Tableau 1 : relation entre la vitesse réelle et estimée du véhicule en km/h et le taux d alcoolémie relevé en gr/l de sang.
|
|
- Renée Bibeau
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 On demande à des conducteurs de conduire une voiture dans un circuit sécurisé après avoir ingéré soit une faible quantité d alcool, soit une forte quantité d alcool. Pour chaque sujet, on mesure la vitesse réelle de conduite à l aide d un radar. On demande aussi à chaque sujet d estimer sa propre vitesse de conduite. Suite à cette expérience, on obtient le tableau suivant : Vitesse du véhicule Réelle Estimée écart : réelle - estimée Taux <, d'alcoolémie > à, moyenne 67,5 51 Tableau 1 : relation entre la vitesse réelle et estimée du véhicule en km/h et le taux d alcoolémie relevé en gr/l de sang. Q1 : la variable «vitesse du véhicule» est : a- une VI (-1) b- une VD (+1) c- une variable de contrôle () Q2 : les différents taux d alcoolémie, mesurés en gr/l, représentent : a- les modalités d une VI (+1) b- des valeurs issues de l échelle de la VD (-1) c- la quantité d alcool a ne pas dépasser pour prendre la route en voiture (-1) Q3 : Les auteurs s attendent à «ce que la vitesse réelle soit supérieure à la vitesse estimée lorsque l alcoolémie est élevée», s agit-il : a- d une hypothèse théorique (+1) b- d une hypothèse opérationnelle (-.5) c- d une hypothèse d interaction (-1) Q4 : De même, ils pensent que «la vitesse réelle du véhicule (en km/h) sera plus élevée que la vitesse estimée si le taux d alcoolémie est supérieur à.5 gr/l par rapport à un taux de.8 gr/l», s agit-il : a- d une hypothèse théorique (-.5) b- d une hypothèse opérationnelle (+1) c- d une hypothèse d interaction (-1) Q5 : Dans cette expérience, il y a : a- 1 groupe de sujets () b- 2 groupes de sujets (+1) c- 6 groupes de sujets (-1) Q6 : Les effets simples de la variable «vitesse» en fonction du taux d alcoolémie sont, respectivement : a- 4 et 29 km/h (-.5) b et 51 km/h (-.5) c- la variable vitesse n est pas une VI (+1)
2 Q7 : Le résultat le plus important de cette expérience, par rapport aux questions de sécurité routière est : a- nous prenons moins de risques lorsque le taux d alcoolémie est > à.8 (-1) b- en cas d alcoolémie > à.5, la prise de risque est élevée et inconsciente (1) c- l estimation de la vitesse réelle est correcte pour une alcoolémie < à.5 (.5) Des chercheurs sélectionnent des personnes atteintes ou pas d une phobie des araignées. Pour chacun de ces groupes de sujets, ils présentent d abord une photo d araignée (condition 1), puis une vrai araignée (condition 2). La tâche des sujets consistait à estimer, pour chacune de ces conditions, la probabilité d être mordu. Les résultats sont présentés dans le tableau suivant : Sujets Matériel araignée photo moyenne phobiques non phobiques 5 8 6,5 moyenne 22,5 14 Tableau 2 : estimation de la probabilité d être mordu pour des sujets phobiques ou non phobiques en fonction de la présentation de l animal ( araignée) ou d une photo de l animal ( photo). Q8 : parmi ces 3 graphiques concernant les données du tableau 2 ( A, B et C), lequel est le plus juste? a- graphique A (+1) b- graphique B (+.5) c- graphique C (-1) Graphique A Graphique B probabilité de morsure araignée phobiques non phobiques photo araignée photo phobiques non phobiques Graphique C probabilité de morsure sujets condition
3 Q9 : on peut représenter cette expérience par le plan suivant : a- 2 x 2 = 4 groupes de mesures et 1 groupe de sujet (-.5) b- 2 x 2 = 4 groupes de mesures et 2 groupes de sujets (+1) c- 2 x 2 = 4 groupes de mesures et 4 groupes de sujets (-.5) Q1 : les effets simples de la variable pour, respectivement, les sujets phobiques et non phobiques sont égal à : a- 35 et 12 (-.5) b- 2 et 3 (+1) c et 14 (-.5) Q11 : les résultats mettent en évidence : a- une interaction entre les 2 variables (+1) b- une intéraction hétégorène entre les 2 variables () c- une absence d interaction entre les 2 variables (-1) On mesure la performance de sujets dépressifs (D) et non dépressifs (ND) à une épreuve de mémoire de récit (où on mesure le nombre