ATLAS DE LA BIODIVERSITE COMMUNALE. de SAINT LUPICIN

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1 ATLAS DE LA BIODIVERSITE COMMUNALE de SAINT LUPICIN

2 SOMMAIRE Introduction Atlas de la Biodiversité dans les Communes Méthodologie Fiche d identité de Saint Lupicin Données administratives Contexte Informations sur les zonages environnementaux Portraits des habitats de la commune Les Zones humides Les Cours d eau Les Forêts Le Bocage Les Cultures Les Zones urbanisées Les Carrières Faune Les Mammifères Les Amphibiens Les "Reptiles" Les Oiseaux Les Arthropodes Flore et fonges Vasculaire 2

3 Bryophytes Lichen Champignons Trame verte et bleu Cartographie des enjeux Conclusion Annexes Tableaux de données faune Tableaux de données flore Fiches espèces 3

4 I. INTRODUCTION Atlas de la Biodiversité dans les Communes La biodiversité La biodiversité, tissu vivant de notre planète, est le résultat de la longue histoire de la Terre et de l évolution du monde vivant qui s étale sur plusieurs milliards d années. Elle se décline sur plusieurs niveaux de précision interdépendants qui s'emboitent : La diversité des gènes qui se traduit par l'existence d'une variabilité génétique au sein d'une espèce entre les individus et les populations; La diversité des espèces, observable par la multitude d'espèces vivantes (faune, flore, champignons, bactéries, etc.); La diversité des écosystèmes, la plus complexe au sens ou il s'agit ici d'interactions entres espèces et entres milieux de vie. Le tout forme la biosphère, et la richesse de notre environnement; L'une des meilleures définitions que l'on peut donner est la suivante, la biodiversité on ne peut pas dire ce qu'elle est, mais plutôt ce qu'elle n'est pas. Ce n'est pas la richesse biologique, ce n'est pas la richesse des gènes mais bien au delà il s'agit de l'ensemble des interactions qu'entretient le monde vivant. Un des grands défis d aujourd hui est de concilier la préservation de cette biodiversité et l accroissement de la démographie humaine. 4

5 Les menaces De multiples pressions pèsent aujourd hui sur elle, et l origine est souvent humaine... Les cinq principales menaces sont la destruction, la fragmentation et l altération des habitats naturels, l introduction d espèces exotiques envahissantes, la pollution de l environnement, la surexploitation des ressources et le changement climatique. Ces pressions, qui menacent l équilibre global du système et la biodiversité, ont pour conséquence un rythme d extinction des espèces (1,8 millions connues en 2010) de 100 à 1000 fois supérieur au rythme de disparition normal. Pouvoir connaître la biodiversité, c est pouvoir agir pour la protéger et la valoriser à partir d un diagnostic précis des enjeux (Tanguy et al. 2010). Au niveau mondial 70% des plantes sont menacées, 32% des poissons, 41% des amphibiens, 25% des mammifères et 13% des oiseaux. En Franche-Comté, un papillon sur cinq est en voie de disparition et une libellule sur quatre (IUCN, 2014). Le Grenelle de l Environnement et l Atlas de Biodiversité dans les Communes A partir de cet état des lieux, l un des objectifs de l année 2010 (année internationale de la biodiversité) était de faire découvrir à tous la richesse et l importance de la biodiversité. En France, cette même année, le Grenelle de l Environnement a constitué un signal fort et une prise de conscience dans l intégration des enjeux de biodiversité dans de nombreuses politiques publiques. À ce titre, de nombreuses initiatives locales et nationales existent. Elles permettent d améliorer régulièrement les informations en matière de biodiversité (l inventaire des Zones Naturelles d Intérêt Ecologique Faunistique et Floristique (ZNIEFF), inventaires réalisés régulièrement par les Conservatoires Botaniques Nationaux sur la flore et les habitats par exemple... Cependant, il est très difficile de disposer d'un inventaire complet, structuré et régulièrement actualisé de la biodiversité, du fait de la complexité de l objet étudié et de la multiplicité des informations à collecter. 5

