La loi Leonetti Loi relative aux droits des malades et à la fin de vie. 22 avril 2005
|
|
- Marie-Paule Auger
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 La loi Leonetti Loi relative aux droits des malades et à la fin de vie 22 avril 2005
2 Vivre ou laisser mourir Respecter la vie, accepter la mort Ouvrage de Jean Leonetti de 2005
3 CODE DE DEONTOLOGIE Article 37 En toutes circonstances, le médecin m doit s efforcer de soulager les souffrances de son malade, l assister l moralement et éviter toute obstination déraisonnable d dans les investigations ou la thérapeutique Cet article a été modifié par le décret d n 2010n du 29 janvier 2010 intégrant la loi que nous allons présenter.
4 CODE DE DEONTOLOGIE Article 38 Le médecin m doit accompagner le mourant jusqu à ses derniers moments, assurer par des soins et des mesures appropriées la qualité d une vie qui prend fin, sauvegarder la dignité du malade et réconforter son entourage. Il n a n a pas le droit de provoquer délibérément la mort.
5 Jean Leonetti,, députd puté UMP, cardiologue Débat parlementaire suite au cas de Vincent Humbert et de la canicule de l él été auditions: historiens, philosophes, sociologues, juristes, responsables politiques, représentants des religions monothéistes, des loges maçonniques, des professions de santé, du monde associatif
6 /12/rap- info/i1708 /i1708-t1.asp#p3017_ ) Quel est le regard de notre société sur la mort? La mort refoulée La mort rationalisée Les peurs de la mort 2) Quelles sont les attentes de notre société? Les attentes des personnes en fin de vie et de leurs proches Les attentes des professionnels de santé 3) Quelles sont les réponses r possibles aux attentes de notre société? Conserver le statut quo Dépénaliser l euthanasiel Trouver des solutions adaptées au contexte social et médical m français ais
7 Association pour le droit de mourir dans la dignité Milite pour la légalisation l de l euthanasiel Législations belge et hollandaise permettent l euthanasiel adhérents Très s active, médiatisation m importante Histoires de Hervé Pierra (6 jours pour mourir après s arrêt t de l alimentation l atificielle en 2006), Clara Blanc, Chantal Sébire
8 Le contenu de la loi Refus de l obstination l déraisonnabled Soulager la souffrance Refus de traitement Procédures d arrd arrêt t de traitement applicable à la personne consciente en fin de vie Personne de confiance et directives anticipées Procédures d arrd arrêt t de ttt applicable à la personne inconsciente en fin de vie Concrétisation des obligations des établissements en matière de soins palliatifs
9 L obstination déraisonnabled Nouveau terme pour désigner d l acharnement thérapeutique Comment la définir? d La loi accentue toujours le droit aux soins palliatifs L article 1 modifie l article l L du code de la santé publique (droit des malades à recevoir les soins et thérapeutiques les plus appropriés)
10 L obstination déraisonnabled Se garder de deux écueils: l erreur l par défaut (renoncer trop tôt t t aux soins curatifs) et l erreur l par excès s (imposer aux malades des traitements superflus) Le médecin m qui décide d de suspendre ou de ne pas entreprendre des traitements qui lui semblent disproportionnés s agit dans le respect de la loi
11 Article 1er Ces actes ne doivent pas être poursuivis par une obstination déraisonnable. d Lorsqu ils apparaissent inutiles, disproportionnés s ou n ayant n d autre d effet que le seul maintien artificiel de la vie, ils peuvent être suspendus ou ne pas être entrepris. Dans ce cas, le médecin m sauvegarde la dignité du mourant et assure la qualité de sa vie en dispensant les soins visés à l article L
12 Soulager la souffrance Utiliser des traitements à des doses qui peuvent avoir pour effet secondaire d abréger la vie dans la mesure oùo le patient ou ses représentants auront été informés s des risques encourus Article 2 qui vient comme l article l 1 compléter l article l L du code de la santé publique
13 Article 2 Si le médecin m constate qu il ne peut soulager la souffrance d une d personne, en phase avancée ou terminale d une d affection grave et incurable, quelle qu en soit la cause, qu en lui appliquant un traitement qui peut avoir pour effet secondaire d abrd abréger sa vie, il doit en informer le malade, sans préjudice des dispositions du quatrième alinéa a de l article l L , la personne de confiance visée à l article L , la famille ou, à défaut, un des proches. La procédure suivie est inscrite dans le dossier médical.
