Nous dépendons tous de notre motivation personnelle pour
|
|
- Rachel Leboeuf
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Chapitre deux Travailler avec la nature humaine Nous dépendons tous de notre motivation personnelle pour soutenir les efforts que nous déployons dans n importe quelle activité. Sans elle, les situations semblent généralement plus noires qu elles ne le sont vraiment et les initiatives plus difficiles à prendre. Le psychologue et philosophe William James estime que «le principe le plus profondément ancré dans la nature humaine est le besoin maladif d être apprécié». Il suggère qu un manager efficace arrive à resserrer les rangs de son équipe en montrant son intérêt pour les valeurs et les motivations personnelles de ses membres. Aujourd hui, cette approche est considérée vitale dans la relation avec les employés. En tant que responsable, vous vous devez de mieux comprendre la nature humaine et les raisons qui justifient le comportement des gens. En investissant du temps dans ces efforts, vous serez mieux équipé pour affronter les relations avec vos collaborateurs et vous créerez un environnement professionnel plus productif et agréable. Le pourquoi et le comment des choses Parfois, nous n arrivons pas à comprendre certaines personnes! Leurs initiatives peuvent nous surprendre ; leur inaction nous décevoir ; leurs façons inattendues d agir nous frustrer. Mais si vous explorez quelques théories de base sur la nature humaine, il vous Travailler avec la nature humaine 25
2 sera plus facile de répondre au pourquoi et au comment des choses qui se déroulent dans un environnement spécifique. Vous avez dit «théories»? Comment des théories peuvent-elles vous aider à comprendre ce que font les gens? Tout dépend de la façon dont vous vous en servez. Il est vrai que les théories sur la nature humaine ne peuvent jamais prédire à coup sûr ce que les gens feront ou comment ils le feront. Mais elles peuvent indiquer ce qui peut arriver et vous fournir d utiles lignes directrices qui vous permettront d affronter toutes sortes de situations atténuant ainsi l effet de surprise, la déception ou la frustration. Le concept de la théorie X et de la théorie Y Dans son livre The Human Side of Enterprise (1960, La dimension humaine de l entreprise, Gauthier-Villars, 1974), Douglas McGregor développe une nouvelle approche pour expliquer comment les managers pourraient considérer leurs employés en fonction de différentes conceptions de la nature humaine appliquées au monde professionnel. Il décrit deux alternatives : la théorie X et la théorie Y. Afin de mieux appréhender ces concepts, on peut penser à deux extrémités sur un continuum. McGregor affirme que les managers qui adhèrent à la théorie X émettent les suppositions suivantes : le travail, de par sa nature même, est une occupation désagréable, l individu moyen est paresseux et n a pas d ambition, les gens préfèrent être surveillés de près, en règle générale, les employés esquivent les responsabilités, l argent représente leur principal facteur de motivation, afin de les encourager à poursuivre les objectifs de l entreprise, les collaborateurs doivent être contraints ou convaincus au moyen de récompenses. Inversement, McGregor pose l hypothèse que les managers qui adhèrent à la théorie Y émettent les suppositions suivantes : 26 Motiver ses collaborateurs
3 les individus aiment travailler, le travail est une activité aussi innée que le jeu, la reconnaissance et l épanouissement personnel comptent autant que l argent, les employés s engagent dans leur travail, ils sont autonomes et cherchent à prendre des responsabilités, lorsqu ils en ont la possibilité, les collaborateurs de tous niveaux font preuve de créativité et d ingéniosité. mot clé La théorie X de McGregor Selon cette théorie, le travail est par nature désagréable ; les gens sont paresseux et sans ambition ; les employés préfèrent être surveillés de près et éviter les responsabilités ; l argent est leur principal facteur de motivation et il faut les contraindre à travailler et les motiver à coups de récompenses. La théorie Y de McGregor Selon cette théorie, les gens aiment travailler ; le travail est une activité aussi naturelle que le jeu ; la reconnaissance et l épanouissement personnel sont aussi importants que l argent ; les employés s investissent dans leur travail ; ils aiment être autonomes et avoir des responsabilités ; si on les laisse s exprimer, ils font preuve de créativité et d ingéniosité. Bien. Réfléchissez un instant afin de découvrir comment vous, vous vous comportez envers vos collaborateurs, comment vous les traitez et comment vous parlez d eux. Imaginez une journée ou une semaine type sur votre lieu de travail : que faites-vous? Que dites-vous d habitude? Où pensez-vous vous situer sur le continuum de la théorie X à la théorie Y? Êtesvous plus proche de la première ou de la seconde? La théorie X et la théorie Y décrivent les différentes idées reçues que l on peut avoir à propos des gens. Bien entendu, ce n est pas uniquement théorique, car chacun agit en accord avec ce qu il croit ; les employés sont traités en fonction des convictions qu a leur employeur sur la nature humaine. Votre conception de la nature humaine aura donc un impact significatif sur les relations que vous instaurerez avec vos collaborateurs et sur votre façon d essayer d améliorer leur motivation. Ces attitudes de management très contrastées influenceront votre façon Travailler avec la nature humaine 27
