Evaluation ex-ante du service offert par le RFId à la bibliothèque

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1 La revue de l nnovaton : La Revue de l nnovaton dans le secteur publc, Vol. 14(2), 2009, artcle 10. Evaluaton ex-ante du servce offert par le RFId à la bblothèque Dr. Alex Durand alex.durand@tudor.lu Centre de Recherche Publc Henr Tudor, 29 av. JFK, L-1855 Luxembourg Grand-duché de Luxembourg Tel :

2 La revue de l nnovaton : La Revue de l nnovaton dans le secteur publc, Vol. 14(2), 2009, artcle 10. Evaluaton ex-ante du servce offert par le RFId à la bblothèque Alex Durand Résumé Le présent artcle expérmente la méthode de l évaluaton contngente (Mtchell et al., 1989) dans le domane partculer de l nnovaton par les Technologes de l Informaton et de la Communcaton. Il porte sur la valorsaton économque du servce que pourrat rendre deman l ensemble des possbltés d applcaton de la technologe RFId (Rado Frequency Identfcaton) en bblothèque. L enquête menée auprès de 347 usagers de bblothèques, résdents à Luxembourg, a perms d estmer le consentement à payer de l usager pour bénéfcer de ce servce. Il est de l ordre de 29 euros par an. Abstract Ths artcle llustrates the applcaton of the Contngent Valuaton Method (Mtchell et al., 1989) n the partcular feld of nnovaton by ICT. It relates to the economc valuaton of the servce that could be provded by RFId (Rado Frequency Identfcaton) solutons n lbrares. The survey, carred out amongst 347 lbrary users resdng n Luxembourg, demonstrates user s wllngness to pay n order to beneft of ths servce. It can be estmated at next 29EUR per year. Remercements : mes remercements s adressent à Laurence Eydoux et Jalal Adssa pour leur contrbuton technque à la réalsaton de cette étude Les opnons et sentments exprmés dans cet artcle sont ceux des auteurs et n'engagent nullement le CRP Henr Tudor Introducton Cette étude fat référence à la noton de Consentement A Payer (CAP) défne comme le prx qu un ndvdu accepte de payer pour bénéfcer d une acton (servce, équpement, programme préventf) fnancée en tout ou en parte par la collectvté (Godfrod, 1996). Cette noton peut être approchée à l ade d une méthode, la CVM - Contngent Valuaton Method (Mtchell and Carson, 1989). Cette méthode s appue sur un cadre conceptuel qu relève du RUM (Random Utlty Model Haneman, 1984). Son champ d applcaton se lmte généralement aux domanes de l envronnement (Looms et al., 2000) et de la santé. Ce champ ne s étend par contre que très peu au domane de l nnovaton (Le Gal-Ely, 2003). Auss, l objectf de cet artcle est de montrer qu l est possble d applquer la CVM dans le domane spécfque de l nnovaton de produts technologques, le terme nnovaton de produt étant entendu comme le lancement d un produt exstant ou émergent sur un marché nouveau. Cet objectf s nscrt dans le cadre de l acton DOTIC qu consstat à concevor, développer et expérmenter une méthodologe opératonnelle de Détecton précoce d Opportuntés d nnovaton dans le domane des Technologes de l Informaton et de la Communcaton (TIC). Une telle acton a été fnancée par le Fonds Socal Européen. Elle a été réalsée par le Centre Henr Tudor 1 ( 1 Le Centre de Recherche Publc Henr Tudor a été crée en La msson prncpale du Centre est de renforcer le tssu économque et socal du Grand-Duché du Luxembourg par un esprt d ouverture européen, en 2

3 La revue de l nnovaton : La Revue de l nnovaton dans le secteur publc, Vol. 14(2), 2009, artcle 10. L nnovaton vsée par l artcle concerne l ensemble des applcatons possbles de la technologe RFId (Rado Frequency Identfcaton) en bblothèque, en partculer l automate RFId de prêt et de retour nterne. Ce chox est motvé par le constat qu au nveau nternatonnal, de nombreuses bblothèques se sont déjà équpées, par exemple à Sngapour, aux Etats-Uns à la Farmngton Communty Lbrary dans le Mchgan dès 1999 et dans de nombreuses autres bblothèques, ou en France, par exemple à Marselle (Ger, 2004, 2005), alors qu au Grand Duché, dans le contexte actuel qu prvlége la numérsaton à tout autre msson, une telle opportunté n a pas encore été envsagée. Afn de l antcper, l opton tradtonnelle qu consste pour une bblothèque, à prendre la décson de s équper en comparant le coût de mse en œuvre de la technologe RFId avec les avantages fonctonnels et les économes de geston qu elle permet (J-P Roux-Foullet, 2000) n a pas été retenue. Dans le cadre de l acton DOTIC, c est l opton d une comparason avec la valeur d usage qu a été chose, cette dernère pouvant être estmée à l ade de la CVM. L dée de base est que pour chaque usager, cette valeur est dfférente. Elle dépend de la représentaton qu l se fat du servce que peut lu rendre l nnovaton. Auss, la CVM permet de réalser une estmaton monétare de la valeur de cette représentaton appelée consentement à payer moyen. La somme de ces valeurs pour l ensemble des usagers tradut en terme économque l améloraton de ben-être collectve. S cette somme est supéreure au coût d adopton du RFId, la bblothèque peut entreprendre l adopton. De manère plus modérée, le concept de ratonalté mpose qu elle chossse un seul d nvestssement dans le RFId nféreur ou égal à cette somme. L artcle comporte quatre partes. Dans une premère parte, une descrpton des arguments qu justfent le recours à la CVM sont brèvement exposés. Dans une deuxème parte, l nnovaton de produt servant de test au déploement de la méthode est défne. Dans une trosème parte, le modèle servant à l évaluaton est exposé. Enfn, au cours d une quatrème et dernère parte, consacrée à la présentaton des résultats statstques en termes de descrpton pus d estmaton, une mesure du consentement à payer est dédute et dsuctée. Consentement à payer et nnovaton La CVM qu repose sur le questonnement drect du consentement à payer contngent à la présentaton d un scénaro fctf de fournture d un ben ou d un servce (Mtchell et al., 1989), est partculèrement ben adaptée pour l évaluaton ex-ante de la valeur économque des bens et servces nouveaux qu n ont pas encore trouvés de débouchés commercaux (Bradford et al., 2004). Deux arguments le justfent. D abord, parce que, par défaut, elle permet d évaluer côté demande, la valeur d un projet avant sa mse en œuvre (Terra, 2005). Ensute, et cec contrarement à d autres méthodes, par exemple l analyse conjonte 2, parce qu elle lmte les dffcultés d évaluaton lées aux nnovatons en partculer technologques, qu présentent des attrbuts ntangbles et réellement nouveaux, et cec en prvlégant pour l évaluaton, une approche globale de l offre et de ses bénéfces potentels (Le Gal-Ely, 2003). contrbuant à l améloraton et au renforcement de la capacté d nnovaton des entreprses et des organsatons publques. Près de 300 ngéneurs R&D sont moblsés afn d offrr une large palette de servces et d actvtés, dans les domanes qu sont ceux de l nformaton et de la communcaton, de la santé, de l envronnement et des matéraux. 2 L analyse conjonte est une méthode d enquête reposant sur l expresson d une ntenton d achat vs-à-vs d une sére de profls de bens ou de servces à prx donné (Louvere, 1988). 3

