Diagnos(c et bilan d extension des tumeurs pulmonaires. DES Radiologie 10/10/2014 Michaël Dupont Service de radiologie Site Mont- Godinne
|
|
- Raphaël Bénard
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Diagnos(c et bilan d extension des tumeurs pulmonaires DES Radiologie 10/10/2014 Michaël Dupont Service de radiologie Site Mont- Godinne
2 Plan Ø Généralités Ø ü des nodules pulmonaires ü de suivi des nodules Ø Bilan d extension thoracique ü Tumoral (stade T) ü Ganglionnaire (stade N) Ø Bilan d extension à distance
3 Généralités
4 4 CHU Dinant Godinne UCL Namur et bilan d extension des tumeurs pulmonaires Octobre 2014 Fréquence et facteurs de risque Ø Cancer le plus létal chez l homme (36%) Ø Facteurs de risque: ü Tabagisme ac@f et passif Prévalence chez les «heavy smokers»: 2.3% ü Exposi@on à : radon, uranium, chrome, nickel ü Fibrose pulmonaire (UIP) ü Cicatrice pulmonaire (scar carcinoma) ü Exposi@on à l amiante
5 5 CHU Dinant Godinne UCL Namur et bilan d extension des tumeurs pulmonaires Octobre 2014 Exposi(on à l amiante et cancer bronchique
6 6 CHU Dinant Godinne UCL Namur et bilan d extension des tumeurs pulmonaires Octobre 2014 Types de cancer Ø Cancer non à pe@tes cellules (NSCLC) ü Adénocarcinome (49%) : périphérique ü Epidermoïde (31%) : central ü Anaplasique à grandes cellules (5%) : périphérique Ø Cancer à pe@tes cellules (SCLC) ü Anaplasique à pe@tes cellules (15%) : central
7 Diagnos(c des cancers pulmonaires
8 Diagnos(c des cancers pulmonaires des nodules pulmonaires
9 9 CHU Dinant Godinne UCL Namur et bilan d extension des tumeurs pulmonaires Octobre 2014 Contours Ø Lisse : 79 % bénignité ü Contour concave : (bénignité : sp 84 %, se 46 %) ü Forme polygonale : Tous les contours sont concaves (bénignité : 100 % sp, 24 % se) Ø Lobulé : 75 % malin Ø Irrégulier : probablement malin Ø Spiculé : probablement malin
10 10 CHU Dinant Godinne UCL Namur et bilan d extension des tumeurs pulmonaires Octobre 2014 Forme Ø Accolement pleural : en faveur bénignité (spécificité 82 %, sensibilité 31 %) Ø Rapport tri- dimensionnel (plus grand axe XY sur axe Z) > 1,78 (bénignité : 100 % specificité, 38% sensibilité) Ø Cavita@on ü Malin (tendance à parois épaisses et irrégulières) ü Bénin : infec@eux, inflammatoire Ø Bronchogramme aérique ü Malin : adénocarcinome à croissance lépidique ü Bénin : infec@eux Ø Pleural tag : prolongement linéaire vers la plèvre
11 Nodule lisse
12 Nodule lobulé
13 Nodule lobulé
14 Nodule spiculé (lymphome pulmonaire)
15 Nodule sous- pleural triangulaire
16 Nodule polygonal
17 Nodule spiculé avec pleural tags
18 18 CHU Dinant Godinne UCL Namur et bilan d extension des tumeurs pulmonaires Octobre 2014 Composi(on Ø Calcifica@ons Ø 4 paoerns de calcifica@on bénins : ü Calcifica@on complète ü Calcifica@on centrale ü Calcifica@ons lamellaires concentriques ü Calcifica@on en «popcorn» (hamartochondrome ; 5-50 %) Ø Suspectes : ü Diffuse et amorphe ü Ponctuées Ø Graisse (- 40 à UH) : hamartochondrome (50 %)
19 Hamartochondrome
20 Granulome calcifié
21 Scar carcinoma
22 22 CHU Dinant Godinne UCL Namur et bilan d extension des tumeurs pulmonaires Octobre 2014 Texture Ø Nodules flous ü < 5 mm, bien délimités, verre dépoli pur peu marqué En faveur hyperplasie adénomateuse atypique ü 5 à 20 mm, bien délimité, verre dépoli pur plus marqué En faveur adénocarcinome in situ Ø Nodules semi- solides ü En faveur adénocarcinome «minimal invasive» Ø Lésion en verre dépoli avec composante solide Ø Nodules solides ü Cancers de tous types ü Croissance avec respect architecture pulmonaire Adénocarcinome à croissance lépidique (bronchiolo- alévolaire)
23 23 CHU Dinant Godinne UCL Namur et bilan d extension des tumeurs pulmonaires Octobre 2014 Autres éléments Ø Taille : au plus élevée, au plus risque néoplasie est important Ø Localisa@on dans les lobes supérieurs Ø Âge du pa@ent Ø Tabagisme Ø Exposi@on à l amiante
24 Diagnos(c des cancers pulmonaires de suivi des nodules pulmonaires
25 25 CHU Dinant Godinne UCL Namur et bilan d extension des tumeurs pulmonaires Octobre 2014 Nodules solides (2D)
26 26 CHU Dinant Godinne UCL Namur et bilan d extension des tumeurs pulmonaires Octobre 2014 Nodules solides (volume) Nodule solide Critères de bénignité Indéterminé Suspicion de malignité Stop Absence de facteurs de risque Présence de facteurs de risque Concertation multidisciplinaire Facteurs de risque : < 5 mm : Stop 5-10 mm < 3 mm : Stop 3-5 mm : CT à 1 an 5-10 mm > 40 ans Tabac > 30 UAP Amiante Antécédents néoplasiques Contrôle TDM à 3 mois Mesures de volume TDD entre J 0 et J 90 Si TDD > 400 J : ctrl à 1 an Si TDD < 400 J : concertation multidsciplinaire Si mesure de volume pas possible : augmentation de diamètre de 25 % ou > ou égale à 2 mm : concertation mutidisciplinaire
27 27 CHU Dinant Godinne UCL Namur et bilan d extension des tumeurs pulmonaires Octobre 2014 Nodules flous et semi- solides
28 28 CHU Dinant Godinne UCL Namur et bilan d extension des tumeurs pulmonaires Octobre 2014 Mesure des diamètres vs volume Ø! Un doublement de volume d un nodule correspond à une augmenta@on de seulement 25 % de son diamètre Ø Le suivi en diamètre sous- es@me la progression tumorale!