14 Refus de traitement Les articles 3, 4 et 5 modifient l article l L du code de la santé publique L article L concerne l information l du patient, son consentement et les possibilités s de refus de traitement pour un patient qui n est n pas en fin de vie,, qu il soit conscient ou inconscient
15 Article 3 Dans l article l L du code la santé publique, les mots «un traitement» sont remplacés s par les mots «tout traitement» Dans les débats d parlementaires, le «tout» englobe l alimentation l artificielle
16 Article 4 Il peut faire appel à un autre membre du corps médicalm dical.. Dans tous les cas, le malade doit réitérer sa décisiond après s un délai raisonnable.. Celle-ci est inscrite dans son dossier médical. m Le médecin m sauvegarde la dignité du mourant et assure la qualité de sa fin de vie en dispensant les soins visés à l article L
17 Article 5 Lorsque la personne est hors d éd état d exprimer d sa volonté,, la limitation ou l arrl arrêt t de traitement susceptible de mettre sa vie en danger ne peut être réalisr alisé sans avoir respecté la procédure collégiale définie par le code de déontologie d médicale et sans que la personne de confiance prévue à l article L ou la famille ou, à défaut, un de ses proches et, le cas échéant, les directives anticipées de la personne, aient été consultés. s. La décision d motivée e de limitation ou d arrd arrêt t de traitement est inscrite dans le dossier médical. m
18 Procédure de limitation ou d arrd arrêt t de traitement applicable à la personne consciente en fin de vie Respect de la volonté Information des conséquences Inscription dans le dossier médicalm Toujours l importance l des soins palliatifs et de l accompagnementl
19 Article 6 Lorsqu une une personne, en phase avancée e ou terminale d une d affection grave et incurable, quelle qu en soit la cause, décide d de limiter ou d arrêter tout traitement, le médecin m respecte sa volonté après s l avoir l informée e des conséquences de son choix. La décision d du malade est inscrite dans son dossier médical. m Le médecin m sauvegarde la dignité du mourant et assure la qualité de sa fin de vie en dispensant les soins visés à l article L
20 Les directives anticipées Le médecin m doit en prendre connaissance et en tenir compte
21 Article 7 Toute personne majeure peut rédiger r des directives anticipées pour le cas oùo elle serait un jour hors d éd état d exprimer d sa volonté.. Ces directives anticipées indiquent les souhaits de la personne relatifs à sa fin de vie concernant les conditions de la limitation ou l arrl arrêt t de traitement. Elles sont révocables r à tout moment.
22 A condition qu elles aient été établies moins de trois ans avant l él état d inconscience de la personne, le médecin m en tient compte pour toute décision d d investigation, d intervention d ou de traitement la concernant. Un décret d en Conseil d Etatd définit les conditions de validité,, de confidentialité et de conservation des directives anticipées.
23 La personne de confiance
24 Article 8 Lorsqu une une personne, en phase avancée e ou terminale d une d affection grave et incurable, quelle qu en soit la cause et hors d éd état d exprimer sa volonté,, a désignd signé une personne de confiance en application de l article l L , l avis l de cette dernière, re, sauf urgence ou impossibilité,, prévaut sur tout autre avis non médical, à l exclusion des directives anticipées, dans les décisions d d investigation, d d intervention d ou de traitement prises par le médecin. m
25 Procédure de limitation ou d arrd arrêt t de traitement applicable à la personne inconsciente en fin de vie Procédure collégiale Consultation de la personne de confiance, la famille ou les proches Consultation des directives anticipées Inscription dans le dossier médicalm Soins palliatifs
26 Article 9 Lorsqu une une personne, en phase avancée e ou terminale d une d affection grave et incurable, quelle qu en soit la cause, est hors d éd état d exprimer sa volonté,, le médecin m peut décider d de limiter ou d arrd arrêter un traitement inutile, disproportionné ou n ayant n d autre d objet que la seule prolongation artificielle de la vie de cette personne, après s avoir respecté la procédure collégiale définie d par le code de déontologie d médicale et consulté la personne de confiance visée à l article L.111-6, la famille ou à défaut un de ses proches et, le cas échéant, les directives anticipées de la personne.
27 Sa décision, d motivée, est inscrite dans le dossier médical. m Le médecin m sauvegarde la dignité du mourant et assure la qualité de sa fin de vie en dispensant les soins visés à l article L
28 Article 37 du code de déontologie modifié en 2010 Procédure collégiale: concertation avec l équipe soignante, avis motivé d un médecin consultant qui n a n a pas de lien hiérarchique avec le médecin m qui prend la décision Possibilité d un deuxième avis d un d autre consultant
29 Soins palliatifs
30 Article 11 Ils identifient les services au sein desquels sont dispensés s des soins palliatifs et définissent, pour chacun d entre d eux, le nombre de référents r rents en soins palliatifs qu il convient de former ainsi que le nombre de lits qui doivent être identifiés s comme des lits de soins palliatifs
31 Article 12 Le projet médical m comprend un volet «activité palliative des services. Celui-ci identifie les services de l él établissement au sein desquels sont dispensés s des soins palliatifs. Il précise les mesures qui doivent être prises en application des dispositions du contrat pluriannuel mentionné aux articles L et L
32 Dans les derniers articles de 11 à 15, on retrouve l importance l des soins palliatifs dans le code de la santé publique, dans le code de l action l sociale et des familles et dans le projet de loi de finances
33 Mission Leonetti (décembre 2008) Toujours dans un contexte émotionnel intense Demande d éd évaluation de la loi après s la médiatisation m de l histoire de Chantal Sébire Refus de l exception l d euthanasied Faire connaître la loi qui est mal appliquée Congé pour accompagnement d une d personne en fin de vie suicide: droit-libert liberté mais pas un droit-cr créance Information sur la sédation s en phase terminale Création d un d observatoire des pratiques médicales m en fin de vie Soins palliatifs et éthique lors des études médicalesm
Droits des malades en fin de vie. Connaître la loi Leonetti et l appliquer
Droits des malades en fin de vie Connaître la loi Leonetti et l appliquer Lorsque la médecine trouve ses limites et que la personne, avec ses proches, se situe dans la perspective d une échéance annoncée,
Plus en détailLE MALADE EN FIN DE VIE
LE MALADE EN FIN DE VIE Un précepte, donc à suivre scrupuleusement, est celui de ne jamais abandonner un malade même en état de mort imminente et de tout mettre en œuvre pour relever les forces, et soulager
Plus en détaildroits des malades et fin de vie
DOCUMENT à CONSERVER ET À EMPORTER si VOUS êtes HOSPITALISé droits des malades et fin de vie La loi Leonetti Le respect de la personne Le rôle de votre médecin L accès aux soins palliatifs Photo couverture
Plus en détailDroits des personnes malades en fin de vie
R S L S Droits des personnes malades en fin de vie Dr. R. Mislawski Médecin coordonnateur, Docteur en droit Sommaire Introduction 1 Domaine de la loi 2 Conditions de fond de mise en œuvre de la loi 3 Critères
Plus en détailPatients atteints de maladie grave ou en fin de vie
Document réservé aux professionnels de santé - État des connaissances - Mai 2009 Repères pour votre pratique Patients atteints de maladie grave ou en fin de vie Soins palliatifs et accompagnement Les progrès
Plus en détailQuelles attitudes en fin de vie? Acharnement? Euthanasie? Soins palliatifs?