6 Lors du Grenelle de l Environnement, les participants à la discussion ont constaté l existence de lacunes dans la connaissance de la biodiversité à l échelle communale, une mobilisation locale insuffisante sur cette question dans certains territoires et un manque d appropriation des enjeux liés à la biodiversité par les élus locaux. C est dans ce cadre qu a été lancé le 03 mai 2010 le programme Atlas de Biodiversité des Communes (ABC), par Chantal JOUANNO, secrétaire d état chargée de l écologie au Ministère de l Écologie, du Développement Durable, des Transports et du Logement (MEDDTL) (Tanguy et al. 2010). Ce dispositif est supervisé par le Muséum National d Histoire Naturelle (MNHN) qui apporte un appui scientifique et technique pour les différentes communes volontaires, afin qu elles élaborent leur atlas de biodiversité avec des experts. Des inventaires précis et cartographiés des habitats, de la faune et de la flore, sont ainsi généralement réalisés (ABC biodiversité, 2010). Dans le cadre de cette mission initiée par l Etat, le CPIE du haut Jura a décidé d'allier ses compétences avec celles de nombreux experts naturalistes régionaux volontaires, sur des points de méthodologie et de savoir-faire cartographique, de collecte de données naturalistes ou de cohérence régionale. La première année de travail permettra de réaliser le travail attendu de synthèse des données connues, d inventaires, de représenter de manière cartographique les résultats (diagnostic du patrimoine naturel), de souligner les enjeux et de faire des propositions de conservation et de gestion. Ainsi, ce document constitue une première version d atlas expérimentaux qui complète les «portraits de biodiversité de communes», documents de synthèse édités par l Etat pour les «communes ABC». Les Atlas de Biodiversité Communaux sont réalisés pour une exploitation locale, mais aussi pour être analysés au niveau national par le Ministère de l Ecologie et le MNHN. 6

7 Méthodologie de récolte des données Recueil de données existantes Pour la réalisation de l Atlas, des bases de données existantes d inventaires naturalistes sont utilisées pour compiler le maximum de données communales. Ce recueil est fait par l utilisation de données libres ; c est ainsi que les inventaires mis à disposition sur le site internet de l INPN (Inventaire National du Patrimoine Naturel) sont pris en compte lors de la rédaction. Mais de nombreux autres inventaires existent, et l utilisation de ces données est faite par le biais de partenariats avec les structures propriétaires. Sont notamment utilisés les inventaires du Conservatoire Botanique de Franche Comté (pour la flore, les champignons et l'entomofaune), les relevés de la Ligue de Protection des Oiseaux (pour la faune supérieure). Avec l appui d une convention d utilisation des informations, les différentes structures s'engagent plus aisément dans la démarche de partage d'informations. Des inventaires supplémentaires seront effectués sur la commune, notamment pour la faune (macro et microfaune, terrestre, aquatique et aériennes) et pour les oiseaux de façon ponctuelle. De même des inventaires plus poussés seront réalisés pour la flore et les champignons. Avec l ensemble de ces démarches de collecte, le CPIE a mis de son côté toutes les chances pour réaliser un document le plus complet possible et représentatif de l'ensemble de la biodiversité de Saint Lupicin. Les résultats présentés correspondront à un inventaire qualitatif et non quantitatif et donc à la richesse spécifique de la commune de Saint Lupicin. 7