4 La revue de l nnovaton : La Revue de l nnovaton dans le secteur publc, Vol. 14(2), 2009, artcle 10. Innovaton : Dans une bblothèque, la technologe RFId se présente sous forme d étquettes autocollantes et d automates RFId. Les étquettes autocollantes remplacent les tradtonnels codes à barres et éventuellement, les antvols dotant les documents nscrts au catalogue de la bblothèque, ce qu permet dans ce derner cas d évter le double marquage des documents. Elles peuvent également stocker des nformatons, qu l est possble d actualser sans changement d étquettes, sur les caractérstques du document, notamment quand l est composé de pluseurs pèces (type du document, nombre de pèces assocées, références à d autres documents, ), sa localsaton précse quant l se stue dans la bblothèque, sa stuaton actuelle vs-à-vs des opératons de prêt (date d emprunt, dentfant de l emprunteur, date prévue de retour) et sa stuaton passée (s retourné date effectve du derner retour et hstorque des emprunts/retours avec lste des dentfants assocés aux emprunteurs). Quant aux automates RFId, ls peuvent lre à dstance (mons d un mètre) et à l aveugle, ans que trater les nformatons codées dans les étquettes. Ces automates permettent d nteragr avec les documents étquetés, afn d automatser en parte les actvtés répéttves qu sont celles de l agent de la bblothèque (prêt, retour, tr, rangement en rayons et nventare, suv et recherche documentare) pour qu l pusse consacrer plus de temps pour exercer sa msson premère, celle de médaton (Proposton pour l évoluton du SI des Bblothèques muncpales de la vlle de Genève, 2005), c est-à-dre accuellr, nformer, conseller et orenter les usagers de la bblothèque sur les ressources documentares en foncton des questons et des ntérêts de l usager. Ensute, ces automates offrent la possblté aux usagers de réalser eux même certanes des actvtés de l agent, en partculer les opératons de prêt et de retour : le gan de temps au prêt et au retour est estmé à 40% pour un emprunteur. Enfn, la mse à jour du compte de l usager de la bblothèque auss ben que celle des données décrvant l dentté, la stuaton et la localsaton de chaque document nscrt au catalogue de la bblothèque se font en temps réel. Modèle : L évaluaton contngente a été réalsée conformément aux exgences qu l ncombe de respecter pour son déploement (Arrow et al. (1993), Bateman et al. (1994), Terra (2005)). Les équpements RFId (étquettes et automates) pour bblothèque ont été décrts à l ade d une présentaton comportant tros partes. Une premère parte décrt la stuaton d une bblothèque avant adopton de la technologe RFId, l organsaton des actvtés et ses répercussons pour l usager. Une deuxème parte envsage une présentaton des équpements RFId (étquettes et automates) qu peuvent doter une bblothèque, leur foncton, leur utlsaton (en photos) et leurs avantages pour l usager. Enfn, une trosème parte est consacrée à la descrpton d une bblothèque qu a nvest dans la technologe RFId, la réorgansaton des actvtés et ses répercussons pour l usager. A la sute de cette présentaton, chacun des 347 usagers ntervewés en lgne par l nsttut de sondage TNS-ILRES courant jun 2007, s est vu adresser une queston de consentement à payer contngente à un scénaro fctf envsageant l adopton de la technologe RFId par la bblothèque qu l fréquente le plus, et cec en complément à des questons relatves à ses caractérstques soco-économques, à ses habtudes à la bblothèque en général ans qu à son ntérêt vs-à-vs des solutons RFÌd. Au total, 62 questons ont été posées. Sans RFId - La Bblothèque tradtonnelle aux fonctons centralsées : Dans le contexte d une bblothèque non dotée de RFId, les actvtés sont centralsées autour de la banque de prêt/retour des documents, où les agents de la bblothèque assurent en plus des actvtés d enregstrement des prêts/retours, les actvtés d nscrpton des nouveaux abonnés à la bblothèque, la vente de dvers forfats pour l accès aux servces (mprmantes, photocopes,..), le pré-trage des documents et les consels et nformatons aux usagers. S ce n est ceux qu travallent dans les salles de tr pour classer et assurer le retour des ouvrages en rayon, les agents de la bblothèque sont quasment tous moblsés à la banque de prêt. Les actvtés 4

5 La revue de l nnovaton : La Revue de l nnovaton dans le secteur publc, Vol. 14(2), 2009, artcle 10. d enregstrement de prêts et retours des lvres ou d autres documents (magaznes, CD, DVD ) les accaparent, et ls dsposent de peu de temps à consacrer aux usagers. Quant à ces derners, leur trajectore est auss centralsée, elle repasse toujours par la banque de prêt, ce qu leur lasse relatvement peu d autonome dans leurs démarches. Ils y enregstrent les documents qu ls souhatent emprunter, y passent pour les rendre, s y nscrvent et y demandent des rensegnements. Ils recherchent eux-mêmes les ouvrages qu ls souhatent consulter ou emprunter sur les catalogues en lgne 3, pus dans les rayonnages. Seuls 20 à 40% des documents nscrts au catalogue de la bblothèque sont en accès lbre dans les rayonnages. Les équpements RFId d une bblothèque : Sept types d automates dfférents sont susceptbles d équper une bblothèque en plus des étquettes RFId (cf. schéma 1). Schéma 1 La bblothèque et ses 7 automates RFId (Source : Lbbest) Automates RFId 1. Automate de prêt / retour nterne (cf. schéma 2 pour détal) Foncton L automate de prêt/retour nterne offre à l ntéreur des locaux de la bblothèque la possblté à l usager d emprunter et de retourner lu-même les documents qu l a empruntés sans nterventon des agents de la bblothèque 2. Automate de retour externe L automate de retour externe est placé comme son nom l ndque à l extéreur de la bblothèque. Il offre la possblté à l usager de retourner lu-même les documents qu l a empruntés sans avor à rentrer dans la bblothèque et cec en dehors des heures d ouverture de la bblothèque, 24h/24 et 7j/7. 3. Banque de prêt / servce d accuel et d nformaton : le poste de traval des agents 4. Lecteur portable RFID La Banque de prêt est désormas désgnée «Servce d accuel et d nformaton». Avec RFID, les actvtés des agents de la bblothèque se recentrent sur le consel, l nformaton et l orentaton des usagers : nformatons sur les servces et salles de la bblothèque, consels bblographques, appu à l utlsaton des automates de prêt/retour, appu à la recherche documentare (catalogue en lgne, Internet, CD-ROM), nscrptons et modfcatons des nformatons sur les comptes des abonnés,. Le lecteur portable RFID permet à l agent de la bblothèque par balayage, d dentfer et de localser rapdement les documents stués dans les étagères de la bblothèque. Sur smple demande, l agent de la bblothèque trouvera en un nstant les documents en rayons recherchés par l usager. 3 Il s agt de postes nformatsés permettant de lancer des requêtes sur les ouvrages dsponbles dans la bblothèque va le serveur central de la bblothèque. 5

