En 2016, la production de bovins finis progresse de 0,8 % en têtes et de 1,1 % en

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1 Agreste Synthèses - Animaux de boucherie - juillet n 2017/313 Juillet n 2017/313 Synthèses En, la crise du lait pèse sur le marché de la viande bovine tandis que celui des broutards se remet peu à peu de la FCO En, la production de bovins finis progresse de 0,8 % en têtes et de 1,1 % en poids. La progression des abattages de vaches, dans un contexte de crise du lait, fait plus que compenser la baisse des abattages des autres bovins et pèse sur les cours des bovins finis, en net repli par rapport à. Le déficit du commerce extérieur de viande bovine se réduit fortement en tandis que la consommation apparente de viande recule à nouveau (-0,6 %). La détection de foyers de FCO en septembre a fortement pénalisé le marché à l'exportation des broutards légers en, mais a relancé celui des broutards lourds, notamment vers l Italie. Au total, les exportations sont en légère hausse. Dans un contexte tendu sur les marchés à l export, les cours des bovins maigres sont quasiment stables. En, légère reprise de la production de bovins finis, en têtes Depuis la forte chute de la production en 2012 et 2013 après le pic de 2011, le redressement de la production française de bovins finis (Sources, définitions et méthodes) se poursuit : + 0,8 % en têtes et + 1,1 % en poids par rapport à sans toutefois retrouver les niveaux d avant 2013 (graphique 1). Elle est ainsi en repli par rapport à la moyenne (- 3,1 % en têtes, - 0,5 % en poids) (tableau 1). Graphique 1 Après une chute de la production entre 2011 et 2013, légère reprise de la production de bovins finis en Source : Agreste

2 Tableau 1 La production de bovins finis en augmentation en têtes et en poids en Abattages Exportations d'animaux finis Importations d' animaux finis Production de bovins finis / /moy / /moy / /moy / /moy en têtes TOTAL BOVINS ,7-3, ,4-3, ,1-55, ,8-3,9 Veaux de boucherie ,1-6, ,5-6, ,9-49, ,6-5,8 GROS BOVINS ,4-2, ,2-2, ,8-70, ,3-3,7 Vaches ,9 1, ,8 1, ,0-92, ,1 2,1 Génisses ,3-5, ,9-5, ,6-43, ,3-6,6 Gros bovins mâles ,4-6, ,5-6, ,2-26, ,7-9,5 en téc TOTAL BOVINS ,0-0, ,6-53, ,6-62, ,1-1,4 Veaux de boucherie ,4-2, ,8-34, ,4-62, ,7-1,6 GROS BOVINS ,8-0, ,2-55, ,4-63, ,8-1,6 Vaches ,2 2, ,9 126, ,5-88, ,3 2,7 Génisses ,0-1, ,3-69, ,6-43, ,1-2,8 Gros bovins mâles ,5-3, ,4-57, ,1-25, ,6-5,9 Source : Agreste, BDNI - Traitement SSP, Douanes Entre 2013 et, des abattages de vaches laitières en forte hausse En, les abattages totaux de bovins augmentent en têtes et en poids, avec des évolutions contrastées selon les catégories d animaux. Cette progression s explique essentiellement par les envois de vaches dans les abattoirs : + 2,9 % en têtes et + 3,2 % en poids par rapport à (graphique 2). Dans un contexte de prix du lait soutenus entre 2012 et l'été 2014 (graphique 3), les abattages de vaches laitières s étaient repliés en 2012, puis en Avec la crise du lait, marquée par une chute des prix à partir de l'été 2014, les éleveurs ont procédé à des mises à la réforme des vaches laitières plus importantes et les abattages se sont de nouveau accrus chaque année à compter de Cependant, la remontée des cours du lait à l'été a sans doute contribué à ralentir cette hausse. Ainsi, après avoir progressé au premier semestre de 3,7 % par rapport à la même période de, les abattages se maintiennent, au second semestre, au même niveau que (graphique 4). Graphique 2 Après une chute entre 2011 et 2013, hausse de 16 % des abattages de vaches laitières entre 2013 et Abattages de vaches () Vaches allaitantes Source : BDNI - Traitement SSP 2014 Moy Vaches laitières Graphique 3 Chute des prix du lait à compter de la mi ,42 0,40 0,38 0,36 0,34 0,32 0,30 0,28 0,26 /litre Source : Agreste - Enquête mensuelle laitière SSP/FranceAgriMer 2014 Prix standard Prix réel /7 Agreste Synthèses - Animaux de boucherie - juillet n 2017/313

