Tableau 1 : relation entre la vitesse réelle et estimée du véhicule en km/h et le taux d alcoolémie relevé en gr/l de sang.

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1 On demande à des conducteurs de conduire une voiture dans un circuit sécurisé après avoir ingéré soit une faible quantité d alcool, soit une forte quantité d alcool. Pour chaque sujet, on mesure la vitesse réelle de conduite à l aide d un radar. On demande aussi à chaque sujet d estimer sa propre vitesse de conduite. Suite à cette expérience, on obtient le tableau suivant : Vitesse du véhicule Réelle Estimée écart : réelle - estimée Taux <, d'alcoolémie > à, moyenne 67,5 51 Tableau 1 : relation entre la vitesse réelle et estimée du véhicule en km/h et le taux d alcoolémie relevé en gr/l de sang. Q1 : la variable «vitesse du véhicule» est : a- une VI (-1) b- une VD (+1) c- une variable de contrôle () Q2 : les différents taux d alcoolémie, mesurés en gr/l, représentent : a- les modalités d une VI (+1) b- des valeurs issues de l échelle de la VD (-1) c- la quantité d alcool a ne pas dépasser pour prendre la route en voiture (-1) Q3 : Les auteurs s attendent à «ce que la vitesse réelle soit supérieure à la vitesse estimée lorsque l alcoolémie est élevée», s agit-il : a- d une hypothèse théorique (+1) b- d une hypothèse opérationnelle (-.5) c- d une hypothèse d interaction (-1) Q4 : De même, ils pensent que «la vitesse réelle du véhicule (en km/h) sera plus élevée que la vitesse estimée si le taux d alcoolémie est supérieur à.5 gr/l par rapport à un taux de.8 gr/l», s agit-il : a- d une hypothèse théorique (-.5) b- d une hypothèse opérationnelle (+1) c- d une hypothèse d interaction (-1) Q5 : Dans cette expérience, il y a : a- 1 groupe de sujets () b- 2 groupes de sujets (+1) c- 6 groupes de sujets (-1) Q6 : Les effets simples de la variable «vitesse» en fonction du taux d alcoolémie sont, respectivement : a- 4 et 29 km/h (-.5) b et 51 km/h (-.5) c- la variable vitesse n est pas une VI (+1)

2 Q7 : Le résultat le plus important de cette expérience, par rapport aux questions de sécurité routière est : a- nous prenons moins de risques lorsque le taux d alcoolémie est > à.8 (-1) b- en cas d alcoolémie > à.5, la prise de risque est élevée et inconsciente (1) c- l estimation de la vitesse réelle est correcte pour une alcoolémie < à.5 (.5) Des chercheurs sélectionnent des personnes atteintes ou pas d une phobie des araignées. Pour chacun de ces groupes de sujets, ils présentent d abord une photo d araignée (condition 1), puis une vrai araignée (condition 2). La tâche des sujets consistait à estimer, pour chacune de ces conditions, la probabilité d être mordu. Les résultats sont présentés dans le tableau suivant : Sujets Matériel araignée photo moyenne phobiques non phobiques 5 8 6,5 moyenne 22,5 14 Tableau 2 : estimation de la probabilité d être mordu pour des sujets phobiques ou non phobiques en fonction de la présentation de l animal ( araignée) ou d une photo de l animal ( photo). Q8 : parmi ces 3 graphiques concernant les données du tableau 2 ( A, B et C), lequel est le plus juste? a- graphique A (+1) b- graphique B (+.5) c- graphique C (-1) Graphique A Graphique B probabilité de morsure araignée phobiques non phobiques photo araignée photo phobiques non phobiques Graphique C probabilité de morsure sujets condition

