----- Eloi Ouedraogo, Ousman Koriko, Siriki Zanga COULIBALY, Madior Fall, Eric Ramilison, Emmanuelle Lavallée
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- Marguerite Simone Desroches
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1 Débloquer les potentialités: Lutter contre les contraintes économiques, institutionnelles et sociales de l entreprenariat informel en Afrique subsaharienne Les barrières institutionnelles à la formalisation des unités de production informelles (UPI) dans les principales agglomérations des Etats membres de l UEMOA Eloi Ouedraogo, Ousman Koriko, Siriki Zanga COULIBALY, Madior Fall, Eric Ramilison, Emmanuelle Lavallée
2 Plan de la présentation 1. Objectifs de la présentation 2. Présentation de l organisation du projet 3. Présentation de la stratégie adoptée 4. Principaux résultats 5. Difficultés rencontrées
3 1. Objectifs de la présentation Présentation des objectifs de l étude et des résultats obtenus: Objectif principal: Analyse des barrières institutionnelles à la formalisation des UPI implantées dans les principales agglomérations des Etats membres de l UEMOA (Abidjan, Bamako, Cotonou, Dakar, Lomé, Niamey, Ouagadougou) Illustration d une stratégie de valorisation possible des données d enquêtes auprès des ménages disponibles dans nos Etats membres: Co-rédaction des analyses, études et articles; Coaching/tutorat; Participation à des programmes communs de recherche appliquée. Exemple de collaboration Gagnant Gagnant (>= 3 dimensions) Echanges fructueux d expérience; Renforcement des capacités des participants du Sud; Perspective de publication conjointe et d édition d un ouvrage collectif dans des revues scientifiques internationales. Présentation de l organisation du projet
4 2. Présentation de l organisation du projet Composition de l équipe du projet (Pour mémoire); Objectifs du projet (Pour mémoire); Organisation du travail : un modèle de réussite de collaboration Lancement du projet et débriefing général (La Haye, Février 2009); Identification des thèmes et répartition des tâches (Paris, Décembre 2009); Libre composition des équipes de travail; Proposition d un plan de travail; Validation du plan (en ligne). Rencontres (Paris, Novembre 2010) et échanges constants (en ligne); Stratégie de suivi constant des travaux : Internet via Surfgroepen; Libre organisation interne des équipes de travail.
5 3. Présentation de la stratégie adoptée Démarches pour la collecte des données : Collecte des données auprès des pays (informations sur les conditions de l enregistrement et les coûts, déclaration des créations d entreprises, etc.); Accord des pays pour l exploitation des données de l enquête PARSTAT (2001 à 2003); Esquisse des hypothèses de travail: Contraintes potentielles à la formalisation Coûts (direct, indirect); Accès et asymétrie de l information; Comportement patrimonial (familial); Echelle d activité (chiffre d affaires, main d œuvre, dotations, investissement); Approche méthodologique de l analyse : Jeux d analyse (descriptive, exploratoire, explicative).
6 3. Présentation de la stratégie adoptée (Suite) Analyse descriptive : Compréhension des spécificités des principales variables identifiées a priori; Analyse des tableaux croisés (au plus tri-dimensionnelles). Analyse exploratoire : Analyse explicative : Caractérisation des potentielles interactions entre les variables identifiées dans l analyse descriptive Analyse des déterminants du chiffre d affaires des UPI (Modèle log linéaire); Analyse Probit bivarié (analyse du degré d indépendance entre 2 décisions): L UPI est enregistrée au moins à un niveau; L UPI est prête à officialiser ses activités auprès de l administration. Analyse Probit multivarié (analyse du degré d indépendance entre les 2 décisions pour chacun des quatre profils d UPI caractérisés)
7 4. Principaux résultats COT OUA ABJ BKO NIA DKR LOME ENS % UPI prêtes à officialiser son activité 32,3 36,1 37,9 28,7 33,0 43,5 21,2 34,6 % UPI enregistrées au moins à un niveau 8,8 25,5 27,4 13,8 19,9 9,0 15,8 18,7 % UPI sans local professionnel 81,9 73,5 70,3 88,5 89,5 81,2 82,0 78,3 % UPI ayant eu au moins 1 fois un problème avec l Etat % UPI utilisant les prestations de services publics % UPI ne voyant aucun intérêt à s enregistrer % UPI favorables au principe du guichet unique % UPI ayant déjà essayé de se faire enregistrer Présentation de quelques statistiques descriptives 3,9 4,1 7,2 2,8 6,5 5,9 5,7 5,6 44,0 15,5 34,1 8,2 25,6 27,6 16,9 26,9 36,7 27,5 34,7 56,4 33,3 36,1 39,2 37,9 61,0 46,0 48,2 30,4 27,5 53,9 32,1 45,3 2,6 6,6 6,4 4,8 7,0 5,7 7,6 5,8
8 4. Principaux résultats Présentation de quelques statistiques descriptives COT OUA ABJ BKO NIA DKR LOME ENS % UPI pas connues et ne souhaitant pas s officialiser 65,4 54,3 52,0 67,2 59,1 55,1 71,5 58,9 % UPI pas connues mais souhaitant s officialiser ses activités auprès de l Etat 2,6 9,8 10,0 4,2 8,0 1,3 7,4 6,6 % UPI enregistrées mais ne souhaitant pas collaborer davantage avec l Etat 25,9 20,9 20,6 19,2 21,1 36,0 13,1 22,6 % UPI enregistrées et souhaitant renforcer sa collaboration avec l Etat 6,1 15,0 17,4 9,5 11,8 7,6 8,0 11,9
