Protégeons ensemble l'air que nous respirons EVALUATION DE LA QUALITE DE L'AIR AU NIVEAU DU REMPART PERRIER A EPERNAY (2012)
|
|
- Angélique Lachance
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Protégeons ensemble l'air que nous respirons EVALUATION DE LA QUALITE DE L'AIR AU NIVEAU DU REMPART PERRIER A EPERNAY (2012) 29 mai au 22 juillet novembre au 31 décembre 2012 Référence de l'étude : PSQA/EPER-12/01-EDS/EC SURVEILLANCE DE LA QUALITE DE L AIR EN CHAMPAGNE-ARDENNE MDA - 2 rue Léon PATOUX REIMS Cedex 2 Tél. +33 (0) Fax +33 (0) contact@atmo-ca.asso.fr - Website :
2 - Conditions de Diffusion : * Diffusion libre pour une réutilisation ultérieure des données dans les conditions ci-dessous: * Toute utilisation partielle ou totale de ce document devra porter la mention: "Source d'information ATMO CA-PSQA/EPER- 12/01-EDS/EC". * Les données contenues dans ce document restent la propriété d'atmo Champagne-Ardenne. * ATMO Champagne-Ardenne n est en aucune façon responsable des interprétations, travaux intellectuels et publications diverses issus de ce document et pour lesquels elle n aurait pas donné d accord préalable. Personne en charge du dossier Service Technique Stéphane NOEL, Responsable d'exploitation Rédaction Eve CHRETIEN, Ingénieur Chargée d'études Vérification Emmanuelle DRAB-SOMMESOUS, Directrice Approbation Emmanuelle DRAB-SOMMESOUS, Directrice Rapport d'étude PSQA/EPER-12/01-EDS/EC Evaluation de la qualité de l air au niveau Rempart Perrier à Epernay en 2012
3 Sommaire INTRODUCTION... 1 PRESENTATION GENERALE... 2 I. Localisation du site de mesure... 2 II. Polluants mesurés... 5 RESULTATS... 5 I. Synthèse des résultats... 5 II. Vérification des critères d implantation d une station trafic... 9 CONCLUSION Evaluation de la qualité de l air au niveau du Rempart Perrier à Epernay en 2012
4 INTRODUCTION Avec la parution le 21 mai 2008 de la directive 2008/50/CE, définissant les modalités de surveillance de la qualité de l air en Europe, l installation de stations en proximité trafic est devenue réglementaire. Dans ce cadre, le Plan Régional de Surveillance de la Qualité de l Air a identifié que des mesures fixes de concentrations de poussières fines (PM10) et poussières très fines (PM2.5) devaient être mises en place dans la Zone Régionale (ZR). Au cours d une étude menée en 2009 sur la ville d Epernay, des teneurs en dioxyde d azote et en PM10 dépassant les seuils d évaluation maximaux avaient été constatées. De nouvelles mesures ont donc été réalisées, au cours de l année 2012, afin d évaluer les teneurs en dioxyde d azote, PM10, monoxyde de carbone et benzène au niveau de l axe «Rempart Perrier». Dans l hypothèse où les mesures réalisées répondraient aux différents critères nationaux requis, cette étude déboucherait sur l implantation d une station fixe de surveillance en continu sur la ville d Epernay. Une unité mobile a donc été installée du 29 mai au 22 juillet et du 02 novembre au 31 décembre En complément, des capteurs passifs permettant la mesure du dioxyde d azote ont été disposés en plusieurs endroits de la ville, afin d identifier d autres sites susceptibles d être exposés à la pollution issue du trafic. Evaluation de la qualité de l air au niveau du Rempart Perrier à Epernay en
5 PRESENTATION GENERALE I. Localisation du site de mesure L unité mobile a été installée sur un site dont le trafic routier est l un des plus importants de la ville. Le dioxyde d azote, les poussières fines (PM10), le monoxyde de carbone ont été mesurés en continu, à l aide de technique de référence définis dans la directive 2008/50/CE. Des mesures hebdomadaires de benzène ont également été effectuées. Les sources et effets de ces polluants figurent en ANNEXE 1. La carte de densité de population figure en ANNEXE 2. Le tableau 1 récapitule les différents paramètres liés au site «Rempart Perrier», et sa localisation est indiquée à partir des figures 1 et 2. Densité de population 3667 hab/km 2 Trafic Comptage Source Ville d Epernay Largeur de la voie Nombre de voie Distance prélèvement NO 2 par rapport au bord du trottoir Distance prélèvement PM10 par rapport au bord du trottoir 6634 veh/j 4m80 1 voie + 1 voie de stationnement 5m40 4m30 Tableau 1 : Caractéristiques du site de mesure «Rempart Perrier» Cet axe permet : - le lien entre Reims et Châlons-en-Champagne, - l accès au centre-ville d Epernay. Evaluation de la qualité de l air au niveau du Rempart Perrier à Epernay en
6 Figure 1 : Implantation de l unité mobile Figure 2 : Photo de l unité mobile En complément, des capteurs passifs spécifiques au dioxyde d azote ont été installés sur d autres sites de la ville d Epernay également exposés à la pollution d origine trafic (cf. figures 3 et 4). Evaluation de la qualité de l air au niveau du Rempart Perrier à Epernay en
7 Figure 3 : Localisation des sites de dioxyde d azote par capteurs passifs Pierre Sémard Bd de la Motte UMI-Rempart Perrier Place Léon Bourgeois Place Carnot Boulevard du Cubry 1 Boulevard du Cubry 2 Voie de la Liberté Figure 4 : Photos des sites de mesures du dioxyde d azote par capteurs passifs Evaluation de la qualité de l air au niveau du Rempart Perrier à Epernay en
8 II. Polluants mesurés Le tableau 2 récapitule les polluants mesurés ainsi que les méthodes de référence mises en œuvre dans le cadre de cette campagne. Polluants Méthodes de référence Durée PM10 EN (1999) Mesure en continu Dioxyde d azote (NO 2 ) NF EN (2005) NFX (1973) Mesure en continu Prélèvement hebdomadaire et analyse en laboratoire Monoxyde de carbone (CO) NF EN (2005) Mesure en continu Benzène NF EN (2005) Prélèvement hebdomadaire et analyse en laboratoire Tableau 2 : Polluants et méthodes de référence associées RESULTATS I. Synthèse des résultats La Figure 5 présente la comparaison des résultats journaliers du dioxyde d azote au niveau du site «Rempart Perrier» avec ceux des stations de «Venise», station trafic au centre-ville de Reims, et de «Jean d Aulan», station urbaine à la périphérie de Reims. Les teneurs en monoxyde de carbone seront comparées à celles de la station «Venise», seule station du réseau fixe mesurant ce polluant. Avertissement : l évaluation des PM10 n a pu être réalisée en raison de la panne de l appareil de mesure. Evaluation de la qualité de l air au niveau du Rempart Perrier à Epernay en