Quelles attitudes en fin de vie? Acharnement? Euthanasie? Soins palliatifs? Dr Christophe TRIVALLE Service de Gérontologie et Soins Palliatifs Hôpital Paul Brousse «Nombre de débats actuels initiés par
Plus en détailPRISE EN CHARGE DE LA FIN DE VIE
PRISE EN CHARGE DE LA FIN DE VIE POSITION DU CONSEIL NATIONAL DE L ORDRE DES INFIRMIERS Décembre 2013 POSITION DE L ORDRE NATIONAL DES INFIRMIERS «PRISE EN CHARGE DE LA FIN DE VIE» Le Président de la
Plus en détailLA FIN DE VIE AUX URGENCES: LES LIMITATIONS ET ARRÊTS DES THÉRAPEUTIQUES ACTIVES. Dr Marion DOUPLAT SAMU- Urgences Timone
LA FIN DE VIE AUX URGENCES: LES LIMITATIONS ET ARRÊTS DES THÉRAPEUTIQUES ACTIVES Dr Marion DOUPLAT SAMU- Urgences Timone SOMMAIRE 1. La mort aux urgences 2. Les Limitations et Arrêts des Thérapeutiques
Plus en détailL euthanasie et l assistance au suicide
L euthanasie et l assistance au suicide Loi du 16 mars 2009 français 25 questions 25 s L euthanasie et l assistance au suicide Loi du 16 mars 2009 En collaboration avec le Ministère de la Sécurité sociale,
Plus en détailLa responsabilité des infirmiers et des établissements de santé
La responsabilité des infirmiers et des établissements de santé I. Généralités Notion de responsabilité : Seules les personnes sont juridiquement responsables : o Personnes physiques (particuliers, professionnels)
Plus en détailCAHIER DES CHARGES INFIRMIER-ÈRE DIPLÔMÉ-E
Madame/Monsieur 1. DÉFINITION DE LA FONCTION Au service du projet institutionnel, la titulaire du poste : Exerce dans un cadre législatif et un contexte sanitaire connus (loi sur l exercice professionnel,
Plus en détailGuide pratique et recommandations à l'attention du personnel médical et paramédical
Guide pratique et recommandations à l'attention du personnel médical et paramédical Loi du 22 avril 2005 Droits des malades et fin de vie Mars 2009 Hospices Civils de Lyon Sommaire Présentation générale
Plus en détailGuide sur le processus décisionnel relatif aux traitements médicaux dans les situations de fn de vie
Guide sur le processus décisionnel relatif aux traitements médicaux dans les situations de fn de vie Guide sur le processus décisionnel relatif aux traitements médicaux dans les situations de fn de vie
Plus en détailethique Acharnement thérapeutique Q ua nd s e p o s e la que s t i o n du juste soin... du juste soin...
ethique Acharnement thérapeutique Q ua nd s e p o s e la que s t i o n du juste soin... du juste soin... education permanente 1 «Chacun doit avoir le droit de faire respecter ses volontés, y compris éventuellement
Plus en détailRAPPORT DE PRESENTATION ET TEXTE DE LA PROPOSITION DE LOI DE MM. ALAIN CLAEYS ET JEAN LEONETTI
RAPPORT DE PRESENTATION ET TEXTE DE LA PROPOSITION DE LOI DE MM. ALAIN CLAEYS ET JEAN LEONETTI CREANT DE NOUVEAUX DROITS EN FAVEUR DES MALADES ET DES PERSONNES EN FIN DE VIE Nous remercions Catherine Hesse,
Plus en détailFONDATION NATIONALE DE GERONTOLOGIE MINISTERE DE L EMPLOI ET DE LA SOLIDARITE SECRETARIAT D ETAT A LA SANTE ET A L ACTION SOCIALE
FONDATION NATIONALE DE GERONTOLOGIE MINISTERE DE L EMPLOI ET DE LA SOLIDARITE SECRETARIAT D ETAT A LA SANTE ET A L ACTION SOCIALE 1999 La Fondation nationale de gérontologie et le ministère des affaires
Plus en détailLa responsabilité juridique des soignants
La responsabilité juridique des soignants Les soignants, face à des conditions de travail parfois difficiles et aux aléas de la médecine, songent plus souvent aux risques thérapeutiques qu aux risques
Plus en détailAssurance obligatoire des soins
Assurance obligatoire des soins selon la Loi fédérale sur l assurance-maladie (LAMal) Conditions d assurance Sanitas Corporate Private Care Edition de janvier 2009 (version 2013) Organisme d assurance:
Plus en détailLes aides légales à la gestion du patrimoine et à la protection de la personne
guide pratique Les aides légales à la gestion du patrimoine et à la protection de la personne MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE LA SOLIDARITÉ ET DE LA FONCTION PUBLIQUE SECRÉTARIAT D'ÉTAT CHARGÉ DES AÎNÉS eslégalesà
Plus en détailCODE DE DéONTOLOGIE MéDICALE
ÉDITION NOVEMBRE 2012 CODE DE DéONTOLOGIE MéDICALE code de déontologie médicale Édition Novembre 2012 AVERTISSEMENT AU LECTEUR Les principes énoncés dans chaque article du Code de Déontologie font l objet