d informations clés du texte rapportées par les sujets) et à une tâche d attention au cours de laquelle le sujet doit signaler la survenue d un flash lumineux en appuyant le plus rapidement possible sur une touche de réponse (temps de réaction mesuré en secondes). Les résultats sont présentés dans le graphique suivant : 16 performance D ND Temps de réaction (en sec.) Nombre d'élément mémorisés Q12 : D après le graphique, on observe : a- une interaction (-1) b- une interaction croisée (-1) c- on ne peut rien déduire de ce graphique (+1) Un laboratoire pharmaceutique désire tester un nouveau traitement concernant la schizophrénie. Deux groupes de patients schizophrènes sont sélectionnés et le
4 nouveau médicament (auquel on rajoute un excipient glucosé) est administré au premier groupe, alors que pour le deuxième groupe, on administrie un produit uniquement à base de glucose (produit qui est connu pour n'avoir aucun effet sur la schizophrénie). Deux infirmières sont affectées à cette tâche: la première, Vanessa, s'occupe du groupe ayant le nouveau médicament alors que la deuxième, Raymonde, est chargée du groupe ayant le produit glucosé. Chaque jour, les infirmières sont chargées de donner le produit, à la même heure aux patients et leur tâche consiste à noter le comportement des malades. Un mois plus tard, on constate une amélioration notable du comportement chez les patients pris en charge par Vanessa. La firme produit donc le médicament en grande quantité et le vend. Q13 : La variable indépendante est de type: a- situationnelle (+1) b- environnemental (-.5) c- individuelle (-.5) Q14 : le statut de la VI est : a- invoqué (-.5) b- provoqué (+1) c- à mesures répétées (-1) Q15 : En méthodologie, on appelle le groupe de Raymonde : a- groupe neutre (.5) b- groupe placébo (+1) c- groupe de schizophrènes (-.5) Q16 : La validité externe de cette expérience est : a- bonne (.5) b- limitée aux schizophrènes (+1) c- limitée aux sujets masculins (-1) Q17 : la validité interne est : a- bonne () b- limitée à cause de l utilisation de sujets schizophrènes (-1) c- mauvaise car les infirmières sont différentes (+1) Q18 : Cette expérience n est pas fiable car : a- les médicaments sont donnés à des heures différentes (-.5) b- les sujets peuvent ne pas aimer le glucose (-.5) c- on ne peut pas dire que cette expérience n est pas fiable pour les raisons précédentes (+1)
5 Selon une étude portant sur une population d enfants, la durée de sommeil est plus élevée chez les garçons que chez les filles. Par ailleurs, selon cette même étude, le fait de jouer à des jeux électroniques contribue à augmenter la durée de sommeil. Enfin on observe, surtout chez les garçons, que la durée de sommeil est plus élevée pour les joueurs par rapport aux non joueurs. Tableaux : durées de sommeil (en heures, données fictives) en fonction du sexe (garçon, fille) et de l utilisation de jeux électroniques (joueur, non joueur). Tableau A filles garçons moyenne garçon-fille joueur ,5 3 non-joueur 7 7,5 7,25,5 moyenne 7,5 9,25 joueur-non joueur 1 3,5 Tableau B filles garçons moyenne garçon-fille joueur non-joueur moyenne 8,5 9,5 joueur-non joueur -1-3 Tableau C filles garçons moyenne garçon-fille joueur ,5-3 non-joueur 7,5 7 7,25 -,5 moyenne 9,25 7,5 joueur-non joueur 3,5 1 Q19 : Parmi les 3 tableaux suivant, lequel correspond à cette hypothèse? a- tableau A (+1) b- tableau B (-.5) c- tableau C (-.5) Q2 : La variable «garçons-filles» est une variable : a- invoquée (+1) b- provoquée (-.5) c- à mesures répétées (-1)
- Les équipements. Route à accès réglementé. Autoroute
SECURITE ROUTIERE : QUELQUES ELEMENTS A RETENIR Pour réviser, vous pouvez vous entrainez sur le site : http://eduscol.education.fr/cid46889/preparation-auxepreuves-securite-routiere.html L ASSR est l attestation
Plus en détailRVACHEW, S., BROSSEAU LAPRÉ, F. & PAUL, M. (2012) (TITRE ET AUTEURES PROVISOIRES)
TESTDE DÉPISTAGE FRANCOPHONE DE PHONOLOGIE RVACHEW, S., BROSSEAU LAPRÉ, F. & PAUL, M. (2012) (TITRE ET AUTEURES PROVISOIRES) Cette épreuve a été réalisée pour les orthophonistes comme support à leurs bilans.