9 ère période Evolution du dioxyde d'azote 2ème période Venise - Prox Reims Jean d'aulan - Urbain Reims 70 UMI-Rempart Perrier 60 µg/m /05 2/6 6/6 10/6 14/6 18/6 22/6 26/6 30/6 4/7 8/7 12/7 16/7 20/7 5/11 9/11 13/11 17/11 21/11 25/11 29/11 3/12 7/12 11/12 15/12 19/12 23/12 27/12 31/ ère période Evolution du monoxyde de carbone 2ème période Venise - Prox Reims UMI-Rempart Perrier mg/m /05 2/6 6/6 10/6 14/6 18/6 22/6 26/6 30/6 4/7 8/7 12/7 16/7 20/7 5/11 9/11 13/11 17/11 21/11 25/11 29/11 3/12 7/12 11/12 15/12 19/12 23/12 27/12 31/12 Figure 5 : Evolution journalière des teneurs en dioxyde d azote et monoxyde de carbone Les valeurs hivernales en dioxyde d azote sont globalement plus élevées, et cela s explique par : - des conditions de dispersion des polluants moins favorables en hiver du fait de phénomènes d inversion thermique, - des températures plus basses en hiver impliquant l utilisation d une nouvelle source d émissions de dioxyde d azote : le chauffage, - un rayonnement solaire plus important et des températures plus élevées en été, entraînant une réactivité plus grande du dioxyde d azote qui se transforme en ozone. Evaluation de la qualité de l air au niveau du Rempart Perrier à Epernay en
10 La comparaison entre les différents sites montre que : Les teneurs en dioxyde d azote mesurées au niveau du site «Rempart Perrier» sont endessous du site «Venise», influencé par un trafic routier plus intense. Elles sont toutefois plus élevées que le site urbain de Reims démontrant l impact du trafic routier à proximité. Les concentrations de monoxyde de carbone sont globalement du même ordre de grandeur sur les 2 sites trafic, à savoir très faibles. Le tableau 3 présente les statistiques annuelles pour l ensemble des polluants mesurés et la confrontation à la réglementation. (Décret n du 21/10/10 et Directive 2008/50/CE). Un rappel de la réglementation figure en ANNEXE 3. Taux de R. annuel Moyenne campagnes Dépassement VL annuelle Max jour Max horaire Dépassement SEI Dépassement SES Dioxyde d azote 15.6% 26 NON (VL : 40) OUI NON CO 15.6% 0.31 x 0,67 1,61 NON NON Benzène 14% 1,1* NON (VL : 5) x x NON NON Légende : Taux de R : Taux de représentativité annuelle - VL : valeur limite - x : indisponible -* : Moyenne du 29/05 au 25/06 et du 14/11 au 12/12/12 Tableau 3 : Récapitulatif des résultats du site «Rempart Perrier» en µg/m 3 (excepté pour le CO en mg/m 3 ) Les valeurs limites annuelles en dioxyde d azote, monoxyde de carbone et benzène sont respectées. Les valeurs en monoxyde de carbone et benzène sont bien inférieures au seuil d évaluation inférieur ce qui implique que la surveillance, au niveau de ce site, peut être réalisée par une méthode indicative ou objective. En ce qui concerne le dioxyde d azote, la moyenne des campagnes se situe entre les seuils d évaluation minimale et maximale. Une possible sous-estimation de la moyenne est fortement pressentie au regard de la comparaison entre les moyennes annuelles obtenues sur toute l année par les stations fixes de la région et les moyennes obtenues à partir des 2 campagnes. La moyenne reconstituée, de 29 µg/m 3, réalisée à l aide d un outil statistique, se rapproche du seuil d évaluation maximale. Evaluation de la qualité de l air au niveau du Rempart Perrier à Epernay en
11 En complément des mesures réalisées par l unité mobile, des capteurs passifs permettant de mesurer le dioxyde d azote, ont donc été installés à proximité d axes exposés à la pollution issue du trafic routier. Les mesures se sont déroulées sur 12 semaines au total (6 semaines lors de la campagne estivale et 6 semaines lors de la campagne hivernale). Les résultats sont présentés par la figure 6. Légende : Concentration <26 µg/m 3 26 µg/m 3 <Concentration<32 µg/m 3 32 µg/m 3 <Concentration <40 µg/m 3 Figure 6 : Concentration du dioxyde d azote par capteurs passifs en µg/m 3 (Moyenne des campagnes estivale et hivernale) Les teneurs des sites «boulevard de la Motte» et «Place Carnot» sont les plus élevées et dépassent le seuil d évaluation supérieur. Elles sont néanmoins inférieures à la valeur limite, mais apparaissent comme représentatives des valeurs d exposition maximales à la pollution trafic. Les sites du «boulevard du Cubry 1», du «Rempart Perrier» et de la «rue Pierre Sémard» se situent entre les 2 seuils. Enfin, les sites de la «Place Léon Bourgeois», de la «voie de la Liberté» et du «Boulevard du Cubry 2» présentent des teneurs inférieures au seuil d évaluation minimal. Les valeurs plus faibles obtenues sur ces sites sont dues à l une de ces raisons : un éloignement du site par rapport à la voie plus important, un trafic routier plus fluide (sans arrêt), des conditions de dispersion plus favorables (largeur de la voie plus importante permettant une dispersion des polluants plus importantes). Evaluation de la qualité de l air au niveau du Rempart Perrier à Epernay en
12 II. Vérification des critères d implantation d une station trafic L objectif d une station de mesure de type trafic est de fournir des informations sur les concentrations mesurées dans des zones représentatives du niveau maximum d exposition, auquel la population située en proximité d une infrastructure routière est susceptible d être exposée. Le tableau 4 indique les principaux critères d implantation d une station trafic définis dans la directive 2008/50/CE et le guide national de classification des stations élaboré par le LCSQA 1. Polluants mesurés Critères Polluants recommandés : NOx, PM10, PM2.5, CO, COV Polluants optionnels sous condition de niveaux pertinents : SO 2, HAP, métaux Type de zones Espace urbain. Zone représentative en terme de trafic et de population exposée (piétons, cyclistes, riverains ) Densité de population 3000 habitants/km 2 Point de prélèvement <10m du bord du trottoir Tableau 4 : Principaux critères d implantation pour une station «trafic» L ensemble des critères réglementaires sont respectés au niveau du site «Rempart Perrier». 1 Laboratoire de Surveillance de Qualité de l Air Evaluation de la qualité de l air au niveau du Rempart Perrier à Epernay en
13 CONCLUSION Dans le cadre de la mise en œuvre de nouvelles mesures fixes, en des endroits où la population est soumise à une exposition du trafic routier sur la zone régionale définie dans le Plan Régional de Surveillance de Qualité de l air , une évaluation de la qualité de l air a été réalisée en 2012, au niveau de l axe «Rempart Perrier» sur la ville d Epernay. Les résultats de cette étude confirment l influence du trafic routier sur les teneurs observées à proximité de cet axe. Les teneurs en dioxyde d azote se situent entre les seuils d évaluation minimal et maximal. Les niveaux de benzène et de monoxyde de carbone sont inférieurs au seuil d évaluation minimale, niveau en deçà duquel, il est suffisant, pour évaluer des techniques de modélisation ou d estimation objective. Les exigences réglementaires définies dans la directive 2008/50/CE liées à l implantation d une station trafic sont respectées. Néanmoins, avant de statuer définitivement sur le site «Rempart Perrier» et au regard des résultats de l étude menée en parallèle en plusieurs points sur le dioxyde d azote, il serait opportun de poursuivre en 2013 l évaluation des teneurs sur un autre axe également mis en évidence afin de s assurer de la représentativité de l exposition maximale à laquelle la population est soumise. Evaluation de la qualité de l air au niveau du Rempart Perrier à Epernay en
