La conjoncture nordique début 2016
|
|
- Justin Lachance
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 La conjoncture nordique début 2016 Résumé Avec une croissance d ensemble de l ordre de 2 % par an sur la période , la zone nordique se tiendrait dans la moyenne européenne, après avoir bénéficié d une reprise un peu plus marquée jusqu en Les situations conjoncturelles des pays nordiques sont très hétérogènes, avec à un extrême des taux de croissance de l ordre de 3,5 % à 4 % par an pour la Suède et l Islande en 2015 et 2016, à l autre extrême, la Finlande qui peine à sortir de récession et, entre les deux, le Danemark qui reprend progressivement et la Norvège qui freine, pénalisée par la crise du secteur des hydrocarbures. Les pays nordiques pourraient bénéficier d une reprise plus rapide de l investissement en Europe, mais seraient aussi pénalisés en cas de ralentissement marqué du commerce mondial et/ou de l activité des grands émergents. Les pays nordiques afficheraient une croissance d ensemble proche de la moyenne de l UE en 2016 et 2017 Avec la reprise européenne, l exception nordique s atténue et les taux de croissance convergent vers la moyenne européenne. Les pays nordiques avaient subi une récession un peu plus marquée qu ailleurs en Europe en 2008 et 2009, en raison de leur exposition au commerce mondial, puis avaient bénéficié d une reprise un peu plus dynamique dès En 2012 et 2013, la zone nordique faisait figure d oasis de croissance en Europe, même si elle a aussi été affectée par les effets de la crise de la zone euro, par le biais des exportations. Avec la reprise de la zone euro enclenchée en 2014, les écarts de croissance s effacent et la zone nordique croîtrait davantage en ligne avec la tendance européenne, autour de +2,0 % par an sur , selon les dernières prévisions de la Commission européenne. L intégration de la zone nordique dans les échanges commerciaux et financiers européens et mondiaux l expose davantage aux chocs extérieurs : Parmi les aléas à la hausse, il faut mentionner une possible accélération de la reprise en Europe, et notamment de l investissement en Europe, les appareils exportateurs nordiques étant très tournés à la fois vers l Europe et les biens d investissements ; en outre, l accueil des réfugiés aurait en particulier un effet positif sur l activité, notamment en Suède où les arrivées ont été les plus importantes; Parmi les facteurs de frein ou d instabilité, mentionnons : 1/ le ralentissement économique en Chine et dans les émergents, où les entreprises nordiques sont très présentes ; 2/ le ralentissement du commerce mondial, qui touche les secteurs exportateurs, le shipping et les banques; 3/ la normalisation des taux d intérêt américains et/ou de possibles tensions sur les marchés financiers internationaux pourraient tester la solidité des secteurs financiers nordiques, en raison de l endettement élevé du secteur privé. Les trajectoires conjoncturelles des pays nordiques sont très hétérogènes : alors que la Suède et l Islande sont près de la surchauffe, la Finlande reste au bord de la récession En 2015, les taux de croissance des pays nordiques s échelonnent d environ 0 % pour la Finlande à +4 % pour la Suède et l Islande. A une extrémité du spectre, la Suède et l Islande connaissent des taux de 1
2 croissance parmi les plus élevés de toute l Europe, alors que la Finlande avait le taux de croissance le plus faible de l UE en 2015 avec la Grèce. Entre ces deux extrémités, la Norvège a quelque peu ralenti (+2,1 % en 2015 après +2,2 % en 2014,) alors que le Danemark a poursuivi sa reprise à un rythme modéré (+1,2 % après +1,3 % en 2014, avec toutefois une possible révision à la hausse). Un degré d incertitude important entoure le diagnostic sur la vigueur de la reprise au Danemark et, à l inverse, celui sur le ralentissement en Norvège. En particulier, les prévisions de croissance au Danemark varient de 1,1 % à 2,0 % pour 2016, selon l interprétation faite du choc sur les exportations du troisième trimestre 2015, alors que les prévisions pour la Norvège varient de +1,0 % à +1,9 %, selon les hypothèses de trajectoire de prix du pétrole et de comportement des consommateurs norvégiens. Les prévisions de croissance en Finlande ont été régulièrement révisées à la baisse au cours des années précédentes, alors que celles pour la Suède et l Islande ont plutôt été revues à la hausse récemment. Les écarts de croissance reflètent des positions différentes dans le cycle conjoncturel : La Suède est dans une situation de boom économique, avec une amélioration générale des indicateurs d activité (emploi/chômage, salaires, profits, recettes fiscales), suivant un mouvement d accélération enclenché dès 2010 ; l Islande bénéficie d une situation assez comparable, avec un boom du secteur touristique qui diffuse à l ensemble de l économie ; Le ralentissement de la Norvège date de 2015, interrompant une trajectoire parallèle à celle de la Suède, et semble marquer un retournement conjoncturel, en lien avec le choc pétrolier ; à l inverse, la reprise économique enclenchée en 2013 se confirme au Danemark ; En Finlande, la reprise après la récession de a été interrompue en 2012 par une récession dont elle n est pas réellement sortie depuis, avec des attentes de reprise systématiquement déçues ; son PIB reste