Recrutement des Para-Médicaux,

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1 Clinique Médicale Les Sources Avenue des Roses 10, C. Pietruschi Nice Cedex 2 Clinique fondée par l AGIRC et l ARRCO Adhérent FEHAP le magazine d information de la Clinique Février 2010 N 3 Recrutement des Para-Médicaux, une activité essentielle pour la continuité des soins Une équipe d encadrement mobilisée CIDELEC > Dossier Le syndrome d apnées du sommeil > Portrait Colette POZZO Profession, Assistante de Service Social > Equipement Modernisation de la numérisation des images radiologiques

2 2 EDITO éditorial par Noël BONCHE, ancien Président du Conseil d Administration Il y a maintenant plus de quarante ans, les partenaires sociaux, Administrateurs des Caisses Complémentaires de Retraite AGIRC-ARRCO, entreprirent une politique d investissement et de gestion de résidences pour personnes âgées en raison des besoins considérables de l époque. À la suite d initiatives les plus diverses et en plusieurs décennies, on vit se construire dans toute la France des logements-foyers, des résidences et des cliniques. Dans les Alpes-Maritimes, près de vingt caisses de retraite se réunirent pour concevoir une unité particulière : la Clinique LES SOURCES. Les Fondateurs ont souhaité apporter à leurs ressortissants des conditions humaines meilleures par des soins de qualité leur permettant de regagner leur domicile et pour ceux qui ne le pouvaient pas, des places de long séjour. En plus de trente ans, la Clinique LES SOURCES a su répondre positivement au pari de ses fondateurs. L ensemble du corps médical a précédé et suivi les progrès considérables de la médecine et de la pharmacopée. Nous devons les en remercier et les féliciter. Il ne faut pas oublier tous les soignants qui journellement apportent à nos patients les conditions humaines les meilleures, ce qui était le souhait des fondateurs. Les témoignages de satisfaction nous le confirment quotidiennement. Je tiens également à souligner tout le professionnalisme et le dynamisme du Directeur Général, M. BENMANSOUR, et de l ensemble de son équipe qui ont su mener à bien tous les projets stratégiques de la Clinique. La conception et la qualité des ouvrages réalisés lors de la construction de la Clinique LES SOURCES ont été remarquables, mais malheureusement, même bien entretenus, ils ne correspondaient plus aux exigences de notre époque et avaient vieilli. Aussi, grâce aux réserves de la Société Civile Immobilière, d une subvention des caisses de retraite, d une subvention du fonds social AGIRC-ARCCO et d un prêt raisonnable, nous avons pu boucler un budget de plus de 20 millions d euros. Commencés il y a maintenant deux ans, ces travaux de réhabilitation se déroulent dans de bonnes conditions grâce à la participation et à l effort de tous, sans oublier les entreprises et leurs salariés qui travaillent avec des contraintes difficiles en site occupé. Il faudra encore un peu plus d un an pour en voir la fin mais le résultat sera positif. La devise des fondateurs était «humanité et qualité» ; les Administrateurs et le personnel de la Clinique LES SOURCES ont su répondre présents. Grâce à son expérience et à son savoir-faire, je suis sûr que mon successeur saura suivre la même route et même l améliorer. Aussi, je lui présente tous mes vœux, ainsi qu à l ensemble du personnel. par Denis GINDRE, Président du Conseil d Administration Plusieurs étapes à franchir ensemble L année 2010 verra la concrétisation de plusieurs étapes-clés dans la vie de l association et de la Clinique pour l accueil des personnes hospitalisées avec un outil de travail rénové et «étendu». La première d entre elles est, bien sûr, la succession de Monsieur Noël Bonche à la Présidence de l Association de Gestion de la Résidence Médicale LES SOURCES (AGRMS), que j ai eu le plaisir d accepter à compter du 1 er janvier Cette étape n en demeure pas moins une transition préparée qui s inscrit résolument dans la continuité quant à l engagement des régimes Agirc et Arrco dans une vision exemplaire de la prise en charge de la gériatrie en France. Il en est ainsi également du plan médicosocial et sanitaire défini pour la période par les partenaires sociaux gestionnaires de régimes de retraite complémentaire. La deuxième étape sera celle de fin du cycle de restructuration, en cours depuis 2007 et qui s achèvera dans le 2 ème trimestre Le chantier se poursuivra par l extension de l Unité de Soins de Longue Durée qui démarrera au printemps. La mise en œuvre de la loi «H,P,S,T» dont les décrets d application sont à paraître sera également une étape significative pour la vie de la Clinique. Autant d étapes que nous devons franchir ensemble pour la vie de la Clinique et l aboutissement de ses missions. Je vous souhaite, à toutes et à tous, une excellente année 2010.