14 ANNEXES Evaluation de la qualité de l air au niveau du Rempart Perrier à Epernay en
15 ANNEXE 1 : SOURCE ET EFFET DES POLLUANTS MESURES Dioxyde d azote NO 2 Sources Le monoxyde d azote (NO) et le dioxyde d azote (NO 2 ) sont émis lors des phénomènes de combustion. Le NO 2 est issu de l oxydation du NO. A Vitry-le François, les sources principales sont le transport routier à 52%, l agriculture à 26% puis le bâtiment à 20%. Le pot catalytique a permis, depuis 1993, une diminution des émissions des véhicules à essence. Par ailleurs, l entrée en vigueur de la norme EURO III pour les poids lourds en 2002 et la norme EURO IV en 2005 pour les véhicules particuliers accompagnée d une stabilité du parc roulant contribue également à cette diminution. 1% 5% 23% 45% AGRICULTURE AUTRES TRANSPORTS BATIMENT ENERGIE 26% INDUSTRIE TRANSPORT ROUTIER Emissions de NOx à Epernay (ATMO Champagne-Ardenne A2008-M2011-Secten-v1) Effets sur la santé et sur l environnement Le dioxyde d azote est un gaz irritant pour les bronches. Chez les asthmatiques, il augmente la fréquence et la gravité des crises. Chez l enfant, il favorise les infections pulmonaires. Le dioxyde d azote participe au phénomène des pluies acides, à la formation de l ozone troposphérique, dont il est l un des précurseurs, à l atteinte de la couche d ozone stratosphérique et à l effet de serre. Evaluation de la qualité de l air au niveau du Rempart Perrier à Epernay en
16 Benzène C 6 H 6 Sources Le benzène appartient à la famille des Composés Organiques Volatils (COV), hydrocarbures aromatiques monocycliques. En France métropolitaine, le benzène provient essentiellement du secteur résidentiel et tertiaire en particulier du fait de la combustion du bois, suivi du transport routier. Effets sur la santé et sur l environnement Le benzène a des effets sur le système nerveux, les globules et plaquettes sanguines pouvant provoquer une perte de connaissance. Il est reconnu comme étant une substance cancérigène. Il participe à la formation de l ozone troposphérique Poussières fines PM10 Sources Les particules ou poussières en suspension liées à l activité humaine proviennent majoritairement d activités industrielles très diverses (sidérurgie, incinération ), des transports (gaz d échappement, usure, frottements ) et du secteur résidentiel (chauffage, ). Leur taille et leur composition sont très variables. Les particules sont souvent associées à d autres polluants (HAP). Dans cette étude sont mesurées les poussières de diamètre inférieur à 10 micromètres (PM 10). 23% 12% 1% 28% 36% AGRICULTURE AUTRES TRANSPORTS BATIMENT ENERGIE INDUSTRIE TRANSPORT ROUTIER 0% Emissions de PM 10 à Epernay (ATMO Champagne-Ardenne A2008-M2011-Secten-v1) Evaluation de la qualité de l air au niveau du Rempart Perrier à Epernay en
17 Effets sur la santé et sur l environnement Selon leur taille (granulométrie), les particules pénètrent plus ou moins profondément dans l arbre pulmonaire. Les particules les plus fines peuvent, à des concentrations relativement basses, irriter les voies respiratoires inférieures et altérer la fonction respiratoire dans son ensemble. Certaines particules ont des propriétés mutagènes et cancérigènes. Les effets de salissure des bâtiments et des monuments sont les atteintes à l environnement les plus perceptibles. Monoxyde de carbone CO Source Gaz inodore, incolore et inflammable, le monoxyde de carbone se forme lors de la combustion incomplète de matières organiques (gaz, charbon, fioul, carburants, bois). Dans les années 80-90, le principal secteur d émission de monoxyde de carbone était le transport routier. Puis sa contribution a diminué grâce à l utilisation des pots catalytiques à compter de 1993 pour les véhicules essences et 1997 pour les véhicules diesel. Les trois secteurs contribuant le plus aux émissions de monoxyde de carbone sont le résidentiel/tertiaire, l industrie manufacturière et le transport routier. Effets sur la santé et sur l environnement Le monoxyde de carbone se fixe à la place de l oxygène sur l hémoglobine du sang, conduisant à un manque d oxygénation de l organisme (cœur, cerveau ). Les premiers symptômes sont des maux de tête et des vertiges. Ces symptômes s aggravent avec l augmentation de la concentration en CO (nausée, vomissements ) et peuvent, en cas d exposition prolongée, conduire au coma et à la mort. Le monoxyde de carbone participe également aux mécanismes de formation de l ozone troposphérique. Dans l atmosphère, il se transforme en dioxyde de carbone et contribue à l effet de serre. Evaluation de la qualité de l air au niveau du Rempart Perrier à Epernay en
18 ANNEXE 2 : DENSITE DE POPULATION Evaluation de la qualité de l air au niveau du Rempart Perrier à Epernay en
19 ANNEXE 3 : REGLEMENTATION En µg/m 3 excepté pour le CO NO 2 CO Benzène Valeur limite annuelle mg/m 3 sur 8h 5 Seuil d évaluation Inférieur : niveau en deçà duquel, il est suffisant, pour évaluer des techniques de modélisation ou d estimation objective Seuil d évaluation Supérieur : niveau en deçà duquel, il est permis, pour évaluer la qualité de l air ambiant, d utiliser une combinaison de mesures fixes et de techniques de modélisation et/ou de mesures indicatives 26 5 mg/m 3 sur 8h mg/m 3 sur 8h 3.5 Evaluation de la qualité de l air au niveau du Rempart Perrier à Epernay en
20 - Protégeons ensemble l'air que nous respirons ATMO Champagne-Ardenne 2 rue Léon Patoux REIMS Cedex 2 Tél.: Fax.: contact@atmo-ca.asso.fr
Etude de la qualité de l air en proximité automobile sur la Communauté Urbaine de Strasbourg
Etude de la qualité de l air en proximité automobile sur la Communauté Urbaine de Strasbourg Simulation état 2006 Avec le soutien de la Communauté Urbaine de Strasbourg Strasbourg Communauté Urbaine ASPA
Plus en détailZoom sur le métier de technicien(ne) d exploitation
Bulletin trimestriel - mai - juin Zoom sur le métier de technicien(ne) d exploitation L équipe d Atmo Auvergne se compose de 12 personnes réparties dans les pôles : administration, études/communication,
Plus en détailTableau 7: Emissions polluantes scénario «futur avec projet 2014»
Projet d ensemble commercial Ametzondo Tableau 7: Emissions polluantes scénario «futur avec projet 2014» Remarques : Aucune émission ne sera prise en compte sur le parking pour un fonctionnement dominical.