Plus en détailItem 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve
Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Différentes
Plus en détailFormation sur la sécurisation du circuit du médicament
Formation sur la sécurisation du circuit du médicament Virginie Roué, Ingénieur Qualité-Risques Réseau AQuaREL Santé Dr Brigitte Paulmier, Pharmacien coordonnateur de la gestion des risques CH Saumur CONTEXTE
Plus en détailPRINCIPES DE LA CONSOLIDATION. CHAPITRE 4 : Méthodes de consolidation. Maître de conférences en Sciences de Gestion Diplômé d expertise comptable
PRINCIPES DE LA CONSOLIDATION CHAPITRE 4 : Méthodes de consolidation David Carassus Maître de conférences en Sciences de Gestion Diplômé d expertise comptable SOMMAIRE CHAPITRE I Les fondements de la consolidation
Plus en détailChristophe CANDILLIER Cours de DataMining mars 2004 Page 1
Christophe CANDILLIER Cours de DataMining mars 2004 age 1 1. Introduction 2. rocessus du DataMining 3. Analyse des données en DataMining 4. Analyse en Ligne OLA 5. Logiciels 6. Bibliographie Christophe
Plus en détailCours 9 : Plans à plusieurs facteurs
Cours 9 : Plans à plusieurs facteurs Table des matières Section 1. Diviser pour regner, rassembler pour saisir... 3 Section 2. Définitions et notations... 3 2.1. Définitions... 3 2.2. Notations... 4 Section
Plus en détail«Cours Statistique et logiciel R»
«Cours Statistique et logiciel R» Rémy Drouilhet (1), Adeline Leclercq-Samson (1), Frédérique Letué (1), Laurence Viry (2) (1) Laboratoire Jean Kuntzmann, Dép. Probabilites et Statistique, (2) Laboratoire
Plus en détailConsensus Scientifique sur. les. Champs statiques
page 1/8 Consensus Scientifique sur Source : OMS (2006) les Champs statiques Résumé & Détails: GreenFacts Contexte - Les équipements d imagerie médicale par résonance magnétique (IRM), les trains et les
Plus en détailLa qualité des services mobiles en France métropolitaine
Juin 2014 La qualité des services mobiles en France métropolitaine Synthèse de l enquête 2014 ISSN : 2258-3106 Synthèse des résultats de l enquête 2014 de l ARCEP sur la qualité des services mobiles Ce
Plus en détailExercice 6 Associer chaque expression de gauche à sa forme réduite (à droite) :
Eercice a Développer les epressions suivantes : A-(-) - + B-0(3 ²+3-0) -0 3²+-0 3+00 B -30²-30+00 C-3(-) -3 + 3-3²+6 D-(-) + ² Eerciceb Parmi les epressions suivantes, lesquelles sont sous forme réduite?
Plus en détailLA SECURITE ROUTIERE et l ASSR
LA SECURITE ROUTIERE et l ASSR Introduction: - Les accidents de la route constituent la première cause de mortalité chez les jeunes de 15 à 24 ans. - C'est entre 14 et 18 ans qu'il y a le plus de cyclomotoristes
Plus en détailProtocole. [anonyme et gratuit] Avec la Région, on en parle, on agit.
Protocole [anonyme et gratuit] Avec la Région, on en parle, on agit. 1. 2. Descriptif du dispositif Le contexte... p. 4 Les objectifs... p. 5 Les bénéficiaires... p. 5 Le chéquier et les coupons... p.
Plus en détailSOMMAIRE I. INTRODUCTION 4 II. SOURCES D INFORMATION 5
SOMMAIRE I. INTRODUCTION 4 II. SOURCES D INFORMATION 5 2.1. ETUDES REALISEES PAR LES SERVICES DES CAISSES D ASSURANCE MALADIE 5 2.2. ANALYSE DE LA LITTERATURE 5 2.3. ANALYSE DES VENTES 6 2.4. COMPARAISONS
Plus en détailcyclomoteur Non autorisé En général non autorisé sinon 45 45 45
L ATTESTATION SCOLAIRE DE SECURITE ROUTIERE NIVEAU 3 L attestation scolaire de sécurité routière comporte : - une attestation scolaire de sécurité routière (ASSR) de premier niveau qui se passe en 5 e
Plus en détailLa définition La méthode. Les échelles de mesure L ENQUETE PAR SONDAGE : LA METHODE
L ENQUETE PAR SONDAGE : LA METHODE La définition La méthode Le questionnaire Les biais La passation du questionnaire La validité des réponses Les échelles de mesure Les échelles d évaluation Les échelles
Plus en détailCONCOURS EXTERNE 2012 POUR LE RECRUTEMENT D'AGENTS D'EXPLOITATION SPECIALISES 19 septembre 2012
N IDENTIFICATION : CONCOURS EXTERNE 2012 POUR LE RECRUTEMENT D'AGENTS D'EXPLOITATION SPECIALISES 19 septembre 2012 AGENTS D'EXPLOITATION SPECIALISES DES TRAVAUX PUBLICS DE L'ETAT spécialité «routes, bases
Plus en détailGestion de crise en Pharmacovigilance
Cours DIU FIEC 16 octobre 2008 Véronique LAMARQUE PFIZER Senior Directeur Évaluation de Santé, Sécurité et Gestion de Risque Une définition... parmi d autres Une crise est un événement qui survient quand
Plus en détailJE NE SUIS PAS PSYCHOTIQUE!
rétablissement et psychose / Fiche 1 JE NE SUIS PAS PSYCHOTIQUE! JJérôme s énerve : «Je ne suis pas psychotique! Vous ne dites que des conneries! Je suis moi, Jérôme, et je ne vois pas le monde comme vous,
Plus en détailLogistique, Transports
Baccalauréat Professionnel Logistique, Transports 1. France, juin 2006 1 2. Transport, France, juin 2005 2 3. Transport, France, juin 2004 4 4. Transport eploitation, France, juin 2003 6 5. Transport,
Plus en détailFICHE N 8 Photodiversité, d une banque d images à un portail d activités en ligne Anne-Marie Michaud, académie de Versailles
FICHE N 8 Photodiversité, d une banque d images à un portail d activités en ligne Anne-Marie Michaud, académie de Versailles Niveaux et thèmes de programme Sixième : 1 ère partie : caractéristiques de
Plus en détailTD 11. Les trois montages fondamentaux E.C, B.C, C.C ; comparaisons et propriétés. Association d étages. *** :exercice traité en classe.