inférieur de 5 % au pic de Les divergences résultent de l interaction entre les effets des chocs externes, asymétriques, les différences de situation de la demande interne et les politiques économiques Les facteurs externes expliquent en partie les évolutions conjoncturelles des pays nordiques. La récession prolongée en Finlande s explique bien par une accumulation de chocs externes successifs défavorables (restructuration des secteurs bois-papier et électroniques, crise de la zone euro, crise en Russie ) pour un pays très dépendant de son commerce extérieur, concentré sur quelques produits, entreprises et partenaires. Le ralentissement en Norvège est lié au choc sur les marchés de matières premières, et ce choc a en revanche plutôt été bénéfique à la Suède ou au Danemark jusqu à présent. La faiblesse des taux d intérêts mondiaux, répliqués par les banques centrales nationales, soutient la croissance des prix immobiliers en Suède et en Norvège, mais aussi depuis quelques mois au Danemark, avec chaque fois des effets stimulants pour la demande des ménages et l investissement. Plusieurs facteurs domestiques interagissent avec les chocs externes pour les amplifier ou les atténuer : La position sur le cycle immobilier et sur le cycle du crédit : depuis 2010, le dynamisme du marché immobilier suédois bénéficie à l ensemble de l économie en stimulant la consommation des ménages et l investissement en construction en Suède, en Norvège et en Islande, alors que le Danemark se remet progressivement de sa crise immobilière; La politique budgétaire : elle est contracyclique en Norvège, où l utilisation des revenus du fonds pétrolier a permis jusqu à présent d amortir les effets de la crise du secteur pétrolier, alors qu elle semble plutôt procyclique en Suède et en Islande, où elle contribue à accélérer la croissance de l activité, et en Finlande, où elle tend en revanche à freiner la demande ; 2
3 La politique monétaire et de change : le change, par son effet sur la compétitivité, joue un rôle stimulant en Norvège, en soutenant le secteur hors-pétrole, mais aussi en Suède, où les entreprises et syndicats s inquiètent d une perte de compétitivité des salaires ; la politique monétaire expansionniste stimule le crédit aux ménages en Suède et en Norvège ; Des facteurs plus structurels, liés à la structure du tissu industriel ou au fonctionnement du marché du travail : la richesse et la diversité de l industrie suédoise, structurée en grands groupes multinationaux qui ont précocement délocalisé la production de biens dans les nouveaux marchés tout en conservant les services à haute valeur ajoutée sur le sol national (et ces services se retrouvent bien dans le solde commercial), lui a permis d absorber les chocs touchant des secteurs (bois papier, électronique, biens d investissement) ou partenaires commerciaux (zone euro) spécifiques ; à l inverse, les difficultés rencontrées par le dialogue social en Finlande ont conduit à des évolutions salariales préjudiciables à sa compétitivité. Ces écarts conjoncturels pourraient persister un certain temps, même si plusieurs forces de rappel pourraient entrer en action à moyen terme Les prévisions disponibles ne permettent pas d envisager une convergence des situations conjoncturelles nordiques à court terme. En Suède, plusieurs ressorts pourraient encore contribuer à accélérer l économie : la montée en charge des programmes d investissement massifs dans le logement, les transports et les infrastructures (avec des chiffres publics qui s élèvent à 300 Mds sur 10 à 20 ans, ce qui représente des investissements de l ordre de 4 % à 8 % de PIB par an), la reprise des exportations de biens d investissement et intermédiaires, notamment vers l UE, et la montée des dépenses liées à l accueil des réfugiés. En Islande également, la poursuite du boom touristique et l activation de plusieurs projets d investissement, sous réserve que la levée des contrôles de capitaux soit effective et sans heurts, pourraient encore stimuler l activité. A l opposé, la mise en place d une politique budgétaire restrictive, la modération salariale et un environnement externe toujours défavorable devraient encore peser sur l activité en Finlande, qui bénéficierait tout de même de la reprise de l investissement en Europe (et sous réserve de l évolution de la situation en Russie). Enfin, le Danemark et la Norvège pourraient conserver leurs situations intermédiaires en l absence de choc majeur sur le commerce mondial ou le secteur financier ; en Norvège, une baisse prolongée des prix pétroliers pourrait limiter la capacité de la politique budgétaire à soutenir la demande. A moyen terme, la disparition de certains effets conjoncturels et l action des forces de rappel pourraient jouer en faveur d une relative convergence : L ajustement de la compétitivité : un mouvement d appréciation réelle en Suède et en Islande pourrait peser sur la compétitivité des secteurs exportateurs ; à l inverse, la Finlande pourrait bénéficier d un redressement de sa compétitivité-prix ; Le devenir des chocs conjoncturels actuels (pétrole, commerce mondial, Russie, émergents, taux d intérêts ) et sa gestion par les économies va être déterminante : ainsi, la recherche de relais de croissance pour la Finlande, à l image de l effort opéré aujourd hui par la Norvège, pourrait limiter les effets d une panne persistante de ses moteurs à l export ; Le cycle immobilier et financier : la montée du niveau d endettement des ménages en Suède et en Norvège, déjà élevé, pourrait être suivie par un cycle de désendettement qui freinerait durablement la demande interne tout en fragilisant le secteur financier. 3