Plus en détailSurveiller la qualité de l air avec les élèves
Surveiller la qualité de l air avec les élèves L air que nous respirons est à la fois l affaire et la responsabilité de tous. La santé publique, l environnement et les conditions de vie future sur Terre,
Plus en détailLIAISON A50 A57 TRAVERSEE
LIAISON A5 A57 TRAVERSEE SOUTERRAINE DE TOULON SECOND TUBE (SUD) ANALYSE DES DONNEES DE QUALITE DE L AIR NOVEMBRE 27 A JANVIER 28 TOULON OUEST, PUITS MARCHAND, TOULON EST Liaison A5 A57 Traversée souterraine
Plus en détailChapitre 2 : Respiration, santé et environnement.
Chapitre 2 : Respiration, santé et environnement. Rappels : L air qui nous entoure contient 3 gaz principaux: 71% d azote, 21% d oxygène, 0,03 % de CO2 et quelques gaz rares. L eau de chaux se trouble
Plus en détailBILAN PSQA ANNEES 2010 ET 2011
18/06/2012 QUALITAIR CORSE BILAN PSQA ANNEES 2010 ET 2011 Bilan PSQA 2010-2015 version 2012 Savelli Page blanche TABLE DES MATIERES Introduction... 1 1 Composition et financement de l association... 2
Plus en détaill entretien des chaudières
Préservez et améliorez les performances de votre installation de chauffage : l entretien des chaudières L H A B I T A T I N D I V I D U E L pour un chauffage sûr et efficace Votre logement est équipé d
Plus en détailQuelle qualité de l air au volant? Premiers éléments de réponse en Ile-de-France
Quelle qualité de l air au volant? ---------------------------- Les automobilistes sont nettement plus exposés à la pollution atmosphérique que les piétons, même à proximité des grands axes. Tel est le
Plus en détailVéhicules Propres pour l amélioration de la qualité de l air Les Stratégies de progrès
Véhicules Propres pour l amélioration de la qualité de l air Les Stratégies de progrès Andre Douaud Ancien Directeur Technique Constructeurs Français Automobiles CCFA À Rabat, Avril 21 Moteurs et Carburants
Plus en détailIntroduction 1. 1/ Présentation de l étude 2. 1.1/ Contexte environnemental du port 2. 1.2/ Mode opératoire de l étude 3. 2/ Résultats de l étude 5
EVALUATION DE LA QUALITE DE L AIR SUR LA ZONE DU PORT DE NICE Janvier - Mars / Août - Septembre 25 SOMMAIRE Introduction 1 1/ Présentation de l étude 2 1.1/ Contexte environnemental du port 2 1.2/ Mode
Plus en détailDOSSIER : L OZONE SOUS TOUTES SES COUTURES
DOSSIER : L OZONE SOUS TOUTES SES COUTURES Avec le soleil et la chaleur de l été, c est aussi les épisodes de pollution à l ozone qui reviennent. Le dossier ci-dessous propose de répondre aux 12 questions
Plus en détailLES CHAUFFERIES COLLECTIVES AU BOIS : QUELS POINTS DE VIGILANCE?
LES CHAUFFERIES COLLECTIVES AU BOIS : QUELS POINTS DE VIGILANCE? Jean-Pierre SAWERYSYN 1 Matthieu OGET 2 Corinne SCHADKOWSKI 3 Judith TRIQUET 3 1 Professeur honoraire de l Université de Lille I, vice-président
Plus en détailIII RESULTATS LE LONG DU TRACE PREFERENTIEL DE LA LIGNE 2
FUTURE LIGNE 2 DE TRAMWAY DE L'AGGLOMERATION DE MONTPELLIER Etat initial des principaux traceurs de la pollution liée au trafic routier Résumé Rédacteur : AFM Date : 29/1/3 pages I CONTEXTE Etude réalisée
Plus en détailChapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure?
Chapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure? Plan : 1. Qu est ce que l atmosphère terrestre? 2. De quoi est constitué l air qui nous entoure? 3. Qu est ce que le dioxygène? a. Le dioxygène dans la
Plus en détailÉVALUATION PROSPECTIVE DES ÉMISSIONS ET DES CONCENTRATIONS DE POLLUANTS ATMOSPHÉRIQUES À L HORIZON 2020 EN ÎLE-DE-FRANCE - GAIN SUR LES ÉMISSIONS EN
ÉVALUATION PROSPECTIVE DES ÉMISSIONS ET DES CONCENTRATIONS DE POLLUANTS ATMOSPHÉRIQUES À L HORIZON 2020 EN ÎLE-DE-FRANCE - GAIN SUR LES ÉMISSIONS EN 2015 Révision du Plan de Protection de l Atmosphère
Plus en détailPrésentation d µgaztox_dist Rev22_06_09
Présentation d µgaztox_dist Rev22_06_09 1 INTERFACE UTILISATEUR Affichage message d alarme Affichage des alarmes VME et VLE Affichage de la mesure Affichage des niveaux d alarme instantanées (haute et
Plus en détailEnsemble nous aurons l air meilleur!