4 d interagir avec les personnes qui travaillent autour de vous, votre façon de gérer les gens et d influencer l environnement professionnel, volontairement ou involontairement. Quel est votre style de management? L ensemble des hypothèses réunies par McGregor sous les théories X et Y couvre la totalité d un continuum. Il est vraisemblable qu aucun manager ne correspond totalement aux attitudes de la théorie X ou de la théorie Y. Mais cette approche devrait vous aider à mieux comprendre votre style de management personnel, vos instincts en quelque sorte. Elle pourrait également vous aider à juger à quel moment vos attitudes devraient s adapter à une situation, un environnement, une culture ou à certains collaborateurs. Il ne s agit donc pas vraiment de savoir si vous êtes un manager théorie X ou Y. En définitive, ce qui est important, c est que chaque manager parvienne à ce que les tâches soient accomplies en travaillant avec les autres et grâce aux autres. La clé du succès consiste donc à déterminer le style de management qui sera le plus adapté pour motiver au maximum vos collaborateurs. Le style de management de la théorie X revient à ne faire confiance qu à vous-même pour faire ce qui doit être fait. En termes de relations avec vos collaborateurs, nous pouvons dire qu il s agit d une approche du management orientée contrôle. Le style de management de la théorie Y revient à faire confiance à la fois à vous-même et à vos collaborateurs pour faire ensemble ce qui doit être fait. En termes de relations, nous pouvons dire qu il s agit d une approche du management orientée responsabilisation. Passons en revue les différences entre ces deux styles de management. Manager orienté contrôle (théorie X) Il prend des décisions sans solliciter la participation des autres. Il garde le contrôle de la situation. 28 Motiver ses collaborateurs
5 Il croit fermement en la validité de ses points de vue. Les objectifs priment tout et il peut être exigeant. Il peut faire pression sur les autres pour atteindre les objectifs. Il se peut qu il prenne des sanctions disciplinaires contre ceux qui fournissent un travail insatisfaisant. Il agit fermement et il est capable de faire face à des performances médiocres. Il n accepte pas les critiques émanant de son équipe. Manager orienté responsabilisation (théorie Y) Ses décisions reposent sur le consensus et il fait en sorte que ses employés se sentent responsables de leurs contributions. Il encourage la créativité et l initiative. Il forme ses collaborateurs et leur facilite efficacement le travail, Il montre la voie à l aide d exemples. Il reconnaît le travail bien fait. Il aide ses collaborateurs à évoluer dans leur travail et les incite à prendre davantage de responsabilités. Il encourage le travail d équipe qui pour lui a une véritable valeur. Si votre style de management penche vers la théorie X, vous interagissez avec vos employés d une façon qui confirme cette théorie et contribue à créer un environnement en accord avec la théorie X. Vous incitez probablement les gens à atteindre de grandes performances en les accompagnant pas à pas et en leur expliquant quoi faire et comment le faire. Vous les avez à l œil, chose qu ils n apprécient pas ; ils réagissent négativement à votre direction et contrôles constants. Cela conforte bien évidemment votre conviction selon laquelle pour obtenir un résultat satisfaisant, les collaborateurs ont besoin d un micro-management. En d autres termes, les hypothèses de la théorie X deviennent réalité. Peut-être ne vous en rendez-vous même pas compte, mais vous créez un environnement typique de la théorie X, un environnement auquel vos collaborateurs s adaptent c est pourquoi la compré- Travailler avec la nature humaine 29
6 hension de ces théories est capitale pour devenir un manager efficace. Il n y aurait en effet pas grande logique à créer un environnement qui donnerait des niveaux de performance inférieurs à vos attentes. L inverse est tout aussi vrai si votre style de management penche vers la théorie Y. Vous allez créer un climat de confiance réciproque, donnant à vos collaborateurs l autorité et la responsabilité de faire leur travail du mieux qu ils le peuvent. Vous pouvez aussi vous attendre à ce qu ils réagissent positivement à cette attitude de respect et de soutien. Là encore, vos conceptions deviennent réalité. La théorie Y est le fruit d une attitude que vous adoptez lorsque vous interagissez avec vos collaborateurs. Pensez un instant à toutes les personnes qui vous entourent, surtout à vos subordonnés, mais aussi à vos pairs et vos supérieurs hiérarchiques. Les gens n auront pas tous le même degré d expérience, ni la même énergie ou les mêmes intérêts par rapport à leur travail. Il n y a donc aucune logique à vouloir croire qu un manager partisan de la principe de bon management Soyez positif Vos suppositions sur la motivation de vos collaborateurs à réaliser des performances influent sur votre façon d interagir avec eux. Soyez donc positif a priori, agissez en accord avec cette hypothèse et vous verrez que les gens réagiront en conséquence. Bien entendu, vos collaborateurs auront parfois besoin de consignes précises à propos d une tâche. Fournissez-leur ces consignes et apportez-leur votre soutien et vous pouvez parier qu ils feront tout ce que vous leur demandez et bien. théorie Y peut conférer à tous, sans exception, la responsabilité d agir comme ils le souhaitent ou de prendre des décisions importantes qui touchent l ensemble du service, voire l entreprise tout entière. Il vous faudra souvent ajuster votre comportement aux besoins de chaque employé ainsi qu aux situations spécifiques que vous affrontez. Pour cela, faites appel à votre meilleur jugement et à votre bon sens en fonction du moment, de l endroit, des circonstances et des individus impliqués. 30 Motiver ses collaborateurs
Prévention LES ENJEUX DE LA PREVENTION. Infos INTRODUCTION : SOMMAIRE :
Centre de Gestion de la Fonction Publique Territoriale de la Dordogne - Infos Prévention n 15 Octobre 2010 Infos Prévention LES ENJEUX DE LA PREVENTION SOMMAIRE : LES ENJEUX DE LA PREVENTION Introduction
Plus en détailInformation, confiance et cohésion sociale dans un conflit environnemental lié à un projet de parc éolien au Québec
Information, confiance et cohésion sociale dans un conflit environnemental lié à un projet de parc éolien au Québec Résumé des résultats et conclusions de la recherche Marie-Ève Maillé, Ph. D. Centre de
Plus en détailDEVENEZ UN POKER-KILLER AU TEXAS HOLD EM!