TD 11 Les trois montages fondamentaux.,.,. ; comparaisons et propriétés. Association d étages. *** :exercice traité en classe ***exercice 11.1 On considère le montage ci-dessous : V = 10 V R 1 R s v e
Plus en détailEteindre. les. lumières MATH EN JEAN 2013-2014. Mme BACHOC. Elèves de seconde, première et terminale scientifiques :
MTH EN JEN 2013-2014 Elèves de seconde, première et terminale scientifiques : Lycée Michel Montaigne : HERITEL ôme T S POLLOZE Hélène 1 S SOK Sophie 1 S Eteindre Lycée Sud Médoc : ROSIO Gauthier 2 nd PELGE
Plus en détailExo7. Probabilité conditionnelle. Exercices : Martine Quinio
Exercices : Martine Quinio Exo7 Probabilité conditionnelle Exercice 1 Dans la salle des profs 60% sont des femmes ; une femme sur trois porte des lunettes et un homme sur deux porte des lunettes : quelle
Plus en détailDISTRIBUTION DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR VOIE ORALE PAR L INFIRMIERE : RISQUE DE NON PRISE DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR LE PATIENT
INSTITUT DE FORMATION DES CADRES DE SANTE ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS ACTIVITE PROFESSIONNELLE N 8 : LE CADRE GERE LES RISQUES CONCERNANT LES PRESTATIONS, LES CONDITIONS DE TRAVAIL DES PERSONNELS,
Plus en détailPowerControl VI Getting Started 09/06/2008 1
PowerControl VI Getting Started 09/06/2008 1 Sleep Modus Par Sleep Mode s entend «l état de repos» du PowerControl VI (PC VI). Appuyez 10 sec. sur, pour activer le mode Sleep. Cela n est que possible,
Plus en détailRecommandation finale du Comité canadien d expertise sur les médicaments Version en langage clair
Recommandation finale du Comité canadien d expertise sur les médicaments Version en langage clair FINGOLIMOD (Gilenya Novartis Pharmaceuticals Canada Inc.) Indication: sclérose en plaques Recommandation
Plus en détailMETIERS DE L INFORMATIQUE
METIERS DE L INFORMATIQUE ISO 27001 LEAD AUDITOR REF : GOMO019 DUREE : 5 JOURS TARIF : 3 500 HT Public Toute personne amenée à conduire des audits dans le domaine de la sécurité des systèmes d'information.
Plus en détailI - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE
I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais
Plus en détailDEMANDE DE VISA TOURISME/ (VISITE FAMILIALE/OU AMICALE)
DEMANDE DE VISA TOURISME/ (VISITE FAMILIALE/OU AMICALE) UN FORMULAIRE DUMENT REMPLIS AVEC UNE PHOTO RECENTE. PASSEPORT D UNE VALIDITE MINIMALE DE 3 MOIS APRES L EXPIRATION DU VISA ET UN MINIMUM DE 2 PAGES
Plus en détailEntretiens Pharmaceutiques en Oncologie : Où en sommes nous en 2014, au CHPC
Entretiens Pharmaceutiques en Oncologie : Où en sommes nous en 2014, au CHPC 2éme Journée des Infirmiers de Basse-Normandie Jeudi 9 Octobre 2014 Florence BANNIE, Pharmacien CHPC, CHERBOURG Déclarations
Plus en détailAffirmation de soi, confiance en soi, estime de soi
Affirmation de soi, confiance en soi, estime de soi Estime de soi MOI Affirmation de soi AUTRES Confiance en soi ACTION Contexte Règles fondamentales de la communication 1) On ne peut pas décider, par
Plus en détailLes défis du mandat d une Équipe itinérante : prévenir les glissements
Résumé Les défis du mandat d une Équipe itinérante : prévenir les glissements Ce texte fait partie d une banque de 50 récits de pratiques d intervention en itinérance qui ont été réalisés avec quatre Équipes
Plus en détailISD Consulting Pharmaceuticals. Présentation Générale
ISD Consulting Pharmaceuticals Présentation Générale 2 Sommaire ISD Consulting intègre le management de projet et de portefeuille au cœur de votre réussite ISD Consulting Pharmaceuticals est dédié à l'amélioration
Plus en détailDiplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences
Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,
Plus en détailCE QU IL FAUT SAVOIR PARTICIPATION À UN ESSAI CLINIQUE SUR UN MÉDICAMENT
CE QU IL FAUT SAVOIR PARTICIPATION À UN ESSAI CLINIQUE SUR UN MÉDICAMENT Sommaire Comment se fait la recherche sur un nouveau médicament? (page 1) A quoi sert la recherche sur un nouveau médicament? (page
Plus en détailInformation au patient
Information au patient Hôpital de jour médico-chirurgical Je vais subir une intervention chirurgicale en hôpital de jour, cela signifie que l intervention et le retour à domicile s effectueront le même
Plus en détailLa raison d être des systèmes d information
La raison d être des systèmes d information 23 ème Séminaire en sciences pharmaceutiques Pourrait-on vivre sans? 1 Enjeux Processus de soins très complexes et fortement basés sur la fiabilité humaine Suivi
Plus en détailSTRICTEMENT CONFIDENTIEL
MOIS / ANNEE ETUDE DE VALORISATION Société «EDIVAL» STRICTEMENT CONFIDENTIEL BUREAUX 31, Rue de Brest 69002 LYON Tél : +33 (0)8 71 55 11 98 SIÈGE SOCIAL 94, Rue Saint Lazare 75009 PARIS Tél : +33 (0)1
Plus en détailTélésanté et Télémédecine 24h/24 et 7j/7
Télésanté et Télémédecine 24h/24 et 7j/7 www.h2ad.net Un Partenariat Basé sur l'innov Au travers de solutions innovantes en télésanté, de son expertise dans l acquisition et le traitement de données de
Plus en détailFeuille 6 : Tests. Peut-on dire que l usine a respecté ses engagements? Faire un test d hypothèses pour y répondre.