Les bons gestes au quotidien pour préserver la qualité de notre air Ensemble nous aurons l air meilleur! Saviez-vous que nous avons besoin d un litre et demi d eau et de 14 000 litres d air par jour pour
Plus en détailTechniSim Consultants 2 rue Saint Théodore 69003 Lyon Tél : 04 72 33 91 67 Email : technisim@wanadoo.fr
Réf. : 090 510 082A V1 Valbonne Sophia Antipolis TechniSim Consultants 2 rue Saint Théodore 69003 Lyon Tél : 04 72 33 91 67 Email : technisim@wanadoo.fr Zone d Aménagement Concertée (ZAC) des Clausonnes
Plus en détailExposition de la Population aux Polluants atmosphériques en Europe Projet PEOPLE à Bruxelles
Exposition de la Population aux Polluants atmosphériques en Europe Projet PEOPLE à Bruxelles Description du projet Parmi les activités liées à la santé qui sont menées à l Unité d Emissions et de Santé
Plus en détailEvaluation des performances métrologiques des appareils de mesure spécifiques de l'air intérieur
Air intérieur Evaluation des performances métrologiques des appareils de mesure spécifiques de l'air intérieur Décembre 2008 Programme 2008 C. MARCHAND PREAMBULE Le Laboratoire Central de Surveillance
Plus en détailMatériels de Formation du GCE Inventaires Nationaux de Gaz à Effet de Serre. Secteur de l'energie Combustion de Combustibles
Convention Cadre des Nations Unies sur les Changements Climatiques Matériels de Formation du GCE Inventaires Nationaux de Gaz à Effet de Serre Secteur de l'energie Combustion de Combustibles Version du
Plus en détailAbschlusskonferenz OUI Biomasse / Conférence de clôture OUI Biomasse. www.oui-biomasse.info 1 26.06.2015
Umweltauswirkungen durch Biomassenutzung Etude d impact de l utilisation de la biomasse sur l environnement 26.Juni 2015 / 26 juin 2015 Akademiehotel Karlsruhe Abschlusskonferenz OUI Biomasse / Conférence
Plus en détailChauffage au bois. à la qualité de l AIR. Vallée de l Arve
Chauffage au bois ATTENTION à la qualité de l AIR Vallée de l Arve Tous acteurs de la qualité de l air! Sommaire Chauffage au bois, un enjeu important pour la qualité de l'air... 3 Le chauffage au bois,
Plus en détailLe nouveau système de surveillance continue des émissions atmosphériques
Le nouveau système de surveillance continue des émissions atmosphériques à l'incinérateur Mars 2010 Travaux publics Gestion des matières résiduelles CONTENU DE LA PRÉSENTATION 1. L incinérateur 2. Obligations
Plus en détailla climatisation automobile
Un équipement en question : la climatisation automobile LES TRANSPORTS la climatisation en question La climatisation automobile, grand luxe il y a encore peu de temps, devient presque banale pour tous
Plus en détailL échelle du ph est logarithmique, c està-dire
Le ph Qu est-ce que le ph? Le ph mesure l acidité d un liquide. Sa valeur s exprime sur une échelle graduée de 0 à 14 où 1 désigne une substance fortement acide, 7, une substance neutre, et 14, une substance
Plus en détailLe Conseil Municipal,
MF/EG SEANCE DU 13 FÉVRIER 2006 2006/6197 - INSTALLATION CLASSÉE POUR L'ENVIRONNEMENT SOUMISE À AUTORISATION - DEMANDE D'AUTORISATION PRÉSENTÉE PAR LA SOCIÉTÉ OMNITHERM EN VUE DE MODIFIER LES INSTALLATIONS
Plus en détailCARTOGRAPHIE FINE DES NIVEAUX DE DIOXYDE D AZOTE DANS LE COEUR DENSE DE L AGGLOMÉRATION PARISIENNE. Janvier 2012
CARTOGRAPHIE FINE DES NIVEAUX DE DIOXYDE D AZOTE DANS LE COEUR DENSE DE L AGGLOMÉRATION PARISIENNE Janvier 2012 AIRPARIF Surveillance de la Qualité de l Air en Ile-de-France Cartographie fine des niveaux
Plus en détailMonitoring de surface de sites de stockage de CO 2 SENTINELLE. (Pilote CO2 de TOTAL Lacq-Rousse, France) Réf. : ANR-07-PCO2-007
Monitoring de surface de sites de stockage de CO 2 (Pilote CO2 de TOTAL Lacq-Rousse, France) SENTINELLE Réf. : ANR-07-PCO2-007 Ph. de DONATO (INPL-CNRS) (Coordonnateur) PARTENAIRES Durée : 3 ans + 7 mois
Plus en détailPrésentation générale des principales sources d énergies fossiles.
Présentation générale des principales sources d énergies fossiles. Date : 19/09/2012 NOM / Name SIGNATURE Etabli / Prepared Vérifié / Checked Approuvé /Approved G J-L & R-SENE R.SENE R.SENE Sommaire 1.
Plus en détailL énergie en France et en Allemagne : comparaisons
L énergie en France et en Allemagne : comparaisons En matière de consommation d énergie, de structure du système électrique, de recours aux énergies renouvelables, d émission de gaz à effet de serre, les
Plus en détailFICHE DE DONNEES DE SECURITE
PAGE 1/7 DATE DE MISE A JOUR : 16/11/2011 1/ - IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE Identification du produit : Gaines, films, housses, et/ou sacs transparents et colorés en polyéthylène. Famille
Plus en détailCONSOMMATION ET PRODUCTION D ELECTRICITE EN ALLEMAGNE. Bernard Laponche 2 juin 2014 * Table des matières
CONSOMMATION ET PRODUCTION D ELECTRICITE EN ALLEMAGNE Bernard Laponche 2 juin 2014 * Table des matières 1. CONSOMMATION FINALE D ELECTRICITE...2 1.1 EVOLUTION SUR LA PERIODE 2000-2013... 2 1.2 ENTRE 2010
Plus en détailL énergie. chapitre 3
L énergie Jusqu'à présent dans notre société, c est surtout la dimension économique de l énergie qui a eu la priorité, négligeant la dimension environnementale. L utilisation rationnelle de l énergie (en
Plus en détailLa prévention des intoxications dans les silos à fourrage
La prévention des intoxications dans les silos à fourrage Ali Bahloul, Brigitte Roberge et Nicole Goyer / IRSST Mauricio Chavez et Marcelo Reggio / École polytechnique de Montréal Avec la collaboration
Plus en détailDÉVELOPPER LE GAZ NATUREL DANS LES TRANSPORTS
DÉVELOPPER LE GAZ NATUREL DANS LES TRANSPORTS Les enjeux pour la transition énergétique Didier Lebout, Strategy and Development Director Gazprom Marketing and Trading France Deauville, 28 juin 2013 Dans
Plus en détailÉpreuve collaborative
Épreuve collaborative Épreuve collaborative 1. Faire une présentation de quelqu idé fort relativ au mix énergétique (ou bouquet énergétique). (Exposé de 5 minut maximum) 2. Faut-il encore brûler le charbon?
Plus en détailPrise en compte des aspects sanitaires dans les Plans Régionaux pour la Qualité de l Air.