6 La revue de l nnovaton : La Revue de l nnovaton dans le secteur publc, Vol. 14(2), 2009, artcle Machne de trage automatque Un dspostf de trage automatque nstallé à la sorte de l automate de retour externe (et éventuellement à la sorte du bac de retour des lvres pour les automates de prêt/retour nternes) permet de trer les documents rendus de façon sem-automatque dès leur retour et ans de rédure consdérablement le déla entre le moment où le document est rendu et le moment où l retrouve sa place dans la bblothèque. Un tel dspostf garantt à l usager une plus grande dsponblté des documents en rayons et un tratement de ses demandes de recherche documentare plus rapde. 6. Portques de sécurté Le portque de sécurté RFID est capable sans contact et à dstance (un mètre ou plus) de suvre, d dentfer et de comptablser précsément les documents qu entrent et sortent de la bblothèque. Lorsqu un usager sort avec des documents dont l antvol n a pas été désactvé, l alarme sonne, de plus une opton permet de déclencher une caméra Pour l usager, c est l assurance qu l ne sera pas ms en cause dans la perte ou le vol de documents. 7. Carte d abonné La carte d abonné RFID permet une augmentaton supplémentare de la vtesse de tratement des opératons de prêt/retour à la banque de prêt par l agent de la bblothèque comme aux automates de prêt et de retour nternes et externes par l usager, et offre en plus la possblté pour l usager de réalser lu-même toute modfcaton d nformaton sur son compte et en opton, d accéder en self servce à d autres servces (salles réservées, mprmantes et photocopeuses avec achat de forfats sur des automates nternes ou externes) Pour chacun de ces automates, une fche descrptve (cf. exemple en schéma 2) a été défne sur base d un modèle de présentaton ntégrant des photos de l équpement, décrvant en mode textuel sa foncton, son utlsaton, quelques chffres clés le concernant et les dfférents avantages apportés côté opératonnel (usager) et parfos côté fonctonnel (agent de la bblothèque). Schéma 2 L automate de prêt / retour nterne Foncton L automate de prêt/retour nterne offre à l ntéreur des locaux de la bblothèque la possblté à l usager d emprunter et de retourner lu-même les documents qu l a empruntés sans nterventon des agents de la bblothèque Utlsaton Par exemple, pour l emprunt d un lvre (cf. schéma 3), l usager dépose sur la platne dotée d un lecteur RFId sa carte d abonné (1), pus le lvre (2), enclenchant l dentfcaton et l ouverture automatque de son compte sur l écran nteractf (3). L acton d emprunt est confrmée en clquant sur l écran d ade tactle, l antvol nséré dans la puce RFId est smultanément désactvé (4), ans l ne se déclenchera pas lors du passage aux portques de sécurté à la sorte de la bblothèque. L usager reçot un tcket de confrmaton à présenter en cas de contrôle (5). S l s agt d un retour de lvre, l automate réactve l antvol à la fn de la transacton. L abonné dépose le lvre dans un bac de retour (6). Chffres Le temps moyen d attente passe d 1/2 heure à la banque de prêt sans RFId, à clés 2 à 3 mnutes à l automate de prêt/retour nterne ; La procédure d emprunt ou de retour d ouvrage se passe en quelques secondes ; 40 à 90% des actvtés d emprunt se réalsent sur les automates de prêt. 6

7 La revue de l nnovaton : La Revue de l nnovaton dans le secteur publc, Vol. 14(2), 2009, artcle 10. Avantages Faclté d utlsaton grâce à l écran tactle d ade qu gude l usager dans l actvté d emprunt ou de retour ; Plus de flexblté : pas de nécessté de postonner l ouvrage dans un sens partculer pour enregstrer ses emprunts et retours ; Plus de flexblté : possblté d enregstrer pluseurs documents smultanément ; Plus de flexblté : l usager n est plus contrant par le passage par la banque de prêt, l peut vaquer à ses occupatons et revenr pluseurs fos vers l automate ; Du temps gagné : l enregstrement de l emprunt ou du retour se réalse très rapdement et ne nécesste plus de fare la queue à la banque de prêt ; Plus d nformaton et de consel : les agents de la bblothèque peuvent accorder plus de temps aux actvtés d nformaton et de consel aux usagers, du fat du temps gagné sur la réducton du nombre d opératons de prêt et de retour qu ls dovent enregstrer ; Sécurté : la désactvaton de l antvol lors de l emprunt et l enregstrement automatsé des actons sur la base de données de la bblothèque contrbuent à sécurser l emprunt et à garantr l usager de ne pas être responsablsé à tort du non-retour d un ouvrage. Schéma 3 - Utlsaton de l automate de prêt / retour nterne 6. Retour 5. Tcket mprmé pour l emprunt Source : Centre Tudor Avec RFID - La nouvelle Bblothèque aux fonctons décentralsées : Dans le contexte d une bblothèque dotée de RFId, les actvtés se décentralsent. La banque de prêt sera plutôt désormas désgnée comme «servce d accuel, d orentaton et d nformaton». Du fat du gan de temps occasonné par l automatsaton des procédures d emprunt/retour, le nombre de postes fxes va de plus dmnuer, rendant le servce de plus pette talle. Certans agents pourront alors être alloués à d autres mssons, par exemple de l assstance à la recherche documentare et du consel dans les rayonnages. Côté usager, une majorté d entre eux va désormas s orenter vers les automates de prêt-retour pour enregstrer les documents à l emprunt ou au retour : 40 à 90% des usagers s y drgent suvant les bblothèques. Les automates sont en effet facles d accès et d utlsaton, et peuvent être réparts dans dvers leux de la bblothèque à proxmté par exemple des salles de lectures. Les usagers sont désormas beaucoup plus lbres de leurs mouvements et peuvent effectuer des allers et venues dans les rayonnages, auprès du catalogue en lgne, des automates vore du servce d accuel en cas de beson d nformatons. Ans, avec l ntroducton des automates de prêts, la trajectore 7

8 La revue de l nnovaton : La Revue de l nnovaton dans le secteur publc, Vol. 14(2), 2009, artcle 10. des usagers se décentralse. Enfn, l devent possble d accéder lbrement à une majorté de documents en rayons : de 60 à 90% des documents nscrts au catalogue de la bblothèque. Scénaro fctf d adopton et consentement à payer Pour l ensemble des 347 ndvdus composant l échantllon de répondants, l a été possble d observer y, leur réponse postve ( y 1) ou négatve ( y 0 ) à la queston fermée smple 4 suvante : "Je vas mantenant vous proposer un scénaro fctf, pour lequel j'ameras connaître votre poston personnelle. L'ntégraton de la technologe RFId dans une bblothèque est un projet coûteux compte tenu de tous les équpements qu'l faut acquérr et mettre en servce. S pour doter de cette technologe la bblothèque que vous avez fréquenté le plus ces 12 derners mos, on décdat de vous demander une contrbuton fnancère et que cela vous coûtat au maxmum m euros 5 par an en supplément du prx de l'abonnement (peutêtre gratut actuellement), serez vous prêt à contrbuer?", sot y y u u 0 tel que u est une varable latente contnue exprmée en dfférence, u désgnant la foncton d utlté qu caractérse les préférences du répondant. Cette foncton composée de deux partes addtves et séparables, dont l une est observable v tands que l autre e est non observable et aléatore (Hanneman, 1984), prend la forme suvante u v e Sous l hypothèse d une dstrbuton logstque du terme d erreur ( e ), le modèle spécfé est un logt, dont l estmaton se fat par le maxmum de vrasemblance prenant en compte les probabltés suvantes : P y 0 1 F m x P y 1 F où F désgne la foncton de répartton logstque ( F. exp. / 1 exp. ), où m et respectvement x représentent le montant proposé au répondant et respectvement le vecteur lgne de caractérstques, comportements à la bblothèque et préférences en matère de RFId du répondant, et où m x résulte de la dfférence ( v ) sous réserve que v sot lnéare et à condton que l utlté margnale du revenu sot constante entre les états. Une fos que les paramètres, du modèle sont estmés, un ndcateur de Consentement à m x 4 En ce qu concerne la queston de consentement à payer, le mode de révélaton de la valeur qu a été chos correspond à la queston fermée smple. Comparatvement aux autres modes de révélaton de la valeur, celu-c présente l nctaton à la révélaton la plus élevée, demande l effort cogntf le plus fable, se caractérse par un rsque d ancrage ndétermné et demande la talle d échantllon la plus élevée (Terra, 2005). 5 m représente le montant proposé au répondant. Un paner composé de 9 montants dfférents, varant de 5 à 45euros par tranche de 5euros, a été envsagé. Chaque répondant s est vu adresser une proposton pour un montant m tré aléatorement de ce paner sous contrante de quas équrépartton du nombre de trage par montant sur l ensemble de l échantllon 8