4 Tableaux et graphiques Graphique 1 : taux de croissance annuel du PIB Source : Eurostat, prévisions de la Commission européenne (février 2016), calculs DGT Graphique 2 : niveaux de PIB sur la période (prévisions à partir de 2015) Source : Eurostat, prévisions de la Commission européenne (février 2016), calculs DGT 4
5 Schéma : Médiane des prévisions de croissance pour les pays nordiques Croissance 2016 Islande Norvège Danemark Suède Finlande > à 3 % de 2% à 3% de 1% à 2% de 0% à 1% Croissance 2017 Islande Norvège Danemark Suède Finlande > à 3 % de 2% à 3% de 1% à 2% de 0% à 1% Source : médianes des données du tableau ci-dessous Note de lecture : les prévisions font apparaître une convergence partielle des taux de croissance du PIB des pays nordiques à l horizon 2017, mais cette convergence en croissance ne suffirait pas à réduire les écarts de niveaux de PIB (cf. graphique précédent). Tableau : Comparaison des prévisions de croissance pour les pays nordiques PIB Gouvernement 1,9 2,0 1,2 1,2 1,2 1,6 3,1 2,6 - - Banque centrale 1,8 2,0 0,7 1,0 1,0 1,7 3,5 2,8 4,2 3,4 Institut stat./conj****. 1,1 2,3 1,0 1,3 1,7 2,1 3,9 2,5 3,5 2,8 Commission* 1,7 1,9 0,5 0,9 1,5 2,2 3,2 2,9 3,3 2,3 FMI** 2,0 2,1 0,9 1,2 1,3 1,6 3,0 2,7 3,7 3,0 OCDE*** 1,8 1,9 1,1 1,7 1,1 2,0 3,1 3,0 3,7 2,9 SEB 1,8 2,2 0,4 1,1 1,5 1,6 3,7 2,8 - - Nordea 1,7 1,9 0,5 0,7 1,9 1,4 3,8 2,4 - - Danske Bank 1,5 1,8 0,6 1,1 1,5 2,0 3,3 2,
6 Tableau : Comparaison des prévisions pour les autres indicateurs macroéconomiques Déficit Gouvernement -2,8-2,0-2,9-2,6 6,6 - -0,9-0,8 - - Commission* -2,7-1,9-2,8-2,5 7,2 7,0-1,1-1,2-0,5-0,5 FMI** -2,8-2,4-2,8-2,6 6,2 6,7-0,7-0,4 0,4 1,0 OCDE*** -2,8-2,8-2,7-1,6 5,5 5,4-0,6-0,3 0,3 0,7 NB : déficit hors pétrole pour la prévision gouvernementale de la Norvège (en % du PIB continental) Dette Gouvernement 38,4 39,1 64,9 66, ,8 42,1 - - Commission* 38,3 38,8 65,0 66,2 28,6 30,4 43,1 42,3 58,0 55,0 FMI** 48 48,4 64,0 65,4 28,1 28,1 42,6 41,3 69,5 63,5 NB : dette brute de l Etat central pour la prévision du gouvernement islandais Autres inflation (IPCH)* 0,9 1,7 0,1 1,5 2,6 2,2 1,1 1,4 2,5 2,7 cons. privée* 2,0 2,1 0,6 0,6 1,5 2,0 2,6 2,8 3,6 3,4 chômage (BIT)* 5,8 5,6 9,4 9,3 4,1 4,3 6,9 6,7 3,8 3,5 Source : * Prévisions d hiver (février 2016) ** World Economic Outlook (octobre 2015) ou rapports pays *** Perspectives économiques (novembre 2015) **** Suède : Konjunkturinstitutet (KI), Danemark : Conseil des Sages, Norvège : SSB, Finlande : ETLA, Islande : Statis 6
7 Tableau : taux de croissance annuel du PIB sur la base des données de la Commission Danemark 0,8-0,7-5,1 1,6 1,2-0,1-0,2 1,3 1,2 1,7 1,9 Finlande 5,2 0,7-8,3 3,0 2,6-1,4-0,8-0,7 0,0 0,5 0,9 Suède 3,4-0,6-5,2 6,0 2,7-0,3 1,2 2,3 3,6 3,2 2,9 Islande 9,5 1,5-4,7-3,6 2,0 1,2 3,9 1,8 4,1 3,3 2,3 Norvège 2,9 0,4-1,6 0,6 1,0 2,7 1,0 2,2 2,1 1,5 2,2 Zone nordique 3,1-0,1-4,7 2,9 1,9 0,5 0,6 1,6 2,1 2,0 2,2 UE (28 pays) 3,1 0,5-4,4 2,1 1,8-0,5 0,2 1,4 1,9 1,9 2,0 Source : Eurostat, prévisions de la Commission européenne (février 2016), calculs DGT Clause de non-responsabilité - Le service économique s efforce de diffuser des informations exactes et à jour, et corrigera, dans la mesure du possible, les erreurs qui lui seront signalées. Toutefois, il ne peut en aucun cas être tenu responsable de l utilisation et de l interprétation de l information contenue dans cette publication. 7
Eco-Fiche BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1
Eco-Fiche Janvier 2013 BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1 Retour sur l année 2012 : l atonie En 2012, le Produit Intérieur Brut (PIB) s est élevé à 1 802,1 milliards d euros, soit
Plus en détailPerspectives économiques régionales Afrique subsaharienne. FMI Département Afrique Mai 2010
Perspectives économiques régionales Afrique subsaharienne FMI Département Afrique Mai 21 Introduction Avant la crise financière mondiale Vint la grande récession La riposte politique pendant le ralentissement
Plus en détailLes perspectives économiques
Les perspectives économiques Les petits-déjeuners du maire Chambre de commerce d Ottawa / Ottawa Business Journal Ottawa (Ontario) Le 27 avril 2012 Mark Carney Mark Carney Gouverneur Ordre du jour Trois
Plus en détailLes questions relatives aux finances publiques, longtemps réservées aux spécialistes, sont
CHAPITRE 1 LES FACTEURS STRUCTURELS DE LA HAUSSE DE L ENDETTEMENT PUBLIC DANS LES PAYS AVANCÉS Les questions relatives aux finances publiques, longtemps réservées aux spécialistes, sont revenues au cœur
Plus en détailLes perspectives mondiales, les déséquilibres internationaux et le Canada : un point de vue du FMI
Présentation à l Association des économistes québécois Le 19 mai 25 Les perspectives mondiales, les déséquilibres internationaux et le Canada : un point de vue du FMI Kevin G. Lynch Administrateur Fonds
Plus en détailPerspectives économiques régionales du Moyen-Orient et de l Afrique du Nord