Prise en compte des aspects sanitaires dans les Plans Régionaux pour la Qualité de l Air. Bilan des études d impact sanitaires de la pollution atmosphérique urbaine réalisées Ce document a été réalisé
Plus en détail1.2. REALISATION DES OPERATIONS DE PRELEVEMENTS ET D ANALYSES
AVANT-PROPOS Le présent document a été réalisé par ASCONIT Consultants, pour le compte du Conseil Général de Haute-Savoie (CG74) dans le cadre du programme 2007-2008 du suivi de la qualité des eaux des
Plus en détailSurveillance de la qualité de l air : Description du système français d'assurance qualité
Surveillance de la qualité de l air : Description du système français d'assurance qualité NOVEMBRE 2010 Tatiana Macé (LNE) François Mathé (EMD) Eva Léoz-Garziandia (INERIS) PREAMBULE Le Laboratoire Central
Plus en détailEmissions des moteurs diesel : Nouveau classement par le Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC)
Emissions des moteurs diesel : Nouveau classement par le Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC) SNCF DRH EPIC Prévention et Santé COMPOSITION DES EMISSIONS DIESEL MELANGE COMPLEXE DE SUBSTANCES
Plus en détailla Contribution Climat Energie
Paris le 05/09/2009 la Contribution Climat Energie 1. Quelle assiette aura la CCE? a. Assiette : La CCE serait une contribution additionnelle aux taxes intérieures (TIPP, TICGN, TICC), assise sur l ensemble
Plus en détailRÈGLEMENT 90-4. Règlement modifiant le règlement 90 relatif à l'assainissement de l'air
RÈGLEMENT 90-4 Règlement modifiant le règlement 90 relatif à l'assainissement de l'air A une assemblée du Conseil de la Communauté urbaine de Montréal tenue le Il est décrété et statué: 1. Le règlement
Plus en détailRéduction de la pollution d un moteur diesel
AUBERT Maxime SUP B Professeur accompagnateur : DELOFFRE Maximilien SUP B Mr Françcois BOIS PAGES Simon SUP E Groupe n Réduction de la pollution d un moteur diesel Introduction L Allemand Rudolf Diesel
Plus en détailRAID PIEGES ANTI-FOURMIS x 2 1/5 Date de création/révision: 25/10/1998 FICHE DE DONNEES DE SECURITE NON CLASSE
RAID PIEGES ANTI-FOURMIS x 2 1/5 RAISON SOCIALE JOHNSONDIVERSEY FICHE DE DONNEES DE SECURITE RISQUES SPECIFIQUES NON CLASSE 1 IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE - NOM DU PRODUIT RAID PIEGES ANTI-FOURMIS
Plus en détailPourquoi étudier l aérosol atmosphérique?
Pourquoi étudier l aérosol atmosphérique? Impact Climatique Impact sanitaire Les particules atmosphériques sont avant tout étudiées pour leurs impacts sur le climat et sur la santé humaine. 39 Réchauffement
Plus en détailQuelles perspectives de développement pour le gaz naturel dans les transports?
Quelles perspectives de développement pour le gaz naturel dans les transports? Le regard de Gazprom Marketing and Trading France 29 octobre 2014 Sommaire 1. Les atouts du GNV pour les transitions énergétiques
Plus en détailActivité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme
Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme 1. EXTRAITS REFERENTIELS DU BO Partie du programme : Fonctionnement de l organisme et besoin
Plus en détailBDL2, BDL3 Enviro Liner Part A. Dominion Sure Seal FICHE SIGNALÉTIQUE. % (p/p) Numéro CAS. TLV de l' ACGIH 28182-81-2 70-100 Non disponible
FICHE SIGNALÉTIQUE 1. PRODUIT CHIMIQUE ET IDENTIFICATION DE L'ENTREPRISE Adresse du fournisseur/distributeur : Dominion Sure Seal Group of Companies 6175, chemin Danville, Mississauga (Ontario) Canada,
Plus en détailConcerne : Avis relatif à la problématique de l ozone Note de cabinet CAB/RD/RW/JPD/DD/2003 du 27.08.2003 N CSH : 7915
SPF Santé publique, Sécurité de la Chaîne alimentaire et Environnement Bruxelles, le 29.09.2003 Monsieur le Ministre Demotte CONSEIL SUPERIEUR D HYGIENE Concerne : Avis relatif à la problématique de l
Plus en détailRencontre des savoirs. L énergie électrique est-elle bien adaptée à une mobilité durable?
Institut français des sciences et technologies des transports, de l aménagement et des réseaux Rencontre des savoirs Bron 14 mai 2013 L énergie électrique est-elle bien adaptée à une mobilité durable?
Plus en détailRÉDUIRE LES EFFETS DU TRANSPORT ROUTIER DE MARCHANDISES SUR L ENVIRONNEMENT
DIRCTION D LA COMMUNICATION CORPORAT D O S S I R D PRSS Lyon / Mars 2013 RÉDUIR LS FFTS DU TRANSPORT ROUTIR D MARCHANDISS SUR L NVIRONNMNT Pour réduire les effets sur l environnement tout au long du cycle
Plus en détailLe développement durable clé en main
Le développement durable clé en main Le développement durable au cœur de la stratégie d Assa Abloy 2 de la sécurité est un marché dynamique, tiré par les évolutions sociétales (besoins de sécurité grandissants,
Plus en détailPrévention des intoxications Entretien des chaudières
Journée Information «Monoxyde de Carbone» 18 juin 2012 Clermont-Ferrand Prévention des intoxications Entretien des chaudières Textes réglementaires et pratiques des professionnels Ministère de l'écologie,
Plus en détailIntoxications collectives en entreprise après incendies de locaux Proposition d une conduite à tenir
Intoxications collectives en entreprise après incendies de locaux Proposition d une conduite à tenir Dr Fariborz Livardjani Samu de l'environnement (Strasbourg) Dr Véronique Robe AIMT du Bas -Rhin Mai
Plus en détailSOLUTIONS TECHNOLOGIQUES D AVENIR
CPTF et CSC CYCLES COMBINES A GAZ (CCG) COGÉNÉRATION DÉVELOPPEMENT DES RENOUVELABLES SOLUTIONS DE STOCKAGE CPTF ET CSC Le parc thermique est un outil essentiel pour ajuster l offre et la demande, indispensable
Plus en détailProjet SENTINELLE Appel àprojets «CO 2»Déc. 2007
Projet SENTINELLE Appel àprojets «CO 2»Déc. 2007 Philippe de DONATO Université de Lorraine/CNRS Co-auteurs: C. PRINET, B. GARCIA, H. LUCAS, Z. POKRYSZKA, S. LAFORTUNE, P. FLAMANT, F. GIBERT, D. EDOUART,
Plus en détailTOTAL EXCELLIUM DIESEL l assurance d une consommation maîtrisée
TOTAL EXCELLIUM DIESEL l assurance d une consommation maîtrisée COnCEnTRÉ DE TECHnOLOGiE Maîtrisez vos consommations grâce au concentré de technologie TOTAL EXCELLIUM DIESEL ) ) Une meilleure protection
Plus en détailPrescriptions Techniques
Prescriptions Techniques Application du décret n 2004-555 du 15 juin 2004 relatif aux prescriptions techniques applicables aux Canalisations et Raccordements des installations de transport, de distribution
Plus en détailL AUTOGREFFE QUELQUES EXPLICATIONS
L AUTOGREFFE QUELQUES EXPLICATIONS Le traitement de votre maladie nécessite une Chimiothérapie intensive. Cette chimiothérapie qui utilise de fortes doses de médicaments antimitotiques est plus efficace
Plus en détailL équilibre offre-demande d électricité en France pour l été 2015
L équilibre offre-demande d électricité en France pour l été 2015 Synthèse Juin 2015 Sommaire Analyse globale 4 1. Prévision de consommation 5 2. Disponibilité du parc de production 7 3. Étude du risque
Plus en détailLE FILTRE A PARTICULES : SES PROBLEMATIQUES ET NOS SOLUTIONS
LE FILTRE A PARTICULES : SES PROBLEMATIQUES ET NOS SOLUTIONS 1. NOTIONS DE BASE 2. CAUSES POSSIBLES DE DYSFONCTIONNEMENT 3. POURQUOI NETTOYER PLUTÔT QUE CHANGER? 4. METHODOLOGIE D APPLICATION FAP-NET (réf.
