Corrigés des exercices de Travaux Dirigés de Science des Matériaux Semestre 2
|
|
- Sylvain Beaudoin
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Corrigés des exercices de Travaux Dirigés de Science des Matériaux Semestre 2 pour les étudiants de Génie Mécanique et Productique Dr. Laurent ALDON Maître de Conférences à l Université Montpellier 2, Institut Universitaire de Technologie de Nîmes laurent.aldon@iut-nimes.fr 28 février 204
2 Traitements thermiques dans la masse. Analyse du diagramme TRC d un acier de type 35 NiCr 6 Figure : Diagramme TRC de l acier 35 Ni Cr 6 Un diagramme TRC (Transformation en Refroidissement Continu) décrit les différentes transformations que subit une pièce en acier en fonction des conditions de refroidissement. Dans le cas de pièces de petites dimensions, il est possible de décrire l évolution de la température au cours du temps en utilisant une loi de Newton du type : ( ) t T (t) = T f + (T i T f )exp () τ Dans cette équation, T i représente la température initiale. Dans le contexte d un diagramme TRC, il s agit de la température d austénitisation. T f représente la température finale, celle du fluide de trempe
3 (eau, huile, air...). Le temps caractétistique τ correspond au temps au bout duquel on observe une variation de température correspondant à 63% de l écart de température T i T f. En effet, lorsque t = τ, exp( t/τ) = e = /e = 0, 37 soit 37%. Le temps caractéristique τ dépend de la masse volumique, de la capacité thermique, de la conductivité thermique et de la forme de la pièce refroidie, ainsi que du coefficient de convection et de la surface d échange en contact avec le fluide de trempe (eau avec additifs ou non, huile chaude avec brassage ou non, air pulsé). τ = ρv C p (2) ha La dérivée par rapport au temps de l équation précédente est appelée vitesse de refroidissement et a pour expression : v T = dt dt = (T ( ) i T f ) t exp = τ τ τ (T (t) T f ) (3) Les lettres A, F, C et M inscrites sur le diagramme TRC correspondent aux différents constituants des aciers susceptibles de se former au cours des Transformations en Refroidissement Continu à partir de l Austénite. Pour des vitesses de refroidissement élevées, il se forme généralement la Martensite, constituant très dur mais aussi très fragile, responsable de défauts assimilables à des fissures appelées tapures de trempe. Généralement, pour éliminer la Martensite on a recours soit à des traitements thermiques de détensionnement, appelés aussi revenu de trempe, soit à des détensionnements mécaniques en essayant de relaxer les contraintes résiduelles, à la masse dans le cas de tôles soudées par exemple. F et C correspondent respectivement à la Ferrite et la Cémentite (ou Carbure de Fer, F e 3 C). Selon les vitesses de refroidissement, il est parfois difficile de distinguer le mélange intime de F et C. On appelle ce type de microsctructure la Bainite. Pour les vitesses de refroidissement les plus lentes, on parlera de microstructure en damier, avec alternance de grains clairs très pauvres en carbone (Ferrite) et de grains sombres plus riches en carbone (Perlite). Ces grains sombres qui résultent d une alternance de zones de Ferrite et de Cémentite sont ainsi appelés car les zones sombres semblent constituer des guirlandes de perles (Perlite). On considère la courbe de refroidissement aboutissant à une dureté de 30 HRC. Au cours du refroidissement, l Austénite va progressivement de transformer en Ferrite (6%), puis en Bainite (65%) et finalement se formera ( = 29%) de Martensite. Avec cette même loi de refroidissement, si on souhaite calculer v 700 (vitesse de refroidissement à 700 C) à partir de l équation 3 on voit qu il faut connaître le temps τ caractéristique. Or la loi de Newton (équation ) nous permet d extraire τ. En effet la loi de Newton peut s écrire : ( ) t T (t) T f = (T i T f )exp (4) τ ou encore T (t) T f T i T f = exp en prenant le logarithme de l expression précédente, il vient : d où finalement l expression de τ : ln T (t) T f T i T f τ = t ( ) t τ = t τ (5) (6) ln T (t) T f T i T f (7) Sur le graphe on voit que l on passe à T=700 C au bout de t=50s. Sachant que cet acier a été porté à T i = 900 C et plongé dans un fluide maintenu à T f = 20 C. L application numérique conduit à : τ = 50 ln = 94 s (8) En utilisant l équation 3, cette valeur de τ permet finalement le calcul de v 700 : v 700 = 94 (700 20) = 3, 5 C.s (9) 2
4 Remarque : Il est normal de trouver une vitesse négative car il d agit d un refroidissement! La température diminue au cours du temps. Il est également possible d estimer, dans une certaine mesure la vitesse de refroidissement à partir du graphe. Pour cela on prend 2 points situés sur la courbe de refroidissement au dessus et au dessous de 700 C. Par exemple, on passe à 750 C pour un temps t = 30 s et à 650 C pour un temps t 2 = 70 s environ, aux erreurs de lecture près! On peut donc facilement calculer la vitesse de refroidissement selon : v 700 = T t = T 2 T = t 2 t = 00 = 2, 5 C.s (0) 40 On voit donc que les 2 valeurs de v 700 obtenues par le calcul et graphiquement diffèrent, ceci en raison du fait qu il est dangereux d utiliser une méthode graphique lorsque une des échelles n est pas linéaire (log t) pour déterminer une pente!!! C est la première valeur (à partir de τ qui reste la plus fiable! Pour la détermination de la courbe Jominy donnant l évolution de la dureté (HRC) en fonction de t , nous aurons l occasion d y revenir en Travaux Pratiques, car le calcul est long et dépasserait le temps imparti pour un contrôle. Les 2 dernières questions ne tomberont donc pas à l examen! 3