9 La revue de l nnovaton : La Revue de l nnovaton dans le secteur publc, Vol. 14(2), 2009, artcle 10. payer moyen M* peut être calculé. Il correspond à la melleure estmaton du montant maxmum qu un abonné ssu de l échantllon de répondant est prêt à consentr pour bénéfcer des avantages lés à l adopton de la technologe RFId par la bblothèque qu l a le plus fréquenté ces 12 derners mos, sot ˆ x ˆ M * E CAP ˆ où x est le vecteur des moyennes des caractérstques, comportements et préférences sgnfcatves x et ˆ, ˆ, ˆ sont les paramètres estmés du modèle, étant la constante de ce derner. Résultats Tros types d analyses ont été produtes à partr des données collectées. La premère est descrptve. Elle a conssté en une pésentaton des caractérstques, habtudes à la bblothèque et préférences vs-à-vs des solutons RFId pour bblothèques. La deuxème analyse concerne l estmaton de la relaton entre la probablté d accepter de payer en tout ou en parte un supplément d abonnement à la bblothèque pour qu elle adopte le RFId et ses détermnants, dont le prx de l offre proposée. Enfn, la trosème analyse correspond à l évaluaton effectve du consentement à payer, dédute du modèle estmé. Statstque descrptve L échantllon de répondants est composé d une proporton quas égale d hommes et de femmes % des personnes nterrogées sont de sexe masculn. La plupart des répondants ont un statut d employé ou de cadre (47.26%) même s 26.20% sont des étudants, dsposent d un nveau d éducaton correspondant au secondare-2 ème cycle (53.6%) et ont un âge comprs entre 29 et 43 ans (50%) et en moyenne égal à 35 ans. Le plus souvent, ls habtent la régon sud du pays (38.33%) et ont un revenu brut comprs entre 2501 et 3750euros par mos (21.04%), 50% de l échantllon gagnant pour nformaton mons de 3750 euros brut par mos. L observaton des habtudes à la bblothèque en termes de fréquentaton, montre qu un répondant ssu de l échantllon a fréquenté en moyenne 2.21 bblothèques ces 3 dernères années. Pour 51.29% des répondants, la dernère nscrpton/abonnement remonte à 1 an. La Bblothèque Natonale de Luxembourg (BNL) est celle qu a été la plus fréquentée par les répondants ces 12 derners mos (60.52%). 71% des répondants sont nscrts à la bblothèque qu ls ont le plus fréquenté ces 12 derners mos. Le prx moyen de l abonnement dans cette bblothèque est de 2,07 euros par an. Les répondants s y sont rendus en moyenne 12,10 fos et y ont consulté en moyenne 21,37 documents. Enfn, le nombre moyen de documents empruntés se fxe à 17,44. La rason majeure qu explque que les répondants fréquentent une bblothèque en partculer est lée à sa faclté d accès par rapport au leu de traval/domcle (59.37%), la qualté de consel délvrés aux usagers n ntervenant qu en quatrème poston (19.31%) derrère la dsponblté de documents offerts à la consultaton (30.84%) et au prêt (26.8%). Vs-à-vs de la qualté des servces délvrés qu l est possble d évaluer sur base du taux de satsfacton des usagers, c est le servce nscrptons qu semble le plus apprécé par les usagers % des usagers déclarent être satsfats par ce servce, contre 8.65% de non satsfats. En dernère place se stuent les évènements (conférences et expostons) organsés par la bblothèque, qu satsfont les usagers (56.48% d usagers sastsfats) quasment autant qu ls les déçovent (43.52% d usagers non satsfats). La qualté d ensemble des servces offerts aux usagers reste cependant relatvement élevée, pusque chacun des servces a tendance à plus satsfare que le contrare. 9

10 La revue de l nnovaton : La Revue de l nnovaton dans le secteur publc, Vol. 14(2), 2009, artcle 10. Enfn, en ce qu concerne l ntérêt exprmé pour la technologe RFId à la bblothèque, l observaton montre qu avant cette enquête, seuls 18% des répondants avaent entendu parler de la technologe RFId. Globalement, 80% de répondants déclarent être tout à fat favorable ou plutôt favorable à la mse en servce de la technologe RFId et de ses équpements. D alleurs, s la bblothèque nvestssat, 55.04% des répondants seraent nctés à réalser en toute autonome les opératons de prêt et de retour. Plus spécfquement, 5 avantages sont perçus comme vrament essentels. Ils moblsent plus de 50% des répondants. Ils correspondent par ordre crossant d ntérêt à la plus grande rapdté de tratement des prêts et des retours (54.76%), à la possblté d évter les fles d attente en banque de prêt (56.48%), à la smplcté apparente d utlsaton (61.38%), à une plus grande autonome de l usager (64.27%) et à la possblté de rendre les documents empruntés 24h/24, ce derner avantage étant perçu comme essentel par 68.01% des répondants. Régresson logstque La table 1 présente en foncton de l échelle de prx envsagée à la queston fermée smple de consentement à payer, la dstrbuton des 347 réponses négatves et postves à cette queston. Table 1 Dstrbuton des réponses postves/négatves en foncton de chaque prx - Prx (euros/an) "non" "ou" % ou 68,42 72, , ,37 55,32 37,84 40 L observaton de la dstrbuton des réponses montre que la dmnuton du taux de réponses postves est lée à l augmentaton des prx, clarement lorsque ces derners sont ordonnés par tranche addtonnelle de 10euros % des réponses sont postves tands que 46.97% sont négatves. Excepton fate du manque d ntérêt exprmé, du manque d utlté perçu (11.66%) ou du manque d nformaton pour se décder vs-à-vs de la technologe RFId (9.82%), les motfs qu ont condut à une réponse négatve sont prncpalement d ordre économque. Parm les usagers qu ne sont pas prêt à contrbuer au fnancement d un projet de RFId à la bblothèque, 46.63% estment que ce n est pas à eux de supporter son coût, 40,49% jugent la contrbuton potentelle demandée trop élevée 6. Une premère analyse envsage le facteur prx comme détermnant unque de la décson d accepter ou non de contrbuer au fnancement d un projet de RFId. La relaton qu rele la probablté d accepter la contrbuton à son prx a été spécfée à l ade de la foncton de répartton d une lo logstque. Elle a été estmée par la méthode du maxmum de vrasemblance. La table 2 présente les résultats de cette régresson logstque, sot Table 2 - ln P (1) / P(0) c m Varable Coeffcent Ecart-type P-value c - Constante 0, <.001 M -Montant de la contrbuton demandée <.001 Varable dépendante = y y 1 (53%), y 0 (47%) 6 Un tel résultat ndque qu l aurat été judceux de recourr au système des doubles questons fermées. 10

