1) Catalogue non exhaustif des voies de signalisation. 2) Discussions sur la signalisation lymphocytaire T

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "1) Catalogue non exhaustif des voies de signalisation. 2) Discussions sur la signalisation lymphocytaire T"

Transcription

1 M2 Biologie des Eucaryotes T cell signaling : from physiology to pathology Jacques Nunès 1) Catalogue non exhaustif des voies de signalisation 2) Discussions sur la signalisation lymphocytaire T Institut de Cancérologie de Marseille

2 Récepteur Signaux de transduction Apoptose rolifération Différenciation Adhérence

3 Différents types de couplage [ récepteur / activité enzymatique ] R R R E E A E R = récepteur E = enzyme effectrice A = molécule adaptatrice

4 Récepteurs liés à des protéines G hétérotrimériques R ( récepteur β adrénergique) α GD β γ α GT AT E ( adénylate cyclase ) AM cyclique Récepteurs liés à des molécules à domaines adaptateurs R ( récepteur à l EGF, DGF...) E Ras GD Ras GT

5 Domaines adaptateurs 30 types différents ( Trends Biochem. Sci. 22 pp ) 260 domains ( ROSITE database 03/2005) Les domaines plus célèbres ( aa) : - Src -homology 2 ( SH2 ) - Src -homology 3 ( SH3 ) - leckstrin -homology ( H )

6 Les domaines Src -homology Structure des TKs de la famille Src NH2 COOH Myr SH3 SH2 K AT SH1 Y Y Site de localisation membranaire xx YEEI/L domaine catalytique Région d autorégulation

7 SH2 YEEI/L Les domaines SH2 - Les domaines SH2 reconnaissent des sites peptidiques contenant une tyrosine phosphorylée. - Haute affinité de fixation entre domaines SH2 et des phosphopeptides ( Kd = nm ). - De nombreuses molécules contiennent des domaines SH2 = Notion de spécificité Séquence Y E E I Y - π Y ϕ X M Y ϕ X ϕ Y X X L X Y (V/I) N (V/I) rotéines se fixant Src, Lck, Fyn, Fgr Crk, Nck, Abl Sous-unité régulatrice de la I3K LCγ Lck, ZA70 Grb2

8 Les domaines TB hosphotyrosine Binding domain ( 150 aa) reconnaissent aussi des sites peptidiques contenant une tyrosine phosphorylée : Shc TB L D D N - Y The Shc TB domain bound to TrkA phospho-peptide (red) From Cell Signaling Technology TM website :

9 Les domaines SH3 SH3 xx - Les domaines SH3 reconnaissent des sites peptidiques (10 aa) contenant des prolines (ro - rich). - Faible affinité de fixation entre domaines SH3 et des peptides ro - rich ( Kd = µm ). - Deux types de peptides ro - rich peuvent être reconnus par des domaines SH3 = spécificité Classe I Classe II R A L L R Y V V R R R A L L R Y V V R R Src SH3 Grb2 SH3

10 Structure de la forme non active de Src

11 Régulation de l activité des Src kinases

12 Les domaines leckstrin Homology - résents dans de nombreuses molécules ayant des fonctions différentes : transduction, cytosquelette. - Ces domaines reconnaissent des sous-unités βγ des protéines G trimériques, des KCs, des phosphoinositides... - Ces domaines H permettraient de localiser une protéine au niveau d une membrane.

13 Les phosphoinositides interagissent avec différents domaines d interaction protéiques domaine H I(3) domaines FYVE domaines X I(3,4) 2 I(3,4,5) 3 domaines H domaines X D après B. ayrastre et al., 2001

14 Les grandes voies de la transduction Mobilisation du calcium intracytoplasmique Activation de phospholipases C spécifiques des phosphatidylinositol 4,5 di-phosphate : -LC β sont régulées par des protéines G trimériques, -LC γ sont régulées par des TKs. tdins(4,5)2 DAG LC OH KC Ins3 Récepteur aux Ins3 Ca 2+

15 Les grandes protéines G hétérotrimèriques Récepteurs à 7 segments transmembranaires adrénaline thrombine Adénylate cyclase G AMc G DAG + Ins3 LC β [ ligand/récepteur ] GD γ α β i α + GT GD γ β γ α β GT [ effecteurs ] LC β1 LC β2

16 Différentes petites protéines G famille Ras famille Rho famille Rab Expression de gènes Morphologie cellulaire Transport intracellulaire

17 Les activités td Ins 3 kinases ( I 3-kinase ) ( Trends Biochem. Sci. 22 p 267) tdins(4,5)2 tdins(3,4,5)3 I 3-kinase Récepteur au DGF SH3 ( YMDM ) Y- SH2 p110 ( YVM ) Y- SH2 p85 I 3-kinase I2 I3? Akt / KB TKs

18 Les grandes voies de la transduction après stimulation d un récepteur à activité tyrosine kinase kinase kinase Rho Cytosquelette Ras LC γ I 3-k Ca 2+ / KCs Expression des gènes Fonctions cellulaires

19 «DGF R signaling» DGF R Interactions Src Y IYV avec des protéines kinase à domaines SH2 I 3-k Nck Y MDM Y VM GA Y MA kinase Ras Grb2 Shp-2 Y TAV LC γ1 Y IIL

20 Signaling pathways in human cancer adapted from Stein and Waterfield. Molecular Medicine Today. September 2000

21 Méthodes d étude - I Mesure de la concentration en Ca 2+ intracytoplasmique. Substrats des TKs : analyse des protéines phosphorylées par western blot en utilisant un anticorps anti-phosphotyrosine. Analyse d une protéine : immunoprécipitations suivi d un test d activité enzymatique in vitro ou western blot. Utilisation de molécules chimèriques contenant des domaines adaptateurs isolés (ex. GST Src SH2). Cartographie peptidique.

22 Immunoblot (Western-blot) - art I Lyse Lysats contenant les protéines cellulaires Marqueurs de poids moléculaires précolorés Cellules Transfert sur membrane de nitrocellulose - + Migration en gel de polyacrylamide (SDS-AGE) Coloration ou Western-blot

23 Immunoblot (Western-blot) - art II Membrane contenant les protéines séparées par électrophorèse Coloration des protéines au Rouge onceau Immunoblot Incubation avec un anticorps spécifique d une protéine, uis incubation avec un anticorps secondaire couplé à la peroxydase. Réaction de chimio-luminescence. Révélation par autoradiographie.

24 Méthodes d étude - II II Modèles cellulaires : Expression de la protéine à étudier dans un système cellulaire qui ne l exprime pas : reconstitution d un système de transduction. cellules COS (rein), cellules d insectes ( papillon...)... Inhibition de l expression ou de l activité de la protéine à étudier inhibiteurs pharmacologiques, RNAi Visualisation (microscopie confocale, imagerie en temps réel, microscopie électronique )

25 Méthodes d étude - III Modèles animaux : les levures : Saccharomyces cerevisiae... les nématodes : Caenorhabditis elegans les mouches : Drosophila les souris génétiquement modifiées - inactivation génique knock out - remplacement par un gène muté knock in - transgénèse.