5 .2 Détermination de l énergie d activation du revenu de la martensite : Enjeu industriel On souhaite déterminer l énergie d activation,, de la transformation de la martensite au cours de l étape de revenu. Cette grandeur représente l énergie à fournir au système pour passer d un état métastable (martensite) à un état stable (mélange de ferrite et de perlite). L évolution de la dureté en fonction de la durée et de la température de revenu a été étudiée dans le but de déterminer cette énergie d activation par une méthode graphique. P = T 2, 3R log t () R est la constante des gaz parfaits. R = 8, 34J.mol.K. On voit dans l équation précédente que la connaissance de permet à l industriel de déterminer la température T du four à laquelle il doit chauffer les pièces pour une durée t de traitement donnée. Ce paramètre d équivalence fait intervenir les 2 grandeurs variables du problème, t et T. On dit alors que ces grandeurs sont couplées. La détermination de l énergie d activation consiste alors à découpler le temps et la température en réalisant des séries d expériences où l on fixe la température (isothermes) en laissant libre la durée et des séries d expérience où l on fixe la durée (isochrones) en laissant libre la température. On se rend compte alors que la dureté suit une loi linéaire du type : HV = HV 0 + α P = HV 0 + α T 2, 3Rα log t (2) Dans le cas d une série d expériences isochrones, on obtient une évolution du type : HV = HV + α T (3) Dans ce cas, si on trace sur la figure 2 la dureté en fonction de /T, on obtient une droite de pente p = α HV Figure 2: Courbe isochrone (t=900s) de la dureté en fonction de l inverse de la température. La droite moyenne en rouge passe dans les points bleus. La régression linéaire suivante donne une pente p = α = On peut aussi estimer la pente avec la formule : T p = y x = HV 4 HV T 4 = T = (4) 600 Nous aurons besoin de cette valeur pour l estimation ultérieure de l énergie d activation. De la même façon dans le cas d une série d expériences isothermes, on obtient une évolution du type : HV = HV 2 4 2, 3Rα log t (5)
6 HV log t Figure 3: Courbe isotherme (T=800K ) de la dureté en fonction du logarithme du temps. La droite moyenne en rouge passe dans les points bleus. Dans ce cas, si on trace sur la figure 3 la dureté en fonction de log t, on obtient une droite de pente p 2. La régression linéaire suivante donne une pente p 2 = 2,3Rα = 26. On peut aussi estimer la pente avec la formule : p 2 = y x = HV 5 HV = = 26 (6) log t 5 log t 2 log log 30 Le rapport des pentes permet la détermination de l énergie d activation. En effet ce rapport peut s écrire selon : Ce qui conduit à : p p 2 = α 2,3Rα (7) = 2, 3.R.p 2, 3 8, = = J.mol = 238 kj.mol (8) p 2 26 Dans le tableau, deux expériences conduisent de façon fortuite à la même valeur de dureté HV=300. On peut alors utiliser pleinement la notion de paramètre d équivalence puisque 2 traitements thermiques amènent l acier dans un même état de revenu. On écrit alors que : En écrivant la relation précédente différemment il vient : P = 2, 3R log t = 2, 3R log t 2 (9) T T 2 ou encore : L application numérique donne : 2, 3R = (log t 2 log t ) (20) T T 2 2, 3R = T (log t 2 log t ) (2) T 2 2, 3 8, 34 = (log 30 log 6300) = J.mol = 249 kj.mol (22) Les 2 calculs conduisent sensiblement à la même valeur moyenne 244 ± 5 soit une erreur relative de 2% qui est très acceptable compte tenu de la méthode expérimentale utilisée. 5
7 2 Traitements thermiques de surface 2. Diffusion du carbone dans l acier à l état solide : la cémentation La solubilité du carbone dans le fer solide est limitée à 0,02% dans le réseau Cubique Centré (CC, à basse température, ferrite, α) et à 2% dans le réseau Cubique à Faces Centrées (CFC, à haute température, austenite, γ). Figure 4: Réseaux CC et CFC avec les atomes de fer tangents selon la diagonale du cube (a 3 = 4r F e et la diagonale de la face carrée a 2 = 4r F e. Dans les 2 cas on a : a = 2r i + 2r F e. En effet, en regardant l espace dispobible susceptible d accueillir les atomes de carbone (r C = 0, 77Å) on peut montrer à l aide de relations géométriques simples que pour le réseau CC, la taille des sites intersticiels sont de l ordre de r i = 0, 5 r F e = 0, 5., 28 = 0, 2Å. Un calcul identique pour le réseau CFC conduit à r i = 0, 44 r F e = 0, 44., 28 = 0, 53Å. Ceci justifie le fait que la cémentation doit être menée à haute température (autour de 900 C) pour que le carbone puisse rentrer plus en profondeur dans l acier à traiter. La diffusion à l état solide du carbone dans l acier est un phénomène thermiquement activé et le coefficient qui la caractérise suit une loi du type : ( ) Ea D(T ) = D 0 exp (23) RT Dans le fer γ (austénite), D 0 = 2, m 2.s et = 48 kj.mol. On se place dans le cas de la diffusion unidirectionnelle du carbone dans un acier de base de type 2C0. Nous considérons une pièce d acier de fraction massique en carbone C i. On appelle C(x) la fraction massique en carbone de la solution solide (austénite) à la distance x de la surface libre où la fraction massique en carbone de l atmosphère de cémentation est maintenue constante et égale à C f. Avec la relation entre x et u : C(x) = C f + (C i C f ).erf(u) (24) x = 2u. D.t (25) La fonction d erreur erf(u) a été introduite car on ne sait pas intégrer e t2! erf(u) = 2 u e t2 dt (26) π Pour tracer les courbes C(x) pour 4h de traitement à 900 C et à 00 C, on doit établir la correspondance entre u et x. Le coefficient D à T=900 C = = 73K aura pour valeur : ( ) ( ) Ea 48 0 D 900 = D 0 exp = 2, exp = 5, (27) RT 8, et à 00 C on a : D 00 = D 0 exp 0 ( ) ( ) Ea 48 0 = 2, exp = 5, 4.0 (28) RT 8,
8 Dans les 2 cas, la durée de cémentation est de 4h ce qui correspond à = 4400 s. Ainsi à 900 C : x 900 C (mm) = 2u. D.t = 0, 583 u (29) et à 00 C : x 00 C (mm) = 2u. D.t =, 76 u (30) 0.8 C(x) x (mm) Figure 5: Les profils de concentration, C(x), obtenus pour T=900 C (rouge) et T=00 C (bleu) pour 4heures de traitement. 7
Exemples d utilisation de G2D à l oral de Centrale
Exemples d utilisation de G2D à l oral de Centrale 1 Table des matières Page 1 : Binaire liquide-vapeur isotherme et isobare Page 2 : Page 3 : Page 4 : Page 5 : Page 6 : intéressant facile facile sauf
Plus en détailOn peut être «lourd» et agile!