29 Bilan d extension thoracique
30 30 CHU Dinant Godinne UCL Namur et bilan d extension des tumeurs pulmonaires Octobre 2014 SCLC vs NSCLC Ø NSCLC : op@on chirurgicale possible ü CT = bilan d extension pour opérabilité Ø SCLC : maladie systémique d emblée ü CT = bilan avant radio- chimiothérapie
31 31 CHU Dinant Godinne UCL Namur et bilan d extension des tumeurs pulmonaires Octobre 2014 Classifica(on TNM
32 Diagnos(c des cancers pulmonaires Bilan d extension tumoral (stade T)
33 33 CHU Dinant Godinne UCL Namur et bilan d extension des tumeurs pulmonaires Octobre 2014 Stade T1 Ø Stade T1a : tumeur < 2 cm Ø Stade T1b : tumeur > 2 cm et < 3 cm
34 34 T1b
35 35 CHU Dinant Godinne UCL Namur et bilan d extension des tumeurs pulmonaires Octobre 2014 Stade T2 Ø Stade T2a : tumeur > 3 cm et < 5 cm Ø Stade T2b : tumeur > 5 cm et < 7 cm Ø Stade T2 : ü Invasion locale de la plèvre viscérale ü Atélectasie et/ou pneumopathie obstruc@ve s étendant au hile sans entreprendre tout le poumon ü Lésion endobronchique à plus de 2 cm de la carina
36 36 T2b (grand axe de 59 mm)
37 37 CHU Dinant Godinne UCL Namur et bilan d extension des tumeurs pulmonaires Octobre 2014 Stade T3 Ø Taille : Tumeur > 7 cm Ø Autres : ü Nodule tumoral séparé dans le même lobe que la lésion primi@ve ü Lésion endobronchique à moins de 2 cm de la carina ü Tumeur avec invasion locale de la paroi thoracique, du diaphragme, de la plèvre médias@nale ou du péricarde pariétal ü Tumeurs envahissant l apex pulmonaire ü Tumeurs avec atélectasie et/ou pneumopathie de tout un poumon
38 38 T3 (grand axe de 76 mm)
39 39 CHU Dinant Godinne UCL Namur et bilan d extension des tumeurs pulmonaires Octobre 2014 T3 envahissement pariétal Ø Performance du CT : 65 % se et 50 % sp Ø Signes d envahissement : ü Angle obtus entre la tumeur et la paroi ü Invasion du fascia ü Lyse costale
40 40 T3
41 41 CHU Dinant Godinne UCL Namur et bilan d extension des tumeurs pulmonaires Octobre 2014 Stade T4 Ø Tumeur de toute taille avec : ü Nodule séparé dans le même poumon mais pas dans le même lobe que la lésion primi@ve ü Invasion locale du médias@n, de la carina, trachée, cœur, gros vaisseaux, œsophage, ou corps vertébral
42 42 CHU Dinant Godinne UCL Namur et bilan d extension des tumeurs pulmonaires Octobre 2014 T4 envahissement vasculaire Ø Envahissement vasculaire ü Bourgeon tumoral au sein de la lumière vasculaire Faux posi@f : thrombus cruorique ü Accolement à un vaisseau Contact sur 90 : 40 % sensibilité, 99 % spécificité Contact sur 180 : 28 % sensibilité, 100 % spécificité
43 T4 T3 T4 T4
44 Diagnos(c des cancers pulmonaires Bilan d extension ganglionnaire (stade N)
45 45 CHU Dinant Godinne UCL Namur et bilan d extension des tumeurs pulmonaires Octobre 2014 Stade N1 Ø Adénopathie ispilatérales ü Hilaires ü Interlobaires ü Lobaires ü Segmentaires ü Sous- segmentaires
46 46 CHU Dinant Godinne UCL Namur et bilan d extension des tumeurs pulmonaires Octobre 2014 Stade N2 Ø Adénopathies ipsilatérales ou médianes en ü Paratrachéal supérieur ü Prévasculaire ü Rétrotrachéal ü Paratrachéal inférieur ü Sous- carinaire ü Para- oesopaphagien ü Ligament pulmonaire
47 47 CHU Dinant Godinne UCL Namur et bilan d extension des tumeurs pulmonaires Octobre 2014 Stade N3 Ø Adénopathie ü Du côté opposé à la tumeur primi@ve ü Des régions supraclaviculaires ou scalène
48 48
49 49
50 50
51 51
52 52 CHU Dinant Godinne UCL Namur et bilan d extension des tumeurs pulmonaires Octobre 2014 Evalua(on des ganglions Ø CT : Pe@t axe > 10 mm (65 % se, 95 % sp) Ø PET : Hypermétabolisme
53 53 Ganglions hypermétaboliques
54 54 CHU Dinant Godinne UCL Namur et bilan d extension des tumeurs pulmonaires Octobre 2014 Vérifica(on des ganglions Ø Ponc@on échoguidée endobronchique ü Evalua@on des sta@ons 2, 4RL, 7, 10, 11 et 12 Ø Ponc@on échoguidée endo- oesopahgienne ü Evalua@on des sta@ons 2, 4L, 7, 8 et 9 Ø Médias@noscopie ü Evalua@on des sta@ons 2, 4 et 7 Ø Médias@noscopie étendue ou parasternale ü Evalua@on des sta@ons 5 et 6
55 55
56 56 CHU Dinant Godinne UCL Namur et bilan d extension des tumeurs pulmonaires Octobre 2014 Ne pas oublier! Un doute doit toujours bénéficier au pa@ent!