26 Signalisation lors de l activation lymphocytaire T

27 T cells and tumours ardoll Nature p1011

28 Contacts entre une cellule T et une cellule dendritique Nat. Immunol. Oct. 2001

29 BOTH SECIFIC LIGAND AND COSTIMULATION SIGNALS ROVIDED BY A ROFESSIONAL AC ARE REQUIRED FOR THE CLONAL EXANSION OF NAIVE T CELLS CA Cellule T CYTOKINES (IL-2) CMH Reconnaissance antigénique TCR 1 ROLIFÉRATION DIFFÉRENCIATION B7 Costimulation CD28 2 ADHÉRENCE Modulation du TCR et/ou co-récepteurs Absence de CD28 Antigène = peptide altéré Absence des CD28 ligands : les molécules B7 NON RÉONSE ANERGIE IGNORANCE AICD

30 Costimulation induite par la molécule CD28 lors de l activation du récepteur T (TcR) CMH / antigène B7.1 ou B7.2 TcR CD28 Signal 1 Signal 2 Anergie production IL-2 Bcl-X L FasL Apoptose rolifération cytotoxicité Survie cellulaire

31 Structure du complexe récepteur T CD4 TcR CD3 ζ ζ ε γ ε δ Lck Fyn Immunoreceptor tyrosine-based activation motif = ITAM YxxI/L (x) 6-8 YxxI/L

32 ITAM Tyrosine phosphorylation state Y L Y L TKs famille Src Y L Y L O 4 - O 4 - Y L Y L O 4 - O 4 - Y L Y L O 4 - O 4 - O 4 - kinase kinase ZA- 70 kinase ZA-70 Associée au complexe TcR / CD3 ZA-70 phosphorylée

33 «TCR signaling» tentative... TcR CD3 ζ ζ Ras GD Mek Erk LAT Fyn Grb2 Sos Ras c-raf Mek GT Erk MA Kinase Cbl Lck ZA-70 Shc?? Cyclosporine ( CsA ) SL-76 Vav Grb2 LAT Ca 2+ Calcineurine I3 Jun Kinases LC γ1 Hydrolyse des I2 DAG KC LAT p85 p110 I 3' Kinase S6-kinase rotéines ribosomales Akt Fos / Jun NF-AT1 A-1 NF-κB NF-AT Transcription du gène IL-2

34 Calcineurine (Ser/Thr phosphatase) est inhibée par des immunosuppresseurs Ca 2 + Cyclosporine A -Cyclophiline A Calmoduline B FK506 -FKB Calcineurine NFAT NFAT

35 Severe combined immunodeficiencies = SCID Réponses immunitaires (cellules T et B) affectées. 40 % des cas sont liés à des mutations héréditaires sur le chromosome X, 60 % des cas sont liés à des mutations sporadiques ou héréditaires sur les autosomes. Lymphopénie avec diminution des lymphocytes TcR/CD3 +, dans certains cas seule une sous-population T est affectée ( CD4 + ou CD8 + ) suggérant un problème de maturation des cellules T = problème de tranduction du signal?

36 Activation cellulaire T / SCID Défaut d expression de la chaine CD3γ ou CD3ε Défaut d expression de la chaine IL-2 Rγ Défaut dans la transmission des signaux de transduction? Cellule T TCR IL-2 CD28 rolifération - Différenciation

37 «TCR signaling» tentative... TcR CD3 ζ ζ Ras GD Mek Erk LAT Fyn Grb2 Sos Ras c-raf Mek GT Erk MA Kinase Cbl Lck ZA-70 Shc?? Cyclosporine ( CsA ) SL-76 Vav Grb2 LAT Ca 2+ Calcineurine I3 Jun Kinases LC γ1 Hydrolyse des I2 DAG KC LAT p85 p110 I 3' Kinase S6-kinase rotéines ribosomales Akt Fos / Jun NF-AT1 A-1 NF-κB NF-AT Transcription du gène IL-2

38 Cellules T issues des patients SCID: Dosage des ions Ca 2+ intracellulaires libérés lors d une stimulation du récepteur T Les cellules (BL) sont marquées avec une sonde fluorescente (Indo-1) qui émet à des longueurs d onde différentes suivant si elle est sous forme libre ou liée aux ions Ca 2+. Les cellules sont stimulées par des anticorps anti- CD3 ou par un ionophore du Ca 2+ (ionomycine). Les cellules sont analysées en cytométrie de flux. D après Chan et al. (1994) Science Vol. 264 p1599

39 Immunoblots réalisés sur des lysats de cellules T issues des patients SCID Western -blots Western-blot Anti-phosphotyrosine D après Chan et al. (1994) Science Vol. 264 p1600

40 NH2 ZA-70 Sites de mutations chez les patients immunodéficients SH2 SH2 Kinase COOH Mutations chez les patients immunodéficients 1 - rotéine plus courte (aa C-ter 503) dû à une délétion de 13pb 2 - Substitution Ser 518 en Arg dû à une mutation ponctuelle 3 - Insertion d un tripeptide Leu-Glu-Lys dû à la création par une mutation ponctuelle d un nouveau site de splicing Adapté de Hivroz et Fischer Current Biology 1994, Vol. 4 p732

41 KNOCK OUT DU GENE DE ZA-70 - as de lymphocytes dans le sang périphérique - Blocage sous une forme immature dans le thymus Negishi I et al. Nature 1995, Vol. 376 p435

42 ZA-70 et leucémie lymphocytaire chronique B - ZA-70 expression and prognosis in chronic lymphocytic leukaemia. Orchard JA, Ibbotson RE, Davis Z, et al. Lancet. 2004;363: ZA-70 compared with immunoglobulin heavy-chain gene mutation status as a predictor of disease progression in chronic lymphocytic leukemia. Rassenti LZ, Huynh L, Toy TL, et al. N Engl J Med. 2004;351: ZA-70 directly enhances IgM signaling in chronic lymphocytic leukemia. Chen L, Apgar J, Huynh L, et al. Blood : Antigen stimulation of the leukemic clone is increasingly implicated in the pathogenesis of CLL. Chen and colleagues provide evidence that expression of ZA-70 in CLL B cells renders IgM signaling more effective and thereby could contribute to the more rapidly progressive clinical course of ZA-70 positive CLL.

43 artie intracytoplasmique de la molécule CD28 SKRSRLLHSDYMNMTRRGTRKHYQYARDFAAYRS SH2 SH3 SH3 I3 -kinase Grb2, GRID Lck Itk, Tec Grb2, GRID TKs

44 Cellule T Cellule présentant l Ag LFA-1 CD11a / CD18 ICAM-1, 2, 3 CD54, CD102, CD50 CD2 CD4 ou CD8 TcR CD3 CD28 CD48, CD58, CD59 CMH B7-1, 2 CD80, CD86 LFA-1 CD11a / CD18 ICAM-1, 2, 3 CD54, CD102, CD50 Synapse immunologique, microdomaines/rafts, nombre de récepteurs...