3 Le mot du Directeur Général par le Dr E.H. Benmansour C est par la visite de Certification que nous avons débuté l année. A cette occasion, les personnels de la Clinique ont pu démontrer leur professionnalisme, leur rigueur et leur implication dans le service rendu au patient et à son entourage. La Clinique, accréditée en 2004, est maintenant certifiée grâce à vos efforts et à votre travail. Tout au long de l année, la rénovation de nos services et les travaux de Haute Qualité Environnementale se sont poursuivis avec la livraison du Département de Réanimation-Surveillance Continue et de l unité SSR ex B2. Il en a été de même pour la mise en œuvre de notre projet ambitieux de migration sur CLINICOM. Pourtant, le premier semestre a été inquiétant en terme d activité. Mais grâce aux efforts des médecins, des équipes paramédicales et logistiques, du Médecin DIM remplaçant, ainsi qu aux efforts d optimisation réalisés par les responsables fonctionnels, notre résultat d exploitation ne sera pas déficitaire. Enfin, durant toute l année 2009, nous avons mené une lutte permanente, épuisante et onéreuse afin de pourvoir les postes vacants d IDE, d AS, de Médecins et d Ingénieurs. «Nos objectifs pour 2010 sont à la hauteur des ambitions que vous avez pour votre établissement». La Personne âgée qui nous sollicite, est au cœur de notre dispositif hospitalier. Aussi, je vous demande encore plus d efforts individuel et collectif pour lui assurer un accueil et des soins de qualité, à son admission, pendant son hospitalisation et à sa sortie. La stabilité de nos équipes de soins, et des équipes logistiques et administratives et leur épanouissement au travail sont pour l équipe de Direction des objectifs fondamentaux. Du recrutement à la fidélisation des professionnels, en passant par l intégration des nouveaux venus, et la formation, tout sera mis en œuvre dans le cadre de notre Gestion Prévisionnelle des Emplois et des Compétences (GPEC) pour donner à chacun les compétences techniques et relationnelles nécessaires à l accomplissement de ses missions. La réalisation de notre Projet d Etablissement nécessitera une attention particulière et un engagement total de tous les professionnels de l établissement. Pour nous assurer des ressources suffisantes pour le financement de ces actions d amélioration, nous allons devoir conforter notre activité, développer nos partenariats en valorisant davantage l image positive de la Clinique et optimiser nos ressources. Il nous faudra faire connaître à notre futur Directeur de l Agence Régionale de Santé que nous sommes un établissement référent de la Filière Gériatrique territoriale. L importance capitale de la mise en place du dossier patient informatisé dans DOPACOM pour satisfaire aux exigences de traçabilité et de qualité des soins requiert une mobilisation importante de tous les professionnels. La Clinique poursuivra sa rénovation pour le confort des usagers et l amélioration des conditions de travail des professionnels. Ainsi, les unités de Soins de Suite et de Réadaptation seront totalement achevées en avril Par ailleurs, la rénovation et l extension du bâtiment C qui doivent débuter en mars 2010 devraient être réceptionnées à l automne Votre professionnalisme, votre savoir-être et vos compétences sont autant d atouts pour l atteinte de nos objectifs, principalement celui d assurer le meilleur accueil et le meilleur soin aux malades qui sont au cœur de notre dispositif. Je vous en félicite et tiens à vous dire que je suis fier de vous tous et à vous exprimer la considération et la reconnaissance de l institution. Je voudrais également témoigner de notre reconnaissance à Monsieur Noël BONCHE, pour les moyens obtenus à hauteur de 22 millions dans le cadre des travaux de modernisation de notre Clinique et pour son implication et son engagement pendant les huit ans de sa Présidence. Je tiens à lui exprimer au nom de tous, mes remerciements les plus chaleureux. Bien évidemment, je souhaite, au nom de tous les professionnels de la Clinique, la bienvenue à notre nouveau Président, Denis Gindre, et lui souhaite une pleine réussite. Je vous souhaite, ainsi qu aux malades, aux familles et à tous nos partenaires une Bonne et Heureuse Année EDITO 4 Travaux Une clinique en chantier 5 Certification Résultats de la procédure de certification 6 Droits et informations du patient La CRUQ Le regard des représentants des usagers 8 Santé et hygiène de vie L AVC, une urgence diagnostique et thérapeutique évaluation de la dénutrition 10 Portrait Profession, Assistante de Service Social 12 Dossier Les troubles respiratoires du sommeil 14 équipement Numérisation des images radiologiques 16 Informatique état d avancement du système d information 17 Soins Le recrutement des para-médicaux 18 La Clinique en chiffres 19 Actualité - En bref SOMMAIRE 3

4 4 TRAVAUX Une clinique en chantier Difficile d éviter les travaux! Les travaux lancés en 2007 vont s étaler jusqu en mai 2011 sous la surveillance de la Clinique en lien avec la SCI. Le planning est globalement respecté par les entreprises. Fin avril devrait voir la concrétisation d une phase essentielle du programme de modernisation puisque les unités de Médecine rénovées sont maintenant regroupées sur le bâtiment A et les Soins de Suite, totalement réhabilités à cette date, réunis au bâtiment B à proximité du Plateau Technique de Rééducation et de Balnéothérapie. Prochaine grande étape, dans le cadre du projet d extension-rénovation du bâtiment C, les opérations de consultation des entreprises. Le projet prévoit la construction d un bâtiment de trois étages, pour une surface totale d environ m², relié au bâtiment existant par une passerelle ainsi que l adaptation du C0 avec la création d un circuit de déambulation et d un jardin thérapeutique. Dès le mois de mars 2010, les travaux de terrassement débuteront pour cet ensemble qui devrait s achever au mois de mai Quelques nuisances en perspective Pendant ces différentes phases de chantier, la continuité de l activité est assurée dans toutes les unités de soins. Malgré les efforts combinés des Services Techniques et des entreprises visant à contrôler et minimiser l impact des nuisances, notamment lors des périodes de démolition, il est quelquefois difficile d empêcher la gêne occasionnée aux usagers. Calendrier Novembre 2009 Décembre 2009 Janvier 2010 Unité de soins Soins de Suite niveau 2 du bâtiment B Rénovation en cours fin prévue en avril 2010 Mise en conformité des ascenseurs (HQE) Réalisée à plus de 80 % Modifications en cours : monte-malade du bâtiment B Circulations Circulation du bâtiment B rez-de-chaussée Fin prévue en juin 2010 Remplacement de la production de froid de la cuisine Réception en janvier Menuiseries extérieures (HQE) Remplacement en salles de réunions, dans les escaliers de secours, Réception en janvier 2010 Saluons ici la patience des hospitalisés et de leur entourage ainsi que des professionnels de santé confrontés à ces désagréments. Leur patience sera récompensée par les résultats que chacun peut d ores et déjà apprécier. SELARL Biancheri Architecture 14 Rue Emmanuel PHILIBERT Nice Février 2010 Mars 2010 Décembre 2010 Mars 2011 Michel BERTO, Ingénieur Travaux Mirko BOF, Responsable Technique Avant Après Services Restructuration de la Lingerie Rénovation des Services Techniques Unités de Soins de Longue Durée (USLD) Démarrage des travaux de terrassement pour l extension de 13 lits dans le cadre des suppressions des chambres à deux lits et d un PASA pour malade atteints de la maladie d Alzheimer et troubles apparentés Réception en mai 2011 Unités de Soins de Longue Durée (USLD) Réaménagement du C0 (patients Alzheimer) Réception en mai 2011 Mise en conformité des ascenseurs Modernisation du monte-malade de l USLD