57 Diagnos(c des cancers pulmonaires Bilan d extension à distance (stade M)
58 58 CHU Dinant Godinne UCL Namur et bilan d extension des tumeurs pulmonaires Octobre 2014 Stades M Ø M1a : ü Nodule pulmonaire dans le poumon controlatral ü Epanchement pleural malin/dissémina@on pleurale ü Aoeinte péricardique Ø M1b : ü Métastases à distance extrathoraciques
59 59 Nodules pleuraux tumoraux
60 60 CHU Dinant Godinne UCL Namur et bilan d extension des tumeurs pulmonaires Octobre 2014 Techniques d explora(on Ø PET- CT ü Evalua@on locale couplée au CT ü Evalua@on des lésions à distance hors cerveau Ø CT ou IRM cérébrale ü Evalua@on cérébrale IRM avec injec@on si pa@ent peut être opéré (si > 3 cm) CT avec injec@on si inopérable Si symptômes neurologiques d office IRM IRM d office si small cell carcinoma
61 Merci de votre a]en(on
Les différents types de cancers et leurs stades. Dr Richard V Oncologie MédicaleM RHMS Baudour et Erasme La Hulpe 1/12/07
Les différents types de cancers et leurs stades Dr Richard V Oncologie MédicaleM RHMS Baudour et Erasme La Hulpe 1/12/07 CARCINOGENESE multiple steps, accumulation d altd altérations continuum lésionnel
Plus en détailLa nouvelle classification TNM en pratique
La nouvelle classification TNM en pratique Thierry Berghmans Département des Soins Intensifs et Oncologie Thoracique Institut Jules Bordet Bruxelles, Belgique Bases historiques 1946 : Denoix invente le
Plus en détailPatho Med Cours 5. Maladie Pulmonaires Obstructives BPCO Asthme
Patho Med Cours 5 Maladie Pulmonaires Obstructives BPCO Asthme BPCO: B: Broncho ( Bronche) P: Pneumopathie C: Chronique O: Obstructive Asthme Maladies avec des spasmes bronchiques Maladies avec des spasmes
Plus en détailActualités s cancérologiques : pneumologie
Actualités s cancérologiques : pneumologie PLAN Incidence / facteurs de risque Anatomie Symptômes Types de tumeurs Diagnostic / extension Classification Traitement Pronostic Pneumologie : incidence Belgique
Plus en détailCancer et dyspnée: comment peut-on soulager? Dr Lise Tremblay 10 mai 2010
Cancer et dyspnée: comment peut-on soulager? Dr Lise Tremblay 10 mai 2010 Objectifs Comprendre la physiopathologie de la dyspnée Connaître les traitements disponibles pour soulager la dyspnée Définir la
Plus en détailClassi cation TNM du cancer bronchique
Revue des Maladies Respiratoires Actualités (2014) 6, 388-394 Disponible en ligne sur www.sciencedirect.com Classi cation TNM du cancer bronchique TNM classi cation for the lung cancer J.-P. Sculier Service
Plus en détailIRM du Cancer du Rectum
IRM du Cancer du Rectum quels CHOIX TECHNIQUES pour quels OBJECTIFS THERAPEUTIQUES? Frank Boudghène, T. Andre, A. Stivalet, I. Frey, L. Paslaru, V. Ganthier, M. Tassart Hopital Tenon - Université Paris
Plus en détailIntroduction. Lésion pulmonaire dite suspecte en l absence l nignité:
Comparaison entre scanner et morphotep dans l él évaluation du stade TNM d une d lésion l pulmonaire suspecte S Ciprian-Corby (1), L Meyer-Bisch (1), MA Muller (2), P Olivier (2), A Bertrand (2), D Régent
Plus en détailPLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris
PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases
Plus en détailRadiologie Interven/onnelle sur les nodules pulmonaires. J. Palussière, X. Buy Département imagerie
Radiologie Interven/onnelle sur les nodules pulmonaires J. Palussière, X. Buy Département imagerie Radiofréquence Interac*on courant électro- magné*que ma*ère agita*on ionique chaleur Coagula*on Nécrose
Plus en détailLe cliché thoracique
Le cliché thoracique Date de création du document 2008-2009 Table des matières * Introduction... 1 1 Nomenclature radiologique... 1 2 Le cliché thoracique de face... 2 2. 1 Qualité du cliché... 1 2. 2
Plus en détailLe cancer du poumon 2/18/2015. Radio-oncologue CSSS Gatineau. Stéphanie Ferland B.pharm, MD, MSc, FRCPC
Objectifs Le cancer du poumon Stéphanie Ferland B.pharm, MD, MSc, FRCPC Radio-oncologue CSSS Gatineau Décrire le rôle de la thérapie générale en ce qui concerne les traitements néoadjuvants, adjuvants
Plus en détailPierre OLIVIER - Médecine Nucléaire
Diplôme Universitaire Corrélations anatomo-physio-pathologiques en imagerie thoracique 25 mai 2011 Imagerie TEP et pathologie tumorale bronchique Pierre OLIVIER - Médecine Nucléaire Détection en coincidence