Plus en détailDéclarations anticipées concernant mes soins de santé et ma fin de vie
Déclarations anticipées concernant mes soins de santé et ma fin de vie Nom et prénom: Adresse: Numéro de registre national: Mes valeurs et convictions personnelles Outre les déclarations anticipées expressément
Plus en détailPrésentation de la note Perspectives & Propositions Fin de vie, penser les enjeux, soigner les personnes
Présentation de la note Perspectives & Propositions Fin de vie, penser les enjeux, soigner les personnes par Dominique Folscheid et Brice de Malherbe, co-directeurs du département d Ethique biomédicale,
Plus en détailHISTORIQUE DES SOINS PALLIATIFS ET ENJEUX POUR LE FUTUR
HISTORIQUE DES SOINS PALLIATIFS ET ENJEUX POUR LE FUTUR CHANTAL COUVREUR Sociologue, Docteur en Santé Publique Présidente de «Mediteam» Si l on s intéresse à l histoire des soins palliatifs, on constate
Plus en détailPolitique d utilisation des médias sociaux et des technologies de l information
CA 06-02-2015 Annexe 10.1 Politique d utilisation des médias sociaux et des technologies de l information Janvier 2015 2 1. PRÉAMBULE La Fédération des médecins résidents du Québec (FMRQ) est une fédération
Plus en détailREFLEXIONS POUR LE DEVELOPPEMENT D UNE PRATIQUE DE CONCERTATION PROFESSIONNELLE ENTRE MEDECINS ET PHARMACIENS DANS L INTERET DES MALADES
REFLEXIONS POUR LE DEVELOPPEMENT D UNE PRATIQUE DE CONCERTATION PROFESSIONNELLE ENTRE MEDECINS ET PHARMACIENS DANS L INTERET DES MALADES Le médecin et le pharmacien bien que fréquentant souvent des facultés
Plus en détailAPRES TOUT ACTE DE MALTRAITANCE. 3. Elaboration des recommandations de pratique. 4. Diffusion au personnel des recommandations.
PROCESSUS D ASSURANCE QUALITE MIS EN ŒUVRE APRES TOUT ACTE DE MALTRAITANCE 1. Identification des circonstances déclenchantes de l acte de maltraitance. 2. Définition des objectifs correctifs. 3. Elaboration
Plus en détailPage1 LE DROIT AU RESPECT DE LA DIGNITE
Page1 LE DROIT AU RESPECT DE LA DIGNITE 0 Page2 Sommaire Les droits rattachés au respect de la personne... 3 Le droit au respect de sa dignité... 3 Quelle est la signification de la dignité en droit de
Plus en détailLa prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant Vivre avec un trouble dépressif Septembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin
Plus en détailAnnick LABONNE Institut de Formation en Masso-Kin CHU de Fort-de
LA MASSO-KINESITHERAPIE Annick LABONNE Institut de Formation en Masso-Kin Kinésith sithérapie CHU de Fort-de de-france DEFINITION A l origine l il s agissait s de techniques de massage et de mobilisations
Plus en détailI. - LES FAITS NÉCESSITANT LA MISE EN ŒUVRE DE LA PROCÉDURE SPÉCIFIQUE D URGENCE A.
MINISTÈRE DES AFFAIRES SOCIALES, DU TRAVAIL ET DE LA SOLIDARITÉ Délégation générale à l emploi et à la formation professionnelle Sous-direction des formations en alternance et de l insertion des jeunes
Plus en détailJF/EP N 110670 Contacts IFOP : Jérôme Fourquet / Esteban Pratviel Tél : 01 45 84 14 44 jerome.fourquet@ifop.com. pour
JF/EP N 110670 Contacts IFOP : Jérôme Fourquet / Esteban Pratviel Tél : 01 45 84 14 44 jerome.fourquet@ifop.com pour Les Français et la fin de vie Résultats détaillés Septembre 2012 Sommaire - 1 - La méthodologie...
Plus en détailElaboration du plan France Numérique 2020
Paris, le 30 septembre 2011 Elaboration du plan France Numérique 2020 Réponse de l ARPP à la consultation publique Organisme de régulation professionnelle de la publicité en France, l Autorité de Régulation
Plus en détailLe compte épargne temps
2010 N 10-06- 05 Mi à jour le 15 juin 2010 L e D o i e r d e l a D o c 1. Définition Sommaire 2. Modification iue du décret n 2010-531 3. Principe du compte épargne temp Bénéficiaire potentiel Alimentation
Plus en détailBRANCHE DU NÉGOCE ET PRESTATIONS DE SERVICES
Septembre 2014 CARTOGRAPHIE DES MÉTIERS DES PRESTATAIRES BRANCHE DU NÉGOCE ET PRESTATIONS DE SERVICES DANS LES DOMAINES MÉDICO-TECHNIQUES www.metiers-medico-techniques.fr CPNEFP de la branche Négoce et
Plus en détailResponsabilité professionnelle des Infirmiers
Responsabilité professionnelle des Infirmiers Diplômés s d Etatd Direction des Affaires Juridiques et des Droits du Patient Bureau de la Responsabilité Médicale et du Contentieux des Personnels Emily THIBAULT
Plus en détailNe prenons pas le problème à l envers!