Perspectives économiques régionales du Moyen-Orient et de l Afrique du Nord Mise à jour - Janvier 2015 Giorgia Albertin Représentante Résidente pour la Tunisie Fonds Monétaire International Plan de l exposé
Plus en détailCroissance plus lente dans les pays émergents, accélération progressive dans les pays avancés
POUR DIFFUSION : À Washington : 9h00, le 9 juillet 2015 STRICTEMENT CONFIDENTIEL JUSQU À DIFFUSION Croissance plus lente dans les pays émergents, accélération progressive dans les pays avancés La croissance
Plus en détailSimulation d impact de l augmentation des salaires du personnel de l administration publique et du SMIG et du SMAG dans le secteur privé
Simulation d impact de l augmentation des salaires du personnel de l administration publique et du SMIG et du SMAG dans le secteur privé L augmentation des salaires du personnel de l administration publique
Plus en détailLA RÉDUCTION DU TEMPS DE TRAVAIL : UNE COMPARAISON DE LA POLITIQUE DES «35 HEURES» AVEC LES POLITIQUES D AUTRES PAYS MEMBRES DE L OCDE
LA RÉDUCTION DU TEMPS DE TRAVAIL : UNE COMPARAISON DE LA POLITIQUE DES «35 HEURES» AVEC LES POLITIQUES D AUTRES PAYS MEMBRES DE L OCDE par John P. Martin, Martine Durand et Anne Saint-Martin* Audition
Plus en détailAnnexe - Balance des paiements et équilibre macro-économique
Annexe - Balance des paiements et équilibre macro-économique Les échanges de marchandises (biens et services), de titres et de monnaie d un pays avec l étranger sont enregistrés dans un document comptable
Plus en détailLes comptes nationaux et le SEC 2010
Les comptes nationaux et le SEC 2010 7 ème séminaire de la Banque nationale de Belgique pour enseignants en économie du secondaire Bruxelles, le 22 octobre 2014 Catherine RIGO Plan de l exposé Introduction
Plus en détailÀ Pékin (heure de Pékin) : 11h00, 20 janvier 2015 À Washington (heure de Washington) : 22h00, 19 janvier 2015 JUSQU À PUBLICATION. Courants contraires
POUR DIFFUSION : À Pékin (heure de Pékin) : 11h00, 20 janvier 2015 À Washington (heure de Washington) : 22h00, 19 janvier 2015 STRICTEMENT CONFIDENTIEL JUSQU À PUBLICATION Courants contraires La baisse
Plus en détailBanque nationale suisse
IFFP Institut fédéral des hautes études en formation professionnelle Combinaison des politiques budgétaires et monétaires 22.01.2010, Lausanne 8h45 12h 12h45 16h David Maradan, chargé de cours UNIGE et
Plus en détailLe FMI conclut les consultations de 2008 au titre de l article IV avec le Maroc
Note d information au public (NIP) n 08/91 POUR DIFFUSION IMMÉDIATE Le 23 juillet 2008 Fonds monétaire international 700 19 e rue, NW Washington, D. C. 20431 USA Le FMI conclut les consultations de 2008
Plus en détailLes politiques de réduction du coût salarial en Belgique
Les politiques de réduction du coût salarial en Belgique Mars 2015 Luc Masure Plan de la présentation 1. Le Bureau fédéral du Plan 2. Cadre historique de la politique salariale et des dispositifs d exonération
Plus en détailBASE DE DONNEES - MONDE
BASE DE DONNEES - MONDE SOMMAIRE Partie I Monnaies Partie II Epargne/Finances Partie III Démographie Partie IV Finances publiques Partie V Matières premières Partie I - Monnaies Cours de change euro/dollar
Plus en détailTable des matières. Le long terme... 45. Partie II. Introduction... 1. Liste des figures... Liste des tableaux...
Liste des figures... Liste des tableaux... XI XV Liste des encadrés.... XVII Préface à l édition française... XIX Partie I Introduction... 1 Chapitre 1 Un tour du monde.... 1 1.1 La crise.... 1 1.2 Les
Plus en détailREVOIR LE FINANCEMENT DE L ASSURANCE MALADIE EN BASCULANT DES COTISATIONS SOCIALES VERS D AUTRES SOURCES DE FINANCEMENT
REVOIR LE FINANCEMENT DE L ASSURANCE MALADIE EN BASCULANT DES COTISATIONS SOCIALES VERS D AUTRES SOURCES DE FINANCEMENT Revoir le mode de financement de notre système d Assurance-maladie, institution à
Plus en détail2015 et l investissement en actions : la prise de risque est-elle justifiée?
Flash Stratégie Janvier 2015 2015 et l investissement en actions : la prise de risque est-elle justifiée? Jean Borjeix Paris, le 20 janvier 2015 Dans ce document nous allons tout d abord rapprocher nos
Plus en détailCroissance à crédit. Vladimir Borgy *
Croissance à crédit Vladimir Borgy * p. 5-15 L économie mondiale a connu en 2004 une conjoncture exceptionnelle, la croissance annuelle au rythme de 5 % est la plus forte enregistrée depuis 1976 et résulte
Plus en détailRéunions publiques janvier 2013. Présentation du Débat d Orientation Budgétaire
Réunions publiques janvier 2013 Présentation du Débat d Orientation Budgétaire 7 février 2011 LE CONTEXTE Une économie mondiale très ralentie En zone Euro : des incertitudes autour de la crise de la dette
Plus en détailPerspectives de l industrie suisse Pierres et Terres
Perspectives de l industrie suisse Pierres et Terres Session d hiver 2008 de l ASGB Association suisse de l industrie des Graviers et du Béton Jongny, le 20 février 2008 Christoph Koellreuter, Fondateur
Plus en détailLa finance internationale : quel impact sur l'économie marocaine? 20 Novembre 2012
La finance internationale : quel impact sur l'économie marocaine? 20 Novembre 2012 Sommaire I - Le rôle prépondérant des marchés financiers I.1 - Financiarisation de l'économie mondiale I.2 Lien avec l'entreprise
Plus en détailQUELLE DOIT ÊTRE L AMPLEUR DE LA CONSOLIDATION BUDGÉTAIRE POUR RAMENER LA DETTE À UN NIVEAU PRUDENT?