5 Les résultats de la procédure de certification La Clinique a reçu le rapport de certification de la Haute Autorité de Santé dans sa version finale, le 4 novembre La Clinique est certifiée avec suivi. Ce suivi porte sur un seul critère du manuel de certification : «Les conditions d administration du médicament garantissent la conformité à la prescription et la traçabilité de l acte». Des recommandations ont été, par ailleurs, formulées invitant la Clinique à poursuivre sa démarche d amélioration sur les critères suivants : Administration du médicament (SSR et Soins de Longue Durée) Prise en charge de la douleur Conditions de dispensation des médicaments. Dynamique d amélioration Critères en cotation C En ce qui concerne l amélioration de la prise en charge de la douleur, le Comité de Soins Palliatifs et de Lutte contre la Douleur (CSPLD) a notamment pour mission l élaboration et l évaluation des outils relatifs à l évaluation et la prise en charge de la douleur et l accompagnement des professionnels. Actions remarquées par les experts visiteurs Programme informatique d aide à la décision en antibiothérapie développé par l équipe médicale de la Clinique Développement d un outil informatique de suivi de la prise en charge de l insuffisance cardiaque dans le cadre du pôle de cardiogériatrie En ce qui concerne la sécurisation du circuit du médicament, la mise en œuvre de CLINICOM (module DOPACOM) est la solution retenue par la Clinique pour satisfaire totalement aux exigences de la HAS relatives à l administration du médicament. Critères en cotation B : quelques exemples d actions réalisées ou planifiées Traçabilité de l information du patient et dossier du patient : mise en œuvre du dossier patient informatisé. Prise en charge des urgences vitales : formation du personnel soignant et des brancardiers à l urgence vitale. Pratique de la contention : amélioration de la prescription médicale et de la surveillance. Système qualité : mise en œuvre d un dispositif d évaluation de la satisfaction des correspondants externes. Évaluation des Pratiques Professionnelles : finalisation des projets EPP jusqu à évaluation de l efficacité des actions d amélioration. Fonctions Logistiques : évaluation de la satisfaction de la fonction restauration. CERTIFICATION Le programme d actions d amélioration sera complété sur 2010 par certaines propositions des groupes d autoévaluation. Marion LEFEVRE, Responsable Qualité A : % Répartition globale de la cotation du rapport B : % D : 1 0 % C : 10 4 % 5

6 6Droits et informations du patient La CRUQ, un levier indispensable à l amélioration de la représentation et de la prise en charge des usagers par Christiane AUBERT, Responsable Communication, Relations Usagers et René GHIBAUDO, Directeur Adjoint Quelles sont ces missions? Quel rôle joue cette Commission? A la Clinique LES SOURCES, la Commission des Relations avec les Usagers et de la Qualité de la Prise en Charge a été créée en 2004, se substituant à la Commission de Conciliation existante. Témoignant de son souci d impliquer les représentants des usagers dans la gestion de la Clinique, la Direction Générale a, depuis de nombreuses années, considéré comme primordiales les missions qui leur sont dévolues. La CRUQ est chargée de veiller au respect des droits des usagers ; elle doit faciliter leurs démarches afin qu ils puissent exprimer leurs griefs et être informés des suites de leurs demandes. Elle doit contribuer, par ses avis et préconisations, à l amélioration de la qualité d information et d écoute des hospitalisés et de leur entourage. La CRUQ apparaît ainsi comme un des principaux leviers pour l amélioration de l accueil et de la prise en charge des personnes malades et de leurs proches, qu elle soit médicale, soignante, administrative ou hôtelière. La CRUQ restitue son activité au Conseil d Administration, amené à délibérer dans ce domaine, ainsi qu à d autres instances externes telles que l Agence Régionale d Hospitalisation et la Conférence Régionale de Santé. L implication des représentants des usagers dans le fonctionnement de l institution constitue, de par leur expérience, leur regard extérieur et leur approche, une opportunité d amélioration de nos pratiques. Les professionnels se doivent désormais d accepter cette appréciation de leurs pratiques dans une perspective constructive. Composition de la Commission des Relations avec les Usagers Le Directeur Général ou son représentant...dr E.H. BENMANSOUR, Président La Responsable Relations Usagers, Plaintes...Christiane AUBERT, Invité permanent La Responsable Risques et Qualité...Marion LEFEVRE, Invité permanent Le Médiateur médical titulaire...dr Bernard GHURGHEGUIAN Le Médiateur médical suppléant...dr Gilda PERINETTI Le Médiateur non médical titulaire...joëlle OPPON, Responsable Infirmier Le Médiateur non médical suppléant...patricia MONNIER, Secrétaire médicale Le Représentant des Usagers titulaire...isabelle DAUREU, A.C.A. Alzheimer Le Représentant des Usagers titulaire...bernard BIGATI, Groupement des Parkinsoniens des A.M. Le Représentant des Usagers suppléant...elisabeth AUDOLY, Groupement des Parkinsoniens des A.M.