Plus en détailLes grands syndromes. Endoscopie trachéo-bronchique. Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY
Les grands syndromes Endoscopie trachéo-bronchique Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY 1 Endoscopie souple avec pince et brosse (fibroscopie) 2 Endoscopie Arbre bronchique normal Bifurcation trachéobronchique
Plus en détailCancers de l hypopharynx
Cancers de l hypopharynx A- GENERALITES 1) Epidémiologie Cancer fréquent et de pronostic grave du fait de son évolution insidieuse et de son caractère lymphophile. C est quasiment toujours un carcinome
Plus en détailCoordinateur scientifique: Prof. Univ. Dr. Emil PLEŞEA. Doctorant: Camelia MICU (DEMETRIAN)
UNIVERSITÉ DE MÉDECINE ET PHARMACIE DE CRAIOVA FACULTÉ DE MÉDECINE CONTRIBUTIONS A L'ÉTUDE CLINIQUE ET MORPHOLOGIQUE DES CANCERS DU POUMON Coordinateur scientifique: Prof. Univ. Dr. Emil PLEŞEA Doctorant:
Plus en détailStatistiques Canadiennes sur le Cancer, et HMR sur le poumon
Statistiques Canadiennes sur le Cancer, et HMR sur le poumon Bernard Fortin Mars 2014 Source: Comité consultatif de la Société canadienne du cancer : Statistiques canadiennes sur le cancer 2013. Toronto
Plus en détailCancer broncho-pulmonaire du sujet âgé. Mathilde Gisselbrecht Capacité de gériatrie- Février 2009
Cancer broncho-pulmonaire du sujet âgé Mathilde Gisselbrecht Capacité de gériatrie- Février 2009 Généralités Cancer bronchique primitif = cancer le plus fréquent en incidence dans le monde Incidence en
Plus en détailMétastase unique d un NPC: Une question singulière? Jean Louis Pujol - Xavier Quantin Mohammad Chakra Fabrice Barlési
Métastase unique d un NPC: Une question singulière? Jean Louis Pujol - Xavier Quantin Mohammad Chakra Fabrice Barlési Deux grandes questions Cette modalité de présentation, requiert elle une prise en charge
Plus en détailLe cancer dans le canton de Fribourg
Le cancer dans le canton de Fribourg Le cancer du poumon dans le canton de Fribourg, analyses statistiques réalisées sur la base des données récoltées par le Registre fribourgeois des tumeurs depuis début
Plus en détailRETOUR AU DOMICILE DES OPERES DU THORAX
Marcelcave, le 10 février 2009 RETOUR AU DOMICILE DES OPERES DU THORA Drs Marie-Claude LELEU et Pierre DUPONT 1 PRE TEST Vrai Faux Les complications chirurgicales après chirurgie thoracique sont fréquentes.
Plus en détailVOLUMES-CIBLES Cancer Bronchique Non-à-Petites Cellules
VOLUMES-CIBLES Cancer Bronchique Non-à-Petites Cellules Philippe GIRAUD, Nicolas POUREL, Vincent SERVOIS Romainville, le 29 septembre 2011 1 Radiothérapie et cancer du poumon La dosimétrie des cancers
Plus en détailSuivi post-professionnel après exposition à l amiante
AUDITION PUBLIQUE Suivi post-professionnel après exposition à l amiante TEXTE COMPLET Avril 2010 1 Les recommandations et synthèse des recommandations sont téléchargeables sur www.has-sante.fr Haute Autorité
Plus en détailAssociation lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose
Association lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose Auteurs Cendrine Godet (*) Jean-Pierre Frat (**) Cédric Landron (*) Lydia Roy (***) Paul Ardilouze (****) Jean-Pierre Tasu (****) (*)
Plus en détailVotre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express
Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des
Plus en détailApport de l IRM dans la
Apport de l IRM dans la caractérisation tissulaire préopératoire des tumeurs rectales Y MORMECHE, S SEHILI, J MORMECHE, CH CHAMMEKHI, S KHELIFI, A BACCAR, MH DAGHFOUS, A CHERIF TUNIS - TUNISIE PLAN Introduction
Plus en détailTUMEURS DU BAS APPAREIL URINAIRE
1 Plan de cours I - TUMEURS PRIMITIVES DE LA VESSIE c1 - Tumeurs papillaires non infiltrantes c2 - Tumeurs papillaires infiltrantes c3 - Carcinome in-situ en muqueuse plane D - Pronostic : II - TUMEURS
Plus en détailTUTORAT UE 5 2012-2013 Anatomie Correction Séance n 6 Semaine du 11/03/2013
TUTORAT UE 5 2012-2013 Anatomie Correction Séance n 6 Semaine du 11/03/2013 Appareil respiratoire-organogénèse de l appareil digestif Cours du Pr. PRUDHOMME Séance préparée par Anissa BARAKAT, Caroline
Plus en détailQu est-ce que le cancer du sein?