éditorial Traitements & Matériaux 412 Octobre - Novembre 2011 3 On peut être «lourd» et agile! La métallurgie est considérée comme une industrie «lourde», les traitements thermiques comme de «vieux» procédés,
Plus en détailChapitre XIV BASES PHYSIQUES QUANTITATIVES DES LOIS DE COMPORTEMENT MÉCANIQUE. par S. CANTOURNET 1 ELASTICITÉ
Chapitre XIV BASES PHYSIQUES QUANTITATIVES DES LOIS DE COMPORTEMENT MÉCANIQUE par S. CANTOURNET 1 ELASTICITÉ Les propriétés mécaniques des métaux et alliages sont d un grand intérêt puisqu elles conditionnent
Plus en détailMESURE DE LA TEMPERATURE
145 T2 MESURE DE LA TEMPERATURE I. INTRODUCTION Dans la majorité des phénomènes physiques, la température joue un rôle prépondérant. Pour la mesurer, les moyens les plus couramment utilisés sont : les
Plus en détailCircuits RL et RC. Chapitre 5. 5.1 Inductance
Chapitre 5 Circuits RL et RC Ce chapitre présente les deux autres éléments linéaires des circuits électriques : l inductance et la capacitance. On verra le comportement de ces deux éléments, et ensuite
Plus en détailManuel de validation Fascicule v4.25 : Thermique transitoire des structures volumiques
Titre : TTLV100 - Choc thermique dans un tuyau avec condit[...] Date : 02/03/2010 Page : 1/10 Manuel de Validation Fascicule V4.25 : Thermique transitoire des structures volumiques Document : V4.25.100
Plus en détailClassement selon la Directive EU 1999/45/EC Pour plus d information, voir nos fiches de données de sécurité (MSDS)
UDDEHOLM VANADIS 10 Ces informations sont basées sur l état actuel de nos connaissances et sont destinées à donner des indications générales sur nos produits et leurs utilisations. Elles ne peuvent en
Plus en détailChapitre 6. Fonction réelle d une variable réelle
Chapitre 6 Fonction réelle d une variable réelle 6. Généralités et plan d étude Une application de I dans R est une correspondance entre les éléments de I et ceu de R telle que tout élément de I admette
Plus en détailGENERALITES SUR LA MESURE DE TEMPERATURE
Distributeur exclusif de GENERALITES SUR LA MESURE DE TEMPERATURE INTRODUCTION...2 GENERALITES SUR LA MESURE DE TEMPERATURE...2 La température...2 Unités de mesure de température...3 Echelle de température...3
Plus en détailClassement selon la Directive EU 1999/45/EC Pour plus d information, voir nos fiches de données de sécurité (MSDS)
UDDEHOLM VANADIS 30 Ces informations sont basées sur l état actuel de nos connaissances et sont destinées à donner des indications générales sur nos produits et leurs utilisations. Elles ne peuvent en
Plus en détailBaccalauréat ES Pondichéry 7 avril 2014 Corrigé
Baccalauréat ES Pondichéry 7 avril 204 Corrigé EXERCICE 4 points Commun à tous les candidats. Proposition fausse. La tangente T, passant par les points A et B d abscisses distinctes, a pour coefficient
Plus en détailChapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :
Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur
Plus en détailChapitre 1. L intérêt. 2. Concept d intérêt. 1. Mise en situation. Au terme de ce chapitre, vous serez en mesure de :
Chapitre 1 L intérêt Au terme de ce chapitre, vous serez en mesure de : 1. Comprendre la notion générale d intérêt. 2. Distinguer la capitalisation à intérêt simple et à intérêt composé. 3. Calculer la
Plus en détailCorrection ex feuille Etoiles-Spectres.