3 Graphique 4 En fin d'année, ralentissement des abattages de vaches laitières dans un contexte de légère remontée des cours du lait Janvier Février Avril Mai Source : BDNI - Traitement SSP Juillet Août Septembre Octobre Novembre Décembre Moy....alors que ceux de vaches allaitantes sont restés quasiment stables jusqu'en Dans le même temps, après le pic de 2011, conséquence entre autres de conditions climatiques particulièrement défavorables au cours du premier semestre, les abattages de vaches allaitantes se sont régulièrement repliés jusqu'en 2013, puis stabilisés jusqu'en, avant de repartir à la hausse en (graphique 5). Entre 2013 et, les éleveurs de vaches allaitantes ont conservé sur les exploitations un effectif élevé de vaches nourrices afin de bénéficier de la nouvelle Aide aux Bovins Allaitants (ABA) mise en place en dans le cadre de la PAC Au 1 er janvier, compte tenu des taux de réforme plutôt bas des années précédentes, les effectifs de vaches allaitantes présentes sur les exploitations sont élevés : 4,2 millions de têtes, soit têtes par rapport au 1 er janvier (+ 1,7 %). Un nombre important de génisses allaitantes de plus d un an, en âge de vêler et donc de devenir vache dans l année, se trouvent sur les exploitations. Dans ce contexte, malgré un marché de la viande encombré par l afflux de viande d origine laitière suite à la crise laitière et au repli des cours, les éleveurs de bovins allaitants augmentent les mises à la réforme et les abattages de vaches allaitantes repartent à la hausse (+ 3,9 % sur un an). La sécheresse estivale de l été et son impact sur les productions fourragères conduisent les éleveurs à augmenter les mises à la réforme avant l entrée dans l hiver. Les abattages sont ainsi supérieurs de 4,7 %, sur un an, au 2 d semestre, après + 3,1 % au 1 er semestre. Graphique 5 Reprise des abattages de vaches allaitantes en Janvier Février Avril Mai Source : BDNI - Traitement SSP La mauvaise conjoncture laitière dans l'union européenne s'est traduite par un afflux de vaches dans les abattoirs, impactant les cours des vaches laitières Globalement sur l'année, les abattages totaux de vaches dans l'ue dépassent de plus de 6 % le tonnage de et de 8 % le tonnage moyen de la période (graphique 6). Neuf pays représentent 85 % des abattages totaux de vaches. La France réalise 27 % des abattages européens, suivie de l'allemagne et du Royaume-Uni, respectivement 16 % et 8 %, soit à eux trois, 51 % des abattages totaux de vaches de l'ue. De façon générale, les abattages de vaches au sein de l'union européenne se sont accrus tout au long de l'année. À partir de février, l'allemagne, second pays européen derrière la France pour le cheptel laitier, enregistre une forte hausse des mises Graphique 6 Des abattages de vaches en nette hausse tout au long de l'année, au sein de l'union européenne Janv Févr Avr Mai Juil Août Sept Oct Nov Déc Moy Juillet Août Septembre Octobre Novembre Décembre Moy. à la réforme de vaches et une chute des cours nationaux des vaches de type «O». L'afflux de viande de vache sur le marché européen se traduit par une chute des cours européens des vaches de type «O» (Sources, définitions et méthodes) à partir de février, dans l'ensemble des pays producteurs de l'ue (graphique 7). Les variations saisonnières des cours des vaches se caractérisent, habituellement, par une hausse en début d'année, suivie d une baisse en seconde partie de l'année. En, les cours européens n'augmentent pas sur la première partie de l'année, restant quasiment stables à l'inverse des années précédentes. Ils commencent à remonter en fin d année. Graphique 7 En, des cours de la vache "O" nettement déprimés au sein de l'ue /100kg carcasse /01/11 03/07/11 03/01/12 03/07/12 03/01/13 03/07/13 03/01/14 03/07/14 03/01/15 03/07/15 03/01/16 03/07/16 03/01/17 Source : Eurostat Source : DGAGRI Agreste Synthèses - Animaux de boucherie - juillet n 2017/313 3/7

4 Les abattages des autres catégories de bovins en repli ou stables en Les abattages de bovins mâles reculent en de 3,4 % en têtes et de 2,5 % en poids. Ce repli s explique par une baisse des effectifs de bovins mâles présents dans les exploitations et peut être également par des niveaux de prix peu élevés, incitant les éleveurs à conserver les animaux plus longtemps. Le poids moyen des bovins mâles abattus a ainsi augmenté de 1,1 % entre et. Dans le même temps, les abattages de veaux de boucherie sont quasiment stables en têtes (+ 0,1 %) et en poids (+ 0,4 %), en raison d un très léger alourdissement du poids moyen des carcasses, de 141 kg en à 142 kg en. Cette augmentation de poids permet aux intégrateurs d'augmenter la