DEVENEZ UN POKER-KILLER AU TEXAS HOLD EM! NIVEAU DEBUTANT http://www.poker-killer.com/ 1 INTRODUCTION Je m'appelle david Jarowsky, 53 ans. Je n ai jamais été le premier de la clase, ni quelqu un d extraordinaire.
Plus en détailIntérêt pour les personnes 1.9. 9.9 Club social. 5.5 Compromis 1.1. 9.1 Laisser-faire. Intérêt pour la tâche. Travail équipe.
Cours 12 Le pouvoir au sein d une organisation Les liens entre pouvoir, autorité et obéissance Le leadership et les traits personnels Les théories du leadership situationnel Pouvoir Capacité d un individu
Plus en détailMegaStore Manager ... Simulation de gestion d un hypermarché. Manuel du Participant
MegaStore Manager Simulation de gestion d un hypermarché.......... Manuel du Participant 1. Introduction 1.1. La simulation de gestion Vous allez participer à une simulation de gestion. Cette activité
Plus en détailLA RECONNAISSANCE AU TRAVAIL: DES PRATIQUES À VISAGE HUMAIN
LA RECONNAISSANCE AU TRAVAIL: DES PRATIQUES À VISAGE HUMAIN JEAN-PIERRE BRUN PROFESSEUR CHAIRE EN GESTION DE LA SANTÉ ET DE LA SÉCURITÉ DU TRAVAIL UNIVERSITÉ LAVAL http://cgsst.fsa.ulaval.ca Dans quatre
Plus en détailMANAGER POUR LA PREMIÈRE FOIS
Frédéric Crépin MANAGER POUR LA PREMIÈRE FOIS, 2004. ISBN : 2-7081-3140-0 5 Chapitre 1 idées reçues sur les managers et le management au quotidien Idée reçue n 1 : managers et salariés doivent avoir les
Plus en détailNotre Programme de responsabilité Formation au Code déontologique de Nyrstar Code déontologique Des craintes? Contactez
Code déontologique Le Nyrstar Way Se prémunir de tout préjudice Eviter tout préjudice à notre personnel, notre environnement, notre stratégie et veiller à l intégrité de nos sites et équipements Etre ouvert
Plus en détailCONDUCTEUR ÂGÉ. Dr Jamie Dow. Medical Advisor on Road Safety Société de l assurance automobile du Québec LLE. Dr Jamie Dow
LLE CONDUCTEUR ÂGÉ Dr Jamie Dow Conseiller médical en sécurité routière Service des usagers de la route Janvier 2011 Dr Jamie Dow Medical Advisor on Road Safety Société de l assurance automobile du Québec
Plus en détailREGLES INTERNES AU TRANSFERT DE DONNEES A CARACTERE PERSONNEL
REGLES INTERNES AU TRANSFERT DE DONNEES A CARACTERE PERSONNEL L important développement à l international du groupe OVH et de ses filiales, conduit à l adoption des présentes règles internes en matière
Plus en détailConsultation publique sur le projet de politique québécoise de gestion des matières résiduelles
Consultation publique sur le projet de politique québécoise de gestion des matières résiduelles Mémoire du Regroupement national des conseils régionaux de l environnement du Québec 23 février 2010 Présentation
Plus en détailLivret d accueil pour les futurs parents, les parents et les assistant(e)s maternel(le)s
Livret d accueil pour les futurs parents, les parents et les assistant(e)s maternel(le)s Un livret, pour qui? Ce livret est destiné aux parents et futurs parents qui souhaitent trouver un mode de garde
Plus en détailSondage auprès des employés du réseau de la santé et des services sociaux du Québec - Rapport sommaire -
Sondage auprès des employés du réseau de la santé et des services sociaux du Québec - Rapport sommaire - Juin 2009 1 Objectifs Réalisée par CROP pour le compte de l Association québécoise d établissements
Plus en détailTRAVAILLER AVEC LES BANQUES
TRAVAILLER AVEC LES BANQUES GUIDE PRATIQUE DE NÉGOCIATION AVEC LES BANQUES DANS LE CADRE DE PROGRAMMES DE TRANSFERTS MONÉTAIRES THE CASH LEARNING PARTNERSHIP www.cashlearning.org AU SOMMAIRE DE CE GUIDE
Plus en détailComparaison des différentes versions des cadres du PAAS ACTION
Comparaison des différentes versions des cadres du PAAS ACTION Au cours de l année 2014-2015, Emploi Québec a modifié deux fois le chapitre du Programme d aide et d accompagnement social (PAAS) ACTION
Plus en détailLa responsabilité juridique des soignants
La responsabilité juridique des soignants Les soignants, face à des conditions de travail parfois difficiles et aux aléas de la médecine, songent plus souvent aux risques thérapeutiques qu aux risques
Plus en détailRecommandez Sunrise. Un partenaire de confiance.