Correction ex feuille Etoiles-Spectres. Exercice n 1 1 )Signification UV et IR UV : Ultraviolet (λ < 400 nm) IR : Infrarouge (λ > 800 nm) 2 )Domaines des longueurs d onde UV : 10 nm < λ < 400 nm IR : 800
Plus en détailComprendre l Univers grâce aux messages de la lumière
Seconde / P4 Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière 1/ EXPLORATION DE L UNIVERS Dans notre environnement quotidien, les dimensions, les distances sont à l échelle humaine : quelques mètres,
Plus en détailBaccalauréat ES Amérique du Nord 4 juin 2008
Baccalauréat ES Amérique du Nord 4 juin 2008 EXERCICE 1 Commun à tous les candidats f est une fonction définie sur ] 2 ; + [ par : 4 points f (x)=3+ 1 x+ 2. On note f sa fonction dérivée et (C ) la représentation
Plus en détailTP 7 : oscillateur de torsion
TP 7 : oscillateur de torsion Objectif : étude des oscillations libres et forcées d un pendule de torsion 1 Principe général 1.1 Définition Un pendule de torsion est constitué par un fil large (métallique)
Plus en détailInitiation à la Mécanique des Fluides. Mr. Zoubir HAMIDI
Initiation à la Mécanique des Fluides Mr. Zoubir HAMIDI Chapitre I : Introduction à la mécanique des fluides 1 Introduction La mécanique des fluides(mdf) a pour objet l étude du comportement des fluides
Plus en détailSYSTEMES LINEAIRES DU PREMIER ORDRE
SYSTEMES LINEIRES DU PREMIER ORDRE 1. DEFINITION e(t) SYSTEME s(t) Un système est dit linéaire invariant du premier ordre si la réponse s(t) est liée à l excitation e(t) par une équation différentielle
Plus en détailChapitre 0 Introduction à la cinématique
Chapitre 0 Introduction à la cinématique Plan Vitesse, accélération Coordonnées polaires Exercices corrigés Vitesse, Accélération La cinématique est l étude du mouvement Elle suppose donc l existence à
Plus en détailPremier principe : bilans d énergie
MPSI - Thermodynamique - Premier principe : bilans d énergie page 1/5 Premier principe : bilans d énergie Table des matières 1 De la mécanique à la thermodynamique : formes d énergie et échanges d énergie
Plus en détailExamen au Microscope Electronique à Balayage mettant en évidence les borures du Superplast 300.
ACIERS C ATA L O G U E 2 0 0 9-2 0 1 0 ALUMINIUM ALLIAGES CUIVREUX PRODUITS SIDÉRURGIQUES PLATS ET RONDS DE PRÉCISIONS COMPOSANTS L LQS Examen au Microscope Electronique à Balayage mettant en évidence
Plus en détailMesures calorimétriques
TP N 11 Mesures calorimétriques - page 51 - - T.P. N 11 - Ce document rassemble plusieurs mesures qui vont faire l'objet de quatre séances de travaux pratiques. La quasi totalité de ces manipulations utilisent
Plus en détailSTÉRILISATION. Réduction des populations. nonus 1
Réduction des populations nonus 1 nonus 2 Taux de survie N/No Taux de mortalité No-N /No No : nombre initial de cellules vivantes N : nombre de cellules vivantes après le cycle de stérilisation nonus 3
Plus en détailChapitre 3. Quelques fonctions usuelles. 1 Fonctions logarithme et exponentielle. 1.1 La fonction logarithme
Chapitre 3 Quelques fonctions usuelles 1 Fonctions logarithme et eponentielle 1.1 La fonction logarithme Définition 1.1 La fonction 7! 1/ est continue sur ]0, +1[. Elle admet donc des primitives sur cet
Plus en détailERRATA ET AJOUTS. ( t) 2 s2 dt (4.7) Chapitre 2, p. 64, l équation se lit comme suit : Taux effectif = 1+
ERRATA ET AJOUTS Chapitre, p. 64, l équation se lit comme suit : 008, Taux effectif = 1+ 0 0816 =, Chapitre 3, p. 84, l équation se lit comme suit : 0, 075 1 000 C = = 37, 50$ Chapitre 4, p. 108, note
Plus en détailChapitre 7. Circuits Magnétiques et Inductance. 7.1 Introduction. 7.1.1 Production d un champ magnétique
Chapitre 7 Circuits Magnétiques et Inductance 7.1 Introduction 7.1.1 Production d un champ magnétique Si on considère un conducteur cylindrique droit dans lequel circule un courant I (figure 7.1). Ce courant
Plus en détailTrépier avec règle, ressort à boudin, chronomètre, 5 masses de 50 g.
PHYSQ 130: Hooke 1 LOI DE HOOKE: CAS DU RESSORT 1 Introduction La loi de Hooke est fondamentale dans l étude du mouvement oscillatoire. Elle est utilisée, entre autres, dans les théories décrivant les
Plus en détailEtudier le diagramme température-pression, en particulier le point triple de l azote.
K4. Point triple de l azote I. BUT DE LA MANIPULATION Etudier le diagramme température-pression, en particulier le point triple de l azote. II. BASES THEORIQUES Etats de la matière La matière est constituée
Plus en détailCONCEPTION MÉCANIQUE ET DIMENSIONNEMENT ASSISTÉ PAR ORDINATEUR
M01 CONCEPTION MÉCANIQUE ET DIMENSIONNEMENT ASSISTÉ PAR ORDINATEUR 30 Heures Techniciens ou ingénieurs confrontés aux problèmes de conception et de dimensionnement des pièces mécaniques en bureau d études.