Pour citer ce document, merci d utiliser la référence suivante : OCDE (2012), «Quelle doit être l ampleur de la consolidation budgétaire pour ramener la dette à un niveau prudent?», Note de politique économique
Plus en détailQuelle part de leur richesse nationale les pays consacrent-ils à l éducation?
Indicateur Quelle part de leur richesse nationale les pays consacrent-ils à l éducation? En 2008, les pays de l OCDE ont consacré 6.1 % de leur PIB cumulé au financement de leurs établissements d enseignement.
Plus en détailLes chiffres essentiels des retraites Mis en ligne en mars 2011
Les chiffres essentiels des retraites Mis en ligne en mars 2011 Les bénéficiaires de retraites Nombre de retraités, selon les différents régimes (COR janvier 2010) : 16 millions dont : 11,3 millions :
Plus en détailLES RETRAITES. Dossier d information. Avril 2010
LES RETRAITES en france Dossier d information Avril 2010 LES RETRAITES en france Dossier d information Avril 2010 Contact presse Éva Quickert-Menzel 01 44 38 22 03 Sommaire Chiffres-clés des retraites...
Plus en détailRAPPORT PRÉPARATOIRE AU DÉBAT D ORIENTATION DES FINANCES PUBLIQUES
R É P U B L I Q U E F R A N Ç A I S E RAPPORT SUR L ÉVOLUTION DE L ÉCONOMIE NATIONALE ET SUR LES ORIENTATIONS DES FINANCES PUBLIQUES RAPPORT PRÉPARATOIRE AU DÉBAT D ORIENTATION DES FINANCES PUBLIQUES (TOME
Plus en détailRAPPORT TECHNIQUE CCE 2014-2415
RAPPORT TECHNIQUE CCE 2014-2415 CCE 2014-2415 Rapport technique 2014 22 décembre 2014 2 CCE 2014-2415 3 CCE 2014-2415 Le tableau 1 présente les principaux indicateurs du contexte macro-économique belge
Plus en détailà la Consommation dans le monde à fin 2012
Le Crédit à la Consommation dans le monde à fin 2012 Introduction Pour la 5 ème année consécutive, le Panorama du Crédit Conso de Crédit Agricole Consumer Finance publie son étude annuelle sur l état du
Plus en détailSITUATION FINANCIÈRE DE L ASSURANCE CHÔMAGE
SITUATION FINANCIÈRE DE L ASSURANCE CHÔMAGE pour l année 2014 Janvier 2014 1/12 Situation financière de l Assurance chômage pour l année 2014 14 janvier 2014 Cette note présente la prévision de la situation
Plus en détailLes mécanismes de transmission de la politique monétaire
Chapitre 5 Les mécanismes de transmission de la politique monétaire Introduction (1/3) Dans le chapitre 4, on a étudié les aspects tactiques de la politique monétaire Comment la BC utilise les instruments
Plus en détail[ les éco_fiches ] Situation en France :
Des fiches pour mieux comprendre l'actualité éco- nomique et les enjeux pour les PME Sortie de crise? Depuis le 2ème trimestre la France est «techniquement» sortie de crise. Cependant, celle-ci a été d
Plus en détailANNEXE VII EFFETS MACROECONOMIQUES DE LA REFORME PIECE JOINTE N 2 SIMULATIONS REALISEES A PARTIR DU MODELE MACROECONOMETRIQUE MESANGE
ANNEXE VII, PJ n 2, page 1 ANNEXE VII EFFETS MACROECONOMIQUES DE LA REFORME PIECE JOINTE N 2 SIMULATIONS REALISEES A PARTIR DU MODELE MACROECONOMETRIQUE MESANGE ANNEXE VII, PJ n 2, page 2 Les simulations
Plus en détailAutomne 2014 LE POINT SUR LA SITUATION ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE DU QUÉBEC
Automne 2014 LE POINT SUR LA SITUATION ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE DU QUÉBEC Automne 2014 Le point sur la situation économique et financière du québec NOTE La forme masculine utilisée dans le texte désigne
Plus en détailPourquoi la croissance du commerce international s est-elle essoufflée? Beaucoup d espoir repose sur la libéralisation des échanges commerciaux
7 avril Pourquoi la croissance du commerce international s est-elle essoufflée? Beaucoup d espoir repose sur la libéralisation des échanges commerciaux La crise de 9 a eu des conséquences néfastes pour
Plus en détailLSM2 : un modèle avec secteur bancaire pour le Luxembourg
LSM2 : un modèle avec secteur bancaire pour le Luxembourg Szabolcs Deák 1 - Lionel Fontagné 2 - Marco Maffezzoli 3 - Massimiliano Marcellino 4 Introduction Les modèles dynamiques stochastiques d équilibre
Plus en détailL importance des investissements publics pour l économie. Analyse thématique Finances locales
L importance des investissements publics pour l économie Analyse thématique Finances locales Belfius Research Mars 2015 Introduction En septembre 2014, les normes SEC 2010 1 ont été appliquées intégralement
Plus en détailLe rôle du secteur bancaire suisse dans la transformation de l épargne en investissements réels
Le rôle du secteur bancaire suisse dans la transformation de l épargne en investissements réels Dans la théorie de l intermédiation financière, un système bancaire fonctionne correctement s il favorise
Plus en détailLe FMI et son rôle en Afrique
Le FMI et son rôle en Afrique M a r k P l a n t, V a l e r i a F i c h e r a, N o r b e r t F u n k e D a k a r, l e 3 n o v e m b r e 2 0 1 0 Sommaire Comment fonctionne le FMI? Comment l Afrique a-t-elle
Plus en détailComité monétaire et financier international
Comité monétaire et financier international Trente-et-unième réunion 18 avril 2015 Déclaration de Mr. Regis Immongault Ministre de l économie, de la promotion des investissements et de la prospective Gabon
Plus en détailLa politique monétaire après la crise financière mondiale : Nouveaux enjeux
OCP Policy Center Seminar series La politique monétaire après la crise financière mondiale : Nouveaux enjeux Pierre-Richard Agénor, Hallsworth Professor, University of Manchester and Senior Fellow, OCP
Plus en détailLes finances de la sécurité sociale
Les finances de la sécurité sociale B. Eugène T. Stragier K. Van Cauter L. Van Meensel () Introduction L une des fonctions principales des pouvoirs publics consiste à protéger la population d un certain
Plus en détailFaut-il encourager les ménages à épargner?
