LA VACCINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTE CONTRE L HÉPATITE B EN 2007
|
|
- Matthieu Dumont
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 LA VACCINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTE CONTRE L HÉPATITE B EN 2007 Martine Domart-Rançon - Service de Santé au Travail Hôpital Européen Georges Pompidou M.Domart-Rançon 1
2 Virus de l Hépatite B (VHB) : contexte historique Les professionnels de Santé : un groupe à risque dans un tableau d épidémie mondiale 1950 Cas de contaminations professionnelles liées au sang Trumbull ML et coll - J Am Med Assoc Identification VHB (virus enveloppé à ADN) = transmission interhumaine Ampleur du problème - À l échelon mondial = 350 millions porteurs chroniques (réservoir) Blumbers et coll - En milieu de soins : 1/5 professionnels anticorps HBS Denes AE - JAMA Découverte du Vaccin contre le VHB Maupas P. Goudeau A et coll Lancet Autorisation de Mise sur le Marché Vaccin plasmatique (schéma ) Cas de transmission soignant-soigné Grob JP et coll -Lancet OMS : Politique mondiale de lutte contre l hépatite B M.Domart-Rançon 2
3 VHB : contexte historique Nécessité de vacciner les soignants 1982 Circulaire DGS du 15/06/82 : recommandation pour les personnels exposés en milieu de soins 1991 Vaccination Obligatoire : article L Code Santé Publique Concerne toute personne qui, dans un établissement ou organisme public ou privé de prévention ou de soins, exerce une activité professionnelle l exposant à des risques de contamination Obligation individuelle, de nature contractuelle, des personnes concernées (Art. R3116-3) Liste des établissements concernés : Arrêté du 15 mars 1991 modifié le 29 mars 2005 M.Domart-Rançon 3
4 VHB : Les données actuelles Efficacité épidémiologique de la vaccination Hépatites virales reconnues en Maladie Professionnelle par Régime général de la SS ( T n 45) 2002 : 5 hépatites B dont 2 aigues 2003 : 4 hépatites B chroniques VACCIN Obligation vaccinale Disparition de la première des maladies professionnelles en milieu de soins M.Domart-Rançon 4
5 VHB : Les données actuelles des professionnels de Santé Une couverture vaccinale peu évaluée En France : AP-HP = Données indirectes ( Service Central de Santé au travail : rapport AES ) % vaccinés toutes catégories confondues et 91% en % «protégés» dont 94.9% connus vaccinés (n=2168) Enquête GERES (14ème journées- mai 2003) : 60 hôpitaux participants 52 réponses sur la couverture du Personnel Non Médical : - 50 ont un taux de 90 à 100% et 2 < 90% 26 réponses pour le Personnel Médical - 11 sont à 80 à 100% de vaccinés - 6 ont un taux entre 60 et 79% et 9 < 60% Aux USA : - Depuis 1982 vaccination recommandée pour les professionnels à risque % des personnels de santé exposés - En 2007 enquête multicentrique* : données / échantillon de 425 hôpitaux Taux moyen : 75% des personnels de santé à risque varie - 81% (médecins et IDE) - 71% (autres soignant: A S, «phlébotomist» ) * Infect control Hosp Epidemiol.2007 Jul ; 28 M.Domart-Rançon 5
6 VHB : Efficacité de la protection individuelle La primo-vaccination Schéma usuel : 3 doses (0-1-6) cf calendrier vaccinal BEH mois ( ) 0 1 mois 6 mois 97%* (12 mois) Schémas particuliers * : 4 doses 3 mois rappel ( ) 13 mois mois 89%* 6 mois (12 mois) 96%* rappel 0 7J 21J 65%* 76%* schéma accéléré (voyageurs) (12 mois) 98%* (* nécessité d acquérir rapidement une immunité) (* taux de réponse) Taux protecteur Ac HBS 10 UI/L (confirmé par études cliniques) Répondeurs 95 % enfants et adolescents < 90 % adultes après 40 ans et 75 % après 60 ans (Mahoney 1999) M.Domart-Rançon 6
7 VHB : Efficacité de la protection individuelle La réponse immunitaire immédiate Induction de lymphocytes B spécifiques plasmocytes producteurs d anticorps (Ac) neutralisants Exposition Anticorps Neutralisants > 10 mui/ml Réplication initiale Infection aiguë Contrôle infection Infection chronique Guérison Cirrhose CHC Mécanisme protecteur efficace tant que persistance dès Ac > 10 mui/ml Pr C.A.Siegrist,Genève M.Domart-Rançon 7