Recommandez Sunrise Un partenaire de confiance. Soins de longue durée et soins pour personnes semi-autonomes Soins pour personnes souffrant de l Alzheimer ou éprouvant des troubles de la mémoire Soins
Plus en détailCHARTE ETHIQUE DE WENDEL
CHARTE ETHIQUE DE WENDEL Mars 2015 1 Message du Directoire Wendel est l une des toutes premières sociétés d investissement en Europe. Grâce au soutien d un actionnariat familial stable, Wendel a su se
Plus en détailQuestion 1: Informations sur la personne ou entité interrogée
Juin 2013 QUESTIONNAIRE REPONSE DES AUTORITES FRANCAISES CONSULTATION SUR LES RÉSULTATS DE L ÉTUDE SUR LA SITUATION ACTUELLE ET LES PERSPECTIVES DES SOCIÉTÉS MUTUELLES EN EUROPE Question 1: Informations
Plus en détailCONVENTION-CADRE DE PARTENARIAT ENTRE LA FONDATION PRINCE ALBERT II DE MONACO
CONVENTION-CADRE DE PARTENARIAT ENTRE LA FONDATION PRINCE ALBERT II DE MONACO ET L UICN, UNION INTERNATIONALE POUR LA CONSERVATION DE LA NATURE ET DE SES RESSOURCES EN PRESENCE DE L INSTITUT OCEANOGRAPHIQUE,
Plus en détailDifférencier, d accord oui mais comment organiser sa classe.
Différencier, d accord oui mais comment organiser sa classe. Quand on est convaincu que l on ne peut pas travailler tout le temps avec toute sa classe en même temps et que l on souhaite mettre en place
Plus en détailDécouvrez ce que votre enfant peut voir
23 Chapitre 4 Découvrez ce que votre enfant peut voir De nombreux enfants qui ont des problèmes de vue ne sont pas totalement aveugles. Ils peuvent voir un peu. Certains enfants peuvent voir la différence
Plus en détailUE 1-1- Appréhension des concepts fondamentaux du droit Matières. UE 2-1 - Appréhension des concepts fondamentaux du droit Matières
1 ère année Licence «Droit, Economie, Gestion» Mention «Droit et science politique» Adopté par le CEVU Univ. Bx IV du 22/05/2012 UE 1-1- Appréhension des concepts Introduction générale à l étude du droit
Plus en détail1 Chapitre Chapitre. Le coaching QU EST-CE QUE C EST?
1 Chapitre Chapitre Le coaching «Ils jouent un jeu. Ils jouent à ne pas jouer un jeu. Si je leur montre que je le vois, je briserai les règles et ils me puniront. Je dois jouer leur jeu, qui consiste à
Plus en détailT : +33 1 47 38 55 00 F : +33 1 47 38 55 55 info@cms-bfl.com www.cms-bfl.com Neuilly-sur-Seine, le 14 décembre 2011
CMS Bureau Francis Lefebvre 1-3 Villa Emile Bergerat, 92522 Neuilly-sur-Seine Cedex, France T : +33 1 47 38 55 00 F : +33 1 47 38 55 55 info@cms-bfl.com www.cms-bfl.com Neuilly-sur-Seine, le 14 décembre
Plus en détailCode de conduite Zoomit
Code de conduite Zoomit Dans ce document : 1. Objectif 2. Champ d application 3. Qu est-ce que Zoomit et quelles parties sont concernées? 4. Organisation, contrôle et informations complémentaires 5. Sécurité
Plus en détailFAST RETAILING WAY (Philosophie d entreprise du groupe FR)
FAST RETAILING WAY (Philosophie d entreprise du groupe FR) Profession de foi Changer la façon de s habiller, sortir des sentiers battus, et proposer une autre vision du monde. Notre mission Le groupe FAST
Plus en détailRéglementation. Import/Export CHAPITRE 6
CHAPITRE 6 Réglementation Import/Export Dans ce chapitre: Rubriques / pages Prescriptions du Traité/ 187 Mesures Législatives et Administratives / 191 Conformité / 194 Diffusion / 196 Programme d Assistance
Plus en détailMUSIQUE ET POINTS DE VENTE FOCUS SALONS DE COIFFURE
1 Date Titre présentation MUSIQUE ET POINTS DE VENTE FOCUS SALONS DE COIFFURE Service études et prospective, Direction des ressources et de la stratégie, Juliette Delfaud Octobre 2014 www.sacem.fr SOMMAIRE
Plus en détailUn autre signe est de blâmer «une colère ouverte qui débute par le mot TU».
Le besoin de contrôler Le comportement compulsif de tout vouloir contrôler n est pas mauvais ou honteux, c est souvent un besoin d avoir plus de pouvoir. Il s agit aussi d un signe de détresse; les choses
Plus en détailCaLP ARGENT CONTRE TRAVAIL. Travailler avec les banques Guide pratique de négociation dans le cadre des transferts monétaires en situations d urgence
CaLP ARGENT CONTRE TRAVAIL Travailler avec les banques Guide pratique de négociation dans le cadre des transferts monétaires en situations d urgence 4 CaLP ARGENT TRAVAILLER CONTRE AVEC TRAVAIL LES BANQUES
Plus en détailNOTIONS DE RESPONSABILITE
NOTIONS DE RESPONSABILITE De par ses prérogatives et ses fonctions, l encadrant a des responsabilités et des obligations. En cas de problème, il peut voir sa responsabilité engagée. QUAND? Souvent à l
Plus en détailL ATTRIBUTION EN MARKETING DIGITAL
Online Intelligence Solutions L ATTRIBUTION EN MARKETING DIGITAL Par Jacques Warren WHITE PAPER WHITE PAPER A Propos de Jacques Warren Jacques Warren évolue en marketing digital depuis 1996, se concentrant
Plus en détailModèles de licence de SQL Server 2012
Modèles de licence de SQL Server 2012 Date de publication : 3 novembre 2011 SQL Server 2012 est une version majeure qui réunit les avantages d'une plateforme pour applications critiques (haute disponibilité,
Plus en détailenvironics research group
environics research group Sommaire Sondage en ligne sur les perceptions du public concernant le développement de carrière et le milieu de travail Janvier 2011 Préparé pour : Parrainé en partie par : 33,
Plus en détailDes solutions efficaces, économiques, écologiques. Les professionnels de la mobilité durable
Des solutions efficaces, économiques, écologiques Les professionnels de la mobilité durable Mobili-T et la gestion des déplacements Mobili-T, le Centre de gestion des déplacements du Québec métropolitain,
Plus en détailLa délégation de pouvoirs
La délégation de pouvoirs DELEGATIONS DE POUVOIR Secteur Pharmaceutique Paris, 27 septembre 2006 Introduction: définition, contexte et rappel des principes généraux Délégation de pouvoirs et notions voisines
Plus en détailBien-être des salariés et performance des magasins entrent-ils dans le même caddie?