11 La revue de l nnovaton : La Revue de l nnovaton dans le secteur publc, Vol. 14(2), 2009, artcle où c, représentent les effets respectfs de la catégore de référence (C) et du prx fxé (M) sur la probablté d accepter de contrbuer fnancèrement à un projet de RFId. - Log-vrasemblance= ; LR(1)=11.88 (p_value<0.001); IndceC=0.606; Hosmer&Lemeshow(S=6.014;p_val.=0.538) La varable de prx est statstquement sgnfcatve au seul de 1%. Le sgne négatf 7 sgnfe que plus le prx proposé au répondant est élevé, mons l y a de chances qu l accepte de contrbuer fnancèrement à un projet de RFId. L observaton fate à la table 1 est vérfée. Dans la mesure ou d autres détermnants que le prx sont susceptbles d explquer la décson de contrbuer fnancèrement à un projet de RFId, une deuxème analyse a conssté à ntrodure dans l équaton de régresson des varables exogènes lées aux caractérstques soco-économques du répondant, à ses habtudes en bblothèque ans qu à ses préférences vs-à-vs des solutons RFId. La table 3 présente les résultats d estmaton de cette nouvelle régresson logstque, sot TABLE 3 - ln P 1 / P 0 Varables ntervenant dans la spécfcaton économètrque fnale du modèle Logt et contrbuton de ces varables Sens Var Moy Défnton Contrb /Sg n M 24,8 4 F2 0,31 F3 0,16 F4 0,13 F5 0,63 F6 0,46 F7 0,68 M - Montant de la contrbuton demandée 1 s le répondant a fréquenté la bblothèque où l s est le plus souvent rendu ces 12 derners mos en rason du catalogue varé et exhaustf de documents qu elle offre à la consultaton / 0 snon 1 s le répondant fréquente la bblothèque où l s est le plus souvent rendu ces 12 derners mos en rason de la flexblté de ses horares d ouverture / 0 snon 1 s le répondant fréquente la bblothèque où l s est le plus souvent rendu ces 12 derners mos parce que c est un leu convvlal propce aux échanges / 0 snon 1 s le répondant a déjà consulté le catalogue sur Internet de la bblothèque qu l a le plus fréquenté ces 12 derners mos / 0 snon 1 s le répondant estme que la possblté d'essayer une nouvelle technologe est un des avantages essentels qu l pourra retrer de la technologe RFId dans une bblothèque / 0 snon 1 s le répondant estme que la possblté de rendre les documents empruntés 24h/24 est un des avantages essentels qu l pourra retrer de la technologe RFId dans une bblothèque / 0 snon c m j j F j RR (EM) -0,03 -* (-0.01) 0,41 +** ** 1,09 +* 0,56-0,47 +** ** - *** 0,52 +** -0,69 -* 1.51 (0.10) 2.97 (0.25) 1.75 (0.13) 0.63 (-0.11) 1.68 (0.13) 0.50 (-0.17) 7 En matère d nterprétaton des résultats d une régresson logstque, ce qu compte c est non seulement la sgnfcatvté des coeffcents, mas également le sgne de ces coeffcents. Ans, un coeffcent estmé postf ndque, toutes choses égales par alleurs, qu un changement de modalté dans le facteur vsé rend plus probable l événement ( y 1 ) et mons vrasemblable l événement ( y 0 ). 11

12 La revue de l nnovaton : La Revue de l nnovaton dans le secteur publc, Vol. 14(2), 2009, artcle 10. F8 0,43 F9 0,48 F1 0 F1 1 F1 2 F1 3 0,13 0,19 0,11 0,44 1 s le répondant estme qu l serat dsposé/ncté à prendre (prolonger) un (son) abonnement s la bblothèque qu l fréquente le plus souvent, nvestssat dans la technologe RFId / 0 snon 1 s le répondant estme qu l serat dsposé/ncté à fréquenter plus la bblothèque qu l fréquente déjà le plus souvent, s celle-c nvestssat dans la technologe RFId / 0 snon 1 s le répondant habte la régon Est de Luxembourg / 0 snon 1 s la professon du répondant est cadre moyen, ouvrer qualfé ou chômeur / 0 snon 1 s le répondant dspose d un revenu brut mensuel de plus de 5001 euros / 0 snon 1 s globalement le répondant est tout à fat favorable à la mse en servce de la technologe RFId et de ses équpements dans la bblothèque qu l a le plus fréquenté ces 12 derners mos / 0 snon 0,38 0,48 0,58 +** ** +** * +** ** -0,87 -* 1,12 +* 0,89 +* 1.47 (0.09) 1.62 (0.12) 1.79 (0.14) 0.42 (-0.21) 3.06 (0.25) 2.43 (0.22) F1 4 F1 5 0, s le répondant s est rendu entre 3 et 5 fos, et en moyenne 3,9 fos (s-type=0,84) à la bblothèque qu l fréquente le plus, ces 12 derners mos / 0 snon c- Constante Varable dépendante = y y 1 (53%), y 0 (47%) 0, ** * Non sgn (0.11) - où c,, j représentent les effets respectfs de la catégore de référence (C), du vecteur de prx ( M), ans que des autres varables exogènes retenues probablté d accepter de contrbuer fnancèrement à un projet de RFId. - * Sgnfcatf au seul de 1%, ** 5%, ***10%,****15% - Log-vrasemblance= ; LR(14)=73.39 (p_value<0.001); Indce C=0.753 Hosmer&Lemeshow(S=2.206 ;p_val.=0.9740) z j sur la Seules les varables exogènes caractérsées par un seul de sgnfcatvté d un nveau nféreur ou égal à 15% en sorte d une procédure stepwse ont été retenues. Elles sont au nombre de 14. Ce chffre tombe à 6, lorsqu l s agt de consdérer unquement les varables vrament détermnantes, celles qu contrbuent au seul de 1% à explquer la décson d accepter de contrbuer fnancèrement à un projet de RFId. La premère porte sur l effet sgnfcatf et négatf du montant de la contrbuton fnancère demandée (M) sur la probablté d accepton. L effet margnal ndque qu un saut tarfare annuel, sot une augmentaton de 5euros par rapport au prx ntalement proposé au répondant à la queston de consentement à payer, mplque une basse de 1% de la probablté d accepton 8, ce qu est relatvement fable 8 L ensemble des commentares s nterprète "toutes choses égales par alleurs" 12