Université de Nantes Année 2013-2014 L3 Maths-Eco Feuille 6 : Tests Exercice 1 On cherche à connaître la température d ébullition µ, en degrés Celsius, d un certain liquide. On effectue 16 expériences
Plus en détailEVOLUTIONS suite à mise à jour
EVOLUTIONS suite à mise à jour Date : 24/10/2014 Nous avons intégré une nouvelle version de votre logiciel Gestion-360. Vous trouverez ci-dessous le détail des améliorations apportées. Liste des améliorations
Plus en détailDéterminants possessifs
POSSESSIFS MATÉRIEL POUR ALLOPHONES 1 Déterminants Déterminants référents Déterminants possessifs Le déterminant possessif indique une relation d appartenance, de possession, de parenté, d origine, etc.,
Plus en détailAudit et Inspection Les contraintes extérieures B.Malivoir
Audit et Inspection Les contraintes extérieures B.Malivoir Chef de projet Hémato-Onco CHRU Tours Vice Présidente CPP Région Ouest1 Le contexte juridique Directive 2001/20/CE du Parlement européen et du
Plus en détailHUMI-BLOCK - TOUPRET
FICHE DE DONNEES DE SECURITE Révision antérieure : (Selon l annexe II du Règlement REACH de l UE 1907/2006) Mise à jour : 19 janvier 2010 Version : 1 HUMI-BLOCK - TOUPRET 1-IDENTIFICATION DU PRODUIT ET
Plus en détail23. Interprétation clinique des mesures de l effet traitement
23. Interprétation clinique des mesures de l effet traitement 23.1. Critères de jugement binaires Plusieurs mesures (indices) sont utilisables pour quantifier l effet traitement lors de l utilisation d
Plus en détailTEST DE DÉPISTAGE DE L IMMUNITÉ CONTRE LE
TEST DE DÉPISTAGE DE L IMMUNITÉ CONTRE LE 14 TÉTANOS ET LA ROUGEOLE 14.1 INTRODUCTION Soumaïla MARIKO Comme on l a déjà précisé au chapitre 1, des tests de dépistage de l immunité contre le tétanos et
Plus en détailConduite à tenir devant une morsure de chien (213b) Professeur Jacques LEBEAU Novembre 2003 (Mise à jour mars 2005)
Conduite à tenir devant une morsure de chien (213b) Professeur Jacques LEBEAU Novembre 2003 (Mise à jour mars 2005) Pré-Requis : Anatomie faciale Principes de traitement des plaies Principes d'antibiothérapie
Plus en détailHomophones grammaticaux de catégories différentes. ce se
GRAMMATICAUX DE CATÉGORIES DIFFÉRENTES CE HOMOPHONES SE 1 Homophones grammaticaux de catégories différentes ce se ce : déterminant démonstratif masculin singulier. Il fait partie d un GN dont le noyau
Plus en détailà moyen Risque moyen Risq à élevé Risque élevé Risq e Risque faible à moyen Risq Risque moyen à élevé Risq
e élevé Risque faible Risq à moyen Risque moyen Risq à élevé Risque élevé Risq e Risque faible à moyen Risq Risque moyen à élevé Risq L e s I n d i c e s F u n d a t a é Risque Les Indices de faible risque
Plus en détailSimulation en santé. Outil de gestion des risques. Avril 2014. Dr MC Moll 1
C E N T R E H O S P I T A L I E R U N I V E R S I T A I R E D ' A N G E R S Simulation en santé Outil de gestion des risques 1 La Simulation : définition 2 Le terme «simulation en santé» correspond à l
Plus en détailRessources pour le lycée général et technologique
éduscol Ressources pour le lycée général et technologique Ressources pour la classe de terminale générale et technologique Exercices de mathématiques Classes de terminale S, ES, STI2D, STMG Ces documents
Plus en détailExercices Alternatifs. Une fonction continue mais dérivable nulle part
Eercices Alternatifs Une fonction continue mais dérivable nulle part c 22 Frédéric Le Rou (copleft LDL : Licence pour Documents Libres). Sources et figures: applications-continues-non-derivables/. Version
Plus en détailExercices Alternatifs. Une fonction continue mais dérivable nulle part
Eercices Alternatifs Une fonction continue mais dérivable nulle part c 22 Frédéric Le Rou (copyleft LDL : Licence pour Documents Libres). Sources et figures: applications-continues-non-derivables/. Version
Plus en détailTableau 1 : Structure du tableau des données individuelles. INDIV B i1 1 i2 2 i3 2 i4 1 i5 2 i6 2 i7 1 i8 1
UN GROUPE D INDIVIDUS Un groupe d individus décrit par une variable qualitative binaire DÉCRIT PAR UNE VARIABLE QUALITATIVE BINAIRE ANALYSER UN SOUS-GROUPE COMPARER UN SOUS-GROUPE À UNE RÉFÉRENCE Mots-clés