Faut-il encourager les ménages à épargner? Analyse du sujet : Nature du sujet : Sujet de type «discussion». Problématique explicite. Mots-clés : Ménages ; épargner épargne des ménages Encourager Epargne
Plus en détailDans le prolongement de l observatoire Finances, l APVF et LOCALNOVA ont actualisé l étude
localnova OBS Observatoire des finances locales des Petites Villes de France novembre # Dans le prolongement de l observatoire Finances, l APVF et LOCALNOVA ont actualisé l étude financière prospective
Plus en détailENSAE, 1A Maths. Roland Rathelot roland.rathelot@ensae.fr. Septembre 2010
Initiation à l économie ENSAE, 1A Maths Roland Rathelot roland.rathelot@ensae.fr Septembre 2010 Les ménages (1/2) Les ressources des ménages La consommation L épargne Les ménages comme agents économiques
Plus en détailLa croissance des pays développés au cours des trente dernières
Éditions La Découverte, collection Repères, Paris, 213 II / Dette et croissance Benjamin Carton* La croissance des pays développés au cours des trente dernières années s est accompagnée d une hausse de
Plus en détailTD de Macroéconomie 2011-2012 Université d Aix-Marseille 2 Licence 2 EM Enseignant: Benjamin KEDDAD
TD de Macroéconomie 2011-2012 Université d Aix-Marseille 2 Licence 2 EM Enseignant: Benjamin KEDDAD 1. Balance des paiements 1.1. Bases comptable ˆ Transactions internationales entre résident et non-résident
Plus en détailDans quelle mesure la flexibilité du marché du travail permet-elle de favoriser l emploi?
Dans quelle mesure la flexibilité du marché du travail permet-elle de favoriser l emploi? Indice de LPE Indice de LPE pour les contrats pérennes Document 1. Indice de législation protectrice de l emploi.
Plus en détailLe creusement des inégalités touche plus particulièrement les jeunes et les pauvres
LE POINT SUR LES INÉGALITÉS DE REVENU Le creusement des inégalités touche plus particulièrement les jeunes et les pauvres Résultats issus de la Base de données de l OCDE sur la distribution des revenus
Plus en détailPrincipaux partenaires commerciaux de l UE, 2002-2014 (Part dans le total des échanges de biens extra-ue, sur la base de la valeur commerciale)
55/2015-27 mars 2015 Commerce international de biens en 2014 Principaux partenaires commerciaux de l UE en 2014: les États-Unis pour les exportations, la Chine pour les importations Le commerce entre États
Plus en détailLes difficultés économiques actuelles devraient demeurer contenues à moins que les tensions financières s amplifient
PRÉSENTATION ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE Association des économistes québécois de l Outaouais 5 à 7 sur la conjoncture économique 3 avril Les difficultés économiques actuelles devraient demeurer contenues
Plus en détailREGARDS SUR L ÉDUCATION 2013 : POINTS SAILLANTS POUR LE CANADA
REGARDS SUR L ÉDUCATION 2013 : POINTS SAILLANTS POUR LE CANADA Regards sur l éducation est un rapport annuel publié par l Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) et portant sur
Plus en détailChapitre 4 Comment s opère le financement de l économie mondiale?
CONCEPTION ET MISE EN PAGE : PAUL MILAN 18 décembre 2014 à 14:22 Chapitre 4 Comment s opère le financement de l économie mondiale? Ce chapitre ne fait plus partie du programme, mais il est conseillé de
Plus en détailPERSISTANCE D UN HAUT NIVEAU DE CHÔMAGE : QUELS RISQUES? QUELLES POLITIQUES?
Perspectives économiques de l OCDE Volume 2011/1 OCDE 2011 Chapitre 5 PERSISTANCE D UN HAUT NIVEAU DE CHÔMAGE : QUELS RISQUES? QUELLES POLITIQUES? 275 Introduction et principales conclusions Le marché
Plus en détailLa comptabilité nationale en économie ouverte (rappels) et la balance des paiements
La comptabilité nationale en économie ouverte (rappels) et la balance des paiements Identité fondamentale: Y= C + I + G + EX - IM Y: PIB (Produit Intérieur Brut) C: Consommation I: Investissement G: Dépenses
Plus en détailHausse de la fiscalité sur l énergie et baisse d autres formes de prélèvement : résultats macroéconomiques
Bureau fédéral du Plan Avenue des Arts 47-49, 1000 Bruxelles http://www.plan.be WORKING PAPER 11-09 Hausse de la fiscalité sur l énergie et baisse d autres formes de prélèvement : résultats macroéconomiques
Plus en détailLE COMMERCE EXTÉRIEUR CHINOIS DEPUIS LA CRISE: QUEL RÉÉQUILIBRAGE?