18 2 e semestre 2012/HesaMag #06 Dossier spécial 7/34 Bien-être des salariés et performance des magasins entrent-ils dans le même caddie? La protection du bien-être au travail est un droit des salariés.
Plus en détailCODES DE BONNE CONDUITE : QUAND LES SOCIETES JOUENT A L APPRENTI LEGISLATEUR
CODES DE BONNE CONDUITE : QUAND LES SOCIETES JOUENT A L APPRENTI LEGISLATEUR Marie Brac Allocataire de rechercheà l Université Paris-X Nanterre 1. Actuelement, un nombre important d entreprises 1 se dotent
Plus en détailPROPOSITION DE CONTRAT CONCERNANT LA MISE EN PLACE D UN SYSTEME DE MICRO-CREDIT AU VILLAGE DE ZIGLA KOULPELE
PROPOSITION DE CONTRAT CONCERNANT LA MISE EN PLACE D UN SYSTEME DE MICRO-CREDIT AU VILLAGE DE ZIGLA KOULPELE Entre Le C.V.G.T ou le C.V.D, instance représentative du village, et dénommée dans ce contrat
Plus en détailPOURQUOI RESSENTONS-NOUS DES ÉMOTIONS?
POURQUOI RESSENTONS-NOUS DES ÉMOTIONS? Pourquoi vivons-nous des émotions? Voilà une excellente question! Avez-vous pensé: «Les émotions nous rendent humains» ou : «Elles nous permettent de sentir ce qui
Plus en détailLa responsabilité civile et pénale. Francis Meyer -Institut du travail Université R. Schuman
La responsabilité civile et pénale Francis Meyer -Institut du travail Université R. Schuman La responsabilité civile est la conséquence, soit de l'inexécution d'un contrat, soit d'un acte volontaire ou
Plus en détailENTENTE DE PRINCIPE INTERVENUE ENTRE LA FMOQ ET LE MSSS AFIN D ACCROÎTRE ET D AMÉLIORER L ACCESSIBILITÉ AUX SERVICES MÉDICAUX DE PREMIÈRE LIGNE
ENTENTE DE PRINCIPE INTERVENUE ENTRE LA FMOQ ET LE MSSS AFIN D ACCROÎTRE ET D AMÉLIORER L ACCESSIBILITÉ AUX SERVICES MÉDICAUX DE PREMIÈRE LIGNE CONSIDÉRANT les réels problèmes d accessibilité aux services
Plus en détaililottery 2.0 DÉVELOPPER LE JEU En collaboration avec
ilottery 2.0 DÉVELOPPER LE JEU L I V R E B L A N C En collaboration avec RÉSUMÉ 2 Ce livre blanc repose sur une étude commandée par Karma Gaming et réalisée par Gaming Insights Group. Les données viennent
Plus en détailJurisanimation.fr 2012 - Tous droits réservés. Les docs de LA RESPONSABILITE DU DIRECTEUR D ACM
2012 - Tous droits réservés Les docs de LA RESPONSABILITE DU DIRECTEUR D ACM LA RESPONSABILITE DU DIRECTEUR D ACM En principe, on qualifie la responsabilité comme le fait d assumer la conséquence de ses
Plus en détailCODE DE CONDUITE CONFORMITÉ AUX EXIGENCES JURIDIQUES
CODE DE CONDUITE LE PRÉSENT CODE DE CONDUITE EST FONDÉ SUR LES VALEURS DE GMI- DISTRIBUTION. IL A POUR OBJET DE GARANTIR QUE L ENSEMBLE DES EMPLOYÉS, DES GESTIONNAIRES ET DES DIRIGEANTS DE GMI-DISTRIBUTION
Plus en détailC H A R T E D E S M A I S O N S D E S E R V I C E S P U B L I C S
C H A R T E D E S M A I S O N S D E S E R V I C E S P U B L I C S P r é a m b u l e Proximité Singularité de la personne Universalité du service De nombreux territoires ruraux et urbains se situent en
Plus en détailL observatoire «Entreprise et Santé»
LA SOCIÉTÉ D ÉTUDES ET DE CONSEIL L observatoire «Entreprise et Santé» Viavoice Harmonie Mutuelle en partenariat avec Le Figaro et France Info Enquête auprès des salariés et des dirigeants d entreprise
Plus en détailAppel d offres pour la mise en place de cursus intégrés franco-allemands binationaux et trinationaux à compter de l année universitaire 2015-2016
Appel d offres pour la mise en place de cursus intégrés franco-allemands binationaux et trinationaux à compter de l année universitaire 2015-2016 Date limite pour l annonce du dépôt d une demande de soutien
Plus en détailPropension moyenne et marginale
Propension moyenne et marginale Les ménages utilisent leur revenu soit pour consommer (tout de suite), soit pour épargner (et consommer plus tard). On appelle propension moyenne à consommer (PMC) la part
Plus en détailAssemblée Générale 30 avril 2014 Rapport Moral du Président Ruben GARCIA
Assemblée Générale 30 avril 2014 Rapport Moral du Président Ruben GARCIA Bonjour à toutes et à tous, Merci d être présents nombreux pour cette 20 ème assemblée générale. Créée en 1994, par des militants
Plus en détailTABLE DES MATIERES. Section 1 : Retrait... 20-22 Section 2 : Renonciation... 23-25 Section 3 : Nullité... 26-28
Ordonnance n 03-08 du 19 Joumada El Oula 1424 correspondant au 19 juillet 2003 relative à la protection des schémas de configuration des circuits intégrés TABLE DES MATIERES Articles Titre I : Dispositions
Plus en détailCode de conduite sur les paris sportifs pour les athlètes
Code de conduite sur les paris sportifs pour les athlètes Préparé par EU Athletes, l association européenne des jeux et paris en ligne (EGBA), la Remote Gambling Association (RGA) et l association européenne
Plus en détailLutte contre les spams par SMS et vocaux. et les prospections téléphoniques non-désirées
Lutte contre les spams par SMS et vocaux et les prospections téléphoniques non-désirées Lundi Hervé NOVELLI Secrétaire d Etat chargé du Commerce, de l Artisanat, des Petites et moyennes entreprises, du
Plus en détailExo7. Calculs de déterminants. Fiche corrigée par Arnaud Bodin. Exercice 1 Calculer les déterminants des matrices suivantes : Exercice 2.