Plus en détailUne application de méthodes inverses en astrophysique : l'analyse de l'histoire de la formation d'étoiles dans les galaxies
Une application de méthodes inverses en astrophysique : l'analyse de l'histoire de la formation d'étoiles dans les galaxies Ariane Lançon (Observatoire de Strasbourg) en collaboration avec: Jean-Luc Vergely,
Plus en détailCours Fonctions de deux variables
Cours Fonctions de deux variables par Pierre Veuillez 1 Support théorique 1.1 Représentation Plan et espace : Grâce à un repère cartésien ( ) O, i, j du plan, les couples (x, y) de R 2 peuvent être représenté
Plus en détailQu est-ce que l acier inoxydable? Fe Cr > 10,5% C < 1,2%
Cr > 10,5% C < 1,2% Qu est-ce que l acier inoxydable? Alliage de fer comportant 10,5 % de chrome et 1,2 % de carbone nécessaires pour garantir la formation d une couche de surface auto-régénérante (couche
Plus en détailSUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION)
Terminale S CHIMIE TP n 2b (correction) 1 SUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION) Objectifs : Déterminer l évolution de la vitesse de réaction par une méthode physique. Relier l absorbance
Plus en détailPropriétés des options sur actions
Propriétés des options sur actions Bornes supérieure et inférieure du premium / Parité call put 1 / 1 Taux d intérêt, capitalisation, actualisation Taux d intéret composés Du point de vue de l investisseur,
Plus en détailSOMMAIRE Thématique : Matériaux
SOMMAIRE Thématique : Matériaux Rubrique : Connaissances - Conception... 2 Rubrique : Essais... 7 Rubrique : Matériaux...11 1 SOMMAIRE Rubrique : Connaissances - Conception Connaître les matières plastiques...
Plus en détailApplication à l astrophysique ACTIVITE
Application à l astrophysique Seconde ACTIVITE I ) But : Le but de l activité est de donner quelques exemples d'utilisations pratiques de l analyse spectrale permettant de connaître un peu mieux les étoiles.
Plus en détailProduction d eau chaude sanitaire thermodynamique, que dois-je savoir?
COURS-RESSOURCES Production d eau chaude sanitaire thermodynamique, que Objectifs : / 1 A. Les besoins en eau chaude sanitaire La production d'eau chaude est consommatrice en énergie. Dans les pays occidentaux,
Plus en détailChapitre 3 Les régimes de fonctionnement de quelques circuits linéaires
Chapitre 3 Les régimes de fonctionnement de quelques circuits linéaires 25 Lechapitreprécédent avait pour objet l étude decircuitsrésistifsalimentéspar dessourcesde tension ou de courant continues. Par
Plus en détailVannes à 2 ou 3 voies, PN16
4 847 Vannes 2 voies VVP47.-0.25 à VVP47.20-4.0 Vannes 3 voies VXP47.-0.25 à VXP47.20-4.0 Vannes 3 voies avec Té de bipasse VMP47.-0.25 à VMP47.15-2.5 Vannes à 2 ou 3 voies, PN16 VMP47... VVP47... VXP47...
Plus en détailF411 - Courbes Paramétrées, Polaires
1/43 Courbes Paramétrées Courbes polaires Longueur d un arc, Courbure F411 - Courbes Paramétrées, Polaires Michel Fournié michel.fournie@iut-tlse3.fr http://www.math.univ-toulouse.fr/ fournie/ Année 2012/2013
Plus en détailPour des Pas Extra Larges
Pour des Pas Extra arges Métrique Pour des Pas Extra arges jusqu à 25mm ou 1 tpi Unique pour des applications lourdes VKX-Nuance submicrograin Vargus Poche anti-rotation Support de plaquette adapté au
Plus en détailOscillations libres des systèmes à deux degrés de liberté
Chapitre 4 Oscillations libres des systèmes à deux degrés de liberté 4.1 Introduction Les systèmes qui nécessitent deux coordonnées indépendantes pour spécifier leurs positions sont appelés systèmes à
Plus en détailFonctions de deux variables. Mai 2011
Fonctions de deux variables Dédou Mai 2011 D une à deux variables Les fonctions modèlisent de l information dépendant d un paramètre. On a aussi besoin de modéliser de l information dépendant de plusieurs
Plus en détail3 Approximation de solutions d équations
3 Approximation de solutions d équations Une équation scalaire a la forme générale f(x) =0où f est une fonction de IR dans IR. Un système de n équations à n inconnues peut aussi se mettre sous une telle
Plus en détailLES 1ERES RENCONTRES DES SYNDICS BENEVOLES TRAVAUX DE RENOVATION : MAITRISE D OUVRAGE ET CODE CIVIL
TRAVAUX DE RENOVATION : INTRODUCTION Dans le cadre d un projet de travaux, le syndicat de copropriétaires dont vous faites partie devient MAITRE D OUVRAGE Le syndicat des copropriétaires : une Maitrise
Plus en détailCAPTEURS - CHAINES DE MESURES
CAPTEURS - CHAINES DE MESURES Pierre BONNET Pierre Bonnet Master GSI - Capteurs Chaînes de Mesures 1 Plan du Cours Propriétés générales des capteurs Notion de mesure Notion de capteur: principes, classes,
Plus en détailRay-grass anglais auto-regarnissant
Robuste COMME L ACIER Ray-grass anglais auto-regarnissant Une technologie révolutionnaire : auto-regarnissage et tolérance au jeu la plus élevée, même avec une tonte courte! RPR technology inside! RPR
Plus en détailTHERMODYNAMIQUE: LIQUEFACTION D UN GAZ
THERMODYNAMIQUE: LIQUEFACTION D UN GAZ B. AMANA et J.-L. LEMAIRE 2 LIQUEFACTION D'UN GAZ Cette expérience permet d'étudier la compressibilité et la liquéfaction d'un fluide en fonction des variables P,
Plus en détailPlanche n o 22. Fonctions de plusieurs variables. Corrigé
Planche n o Fonctions de plusieurs variables Corrigé n o : f est définie sur R \ {, } Pour, f, = Quand tend vers, le couple, tend vers le couple, et f, tend vers Donc, si f a une limite réelle en, cette
Plus en détailMesure du volume d'un gaz, à pression atmosphérique, en fonction de la température. Détermination expérimentale du zéro absolu.