7 Le regard des représentants des usagers Par Isabelle DAUREU, Bernard BIGATI et Elisabeth AUDOLY, Représentants des usagers nommés par le Directeur de l Agence Régionale d Hospitalisation (ARH) et appartenant à des associations agréées (Paca Alzheimer et Groupement des Parkinsoniens des Alpes-Maritimes) «Notre mission est d être présent au sein d instances représentatives de la Clinique afin d apporter le regard des personnes accueillies. Il est important que le recueil de la satisfaction des usagers soit analysé par d autres personnes que celles qui sont au cœur de la vie de la structure. Les équipes de la Clinique qui nous ont intégrés ont su faire preuve de patience et de professionnalisme face à nos questionnements qui ont essentiellement pour objectif de mieux maîtriser les relations avec les usagers et de repérer les conditions d hospitalisation les plus respectueuses. C est dans ce contexte que nous avons souhaité appréhender au mieux les spécificités de la vie de la Clinique LES SOURCES, et dans le cadre de cette démarche, nous avons pu utiliser un outil très précieux pour nous, représentants des usagers. Il s agit du recueil des questionnaires de sortie dont l analyse permet de connaître les points satisfaisants mais également les situations éventuellement à améliorer. Nous essayons d être vigilants sur les réponses mais également sur le taux de retour de ces questionnaires. Le personnel de la Clinique a su se motiver pour que ce taux de retour soit plus significatif. Les personnes hospitalisées ont également la possibilité d écrire à la Direction Générale pour signaler un mécontentement ou déposer une plainte. Nous avons été sollicités pour être médiateurs et permettre à l usager non seulement d être entendu dans le cadre d un échange avec la Direction, mais également de s exprimer avec des personnes neutres, extérieures, objectives. Notre «petite» expérience nous montre que bien souvent, les quelques plaintes ou «insatisfactions» exprimées témoignent d un défaut de communication que nous essayons de rétablir.» Isabelle DAUREU Bernard BIGATI Elisabeth AUDOLY Mesure de la satisfaction des usagers à la Clinique LES SOURCES Droits et informations du patient La satisfaction des patients est évaluée pour l ensemble des hospitalisés de la Clinique. L évaluation de la satisfaction des patients mesure l écart entre la qualité attendue par le patient et la qualité perçue par le patient. Depuis le début de l année 2009, notre dispositif a été complété par un questionnaire de satisfaction des visiteurs (familles, amis, proches). Les questionnaires de sortie sont exploités tous les trimestres et restitués à l ensemble des professionnels concernés, ainsi qu aux membres de la CRUQ. Les professionnels des services de soins sont invités régulièrement à poursuivre leur effort pour améliorer le taux de retour. Exploitation du questionnaire de sortie - 4 ème trimestre 2009 Taux de retour moyen du questionnaire : 26 % Satisfaction globale sur le séjour : 65,2 % des patients répondants «très satisfaits» 34,4 % des patients répondants «plutôt satisfaits» Au total, près de 100 % de patients sont satisfaits. Pour chaque variable étudiée, le taux de satisfaction est toujours supérieur à 90 %. Marion LEFEVRE, Responsable Risques et Qualité 7

8 8 santé et hygiene de vie Actualités sur les Accidents Vasculaires Cérébraux à la Clinique LES SOURCES L AVC, une urgence diagnostique et thérapeutique Les accidents vasculaires cérébraux (AVC) représentent la 3 e cause de mortalité et la 1 ère cause de handicap acquis de l adulte dans les pays industrialisés. En France, l incidence est de nouveaux cas par an. Les AVC sont à l origine de décès par an et de handicaps lourds pour les patients. Le risque de récidive d AVC à 5 ans est estimé entre 30 et 43 %. Il est important de savoir que 10 à 30 % des AVC constitués sont précédés d un accident ischémique transitoire (AIT), que 10 % des patients atteints décèdent dans les 30 premiers jours et 1/3 décèdent dans l année suivant la survenue de l AVC. Les AVC sont une cause majeure de dépression et représentent la 2e cause de démence après la maladie d Alzheimer. Dans 85 % des cas, l AVC est d origine ischémique. Les autres cas sont d origine hémorragique, cérébrale ou méningée. Le coût socio-économique des AVC est très élevé et fortement lié à l importance des séquelles neurologiques. La fréquence des AVC augmente avec l âge et le vieillissement du système artériel et du cerveau. 50 % des AVC surviennent après 70 ans. Le vieillissement général de la population laisse présager un nombre croissant de patients atteints. A la Clinique LES SOURCES, une consultation externe spécialisée Une démarche d évaluation des pratiques professionnelles (EPP) a été mise en place depuis 2008 pour améliorer la prise en charge des AVC des patients hospitalisés à la phase aiguë dans notre établissement et pour tenter d homogénéiser les pratiques de façon à être en adéquation avec les recommandations des sociétés savantes. Plusieurs réunions pluri-disciplinaires ont permis d élaborer des protocoles de prise en charge en prenant en compte toutes les situations et tous les facteurs de risque des patients. Actuellement, la majorité des patients admis à la Clinique LES SOURCES pour prise en charge d un AVC ischémique peut bénéficier d un bilan étiologique complet (Echocardiographie trans-thoracique et trans-oesophagienne, Echo-doppler des vaisseaux du cou, Holter FC et holter tensionnel, polygraphie L AVC est une urgence diagnostique et thérapeutique. Une prise en charge diagnostique et thérapeutique précoce et coordonnée dans une structure adaptée permet de diminuer la mortalité, d améliorer le pronostic et de réduire la dépendance des patients au long terme. Dr Anne-Marie BARISIC du sommeil, avis neurologique, avis orthophonique, bilan kinésithérapeutique). Une consultation externe spécialisée de suivi à 1 mois, 6 mois et 1 an a été mise en place pour tous les patients atteints d AVC pris en charge à la Clinique. Elle est assurée par le Dr BARISIC une fois par semaine depuis le mois d août dernier, au niveau du Plateau Technique Clinique. Les 3 consultations de suivi ont pour objectif l élaboration d un registre afin d optimiser la prise en charge diagnostique et thérapeutique des patients atteints d AVC ischémique. Contact Docteur Anne-Marie BARISIC Consultation sur rendez-vous lundi après-midi au