45 Visualisation de la synapse immunologique Exemple : utilisation du domaine H de la protéine Akt fusionné à la GF pour visualiser une augmentation de I(3,4,5) 3 membranaires H Akt-GF GF

46 Les activités I 3-kinases tdins(4,5)2 tdins(3,4,5)3 I 3-kinase Récepteur SH3 ( YxxM ) Y- SH2 p110 ( YxxM ) Y- SH2 p85 I 3-kinase I2 I3 H Akt

47 Déplacement intracellulaire d un domaine H (Akt) fusionné à la Green Fluorescence rotein (GF) lors de la formation de la synapse immunologique Cellule présentant l antigène Video-Imaging Cellule T exprimant HAkt-GF Harriague and Bismuth, Nat. Immunol. 2002

48 The I3 -kinase / Akt pathway in human cancer TEN I 2 I 3 H Akt I3 - kinase Cellular targets : MDM2, mtor, TSC2, GSK3β, FKHR, NF-κB, BAD... Transformation, cell cycle, DNA repair, apoptosis adapted from Vivanco and Sawyers. Nature Reviews Cancer. July 2002

49 Expression du domaine H Akt-GF dans des cellules lymphocytaires T Lymphocyte T normal (prélèvement sanguin) Lymphocyte T leucémique (cellule Jurkat) F. Garçon, UMR599 INSERM Les cellules cancéreuses n exprimant pas TEN ont des taux de I3 membranaires élevés visualisés ici par la localisation du H Akt-GF

50 Membrane rafts / microdomaines Simons K. Functional rafts in cell membranes. Nature p569 He H-T. Menbrane rafts and signaling by the multichain immune recognition receptors. C. O. I p250 Seed B. Membrane compartmentation and the response to antigen C. O. I p265 Fractions insolubles dans un détergent non ionique TX-100 enrichis en sphingolipides (longues chaînes acylées saturées) et cholestérol = phase liquide ordonnée Hai-Tao HE (CIML)

51 GI-anchored proteins (Thy-1...) Rafts et protéines acylées TM proteins (LAT...) Intracellular proteins (Lck...)

52 Rafts et détection 1) Méthodes d extraction (tests biochimiques) 2) Marquage des molécules présentes dans les rafts (visualisation) Schütz et al. (2000) EMBO J. 19:

53 Nature du ligand Nombre de récepteurs T Nombre de molécules d adhérence Adhérence roximité (synapse, rafts, réseau d actine) Costimulation Rétrocontrôle Signal activateur harmacologie

54 Tout ce que vous avez voulu savoir sur la signalisation : TAEZ STKE Reviews, rotocols,teaching resources, Connection maps

voies de signalisation

voies de signalisation Olivier Lascols Faculté de Médecine ierre et Marie Curie Généralités s sur les voies de signalisation 1 I. Caractérisation risation d une d voie de transduction d un d signal Exemple du Signal Mitogénique

Plus en détail

Biologie Appliquée. Dosages Immunologiques TD9 Mai 2015. Stéphanie Sigaut INSERM U1141 stephanie.sigaut@inserm.fr

Biologie Appliquée. Dosages Immunologiques TD9 Mai 2015. Stéphanie Sigaut INSERM U1141 stephanie.sigaut@inserm.fr Biologie Appliquée Dosages Immunologiques TD9 Mai 2015 Stéphanie Sigaut INSERM U1141 stephanie.sigaut@inserm.fr 1 ELISA 2 3 4 [Ac] 5 6 7 8 9 Correction : Faire la moyenne D0-1 et D0-2 pour toute les valeurs

Plus en détail

EXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410

EXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410 EXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410 EXERCICE 1 PAGE 406 : EXPERIENCES A INTERPRETER Question : rôles respectifs du thymus et de la moelle osseuse dans la production des lymphocytes.

Plus en détail

L immunoenzymologie. Technique puissante couramment utilisée e en recherche et en diagnostic cificité des anticorps pour leurs nes

L immunoenzymologie. Technique puissante couramment utilisée e en recherche et en diagnostic cificité des anticorps pour leurs nes L immunoenzymologie Technique puissante couramment utilisée e en recherche et en diagnostic Basée e sur la très s grande spécificit cificité des anticorps pour leurs antigènes nes Test qualitatif Détection

Plus en détail

Les cytokines et leurs récepteurs. Laurence Guglielmi laurence.guglielmi@univ-montp1.frli

Les cytokines et leurs récepteurs. Laurence Guglielmi laurence.guglielmi@univ-montp1.frli Les cytokines et leurs récepteurs Laurence Guglielmi laurence.guglielmi@univ-montp1.frli l i@ i 1 Les cytokines et leurs récepteurs 2 mécanismes principaux d interactions cellulaires : - contact membranaire

Plus en détail

IMMUNOLOGIE. La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T. Informations scientifiques

IMMUNOLOGIE. La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T. Informations scientifiques IMMUNOLOGIE La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T Informations scientifiques L infection par le VIH entraîne des réactions immunitaires de l organisme qui se traduisent par la production

Plus en détail

COUSIN Fabien KERGOURLAY Gilles. 19 octobre 2007. de l hôte par les. Master 2 MFA Responsable : UE Incidence des paramètres environnementaux

COUSIN Fabien KERGOURLAY Gilles. 19 octobre 2007. de l hôte par les. Master 2 MFA Responsable : UE Incidence des paramètres environnementaux COUSIN Fabien KERGOURLAY Gilles 19 octobre 2007 Inhibition des défenses de l hôte par les bactéries pathogènes Master 2 MFA Responsable : UE Incidence des paramètres environnementaux Gwennola ERMEL I Détection

Plus en détail

ANTICORPS POLYCLONAUX ANTI IMMUNOGLOBULINES

ANTICORPS POLYCLONAUX ANTI IMMUNOGLOBULINES L OUTIL IDEAL POUR TOUTES LES DETECTIONS IMMUNOCHIMIQUES pour toutes les techniques immunodosages (EIA/ELISA) dot/ westernblot immunohistochimie immunocytochimie cytométrie en flux quel que soit le système

Plus en détail

Explorations des réponses Immunitaires. L3 Médecine

Explorations des réponses Immunitaires. L3 Médecine 2012 Explorations des réponses Immunitaires L3 Médecine Rappel sur les réponses Immunitaires DIFFERENTS TYPES DE REPONSES IMMUNITAIRES Naturelle = innée Adaptative Non spécifique Spécifique Immédiate Barrière

Plus en détail

Le rôle de l endocytose dans les processus pathologiques

Le rôle de l endocytose dans les processus pathologiques UE7 Cours n 9 C. LAMAZE 24.11.11 Elise GODEAU (partie1) Guillaume MERGENTHALER (partie2) Le rôle de l endocytose dans les processus pathologiques SOMMAIRE : I. L endocytose à récepteurs : la voie des clathrines

Plus en détail

Vaccinologie et Stratégie de Développement des Vaccins

Vaccinologie et Stratégie de Développement des Vaccins Vaccinologie et Stratégie de Développement des Vaccins Vaccinologie 1977 - Terme utilisé par Jonas Salk. 1983 - Rassemble tous les aspects des vaccinations : biologiques, immunologiques et cliniques ainsi

Plus en détail

Dr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires

Dr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires I. Introduction II. Les microscopes 1. Le microscope optique 2. Le microscope à fluorescence 3. Le microscope confocal 4. Le microscope électronique

Plus en détail

Innovations thérapeutiques en transplantation

Innovations thérapeutiques en transplantation Innovations thérapeutiques en transplantation 3èmes Assises de transplantation pulmonaire de la région Est Le 16 octobre 2010 Dr Armelle Schuller CHU Strasbourg Etat des lieux en transplantation : 2010

Plus en détail

TD de Biochimie 4 : Coloration.