13 La revue de l nnovaton : La Revue de l nnovaton dans le secteur publc, Vol. 14(2), 2009, artcle 10. comparatvement aux effets margnaux des autres varables. En ce qu concerne les caractérstques des répondants, ce sont des éléments en len avec la condton socale, le revenu et la catégore soco-professonnelle, qu ont été retenus au seul de 1%. Ans, un répondant qu déclare être cadre moyen, ouvrer qualfé ou chômeur (F11) a 0.42 fos plus de chances d accepter de contrbuer fnancèrement à un projet de RFId qu un ndvdu qu n appartent pas à cette classe soco-professonnelle. De surcroît, un ndvdu qu déclare gagner un revenu brut mensuel supéreur à 5001euros (F12) a 3.06 fos plus de chances d accepter de contrbuer fnancèrement à un projet de RFId qu un ndvdu qu n appartent pas à cette classe de salare 9. Vs-à-vs des habtudes du répondant en matère de fréquentaton des bblothèques, les résultats d estmaton montrent qu un ndvdu qu déclare fréquenter la bblothèque où l s est le plus souvent rendu ces 12 derners mos au motf de la flexblté de ses horares d ouverture (F3) a 2.97 fos plus de chances d accepter de contrbuer fnancèrement à un projet de RFId qu un ndvdu qu ne cte pas cette rason. Enfn vs-à-vs des solutons RFId, l est surprenant d observer que le répondant qu estme que la possblté de rendre les documents empruntés 24h/24 est un des avantages essentels qu l pourrat retrer de la technologe RFID (F7) a 0.5 fos plus de chances d accepter de contrbuer fnancèrement à un projet de RFId qu un ndvdu qu ne cte pas cet avantage, ce qu ndque que le facteur joue défavorablement sur la décson d acceptaton. Par contre, c est plutôt rassurant, s globalement le répondant est tout à fat favorable à la mse en servce de la technologe RFId et de ses équpements dans la bblothèque qu l a le plus fréquenté ces 12 derners mos, l a 2.43 fos plus de chances d accepter de contrbuer fnancèrement à un projet de RFId qu un ndvdu (F13) qu déclare un autre avs qu l sot modéré ou défavorable. Consentement à payer A partr des paramètres estmés de la régresson logstque (cf,. table 2 et table 3), l est possble de calculer un ndcateur de Consentement à payer moyen M*. La table 4 présente le résultat de ce calcul. Table 4 - M * E CAP ˆ x ˆ / ˆ Calcul à partr de CAP (euros/an) Intervalle de confance à 95%* Estmaton smple table Estmaton élarge table ,718 37,733 * Delta method M* correspond à la melleure estmaton du montant maxmum qu un abonné ssu de l échantllon de répondants est prêt à consentr pour accéder aux solutons RFId pour bblothèques. M* se fxe à euros par an. La prse en compte des caractérstques, habtudes et préférences du répondant dans le modèle n a qu une ncdence lmtée sur le résultat, pusque la spécfcaton ne tenant compte que du montant de la contrbuton demandée condut à produre après estmaton une valeur de M* se fxant à euros/an. Par applcaton de la méthode Delta 10, un encadrement peu précs pour le consentement à 9 A l excepton de la varable (gagner plus ou mons de 5001euros/mos), les autres classes de revenus n étant pas sgnfcatves, le modèle borné (Haab et al., 2002) n a pas été envsagé. 10 Intalement, c est la procédure de smulaton de Krnsky et al. (1986) qu a été suv pour produre un ntervalle de confance en ce qu concerne M*. Cependant les résultats, [29,16 ; 30,26] au seul de 5%, sont trop précs que pour ne pas être douteux. Auss, n ayant pas trouvé l erreur commse lors de la programmaton, c est 13

14 La revue de l nnovaton : La Revue de l nnovaton dans le secteur publc, Vol. 14(2), 2009, artcle 10. payer a de plus été produt. Ans, l y a 95% de chances que M* sot comprs entre euros et euros par an. L explotaton de cet estmateur peut se fare en s appuyant sur le prncpe selon lequel une collectvté n a ntérêt à fnancer en tout ou en parte une acton, que s la somme des consentements à payer ndvduels est supéreure au coût de l acton envsagée (Godfrod, 1996). En multplant l ndcateur M* par la talle de la populaton cble, sot abonnés 11 dans le cas de la Bblothèque Natonale de Luxembourg (BNL), l est possble d obtenr une dée de la somme des consentements à payer ndvduels. Elle représente de l ordre de euros par an. Dans la mesure où l abonnement actuel est gratut et que l opton de fare payer l accès à de nouveaux servces n est pas envsageable, l est commode de fare l hypothèse que la BNL fnancerat ntégralement l adopton du RFId. Au regard de la smulaton de 5 projets dfférents, reflétant 5 nveaux d équpements progressfs en matère de RFId, compatbles avec les contrantes qu sont celles de la BNL, pour des budgets allant de à euros, l ressort, à supposer une hypothèse forte et pénalsante selon laquelle le nombre d nscts en bblothèque est stable au cours du temps, que le retour sur nvestssement pourrat être évalué comme postf au mnmum dès la fn de la premère année de fonctonnement en ce qu concerne les deux premers projets, et au maxmum après quatre années d explotaton en ce qu concerne le derner projet. Dans le contexte actuel d exgence de retour à court terme, ce sont donc les projets 1 et 2 qu pourraent fare l objet d un fnancement. Le projet 1 étant peu ntéressant en termes d avantages comparatfs pour l usager entre une stuaton avec et sans RFId, c est donc le projet 2 qu représente le chox d nvestssement le plus ratonnel dans une optque court terme. Ce projet (cf. schéma 4) mplque la mse en place de tags sur les documents offerts en lbre accès par la BNL 12, la prse en compte d une man d œuvre qu convertt les lvres à rason de 3 tags par mnute donc 167 heures de traval pour un coût salaral brut correspondant au mnmum légal de 9.08euros/heure 13, l nstallaton de deux automates nternes de prêt/retour, d un serveur d applcaton, de 4 bornes antvol et de 4 gate trackng, d une staton moble pour les nventares, d une staton de prêt emprunt-retour et d un automate de retour externe, ans que la prse en compte d un coût addtonnel pour mantenance des automates (10%) et pour dépassement 14 (10%). Les prncpaux avantages comparatvement à une stuaton sans RFId, correspondent pour l usager à une améloraton des fonctons de consel et d orentaton, à la possblté de rendre les documents empruntés 24h/24 et à une dsponblté plus rapde des documents en rayonnage. Par contre, les avantages évalués en termes de temps gagné, d autonome et d absorpton des fles d attentes, resteront margnaux. Quant à la bblothèque, elle bénéfcera d un nouveau système antvol, a pror plus performant, augmentera la vtesse avec laquelle les nventares sont réalsés et devrat dsposer d une melleure connassance des besons des lecteurs. Le pourcentage de documents en lbre accès n évoluera cependant pas. Il reste fxé à mons de 4% du fonds (30000 documents), ce qu est peu mas compatble avec la talle du leu actuellement occupé par la BNL. la méthode Delta, de détermnaton de la varance de l estmateur du paramètre M* qu a été utlsée pour générer un ntervalle de confance. 11 Source : 12 Source : 13 Source : 14 La «Proposton pour l évoluton du SI des Bblothèques muncpales de la vlle de Genève, 2005» prévot un surcoût de 10% pour un poste «dvers et mprévus». 14

15 La revue de l nnovaton : La Revue de l nnovaton dans le secteur publc, Vol. 14(2), 2009, artcle 10. Schéma 4 - Projet d adopton du RFId n.2 NOMBRE D UNITES COUT EQUIPEMENTS PRIX UNITAIRE tags 0, Automates de prêt Serveur applcaton Mse en place des 9,08 /heure 167 heures tags 4 bornes antvol 4 gate trackng staton moble pour les nventares Staton de prêt emprunt-retour Automate de retour externe TOTAL DE BASE TOTAL PREVISIBLE 16 : coef. 1.2 Par contre, dans une optque long terme, c est le cnquème projet (cf. schéma 5) qu prend un caractère sédusant. Il est en effet compatble avec la volonté poltque d offrr de nouveaux locaux à la BNL sur près de 30000m2 place de l Europe au Krchberg 17. Un telle volonté est anmée par la nécessté pour la BNL de répondre au déf de la modernsaton auss ben que celle de lever les contrantes actuelles d'exgüté des leux occupés. L ambton affchée est que documents 18 soent ms en lbre accès parm les volumes et 3500 ttres de pérodques nternatonaux ms à dsposton des lecteurs par Le Fonds général 19. Le projet 5, pour un retour sur nvestssement attendu après quatre années d explotaton, envsage d étquetter l ensemble du fonds en RFId. Ce projet est contragnant parce qu l mplque de se doter de toute l nfrastructure en serveurs et bases de données nécessare au fonctonnement du RFId. Pour l usager, deux avancées majeures sont perceptbles. La premère correspond à un gan sgnfcatf par rapport aux avantages évalués en termes d économe de temps, d autonome et d absorpton des fles d attentes. La seconde tent à la possblté d accèder en lbre accès à près de 65% du fonds documentare, sot documents, contre actuellement. Schéma 5 - Projet d adopton du RFId n.5 15 Deux sources convergentes en matère de prx ont été utlsées pour défnr les prx untare hors coût de la man d œuvre : Marselle (GIER, 2004, 2005) et Genève (2005). 16 Le coeffcent 1.2 tent compte de la mantenance des automates (10%) et du dépassement pour «dvers et mprévus» (10%)

