «H» marijuana) dans ta vie? Au cours des derniers mois? Au cours des 30 derniers jours?» (jamais / 1 ou 2 fois / 3 à 5 fois / 6 à 9 fois / 10 à 19 fois / 20 à 39 fois / 40 fois ou plus) Jamais ou moins ans 14 ans CONSOMMATION DE CANNABIS AU MOMENT DE L ENQUÊTE La consommation récente de cannabis a été approchée par une question, posée exclusivement aux élèves de, portant sur la consommation au cours des douze derniers mois et au cours des trente derniers jours. Consommation de cannabis au cours des douze derniers mois Deux élèves de sur dix sont concernés par un usage de cannabis au cours des douze derniers Figure 19 : Répartition des élèves de selon la mois. La majorité d entre eux en a consommé 3 fois fréquence de consommation de cannabis au cours des ou plus (62 % des élèves déclarant une consommation récente, soit % des derniers mois et le sexe : évolution - (en %) élèves).,7 5,9 1,5 «As-tu déjà consommé du cannabis (haschich, joint, shit, herbe, «H» marijuana) dans ta vie? Au cours des derniers mois? Au cours des 30 derniers jours?» (jamais / 1 ou 2 fois / 3 à 5 fois / 6 à 9 fois / 10 à 19 fois / 20 à 39 fois / 40 fois ou plus). Comme pour l expérimentation, on ne constate pas de différence selon le sexe dans la consommation de cannabis dans les douze derniers mois. 9,9,6 3,4 7,5 11,5 1,0 7,2 7,6 4, ou 2 fois 3 à 39 fois 40 fois ou plus 9

10 HBSC - CONSOMMATION DE SUBSTANCES PSYCHOACTIVES Consommation de cannabis au cours des 30 derniers jours En, une consommation au cours des 30 derniers jours qui concerne autant les filles que les garçons L usage de cannabis au cours des trente derniers jours est déclaré par plus d un élève de sur dix (13 %), sans distinction de genre. Alors que la consommation au cours de la vie n a pas évolué, on note une augmentation de la consommation récente des filles (respectivement en et : de 16 à 20 % au cours des derniers mois et de à 13 % au cours des 30 derniers jours), alors que pour les garçons, la consommation déclarée reste stable (respectivement en et de 22 à 19 % au cours des derniers mois et % au cours des 30 derniers jours). Figure 20 : Répartition des élèves de selon la fréquence de consommation de cannabis au cours des 30 derniers jours et le sexe : évolution - (en %) 3,0 4,0 0,5 3, 7,2 0, 6, 6,1 0,5 4,3 5, 2, ou 2 fois 3 à 39 fois 40 fois ou plus De fait, que ce soit pour le tabac, l alcool ou le cannabis, on constate que l évolution des consommations des filles de rattrape, voire dépasse (pour le tabac) celle des garçons. 10

11 HBSC - CONSOMMATION DE SUBSTANCES PSYCHOACTIVES POLYEXPÉRIMENTATION Si l on s intéresse à l ensemble des expérimentations d alcool, de tabac et de drogues illicites (principalement le cannabis, puisque moins de 4 % déclarent l expérimentation d autres drogues) 13, on observe, comme on pouvait s y attendre, que la proportion d élèves n ayant expérimenté aucune de ces substances (3 %, tous sexes et âges confondus) diminue avec l âge. Une non-expérimentation des produits psychoactifs qui concerne plus d un élève sur deux à et moins d un élève sur cinq à À, plus d un élève sur deux ne déclare aucune expérimentation de produits psychoactifs (54 %). À, ils sont plus d un tiers dans ce cas (35 %) ; quatre élèves sur dix ont expérimenté un produit (41 %), et un élève sur quatre déclare une polyexpérimentation (deux ou trois produits, 24 %). Enfin, à, moins d un élève sur cinq ne déclare aucune expérimentation (19 %) ; une majorité déclare l expérimentation d un produit (35 %), un élève sur quatre en déclare deux (25 %), et un élève sur cinq a expérimenté les trois produits psychoactifs (21 %). Sur l ensemble des répondants, on note des différences selon le sexe. Figure 21 : Répartition des élèves selon le nombre de produits psychoactifs expérimentés, l âge et le sexe (en %) Aucun produit 2 produits produit 3 produits «À quel âge as-tu fait les choses suivantes pour la première fois? Boire de l alcool (plus qu un petit peu) ; Etre ivre (soûl, soûle) ; Fumer une cigarette (plus qu une bouffée) ; Fumer du cannabis (haschisch, marijuana, herbe, un joint ou du shit) ; Prendre d autres drogues que le cannabis, l alcool et le tabac.» La polyexpérimentation considère l alcool (1), le tabac (2) et les drogues illicites (3, dont le cannabis principalement) comme substances psychoactives. Ainsi, les filles sont plus nombreuses que les garçons à ne déclarer aucune expérimentation (44 % vs 32 %). Ceci est particulièrement visible aux âges jeunes ; ainsi, à, 44 % des garçons n ont pas expérimenté de produits psychoactifs contre 62 % des filles. Cependant, cette différence n existe plus à, puisque 20 % des filles ne déclarent aucune expérimentation contre 1 % des garçons. L alcool et le tabac sont les principaux produits expérimentés L alcool est le premier produit expérimenté. Parmi les élèves de qui déclarent l expérimentation d un produit, il s agit de l alcool dans 90 % des cas et du tabac dans 10 %, mais jamais de drogues illicites (cannabis ou autres). L expérimentation de deux produits regroupe le tabac (96 %) et l alcool (95 %), les drogues illicites intervenant dans 9 % des cas. Ainsi, parmi les élèves de ayant déjà expérimenté du cannabis au cours de leur vie : plus de neuf élèves sur dix ont déjà consommé de l alcool (94 % des filles et 93 % des garçons) ; plus de neuf élèves sur dix ont déjà consommé du tabac (97 % des filles et 93 % des garçons). Entre et, une évolution du comportement des filles aux extrêmes On ne constate pas de grande évolution entre les deux enquêtes et pour les garçons et celle-ci ne porte que sur la consommation de 1 ou 2 produits. En revanche, pour les filles, on observe que la proportion de celles n ayant expérimenté aucun produit est en hausse par rapport à (20 % vs 14 %) ainsi que la proportion de celles qui ont déjà expérimenté les trois types de produits (23 % vs 17 %). Figure 22 : Répartition des élèves de selon le nombre de produits psychoactifs expérimentés et le sexe : évolution - (en %) Aucun produit 1 produit 2 produits 3 produits 11