Ne prenons pas le problème à l envers! Déclaration sur la fin de vie Mardi 20 janvier 2015 1. Nous saluons avec admiration l effort des équipes médicales et des bénévoles qui, avec compétence et dévouement,
Plus en détailDiplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences
Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,
Plus en détailLe prélèvement d organes anticipé/prémédité. Ethique et Greffe Journée du 9 octobre 2012 Dr Laurent Martin-Lefèvre Réanimation La Roche-sur-Yon
Le prélèvement d organes anticipé/prémédité Ethique et Greffe Journée du 9 octobre 2012 Dr Laurent Martin-Lefèvre Réanimation La Roche-sur-Yon Déclaration des conflits d intérêt Médecin de la coordination
Plus en détail«PROJET PRIORITAIRE DE L OUEST GUYANAIS : LA CONSTRUCTION D UN D HÔPITAL A SAINT LAURENT DU MARONI»
Présentation : Réunion de présentation aux élus de Guyane - 11 juin 2011 «PROJET PRIORITAIRE DE L OUEST GUYANAIS : LA CONSTRUCTION D UN D NOUVEL HÔPITAL A SAINT LAURENT DU M. F-L BERTHOU, Directeur MARONI»
Plus en détailCecile Meignant. Infographie - Illustration - photographie. 42 ans. cecile.meignant@wanadoo.fr 06 88 75 07 99
Formation a l ESAG (atelier Met de Penninghen), Paris en 5 ans Salariée en milieu associatif : responsable de communication et monteuse de projets culturels En Free lance depuis 7 ans Cecile Meignant 42
Plus en détailArrêté royal du 27 mars 1998 relatif à la politique du bien-être des travailleurs lors de l exécution de leur travail (M.B. 31.3.
Arrêté royal du 27 mars 1998 relatif à la politique du bien-être des travailleurs lors de l exécution de leur travail (M.B. 31.3.1998) Modifié par: (1) arrêté royal du 3 mai 1999 relatif aux missions et
Plus en détailLES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS
LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS 1. RÉFÉRENTIEL PROFESSIONNEL D ÉDUCATEUR SPÉCIALISÉ 2. RÉFÉRENTIEL ACTIVITÉS 3. RÉFÉRENTIEL DE 4. RÉFÉRENTIEL DE CERTIFICATION 5. RÉFÉRENTIEL DE FORMATION
Plus en détailL ASSOCIATION DES TRAVAILLEURS SOCIAUX DU NOUVEAU-BRUNSWICK
L ASSOCIATION DES TRAVAILLEURS SOCIAUX DU NOUVEAU-BRUNSWICK NORMES SUR L EMPLOI DE LA TECHNOLOGIE DANS LA PRATIQUE DU TRAVAIL SOCIAL 2010 Adopté le 5 juin 2010 Table des matières Remerciements p. 3 Préface
Plus en détailDoit on et peut on utiliser un placebo dans la prise en charge de la douleur?
Doit on et peut on utiliser un placebo dans la prise en charge de la douleur? Dr Philippe Poulain Unité Territoriale de Soins Palliatifs Polyclinique de l Ormeau Tarbes phpoulain@wanadoo.fr Placebo: de
Plus en détailLE FINANCEMENT. MSPD Eric Fretillere Conseil Régional de l Ordre des Médecins d Aquitaine CDOM 47Page 1
LE FINANCEMENT Il ne faut pas se le cacher, le financement est une difficulté et de nombreuses maisons médicales dans les 10 dernières années, qui fonctionnaient de manière satisfaisante, sont «décédées»
Plus en détailET DE LA STRATEGIE. Note de Synthèse. Domaine : Financement Version : 1 Mise à jour : 04/03/2012
DIRECTION DES AFFAIRES INSTITUTIONNELLES ET DE LA STRATEGIE Note de Synthèse CAMPAGNE TARIFAIRE 2012 : ENVELOPPE MIGAC Domaine : Financement Version : 1 Mise à jour : 04/03/2012 Diffusion: Vos contacts
Plus en détailMINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI, DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE ET DU DIALOGUE SOCIAL CONVENTIONS COLLECTIVES
MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI, DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE ET DU DIALOGUE SOCIAL CONVENTIONS COLLECTIVES Brochure n 3381 Convention collective nationale IDCC : 2941. AIDE, ACCOMPAGNEMENT, SOINS
Plus en détailL approche éthique en gérontechnologie
Colloque européen L art de vieillir chez soi Guéret 29 septembre Technologies et vieillissement: Jusqu où ne pas aller trop loin? L approche éthique en gérontechnologie Gérard Cornet; Alain Franco, Vincent
Plus en détailMONITEUR-EDUCATEUR ANNEXE I : REFERENTIEL PROFESSIONNEL. Le moniteur-éducateur intervient dans des contextes différents :
MONITEUR-EDUCATEUR ANNEXE I : REFERENTIEL PROFESSIONNEL 1.1 DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION Le moniteur-éducateur participe à l'action éducative, à l'animation et à l'organisation
Plus en détailViolence au travail Un organisme national
Violence au travail Un organisme national Violence au travail : prévention, protocoles et sanctions Politique La Société s engage à offrir un milieu de travail sécuritaire. Elle reconnaît que la violence
Plus en détailL Udaf de l Isère. se positionne sur. les lois de. bioéthique. Dossier de presse. janvier 2011
L Udaf de l Isère se positionne sur les lois de bioéthique Dossier de presse janvier 2011 Contact : Marie Catrice 04 76 85 13 23 - mcatrice-udaf38@orange.fr 2 rue de Belgrade, 38000 Grenoble La Bioéthique?