Plus en détailPARTENAIRE VERS UNE GESTION DURABLE ET PERFORMANTE DE VOTRE ÉNERGIE PRODUCTION DE CHALEUR
PARTENAIRE VERS UNE GESTION DURABLE ET PERFORMANTE DE VOTRE ÉNERGIE PRODUCTION DE CHALEUR 2014 ACTIVITE DE CORETEC Notre principal objectif est de réduire la facture énergétique de nos 450 clients au travers
Plus en détailLES TECHNOLOGIES HYBRIDES. CARTON Romain STRASSER Caroline 1AE
LES TECHNOLOGIES HYBRIDES CARTON Romain STRASSER Caroline 1AE SOMMAIRE I. Les pollutions dues aux moteurs thermiques... 6 A. Effets des polluants sur l homme... 6 B. Effets des polluants sur l environnement...
Plus en détail4 ème PHYSIQUE-CHIMIE TRIMESTRE 1. Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique. PROGRAMME 2008 (v2.4)
PHYSIQUE-CHIMIE 4 ème TRIMESTRE 1 PROGRAMME 2008 (v2.4) Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique Les Cours Pi e-mail : lescourspi@cours-pi.com site : http://www.cours-pi.com
Plus en détail1. L'été le plus chaud que la France ait connu ces cinquante dernières années.
1. L'été le plus chaud que la France ait connu ces cinquante dernières années. La figure ci-dessous présente la moyenne sur la France des températures minimales et maximales de l'été (période du 1 er juin
Plus en détailLa gamme SAM ARGOPOL
La gamme SAM ARGOPOL La gamme : SAM ARGOPOL 2 Les systèmes d acquisition SAM ARGOPOL La gamme SAM ARGOPOL se compose d un ensemble de stations d acquisition de données. Robustes, fiables, modulaires, elles
Plus en détailFiche de données de Sécurité ALCOOL A BRULER 90
Page :1/1 1-IDENTIFICATION DESIGNATION COMMERCIALE : Alcool à brûler 90 UTILISATIONS RECOMMANDEES : nettoyage et dégraissage des surfaces REVENDEUR PRO-DELTA 200, rue Serpentine Pôle d activités Nord Z.I.
Plus en détail] sommaire. > N Spécial > Juin 2009 > EDITO P. 2 P. 3 P. 4-6 P. 7-8 P. 9 P. 10-11. P. 12 L union fait la force Les laboratoires spécialisés
> N Spécial > Juin 2009 > EDITO L ASPA dans l air du temps Il est des intuitions qui portent en elles le germe d une œuvre remarquable. «L alliance locale pour surveiller la qualité de l air», telle était
Plus en détailTECHNIQUE DU FROID ET DU CONDITIONNEMENT DE L AIR. confort = équilibre entre l'homme et l'ambiance
TECHNIQUE DU FROID ET DU CONDITIONNEMENT DE L AIR Tâche T4.2 : Mise en service des installations Compétence C1.2 : Classer, interpréter, analyser Thème : S5 : Technologie des installations frigorifiques
Plus en détailSommaire. Séquence 5. Les dangers des combustions. Séance 1. Séance 2. Séance 3. Séance 4 Je fais le point sur la séquence 5
Sommaire Les dangers des combustions Séance 1 Les combustions incomplètes Séance 2 Les risques d explosion Séance 3 Les risques du tabac Séance 4 Je fais le point sur la séquence 5 100 Cned, Physique -
Plus en détailConvention relative : - aux échanges de données d'exploitation et de sécurité routière - à la gestion des crises routières. pour le département de
Convention relative : - aux échanges de données d'exploitation et de sécurité routière - à la gestion des crises routières pour le département de entre L'État, représenté par M.., Préfet d., et La Direction
Plus en détailDURCISSEUR DE MUR - TOUPRET
FICHE DE DONNEES DE SECURITE Révision antérieure :04/2005 (Selon l annexe II du Règlement REACH de l UE 1907/2006) Mise à jour : 15 février 2010 Version : 1 DURCISSEUR DE MUR - TOUPRET 1-IDENTIFICATION
Plus en détailQualité de l environnement intérieur de bâtiments performants en énergie : premiers résultats d exploitation des données de la base nationale OQAI-BPE
Qualité de l environnement intérieur de bâtiments performants en énergie : premiers résultats d exploitation des données de la base nationale OQAI-BPE DERBEZ Mickaël Chef de projet CSTB/OQAI Objectifs
Plus en détailTable des matières... i. Liste des figures...fehler! Textmarke nicht definiert. Liste des tableaux...fehler! Textmarke nicht definiert.
Table des matières Table des matières... i Liste des figures...fehler! Textmarke nicht definiert. Liste des tableaux...fehler! Textmarke nicht definiert. Liste des annexes... iv Liste des abréviations
Plus en détailMonitoring THPE. Soutien au projet. Présentation du projet
Monitoring THPE Le projet Monitoring THPE a donné lieu à l un des premiers systèmes innovants de suivi des performances énergétiques et de confort des bâtiments. Informations générales Localisation : Région
Plus en détailDes gestes à poser en cas d urgence
D I N SU Le Il s agit d une urgence quand : R L L DR R L R MRT L S C U S U M R L TL C D R R R S UR N T MR 09-203-01FA Gouvernement du Québec, 2009 C L D DR C DR S I Composez le 9-1-1 ou appelez le Centre
Plus en détailde l air pour nos enfants!