Plus en détailI/ Qu est-ce que l aphasie? French
I/ Qu est-ce que l aphasie? French Vous avez, vraisemblablement, récemment eu à faire à l aphasie et ce, pour la première fois. L aphasie appelle d emblée quelques questions comme : qu est-ce que l aphasie,
Plus en détailVI- Exemples de fiches pédagogiques en 3 ème année primaires
21 VI- Exemples de fiches pédagogiques en 3 ème année primaires 22 PROJET I : Séquence 3 ORAL (Réception) Compréhension orale : Activité d écoute : 1 ère fiche pédagogique L objectif de cette séance est
Plus en détailEtirements des chaînes musculaires postérieure et antérieure.
Interprétation des tests sécuritaires Document réalisé par Jean Marc Blanc responsable de la préparation physique sur le pôle France d Antibes Mars 2002 Ratio abdominaux / psoas : Trois cas se présentent
Plus en détailQUE PENSEZ-VOUS DE VOTRE CLUB? Un outil indispensable pour évaluer les clubs
GUIDE ADMINISTRATIF QUE PENSEZ-VOUS DE VOTRE CLUB? Un outil indispensable pour évaluer les clubs QUE PENSEZ-VOUS DE VOTRE CLUB? Un outil indispensable pour évaluer les clubs - Guide administratif Vous
Plus en détailVous, votre famille et votre véhicule, en toute sécurité
sécherfueren Assurance auto Vous, votre famille et votre véhicule, en toute sécurité Monde de sécurité Bâloise Toutes les assurances auto se valent? Peut-être, mais ce qui est certain c est que toutes
Plus en détailNégociation de prix et taux de remboursement des produits pharmaceutiques en France : une analyse empirique
Négociation de prix et taux de remboursement des produits pharmaceutiques en France : une analyse empirique Auteur: Luiz Flavio Andrade (GATE-CNRS, IRDES) Discutant: Lydie Ancelot (IRIAF, Université de
Plus en détailsous réserve de validation des modifications DROIT ECONOMIE GESTION SCIENCES DU MANAGEMENT FINANCE
sous réserve de validation des modifications Niveau : MASTER année Domaine : Mention : DROIT ECONOMIE GESTION SCIENCES DU MANAGEMENT M2 Spécialité : FINANCE 120 ES Volume horaire étudiant : 335 h 35 h
Plus en détailA-QU EST-CE QUE L ORIE? Intervention ADI
A-QU EST-CE QUE L ORIE? 1 A-QU EST-CE QUE L ORIE? Observatoire Régional de l Immobilier d Entreprise en Ile-de-France créé en 1986 dans un contexte de tertiarisation de l économie ; Pour accompagner les
Plus en détailTests de comparaison de moyennes. Dr Sahar BAYAT MASTER 1 année 2009-2010 UE «Introduction à la biostatistique»
Tests de comparaison de moyennes Dr Sahar BAYAT MASTER 1 année 2009-2010 UE «Introduction à la biostatistique» Test de Z ou de l écart réduit Le test de Z : comparer des paramètres en testant leurs différences
Plus en détail2004 2014 : un risque a chassé l autre
2004 2014 : un risque a chassé l autre En 10 ans, le profil des conducteurs français a évolué, leur rapport à la conduite aussi. Pour autant le poids des bons et mauvais conducteurs est resté stable, de
Plus en détailTerminale SMS - STL 2007-2008
Terminale SMS - STL 007-008 Annales Baccalauréat. STL Biochimie, France, sept. 008. SMS, France & La Réunion, sept 008 3 3. SMS, Polynésie, sept 008 4 4. STL Chimie de laboratoire et de procédés industriels,
Plus en détailVoici une demande qui revient régulièrement lors de mes rencontres avec les employeurs :
Logique dépannage La logique de dépannage dépend d une multitude d aspect, et un de ses aspects que j ai pu constater avec le temps en tant que formateur est que les techniciens industriels apprennent
Plus en détailTHEME 2 : CORPS HUMAIN ET SANTE : L EXERCICE PHYSIQUE
THEME 2 : CORPS HUMAIN ET SANTE : L EXERCICE PHYSIQUE Introduction générale : L Homme, pour vivre, a besoin de se nourrir. La nutrition fait appel à différentes fonctions que sont l alimentation, la respiration
Plus en détailMASTER PROFESSIONNEL (2 ème année)
C U R R I C U L U M 04-05 MASTER PROFESSIONNEL ( ème année) Domaine : Sciences Technologies Santé Mention : Sciences de la Vie et de la Santé Spécialité : Produits de Santé : développement et distribution
Plus en détailLa responsabilitié civile... vous connaissez?