Mesure du volume d'un gaz, à pression atmosphérique, en fonction de la température. Détermination expérimentale du zéro absolu. Auteur : Dr. Wulfran FORTIN Professeur Agrégé de Sciences Physiques TZR -
Plus en détailEtude de faisabilité
Etude de faisabilité Modèle de cahier des charges pour chaufferie dédiée Ce modèle de cahier des charges d étude de faisabilité a été réalisé dans le cadre de la Mission Régionale Bois-Energie Il est un
Plus en détailTPG 12 - Spectrophotométrie
TPG 12 - Spectrophotométrie Travail par binôme Objectif : découvrir les conditions de validité et les utilisations possibles de la loi de Beer-Lambert I- Tracé de la rosace des couleurs Choisir un des
Plus en détailChapitre 1: Facteurs d'échelle
Chapitre 1: Facteurs d'échelle Des considérations générales sur la taille des objets ou des êtres vivants et leur influence sur différents paramètres, permettent d'établir simplement quelques lois ou tendances,
Plus en détailNotions physiques Niveau 2
14 novembre 2011 Contenu 1. Les pressions Les différentes pressions 2. La loi de Mariotte (Autonomie en air) 2.1. Principes 2.2. Applications à la plongée 3. Le théorème d Archimède (Flottabilité) 3.1.
Plus en détailTP 3 diffusion à travers une membrane
TP 3 diffusion à travers une membrane CONSIGNES DE SÉCURITÉ Ce TP nécessite la manipulation de liquides pouvant tacher les vêtements. Le port de la blouse est fortement conseillé. Les essuie tout en papier
Plus en détailFonctions de plusieurs variables, intégrales multiples, et intégrales dépendant d un paramètre
IUFM du Limousin 2009-10 PLC1 Mathématiques S. Vinatier Rappels de cours Fonctions de plusieurs variables, intégrales multiples, et intégrales dépendant d un paramètre 1 Fonctions de plusieurs variables
Plus en détailFUSION PAR CONFINEMENT MAGNÉTIQUE
FUSION PAR CONFINEMENT MAGNÉTIQUE Séminaire de Xavier GARBET pour le FIP 06/01/2009 Anthony Perret Michel Woné «La production d'énergie par fusion thermonucléaire contrôlée est un des grands défis scientifiques
Plus en détailTransformations nucléaires
Transformations nucléaires Stabilité et instabilité des noyaux : Le noyau d un atome associé à un élément est représenté par le symbole A : nombre de masse = nombre de nucléons (protons + neutrons) Z :
Plus en détailFICHE 1 Fiche à destination des enseignants
FICHE 1 Fiche à destination des enseignants 1S 8 (b) Un entretien d embauche autour de l eau de Dakin Type d'activité Activité expérimentale avec démarche d investigation Dans cette version, l élève est
Plus en détailMicrostructure des soudures de titane. Paul Danielson, Rick Wilson, et David Alman U. S. Department of Energy, Albany Research Center Albany, Orégon
Microstructure des soudures de titane Paul Danielson, Rick Wilson, et David Alman U. S. Department of Energy, Albany Research Center Albany, Orégon Revue de Matérialographie Struers 3 / 2004 Structure
Plus en détailVis à billes de précision à filets rectifiés
sommaire Calculs : - Capacités de charges / Durée de vie - Vitesse et charges moyennes 26 - Rendement / Puissance motrice - Vitesse critique / Flambage 27 - Précharge / Rigidité 28 Exemples de calcul 29
Plus en détailJOURNEE TECHNIQUE AFIAP du 15 Mai 2014
JOURNEE TECHNIQUE AFIAP du 15 Mai 2014 Introduction des méthodes CND innovantes au service de la Catherine HERVE; Henri WALASZEK; Mohammed CHERFAOUI CETIM Page 1 Plan de la présentation Les méthodes CND
Plus en détailLes composites thermoplastiques
Les composites thermoplastiques Définition Par définition, un thermoplastique (anglais :thermoplast) est un matériau à base de polymère (composé de macromolécules) qui peut être mis en forme, à l état
Plus en détailT.I.P.E. Optimisation d un. moteur
LEPLOMB Romain Année universitaire 2004-2005 LE ROI Gautier VERNIER Marine Groupe Sup B, C, D Professeur accompagnateur : M. Guerrier T.I.P.E Optimisation d un moteur 1 1. Présentation du fonctionnement
Plus en détailenquête pour les fautes sur le fond, ce qui est graves pour une encyclopédie.