TD de Biochimie 4 : Coloration. TD de Biochimie 4 : Coloration. Synthèse de l expérience 2 Les questions posées durant l expérience 2 Exposé sur les méthodes de coloration des molécules : Générique Spécifique Autres Questions Pourquoi

Plus en détail

Cytokines & Chimiokines

Cytokines & Chimiokines Cytokines & Chimiokines I. (D après Förster, R. et al. (1999) Cell 99:23) Dans le but d étudier la régulation de la circulation des leucocytes dans l organisme, des souris déficientes pour le récepteur

Plus en détail

Les plateformes de génétique

Les plateformes de génétique Thérapies ciblées : de l anatomopathologie th l à la biothérapie i Les plateformes de génétique moléculaire PO Schischmanoff UF Génétique moléculaire et oncogénétique CHU Avicenne ACP FHF 29 mars 2012

Plus en détail

MAB Solut. vos projets. MABLife Génopole Campus 1 5 rue Henri Desbruères 91030 Evry Cedex. www.mabsolut.com. intervient à chaque étape de

MAB Solut. vos projets. MABLife Génopole Campus 1 5 rue Henri Desbruères 91030 Evry Cedex. www.mabsolut.com. intervient à chaque étape de Mabsolut-DEF-HI:Mise en page 1 17/11/11 17:45 Page1 le département prestataire de services de MABLife de la conception à la validation MAB Solut intervient à chaque étape de vos projets Création d anticorps

Plus en détail

Biochimie I. Extraction et quantification de l hexokinase dans Saccharomyces cerevisiae 1. Assistants : Tatjana Schwabe Marcy Taylor Gisèle Dewhurst

Biochimie I. Extraction et quantification de l hexokinase dans Saccharomyces cerevisiae 1. Assistants : Tatjana Schwabe Marcy Taylor Gisèle Dewhurst Biochimie I Extraction et quantification de l hexokinase dans Saccharomyces cerevisiae 1 Daniel Abegg Sarah Bayat Alexandra Belfanti Assistants : Tatjana Schwabe Marcy Taylor Gisèle Dewhurst Laboratoire

Plus en détail

Cibles et mécanismes d action des traitements par cytokines et anti-cytokines

Cibles et mécanismes d action des traitements par cytokines et anti-cytokines Cibles et mécanismes d action des traitements par cytokines et anti-cytokines Jean Daniel Lelièvre, Yves Lévy, Pierre Miossec I-Introduction... 2 II-Les interférons... 2 II-1.L interféron... 3 II-1-a.

Plus en détail

ÉCOLES NORMALES SUPÉRIEURES ÉCOLE NATIONALE DES PONTS ET CHAUSSÉES CONCOURS D ADMISSION SESSION 2013 FILIÈRE BCPST COMPOSITION DE BIOLOGIE

ÉCOLES NORMALES SUPÉRIEURES ÉCOLE NATIONALE DES PONTS ET CHAUSSÉES CONCOURS D ADMISSION SESSION 2013 FILIÈRE BCPST COMPOSITION DE BIOLOGIE ÉCOLES NORMALES SUPÉRIEURES ÉCOLE NATIONALE DES PONTS ET CHAUSSÉES CONCOURS D ADMISSION SESSION 2013 FILIÈRE BCPST COMPOSITION DE BIOLOGIE Épreuve commune aux ENS de Cachan, Lyon, Paris et de l ENPC Durée

Plus en détail

Les grandes voies de transmission du signal en cancérologie : où en sommes-nous?

Les grandes voies de transmission du signal en cancérologie : où en sommes-nous? Les grandes voies de transmission du signal en cancérologie : où en sommes-nous? Dynamique des réseaux de signalisation et réponse aux thérapies ciblées Pascal GAUDUCHON Unité "Biologie et Thérapies Innovantes

Plus en détail

Première partie: Restitution + Compréhension (08 points)

Première partie: Restitution + Compréhension (08 points) Lycée M hamdia Année scolaire : 2011/2012 Prof : Saïd Mounir Date : 17/05/2012 Première partie: Restitution + Compréhension (08 points) EXERCIE N O 1: (4 points) : 1 : a-b 2 : b 3 : a-b 4 : d 5 : d 6 :

Plus en détail

www.gbo.com/bioscience 1 Culture Cellulaire Microplaques 2 HTS- 3 Immunologie/ HLA 4 Microbiologie/ Bactériologie Containers 5 Tubes/ 6 Pipetage

www.gbo.com/bioscience 1 Culture Cellulaire Microplaques 2 HTS- 3 Immunologie/ HLA 4 Microbiologie/ Bactériologie Containers 5 Tubes/ 6 Pipetage 2 HTS 3 Immunologie / Immunologie Informations Techniques 3 I 2 ELISA 96 Puits 3 I 4 ELISA 96 Puits en Barrettes 3 I 6 en Barrettes de 8 Puits 3 I 7 en Barrettes de 12 Puits 3 I 8 en Barrettes de 16 Puits

Plus en détail

Les OGM. 5 décembre 2008. Nicole Mounier

Les OGM. 5 décembre 2008. Nicole Mounier Les OGM 5 décembre 2008 Nicole Mounier Université Claude Bernard Lyon 1 CGMC, bâtiment Gregor Mendel 43, boulevard du 11 Novembre 1918 69622 Villeurbanne Cedex OGM Organismes Génétiquement Modifiés Transfert

Plus en détail

Biomarqueurs en Cancérologie

Biomarqueurs en Cancérologie Biomarqueurs en Cancérologie Définition, détermination, usage Biomarqueurs et Cancer: définition Anomalie(s) quantitative(s) ou qualitative(s) Indicative(s) ou caractéristique(s) d un cancer ou de certaines

Plus en détail

Mécanismes moléculaires à l origine des maladies autoimmunes

Mécanismes moléculaires à l origine des maladies autoimmunes Mécanismes moléculaires à l origine des maladies autoimmunes Sébastien Lacroix-Desmazes INSERM UMRS 1138 Immunopathology and herapeutic Immunointervention CRC - Paris, France Ma connaissance d un patient

Plus en détail

AMINES BIOGENIQUES. Dopamine/Noradrénaline/Adrénaline (CATECHOLAMINES) Sérotonine/Histamine/Dopamine

AMINES BIOGENIQUES. Dopamine/Noradrénaline/Adrénaline (CATECHOLAMINES) Sérotonine/Histamine/Dopamine AMINES BIOGENIQUES Dopamine/Noradrénaline/Adrénaline (CATECHOLAMINES) Sérotonine/Histamine/Dopamine Effets physiologiques des bioamines via le systeme nerveux autonome Cardiovasculaire: Augmentation du

Plus en détail

Cytokines ; Chimiokines

Cytokines ; Chimiokines Cytokines ; Chimiokines I. Dans le but d étudier la régulation de la circulation des leucocytes dans l'organisme, des souris déficientes pour le récepteur CCR7 de chimiokine ont été générées par recombinaison

Plus en détail

CONTROVERSE : IDR OU QUANTIFERON LORS D'UN CONTAGE EN EHPAD?

CONTROVERSE : IDR OU QUANTIFERON LORS D'UN CONTAGE EN EHPAD? CONTROVERSE : IDR OU QUANTIFERON LORS D'UN CONTAGE EN EHPAD? Hélène MANGEARD François MALADRY Tuberculose : infection mycobactérienne Infection mycobactérienne chronique (M. Tuberculosis ++ ou bacille

Plus en détail

DIAPOSITIVE 1 Cette présentation a trait à la réglementation sur les thérapies cellulaires.

