Référentiel Plus Belle La Nuit. Dispositif de promotion de la santé en milieux festifs à Marseille

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1 Référentiel Plus Belle La Nuit Dispositif de promotion de la santé en milieux festifs à Marseille Edition février

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3 1. Présentation du dispositif a. Historique En 2010 sous l impulsion du Conseil Local de Sécurité et de Prévention de la Délinquance (CLSPD) de la Ville de Marseille, le SSPH (Service de la Santé Publique et des Handicapés) a lancé une consultation ayant pour objet la réalisation d une étude de faisabilité concernant le développement d un projet de Réduction Des Risques (RDR) au sein des milieux festifs commerciaux marseillais. Le Bus 31/32 a répondu à cette consultation, dans laquelle il était question d engager un premier état des lieux. Au terme de cette phase préalable, le Bus 31/32 a élaboré un projet pilote en direction des milieux festifs. Celui- ci a été développé durant dix- huit mois. Cette phase pilote a constitué un cadre expérimental pour la mise en place d un projet global en Découpée en deux temps, elle a permis d élaborer puis d expérimenter un dispositif adapté aux besoins repérés. Ce dispositif, dénommé Plus Belle la Nuit (PBLN), est maintenant opérationnel. PBLN s inscrit dans le réseau de Party Plus (regroupement de dispositifs similaires en Europe, dont Fêtez Clairs à Paris). Le constat initial et partagé de ces projets est que les besoins de santé en milieux festifs sont peu ou pas pris en compte. 3

4 b. Objectifs Les objectifs généraux (qui étaient ceux de la Ville de Marseille au démarrage du projet) de PBLN sont : Couvrir l hétérogénéité des milieux festifs urbains ; Renforcer les compétences des acteurs ; Amplifier les capacités d interventions des acteurs. Des objectifs spécifiques (développées par le Bus 31/32) au regard de différentes cibles viennent préciser l intérêt de PBLN : En regard des publics : Intégrer la promotion de la santé et la gestion des conduites à risques dans les espaces festifs commerciaux à Marseille ; Définir les modalités d actions qui offrent des conditions de bien- être aux publics des milieux festifs commerciaux ; Impliquer les organisateurs d évènements festifs et les gérants d établissements festifs dans la prévention et la RDR liés aux pratiques festives ; Définir une stratégie de communication (partenaires institutionnels privés et publics, médias, grand public). En regard des acteurs : Renforcer l interconnaissance des acteurs des milieux festifs ; Renforcer les capacités et l engagement de ces acteurs en matière de prévention et de RDR liés aux pratiques festives de leurs publics ; 4

5 Mettre en place le dispositif PBLN permettant la délivrance d un label pour les établissements et les organisateurs d évènements ; Mettre en place et tester un dispositif de mobilisation et de coordination des acteurs intervenant dans le champ de la prévention et de la RDR ; Créer les conditions de la mise en œuvre d un projet plus global au terme de cette phase pilote. En regard de la connaissance des scènes festives commerciales à Marseille et des pratiques qui s y rattache : Compléter le diagnostic sur les besoins en matière de prévention et de RDR en fonction des publics et des espaces considérés ; Développer une culture commune d intervention entre les différents acteurs impliqués. PBLN propose une approche globale des conduites à risques festives des publics : L écoute de musique amplifiée ; Les consommations de substances psychoactives licites et illictes et les prises de risques associées (sécurité routière, violence sur les biens et/ou sur les personnes ) ; La sexualité et les transmissions d Infections Sexuellement Transmissibles. 5

6 2. Les principaux opérateurs Différentes associations de sécurité routière, de prévention et de RDR, qui interviennent en milieux festifs à Marseille et dans la région Paca, participent à PBLN. Plusieurs d entre elles sont particulièrement investies dans PBLN : Aléas Association basée à Draguignan (Var) qui mène deux types d action : - Prévention des conduites à risques : Auprès des jeunes (milieu solaire, CFA, foyers d accueil ) : débats et échanges, projection, vidéo suivi d un débat ; animation concerts avec deux musiciens professionnels animateurs de prévention ; Auprès des adultes (soirées débats, ateliers) ; Stands sur des concerts et festivals du département ; - Ecoute et soutien des personnes soutien à la parentalité : L association est référente du REAAP (réseau d écoute d appui et d accompagnement des parents) sur le territoire de la Dracénie. Nous proposons également des formations en partenariat sur différents sujets et principalement : Conduites à risques (addictions, santé sexuelle, risques auditifs, risques liés aux nouvelles technologies). Souffrance psychique et crise suicidaire. Tél : aleassociation@gmail.com 6