4.0 Contrôles /4 4 e enquête pour les fautes sur le fond, ce qui est graves pour une encyclopédie. RPPEL de 0. Wikipédia 2/2 Dans le chapitre : XX e siècle : ( 4.0 mythe paroxysme ) sous la photo d un
Plus en détailFONCTIONS DE PLUSIEURS VARIABLES (Outils Mathématiques 4)
FONCTIONS DE PLUSIEURS VARIABLES (Outils Mathématiques 4) Bernard Le Stum Université de Rennes 1 Version du 13 mars 2009 Table des matières 1 Fonctions partielles, courbes de niveau 1 2 Limites et continuité
Plus en détailMOTO ELECTRIQUE. CPGE / Sciences Industrielles pour l Ingénieur TD06_08 Moto électrique DIAGRAMME DES INTER-ACTEURS UTILISATEUR ENVIRONNEMENT HUMAIN
MOTO ELECTRIQUE MISE EN SITUATION La moto électrique STRADA EVO 1 est fabriquée par une société SUISSE, située à LUGANO. Moyen de transport alternatif, peut-être la solution pour concilier contraintes
Plus en détailRELAIS STATIQUE. Tension commutée
RELAIS STATIQUE Nouveau Relais Statique Monophasé de forme compacte et économique Coût réduit pour une construction modulaire Modèles disponibles de 15 à 45 A Modèles de faible encombrement, avec une épaisseur
Plus en détailChapitre 1 Régime transitoire dans les systèmes physiques
Chapitre 1 Régime transitoire dans les systèmes physiques Savoir-faire théoriques (T) : Écrire l équation différentielle associée à un système physique ; Faire apparaître la constante de temps ; Tracer
Plus en détailF7n COUP DE BOURSE, NOMBRE DÉRIVÉ
Auteur : S.& S. Etienne F7n COUP DE BOURSE, NOMBRE DÉRIVÉ TI-Nspire CAS Mots-clés : représentation graphique, fonction dérivée, nombre dérivé, pente, tableau de valeurs, maximum, minimum. Fichiers associés
Plus en détailGénéralités. Aperçu. Introduction. Précision. Instruction de montage. Lubrification. Conception. Produits. Guides à brides FNS. Guides standards GNS
Généralités Aperçu Introduction Précision Instruction de montage Lubrification Conception page............................. 4............................. 5............................. 6.............................
Plus en détail259 VOLUMETRIE ET TITRATION DOSAGE DU NaOH DANS LE DESTOP
259 VOLUMETRIE ET TITRATION DOSAGE DU NaOH DANS LE DESTOP A d a p t a t i o n : A. - M. F o u r n i e r ( C o p a d ), M. C a s a n o v a & H. J e n n y ( C d C ) 2 0 0 1 C o n c e p t i o n D. M a r g
Plus en détailNotice d'utilisation Capteur de niveau TOR. LI214x 704776/00 10/2010
Notice d'utilisation Capteur de niveau TOR LI214x FR 704776/00 10/2010 Contenu 1 Remarque préliminaire 3 1.1 Symboles utilisés 3 2 Consignes de sécurité 3 3 Fonctionnement et caractéristiques 4 3.1 Application
Plus en détailNombres, mesures et incertitudes en sciences physiques et chimiques. Groupe des Sciences physiques et chimiques de l IGEN
Nombres, mesures et incertitudes en sciences physiques et chimiques. Groupe des Sciences physiques et chimiques de l IGEN Table des matières. Introduction....3 Mesures et incertitudes en sciences physiques
Plus en détailCONCOURS COMMUN 2010 PHYSIQUE
CONCOUS COMMUN SUJET A DES ÉCOLES DES MINES D ALBI, ALÈS, DOUAI, NANTES Épreuve de Physique-Chimie (toutes filières) Corrigé Barème total points : Physique points - Chimie 68 points PHYSIQUE Partie A :
Plus en détailAlfa Laval échangeurs de chaleur spiralés. La solution à tous les besoins de transfert de chaleur
Alfa Laval échangeurs de chaleur spiralés La solution à tous les besoins de transfert de chaleur L idée des échangeurs de chaleur spiralés n est pas nouvelle, mais Alfa Laval en a amélioré sa conception.
Plus en détailTEMPÉRATURE DE SURFACE D'UNE ÉTOILE
TEMPÉRATURE DE SURFACE D'UNE ÉTOILE Compétences mises en jeu durant l'activité : Compétences générales : Etre autonome S'impliquer Elaborer et réaliser un protocole expérimental en toute sécurité Compétence(s)
Plus en détailContribution à la conception par la simulation en électronique de puissance : application à l onduleur basse tension
Contribution à la conception par la simulation en électronique de puissance : application à l onduleur basse tension Cyril BUTTAY CEGELY VALEO 30 novembre 2004 Cyril BUTTAY Contribution à la conception
Plus en détailLa fonction exponentielle
DERNIÈRE IMPRESSION LE 2 novembre 204 à :07 La fonction exponentielle Table des matières La fonction exponentielle 2. Définition et théorèmes.......................... 2.2 Approche graphique de la fonction
Plus en détailRobinetterie «haut de gamme» + Systèmes Robinetterie pour installations d eau potable «Aquastrom T plus» «Aquastrom C» «Aquastrom P»
Innovation + Qualité Robinetterie «haut de gamme» + Systèmes Robinetterie pour installations d eau potable «Aquastrom T plus» «Aquastrom C» «Aquastrom P» Gamme de produits Conditions générales et directives
Plus en détail*EP001039352A1* EP 1 039 352 A1 (19) (11) EP 1 039 352 A1 (12) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN. (43) Date de publication: 27.09.2000 Bulletin 2000/39
(19) Europäisches Patentamt European Patent Office Office européen des brevets *EP001039352A1* (11) EP 1 039 352 A1 (12) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN (43) Date de publication: 27.09.2000 Bulletin 2000/39