DIAPOSITIVE 1 Cette présentation a trait à la réglementation sur les thérapies cellulaires. Produits de thérapie cellulaire DIAPOSITIVE 1 Cette présentation a trait à la réglementation sur les thérapies cellulaires. DIAPOSITIVE 2 La fabrication des thérapies cellulaires est examinée par la Division

Plus en détail

Mécanismes de l alloréactivité, des rejets de greffe et de la réaction du greffon contre l hôte.

Mécanismes de l alloréactivité, des rejets de greffe et de la réaction du greffon contre l hôte. Mécanismes de l alloréactivité, des rejets de greffe et de la réaction du greffon contre l hôte. Marcelo de Carvalho Bittencourt, Christophe Baron, Gilles Blancho, Myriam Labalette, Hélène Moins Teisserenc

Plus en détail

TD DOSAGE DE PROTEINES ET ELECTROPHORESE : PARTIE THÉORIQUE BST1 SVT

TD DOSAGE DE PROTEINES ET ELECTROPHORESE : PARTIE THÉORIQUE BST1 SVT TD DOSAGE DE PROTEINES ET ELECTROPHORESE : PARTIE THÉORIQUE BST1 SVT Daniela LENER IBMC Texte conseillé pour consultation : Biochimie, Voet & Voet, ed. De Boeck. Dosage des protéines Pendant une purification

Plus en détail

Optimisation grâce aux Systèmes Immunitaires Artificiels

Optimisation grâce aux Systèmes Immunitaires Artificiels Optimisation grâce aux Systèmes Immunitaires Artificiels Mokhtar GHARBI Professeur encadrant : Vincent RODIN CERV : Centre Européen de Réalité Virtuelle EA 3883 EBV Ecosystémique et Biologie Virtuelles

Plus en détail

5.5.5 Exemple d un essai immunologique

5.5.5 Exemple d un essai immunologique 5.5.5 Exemple d un essai immunologique Test de grossesse Test en forme de bâtonnet destiné à mettre en évidence l'hormone spécifique de la grossesse, la gonadotrophine chorionique humaine (hcg), une glycoprotéine.

Plus en détail

Rôle des acides biliaires dans la régulation de l homéostasie du glucose : implication de FXR dans la cellule bêta-pancréatique

Rôle des acides biliaires dans la régulation de l homéostasie du glucose : implication de FXR dans la cellule bêta-pancréatique Rôle des acides biliaires dans la régulation de l homéostasie du glucose : implication de FXR dans la cellule bêta-pancréatique Tuteur : Anne Muhr-Tailleux cardiovasculaires et diabète (Equipe 1) Institut

Plus en détail

Hépatite chronique B Moyens thérapeutiques

Hépatite chronique B Moyens thérapeutiques Hépatite chronique B Moyens thérapeutiques Dr Olfa BAHRI Laboratoire de Virologie Clinique Institut Pasteur de Tunis INTRODUCTION Plus de 300. 10 6 porteurs chroniques de VHB dans le monde Hépatite chronique

Plus en détail

CHAPITRE 3 LA SYNTHESE DES PROTEINES

CHAPITRE 3 LA SYNTHESE DES PROTEINES CHAITRE 3 LA SYNTHESE DES ROTEINES On sait qu un gène détient dans sa séquence nucléotidique, l information permettant la synthèse d un polypeptide. Ce dernier caractérisé par sa séquence d acides aminés

Plus en détail

LES DÉFICITS IMMUNITAIRES COMBINÉS SÉVÈRES

LES DÉFICITS IMMUNITAIRES COMBINÉS SÉVÈRES LES DÉFICITS IMMUNITAIRES COMBINÉS SÉVÈRES Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement

Plus en détail

Université Louis Pasteur Strasbourg I Ecole Doctorale des Sciences de la Vie et de la Santé THESE. En vue de l obtention du grade de

Université Louis Pasteur Strasbourg I Ecole Doctorale des Sciences de la Vie et de la Santé THESE. En vue de l obtention du grade de Université Louis Pasteur Strasbourg I Ecole Doctorale des Sciences de la Vie et de la Santé THESE En vue de l obtention du grade de Docteur de l Université Louis Pasteur de Strasbourg Discipline : Aspects

Plus en détail

Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic de cancer

Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic de cancer Information importante pour les personnes atteintes d un cancer du poumon non à petites cellules de stade avancé Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic

Plus en détail

2D-Differential Differential Gel Electrophoresis & Applications en neurosciences

2D-Differential Differential Gel Electrophoresis & Applications en neurosciences 2D-Differential Differential Gel Electrophoresis & Applications en neurosciences Jean-Etienne Poirrier Centre de Neurobiologie Cellulaire et Moléculaire Centre de Recherches du Cyclotron Université de

Plus en détail

82 collaborateurs 52 millions

82 collaborateurs 52 millions Édito Chiffre d affaires à fin Septembre 2007 Assemblée générale du 26 juin 2007 Réponses aux questions des actionnaires * Actualité R&D et produits I 2 : la science d Innate * Innate Pharma et ses actionnaires

Plus en détail

ULBI 101 Biologie Cellulaire L1. Le Système Membranaire Interne

ULBI 101 Biologie Cellulaire L1. Le Système Membranaire Interne ULBI 101 Biologie Cellulaire L1 Le Système Membranaire Interne De la nécessité d un SMI Le volume augmente comme le cube de la dimension linéaire, alors que la surface n'est augmentée que du carré Une

Plus en détail

Chapitre 7 : Structure de la cellule Le noyau cellulaire

Chapitre 7 : Structure de la cellule Le noyau cellulaire UE2 : Structure générale de la cellule Chapitre 7 : Structure de la cellule Le noyau cellulaire Professeur Michel SEVE Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits

Plus en détail

Mécanisme des réactions inflammatoires

Mécanisme des réactions inflammatoires 01/04/2014 THOMASSIN Guillaume L2 Revêtement Cutané Dr. Sophie Deplat-Jégo Relecteur 4 8 pages Revêtement cutané Mécanisme des réactions inflammatoires cutanés Mécanisme des réactions inflammatoires Plan

Plus en détail

Item 116 : Maladies autoimmunes

Item 116 : Maladies autoimmunes Item 116 : Maladies autoimmunes COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Définition du concept d'auto-immunité...3

Plus en détail

THERANOSTIC. Pr. C. BOHUON Conférence CORATA Namur 08 juin 2011

THERANOSTIC. Pr. C. BOHUON Conférence CORATA Namur 08 juin 2011 THERANOSTIC Pr. C. BOHUON Conférence CORATA Namur 08 juin 2011 THERANOSTIC Therapy + Diagnostic Nouveau mot reliant le choix d un médicament à la détection d une anomalie génétique (mutation ). Ex.: Cancers

Plus en détail

PLATE-FORME DE MICROSCOPIE ÉLECTRONIQUE À TRANSMISSION

PLATE-FORME DE MICROSCOPIE ÉLECTRONIQUE À TRANSMISSION PLATE-FORME DE MICROSCOPIE ÉLECTRONIQUE À TRANSMISSION Dr. Mohamed SENNOUR Responsable de la plate-forme JOURNÉE PLATES-FORMES EVRY, GÉNOCENTRE 25 juin 2013 Contexte et historique 2000 : constitution du

Plus en détail

Hémochromatose génétique non liée à HFE-1 : quand et comment la rechercher? Cécilia Landman 11 décembre 2010

Hémochromatose génétique non liée à HFE-1 : quand et comment la rechercher? Cécilia Landman 11 décembre 2010 Hémochromatose génétique non liée à HFE-1 : quand et comment la rechercher? Cécilia Landman 11 décembre 2010 Métabolisme du fer : hepcidine Fer absorbé par les entérocytes des villosités duodénales : transporteur

Plus en détail

Un ver, 959 cellules et 13 000 gènes

Un ver, 959 cellules et 13 000 gènes SYNTHÈSE médecine/sciences 1997 ; 13 : 156-65 Un ver, 959 cellules et 13 000 gènes Marie-Anne Félix Les cascades moléculaires spécifiant la destinée des cellules au cours du développement sont identifiées

Plus en détail

Le Monde des insectes, son importance pour l Homme et l apport de l étude des insectes aux sciences du vivant.