7 ANPAA 13 Fondée en 1872, l ANPAA (Association Nationale de Prévention en Alcoologie/Addictologie) exerce une mission de santé publique. Son objectif est d œuvrer à la prévention des conduites à risques, des conséquences de l alcoolisation et des autres conduites addictives. Agissant avec la volonté constante de sensibiliser l opinion et d interroger les pratiques, l ANPAA 13 propose une démarche globale qui permet d appréhender la problématique du rapport aux substances psycho actives sous toutes ses formes. Cette démarche coordonne : - La prévention qui vise à doter chacun d outils propres à penser ses pratiques en toute connaissance et en conscience. - L accompagnement et le soin qui aident la personne en difficulté avec l alcool ou les autres addictions et son entourage à réfléchir, à agir, à réduire les risques et à soigner. Tél : anpaa13@wanadoo.fr Avenir Santé L association Avenir Santé a pour vocation de préserver et d'améliorer la santé des jeunes (les ans) par des actions de prévention dont les thématiques sont : - Les accidents de la route ; - Les addictions : tabac, alcool, cannabis... ; - Le Sida et les IST. 7

8 L'originalité de l'association réside dans le fait que toutes ses actions sont animées par d autres jeunes, étudiants de toutes filières, spécialement formés par l équipe de salariés. Tel : thomas@avenir-sante.com sante.com/ Bus 31/32 Le Bus 31/32, créée en 2006, est une émanation de Médecins du Monde (MDM), dont cette mission avait débutée en 1994 dans le contexte de l épidémie de VIH. Cette association marseillaise est gestionnaire de deux établissements médicaux- sociaux : un CSAPA (Centre de Soins, d'accompagnement et de Prévention des Addictions) et un CAARUD (Centre d'accueil et d'accompagnement à la Réduction des risques pour Usagers de Drogues). Un accueil dit bas- seuil d exigence est proposé soit au local, soit sur une unité mobile 7 jours sur 7. Une équipe pluridisciplinaire permet aux personnes usagères de drogues de bénéficier de traitement adapté, de se «poser» un temps ou d être orienté vers d autres structures. Dans ce cadre des actions sont menées en milieux festifs techno alternatifs (free-party ) depuis 2006 et en milieux festifs urbains depuis 2010 (PBLN et recherches). Tel : festif.bus3132@orange.fr

9 Le Tipi Le TIPI est une association de lutte contre le SIDA, qui développe des projets axés sur l amélioration de la qualité de vie des personnes concernées par le VIH. Le TIPI gère un CAARUD dont les missions sont la réduction des risques liés à l usage de produits psychoactifs, l accompagnement, l accès aux droits et aux soins des personnes concernées par l usage de drogues, le VIH et les Hépatites. Le CAARUD propose un accueil dans deux locaux différents dont un est centré sur les usagers des milieux festifs. Des interventions en Free Party sont menées avec un groupe de bénévoles. Dans les locaux du CAARUD on peut trouver du matériel de prévention des infections par injection, sniff et rapport sexuel. Tel : festif@letipi.org Mission RDR méditerranée de MDM La mission RDR méditerranée (RdR méd.) se décline aujourd hui autour de 3 axes : le festif illégal (action historique free party / rave), les squats de l'agglomération Marseillaise (action Co- construite avec l auto support Nouvelle Aube) et l'analyse de drogues (CCM). Le public cible de nos activités est les jeunes (16-30 ans) fréquentant le milieu alternatif régional (jeunes adultes isolés, punk, zonard, traveller, errant, teuffeur, squatteur ) et plus précisément les jeunes consommant des produits psycho- actifs et pouvant présenter une certaine vulnérabilité. L objectif général du dispositif est de permettre aux jeunes d accéder aux soins, aux droits et à la réduction des risques en région PACA. 9

10 Les modalités d intervention telles que le non jugement, la flexibilité de travail et de lieux, la proximité maitrisée avec les usagers et les groupes d auto support nous permettent d aller vers les jeunes les plus en difficultés. Tel : rdrpaca@medecinsdumonde.net SIS Association SIS Association est un acteur de l économie sociale et solidaire, agissant pour la promotion de la santé, au sens défini par l OMS. SIS Association intervient notamment dans le domaine de la santé sexuelle : état de bien- être physique, émotionnel, mental et social associé à la sexualité par une approche positive et respectueuse, et la possibilité d avoir des expériences qui apportent du plaisir sans contrainte, discrimination ou violence. L objectif est d apporter soutien, information et relais aux personnes qui la sollicitent par le biais de ses services. Quelle que soi la sexualité, l association met à disposition de tous et toutes des dispositifs de prévention et d aide à distance en santé, anonymes et confidentiels par téléphone - tous les jours de 8h à 23h et sur internet. Tél : marseille@sida-info-service.org info- service.org/ 10