Plus en détailPROFIL DE POSTE DU CONDUCTEUR AMBULANCIER SMUR :
PROFIL DE POSTE DU CONDUCTEUR AMBULANCIER SMUR : IDENTIFICATION DU POSTE : Titre de la fonction : Conducteur Ambulancier SMUR*. Etablissement : Centre Hospitalier Régional Universitaire de Brest. Service
Plus en détailLe niveau 3 - alerte canicule correspond à une vigilance météorologique orange pour le paramètre canicule.
ANNEXE FICHE 10 : NIVEAU 3 - ALERTE CANICULE Le niveau 3 - alerte canicule correspond à une vigilance météorologique orange pour le paramètre canicule. I. MESURES PRISES AU NIVEAU 3 - ALERTE CANICULE 1.
Plus en détailLa psychothérapie. Se poser les bonnes questions
La psychothérapie Se poser les bonnes questions? LA PSYCHOTHÉRAPIE Au Québec, la psychothérapie est une activité réservée par la loi * depuis juin 2012, ce qui signifie que seules les personnes autorisées,
Plus en détailsur les activités futures qui seront mises en œuvre au Maroc en matière de gestion et d administration de la justice
Plan d action d général g sur les activités futures qui seront mises en œuvre au Maroc en matière de gestion et d administration de la justice Gestion des procédures et informatisation. Touati Mohamed
Plus en détailPARTICIPATION À UN ESSAI CLINIQUE SUR UN MÉDICAMENT CE QU IL FAUT SAVOIR
PARTICIPATION À UN ESSAI CLINIQUE SUR UN MÉDICAMENT CE QU IL FAUT SAVOIR SOMMAIRE COMMENT SE FAIT LA RECHERCHE SUR UN NOUVEAU MÉDICAMENT?...p. 3 À QUOI SERT LA RECHERCHE?...p. 4 QUELLES SONT LES GARANTIES?...p.
Plus en détailConditions Générales du RME
1. Champ d application 1 2. Règlement RME 1 3. Prestations du RME 1 3.1 Généralités 1 3.2 Enregistrement 1 3.3 Liste des Méthodes 2 3.4 Conditions d Enregistrement 2 3.5 Demandes d enregistrement 2 3.6
Plus en détailRéforme relative au permis de construire et aux autorisations d urbanisme
Avril 2006 Note d information juridique Agence d Urbanisme du Territoire de Belfort Centre d Affaires des 4 As BP 107-90002 Belfort Cedex Tél : 03 84 46 51 51 - Fax : 03 84 46 51 50 Courriel : autb@autb.asso.fr
Plus en détailCODE DE CONDUITE DES AGENTS IMMOBILIERS CHARTE DE DÉONTOLOGIE
CODE DE CONDUITE DES AGENTS IMMOBILIERS ET CHARTE DE DÉONTOLOGIE 26 AVENUE VICTOR HUGO 75116 PARIS Tél.: 01-53-64-91-91 Fax.: 01-53-64-91-92 www.snpi.com PRÉAMBULE Le SNPI, organisme professionnel national
Plus en détailMissions connexes du Commissaires aux comptes
Missions connexes du Commissaires aux comptes Le commissaire aux comptes Le commissaire aux comptes intervient sur des missions d audit légal pour certifier les comptes des entreprises et garantir la fiabilité
Plus en détailRéformes socio-économiques
Réformes socio-économiques Le 27 novembre 2011, suite à la dégradation de la note belge par l agence Standard & Poor s, les six partis ont conclu, dans l urgence, un accord sur le budget et sur la réforme
Plus en détailLes textes en matière de santé et de sécurité au travail
Guide pratique 2 / 6 MINISTÈRE DU BUDGET, DES COMPTES PUBLICS, MINISTÈRE MINISTÈRE DU BUDGET, DE DU LA BUDGET, FONCTION DES COMPTES DES COMPTES PUBLIQUE PUBLICS, PUBLICS, ET DE LA RÉFORME DE L ETAT DE
Plus en détailPARTENAIRES POUR UNE PLUS GRANDE QUALITÉ DES SOINS DE SANTÉ LA LOI RELATIVE AUX DROITS DU PATIENT
LA LOI RELATIVE AUX DROITS DU PATIENT PARTENAIRES POUR UNE PLUS GRANDE QUALITÉ DES SOINS DE SANTÉ Service Public Fédéral de la Santé Publique, de la Sécurité de la Chaîne Alimentaire et de l Environnement
Plus en détailF RSE Plan d action A04 Bruxelles, le 14.09.2006 MH/JC/LC A V I S. sur
F RSE Plan d action A04 Bruxelles, le 14.09.2006 MH/JC/LC A V I S sur L AVANT-PROJET DE PLAN D ACTION EN MATIERE DE RESPONSABILITE SOCIETALE DES ENTREPRISES EN BELGIQUE *** 2 Dans sa lettre du 10 juillet
Plus en détailNEPALE NORD ESSONNE PALLIATIF
NEPALE NORD ESSONNE PALLIATIF ASSOCIATION LOI 1901 CONVENTION CONSTITUTIVE SOMMAIRE ARTICLE 1 OBJET DU RESEAU ET OBJECTIFS POURSUIVIS ARTICLE 2 AIRE GEOGRAPHIQUE DU RESEAU ET POPULATION CONCERNEE ARTICLE
Plus en détailUsagers, vos droits. Charte de la personne hospitalisée
Usagers, vos droits Charte de la personne hospitalisée Usagers, vos droits Charte de la personne hospitalisée l objectif de la présente charte est de faire connaître aux personnes malades, accueillies
Plus en détail3 e symposium international
3 e symposium international de l Association internationale des Acheteurs et Approvisionneurs publics et privés de la Santé Bruxelles, les 18 et 19 octobre 2012 Les Achats: Du support à la coordination
Plus en détailpour personnes atteintes de la maladie de Parkinson
Confidentiel Parkinson Schweiz Suisse Svizzera Dispositions de fin de vie (DocumentHumain) pour personnes atteintes de la maladie de Parkinson Mes volontés juridiquement valables concernant ma vie, mes
Plus en détailLes prérogatives du mineur sur sa santé
5e Rencontres médico-juridico-sociales autour de l enfant Protection de l enfance et santé Les prérogatives du mineur sur sa santé Claire Quennesson - Doctorante CERFAP Introduction Mineur Personne âgée
Plus en détailMaisons de Santé Pluridisciplinaires. Conditions d éligibilité à des soutiens financiers
Maisons de Santé Pluridisciplinaires Conditions d éligibilité à des soutiens financiers Les maisons de santé pluridisciplinaires (MSP) visent à offrir à la population, sur un même lieu, un ensemble de