Eo7 Calculs de déterminants Fiche corrigée par Arnaud Bodin Eercice Calculer les déterminants des matrices suivantes : Correction Vidéo ( ) 0 6 7 3 4 5 8 4 5 6 0 3 4 5 5 6 7 0 3 5 4 3 0 3 0 0 3 0 0 0 3
Plus en détailCOMMENTAIRE. Services économiques TD
COMMENTAIRE Services économiques TD 16 juillet 213 LES MÉNAGES CANADIENS SONT PLUS ENDETTÉS QUE LES MÉNAGES AMÉRICAINS, MAIS UNIQUEMENT PAR SUITE DU RÉCENT DÉSENDETTEMENT AUX ÉTATS-UNIS Faits saillants
Plus en détail1. L ENTREPRISE 2. CARACTERISTIQUES ET DEROULEMENT DE LA PRESTATION CHARTE QUALITE 2.1. DEMARCHE VOLONTAIRE 2.2. REALISATION DE L AUDIT
REGLEMENT DU DISPOSITIF CHARTE QUALITE 1. L ENTREPRISE Cette prestation est réservée à toute personne physique ou morale immatriculée au Répertoire des Métiers, quelle que soit la forme juridique que revêt
Plus en détailIncluant l analyse du patrimoine. Description du rapport (Couple seulement)
Incluant l analyse du patrimoine Description du rapport (Couple seulement) Révisé le 25 mai 2011 Table des matières 1. Introduction... 3 1.1 Le rapport PRO et Patrimoine : outil privilégié de communication
Plus en détail25 stratégies efficaces pour enfin tenir vos résolutions du Nouvel An
25 stratégies efficaces pour enfin tenir vos résolutions du Nouvel An Une nouvelle année apporte de nouvelles possibilités, de nouveaux choix et un nouvel espoir pour l'avenir. C'est pourquoi, chaque Nouvel
Plus en détailETRE PRESIDENT D'UNE ASSOCIATION
ETRE PRESIDENT D'UNE ASSOCIATION Etre président d'une association, c'est accepter de prendre des responsabilités et de travailler, bénévolement, pour promouvoir une activité, des valeurs, des idées et
Plus en détailDes assurances pour la vie. Post Optima Selection 2. Spécial placements en assurance. Investir, c est aussi pour pouvoir se faire plaisir
Les primeurs et les infos de Banque de La Poste n 12 - Octobre 2010 Spécial placements en assurance Des assurances pour la vie Post Optima Selection 2 Investir, c est aussi pour pouvoir se faire plaisir
Plus en détailGuide d utilisation en lien avec le canevas de base du plan d intervention
Guide d utilisation en lien avec le canevas de base du plan d intervention Guide d utilisation en lien avec le canevas de base du plan d intervention À moins d indications contraires, toutes les définitions
Plus en détailExécution des décisions judiciaires Portugal
Exécution des décisions judiciaires Portugal 3. Objet et nature des mesures d exécution 3.1. Quels types de biens peuvent être soumis à l exécution? Sont soumis à l exécution tous les biens du débiteur
Plus en détailPourquoi une charte?
nous nous engageons, et vous? septembre 2004 Pourquoi une charte? Une charte, c est un contrat de confiance. Et en même temps, un engagement. Entre nous et vous, entre vous et nous. Réciproque et solidaire.