11 3. Travail mené par les opérateurs Deux modalités d intervention en milieux festifs sont développées dans PBLN : L animation ponctuelle de stands ; La sensibilisation et l autonomisation des professionnels de la nuit quant à la promotion de la santé en milieux festifs. Le développement de ces axes complémentaires est possible grâce à la philosophie dans laquelle les opérateurs sont réunis dans PBLN. a. Nos valeurs La réflexion menée quant à comment mieux travailler ensemble a permis d identifier des concepts de santé publique partagés par tous les opérateurs : L éducation à la santé : Comme «tout ensemble d'activités d'information et d'éducation qui incitent les gens à vouloir être en bonne santé, à savoir comment y parvenir, à faire ce qu'ils peuvent individuellement et collectivement pour conserver la santé, à recourir à une aide en cas de besoin» (OMS, 1983) ; 11

12 La prévention : Comme «l ensemble des mesures prises pour préserver une situation donnée (sanitaire, sociale, économique, environnementale ) d une dégradation» (Larousse 2012) ; La RDR : Comme ensemble de stratégies et de mesures visant à réduire les dommages sanitaires et sociaux liés aux conduites à risques. De plus les associations engagées dans PBLN partagent des valeurs humaines : Le respect de la personne et de ses choix ; Le non- jugement ; L anonymat ; La confidentialité ; L absence de prosélytisme ou de dramatisation ; La délivrance d une information claire, objective, fiable et personnalisée. b. Les modalités d intervention Chaque association ou personne qui intervient en milieu festif à Marseille peut le faire dans le cadre de PBLN. Ainsi le Bus 31/32, ou un opérateur, peut être sollicité pour relayer ou coordonner des demandes d interventions ou encore pour développer un stand partenarial. 12

13 Lors d interventions PBLN, le Bus 31/32, dans sa fonction de coordination, se charge, de plusieurs éléments : Etre l interlocuteur privilégié avec les responsables / organisateurs de soirée ; Définir les besoins ; Créer des conditions optimales de travail ; Assurer l ensemble de la logistique ; Proposer à certains opérateurs d intervenir ; Désigner un responsable d intervention. Si un opérateur accepte de participer à une intervention (en accord avec ses possibilités), ce dernier ne doit pas se désengager d une intervention confirmée, sauf cas exceptionnel. Lors d interventions partenariales PBLN, un certain nombre d engagements réciproques sont à tenir entre chaque participant : Respecter les modalités d interventions propres à chacun (outils, brochures, postures ) ; Utiliser les brochures PBLN ; Proposer éthylotests électronique ou chimique lors de l intervention ; Proposer des préservatifs PBLN ; Afficher des outils de communication sur l espace d intervention (soit une bâche «Fêtes, risques & plaisirs», soit une affiche «logo PBLN») ; Identifier par un élément de communication les intervenants PBLN (t- shirt, stickers, badge, tour de cou ) ; Faciliter l accessibilité à l eau froide gratuite pour le public. 13

14 c. Place des consommations des intervenants Face aux différentes philosophies de gestion des consommations de substances psycho- actives, dont l alcool, lors des interventions (abstinence, consommations tolérées, consommations libres ), un consensus clair a été trouvé entre les opérateurs pour encadrer cette question. Plusieurs arguments viennent justifier ce besoin : Lors des interventions partenariales, les bénévoles peuvent avoir des attitudes différentes quant à ces consommations, ce qui ne facilite pas leur gestion ; Des consommations d alcool lors d une précédente intervention ont dégradés les rapports avec les responsables de l établissement ; Ces consommations peuvent entraîner des questionnements aussi de la part du public. Les consommations de substances psycho-actives licites et illicites des intervenants ne doivent donc pas avoir lieu quand : Le dispositif est opérationnel et que l intervenant est à sa proximité ; L intervenant est identifié en tant que tel (t-shirt, badge, tour de cou, sticker ). Dans tous les cas, les consommations doivent rester modérées et ne pas diminuer les capacités de l intervenant. De plus elles ne doivent pas compromettre le bon déroulement de l intervention. Le respect de ce 14