8 II. Fiche d identité de Saint Lupicin Le contexte Jurassien Le département du Jura (39) situé en Franche Comté est caractérisé par un relief marqué et disparate, provenant du massif du Jura. Ce relief offre une topographie variée, qui s étend de 225 mètres pour les limitent basses (St Amour, Dole) et culminant à 1720 m d'altitude au sommet du crêt de la neige. Ce paysage de montagnes, de plateaux, de vallées encaissées, de plaines et de nombreux cours d eau résulte d une histoire géologique complexe. Le jura a ainsi donné son nom à la période du Jurassique de l'ère secondaire. La roche mère est principalement calcaire, est en résulte un réseau karstique complexe où l'alternance de bancs calcaire et marneux (d'origine glaciaire) conditionnent la présence d'eau en surface. Cela confère au Jura des paysages de grande qualité et des habitats naturels diversifiés, qui accueillent une faune et une flore d'un grand intérêt écologique. Le territoire est également marqué par une histoire humaine importante avec une succession d'emprise et de déprise de l'homme sur le paysage. Cela se traduit de nos jours par la présence de nombreuses prairies de fauche, reliques des anciennes zones de culture gagnées sur la forêt Jurassienne. La région possède de nombreuses zones naturelles remarquables marquées par la présence de 4 réserves naturelles (2 nationale et 2 régionale) 39 zones Natura 2000, 73 arrêtés préfectoraux de protection de biotope ou encore 456 ZNIEFF (type I et II confondus). La majorité du territoire est concernée par le Parc Naturel Régional du Haut Jura. 8

9 Données administratives La commune de Saint Lupicin (Code Insee : 39491) se situe dans le Jura, département du sud de la Franche Comté. Elle est située sur les rebords de la Bienne et du Lizon à une altitude de 630 mètres (Min Max. 915) et s'étend sur 954 ha. La commune bénéficie d'un climat mixte entre tempéré chaud et océanique. Des précipitations importantes sont enregistrées toute l'année y compris durant les mois les plus sec. La température annuelle moyenne est de 9 C et il tombe en moyenne 1064 mm de pluie par an. Il faut toutefois noter qu'en fonction du gradient altitudinal de fortes différences météorologiques sont visibles. La population était de 2127 habitant en 2011 pour une densité de soit 223 hab/km². Saint Lupicin appartient à la communauté de communes Haut-Jura Saint-Claude. Retraités Ouvriers Autres personnes sans activité professionnelle Professions intermédiaires Employés Cadres et professions intellectuelles supérieures Artisants, commerçants; chefs d'entreprise Agriculteurs exploitants 13,5 10,5 15,1 6,3 3,3 23,3 28,0 Source : Insee, Recensement de la population 9

10 Le contexte communal Une première cartographie des sols a été réalisée sur la commune de Saint Lupicin d'après les données CORINE Land Cover de Il s'agit d'une base de données européenne d'occupation biophysique des sols, selon une nomenclature bien précise. Celle-ci a été élaborée afin de cartographier l'ensemble du territoire de l'union Européenne et de connaitre l'état de l'environnement. Cette base a été produite par photo-interprétation humaine sur la base d'images satellites et comporte quelques oublies. En ce sens une mise à jour de cette carte par le CPIE a permis une meilleure estimation de l'occupation des sols. L unité spatiale au sens de CORINE Land Cover est une zone dont la couverture peut être considérée comme homogène, ou être perçue comme une combinaison de zones élémentaires qui représente une structure d occupation. Elle doit présenter une surface significative sur le terrain et se distinguer nettement des unités qui l entourent. Les polygones d occupation des sols font donc au minimum 25 hectares. L échelle d utilisation de 1/ e est un compromis permettant le suivi de l occupation du sol au niveau national ou européen. A un niveau géographique plus fin, comme une commune dans le cas d un ABC, cette échelle n est pas adaptée et des erreurs d identification peuvent s y trouver. Dans notre cas, cette cartographie permettra de poser un Forêt feuillus Prairie Forêt connifères Tissu urbain discontinu Surface essentiellement agricole Forêt mélangée Marais intérieurs Tourbières 14,46 15,79 7,07 2,40 2,70 23,23 34,35 Source : Corine Land Cover CPIE Haut Jura état des lieux et d avoir une idée d ensemble de l occupation des sols sur Saint Lupicin. Une cartographie plus fine adaptée à l échelle communale sera étudiée pour chaque habitat remarquable dans la partie «Portrait des habitats de la commune». 10