LE COMMERCE EXTÉRIEUR CHINOIS DEPUIS LA CRISE: QUEL RÉÉQUILIBRAGE? Françoise Lemoine & Deniz Ünal CEPII Quel impact de l expansion chinoise sur l économie mondiale? Rencontres économiques, 18 septembre
Plus en détailQu est-ce que la compétitivité?
Qu est-ce que la compétitivité? Le but de ce dossier pédagogique est d expliquer la notion de compétitivité d une entreprise, d un secteur ou d un territoire. Ce concept est délicat à appréhender car il
Plus en détailPOINTS DE REPÈRE SUR LA FÉVRIER 2015 PRODUCTIVITÉ EN FRANCE
POINTS DE REPÈRE SUR LA FÉVRIER 2015 PRODUCTIVITÉ EN FRANCE MESURER LA PRODUCTIVITÉ Productivité du travail : valeur ajoutée / stock d heures travaillées. Elle est simple à calculer et facilement compréhensible.
Plus en détailRecommandation de RECOMMANDATION DU CONSEIL. concernant le programme national de réforme du Luxembourg pour 2015
COMMISSION EUROPÉENNE Bruxelles, le 13.5.2015 COM(2015) 265 final Recommandation de RECOMMANDATION DU CONSEIL concernant le programme national de réforme du Luxembourg pour 2015 et portant avis du Conseil
Plus en détailLe marché de l assurance de protection juridique en Europe. Octobre 2013
Le marché de l assurance de protection juridique en Europe Octobre 2013 Le marché de l assurance de protection juridique en Europe Octobre 2013 Dans sa dernière publication, RIAD, l Association internationale
Plus en détailApproches macroéconomique et fiscale. Introduction à la première partie... 14
TABLE DES MATIERES Préface... 5 Avant- propos... 9 Partie 1 Approches macroéconomique et fiscale Introduction à la première partie... 14 CHAPITRE 1 La politique budgétaire est- elle encore efficace pour
Plus en détailEconomie Générale Initiation Ecole des Ponts - ParisTech
Economie Générale Initiation Ecole des Ponts - ParisTech Stéphane Gallon Caisse des Dépôts stephane.gallon@caissedesdepots.fr https://educnet.enpc.fr/course/view.php?id=2 1 Macroéconomie : croissance à
Plus en détailActifs des fonds de pension et des fonds de réserve publics
Extrait de : Panorama des pensions 2013 Les indicateurs de l'ocde et du G20 Accéder à cette publication : http://dx.doi.org/10.1787/pension_glance-2013-fr Actifs des fonds de pension et des fonds de réserve
Plus en détailUne étude de différentes analyses réalisées par le BIT
Association internationale de la sécurité sociale Quinzième Conférence internationale des actuaires et statisticiens de la sécurité sociale Helsinki, Finlande, 23-25 mai 2007 Comparaison des hypothèses
Plus en détailmai COMMENTAIRE DE MARCHÉ
mai 2014 COMMENTAIRE DE MARCHÉ SOMMAIRE Introduction 2 En bref 3 INTRODUCTION L heure semble au découplage entre les Etats-Unis et l Europe. Alors que de l autre côté de l Atlantique, certains plaident
Plus en détailL immobilier de bureaux en Europe 2010 : une parenthèse dans la crise
ÉTUDE EN BREF Octobre 2011 L immobilier de bureaux en Europe 2010 : une parenthèse dans la crise Pour les investisseurs, l Europe de l immobilier de bureaux n est pas celle qui est délimitée par les accords
Plus en détailRégimes publics de retraite État de la situation. Perspectives des différents régimes publics de retraite. Plan
Régimes publics de retraite État de la situation Perspectives des différents régimes publics de retraite 79 e congrès de l ACFAS 10 mai 2011 Plan Portrait des régimes publics de retraite La pression démographique
Plus en détailLecture commentée du rapport 2004 de la Banque Nationale
Fondation Travail-Université Chaussée de Haecht, 579 1030 - BRUXELLES PG/BL/B.1.4./04052005/05.035. Lecture commentée du rapport 2004 de la Banque Nationale François MARTOU 1. L environnement international
Plus en détailPrésenté par Michel Sapin, Ministre des finances et des comptes publics. Christian Eckert, Secrétaire d État chargé du budget
Présenté par Michel Sapin, Ministre des finances et des comptes publics Christian Eckert, Secrétaire d État chargé du budget 1 Une reprise de l activité qu il faut conforter La reprise est en cours : +1,0%
Plus en détailÂge effectif de sortie du marché du travail
Extrait de : Panorama des pensions 2013 Les indicateurs de l'ocde et du G20 Accéder à cette publication : http://dx.doi.org/10.1787/pension_glance-2013-fr Âge effectif de sortie du marché du travail Merci
Plus en détailLes réformes se poursuivent en faveur d une économie française plus compétitive et d un appui renforcé aux entreprises à l export
Les réformes se poursuivent en faveur d une économie française plus compétitive et d un appui renforcé aux entreprises à l export Depuis 2012, un ensemble d actions est engagé au service du renforcement
Plus en détailInvestissements et R & D
Investissements et R & D Faits marquants en 2008-2009 - L investissement de l industrie manufacturière marque le pas en 2008 et se contracte fortement en 2009 - Très fort recul de l utilisation des capacités
Plus en détailLes marchés du travail dans la crise *
ÉTUDE SPÉCIALE Les marchés du travail dans la crise * OFCE, Centre de recherche en économie de Sciences Po Département analyse et prévision * Ont contribué à cette étude spéciale : Marion Cochard, Gérard
Plus en détail2014-2015 DS n 3 Chap 1-2h. Épreuve composée
Épreuve composée Pour la partie 3 (Raisonnement s appuyant sur un dossier documentaire), il est demandé au candidat de traiter le sujet : en développant un raisonnement ; en exploitant les documents du
Plus en détailLe Marché du à la consommation en Europe à fin 2007
Le Marché du Crédit à la consommation en Europe à fin 7 Une étude de SOFINCO Evry, le juin 8 Nicolas Pécourt Le crédit à la consommation en Europe Synthèse (/) Cette étude porte sur le marché du crédit
Plus en détailComité monétaire et financier international
Comité monétaire et financier international Vingt-neuvième réunion Le 12 avril 2014 Déclaration de M. Akagha-Mba, Ministre de l Économie et de la Prospective, Gabon Représentant les pays suivants : Bénin,
Plus en détailDans quelle mesure la baisse des taux d intérêt permet-elle de relancer la croissance?