Fiche d activité FA La responsabilitié civile... vous connaissez? Lorsqu on parle d assurance habitation, le feu et le vol sont les deux sortes de sinistres qui viennent d abord à l esprit. Mais il y en
Plus en détailFeuille d exercices 2 : Espaces probabilisés
Feuille d exercices 2 : Espaces probabilisés Cours de Licence 2 Année 07/08 1 Espaces de probabilité Exercice 1.1 (Une inégalité). Montrer que P (A B) min(p (A), P (B)) Exercice 1.2 (Alphabet). On a un
Plus en détailLes 8 erreurs à éviter pour réussir sa campagne adwords. mercredi 24 septembre 14
Les 8 erreurs à éviter pour réussir sa campagne adwords 1 Adwords c est simple : on s inscrit, on paie, on obtient du traffic Etes-vous sûr de générer un traffic de qualité? Pensez-vous pouvoir obtenir
Plus en détailNouveau Barème W.B.F. de points de victoire 4 à 48 donnes
Nouveau Barème W.B.F. de points de victoire 4 à 48 donnes Pages 4 à 48 barèmes 4 à 48 donnes Condensé en une page: Page 2 barèmes 4 à 32 ( nombre pair de donnes ) Page 3 Tous les autres barèmes ( PV de
Plus en détailQU EST-CE QUE LA PROPHYLAXIE?
QU EST-CE QUE LA PROPHYLAXIE? TABLES DES MATIÈRES Publié par la Fédération mondiale de l hémophilie (FMH) Fédération mondiale de l hémophilie, 2014 La FMH encourage la traduction et la redistribution de
Plus en détailJe m inscris au forfait, donc je consulte toujours dans ma maison médicale
Je m inscris au forfait, donc je consulte toujours dans ma maison médicale Ma mutuelle paye un montant fixe chaque mois à ma maison médicale LE FORFAIT est un contrat entre patient, maison médicale et
Plus en détailLivret des nouveaux anticoagulants oraux. Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation
Livret des nouveaux anticoagulants oraux Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation DONNÉES DU PATIENT Nom Adresse Tél MÉDECIN TRAITANT Nom Adresse Tél SPÉCIALISTE Nom Hôpital Tél MÉDICAMENT
Plus en détailLES BASES DU COACHING SPORTIF
LES BASES DU COACHING SPORTIF Module N 1 Motivation, concentration, confiance, communication Module N 2 L apprentissage : «Apprendre à apprendre» LES BASES DU COACHING SPORTIF APPRENTISSAGE PLAISIR PERFORMANCE
Plus en détailLiège, le 29 juillet 2013. APPEL INTERNE et EXTERNE AUX CANDIDATURES N 2013-085
Centre Hospitalier Universitaire de Liège Domaine Universitaire du Sart Tilman B35 4000 LIEGE 1 www.chuliege.be Département de Gestion des Ressources Humaines Service Recrutement Liège, le 29 juillet 2013
Plus en détailN d anonymat : Remarques générales :
N d anonymat : Introduction à la Microéconomique Examen final Licence 1 Economie-Gestion 2010/2011 Enseignants (cours et travaux dirigés) : N. Andries, S.Billon et E. Darmon Eléments de correction Remarques
Plus en détailDescripteur global Interaction orale générale
Descripteur global Peut produire des expressions simples isolées sur les gens et les choses. Peut se décrire, décrire ce qu il fait, ainsi que son lieu d habitation. Interaction orale générale Peut interagir
Plus en détailEcole Niveau. Nous vous remercions pour votre participation.
Ecole Niveau Le maire de Brest souhaite mieux connaître les enfants de la ville. Il veut savoir si vous vous plaisez à Brest, si vous connaissez les loisirs, activités que vous pouvez faire, si vous savez
Plus en détailCircuit du médicament informatisé
Circuit du médicament informatisé Points de vigilance axe technique SOMMAIRE... 1 FICHE N 1- DISPONIBILITE ET PERFORMANCE... 2 FICHE N 2- ENVIRONNEMENT DE TEST... 4 FICHE N 3- VERSIONNING... 5 FICHE N
Plus en détailSécurité limitée QUAND LES CLIENTS SONT PEU INFORMÉS ET LES SYSTÈMES MAL INSTALLÉS, PEUT-ON VRAIMENT PARLER DE SÉCURITÉ?