Le Monde des insectes, son importance pour l Homme et l apport de l étude des insectes aux sciences du vivant. MEDAILLE D OR DU CNRS 2011 Le Monde des insectes, son importance pour l Homme et l apport de l étude des insectes aux sciences du vivant. Extrait de l allocution prononcée le 19 juin 2007 par Jules Hoffmann,

Plus en détail

Apport d un nouveau test Interféron Gamma

Apport d un nouveau test Interféron Gamma Apport d un nouveau test Interféron Gamma Dr D. Bonnet Service de maladies infectieuses Bichat Claude bernard Tuberculose 1/3 population mondiale infectée par BK Primo infection asymptomatique 90% des

Plus en détail

LEUCEMIE MYELOÏDE CHRONIQUE (LMC)

LEUCEMIE MYELOÏDE CHRONIQUE (LMC) LEUCEMIE MYELOÏDE CHRONIQUE (LMC) La leucémie myéloïde chronique (LMC) est une hémopathie maligne appartenant au groupe des syndromes myéloprolifératifs. Elle est caractérisée par la présence d un marqueur

Plus en détail

Plateforme Transgenèse/Zootechnie/Exploration Fonctionnelle IBiSA. «Anexplo» Service Transgenèse. Catalogue des prestations

Plateforme Transgenèse/Zootechnie/Exploration Fonctionnelle IBiSA. «Anexplo» Service Transgenèse. Catalogue des prestations Plateforme Transgenèse/Zootechnie/Exploration Fonctionnelle IBiSA «Anexplo» Service Transgenèse Catalogue des prestations 04/01/12 - Page 1 sur 8 Présentation du service de Transgenèse Le service de Transgenèse

Plus en détail

- 2 - faire industriel dans la mise au point des produits biologiques. L Institut Roche de Recherche et Médecine Translationnelle (IRRMT, basé à

- 2 - faire industriel dans la mise au point des produits biologiques. L Institut Roche de Recherche et Médecine Translationnelle (IRRMT, basé à Information presse Roche, l Agence Nationale de Recherches sur le Sida et les hépatites virales (ANRS), le Baylor Research Institute (BRI) et Inserm Transfert mettent en place une coopération stratégique

Plus en détail

Chapitre III Le phénotype immunitaire au cours de la vie

Chapitre III Le phénotype immunitaire au cours de la vie Chapitre III Le phénotype immunitaire au cours de la vie Le phénotype immunitaire d un individu caractérise sa capacité à répondre, grâce aux effecteurs de l immunité adaptative, aux différents agents

Plus en détail

ECOLE PRATIQUE DES HAUTES ETUDES. MEMOIRE Présenté par Caroline FLAMENT

ECOLE PRATIQUE DES HAUTES ETUDES. MEMOIRE Présenté par Caroline FLAMENT MINISTERE DE L EDUCATION NATIONALE ECOLE PRATIQUE DES HAUTES ETUDES Science de la vie et de la terre MEMOIRE Présenté par Caroline FLAMENT Pour l obtention du diplôme de l Ecole Pratique des Hautes Etudes

Plus en détail

Impact de la maladie du greffon contre l hôte sur la reconstitution immunitaire suite à une greffe de moelle osseuse allogénique

Impact de la maladie du greffon contre l hôte sur la reconstitution immunitaire suite à une greffe de moelle osseuse allogénique Université de Montréal Impact de la maladie du greffon contre l hôte sur la reconstitution immunitaire suite à une greffe de moelle osseuse allogénique par Simon-David Gauthier Département de Microbiologie

Plus en détail

Diagnostic biologique de la toxoplasmose

Diagnostic biologique de la toxoplasmose COURS DE COLLEGE DE MALADIES INFECTIEUSES MICROBIOLOGIE PARASITOLOGIE Diagnostic biologique de la toxoplasmose 26 Janvier 2012 Faculté de Médecine de Sousse Principes des techniques utilisées dans le diagnostic

Plus en détail

cytogénétiques 11 8-10, 12, 13, ainsi qu à des travaux moléculaires 14, 15 16, les questions posées par l équipe

cytogénétiques 11 8-10, 12, 13, ainsi qu à des travaux moléculaires 14, 15 16, les questions posées par l équipe LES LYMPHOMES B DE LA ZONE MARGINALE: un nouveau modèle d oncogenèse lymphoïde? Depuis de nombreuses années, l équipe de recherche «Pathologie de Cellules Lymphoïdes» au sein de l UMR5239, en collaboration

Plus en détail

Le grand écart de la recherche fondamentale vers l application biomédicale

Le grand écart de la recherche fondamentale vers l application biomédicale Le grand écart de la recherche fondamentale vers l application biomédicale Ludger Johannes «Chemical Biology of Membranes and Therapeutic Delivery» unit U1143 INSERM UMR3666 CNRS «Endocytic Trafficking

Plus en détail

QuantiFERON TB Gold in tube

QuantiFERON TB Gold in tube Qu est-ce que le QuantiFERON? Test sanguin de dépistage de l infection tuberculeuse. QuantiFERON TB Gold in tube Test ELISA qui mesure la réponse immunitaire à médiation cellulaire à l infection tuberculeuse.

Plus en détail

PICT DOSAGE DES ANTICOAGULANTS 1. PEFAKIT PICT. Dosage chronométrique. PEFAKIT PiCT. PEFAKIT PiCT Calibrateur HNF. PEFAKIT PiCT Contrôles HNF

PICT DOSAGE DES ANTICOAGULANTS 1. PEFAKIT PICT. Dosage chronométrique. PEFAKIT PiCT. PEFAKIT PiCT Calibrateur HNF. PEFAKIT PiCT Contrôles HNF Dosage chronométrique PICT 1. PEFAKIT PICT Nombre de tests 8-505-01 coffret 80 3 flacons d activateur (2 ml) 3 flacons de réactif Start (2 ml) Mesure des anticoagulants par méthode chronométrique. 1 2

Plus en détail

M2.6. 2012 Cancer du colon et du rectum. Coordination : Pr Hahnloser

M2.6. 2012 Cancer du colon et du rectum. Coordination : Pr Hahnloser M2.6. 2012 Cancer du colon et du rectum Coordination : Pr Hahnloser Pathologie Dr. Maryse Fiche Cancers colo-rectaux Précurseurs : Images et figures : Robbins 8è Edition Objectifs d apprentissage : SCLO