Dans quelle mesure la baisse des taux d intérêt permet-elle de relancer la croissance? BIEN COMPRENDRE LES DOCUMENTS Document 1 m Mots clés bandes centrales baisse des taux politique monétaire lutte contre
Plus en détailRAPPORT SUR LE COMMERCE ET LE DéVELOPPEMENT, 2013
CONFÉRENCE DES NATIONS UNIES SUR LE COMMERCE ET LE DÉVELOPPEMENT RAPPORT SUR LE COMMERCE ET LE DéVELOPPEMENT, 213 S adapter à la nouvelle dynamique de l économie mondiale CONFÉRENCE DES NATIONS UNIES SUR
Plus en détailLe SMI. Chapitre 1. 1.1 Les origines historiques du SMI actuel. 1.1.1 Avant la première Guerre mondiale : l étalon or
Chapitre 1 Le SMI 1.1 Les origines historiques du SMI actuel 1.1.1 Avant la première Guerre mondiale : l étalon or L étalon change-or (Conférence de Gênes - 1922) Caractéristiques : Chaque monnaie nationale
Plus en détailContexte pétrolier 2010 et tendances
Contexte pétrolier 21 et tendances L incertitude du contexte économique, en particulier dans les pays occidentaux, est à l origine d une fluctuation marquée du prix du pétrole en 21 : minimum de 67 $/b
Plus en détail1. Introduction. 2. Un changement profond d environnement. 2.1... en Europe
M. Roth s interroge sur la relation entre le franc suisse et l euro Exposé de M. Jean-Pierre Roth, Vice-président de la Direction générale de la Banque nationale suisse, à la Chambre de Commerce Suisse
Plus en détailInégalités de salaires et de revenus, la stabilité dans l hétérogénéité
Inégalités de salaires et de revenus, la stabilité dans l hétérogénéité Gérard Cornilleau Des inégalités contenues, des classes moyennes fragiles Le débat sur les salaires n est plus aujourd hui dominé
Plus en détailL euro, la Banque centrale européenne et le Pacte de stabilité
L euro, la Banque centrale européenne et le Pacte de stabilité Université citoyenne d Attac Toulouse, 22 août 2008 Jean-Marie Harribey et Dominique Plihon Les principes néolibéraux Théories de Hayek, Friedman
Plus en détailPerspectives Economiques Septembre 2015
Perspectives Economiques Septembre 2015 Philippe WAECHTER Directeur de la Recherche Economique Compte Twitter: @phil_waechter ou http://twitter.com/phil_waechter Blog: http://philippewaechter.nam.natixis.com
Plus en détailANTICIPATIONS HEBDO. 16 Février 2015. L'élément clé durant la semaine du 9 Février 2015
Direction de la Recherche Economique Auteur : Philippe Waechter L'élément clé durant la semaine du 9 Février 2015 Le premier point cette semaine porte sur la croissance modérée de la zone Euro au dernier
Plus en détailComparaisons internationales de la dette
Annexe 2 Comparaisons internationales de la dette Faits saillants Selon les statistiques officielles publiées par le Fonds monétaire international (FMI) et l Organisation de coopération et de développement
Plus en détailL'économie libanaise et le système bancaire libanais: Faits et chiffres
La croissance économique L'économie libanaise et le système bancaire libanais: Faits et chiffres 1- Le Liban a connu une croissance économique exceptionnelle et solide à partir de 2007 jusqu'en 2010, le
Plus en détailCanada-Inde Profil et perspective
Canada-Inde Profil et perspective Mars 2009 0 L Inde et le Canada : un bref profil Vancouver Calgary Montréal Toronto INDE 3 287 263 km² 1,12 milliard 1 181 milliards $US 1 051 $US Source : Fiche d information
Plus en détailL accumulation de réserves de change est-elle un indicateur d enrichissement d une nation?
L accumulation de réserves de change est-elle un indicateur d enrichissement d une nation? Edouard VIDON Direction des Analyses macroéconomiques et de la Prévision Service des Études macroéconomiques et
Plus en détailLe travail est-il le meilleur antidote contre la pauvreté?
ISBN 978-92-64-6795- Perspectives de l emploi de l 29 Faire face à la crise de l emploi 29 Chapitre 3 Le travail est-il le meilleur antidote contre la pauvreté? L emploi réduit considérablement le risque
Plus en détailDES PAROLES ET DES ACTES : LES 4 MENSONGES DE MONSIEUR LENGLET
Cette fiche élaborée par la commission économie du Parti de Gauche révèle les 4 "erreurs" fondamentales issues de l'argumentaire que Monsieur Lenglet a opposé à Jean-Luc Mélenchon lors de l'émission des
Plus en détailL IMPACT DE LA MUTUALISATION SUR LES RESSOURCES HUMAINES
ANNEXES L ISTE DES ANNEXES ANNEXE I : ANNEXE II : ANNEXE III : ANNEXE IV : ÉVOLUTION DES DEPENSES DES COMMUNES ET DES EPCI DE 2006 A 2013 OUTILS JURIDIQUES DE MUTUALISATION A DISPOSITION DES ACTEURS LOCAUX
Plus en détail