EN COUVERTURE Sécurité limitée QUAND LES CLIENTS SONT PEU INFORMÉS ET LES SYSTÈMES MAL INSTALLÉS, PEUT-ON VRAIMENT PARLER DE SÉCURITÉ? par Chantal Gagnon Photo: Getty Images Du mois d avril 2004 au mois
Plus en détailBACHELIER EN MARKETING
MINIST D LA COMMUNAUT FANCAIS ADMINISTATION GNAL D L NSIGNMNT T D LA CHCH SCINTIFIQU NSIGNMNT D POMOTION SOCIAL D GIM 1 DOSSI PDAGOGIQU SCTION BACHLI N MAKTING NSIGNMNT SUPIU CONOMIQU D TYP CT COD : 714100S32D1
Plus en détailVIII- Circuits séquentiels. Mémoires
1 VIII- Circuits séquentiels. Mémoires Maintenant le temps va intervenir. Nous avions déjà indiqué que la traversée d une porte ne se faisait pas instantanément et qu il fallait en tenir compte, notamment
Plus en détailMonitoring de l hémoglobine au bloc opératoire Place d une mesure continue non invasive. C Decoene PH CHRU Lille
Monitoring de l hémoglobine au bloc opératoire Place d une mesure continue non invasive C Decoene PH CHRU Lille objectif Le taux d hémoglobine intervient dans : Le transport d O2 L hémostase L équilibre
Plus en détailNEPALE NORD ESSONNE PALLIATIF
NEPALE NORD ESSONNE PALLIATIF ASSOCIATION LOI 1901 CONVENTION CONSTITUTIVE SOMMAIRE ARTICLE 1 OBJET DU RESEAU ET OBJECTIFS POURSUIVIS ARTICLE 2 AIRE GEOGRAPHIQUE DU RESEAU ET POPULATION CONCERNEE ARTICLE
Plus en détailSoins infirmiers et gestion des risques
Soins infirmiers et gestion des risques I. Principe de précaution Hippocrate disait «soulager le malade et ne pas lui nuire» Cet adage «primun non cere» est le principe de la base de la médecine II. La
Plus en détailL oligopole ESCP 2012 2103
Structures de marché L oligopole Anne Yvrande Billon ESCP 2012 2103 1 Plan du cours (1/2) 1. Introduction : qu est ce qu un oligopole? 2. L oligopole de Cournot 3. Le «paradoxe de Bertrand» 2 1. Introduction
Plus en détailSPECIALITE : RESTAURATION À LIRE ATTENTIVEMENT AVANT DE TRAITER LE SUJET
AGENT DE MAÎTRISE TERRITORIAL Concours interne et de 3 ème voie Centre Interdépartemental de Gestion de la Grande Couronne de la Région d Île-de-France SESSION 2015 Epreuve écrite d admissibilité Vérification
Plus en détailA.-M. Cubat PMB - Import de lecteurs - Généralités Page 1 Source : http://amcubat.be/docpmb/import-de-lecteurs
A.-M. Cubat PMB - Import de lecteurs - Généralités Page 1 Diverses méthodes d import de lecteurs Les données (noms, prénoms, adresses. des lecteurs) proviennent en général du secrétariat, et se trouvent
Plus en détailChapitre 3 : INFERENCE
Chapitre 3 : INFERENCE 3.1 L ÉCHANTILLONNAGE 3.1.1 Introduction 3.1.2 L échantillonnage aléatoire 3.1.3 Estimation ponctuelle 3.1.4 Distributions d échantillonnage 3.1.5 Intervalles de probabilité L échantillonnage
Plus en détailDes assurances pour la vie. Post Optima Selection 2. Spécial placements en assurance. Investir, c est aussi pour pouvoir se faire plaisir
Les primeurs et les infos de Banque de La Poste n 12 - Octobre 2010 Spécial placements en assurance Des assurances pour la vie Post Optima Selection 2 Investir, c est aussi pour pouvoir se faire plaisir
Plus en détailL'engagement http://gazette.ditaime.com/article/38.html
L'engagement http://gazette.ditaime.com/article/38.html Définition Que veut dire au juste le mot engagement? Le dictionnaire nous en donne la définition suivante : «Promesse formelle, acte par lequel une
Plus en détailA.PERRIER, Directeur Soins Infirmiers A. GAUDILLERE, Resp. Assurance Qualité
Développer la Bientraitance dans un établissement de court séjour. s Retour d expd expérience A.PERRIER, Directeur Soins Infirmiers A. GAUDILLERE, Resp. Assurance Qualité Journée régionale 2010 «Qualité
Plus en détailEstimation et tests statistiques, TD 5. Solutions
ISTIL, Tronc commun de première année Introduction aux méthodes probabilistes et statistiques, 2008 2009 Estimation et tests statistiques, TD 5. Solutions Exercice 1 Dans un centre avicole, des études
Plus en détailChapitre 3. Les distributions à deux variables
Chapitre 3. Les distributions à deux variables Jean-François Coeurjolly http://www-ljk.imag.fr/membres/jean-francois.coeurjolly/ Laboratoire Jean Kuntzmann (LJK), Grenoble University 1 Distributions conditionnelles
Plus en détailChapitre 14 Cours à terme et futures. Plan
hapitre 14 ours à terme et futures Plan Différences entre contrat à terme et contrat de future Fonction économique des marchés de futures Rôle des spéculateurs Futures de matières premières Relation entre
Plus en détail