Plus en détail

Cordarone et Thyroïde par François Boustani

Cordarone et Thyroïde par François Boustani Physiologie de la thyroïde : l hormonosynthèse thyroïdienne se fait à partir de l iode essentiellement d origine digestive et de la thyroglobuline qui est une protéine synthétisée par la thyroïde à partir

Plus en détail

Cellules procaryotes Service histologie Pr.k.mebarek

Cellules procaryotes Service histologie Pr.k.mebarek Cellules procaryotes Service histologie Pr.k.mebarek I) Les cellules procaryotes II) Les cellules eucaryotes o 1) Caractéristiques générales des cellules eucaryotes o 2) Organisation des cellules eucaryotes

Plus en détail

Identification de mécanismes de régulation des fonctions des interférons: Rôle de la palmitoylation du récepteur de l interféron de type I

Identification de mécanismes de régulation des fonctions des interférons: Rôle de la palmitoylation du récepteur de l interféron de type I Identification de mécanismes de régulation des fonctions des interférons: Rôle de la palmitoylation du récepteur de l interféron de type I Julie Claudinon To cite this version: Julie Claudinon. Identification

Plus en détail

R 2 6 15 623 DEMANDE DE BREVET D'INVENTION 0 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE PARIS. 0 Int CI' : G 01 N 33/571; A 61 K 39/42; 39/21.

R 2 6 15 623 DEMANDE DE BREVET D'INVENTION 0 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE PARIS. 0 Int CI' : G 01 N 33/571; A 61 K 39/42; 39/21. 0 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE INSTITUT NATIONAL DE LA. PROPRIÉTÉ INDUSTRIELLE 0 N de publication : 2 615 623 là n'utiliser que pour les commendes de reproduction) N d'enregistrement national : 87 07263 PARIS

Plus en détail

Microscopie Confocale. Principes de base & Applications en Biologie Cellulaire

Microscopie Confocale. Principes de base & Applications en Biologie Cellulaire Université Paris Descartes L3 - Licence Professionnelle «Industries chimiques et Pharmaceutiques Option Biotechnologie» Microscopie Confocale Principes de base & Applications en Biologie Cellulaire Bruno

Plus en détail

De la physico-chimie à la radiobiologie: nouveaux acquis (I)

De la physico-chimie à la radiobiologie: nouveaux acquis (I) De la physico-chimie à la radiobiologie: nouveaux acquis (I) Collaboration: - Laboratoire de Radiotoxicologie et Oncologie (L. Sabatier) CEA, DSV - Laboratoire de Génotoxicité et Modulation de l Expression

Plus en détail

Les tests de génétique moléculaire pour l accès aux thérapies ciblées en France en 2011

Les tests de génétique moléculaire pour l accès aux thérapies ciblées en France en 2011 Mesure 21 SOINS ET VIE DES MALADES Les tests de génétique moléculaire pour l accès aux thérapies ciblées en France en 2011 COLLECTION Rapports & synthèses POUR UN ACCÈS AUX THÉRAPIES CIBLÉES : - LES PLATEFORMES

Plus en détail

ATELIER IMAGEJ. Différentes applications vous sont proposées pour apprendre à utiliser quelques fonctions d ImageJ :

ATELIER IMAGEJ. Différentes applications vous sont proposées pour apprendre à utiliser quelques fonctions d ImageJ : Différentes applications vous sont proposées pour apprendre à utiliser quelques fonctions d ImageJ : 1. ANALYSE QUANTITATIVE D UN GEL D ELECTROPHORESE... 2 2. NUMERATION DE COLONIES BACTERIENNES SUR UNE

Plus en détail

Transgene accorde une option de licence exclusive pour le développement et la commercialisation de son produit d immunothérapie TG4010

Transgene accorde une option de licence exclusive pour le développement et la commercialisation de son produit d immunothérapie TG4010 Parc d Innovation d Illkirch, France, le 10 mars 2010 Transgene accorde une option de licence exclusive pour le développement et la commercialisation de son produit d immunothérapie TG4010 Transgene (Euronext

Plus en détail

DES de Pathologie AFIAP

DES de Pathologie AFIAP DES de athologie AFIA 21 novembre 2009 J. Audouin,, S. ain IMMUNOHISTOCHIMIE Introduction I - Différentes méthodes AC conjugués Enzyme - anti-enzyme : A, AAA rotéine conjuguée : avidine, streptavidine

Plus en détail

DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE

DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement Disponible

Plus en détail

Conception de Médicament

Conception de Médicament Conception de Médicament Approche classique HTS Chimie combinatoire Rational Drug Design Ligand based (QSAR) Structure based (ligand et ou macromolec.) 3DQSAR Docking Virtual screening Needle in a Haystack

Plus en détail

Dr Pascale Vergne-Salle Service de Rhumatologie, CHU de Limoges. Membre enseignant chercheur EA 4021

Dr Pascale Vergne-Salle Service de Rhumatologie, CHU de Limoges. Membre enseignant chercheur EA 4021 Dr Pascale Vergne-Salle Service de Rhumatologie, CHU de Limoges Membre enseignant chercheur EA 4021 Rhumatisme inflammatoire chronique Prévalence des SA ies en Europe = 1 à 2% Age moy : 26 ans, ratio homme/femme:

Plus en détail

Service de Biothérapies

Service de Biothérapies AP-HP Service de Biothérapies Pr. D. Klatzmann Service de Biothérapies Activités de l unité de thérapie cellulaire Dr. Hélène Trébéden-Negre Plan Définition de la thérapie cellulaire Les autogreffes de

Plus en détail

Formation et évolution des organes sensoriels chez les insectes

Formation et évolution des organes sensoriels chez les insectes Formation et évolution des organes sensoriels chez les insectes Conférences Neuro-Évo-Dévo Masters SCN et GCDE - Université Paris Sud Virginie Orgogozo Bat. A, 5e étage, Paris 6 Virginie.orgogozo@snv.jussieu.fr

Plus en détail

Master Développement et Immunologie

Master Développement et Immunologie Master Développement et Immunologie MASTER 2 PROFESSIONNALISANT EN IMMUNOLOGIE Le Master 2 Professionnalisant en Immunologie propose aux étudiants des filières scientifiques et médicales une formation

Plus en détail

PLAN. Intérêt des cellules souches exogènes (hématopoïétiques ou mésenchymateuses) dans la réparation/régénération

PLAN. Intérêt des cellules souches exogènes (hématopoïétiques ou mésenchymateuses) dans la réparation/régénération Cellules souches & appareil respiratoire : Perpectives thérapeutiques Pr Carole Planès Physiologie SMBH Bobigny EA 2363, UFR SMBH, Université Paris 13 carole.planes@avc.aphp.fr Master 2 B2PCR Respiration

Plus en détail

Contrôle de l'expression génétique : Les régulations post-transcriptionnelles

Contrôle de l'expression génétique : Les régulations post-transcriptionnelles Contrôle de l'expression génétique : Les régulations post-transcriptionnelles http://perso.univ-rennes1.fr/serge.hardy/ utilisateur : biochimie mot de passe : 2007 L'ARNm, simple intermédiaire entre le

Plus en détail

Transport des gaz dans le sang

Transport des gaz dans le sang UE3-2 - Physiologie Physiologie Respiratoire Chapitre 9 : Transport des gaz dans le sang Docteur Sandrine LAUNOIS-ROLLINAT Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits

Plus en détail

Médicaments du futur : Tendances et enjeux. Nicolas PY, Debiopharm International forumofac.14 26/09/2014

Médicaments du futur : Tendances et enjeux. Nicolas PY, Debiopharm International forumofac.14 26/09/2014 Médicaments du futur : Tendances et enjeux Nicolas PY, Debiopharm International forumofac.14 26/09/2014 Quelques mots sur Debiopharm Groupe fondé en 1979 Siège à Lausanne 350 collaborateurs Financièrement

Plus en détail

Devenir des soignants non-répondeurs à la vaccination anti-vhb. Dominique Abiteboul - GERES Jean-François Gehanno Michel Branger

Devenir des soignants non-répondeurs à la vaccination anti-vhb. Dominique Abiteboul - GERES Jean-François Gehanno Michel Branger Devenir des soignants non-répondeurs à la vaccination anti-vhb Dominique Abiteboul - GERES Jean-François Gehanno Michel Branger Contexte Hépatite B = risque professionnel pour les soignants Passé futur

Plus en détail

Rôle de la PTOX dans la tolérance au stress lumineux chez les plantes alpines Etude d écotypes alpins chez Arabidopsis thaliana

Rôle de la PTOX dans la tolérance au stress lumineux chez les plantes alpines Etude d écotypes alpins chez Arabidopsis thaliana Rapport de stage 1 ère année de Master Environnement Spécialité Ecologie, Biodiversité, Evolution (EBE) Valérie GUITTET Soutenance : 7-8 juin 2010 Rôle de la PTOX dans la tolérance au stress lumineux chez

Plus en détail

STRUCTURE ET FONCTION DES PLURICELLULAIRES

STRUCTURE ET FONCTION DES PLURICELLULAIRES Plan de cours STRUCTURE ET FONCTION DES PLURICELLULAIRES 101-FYA-PT Pondération 3-1-2 Gilles Bourbonnais (C360) gilles.bourbonnais@dgpc.ulaval.ca Sciences de la Nature / PASC@L http://ici.cegep-ste-foy.qc.ca/profs/gbourbonnais/

Plus en détail

LA MALADIE DE WALDENSTRÖM expliquée au néophyte

LA MALADIE DE WALDENSTRÖM expliquée au néophyte LA MALADIE DE WALDENSTRÖM expliquée au néophyte Comment comprendre sa maladie de Waldenström lorsque l'on est ni médecin, ni biologiste? Bernard Cornillon, biochimiste à l'inserm, a rédigé ce document

Plus en détail

Les Applications industrielles et commerciales des cellules souches. Inserm Transfert Pôle Création d Entreprises

Les Applications industrielles et commerciales des cellules souches. Inserm Transfert Pôle Création d Entreprises Les Applications industrielles et commerciales s cellules souches Inserm Transfert Pôle Création d Entreprises Matthieu COUTET, Responsable du Pôle Jean-François RAX, Business Analyst 1 Plan Cellules souches

Plus en détail

FLUORESCENCE ET TESTS FONCTIONNELS Association Française aise de Cytométrie. 18 janvier 2007

FLUORESCENCE ET TESTS FONCTIONNELS Association Française aise de Cytométrie. 18 janvier 2007 FLUORESCENCE ET TESTS FONCTIONNELS Association Française aise de Cytométrie trie Journée e Thématique 18 janvier 2007 Cécile COTTET Laboratoire de Bioénerg nergétique Fondamentale et Appliquée e - Inserm

Plus en détail

Le don de moelle osseuse :

Le don de moelle osseuse : DON DE MOELLE OSSEUSE Le don de moelle osseuse : se décider aujourd hui, s engager pour longtemps LA MOELLE OSSEUSE ET SA GREFFE La moelle osseuse C est le tissu mou dans le centre du corps des os qui

Plus en détail

Base de données bibliographiques Pubmed-Medline

Base de données bibliographiques Pubmed-Medline Chapitre 1 ; Domaine 1 ; Documentation ; Champs référentiels 1.1.1, 1.1.2 et 1.1.3 Base de données bibliographiques Pubmed-Medline D r Patrick Deschamps,, 30 mai 2007 PLAN C2i métiers de la santé Introduction

Plus en détail

Prise de position sur les biosimilaires. Résumé

Prise de position sur les biosimilaires. Résumé Prise de position sur les biosimilaires Résumé Les médicaments biotechnologiques, appelés également biomédicaments, occupent une place importante dans le traitement de maladies comme le cancer, la polyarthrite

Plus en détail

Observer : l'absence de noyau des hématies la petite taille des plaquettes la forme et la taille des noyaux (leucocytes) ACTIVITES ELEVES TS

Observer : l'absence de noyau des hématies la petite taille des plaquettes la forme et la taille des noyaux (leucocytes) ACTIVITES ELEVES TS 4.1 La réaction inflammatoire, un exemple de réponse innée 4.1.1 Les cellules de défense au microscope optique : Par l'observation d'une goutte de sang humain au microscope, repérer chaque type de cellule

Plus en détail

MODULE DE VIROLOGIE 2010 IMMUNITE INNEE ANTIVIRALE CHEZ LES VERTEBRES

MODULE DE VIROLOGIE 2010 IMMUNITE INNEE ANTIVIRALE CHEZ LES VERTEBRES MODULE DE VIROLOGIE 2010 IMMUNITE INNEE ANTIVIRALE CHEZ LES VERTEBRES Marc DALOD CIML Téléphone 04-91-26-94-51 email: dalod@ciml.univ-mrs.fr INTRODUCTION BRAINSTORMING PAR PETITS GROUPES (10 MIN) 1) Qu

Plus en détail

HRP H 2 O 2. O-nitro aniline (λmax = 490 nm) O-phénylène diamine NO 2 NH 2

HRP H 2 O 2. O-nitro aniline (λmax = 490 nm) O-phénylène diamine NO 2 NH 2 ! #"%$'&#()"*!(,+.-'/0(,()1)2"%$ Avant d effectuer le dosage en IR de la biotine, il est nécessaire de s assurer de la reconnaissance du traceur par la streptavidine immobilisée sur les puits. Pour cela,

Plus en détail

Bases moléculaires des mutations Marc Jeanpierre

Bases moléculaires des mutations Marc Jeanpierre Bases moléculaires des mutations Marc Jeanpierre Chaque enfant qui naît hérite de 10 à 30 nouvelles mutations ponctuelles. L essentiel des ces mutations sont heureusement des variations neutres de séquence

Plus en détail

Production d effecteurs immuns. Veronique DECOT, MCU-PH UTCT (Unité de Thérapie Cellulaire et Tissus) CHU de Nancy

Production d effecteurs immuns. Veronique DECOT, MCU-PH UTCT (Unité de Thérapie Cellulaire et Tissus) CHU de Nancy Production d effecteurs immuns Veronique DECOT, MCU-PH UTCT (Unité de Thérapie Cellulaire et Tissus) CHU de Nancy Conditionnement Receveur Allogreffe de CSH Non prise et rejet de la greffe Donneur Immunosuppression

Plus en détail

Transport des gaz dans le sang

Transport des gaz dans le sang UE3-2 - Physiologie Physiologie Respiratoire Chapitre 9 : Transport des gaz dans le sang Docteur Sandrine LAUNOIS-ROLLINAT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits

Plus en détail