12 HBSC - CONSOMMATION DE SUBSTANCES PSYCHOACTIVES L étude HBSC est réalisée grâce au financement... FAITS MARQUANTS Le questionnaire HBSC permet d aborder la question de l usage des substances psychoactives (tabac, alcool et cannabis) de différentes manières : une question, posée à tous les élèves, quel que soit leur âge, porte sur l âge de leur première expérimentation ; la consommation actuelle (en termes de fréquence au cours des 30 derniers jours) est posée à tous les âges pour le tabac et l alcool, et seulement à pour le cannabis ; pour l alcool, certains items sur le type d alcool consommé complètent la fréquence de consommation. Les élèves sont également interrogés sur l expérience d ivresse. TABAC Entre et, le nombre de filles déclarant avoir déjà fumé diminue (23 % vs 30 % en ), alors que l expérimentation des garçons reste stable (27 % vs 2 %). Mais à, le nombre de fumeuses est en augmentation (31 % vs 24 % en ). ALCOOL L alcool reste la substance psychoactive la plus consommée et concerne près de 60 % des élèves de 11, 13 et. Comme pour le tabac, l expérimentation de l alcool diminue entre les deux éditions de l enquête, passant de 65 % à 59 %, deux sexes et tous âges confondus. La consommation d alcool diminue de 7 points entre les deux éditions de l enquête (56 % en ), du fait d une diminution de la consommation occasionnelle (moins d une fois par semaine). En, la consommation des filles de rattrape celle des garçons (respectivement 75 et 71 %). En, ce rattrapage était visible dès l âge de.... en collaboration avec Ivresse Un élève sur sept déclare au moins un épisode d ivresse au cours de sa vie, proportion qui double entre 11 et, puis à nouveau entre 13 et (respectivement 5, 13 et 31 %). En, l expérience de l ivresse concerne moins d élèves de qu en (30 % contre 35 %). L ivresse au cours des 30 derniers jours chez les élèves de concerne autant les filles que les garçons (14 %), ce qui n était pas le cas en. CANNABIS Moins d un quart des élèves de déclare une expérimentation du cannabis, sans différence selon le sexe. En, la consommation au cours des 30 derniers jours (13 %) concerne autant les filles que les garçons. Réalisation Ce fascicule a été réalisé à l ORS Alsace par Marie Anselm, Hervé Polesi, Frédéric Imbert et le Dr. Nicole Schauder. Mis en page par Sylvie Droesch-Clauss Décembre 2013 POLYEXPÉRIMENTATION La non-expérimentation de produits psychoactifs (alcool, tabac, drogues illicites) concerne plus d un élève sur deux à et moins d un élève sur cinq à. L alcool et le tabac sont les principaux produits expérimentés. Entre et, on constate une évolution du comportement des filles aux extrêmes : la proportion de celles n ayant expérimenté aucun produit est autant en hausse (20 % vs 14 %) que la proportion de celles qui ont expérimenté les trois produits (23 % vs 17 %). Réalisation ORS Alsace Observatoire Régional de la Santé d Alsace Hôpital civil Bâtiment 02-1 er étage 1, Place de l Hôpital - BP Strasbourg - Cedex orsal@orsal.org

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