9 L évaluation de la dénutrition et la prise en charge nutritionnelle, un investissement quotidien au bénéfice du patient par le Dr Anne-Marie BARISIC, Président du CLAN et Alexandra DETTORI, Diététicienne La dénutrition est une pathologie fréquente chez la personne âgée qui affecte le patient dans sa qualité de vie et allonge sa durée d hospitalisation. Son dépistage est donc primordial et une prise en charge spécifique est indispensable. C est un véritable travail d équipe qui mobilise le médecin, les équipes soignantes, les diététiciennes et le pharmacien ainsi que les accompagnants ou prestataires à domicile. C est un travail de longue haleine mais essentiel à la guérison du patient. La pratique au quotidien en unités de Soins de Suite à la Clinique LES SOURCES Dans les services de Soins de Suite et de Réadaptation, un questionnaire de dépistage de la dénutrition (MNA) est systématiquement réalisé par la diététicienne pour chaque patient, à son entrée. Les mesures du poids et de la taille permettent de calculer l Indice de Masse Corporelle (IMC). Ces deux paramètres contribuent à l évaluation de la dénutrition. Sur 3 mois, 113 patients ont été évalués en SSR. Résultats de l évaluation de la dénutrition sur 3 mois au SSR Critère Risque de dénutrition Dénutrition MNA 50 % 14 % Critère Dénutrition modérée Dénutrition sévère IMC 19,5 % 6 % Selon les critères définis par la Haute Autorité de Santé, 25 % ont un IMC en dessous de 21 et sont donc atteints de dénutrition. Pour ces patients, un régime hyperprotidique et hypercalorique est mis en place avec des compléments alimentaires mais aussi des desserts enrichis fabriqués sur place, dans notre cuisine diététique. La texture des aliments est aussi adaptée en fonction des capacités de chaque patient, avec la collaboration de l orthophoniste : mixé ou en purée pour ceux ayant des difficultés de déglutition, haché pour ceux ayant des problèmes de dentition. Enfin, l inventaire des goûts est important afin d optimiser les apports alimentaires. Une aide hôtelière voit chaque patient tous les jours pour faire choisir le repas du lendemain en fonction du menu. C est une alimentation à la carte, adaptée à chacun, avec des collations variées définies avec le patient. Une surveillance et un calcul des ingestas* sont réalisés afin d adapter le régime quotidiennement. Outre la dénutrition, la diététicienne suit chaque jour des patients diabétiques, restreints en sel, en protéines ou atteints d obésité. L alimentation est aussi à adapter et une éducation diététique est primordiale pendant l hospitalisation mais aussi pour le retour à domicile. Un suivi diététique après la sortie s avère bénéfique aussi bien pour les patients en surpoids que diabétiques et ceux atteints de dénutrition et s inscrit dans la démarche du CLAN (Comité de Liaison d Alimentation et de Nutrition). Menu type journalier hyperprotidique et hypercalorique en purée Blédine Déjeuner Betterave mixée Poisson mixé Purée de légumes Fromage fondu + beurre Fromage blanc enrichi Compote de pomme Pain de mie Goûter Madeleine Complément nutritionnel oral hypercalorique Dîner Potage enrichi Terrine de viande Purée de pommes de terre Fromage fondu + beurre Yaourt aromatisé Crème enrichie Pain de mie * ingestas : (mot latin) ensemble des substances alimentaires introduites dans l organisme santé et hygiene de vie 9

10 PORTRAIT Le service social, un rôle spécifique au service des hospitalisés Questions à Colette POZZO, Responsable du Service Social Vous exercez à la Clinique LES SOURCES depuis Quelle est aujourd hui la place du service social au sein de l établissement? La place du Service Social au sein de la Clinique se situe à plusieurs niveaux : Une place stratégique qui intègre la dimension propre à l information, la coordination, la maîtrise de la législation sociale et juridique. Une place opérationnelle dans la continuité de ses missions préalablement définies par la Direction Générale. L Assistante de Service Social s inscrit dans une dimension communicante, relationnelle en sa qualité d acteur professionnel œuvrant en interface avec les autres acteurs du secteur d activité de la Clinique. de ses partenaires (les instances officielles, les acteurs institutionnels du monde gériatrique, les établissements sanitaires et médicaux sociaux, les institutions administratives partenaires et les instances associatives ou privées du domaine de l action sociale). La Responsable du Service Social participe aux rencontres extra-institutionnelles, organisées par la Direction Générale, qui sont indispensables à la qualité de la transmission des informations diffusées aux usagers s agissant des établissements partenaires ; ces échanges permettent également de renforcer les liens existants tout en priorisant la présence de la Clinique dans sa représentation au sein du monde hospitalier. L interface entre ces deux pôles d activité contribue à renforcer la dynamique du Service Social.» 10 C est donc un rôle essentiel de coordination et de relais. Plus précisément, quelles missions assurez-vous? Agissant en catalyseur du ressenti et de l évolution des besoins et des aspirations des usagers ainsi que des partenaires professionnels, le Service Social est un «pulseur» des actions à envisager pour le développement du secteur gérontologique.» Tout d abord, il s inscrit dans une mission qui consiste à mettre en œuvre la politique sociale de la Clinique au profit des patients. Compte tenu de sa représentation unique, il bénéficie d une vue d ensemble cohérente et organisationnelle du circuit des patients et des spécificités de chaque service. Il participe à la mise en œuvre concrète d actions : les informations, les liens et les maillages impulsés et drainés par ce service apportent un soutien à la dynamique des services. Le Service Social s inscrit également dans une mission externe qui consiste à intervenir auprès des correspondants pour faciliter la mise en œuvre de la politique sociale interne de la Clinique. La responsable du Service Social contribue à créer et à consolider des liens, des maillages avec l ensemble Quels sont vos objectifs pour 2010? Pour l année 2010, le programme d actions du Service Social, outre les missions habituelles, a pour objectif de permettre aux partenaires de disposer de données et de supports facilitant et renforçant la prise en charge médico-sociale des usagers et d inscrire le Service Social dans une dynamique de communication interne. Il en est ainsi du projet de création d une banque de données et d outils de partage renforcés avec les services (ex : supports de guides ou de sites à thèmes ciblés - orientation SSI soins de suite indifférenciés, SSR soins de suite et réadaptation, soutien au maintien au domicile, télé assistance, HAD hospitalisation à domicile, SIAD soins infirmiers au domicile, disponibilités de places en EHPAD établissement d hébergement personnes âgées dépendantes ).» Par sa dimension humaine, sociale, logistique, interactive, relationnelle, juridique et législative, le Service Social de la CLINIQUE LES SOURCES s inscrit de plein droit dans la continuité de la qualité des prestations de l établissement. Garant d un climat social propice au respect de l éthique, de la déontologie professionnelle et du principe d équité, il demeure un maillon confirmé et essentiel de la prise en charge globale des seniors.