3 Q9 : on peut représenter cette expérience par le plan suivant : a- 2 x 2 = 4 groupes de mesures et 1 groupe de sujet (-.5) b- 2 x 2 = 4 groupes de mesures et 2 groupes de sujets (+1) c- 2 x 2 = 4 groupes de mesures et 4 groupes de sujets (-.5) Q1 : les effets simples de la variable pour, respectivement, les sujets phobiques et non phobiques sont égal à : a- 35 et 12 (-.5) b- 2 et 3 (+1) c et 14 (-.5) Q11 : les résultats mettent en évidence : a- une interaction entre les 2 variables (+1) b- une intéraction hétégorène entre les 2 variables () c- une absence d interaction entre les 2 variables (-1) On mesure la performance de sujets dépressifs (D) et non dépressifs (ND) à une épreuve de mémoire de récit (où on mesure le nombre d informations clés du texte rapportées par les sujets) et à une tâche d attention au cours de laquelle le sujet doit signaler la survenue d un flash lumineux en appuyant le plus rapidement possible sur une touche de réponse (temps de réaction mesuré en secondes). Les résultats sont présentés dans le graphique suivant : 16 performance D ND Temps de réaction (en sec.) Nombre d'élément mémorisés Q12 : D après le graphique, on observe : a- une interaction (-1) b- une interaction croisée (-1) c- on ne peut rien déduire de ce graphique (+1) Un laboratoire pharmaceutique désire tester un nouveau traitement concernant la schizophrénie. Deux groupes de patients schizophrènes sont sélectionnés et le

4 nouveau médicament (auquel on rajoute un excipient glucosé) est administré au premier groupe, alors que pour le deuxième groupe, on administrie un produit uniquement à base de glucose (produit qui est connu pour n'avoir aucun effet sur la schizophrénie). Deux infirmières sont affectées à cette tâche: la première, Vanessa, s'occupe du groupe ayant le nouveau médicament alors que la deuxième, Raymonde, est chargée du groupe ayant le produit glucosé. Chaque jour, les infirmières sont chargées de donner le produit, à la même heure aux patients et leur tâche consiste à noter le comportement des malades. Un mois plus tard, on constate une amélioration notable du comportement chez les patients pris en charge par Vanessa. La firme produit donc le médicament en grande quantité et le vend. Q13 : La variable indépendante est de type: a- situationnelle (+1) b- environnemental (-.5) c- individuelle (-.5) Q14 : le statut de la VI est : a- invoqué (-.5) b- provoqué (+1) c- à mesures répétées (-1) Q15 : En méthodologie, on appelle le groupe de Raymonde : a- groupe neutre (.5) b- groupe placébo (+1) c- groupe de schizophrènes (-.5) Q16 : La validité externe de cette expérience est : a- bonne (.5) b- limitée aux schizophrènes (+1) c- limitée aux sujets masculins (-1) Q17 : la validité interne est : a- bonne () b- limitée à cause de l utilisation de sujets schizophrènes (-1) c- mauvaise car les infirmières sont différentes (+1) Q18 : Cette expérience n est pas fiable car : a- les médicaments sont donnés à des heures différentes (-.5) b- les sujets peuvent ne pas aimer le glucose (-.5) c- on ne peut pas dire que cette expérience n est pas fiable pour les raisons précédentes (+1)

5 Selon une étude portant sur une population d enfants, la durée de sommeil est plus élevée chez les garçons que chez les filles. Par ailleurs, selon cette même étude, le fait de jouer à des jeux électroniques contribue à augmenter la durée de sommeil. Enfin on observe, surtout chez les garçons, que la durée de sommeil est plus élevée pour les joueurs par rapport aux non joueurs. Tableaux : durées de sommeil (en heures, données fictives) en fonction du sexe (garçon, fille) et de l utilisation de jeux électroniques (joueur, non joueur). Tableau A filles garçons moyenne garçon-fille joueur ,5 3 non-joueur 7 7,5 7,25,5 moyenne 7,5 9,25 joueur-non joueur 1 3,5 Tableau B filles garçons moyenne garçon-fille joueur non-joueur moyenne 8,5 9,5 joueur-non joueur -1-3 Tableau C filles garçons moyenne garçon-fille joueur ,5-3 non-joueur 7,5 7 7,25 -,5 moyenne 9,25 7,5 joueur-non joueur 3,5 1 Q19 : Parmi les 3 tableaux suivant, lequel correspond à cette hypothèse? a- tableau A (+1) b- tableau B (-.5) c- tableau C (-.5) Q2 : La variable «garçons-filles» est une variable : a- invoquée (+1) b- provoquée (-.5) c- à mesures répétées (-1)

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