16 La revue de l nnovaton : La Revue de l nnovaton dans le secteur publc, Vol. 14(2), 2009, artcle 10. EQUIPEMENTS PRIX NOMBRE D UNITES COUT UNITAIRE tags 0, Automates de prêt Parc de serveurs SGBD Matérel nformatque prestatons Mse en place des tags 9,07/heure 4167 heures Automate de retour externe Carte abonnée RFID 1, (hypothèse fable) bornes antvol gate trackng staton moble pour les nventares Staton de prêt emprunt-retour TOTAL DE BASE TOTAL PREVISIBLE: coef Concluson Cet artcle montre par l ntermédare d une expérence plote en ce qu concerne les solutons RFId pour bblothèques qu l est possble d utlser un nstrument tel que l évaluaton contngente pour estmer la valeur économque ex-ante d une nnovaton par les TIC. A l échelle de l abonné, cette valeur représente de l ordre de 29euros par an, sachant qu l y a à peu près 95% de chances qu elle sot comprse entre 21 et 38 euros. A l échelle de la collectvté, elle correspond approxmatvemenent à 320mlle euros, budget que la BNL pourrat consacrer annuellement au fnancement d un projet de RFId. Ces résultats consttuent une nformaton nécessare mas nsuffsante dans une perspectve de ratonalsaton de la décson d nvestssement. Deux motfs l explquent. D une part, l est possble de la qualfer d mparfate. Smplement parce qu elle est condtonnée par le mode de questonnement employé et le tratement correspondant utlsé pour l obtenr, et cec même s le mode chos, à savor la queston fermée smple, est celu qu «a pror» permet de se rapprocher le plus de la vrae valeur du consentement à payer. Auss pour valdaton mas surtout pour engager une dscusson, l convendrat de créer un groupe de réflexon côté offre, réunssant le monde de la recherche, par exemple le Centre Henr Tudor et son département CITI (Centre d Innovaton par les Technologes de l Informaton), celu de l ndustre des technologes RFId pour bblothèques, mas également des représentants du 16

17 La revue de l nnovaton : La Revue de l nnovaton dans le secteur publc, Vol. 14(2), 2009, artcle 10. réseau luxembourgeos des bblothèques ( 20 ). Cette concluson ne prend pas un caractère secondare. Elle est parfatement algnée avec les recommandatons du Bureau fédéral du Plan Belge (2003) en matère d acton publque permettant de maxmser les effets postfs des TIC au nveau économque. D autre part, l est possble de qualfer l nformaton fourne par la CVM d ncomplète. En effet, les questons de changement organsatonnel et d mpact pour le personnel dovent être abordées avec ce derner, avec pour toîle de fond l dée que l économe de temps relatve à la réalsaton de tâches répéttves se dot d être réallouée, en partculer pour la réalsaton de tâches de médaton. Ensute, la possblté de recourr à des solutons mxtes code à barres et puces RFId pour le ré-équpement des collectons dovent être posées afn notamment de faclter la crculaton de documents au sen du réseau entre les bblothèques équpées et celles qu ne le seront pas. Enfn et surtout, côté usagers, la queston sensble de la protecton de la ve prvée se dot d être nvestguée. Les puces RFId, utlsées pour des applcatons dans le secteur du lvre auss ben que dans d autres secteurs (transport, défense, aéronautque, commerce, bâtment, ) répondant aux besons d dentfcaton des servces, des bens mas également des personnes, elles peuvent permettre d esponner les comportements les plus ntmes des usagers, de cbler leurs agssements ou de profler leurs habtudes en matère de consommaton et de moblté. L analyse de Molnar et al. (2004) montre que ces possbltés d explotaton des données prvées sont facltées dans un cas comme celu d une bblothèque, caractérsé par un marquage RFId propre à chaque tem de la collecton. Afn de lmter les rsques de pratage, ls préconsent de lmter le contenu en nformatons des puces au code dentfant permettant le len à la base de données documentare, code qu de surcroît devrat être encrypté. Une telle parade s nscrt dans le cadre des recommandatons fates en matère de RFId et de protecton des données personnelles émses par l Amercan Lbrary Assocaton s (ALA). Archer (2005) explque qu elles se répartssent en quatre catégores. La premère déjà vue, aborde la queston de la préventon contre un accès non autorsé à la lecture des puces. La seconde adresse la problématque connexe dffclement résolvable d ntercepton des données transmses par wreless. La trosème se concrétse par la nécessté de supprmer régulèrement et dès que possble l hstorque de la relaton entre les données personnelles et les nformatons relatves aux tems lors des phases d enregstrement des prêts et retours. Enfn, la quatrème catégore concerne la nécessare nformaton aux usagers. Au nveau européen, malgré l absence de cadre légslatf fxé, dans un contexte d nadaptaton du temps démocratque au temps technologque (Türk, Pésdent de la Commsson Natonale de l Informatque et des Lbertés (CNIL)), les recommandatons émses par la Commsson Européenne et transposées pour quelques unes d entre elles au cas des solutons RFId pour bblothèques, se rapprochent de celles édtées par l ALA. Il s agrat par exemple, de stocker les données personnelles unquement dans les cartes d usagers 21, de sgner un code de bonne condute quant à l utlsaton des puces garantssant la confdentalté des données personnelles et la désactvaton des puces aux bornes de prêt et de retour, d apposer un symbole dédé sur les documents et applcatons RFId, et/ou d ntégrer dès la fabrcaton, un système de vsualsaton smple de l état, actf ou non, de la puce. 20 bbnet.lu est le catalogue collectf d'un réseau regroupant 33 bblothèques du Grand-Duché se répartssant entre les catégores Insttuts et établssements publcs culturels de l Etat (9), Ensegnement supéreur et recherche (5), Communes (4), Ensegnement secondare (11), Ensegnement prmare (1) et Autres (3). Il content plus d'un dem-mllon de notces bblographques, enrégstrées depus 1985 par l'ensemble du réseau. En outre, un portal ( offre un accès centralsé et gratut à la documentaton électronque de la BNL et de l Unversté du Luxembourg aux utlsateures qu peuvent fare des recherches dans plus de pérodques électronques et plus de 215 bases de données spécalsées dans tous les domanes de la connassance, ans que dans les catalogues luxembourgeos et étrangers