11 Profession, Assistante de Service Social Actions et tâches spécifiques du Service Social «Le Service Social a pour mission de conseiller, d orienter et de soutenir les personnes hospitalisées et leurs familles, de les aider dans leurs démarches et d informer les services dont ils relèvent pour l instruction d une mesure d action sociale.» (Décret n du 26 mars 1993). Actions et tâches spécifiques du Service Social L Assistante de Service Social intervient dans chaque unité de soins et contribue, en concertation avec les équipes médicales et soignantes, à une prise en charge adaptée de la personne accueillie. Elle est à l écoute des patients et de leurs familles et leur apporte l aide souhaitée et nécessaire à la préparation de la sortie. L Assistante de service Social intervient dans le domaine de la mise en place, du suivi et de l accompagnement des prestations sociales, à tout moment du parcours du patient, en collaboration avec les équipes de soins et dans le champ de ses compétences et des règles institutionnelles : Dossiers Aide Sociale, APA allocation personnalisée autonomie, signalements CLIC CCAS centre local d information et centre communal d action sociale et autres, ARDH-CRAM aide au retour au domicile, Mutuelles contrats assistance, L Assistante de Service Social peut initier le dispositif propre aux mesures de protections de justice des usagers, conformément au nouveau dispositif judiciaire applicable au 1 er janvier Contact Service Social - Colette POZZO c.pozzo@clinique-les-sources.org PORTRAIT Les données 2009 Interventions Environ 600 suivis de situations nécessitant en moyenne 2 à 3 interventions par situation Rendez-vous avec les patients Entre 15 à 20 rencontres par semaine Rencontres avec les familles De 10 à 15 rendez-vous par semaine avec les familles outre les rendez-vous téléphoniques avec l entourage hors département/pays Age des patients pris en charge par le Service Social Entre 80 et 90 ans 11

12 DOSSIER Les troubles respiratoires du sommeil par le Docteur Gérard LAPORTE, gériatre, responsable de l unité de Médecine A2 Le sommeil, qui constitue un tiers de notre existence, est reconnu comme un élément vital pour le fonctionnement de notre organisme. En gériatrie, les deux pathologies du sommeil les plus fréquentes du sujet âgé sont l insomnie avec mésusage d hypnotiques et le Syndrome d apnées du sommeil (SAS) avec son cortège de complications cardiovasculaires, neuro-vasculaires et cognitives. La prévalence du syndrome d apnées du sommeil serait de 2 % chez les femmes et de 4 % chez les hommes d une population générale entre 18 et 65 ans (des études récentes annonce un chiffre supérieur à 10 %). En France, 230.OOO sujets sont dépistés et traités par pression positive continue (PPC) pour au minimum 2 millions de sujets atteints. Ce syndrome augmente avec l âge pour atteindre 32 à 47 % aux âges supérieurs à 70 ans. Il s agit d une affection majeure, source de multiples complications cardio-vasculaires (HTA, insuffisance coronarienne, troubles du rythme cardiaque), cérébro-vasculaires (AVC, décès), cognitives. Les autres conséquences plus spécifiques chez la personne âgée sont les chutes (diminuant avec le traitement des apnées), la nycturie, le glaucome et la diminution de la qualité de vie. Et pourtant, chez la personne âgée, le syndrome d apnées du sommeil est rarement diagnostiqué et exceptionnellement traité. Et enfin, il y a les manifestations découlant des conséquences pathologiques du SAS (HTA, AVC, démence ). Quels sont les traitements? Le traitement le plus efficace actuellement reconnu est la ventilation nocturne par pression positive continue (PPC). Elle permet, en gardant les voies aériennes supérieures ouvertes, de lutter contre les apnées. Il existe d autres alternatives à la PPC mais non adaptées à la population âgée : c est, d une part, la prothèse d avancée mandibulaire et, d autre part, la chirurgie maxillo-faciale. 12 Mais quel est donc ce syndrome d apnées du sommeil? On définit le syndrome d apnées du sommeil par un nombre d apnées et d hypopnées (index d apnéehypopnée) supérieur à 15/heure selon les dernières normes. Le syndrome est dit sévère et pris en charge par la CPAM si l index est supérieur à 30. Il semble qu il existe une continuité entre les ronflements, les hypopnées et les apnées. Comment penser au syndrome d apnées du sommeil? Le syndrome d apnées du sommeil est une maladie avec des retentissements qui permettent d en définir des symptômes. Il y a les manifestations nocturnes telles que ronflements, arrêts respiratoires (rapportés par les conjoints), sensations d étouffements nocturnes, sueurs nocturnes, nycturies, insomnie... Il y a les manifestations diurnes telles que somnolence (évaluée par l échelle de somnolence d EPWORTH), troubles de l attention, dysthymie Quelques définitions L hypopnée est une diminution d au moins 50 % du débit respiratoire avec une désaturation* > 4 % et/ou un micro-éveil** L apnée est un arrêt anormal de la respiration pendant une durée d au moins 10 secondes mais pouvant être beaucoup plus longue, jusqu à 3 minutes par exemple, entraînant des désaturations* et des micro-éveils**. Il existe des apnées dites obstructives et d autres dites centrales. *La Désaturation correspond à une baisse de la saturation en oxygène du sang. **Le micro-éveil correspond à un éveil de moins de 15 secondes au cours du sommeil mais non perçu par le dormeur.