Plus en détailLA PROFESSIONNALISATION DU COACHING EN ENTREPRISE :
LA PROFESSIONNALISATION DU COACHING EN ENTREPRISE : DECRYPTAGE ET TEMOIGNAGE Le coaching en entreprise est souvent source de questionnement sur différents aspects : quelles populations concernées? Dans
Plus en détailStatuts CODALIMENT CODALIMENT
Statuts CODALIMENT CODALIMENT 30 avenue Franklin Roosevelt 75 008 Paris Tél : 01.55.65.04.00 Fax : 01.55.65.10.12 Mail : codaliment@codinf.fr Association Loi 1901 N TVA CEE : FR 42 398 222 646 2 COMITE
Plus en détailA S T J ASSOCIATION SUISSE DES TRADUCTEURS-JURÉS STATUTS TITRE I. Article 1 er
A S T J ASSOCIATION SUISSE DES TRADUCTEURS-JURÉS STATUTS TITRE I DÉNOMINATION - SIÈGE - DURÉE - BUT Article 1 er Sous le nom d «ASSOCIATION SUISSE DES TRADUCTEURS-JURÉS», il a été constitué une association,
Plus en détailL obligation de négocier sur la pénibilité dans les entreprises. Premiers éléments de bilan. Direction générale du travail
CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 21 novembre 2012 à 14 h 30 «Pénibilité. Transition emploi-retraite. Elaboration de cas-types pour les projections.» Document N 6 Document de travail,
Plus en détailLE MALI L HÔPITAL GABRIEL TOURE L HÔPITAL DU POINT G INTRODUCTION 2 INTRODUCTION 1 DISPENSATION DES ARV DANS LES HÔPITAUX DU POINT G ET GABRIEL TOURE
DISPENSATION DES ARV DANS LES HÔPITAUX DU POINT G ET GABRIEL TOURE KALLE A.D A (1), BENGALY L (2)., KONE D ( 1), COULIBALY S.M (2). DIAKITE A.S. (2) DIAMOUTENE A (2) (1) Service de Pharmacie Hôpital Gabriel
Plus en détailPOLIT FLASH. Recommandation pour la session d été des Chambres fédérales. du 1 au 19 juin 2015
POLIT FLASH Recommandation pour la session d été des Chambres fédérales du 1 au 19 juin 2015 Conseillère nationale Daniela Schneeberger Présidente FIDUCIARE SUISSE TABLE DES MATIERES Ordre chronologique
Plus en détailL AFMD et l ISTR brisent le tabou de la religion en entreprises
Communiqué de presse L AFMD et l ISTR brisent le tabou de la religion en entreprises Objectif : Aider les managers à gérer la diversité religieuse au quotidien Alors que la question de l expression religieuse
Plus en détailCharte de la Banque ADN et de Cellules de Généthon
Sommaire 1. PREAMBULE... 2 2. DEFINITIONS... 2 3. CADRE LEGAL... 3 4. ORGANISATION DE LA BACG... 4 5. PRESTATIONS DE LA BACG... 5 6. MODALITES DE CONTRIBUTION ET D UTILISATION DES SERVICES... 5 7. REGLES
Plus en détailSTAGE : TECHNICIEN EN INFORMATIQUE
MINISTERE DE LA COMMUNAUTE FRANCAISE ADMINISTRATION GENERALE DE L ENSEIGNEMENT ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE ENSEIGNEMENT DE PROMOTION SOCIALE DE REGIME 1 DOSSIER PEDAGOGIQUE UNITE DE FORMATION STAGE
Plus en détailAssistance médicale à la procréation. Informations pour les couples donneurs. Le don. d embryons
Assistance médicale à la procréation Informations pour les couples donneurs Le don d embryons Sommaire Le don d embryons, qu est-ce que c est? 2 Qui peut en bénéfi cier? Qui peut donner les embryons et
Plus en détailRéférentiel Officine
Référentiel Officine Inscrire la formation dans la réalité et les besoins de la pharmacie d officine de demain - Ce référentiel décrit dans le cadre des missions et des activités du pharmacien d officine
Plus en détaild utilisation de la doctrine sociale de l Eglisel
www.doctrinesocialeeglise.org 1 Voir - Juger - Agir Méthode de réflexion r et d utilisation de la doctrine sociale de l Eglisel Pour aller plus loin dans le détaild merci de se reporter au livre : «Construire
Plus en détailLivret d accueil des stagiaires
Livret d accueil des stagiaires SOMMAIRE : I/ Présentation du service II/Le métier de manipulateur III/ Modalités d encadrement IV/ Votre stage V/ Bilan global de votre stage I/ Présentation du service
Plus en détailLes limitations et arrêt des thérapeutiques en Service de Réanimation Adulte
Institut de Formation en Soins Infirmiers De Savoie CHAPILLON Elodie Les limitations et arrêt des thérapeutiques en Service de Réanimation Adulte Mémoire de fin d études présenté en vue de la validation
Plus en détailDocuments complémentaires au PPN du DUT Carrières juridiques (CJ) Description des parcours de modules complémentaires destinés à la poursuite d étude
CPN CJ Documents complémentaires au PPN du DUT Carrières juridiques (CJ) Description des parcours de modules complémentaires destinés à la poursuite d étude S'appuyant sur l'arrêté du 3 août 2005, les
Plus en détailLa Lettre de la Conférence des Bâtonniers
La Lettre de la Conférence des Bâtonniers JANVIER-FEVRIER 2010 La question de la constitutionnalité ouverte aux parties et à leurs avocats à compter du 1er mars 2010 permet de sensibiliser le barreau français
Plus en détailLES BASES JURIDIQUES DE LA RESPONSABILITE & DE L ASSURANCE EN MATIERE DE RECHERCHE BIOMEDICALE DIU-FARC-TEC 04/11/2009 1
LES BASES JURIDIQUES DE LA RESPONSABILITE & DE L ASSURANCE EN MATIERE DE RECHERCHE BIOMEDICALE DIU-FARC-TEC 04/11/2009 1 1ère Partie : La recherche biomédicale en France Historique Responsabilité et Assurance
Plus en détailDECRET N 2014-288. fixant les attributions du Ministre de la Défense Nationale ainsi que l organisation générale de son Ministère.