Cancer du sein Qu est-ce que le cancer du sein? Laissez-nous vous expliquer. www.fondsanticancer.org www.esmo.org ESMO/FAC Patient Guide Series basés sur les recommandations de pratique clinique de ESMO
Plus en détailMarchés des groupes à affinités
Marchés des groupes à affinités Guide du produit destiné aux conseillers Régime d assurance maladies graves Chèque-vie MD de base La Compagnie d Assurance-Vie Manufacturers Le produit en bref Nul n aime
Plus en détailLe traitement chirurgical du cancer bronchique non à petites cellules
Série «considérations chirurgicales pour le pneumologue» Coordonnée par V. Ninane et G. Decker Le traitement chirurgical du cancer bronchique non à petites cellules P. de Leyn 1, G. Decker 1, 2 1 Hôpital
Plus en détailCancer de l œsophage. Comprendre le diagnostic
Cancer de l œsophage Comprendre le diagnostic Cancer de l œsophage Comprendre le diagnostic Lorsqu on lui annonce qu elle a un cancer, une personne peut se sentir seule, avoir peur et être dépassée par
Plus en détailSecond cancers après cancer du sein. M. Espié Centre des maladies du sein
Second cancers après cancer du sein M. Espié Centre des maladies du sein Second cancer après cancer du sein 376 825 pa=entes diagnos=quées entre 1943 et 2002 ayant au moins survécu un an en Scandinavie
Plus en détailPathologies tumorales thoraciques : intérêt de l IRM de perfusion et de diffusion avant biopsie
Pathologies tumorales thoraciques : intérêt de l IRM de perfusion et de diffusion avant biopsie Szwarc D.(1), Bour L.(1), Chapron J.(2), Gibault L.(3), Gouya H.(1), Abdelli O.(1), Fregeville A.(1), Silvera
Plus en détailCancer du sein in situ
traitements et soins octobre 2009 recommandations professionnelles Cancer du sein COLLECTION recommandations & référentiels Recommandations de prise en charge spécialisée Carcinome canalaire et carcinome
Plus en détailQu est-ce que le cancer de l œsophage?
Cancer de l œsophage Qu est-ce que le cancer de l œsophage? Laissez-nous vous expliquer. www.fondsanticancer.org www.esmo.org ESMO/FAC Patient Guide Series basés sur les recommandations de pratique clinique
Plus en détailÉpidémiologie des maladies interstitielles diffuses
Épidémiologie des maladies interstitielles diffuses 3 à 5/100 000 habitants Augmente avec l age 175 /100 000 >70 ans Notre file active toutes les maladies interstitielles confondues plus de 120 patients
Plus en détailMédecine Nucléaire : PET-scan et imagerie hybride
Médecine Nucléaire : PET-scan et imagerie hybride Benjamin GEISSLER Centre d d Imagerie Nucléaire St-Etienne, Roanne, Le Puy en Velay 1967 2007 Principes Spécialit cialité médicale (1950) Radiologie Radiothérapie
Plus en détailLE SYNDROME PARIÉTAL THORACIQUE
LE SYNDROME PARIÉTAL THORACIQUE Sémiologie, étiologies et diagnostics différentiels J Giron, N Sans, ML Despeyroux, O Loustau, H Gandois, D Galy, JJ Railhac Service central d imagerie CHU Purpan - Toulouse
Plus en détailSein inflammatoire. Isabelle Leconte Cliniques universitaires St Luc
Sein inflammatoire Isabelle Leconte Cliniques universitaires St Luc Sein inflammatoire 3 types Mastites infectieuses Mastites non infectieuses Cancer inflammatoire 2 situations cliniques Allaitement Hors
Plus en détailF-FLUORODÉOXYGLUCOSE EN ONCOLOGIE Expérience en Ile de France
18F-fluorodéoxyglucose en oncologie. Expérience en Ile de France. 18 F-FLUORODÉOXYGLUCOSE EN ONCOLOGIE Expérience en Ile de France H. FOEHRENBACH 1, J. LUMBROSO 2 1 Service Médecine Nucléaire, Hôpital
Plus en détailRecommandations 2005. Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO
Recommandations 2005 Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO Recommandations pour la Pratique Clinique : Standards, Options et Recommandations 2005 pour la prise en charge
Plus en détailUE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire
UE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire Imagerie Imagerie de Gamma Caméra Tomographie d émission monophotoniqueou TEMP: radiopharmaceutiqueémetteurs de rayonnement Gamma Imagerie de Caméra TEP
Plus en détailCe n de «La Revue de Respir» est publié en partenariat avec HOLYVAC
Mars 2008 ; N 12 ACTUALITE DE RESPIR.COM Activités et chiffres clés EDITO Les statines : un nouveau traitement pour les BPCO? Pr. A. TAYTARD - Pneumologie - CHU Bordeaux ARTICLE COMMENTE Grigoriou BD,
Plus en détailHistoire d une masse pancréatique
Histoire d une masse pancréatique Marie Luce Auriault Michael Levy Frédéric Pigneur Claude Tayar, et Iradj Sobhani CHU Henri Mondor Pour GHIF Samedi 13 Juin 2009, Histoire de la maladie Femme 66 ans consulte
Plus en détailTRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir?
TRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir? H Le Hors-Albouze Urgences pédiatriques Timone enfants Marseille Traumatismes crâniens (TC) de l enfant Grande fréquence même si incidence réelle mal
Plus en détailLa fonction respiratoire
La fonction respiratoire Introduction Fonction vitale : Au-delà de 3 min = atteintes graves Après 5 min = très altérés On parle de 3 phénomènes : Ventilation : respiration visible, échanges aériens intérieur
Plus en détailINDUCTION DES LYMPHOCYTES T- RÉGULATEURS PAR IL2 A TRÈS FAIBLE DOSE DANS LES PATHOLOGIES AUTO- IMMUNES ET INFLAMMATOIRES APPROCHE TRANSNOSOGRAPHIQUE
INDUCTION DES LYMPHOCYTES T- RÉGULATEURS PAR IL2 A TRÈS FAIBLE DOSE DANS LES PATHOLOGIES AUTO- IMMUNES ET INFLAMMATOIRES APPROCHE TRANSNOSOGRAPHIQUE Etude clinique N NCT01988506 Inves9gateur coordinateur
Plus en détailCANCER DU POUMON ACTION-RÉACTION!