9 4. Principaux résultats (Suite) Des logiques différentes en fonction des UPI en présence UPI pour des activités de subsistance : Toutes les agglomérations Faible échelle d activité (capital, investissement, main d œuvre); Poids relativement important des coûts (directs, indirects); Aucun contact direct avec l administration; Quasiment pas de perspective par rapport au développement de leurs activités; Pas enregistrées et ne souhaitent pas officialiser leurs activités auprès de l administration -
10 4. Principaux résultats (Suite) Des logiques différentes en fonction des UPI en présence UPI plutôt ambitieuses (Gazelles contraintes Profil N 1): Abidjan, Lomé, Niamey, Ouaga Méconnues de l administration; Pas enregistrées; Faible échelle d activité (Chiffre d affaires, valeur ajoutée); UPI relativement jeunes (3 à 5 ans maximum). Relativement plus désireuses d officialiser leur activité auprès de l administration; Dotations en capital et niveau d investissement relativement importants; Ont déjà eu au moins une fois un contact avec des services administratifs.
11 4. Principaux résultats (Suite) Des logiques différentes en fonction des UPI en présence UPI ayant un comportement de type patrimonial (Gazelles contraintes Profil N 2) : Dakar Déjà enregistrées dans au moins un des registres officiels mais peu disposées à fournir davantage d informations sur ses activités; Evitent dans la mesure du possible les services administratifs qui ne les sensibilisent pas assez sur les avantages que pourraient leur procurer leur situation; Mode d organisation et de gestion plutôt patrimonial/familial. Obligation de se faire enregistrer imposée du fait de l importance de l échelle d activité (effet de seuil critique); Espérances de perspectives positives de leur affaire; Visibilité de leurs activités; Contacts assez fréquents avec des services administratifs.
12 4. Principaux résultats (Suite) Des logiques différentes en fonction des UPI en présence UPI ayant le profil de quasi entreprises formelles (Dynamiques/ Performantes): Abidjan, Bamako, Cotonou, Lomé Déjà enregistrées mais on observe à leur niveau une certaine propension à biaiser une partie des informations les concernant; Aucun effort au niveau de l administration pour mieux les identifier; Visibilité du site et des activités; Déjà enregistrées et désireuses d officialiser davantage ses activités auprès de l administration; Importance de l échelle d activité (chiffre d affaires, valeur ajoutée, main d œuvre, investissement); Contacts très fréquents avec des services administratifs; Bonne vision prospective et stratégique de leur affaire; Mode d organisation et de gestion relativement bien structuré.
13 4. Principaux résultats (Suite) Synthèse des enseignements par rapport aux des barrières d ordre institutionnel Coûts (directs, indirects) de l enregistrement UPI de subsistance : Charges très importantes; UPI plutôt ambitieuses : Charges relativement moindres; UPI de type familial et de type quasi entreprise: Charges pas particulièrement contraignantes. Réguler les coûts de l enregistrement en fonction du profil et des caractéristiques des UPI afin de les mobiliser toutes. Asymétrie de l information (y compris accès à l information) Toutes les catégories d UPI caractérisées Créer un espace de dialogue permanent Administration/UPI
14 4. Principaux résultats (Suite) Synthèse des enseignements par rapport aux des barrières d ordre institutionnel Inefficacité des services publics UPI de type familial et de type quasi entreprise: Celles qui sont les plus contraintes d utiliser les prestations de services publics; Aucun effort d identification et/ou de ciblage de ces acteurs par les services publics. Mettre en place une stratégie d identification et d approche de ces acteurs en tenant compte de leurs besoins
15 5. Difficultés rencontrées Réconciliation des différentes sources de données généralement assez difficiles (données administratives Vs Données d enquêtes); Lesinformationssurlescoûtssemblentconcernerdesacteursdusecteur formel auquel cas elles auraient été ajustées pour tenir compte des caractéristiques réelles des UPI; Divergences des pratiques administratives réelles avec celles des enquêtes auprès des ménages sur l emploi et le secteur informel (critères d informalité, catégorisation des entreprises - personnes morales/personnes physiques, etc.); Délais de réponse tardifs des demandes d informations (création des entreprises) auprès de certaines administrations qui ont été approchées; Aucune information en provenance des services administratifs par rapport au secteur informel.
16 Merci de votre aimable attention!
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