production de viande malgré une stabilité du nombre d'animaux placés en ateliers d'engraissement. En, net recul des échanges de bovins finis En, les exportations de bovins finis, toutes catégories confondues, reculent de 4 % en têtes et en poids. Elles restent peu importantes par rapport au niveau des abattages et concernent essentiellement les gros bovins mâles, qui représentent 63 % des exportations totales de bovins finis, en recul de 12 % en glissement annuel. Ce repli concerne les ventes aux pays tiers et plus particulièrement à destination du Liban, les exportations vers l Union européenne progressant. Les importations de bovins finis, constituées à 80 % par des achats de veaux de boucherie en provenance des Pays-Bas et de l Allemagne, se replient de 21 % en glissement annuel, et de moitié par rapport au niveau moyen de la période. Au final, le solde du commerce extérieur de bovins vivants finis s améliore, sur un an et par rapport à la période. Tableau 2 En, baisse de 0,6 % de la consommation apparente de viande bovine en France Poursuite de la baisse de la consommation de viande bovine Prolongeant une tendance structurelle depuis 2000, la consommation apparente (Sources, définitions et méthodologie) de viande bovine se contracte de 0,6 % sur un an (Tableau 2), dans un contexte de légère hausse de la production. Les résultats de l'enquête Kantar Worldpanel pour FranceAgriMer sur les achats de viande bovine par les ménages pour leur consommation à domicile confirment ce repli. Entre et, les achats de viande bovine par les ménages reculent de près de 2 % pour la viande de gros bovins, et de près de 5 % pour la viande de veau. Le solde du commerce extérieur de viande bovine s'améliore en En, le déficit du commerce extérieur de viande bovine française se réduit, passant de à téc. Les importations, essentiellement des viandes fraîches ou réfrigérées, proviennent principalement des Pays-Bas, d Allemagne et d'irlande. Avec près de téc en, elles reculent de près de 7 % en moyenne par rapport à. En valeur, elles reculent de 8 %, atteignant 1,3 milliard d'euros. Dans le même temps, les exportations de viande bovine se maintiennent en tonnage au niveau de (soit téc), tout en reculant de près de 2 % en valeur. Sur la période, alors que les exportations de viande fraîche ou réfrigérée (83 % des tonnages) se réduisent très légèrement (-0,4 %), celles des viandes congelées progressent de 9 %. Les exportations vers l'italie, premier débouché de la milliers de téc / /Moy Abattages totaux ,0-0,5 Exportations de viande bovine ,1-11,8 Importations de viande bovine 322-6,8-16,0 Consommation apparente de viande bovine ,6-2,4 Source : Agreste viande bovine française, reculent de près de 2 % sur un an, alors que celles vers la Grèce augmentent de plus de 5 %, rompant ainsi avec les baisses constatées depuis En, baisse généralisée des cours des bovins finis malgré une légère reprise en fin d année En, la hausse des abattages de vaches a entraîné une baisse des cours des bovins (graphique 8). Sur le premier trimestre, les cours des vaches et des jeunes bovins se maintiennent par rapport à tout en restant légèrement en deçà. A compter de la mi-avril et jusqu en octobre, les prix moyens des vaches de type «O», plutôt représentatifs des cours des vaches laitières, décrochent, sans bénéficier ensuite de la hausse traditionnelle des cours constatée chaque été. Graphique 8 En, baisse générale des cours des bovins finis /kg carcasse 4,3 4,2 4,1 4,0 3,9 3,8 3,7 3,6 3,5 3,4 3,3 3,2 3,1 3,0 2,9 2, semaine Vache R Vache O Vache R 2017 Vache O 2017 Source : FranceAgrimer Vache R Vache O Vache R moy Vache O moy 4/7 Agreste Synthèses - Animaux de boucherie - juillet n 2017/313