B u l l e t i n d e l O Q A I n 1 Crèches et lieux d enseignement : de l air pour nos enfants! Le programme de l OQAI «Lieux de vie fréquentés par les enfants» a débuté en 2006. Une première phase de recueil
Plus en détailMichel Dubromel, Pilote du réseau Transports et Mobilité Durables France Nature Environnement (FNE)
Remerciements Dans le but de contribuer à la vulgarisation de la logistique urbaine, France Nature Environnement (FNE) et l Agence de l Environnement et de la Maîtrise de l Energie (ADEME) ont élaboré
Plus en détailLA CONSOMMATION D ENERGIE EN ALLEMAGNE ET EN FRANCE : UNE COMPARAISON INSTRUCTIVE
LA CONSOMMATION D ENERGIE EN ALLEMAGNE ET EN FRANCE : UNE COMPARAISON INSTRUCTIVE Bernard LAPONCHE 18 mai 2011 www.global-chance.org LA CONSOMMATION D ENERGIE EN ALLEMAGNE ET EN FRANCE UNE COMPARAISON
Plus en détailUtilisation des 7 cartes d intensité jointes en annexe du règlement. A- Protection d une construction vis-à-vis des effets toxiques :
ANNEXE 7 Utilisation des 7 cartes d intensité jointes en annexe du règlement A- Protection d une construction vis-à-vis des effets toxiques : 1 carte est fournie pour l effet toxique : Carte N 1 «Taux
Plus en détailBilan des émissions de gaz à effet de serre
Bilan des émissions de gaz à effet de serre SOMMAIRE 1 Contexte réglementaire 3 2 Description de la personne morale 4 3 Année de reporting de l exercice et l année de référence 6 4 Emissions directes de
Plus en détailAutomobile et environnement
Automobile et environnement Les Guides de l Ecocitoyen Guides des bonnes pratiques pour l utilisation de la voiture dans le respect de l environnement Conception et rédaction : Albert Zegels, Global Environnement
Plus en détailActiv Air : la réponse de Placo qui va vous faire changer d air!
Activ Air : la réponse de Placo qui va vous faire changer d air! Qualité de l air intérieur : les enjeux Aldéhydes, benzène, allergènes toutes les dernières études (1) le confirment : la concentration
Plus en détailPlan d actions Bilan Carbone. Périmètres d étude Sources d émissions Nbre d actions
Plan d actions Bilan Carbone Périmètres d étude Sources d émissions Nbre d actions Patrimoine et services communaux Territoire d Uccle 1) Energie 8 2) Déplacements de personnes 5 3) Transport de marchandise
Plus en détailCofely Services et la condensation biomasse Journée technique CIBE ATEE Lorraine Forbach-Farébersviller 1 er avril 2014
Journée technique CIBE ATEE Lorraine Forbach-Farébersviller 1 er avril 2014 Condensation biomasse Journée technique CIBE ATEE Lorraine Cofely Services Le choix de la condensation biomasse Fonctionnement
Plus en détailResponsabilité sociale et environnementale POLITIQUE SECTORIELLE PRODUCTION D ELECTRICITE A PARTIR DU CHARBON
Responsabilité sociale et environnementale POLITIQUE SECTORIELLE PRODUCTION D ELECTRICITE A PARTIR DU CHARBON P.1/11 Sommaire Préambule... 3 1. Politique sectorielle... 4 1.1 Objectif... 4 1.2 Portée...
Plus en détailUn environnement sans fumée pour vos enfants. Comment y parvenir?
Un environnement sans fumée pour vos enfants. Comment y parvenir? Renseignements sur la fumée secondaire et tertiaire Qu est-ce que la fumée secondaire? La fumée secondaire est une combinaison de fumée
Plus en détailBilan des émissions de gaz à effet de serre (BEGES)
Bilan des émissions de gaz à effet de serre (BEGES) BEGES TABLE DES MATIÈRES 1- INTRODUCTION 2 1-1 - OBJET 2 1-2 - LE CADRE REGLEMENTAIRE 2 1-3 - CONTENU DU RAPPORT 3 1-4 - DEFINITIONS 3 2- BILAN DES EMISSIONS
Plus en détail2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D, E, F (voir pages suivantes).
SUJET DE CONCOURS Sujet Exploitation d une documentation scientifique sur le thème de l énergie 2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D,
Plus en détailPhénomènes dangereux et modélisation des effets
Phénomènes dangereux et modélisation des effets B. TRUCHOT Responsable de l unité Dispersion Incendie Expérimentations et Modélisations Phénomènes dangereux Description et modélisation des phénomènes BLEVE
Plus en détailDISPERSION ATMOSPHERIQUE DES REJETS DU SITE SVPR à SAINTE-MARGUERITE (88)
DISPERSION ATMOSPHERIQUE DES REJETS DU SITE SVPR à SAINTE-MARGUERITE (88) Ce document a été réalisé en collaboration avec APAVE Alsacienne SAS 3 rue de l Euron BP 21055 Maxeville 54522 LAXOU Cedex Références
Plus en détailRéussir son installation domotique et multimédia
La maison communicante Réussir son installation domotique et multimédia François-Xavier Jeuland Avec la contribution de Olivier Salvatori 2 e édition Groupe Eyrolles, 2005, 2008, ISBN : 978-2-212-12153-7
Plus en détailEnergie nucléaire. Quelques éléments de physique
Energie nucléaire Quelques éléments de physique Comment produire 1 GW électrique Nucléaire (rendement 33%) Thermique (38%) Hydraulique (85%) Solaire (10%) Vent : 27t d uranium par an : 170 t de fuel par
Plus en détailProduction électrique : la place de l énergie éolienne
Production électrique : la place de l énergie éolienne I Production électrique : principes de base L énergie électrique n est pas un fluide que l on pourrait «mettre en conserve», l énergie électrique
Plus en détailles évolutions récentes
DE L ADEUS les évolutions récentes dans le BAS-RHIN : des territoires plus spécialisés et plus interdépendants 92 DéCEMBRE 2012 TRANSVERSAL Illustration : ADEUS, 2012 Depuis le milieu des années 1970,
Plus en détailEau (N CAS) 7732-18-5 67.5 Non classifié Urea (N CAS) 57-13-6 32.5 Non classifié. Version : 1.0
Date de révision : 15 mai 2015 Date de parution : 15 mai 2015 Remplace la version datée du : 06/09/2013 RUBRIQUE 1 : IDENTIFICATION 1.1. Identificateur du produit Forme du produit : Mélange Nom du produit
Plus en détail