CANCER DU POUMON ACTION-RÉACTION! F O R M A T I O N C O N T I N U E // M me Bouchard, 65 ans, se présente à votre cabinet pour une toux sèche et persistante depuis un mois avec une légère dyspnée. Elle
Plus en détailPrise en charge des carcinomes bronchiques selon le stade: le point de vue du chirurgien 1
Schweiz Med Wochenschr 2000;130:679 83 A. Spiliopoulos, M. de Perrot Unité de thoracique, Département de, Hôpitaux Universitaires de Genève Prise en charge des carcinomes bronchiques selon le stade: le
Plus en détailiuropaisches Patentamt iuropean Patent Office )ffice européen des brevets y Numéro de publication: J 4Z/ bjj Al S) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN
iuropaisches Patentamt iuropean Patent Office )ffice européen des brevets y Numéro de publication: J 4Z/ bjj Al S) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN jj) Numéro de dépôt: 90403174.7 Int. Cl.5: A61 K 37/66 g) Date
Plus en détailImagerie des tumeurs endocrines Le point de vue de l imagerie moléculaire
4ème Journée inter-régionale RENATEN Centre / Poitou-Charente Imagerie des tumeurs endocrines Le point de vue de l imagerie moléculaire Maria João Santiago-Ribeiro CHRU Tours Université François Rabelais
Plus en détailOBJECTIFS 2013-02- 14 LE TRAITEMENT DU CANCER DU POUMON DE STADE AVANCÉ: " OÙ EN SOMMES-NOUS " EN 2013?
OBJECTIFS LE TRAITEMENT DU CANCER DU POUMON DE STADE AVANCÉ: " OÙ EN SOMMES-NOUS " EN 2013? Connaître les différentes options de traitement disponibles pour le cancer du poumon de stade avancé Connaître
Plus en détailCANCER BRONCHO-PULMONAIRE DU SUJET ÂGÉ
CANCER BRONCHO-PULMONAIRE DU SUJET ÂGÉ Mathilde Gisselbrecht Capacité de gériatrie- Février 2013 Le cancer en France 360 000 cas de nouveaux cancers en 2010 (Source : Institut de Veille Sanitaire) 150
Plus en détailLobectomie pulmonaire vidéo-assistée : technique, indications et résultats
J Fran Viet Pneu 2012; 03(08): 1-65 2012 JFVP. All rights reserved. www.afvp.info JOURNAL FRANCO-VIETNAMIEN DE PNEUMOLOGIE Journal of French-Vietnamese Association of Pulmonology ARTICLE ORIGINAL Lobectomie
Plus en détailCancers du larynx : diagnostic, principes de traitement (145a) Professeur Emile REYT Novembre 2003 (Mise à jour Mars 2005)
Cancers du larynx : diagnostic, principes de traitement (145a) Professeur Emile REYT Novembre 2003 (Mise à jour Mars 2005) Pré-Requis : Anatomie du larynx Physiologie de la phonation et de la déglutition
Plus en détailQuels sont les facteurs qui font augmenter les risques de cancer du rein?
Qu est-ce que le cancer du rein? L adénocarcinome rénal est le type le plus fréquent de cancer du rein 1. Le rôle des reins consiste à filtrer le sang et à évacuer les déchets de l organisme dans l urine.
Plus en détailDéfinitions. MALADIES GRAVES Protection de base Protection de luxe. PROTECTION MULTIPLE pour enfant
Définitions MALADIES GRAVES Protection de base Protection de luxe PROTECTION MULTIPLE pour enfant Voici les définitions des maladies graves et non critiques que vous pouvez retrouver dans les garanties
Plus en détailLes renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic de cancer
Information importante pour les personnes atteintes d un cancer du poumon non à petites cellules de stade avancé Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic
Plus en détailRecherche Information - prévention - dépistage Actions pour les malades et leurs proches. Les cancers des voies aérodigestives supérieures
Recherche Information - prévention - dépistage Actions pour les malades et leurs proches Les cancers des voies aérodigestives supérieures G R A N D P U B L I C Janvier 2009 LES CANCERS DES VOIES AÉRODIGESTIVES
Plus en détailALK et cancers broncho-pulmonaires. Laurence Bigay-Gamé Unité d oncologie thoracique Hôpital Larrey, Toulouse
ALK et cancers broncho-pulmonaires Laurence Bigay-Gamé Unité d oncologie thoracique Hôpital Larrey, Toulouse Toulouse, le 19 Février 2013 Adénocarcinomes : Lung Cancer Mutation Consortium Identification
Plus en détailAssurance maladie grave
ASSURANCE COLLECTIVE Le complément idéal à votre assurance collective Assurance maladie grave Votre partenaire de confiance. Assurance maladie grave La tranquillité d esprit à votre portée Les progrès
Plus en détailApport de l IRM dans le bilan préthérapeutique du cancer du rectum
Apport de l IRM dans le bilan préthérapeutique du cancer du rectum Y MORMECHE, S SEHILI, J MORMECHE, CH CHAMMEKHI, S KHELIFI, A BACCAR, MH DAGHFOUS, A CHERIF TUNIS - TUNISIE PLAN Introduction Matériel
Plus en détailG U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre mélanome cutané Mars 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le mélanome
Plus en détailCancer du sein. Du CA15-3 à la tomographie à émission de positons.