18 La revue de l nnovaton : La Revue de l nnovaton dans le secteur publc, Vol. 14(2), 2009, artcle 10. Dans l avenr, ben que fournssant une nformaton mparfate et ncomplète mas utle pour l évaluaton de projets avant leur mse en œuvre, la méthode de l évaluaton contngente fera l objet d autres applcatons dans le domane de l nnovaton par les TIC quel que sot le type d nnovaton (produt, processus, organsaton) et quel que sot le bénéfcare (consommateur fnal ou ntermédare (Durand, 2006), nsttuton ou admnstraton). Deux autres expérmentatons ont déjà été menées. La premère a porté sur l évaluaton du servce que pourrat offrr deman la téléphone moble dotée de la technologe NFC (Near Feld Communcaton) à l abonné luxembourgeos. La seconde étude s est focalsée, à la demande du Servce central de la statstque et des études économques (Statec), sur l adopton par le partculer, résdent à Luxembourg, d un servce nouveau de carte d dentté numérque et de sgnature électronque. Un tel servce par le haut nveau de sécurté qu l assure, vse drectement à renforcer la confance dans les transactons électronques et ndrectement à en augmenter son volume. L dée dans le cadre de cette nouvelle étude état de s ntéresser à la poltque commercale mse en œuvre dans le cadre de la dstrbuton courant 2008 du servce nouveau par la socété Luxtrust, autorté de certfcaton consttuée en 2005 entre le gouvernement luxembourgeos et d mportants acteurs du secteur prvé luxembourgeos, notamment du secteur fnancer. Références bblographques Archer JD An RFID prmer and ntellectual freedom catuton Indana Lbrares, Vol. 26, N. 1, Arrow K., Solow R., Portney PR., Leamer E. E., Radner R., Schuman H Report of the NOAA (Natonal Oceanc and Atmospherc Admnstraton) panel on contngent valuaton Federal Regster, 58, Jan. 15, Bateman IJ., Turner RK Valuaton of the Envronment, Methods an Technques: The Contngent Valuaton Methods, Sustanable Envronmental Economcs and Management. Prncples and Practces, R. K. Turner, Chchester, John wley and Sons Ltd, Bblothèque natonale de Luexembourg, Rapport annuel p et Rapport annuel 2007, 22p. ( Braford WD., Klet AN., Krousel-Wood MA., RE RM Wllngness to pay for telemedcne assessed by the double-bounded dchotomous choce method, Journal of telemedcne and telecare, vol. 10, n. 6, Bureau Fédéral du Plan Les technologes de l nformaton et de la communcaton en Belgque : analyse des effets économques et socaux, éd Kluwer, 193 p. Durand A Quel marché pour la téléphone moble NFC à Luxembourg, Centre Henr Tudor, Projet DOTIC, WP04/05, 24p. Durand A Evaluaton contngente de la performance dans le cas de réponses dscrètes, Centre Henr Tudor, Projet DOTIC, WP03/05, 11 p. Ger S Quelle place pour les automates de prêt et de retour dans les bblothèques publques françases, analyse technque et stratégque, Mémore d étude et de recherche, Dcb, enssb, 123 p. 18

19 La revue de l nnovaton : La Revue de l nnovaton dans le secteur publc, Vol. 14(2), 2009, artcle 10. Ger S Evaluaton du servce rendu par les automates de prêt du réseau de la Bblothèque Muncpale à Vocaton Régonale (BMVR) de Marselle, Rapport de stage, Dcb, enssb, vol. 1-rapport, 38p., vol. 2-annexes, 79p. Godfrod P., Eeckhoudt L. Marchand M Le consentement à payer, extrat de thèse, Rsque de santé, médecne préventve et médecne curatve. Haab T., McCONNEL K., Valung Envronmental and Natural Resources: the econometrcs of Non-Market Valuaton, Edwar Elgar, Cheltenham, UK. Hanemann W Welfare Evaluatons n Contngent Valuaton Experments Wth Dscrete Responses, Amercan Journal of Agrcultural Econometrcs, 67 (3), aug. 2004, Ident, (n.d.), Les systèmes RFId pour bblothèques, Prncpes et avantages de la technologe RFId, Pars, ( 4 p. Kern C., Wess R., (n.d.), Postonnement centralsé et décentralsé des untés fonctonnelles dans une bblothèque. Aménagement de l espace pour l ntégraton RFId, Bblotheca RFId lbrary system A.G., Bblothèque muncpale de Wnthertur, Susse, Bblotheca, pp. 2-3, 8 p. Krnsky I., Robb AL On approxmatng the statstcal propertes of elastctes, The Revew of Economcs and Statstcs, 68, Nov. 1986, Le Gall-Ely M Un test de valdté de l analyse conjonte et de l évaluaton contngente dans le cadre de l évaluaton d un servce sans référent de marché, Laboratore d Econome et Scences Socales de Rennes (LESSOR), Unversté de Rennes II Haute- Bretagne, Sémnare Méthodes quas-expérmentales de l'ireimar, 18 nov. 2003, 27 p. Looms J., Kent P., Strange L., Fausch K., Covch A Measurng the total economc value of restorng ecosystem servces n an mpared rver basn : result from a contngent valuaton survey, Department of Agrcultural and Resource Economcs, Colorado States Unversty, Fort Collns, n Ecologcal Economcs, n. 33, Boston Unversty, Mnstère de la culture, Rapport d actvtés 2004 du Mnstère de la Culture, ( 384p. Mtchell RC., Carson RT Usng Surveys to Value Publc Goods: The Contngent Valuaton Method, Resources for the Future, Washngton, DC., 463 p. Molnar D., Wagner D Prvacy and Securty n Lbrary RFID Issues, Practces, and Archtectures, Washngton, DC., 10 p. Vlle de Genève, Proposton du consel admnstratf L ouverture de pluseurs crédts pour un montant de francs destnés à l évoluton du système d nformaton des bblothèques muncpales de la vlle de Genève, PR 408 Roux-Foullet J.-P Les puces envahssent les bblothèques : une nouvelle technologe d dentfcaton des documents, BBF, Pars, t. 45, n

20 La revue de l nnovaton : La Revue de l nnovaton dans le secteur publc, Vol. 14(2), 2009, artcle 10. Terra S Gude de bonnes pratques pour la mse en œuvre de la méthode d évaluaton contngente, Drecton des études économques et de l évaluaton envronnementale, Sére Méthode ( 05-M04, 77p. Référence photographques 3M (n.d), L assstant dgtal 3MTM 702, Solutons pour les bblothèques, Cergy Pontose, 2 p. (3M-bblotheques.com) Bond C La RFId, le garden vglant de la culture, Data Collecton, Solutons et Applcatons, avrl 2005, 43 p. CRP HENRI TUDOR Producton nterne de l Equpe ECOMI (Econome de la connassance et Management de l Innovaton). GAO Informaton Securty, Rado-Frequency Identfcaton Technology n the Federal Government, Report to Congressonal Requesters, Unted States Government Accountablty Offce, Washngton, ma 2005, 36 p. Intelldent (n.d.), Intelldent RFId Lbrary Installaton, A Colchester Lbrary Case Study, verson 1.4, Essex County Councl, Stockport (UK), 3 p., ( Lbbest, Lbrary RFID Management system, ( Phlps RFID Standards n Lbrares, Markus LUIDOLT, Segment Marketng Manager Rental, MST Transport & Logstcs, BL Identfcaton, DBC, March 2004, 24 p. Retal News Checkpont soluton ncreases lbrary effcency, materal securty and patron self checkout, Technology News for Loss Preventon and Supply Chan Management, Checkpont Systems Inc, Thorofare (New Jersey), september 2004, 8 p. Tagsys Rfd Rado Frequency Identfcaton, Lbrary Whte Paper, Tagsys RFID e- connectng goods, SrsDynx, févr. 2006, 24 p. Tagsys Rfd RFID Integrated Systems, TAGSYS RFID Fast Taggng Staton, Tagsys RFId, e-connectng goods, 1 p. ( Van VT Utrecht Publc Lbrary, INTAMEL (Internatonal Assocaton of Metropoltan Lbrares) 2003 Conference, Renventng Metropoltan Lrares, September 2003, Rotterdam, 8 p. Vtax Get on the fast trac, dvson of VTLS Company, Blacksburg (USA), déc. 2003, 2 p. 20

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