MINISTERE DE LA DEFENSE NATIONALE ------------- DECRET N 2014-288 fixant les attributions du Ministre de la Défense Nationale ainsi que l organisation générale de son Ministère. LE PREMIER MINISTRE, CHEF
Plus en détailDéfinition, finalités et organisation
RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Définition, finalités et organisation Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à présenter à l ensemble des professionnels de santé, aux patients
Plus en détailÉdition du 4 mars 2011 Annule et remplace l édition précédente
1 Édition du 4 mars 2011 Annule et remplace l édition précédente TOUT SAVOIR SUR LE CONTRAT D APPRENTISSAGE 2 TOUT SAVOIR SUR LE CONTRAT D APPRENTISSAGE SOMMAIRE Qui peut embaucher un apprenti et quelles
Plus en détailRôle, accès et formation des utilisateurs de HSPnet
Rôle, accès et formation des utilisateurs de HSPnet Les permissions des utilisateurs dans HSPnet sont déterminées par trois paramètres : Niveau d'accès Détermine la capacité à ajouter ou modifier la configuration
Plus en détailPROJET DE LOI DE SEPARATION ET DE REGULATION DES ACTIVITES BANCAIRES DEUXIEME LECTURE APRES L ADOPTION DU TEXTE DE LA COMMISSION
1 20 juin 2013 PROJET DE LOI DE SEPARATION ET DE REGULATION DES ACTIVITES BANCAIRES DEUXIEME LECTURE APRES L ADOPTION DU TEXTE DE LA COMMISSION Adoption en première lecture par le Sénat le 22 mars 2013.
Plus en détail1 - Qu est-ce qu une mission, comment déterminer son contenu et qui va les accomplir?
FICHE N 20 : LES MISSIONS DE TERRAIN À ASSURER Pour assurer la mise en œuvre des missions de sauvegarde, il est nécessaire de disposer d intervenants de terrain. En fonction des phénomènes, de la situation,
Plus en détailCréé 1969 dans le but de mettre au travail des personnes handicapées
Asbl Le Trait d'union 1 Créé à l'initiative du CPAS de Mouscron, le Trait d'union a vu le jour en 1969 dans le but de mettre au travail des personnes handicapées es.. Il occupait alors une vingtaine de
Plus en détailGESTION DES RISQUES GUIDE DE PRÉVENTION DES MÉTIERS DE LA SÉCURITÉ.
GESTION DES RISQUES GUIDE DE PRÉVENTION DES MÉTIERS DE LA SÉCURITÉ. Éditorial Prévoir rend le pas assuré Hazrat Ali Une entreprise de sécurité privée est exposée, au quotidien, à de nombreux risques dans
Plus en détailAVENANT N 3 DU 6 JUILLET 2010
MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE LA SOLIDARITÉ ET DE LA FONCTION PUBLIQUE CONVENTIONS COLLECTIVES Brochure n 3173 Convention collective nationale IDCC : 1810. ENTREPRISES DE PROPRETÉ AVENANT N 3 DU 6 JUILLET 2010
Plus en détailNormes de pratique des soins infirmiers et infirmières auxiliaires autorisé(e)s au Canada
Normes de pratique des soins infirmiers et infirmières auxiliaires autorisé(e)s au Canada Avant-propos Le Conseil canadien de réglementation des soins infirmiers auxiliaires (CCRSIA) est une fédération
Plus en détailManque de reconnaissance. Manque de contrôle
CONTRE-VALEURS 7 octobre 2014 Les contre-valeurs représentent ce que l on cherche à fuir. Elles nous motivent négativement en ce sens où elles incarnent des situations que nous évitons ou que nous cherchons
Plus en détailPhilosophie. Parcours d études proposés à l Institut Catholique de Paris Métiers associés
Institut Catholique de Paris Service Communication Fiche Filière / parcours Philosophie Parcours d études proposés à l Institut Catholique de Paris Métiers associés Collection «Orientation à l ICP : Fiches
Plus en détail