Cancer du sein. Du CA15-3 à la tomographie à émission de positons. Un taux de récidive de 30% dans les dix premières années chez des patientes en rémission complète après un traitement curatif, requiert
Plus en détailOSSIFICATION DU LIGAMENT VERTEBRAL COMMUN POSTERIEUR ET DU LIGT JAUNE: MYELOPATHIE CERVICALE SUBAIGUE
OSSIFICATION DU LIGAMENT VERTEBRAL COMMUN POSTERIEUR ET DU LIGT JAUNE: MYELOPATHIE CERVICALE SUBAIGUE Jurgita Bruzaite,, Monique Boukobza,, Guillaume Lot* Services de Neuroradiologie et de Neurochirurgie
Plus en détailLes cancers des voies aérodigestives supérieures
INFORMATION & PRÉVENTION Les cancers des voies aérodigestives supérieures G R A N D P U B L I C Cancers des Voies Aérodigestives Supérieures (VADS) Généralités Sommaire > Localisation des cancers des VADS.....
Plus en détailMaladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin
Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca MALADIE DE HODGKIN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du
Plus en détailLe cancer du poumon. Carcinome bronchique. Une information de la Ligue contre le cancer pour les personnes concernées et leurs proches
Le cancer du poumon Carcinome bronchique Une information de la Ligue contre le cancer pour les personnes concernées et leurs proches Impressum _Editrice Ligue suisse contre le cancer Effingerstrasse 40
Plus en détailINFORMATION & PRÉVENTION. Les dangers de l amiante
INFORMATION & PRÉVENTION Les dangers de l amiante G R A N D P U B L I C Les dangers de l amiante Le caractère cancérogène de l amiante est connu depuis les années 50. Des cancers du poumon ou de la plèvre
Plus en détailCORRELATION RADIO-ANATOMIQUE DANS LE CARCINOME HEPATOCELLULAIRE TRAITE PAR TRANSPLANTATION HEPATIQUE : IMPACT SUR LA RECIDIVE
CORRELATION RADIO-ANATOMIQUE DANS LE CARCINOME HEPATOCELLULAIRE TRAITE PAR TRANSPLANTATION HEPATIQUE : IMPACT SUR LA RECIDIVE L. Lecoq, J. Gendre, N. Sturm, C. Letoublon, MN. Hilleret, JP. Zarski, V. Leroy
Plus en détailTumeurs cutanées épithéliales et mélaniques
Examen National Classant Module transdisciplinaire 10 : Cancérologie, onco-hématologie Tumeurs cutanées épithéliales et mélaniques Mélanomes NOUVEAU P. SAIAG (Ambroise Paré, Boulogne Billancourt), J.-J.
Plus en détailFactsheet Maladies professionnelles causées par l amiante
Version mars 2013 Factsheet Maladies professionnelles causées par l amiante Dr Marcel Jost, Dr Susanna Stöhr, Dr Claudia Pletscher, Dr Hanspeter Rast 1. Maladies professionnelles causées par l amiante
Plus en détailmaladies professionnelles dans l Eure AMIANTE Guide pratique
maladies professionnelles dans l Eure AMIANTE Guide pratique Pourquoi ce guide? EN MOINS DE DIX ANS, la réglementation sur l amiante a connu une formidable évolution. Elle touche tous les domaines : indemnisation
Plus en détail.( /.*!0) %1 2"+ %#(3004) 05' 203 .(.*0"+ ) '!2"+ %#(30+ 0!"%) 4!%2) 3 .( @.*" '!%2"+ %#(30! &' 4!!% .+.*0%!!'!(!%2"+ 16 3047!
!"#! $ %#&' (!"#$!% & % ' (!%' ) )''! *)+* *! %#"+, ' ( ', -) " *.( /.*!0) %1 2"+ %#(3004) 05' 203.(.*0"+ ) '!2"+ %#(30+ 0!"%) 4!%2) 3.( -.* %)!(2"+ %#(30! &' 4!!%.+.*0%!!'!(!%2"+ 16 3047!%(%' 0.(89.*
Plus en détailSujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT
ANAMACaP Association Nationale des Malades du Cancer de la Prostate 17, bis Avenue Poincaré. 57400 SARREBOURG Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT Place des nouvelles techniques d imagerie
Plus en détailCANCER DU POUMON 2006. CICM Charles-LeMoyne 2006.03.15
CANCER DU POUMON 2006 Benoît t Samson md CICM Charles-LeMoyne 2006.03.15 CANCER du POUMON 2006 Données épidémiologiques Aspects cliniques Approches thérapeutiques Cancer du poumon 2006 Données épidémiologiques
Plus en détailCancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes
Cancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes Pr Jean Trédaniel Service de pneumologie et oncologie thoracique Groupe Hospitalier Paris Saint Joseph Université Paris Descartes Sources Données
Plus en détailIMAGERIE TOMODENSITOMETRIQUE ET IRM DU PERICARDE
IMAGERIE TOMODENSITOMETRIQUE ET IRM DU PERICARDE E Bruguière, O Vignaux, C Burckel, H Gouya, S Silvera, P Legmann Groupe hospitalier Cochin Saint-Vincent de Paul Service de radiologie A Paris - France
Plus en détailCancer de l'œsophage. Comprendre le diagnostic. Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca
Cancer de l'œsophage Comprendre le diagnostic Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca Cancer de l'œsophage Comprendre le diagnostic Vous venez d apprendre que vous avez un cancer Une
Plus en détailDe la chirurgie du nodule aux ganglions
De la chirurgie du nodule aux ganglions Docteur Xavier CARRAT Institut Bergonié Clinique Saint Augustin Chirurgie des lésions bénignes de la thyroïde problématique opératoire «simple» avec indication portée
Plus en détailneurogénétique Structures sensibles du crâne 11/02/10 Classification internationale des céphalées:2004
11/02/10 Structures sensibles du crâne neurogénétique Cheveux Cuir chevelu Tissu sous cutané Périoste Os Dure mère Méninges molles Cerveau vaisseaux MIGRAINE:PHYSIOPATHOLOGIE MIGRAINE:PHYSIOPATHOLOGIE
Plus en détailRecommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés
Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés - décembre 2009 - CARCINOMES BASOCELLULAIRES La chirurgie : traitement de référence et de 1 ère intention Classification clinique et histologique
Plus en détailPemetrexed, pionnier de la chimiothérapie histoguidée. Dr Olivier CASTELNAU Institut Arnault TZANCK ST Laurent du Var
Pemetrexed, pionnier de la chimiothérapie histoguidée Dr Olivier CASTELNAU Institut Arnault TZANCK ST Laurent du Var SFPO Octobre 2009 EPIDEMIOLOGIE Incidence : 1.35 M par an dans le monde (12,4%) 28 000
Plus en détailDéfinitions. PrioritéVie Enfant MC. Assurance contre le risque de maladie grave
Définitions PrioritéVie Enfant MC Assurance contre le risque de maladie grave Le présent document ne constitue qu un exemple de libellé et n a aucune force exécutoire. En cas de divergence entre les renseignements
Plus en détailNouvelles stratégies et nouveaux impacts de l imagerie des cancers
03 CHATAL Page 26 Jeudi, 18. mars 2004 8:21 08 Le cancer : nouvelles données, nouvelles stratégies, nouveaux espoirs Cancer: recent evidence, innovative strategies, future promises 2004 Elsevier SAS. Tous
Plus en détailFocus. Assurances et tumeurs génitales des hommes jeunes. Unité de Recherche et Développement pour les Risques Aggravés.