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13 Informations sur les zonages environnementaux Sur la carte précédente, plusieurs zonages apparaissent sur la commune. Un inventaire ZNIEFF (Zones Naturelles d Intérêt Écologique Floristique et Faunistique) est un inventaire national piloté par l Etat (Ministère en charge de l Environnement) sous la responsabilité administrative des DREAL au niveau régional. Il constitue un outil de connaissance reconnu du patrimoine naturel de la France. Ces zones ne sont pas un dispositif de protection réglementaire, même si elles impliquent un «porter à connaissance» en cas de projet la concernant. Il existe deux types de ZNIEFF; Les ZNIEFF de type I : secteurs de superficie en général limitée, définis par la présence d espèces, d associations d espèces ou de milieux rares, remarquables ou caractéristiques du patrimoine naturel national ou régional. Plus simplement, une ZNIEFF de type I est un territoire correspondant à une ou plusieurs unités écologiques homogènes. Elle abrite au moins une espèce ou un habitat déterminant, et elle représente en quelque sorte un «point chaud» de la biodiversité régionale. Les ZNIEFF de type II : grands ensembles naturels riches ou peu modifiés, ou offrant des potentialités biologiques importantes. Elles peuvent inclure une ou plusieurs ZNIEFF de type I. Leur délimitation s appuie en priorité sur un rôle fonctionnel. Il peut s agir de grandes unités écologiques (massifs, bassins versants, ensembles de zones humides, etc.) ou de territoires d espèces à grand rayon d action. (Il n'y a pas de ZNIEFF de type 2 sur St Lupicin) Sur la commune de Saint Lupicin, il existe 2 ZNIEFF de type I (Coteau et mare de la grande Seigne au sud sur 13,69 ha et la Tourbière aux bourbouillottes au nord sur ha) démontrant l intérêt écologique de la zone. 13

14 Natura 2000 est un réseau de sites naturels européen qui a pour double objectif la préservation de la biodiversité et la valorisation des territoires en tenant compte des activités humaines. Un site est désigné en Natura 2000 d après des critères scientifiques répondant aux Directives européennes (voir ci-après), c està-dire en fonction de la présence d espèces ou d habitats naturels rares ou menacés au niveau européen. Deux directives sont à l origine de la création de ce réseau : la Directive «Habitats, faune, flore» (1992), les sites désignés au titre de cette directive sont appelés Zone Spéciale de Conservation (ZSC) ; et la Directive «Oiseaux» (1979), les sites désignés au titre de cette directive sont appelés Zone de Protection Spéciale (ZPS). La désignation des ZSC est plus longue que les ZPS. Avant de devenir une ZSC à part entière, ces zones font l objet de propositions à la Commission européenne et demeurent un certain temps en SIC, Site d Intérêt Communautaire. Ce n est seulement qu après approbation par la Commission et par arrêté ministériel que le SIC devient ZSC. La commune de St Lupicin est concernée à hauteur de 58.1% de son territoire (547,7 ha) par le réseau Natura 2000, les deux ZNIEFF étant comprises dans ce découpage. 14

15 III. Portraits des habitats de la commune Comme indiqué précédemment, l inventaire des paysages référencé par la base de données CORINE Land Cover n est pas exactement adapté à l étude des habitats communaux (prise en compte de surfaces trop importantes et pas assez précises à l échelle communale). Des inventaires et prospections complémentaires seront donc effectués sur la commune de St Lupicin pour compléter cette base déjà existante, et ainsi obtenir un rendu plus cohérent et plus représentatif des paysages communaux. Cette phase d inventaire est précédée de photo-interprétation. 15

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