Plus en détailINVESTIR DANS LA NOURRITURE
INVESTIR DANS LA NOURRITURE Eataliastyle est une Societé indépendante dont l objectif est de faire connaitre l esprit Italien à travers les produits typiques italiens connus et reconnus dans le monde entier:
Plus en détailMotiver les équipes commerciales
Motiver les équipes commerciales Nouvelle recherche sur les facteurs de motivation des commerciaux les plus performants. par Colleen O Sullivan & Greg McDonald Developing the 21st century workforce TM
Plus en détailMalgré une image des banques entachée par la crise, les Français restent très attachés à leur agence bancaire
Résultats de l enquête Ifop/Wincor sur les relations des Français à leur agence bancaire Malgré une image des banques entachée par la crise, les Français restent très attachés à leur agence bancaire -
Plus en détailComment toucher les décideurs
Comment toucher les décideurs Étude commanditée par Pitney Bowes sur l évolution du rôle du courrier dans le marketing mix des entreprises du domaine Business to Business (B2B) en Europe et aux États-Unis
Plus en détailVous êtes. visé. Comment diminuer les risques et les impacts d une agression en milieu bancaire
Vous êtes visé Comment diminuer les risques et les impacts d une agression en milieu bancaire Prévenir les vols ou les effets d un vol sur les employés Rôle de la direction de la succursale Désigner un
Plus en détailEuropean School Brussels II. Avenue Oscar Jespers 75. 1200 Brussels
European School Brussels II Avenue Oscar Jespers 75 1200 Brussels Toute forme de harcèlement, qu il soit verbal, physique ou psychologique, est absolument inacceptable dans notre école. Ce document de
Plus en détailCours de Leadership G.Zara «LEADERSHIP»
«LEADERSHIP» Est-il possible de DÉVELOPPER LES COMPÉTENCES DE LEADERSHIP? PROGRAMME DU COURS 1. Introduction 2. Les fondamentaux du Leadership 3. Valeurs, attitudes et comportements 4. Les 10 devoirs du
Plus en détailPROCEDURE D ADMISSION COMPLEMENTAIRE
PROCEDURE D ADMISSION COMPLEMENTAIRE 2012 LES QUATRE ETAPES La procédure complémentaire a pour but de mettre en relation les établissements qui ont encore des places vacantes et les candidats n ayant pas
Plus en détailVous n avez aucune installation à faire et aucune mise à niveau ne vous complique la vie. Vous allez adorer votre nouveau site.
Vous souhaitez obtenir plus de clients? Découvrez comment multiplier vos contacts grâce aux 38 millions d internautes français. Aujourd hui il ne suffit plus d avoir un site internet. Il faut un site avec
Plus en détailPlus de 85% des utilisateurs BOB Software ont déjà fait le pas vers Sage BOB 50.
Plus de 85% des utilisateurs BOB Software ont déjà fait le pas vers Sage BOB 50. Découvrez les nombreux bénéfices immédiats que vous procurera cette migration. Sage BOB 50 Encore plus de simplicité et
Plus en détailEtude sur les cadres règlementaires et leur efficacité à encourager les entreprises à améliorer leur efficacité énergétique et sur les mesures
Etude sur les cadres règlementaires et leur efficacité à encourager les entreprises à améliorer leur efficacité énergétique et sur les mesures complémentaires nécessaires Synthèse Avril 2015 Pourquoi
Plus en détailCompte rendu Cogefi Rendement Conférence téléphonique du 13/03/15 avec Lucile Combe (gérant)
Compte rendu Cogefi Rendement Conférence téléphonique du 13/03/15 avec Lucile Combe (gérant) Présentation Cogefi Gestion est la société de gestion, filiale à 100% de la maison mère Cogefi. Elle fait partie
Plus en détailTitre : POLITIQUE AFIN DE CONTRER LE HARCÈLEMENT PSYCHOLOGIQUE OU TOUTE AUTRE FORME DE VIOLENCE EN MILIEU DE TRAVAIL
Titre : POLITIQUE AFIN DE CONTRER LE HARCÈLEMENT PSYCHOLOGIQUE OU TOUTE AUTRE FORME DE VIOLENCE EN MILIEU DE TRAVAIL Numéro : 1. Objet général La présente politique vise à établir les règles applicables
Plus en détailL ANALYSE EN COMPOSANTES PRINCIPALES (A.C.P.) Pierre-Louis GONZALEZ
L ANALYSE EN COMPOSANTES PRINCIPALES (A.C.P.) Pierre-Louis GONZALEZ INTRODUCTION Données : n individus observés sur p variables quantitatives. L A.C.P. permet d eplorer les liaisons entre variables et
Plus en détailMémoire Présenté au Ministère des Finances et au Ministère de la Famille et des Aînés du Québec
MÉMOIRE SUR LE PROJET DE LOI 8 ÉLARGISSANT LA VENTE D ASSURANCES FUNÉRAIRES AU QUÉBEC Mémoire Présenté au Ministère des Finances et au Ministère de la Famille et des Aînés du Québec Septembre 2007 15 avril
Plus en détailQu est-ce qui différencie une bonne photo d une mauvaise? Trois éléments sont importants : La composition L éclairage La qualité et la résolution
PRENDRE DE MEILLEURES PHOTOS 101 Par Lesley Ouimet Rien de plus facile que de prendre une photo numérique, mais c est un peu plus difficile de prendre une bonne photo numérique. Qu est-ce qui différencie
Plus en détail7. ECONOMIE 7.3. COMMERCE GESTIONNAIRE DE TRES PETITES ENTREPRISES
CCPQ Rue A. Lavallée, 1 1080 Bruxelles Tél. : 02/690.85.28 Fax : 02/690.85.78 Email : ccpq@profor.be www.enseignement.be 7. ECONOMIE 7.3. COMMERCE GESTIONNAIRE DE TRES PETITES ENTREPRISES PROFIL DE FORMATION
Plus en détailRÈGLEMENT. sur la collaboration avec les intermédiaires
RÈGLEMENT sur la collaboration avec les intermédiaires Fédération Internationale de Football Association Président : Joseph S. Blatter Secrétaire Général : Jérôme Valcke Adresse : FIFA FIFA-Strasse 20
Plus en détailPROFESSEUR ENCADRANT: M. Abdellatif CHAKOR
UNIVERSITE MOHAMMED V -Agdal Rabat- École Doctorale de Gestion Exposé en GESTION ET ORGANISATION DES ENTREPRISES sous le thème: PROFESSEUR ENCADRANT: M. Abdellatif CHAKOR REALISE PAR : Meriama EDA-AIF
Plus en détail«L utilisation d un intranet permet-il la mise en place d un travail collaboratif et/ou coopératifs? Pour quelles compétences?»