Unité de Recherche et Développement pour les Risques Aggravés Focus Juillet 2007 Assurances et tumeurs génitales des hommes jeunes Assurances et tumeurs génitales des hommes jeunes Conception et réalisation
Plus en détailPeut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY
Peut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY A quoi sert l imagerie conventionnelle dans le diagnostic
Plus en détailLe cancer de la thyroïde GRAND PUBLIC
GRAND PUBLIC Edition actualisée Janvier 2010 SOMMAIRE > Ce livret a été préparé par le professeur Martin Schlumberger, chef du Service de Médecine Nucléaire à l Institut Gustave Roussy (IGR), à Villejuif
Plus en détailMoyens d étude de la peau
Moyens d étude de la peau Dr. Yannick Le Corre yalecorre@chu-angers.fr Service de Dermatologie Vénéréologie Pr. L. Martin 2011-2012 CHU Angers UE Revêtement cutané Dermoscopie ou Dermatoscopie Examen de
Plus en détailRégime d Assurance Collective
Ce régime d assurance est établi par : SSQ, Société d assurance inc. Régime d Assurance Collective Primo-soins MD pour Vous et/ou votre conjoint Service d assistance téléphonique d SSQ 1-800-848-0158 Février
Plus en détailQu est-ce qu un sarcome?
Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu une tumeur? Une tumeur est une prolifération anormale de cellules. Les tumeurs ne devraient donc pas automatiquement être associées à un cancer. Certaines tumeurs
Plus en détailL Institut universitaire romand de Santé au Travail vous propose des services spécifi ques dans un contexte pluridisciplinaire:
L Institut universitaire romand de Santé au Travail vous propose des services spécifi ques dans un contexte pluridisciplinaire: Expertises, conseils et chantiers Sylvain L Eplattenier, Maude Favre Analyses
Plus en détailRéparation de la communication interauriculaire (CIA) Informations destinées aux patients
Réparation de la communication interauriculaire (CIA) Informations destinées aux patients Schéma du cœur avec CIA Aorte Artère pulmonaire Oreillette gauche CIA Appendice auriculaire gauche Oreillette droite
Plus en détailSEMIOLOGIE RESPIRATOIRE
SEMIOLOGIE RESPIRATOIRE RENNES SEPTEMBRE 2005 1 INTRODUCTION En octobre 1987 paraissait un «polycopié» intitulé «SEMIOLOGIE RESPIRATOIRE» rédigé par le groupe Enseignement de la Société de Pneumologie
Plus en détailLe mélanome. Ce que vous devez savoir
Le mélanome Ce que vous devez savoir Table des matières À propos de ce livret... 2 La peau... 3 Importance de la peau...3 Couches de la peau...3 La croissance des cellules : les cellules normales et les
Plus en détailABREGE D HEPATO-GASTRO-ETROLOGIE- 2ème édition - Partie «Connaissances» - Octobre 2012 par la CDU-HGE - Editions Elsevier-Masson
Chapitre 36 : Item 308 Dysphagie I. Définition II. Deux types de dysphagie III. Démarche diagnostique en cas de dysphagie œsophagienne IV. Dysphagies lésionnelles V. Dysphagies fonctionnelles OBJECTIF
Plus en détailLe reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003
Pré-Requis : Corpus Médical Faculté de Médecine de Grenoble Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003 Sécrétion acide et peptique de l estomac Motricité œsophagienne et gastrique
Plus en détailCompte Rendu de la réunion du Groupe d Endoscopie de. Langue Française
Compte Rendu de la réunion du Groupe d Endoscopie de Langue Française Paris, Maison du Poumon Samedi 8 décembre 2007 La réunion débute à 10 heures 13 membres sont présents Febvre M, Vergnon JM, Vaylet
Plus en détailCancer du sein in situ
traitements, soins et innovation OCTOBRE 2009 recommandations professionnelles Cancer du sein in situ COLLECTION recommandations & référentiels Recommandations de prise en charge spécialisée Carcinome
Plus en détail