15 cadre doit être assuré par le responsable d intervention et par l ensemble de l équipe. Enfin pour rappel, les usages illicites de stupéfiants sont interdits par le Code de Santé Publique (article L ). Selon l article 7 du référentiel national des actions de RDR en direction des usagers de drogues, «lorsque des usagers de drogues participent aux interventions ils s interdisent de consommer des stupéfiants illicites pendant ces activités.» d. La charte de promotion de la santé en milieux festifs La stratégie pour autonomiser les professionnels de la nuit (personnel, les responsables des établissements de nuit et les organisateurs) quant à la promotion de la santé s appuie sur le développement des interventions dans les lieux festifs. Ceci permet de créer un lien de confiance avec eux et favorise leur adhésion. En effet de part leur présence en continue, ils sont en première ligne. Il s agit de pouvoir mettre à disposition en continu pour le public du matériel et de la documentation au sein même du lieu, selon différentes modalités et ce sans la présence d intervenant spécialisé. Des services obligatoires ou optionnels sont aussi à mettre en œuvre (selon les types de lieux et leurs possibilités : mise à disposition d eau froide gratuite, softs moins chers que les alcools, nourriture disponible, salle «de repos» ). Les modalités d intégration de ces outils aux lieux festifs sont à co- construire avec les responsables d établissements et à adapter aux réalités de chacun d eux. De plus des séances de sensibilisations du personnel des lieux aux questions de santé et sécurité 15

16 publiques seront proposées pour assurer l entière autonomisation du lieu. C est l ensemble de ce processus non-coercitif qui constitue ce label de promotion de la santé en milieux festifs. Chaque lieu festif labélisé bénéficiera de la communication autour du projet. A terme clients et pouvoirs publics reconnaitront l engagement et la qualité de l accueil proposé par les lieux labélisés. L aboutissement de cet outil est concrétisé par des signatures du maire, du préfet et du directeur de l établissement de nuit. e. Les outils d intervention Plusieurs outils peuvent être proposés lors des interventions : Ceux de prévention : bouchons d oreilles, préservatifs masculins, préservatifs féminins, gels lubrifiant, éthylotests chimiques / électroniques ; Ceux de RDR : roule ta paille, eau stérile, kit base, kit d injection ; Les différentes brochures ; Les outils d animation : lunettes d alcoolémie, jeu de dosage d alcool, manège enchanté, Le bar à eau ; Les chill-out, relax zone et espace de repos. 16

17 4. Le protocole de formation PBLN Le protocole de formation PBLN s adresse à toute personne, bénévole ou salarié d un opérateur, qui souhaite contribuer à PBLN. L ensemble de ces formations, déjà proposés ou non par certains opérateurs, constitue un socle de savoirs pertinent pour les interventions PBLN en milieux festifs. Une première rencontre (par exemple via le module de présentation ou un rendez- vous) est recommandée avant tout autre engagement (formation continue ou interventions). a. Module initial Ce premier module PBLN permet la présentation de plusieurs éléments : Ce référentiel, La convention de principes, Le calendrier d intervention, Les modules de formation continue, Conçu comme simple et interactif, ce rassemblement peut se clôturer par un temps de convivialité et éventuellement une intervention. Un nouveau module initial sera proposé annuellement ou lorsque des nouveaux intervenants souhaitent contribuer à PBLN. Le premier module initial se déroule le samedi 09 février 2013 au Tipi. 17

18 b. Formations continues Six thématiques ont été définies pour créer une culture commune aux intervenants PBLN. Des opérateurs locaux compétents dans chacun des domaines animeront les formations : Alcool et conduites de suralcoolisation (ANPAA 13), Bases pharmacologiques et cliniques des substances psycho actives (Bus 31/32, MDM), Sexualité et IST (SIS), Écoute active / counselling, Ecoute de musiques amplifiées (Trema), PSC1 (La Croix Rouge). En fonction des possibilités de financements, des disponibilités des intervenants et des contraintes des bénévoles, les formations seront adaptées et uniformisés (jour, horaires, lieu, durée ). Seul le PSC1 qui a un cahier des charges obligatoire pour obtenir le diplôme se déroulera sur une journée. Calendrier : des dates fixent seront définies en amont des formations, afin de faciliter la mise en œuvre de ces temps. Prise en charge financière : le Bus 31/32 a coordonné et intégré des éléments de coûts dans son budget prévisionnel En fonction des financements accordés, les formations seront proposées, ou non, sous différents formats (durée, régularité ). 18

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