«L utilisation d un intranet permet-il la mise en place d un travail collaboratif et/ou coopératifs? Pour quelles compétences?» Introduction Le travail que nous présentons ici repose sur une expérience
Plus en détailL IMPACT DE LA MUTUALISATION SUR LES RESSOURCES HUMAINES
ANNEXES L ISTE DES ANNEXES ANNEXE I : ANNEXE II : ANNEXE III : ANNEXE IV : ÉVOLUTION DES DEPENSES DES COMMUNES ET DES EPCI DE 2006 A 2013 OUTILS JURIDIQUES DE MUTUALISATION A DISPOSITION DES ACTEURS LOCAUX
Plus en détailConsolidation de fondamentaux
Consolidation de fondamentaux Point de vue communicationnel sur le réel Consolidation - Stéphanie MARTY - 2009/2010 1 Question 31 31. Que signifie «avoir un point de vue communicationnel sur le réel»?
Plus en détailCoralie Cuillerier, Zahir Ibelaidene, Steve Latour, Martin Pearson, Ahmadou Sarr, Karine Tremblay
IDENTIFICATION DE L ÉQUIPE PLAN DE POSITIONNEMENT D AFFAIRES Coralie Cuillerier, Zahir Ibelaidene, Steve Latour, Martin Pearson, Ahmadou Sarr, Karine Tremblay DESCRIPTION DU PROJETTECHNOLOGIQUE Création
Plus en détailLes fondements intellectuels de l entrepreneuriat
Les fondements intellectuels de l entrepreneuriat Howard H. Stevenson Sarofim-Rock Professor Harvard University Le 5 octobre 2007 Harvard Business School 2007 1 Une longue histoire Premières recherches
Plus en détailAUTOPORTE III Notice de pose
AUTOPORTE III Notice de pose Vous avez acquis le système AUTOPORTE, nous vous en remercions. Veuillez lire attentivement cette notice, vous serez à même de faire fonctionner correctement ce système. FONCTIONNEMENT
Plus en détailRèglement relatif à la convention du service du feu des Communes de Bevaix, Boudry et Cortaillod (SFBBC)
Règlement relatif à la convention du service du feu des Communes de Bevaix, Boudry et Cortaillod (SFBBC) LE CONSEIL GENERAL DE LA VILLE DE BOUDRY vu la loi sur la police du feu (LPF), du 7 février 1996,
Plus en détailLes Ressources Humaines à l heure du Big Data : progrès, perspectives et limites CORNERSTONE WHITEPAPER
Les Ressources Humaines à l heure du Big Data : progrès, perspectives et limites CORNERSTONE WHITEPAPER INTRODUCTION L avènement du Big Data et du Cloud Computing laisse entrevoir un monde de plus en plus
Plus en détailLa situation financière des Canadiens
La situation financière des Canadiens 1 Approche client Microsoft Advertising Hiver 2015 LA SITUATION FINANCIÈRE DES CANADIENS 2 Des décisions financières difficiles et importantes doivent être prises
Plus en détailVous proteger, c est aussi notre metier.
Nous ne sommes jamais très loin de vos préoccupations Vous proteger, c est aussi notre metier. BANQUE Pourquoi la Banque Chalus vous propose-t-elle de vous assurer, en toutes circonstances? Partenaire
Plus en détailAnnexe au document intitulé Communication relative à certaines questions de politique concernant le Bureau de Procureur : renvois et communications
Annexe au document intitulé Communication relative à certaines questions de politique concernant le Bureau de Procureur : renvois et communications La présente annexe au document de politique du Procureur
Plus en détailCe sondage est un outil qui cherche à inciter une réflexion individuelle ou de groupe à propos des priorités futures du RLISS de Mississauga Halton.
INTRODUCTION Le RLISS de Mississauga Halton s engage à recevoir l opinion de ses résidents. Vos commentaires seront utilisés par le RLISS de Mississauga Halton pour mettre à jour le plan d intégration
Plus en détailPetits et grands venez participer à notre concours et proposer votre dessin qui deviendra peut-être la future mascotte du projet Domaine Nature!
Cette année, l association Domaine Nature a besoin de vos talents! Petits et grands venez participer à notre concours et proposer votre dessin qui deviendra peut-être la future mascotte du projet Domaine
Plus en détailN 2564 ASSEMBLÉE NATIONALE PROPOSITION DE LOI
N 2564 ASSEMBLÉE NATIONALE CONSTITUTION DU 4 OCTOBRE 1958 QUATORZIÈME LÉGISLATURE Enregistré à la Présidence de l Assemblée nationale le 11 février 2015. PROPOSITION DE LOI tendant à développer l usage
Plus en détailManque de reconnaissance. Manque de contrôle
CONTRE-VALEURS 7 octobre 2014 Les contre-valeurs représentent ce que l on cherche à fuir. Elles nous motivent négativement en ce sens où elles incarnent des situations que nous évitons ou que nous cherchons
Plus en détailDate de fondation : 2 novembre 1981 (Journal officiel du 19 novembre 1981).
Les statuts ARTICLE 1 CREATION Il est fondé entre les adhérants au présent statut une association régie par la loi du 1 er juillet 1901 et le décret du 16 août 1901, ayant pour titre «ASSOCIATION MEDICALE
Plus en détailRèglement intérieur de l association
Règlement intérieur de l association Naissance et fonctionnement de l association, informations diverses. Reims Parkour School est une association ayant vu le jour le 4 novembre 2011, sous l impulsion
Plus en détail