13 Pourquoi un dépistage des syndromes d apnées du sommeil à la Clinique LES SOURCES? Le dépistage de ce syndrome apparaît actuellement nécessaire en raison de l intérêt qu il apporte pour le patient, mais également parce qu il représente un véritable enjeu de santé publique. Le Ministre de la Santé et des Solidarités en exercice en 2007, Monsieur Xavier BERTRAND, avait souhaité faire des pathologies du sommeil une «véritable priorité de santé publique» (discours du 29/01/2007). Il est d autant plus intéressant de réaliser le dépistage du SAS dans notre établissement sur notre population âgée que la pathologie cardio-vasculaire y est prédominante. Ainsi, à la recherche et à la prise en charge des facteurs de risques cardio-vasculaires habituels pourra venir s ajouter la recherche du syndrome d apnées du sommeil qui deviendra, dans peu de temps, incontournable. DOSSIER Enfin, cette prise en charge permettra une amélioration de la qualité de vie des malades à domicile et ce, malgré la contrainte de l appareillage nocturne souvent mieux tolérée avec l âge. Perspectives La démarche de dépistage du syndrome d apnées du sommeil à la Clinique LES SOURCES est, au-delà de la participation au service rendu à la personne, la possibilité de faire évoluer cette discipline dans le cadre de la recherche sur cette population âgée que nous prenons en charge (comme dans le bilan des AVC ). Un patient appareillé Echelle de somnolence d EPWORTH Pour répondre, utilisez l échelle suivante en entourant le chiffre le plus approprié pour chaque situation : 0 = ne somnolerait jamais 2 = chance moyenne de s endormir 1 = faible chance de s endormir 3 = forte chance de s endormir Situation Chance de s assoupir Assis en train de lire En train de regarder la télévision Assis inactif dans un lieu public (Cinéma, théâtre, réunion ) Comme passager dans une voiture (ou transport en commun) roulant depuis plus de 1 h Allongé l après-midi lorsque les circonstances le permettent Etant assis en parlant avec quelqu un Assis au calme après un repas sans alcool Dans une voiture immobilisée depuis quelques minutes à un feu rouge ou dans un embouteillage John MW (1991) A new method for measuring daytime sleepiness: The Epworth sleepiness scale. Sleep,14 : Score final : Le score est considéré comme significatif au-dessus de

14 équipement La modernisation de la numérisation des images radiologiques et son développement : point et perspectives par Annie de WEWEIRE, Responsable des Services Economiques Dès 1997, la Clinique LES SOURCES a inscrit dans sa politique d investissements le projet de numérisation des images radiologiques en se dotant d une salle télécommandée numérique, d une console de visualisation et de traitement et d un système de plaques au phosphore, tremplin pour l acquisition, l identification, la gestion, le transfert et le stockage de ces images. Depuis 2007, compte tenu de l obsolescence d une partie de ces équipements d imagerie, la Clinique s est engagée à poursuivre son programme de modernisation - numérisation globale des images, visualisation et gravage, balayant l ensemble des domaines suivants : radiologie conventionnelle, mammographie et dépistage du cancer du sein. Les achats de dispositifs médicaux doivent être réalisés en adéquation avec le niveau de performance médicale des équipements, les budgets et l activité générée par la Clinique. La Clinique LES SOURCES, en inscrivant l acquisition de ces nouveaux équipements de radiologie dans le cadre d un projet de numérisation globale, a généré : une diminution du nombre de tirage de films une diminution du nombre de perte de films une diminution du temps de recherche de films une augmentation de l efficacité et de la précision diagnostiques une amélioration du traitement des images (sur le même écran, agrandissement, images focalisées, etc...) une rapidité de production des comptes-rendus médicaux une diminution de la duplication d examens. le procédé de numérisation indirecte a donc été retenu. Le but n est pas de remplacer pour remplacer un matériel mais d envisager l achat dans son contexte technologique présent et futur. La technologie offre des possibilités de solution qui changent certains aspects de la pratique de la radiologie : il s agit de la numérisation de la radiologie, du système PACS (*) et de la télétransmission. Le respect de l environnement réglementaire décrivant les conditions de réalisation des examens radiologiques est obligatoire. Il peut être une variable qui peut conditionner certains choix d investissement concernant notamment l environnement de la mammographie. La numérisation totale et l acquisition d un robot graveur ont permis de supprimer l utilisation des produits chimiques nécessaires au développement des films de radiologie et à la production de ces films. Ce point est en cohérence avec les exigences de la prochaine démarche de certification V10, dans le cadre du développement durable. Dans le cas du renouvellement des équipements du plateau de radiologie de la Clinique, il a fallu choisir un procédé de numérisation en cohérence avec des équipements de générations différentes et permettant une homogénéisation du traitement des images numériques : Les investissements Système de numérisation Application : radiologie conventionnelle et mammographie Consoles diagnostiques informatiques Application : radiologie conventionnelle et mammographie, robot graveur Panoramique dentaire Technologie : numérisation indirecte Salle os poumon Technologie : numérisation indirecte Mammographe Technologie : numérisation indirecte Reprographe laser Application : dépistage du cancer du sein 14