5 Compte tenu du poids des vaches laitières dans le marché de la viande bovine, la baisse des cours pèse sur ceux des autres catégories (vaches allaitantes et jeunes bovins), tirant également le cours de ces produits à la baisse. Globalement sur les dix premiers mois de l année, les cours des vaches de type «O» sont en retrait de 7,3 %, de même que ceux des vaches de type «R» de 6,7 %, et ceux des jeunes bovins de type «R» de 3,4 %, par rapport à la même période de, malgré une réduction des volumes vendus sur la période. A compter de début novembre (semaine 44), alors que les cours de la vache de type "O" amorcent généralement leur baisse saisonnière, ils se maintiennent, puis augmentent légèrement à partir de décembre (semaine 49), annonçant la légère reprise des cours constatée début En 2017, les cours des vaches "O" semblent pour l'instant renouer avec les évolutions et les niveaux de, entraînant également dans leur sillage les cours des autres catégories de bovins finis de plus d'un an. En, les cours des veaux de boucherie restent, en deçà du niveau moyen de (- 1,7 %) et de la moyenne (- 5,2 %), conséquence d une fin d'année médiocre. Au cours des neuf premiers mois de l'année, ils se sont maintenus proches des prix, en repli toutefois de 0,5% en moyenne par semaine, sur un an. A compter de début octobre (semaine 39), ils n affichent pas la tendance à la hausse constatée sur la même période de. Sur les quatre derniers mois de l'année, ils se réduisent ainsi de 0,5 % en moyenne par semaine. Des exportations de bovins maigres soutenues bien que perturbées par les conséquences de la FCO Le marché des bovins maigres regroupe deux types d animaux : les broutards légers dont le poids vif est compris entre 160 et 300 kg et les broutards lourds, de plus de 300 kg vif. La détection en septembre de foyers de Fièvre Catarrhale Ovine (FCO) en France a fortement perturbé le marché des bovins maigres. A compter de cette date, la vaccination contre la FCO a été rendue obligatoire pour tout animal exporté et a freiné les exportations vers toutes les destinations. Avec la fermeture du marché turc, les ventes de broutards légers vers la Turquie ont chuté de animaux en, à près de en, soit - 86 %. Graphique 9 Depuis janvier, reprise des exportations des broutards lourds mais repli des ventes de broutards légers janv-12 mai-12 sept-12 janv-13 mai-13 sept-13 janv-14 mai-14 sept-14 janv-15 mai-15 sept-15 janv-16 mai-16 sept-16 janv-17 avr-17 Bovins lourds Source : DGDDI (Douanes) Bovins légers Au total, les exportations de broutards légers ont reculé de 18 % ( têtes) entre et (graphique 9). En revanche, dès la mise en place en octobre de conditions réglementaires et sanitaires, le marché des broutards lourds est reparti à la hausse. Sur l'année, les exportations de cette catégorie de broutards ont ainsi progressé de près de 12 % (soit animaux) sur un an, et de 11 % par rapport à la moyenne (soit têtes). Ces animaux sont destinés à près de 94 % au marché européen, et plus spécifiquement à l Italie (87 % des broutards lourds exportés par la France). Au total, les exportations de broutards se sont accrues de 2,9 % par rapport à et de près de 5% par rapport à la période, les expéditions à destination de l Italie ayant augmenté de près de 9 %. Conséquence de la tension sur les marchés à l export, les cours des bovins maigres se sont globalement maintenus, + 0,6 % en moyenne par rapport aux cours de et à la moyenne. Au premier semestre, ils se sont même situés nettement au-dessus de. A compter de mi-juillet, ils se sont repliés, jusqu'à passer, à compter de mi-septembre, en dessous du niveau atypique de, et des cours moyens de la période. En 2017, les cours restent en-deçà des niveaux élevés de début, mais néanmoins proches de la moyenne Agreste Synthèses - Animaux de boucherie - juillet n 2017/313 5/7

6 Sources, définitions et méthodes Sources Données d'abattages et cheptel : Base de données nationale d'identification (BDNI) bovine Cotations entrée abattoirs et animaux vivants : FranceAgriMer Statistiques du commerce extérieur : Douanes (DGDDI) Données européennes : Eurostat et DGAgri Définitions Gros Bovin Mâle : bovin mâle âgé de plus de 8 mois Veau de boucherie : bovin abattu et âgé de moins de 8 mois Vache : bovin femelle ayant déjà vêlé Génisse : femelle de plus de 8 mois n'ayant jamais vêlé Bovin maigre ou broutard : animal destiné à être engraissé dans une autre exploitation. Les broutards sont répartis entre les broutards légers (de 160 à 300 kg vif) et les broutards lourds (plus de 300 kg vif). Les poids des carcasses sont des poids fiscaux et comprennent les saisies partielles ou totales. Abattages CVJA Les données brutes concernant les abattages sont exprimées en nombre (tête) et en poids (téc). Il s'agit des bovins abattus dans les abattoirs publics ou industriels, contrôlés par les services vétérinaires. Les résultats des