Plus en détailDomosol : Système solaire combiné (SSC) de production d eau chaude et chauffage
Domosol : Système solaire combiné (SSC) de production d eau chaude et chauffage Tc Le système solaire combiné (SSC) Domosol de ESE est basé sur le Dynasol 3X-C. Le Dynasol 3X-C est l interface entre les
Plus en détail* très facile ** facile *** difficulté moyenne **** difficile ***** très difficile I : Incontournable
Eo7 Fonctions de plusieurs variables Eercices de Jean-Louis Rouget Retrouver aussi cette fiche sur wwwmaths-francefr * très facile ** facile *** difficulté moenne **** difficile ***** très difficile I
Plus en détailTP : Suivi d'une réaction par spectrophotométrie
Nom : Prénom: n groupe: TP : Suivi d'une réaction par spectrophotométrie Consignes de sécurité de base: Porter une blouse en coton, pas de nu-pieds Porter des lunettes, des gants (en fonction des espèces
Plus en détailTitre alcalimétrique et titre alcalimétrique complet
Titre alcalimétrique et titre alcalimétrique complet A Introduction : ) Définitions : Titre Alcalimétrique (T.A.) : F m / L T.A. T.A.C. Définition : C'est le volume d'acide (exprimé en ml) à 0,0 mol.l
Plus en détailContrôle non destructif Magnétoscopie
Contrôle non destructif Magnétoscopie Principes physiques : Le contrôle magnétoscopique encore appelé méthode du flux de fuite magnétique repose sur le comportement particulier des matériaux ferromagnétiques
Plus en détailUTILISATION DES SÉDIMENTS VALORISÉS : exemple de la plate-forme expérimentale SOLINDUS pour le pré-traitement des produits de dragage
UTILISATION DES SÉDIMENTS VALORISÉS : exemple de la plate-forme expérimentale SOLINDUS pour le pré-traitement des produits de dragage Dr H. Bréquel, Responsable département Recherche 1 1 /20 CONTEXTE ET
Plus en détail1 ère partie : tous CAP sauf hôtellerie et alimentation CHIMIE ETRE CAPABLE DE. PROGRAMME - Atomes : structure, étude de quelques exemples.
Référentiel CAP Sciences Physiques Page 1/9 SCIENCES PHYSIQUES CERTIFICATS D APTITUDES PROFESSIONNELLES Le référentiel de sciences donne pour les différentes parties du programme de formation la liste
Plus en détailTS 35 Numériser. Activité introductive - Exercice et démarche expérimentale en fin d activité Notions et contenus du programme de Terminale S
FICHE Fiche à destination des enseignants TS 35 Numériser Type d'activité Activité introductive - Exercice et démarche expérimentale en fin d activité Notions et contenus du programme de Terminale S Compétences
Plus en détailNUMERICAL SIMULATION OF THE CLADDING OF A FERRITIC BLOCK WITH A STAINLESS STEEL STUDY OF POST-WELD HEAT TREATMENT
Direction des Etudes et Recherches SERVICE RÉACTEURS NUCLÉAIRES ET ECHANGEURS Département Mécanique et Technologie des Composants Juin 1994 DUPAS P. CARAYOLR. SIMULATION NUMERIQUE DU DEPOT D'UN REVETEMENT
Plus en détailLe MeiLLeuR RappORt qualité-prix
FORM 20 FORM 30 2 Le meilleur rapport qualité-prix Sommaire Points forts Mécanique Contrôle 4 6 10 Le générateur Préparation du travail GF AgieCharmilles 12 13 14 FORM 20 FORM 30 La qualité des applications
Plus en détailPropriétés thermiques d un mélangeur chaotique statique
Propriétés thermiques d un mélangeur chaotique statique Mathieu CREYSSELS, Simon PRIGENT, Yixian ZHOU, Jianjin XIN, Christian NICOT, Philippe CARRIÈRE Laboratoire de Mécanique des Fluides et Acoustique,
Plus en détailChapitre 4: Dérivée d'une fonction et règles de calcul
DERIVEES ET REGLES DE CALCULS 69 Chapitre 4: Dérivée d'une fonction et règles de calcul Prérequis: Généralités sur les fonctions, Introduction dérivée Requis pour: Croissance, Optimisation, Études de fct.
Plus en détailEXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points)
BAC S 2011 LIBAN http://labolycee.org EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points) Les parties A et B sont indépendantes. A : Étude du fonctionnement d un spectrophotomètre
Plus en détailSemi-conducteurs. 1 Montage expérimental. Expérience n 29
Expérience n 29 Semi-conducteurs Description Le but de cette expérience est la mesure de l énergie d activation intrinsèque de différents échantillons semiconducteurs. 1 Montage expérimental Liste du matériel
Plus en détailN 15 PLOMBERIE /CHAUFFAGE SUJET
PLOMBERIE /CHAUFFAGE SUJET Sélections régionales 2012 SOMMAIRE A. Explication du sujet... 3/4 B. Déroulement du concours... 5 C. Matériaux et consommables... 6/7 D. Caisse à outils... 8 E. Barème de correction...
Plus en détailPlan d'études pour l enseignement en entreprise
Plan d'études pour l enseignement en entreprise Monteur frigoriste CFC Monteuse frigoriste CFC Utilisation du plan d'étude pour l enseignement en entreprise Le présent plan d'étude pour l enseignement
Plus en détailFiche d application. 7 octobre 2013 1.0
MINISTÈRE DE L ÉGALITÉ DES TERRITOIRES ET DU LOGEMENT MINISTÈRE DE L ÉCOLOGIE, DU DÉVELOPPEMENT DURABLE ET DE L ÉNERGIE Diagnostic de Performance Energétique Fiche d application Date Version 7 octobre
Plus en détail