15 Paroles d experts par le Dr Gilda PERINETTI, Radiologue Le professionnel que je suis bénéficie d une plus-value : en effet, ces nouveaux investissements ont permis d améliorer l efficacité du plateau d imagerie de la Clinique concernant notamment le diagnostic sur station de traitement de l image des examens de radiologie, conventionnelle et mammographie. La qualité diagnostique est au moins égale à la lecture des films sur négatoscope et permet de réaliser des traitements d image : zoom, contraste, mesures, ajout de commentaires médicaux Pour l ensemble de mes confrères, le fait de pouvoir consulter sur leur écran la totalité des images radiologiques en temps réel constitue un avantage non négligeable. Ils peuvent, de plus, suivre toute l évolution d une pathologie pour un patient donné en comparant les images. Quant au patient, l un des principaux intérêts étant pour le radiologue de pouvoir comparer facilement plusieurs examens d antériorité différente sur un même écran, il bénéficie d un diagnostic affiné. A sa sortie, le patient reçoit un CD sur lequel est gravée la totalité de ses examens radiologiques. équipement par Cyril de BALANDRAS, Responsable du Système d Information Hospitalier Aujourd hui, le nouvel objectif de la Clinique est de rendre plus efficient le système d archivage des images de radiologie numérisées, le PACS*. Le PACS est un élément indissociable du système de numérisation pour permettre la consultation et l archivage des images numérisées. Le but est de rendre l image radiologique facilement transmissible sur des réseaux et rapidement disponible au système PACS des centres d imagerie hospitaliers ou de cabinets libéraux. Ce nouveau projet de PACS est un projet structurel. Il faut envisager une solution pérenne afin de stocker, sauvegarder, archiver et échanger les images de radiologie numérisées. Notre projet est axé autour de : la centralisation et la visualisation des images l anticipation des besoins de la partie stockage de radiologie dont le procédé de numérisation est très consommateur l ouverture du système d information vers un échange des données numérisées dans le cadre d une convergence hospitalière, notamment la télétransmission l environnement réglementaire lié à l archivage des données médicales. Ainsi, l image numérique permet la substitution quasi-complète du film radiologique par des réseaux associant l acquisition, l affichage et l archivage des images mais aussi, dans de nouvelles perspectives, l accessibilité simultanée immédiate des images et des données-patients, sans intervention humaine : accessibilité des radiographies des patients aux médecins référents hospitaliers et libéraux. *PACS : Picture Archiving and Communication System 15

16 informatique SIH : état d avancement du système d information par Cyril de BALANDRAS, Responsable du Système d Information Hospitalier Notre historique La mise en œuvre de la migration de SANTE.COM a été retardée en raison de l abandon en 2007 des modules de gestion de SANTE.COM. En juin 2008, la Clinique LES SOURCES a signé un avenant de migration vers le progiciel CLINICOM. La conduite de ce changement se décline en deux étapes progressives : la migration du module de gestion administrative du dossier patient appelé GAM et l implémentation du module de soins appelé DOPA- COM. Cette évolution nécessite également la mise en œuvre de pré-requis de structures indispensables pour le socle technique notamment sur les systèmes de stockage, de sauvegarde et sur les réseaux. En 2010, nous allons capitaliser l expérience accumulée tout au long de la réalisation de la partie GAM pour relever le nouveau défi de l implémentation de la partie soin DOPACOM. La situation actuelle La migration de la première partie de CLINICOM a été réalisée le 22 septembre Le module administratif GAM du progiciel CLINICOM est opérationnel dans l ensemble de l Établissement et l intégralité des fonctionnalités essentielles de la Gestion administrative du Patient ont été stabilisées et sont opérationnelles. Cette migration couvre également les fonctionnalités bureautiques de CLINICOM ainsi que les retours des résultats de laboratoires et les saisies PMSI. Les dysfonctionnements résiduels font l objet d un suivi rigoureux afin d en dégager rapidement les actions correctives. «L ensemble des intervenants et plus particulièrement, dans cette phase, les personnels du bureau des entrées, ont montré leur motivation et leur contribution à la réussite tant attendue de cette première partie de la migration CLINICOM. Notre prochain challenge sera encore plus difficile et nécessitera l implication de tous.» tient à préciser René GHIBAUDO, Directeur Adjoint. 16 Cependant, cette première migration qui a été effectuée sur l environnement GAM, rend à l évolution du projet toute sa logique : informatiser le dossier médical du patient ainsi que les prescriptions de médicaments dont la gestion pharmaceutique sera également informatisée jusqu à la gestion du stock des médicaments.

17 Le recrutement des para-médicaux Une activité essentielle pour la continuité des soins par Annie CARON, Responsable de la Coordination des Soins SOINS La qualité et la sécurité de la prise en charge des patients requièrent une continuité des soins 24 h sur 24 et donc une présence constante de personnels soignants, en particulier d infirmiers et d aides soignants, auprès des patients. Pénurie infirmière, postes rares (ergothérapeute, kinésithérapeute), mise en place des 35 h depuis 2001 et, à présent, diminution des aides soignants disponibles sur le marché du travail sont autant de facteurs qui ont amené la Clinique Médicale LES SOURCES à multiplier les actions en vue d optimiser le recrutement et de pérenniser les personnels. Le recrutement des soignants par la Coordination des Soins, c est : un processus de recrutement très structuré basé sur un système d information exhaustif une collaboration étroite avec le service du personnel des mailings réguliers aux Instituts de Formation en Soins Infirmiers des annonces sur les sites officiels et professionnels un temps dédié pour le recrutement direct le recours à plusieurs cabinets de recrutements en soutien l enregistrement, le traitement en temps réel de toute candidature et une réponse garantie au candidat des entretiens téléphoniques préalables un double entretien de recrutement sur site : une partie administrative avec la Coordinatrice des Soins, une partie soins avec le responsable infirmier du service ou le kinésithérapeute référent une visite du ou des service(s) et la rencontre avec les équipes soignantes une procédure d accompagnement et d intégration suivie sur 3 ans avec la désignation d un référent métier pour chaque nouvel embauché. Recrutement et accueil des professionnels, valorisation des compétences et du potentiel humain, évolution Les données 2009 > 147 candidatures IDE et 210 candidatures AS traitées > plus de 70 entretiens de recrutement IDE > plus de 60 entretiens de recrutement AS > 20 IDE recrutés en CDI > 20 AS recrutés en CDI > 1 manipulateur en électro-radiologie recruté > 2 ergothérapeutes recrutés professionnelle, conditions de travail, management et dynamique d établissement, sont autant de facteurs essentiels pour faire valoir l excellence de notre secteur d activités et y attirer et retenir les futurs professionnels de la santé. «Une politique d attractivité et de fidélisation des professionnels de santé qu il nous faut pérenniser», conclut Annie CARON, Responsable de la Coordination des Soins. La Clinique Les Sources recrute infirmiers aides soignants Acte de candidature par courrier, mail, téléphone ou en vous présentant à l Accueil de la Clinique (bâtiment A) Contact Coordination des Soins - Annie CARON drh@clinique-les-sources.org 17

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