abattages bruts sont corrigés en appliquant des coefficients de variation journalière d'abattage (CVJA) afin de tenir compte du niveau d'activité des abattoirs qui différent selon les jours de la semaine et la présence ou non de jours fériés dans le mois, le mois précédent ou le mois suivant. Production de bovins finis La production de bovins finis CVJA correspond aux abattages de bovins bruts auxquels on ajoute les exportations de bovins vivants finis et on retranche les importations de bovins vivants finis. La production de bovins finis est calculée pour les différentes catégories de bovins. Consommation apparente de viande bovine La consommation calculée par bilan de viande bovine correspond aux abattages totaux de bovins (en téc) auxquels on ajoute les importations de viande bovine et on retranche les exportations de viande bovine. Les achats de viande bovine par les ménages pour leur consommation à domicile Les achats de viande bovine mesurés par Kantar Worldpanel pour FranceAgriMer reposent sur les relevés d'un panel de consommateurs portant uniquement sur les achats effectués pour leur consommation à domicile. La consommation hors foyer n'est donc pas couverte. Les résultats sont ensuite extrapolés à l'ensemble de la population. Tonne équivalent carcasse (Téc) Il s agit d une unité employée pour pouvoir agréger des données en poids concernant des animaux vivants et des viandes sous toutes leurs présentations : carcasses, morceaux désossés ou non, viandes séchées, etc. On applique au poids brut un coefficient propre à chaque forme du produit. Classement des carcasses Le classement des carcasses se fait selon la grille E.U.R.O.P sur deux critères : la conformation et l engraissement. La conformation correspond au développement musculaire et est évaluée en premier sur une échelle comprenant cinq échelons E.U.R.O.P : la classe E correspond à un développement musculaire exceptionnel et la classe P à un développement musculaire insuffisant. La définition de la conformation se fait par rapport à des images de références et à des profils musculaires. La classe O désigne des carcasses dont le développement musculaire est de type moyen et souvent caractéristique des vaches élevées pour la production de lait. L engraissement est exprimé à partir d une échelle à cinq échelons : la classe 1 correspond à un animal très maigre et la classe 5 à un animal très gras. L évaluation de l engraissement se fait principalement en considérant les dépôts de gras sur la cage thoracique. 6/7 Agreste Synthèses - Animaux de boucherie - juillet n 2017/313

7 Pour en savoir plus Toutes les informations conjoncturelles et structurelles sur la production bovine, la consommation de viande bovine et les effectifs bovins sont disponibles à parution sur le site Agreste de la statistique agricole : dans la rubrique «Conjoncture - Bulletin» pour les séries chiffrées dans la rubrique «Conjoncture - Animaux de Boucherie-Ovins» pour les publications mensuelles Agreste Conjoncture Les dernières publications Agreste parues sur le thème sont : «Fin, quasi maintien des effectifs de bovins en France» - Infos Rapides Cheptel Bovin - mars 2017 «Légère hausse du cheptel bovin» - Infos Rapides Cheptel Bovin - octobre «En, la crise laitière et la FCO ont impacté la production et les marchés des bovins» Synthèse Animaux de boucherie n /293 - juillet «En mai 2013, pour la première fois depuis cinq ans, les effectifs de vaches laitières n'ont pas baissé» Synthèse Lait n 2013/224 - octobre 2013 Sigles et abréviations BDNI : base de Données nationale d'identification DGAgri : direction générale de l agriculture et du développement rural DGDDI : direction générale des douanes et droits indirects E.U.R.O.P : grille de classification des viandes correspondant aux cinq lettres du mot Ministère de l Agriculture et de l Alimentation Secrétariat Général SERVICE DE LA STATISTIQUE ET DE LA PROSPECTIVE 3 rue Barbet de Jouy PARIS 07 SP Site internet : Directrice de la publication : Béatrice Sédillot Rédacteur : Marie-Anne Lapuyade Composition : SSP Dépot légal : À parution Agreste 2017 Cette publication est disponible à parution sur le site Internet de la statistique agricole Agreste Synthèses - Animaux de boucherie - juillet n 2017/313 7/7

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