8 VHB : Efficacité de la protection individuelle La réponse immunitaire prolongée (1) Induction de lymphocytes B mémoire De manière proportionnelle au taux initial d anticorps Persistent dans les ganglions et la rate et se réactivent en présence de l antigène en cellules productrices d Ac Responsabilisent de la persistance de la protection au-delà de la disparition des anticorps neutralisants Protection par mémoire immunitaire sans Ac circulants permise par la longue durée d incubation de la maladie M.Domart-Rançon 8
9 VHB : Efficacité de la protection individuelle La réponse immunitaire prolongée (2) VHB Exposition 4 12 semaines Réplication initiale Ag Infection aiguë Contrôle infection Infection chronique Guérison Cirrhose CHC 4 7 jours Réactivation Des B mémoire Anticorps neutralisants Pr C.A.Siegrist,Genève M.Domart-Rançon 9
10 VHB : Efficacité de la protection vaccinale La protection conférée Protection contre la maladie : pratiquement 100 % lorsque le taux d AC 10mUIml Durée de persistance des anticorps au-dessus du seuil : entre 30 et 60 % des adultes ayant répondu à la vaccination ont un taux supérieur au seuil, 10 ans après la vaccination Après diminution des anticorps au dessous du seuil : Protection contre formes cliniques et complications, Pas contre formes asymptomatiques: survenue d infections intercurrentes (virémie transitoire: après 10 ans 72/2618 adultes -2.6 %- avaient des AC anti-hbc). Aucun portage chronique (Mahoney 1997) M.Domart-Rançon 10
11 VHB : Efficacité de la protection vaccinale En pratique Les rappels ne sont plus justifiés Les sujets vaccinés dans l enfance sont réputés répondeurs La sérologie à distance d une vaccination ne permet pas d évaluer correctement la protection résiduelle Pour les sujets vaccinés un rappel permet de s assurer du statut de répondeur M.Domart-Rançon 11
12 VHB : Efficacité de la protection vaccinale Facteurs de non réponse Âge : principal facteur Autres déterminants Facteurs liés au vaccin : dose, site (fesse), calendrier Intervalle entre les doses de la primo-vaccination* Facteurs liés à l hôte Facteurs génétiques liés au complexe majeur d histocompatibilité Tabagisme Obésité Infection par le VIH Sexe masculin Maladie chronique (diabète, cancer, insuffisance rénale) * Sabido M et coll Vaccine Sep 4 M.Domart-Rançon 12
13 VHB : Efficacité de la protection vaccinale En pratique devant un non-répondeur Penser à: - Portage chronique - Délai supérieur à 2 mois entre vaccination et sérologie Parmi les adultes non répondeurs (Hadler 1986) 33 % répondent après 2 doses supplémentaires 50 % à l issue d une nouvelle série de 3 doses Si sérologie reste négative,ne peuvent être considérés comme protégés (données de la littérature en faveur faible ou absence de protection ) M.Domart-Rançon 13
14 VHB : Evolution de la législation Protection des soignants = Protection des patients Avis du CSHPF (séances du 27 Juin et 7 Novembre 2003) énonce : Principes de protection des patients vis-à-vis du risque de transmission soignant-soigné : - Risque faible mais réel - Modulé par virémie, hygiène, type d acte, - Conséquences pour un ou plusieurs patients = maladie, portage chronique - Source de dissémination vers entourage Moyens à mettre en œuvre : - Éviter en amont la contamination des professionnels - Dépister les porteurs chroniques - Évaluer les modalités d exercice professionnel (actes invasifs) en fonction des résultats M.Domart-Rançon 14
15 VHB : Evolution de la législation Les arrêtés de mars 2007 Fixent : - la liste des élèves des professions de santé concernées - les conditions d immunisation des personnes visées à l art.l du CSP: annexe spécifique de la vaccination hépatite B Abrogent respectivement les arrêtés du 26 avril 1999 et du 23 août 1991 Maintiennent l arrêté du 15 mars 1991 listant les établissements concernés La circulaire du 16 avril 2007 précise leur application M.Domart-Rançon 15
16 VHB : Actualisation de l obligation vaccinale Prise en compte de risque professionnel et du risque de transmission soignant-soigné soigné : Liste des élèves et étudiants soumis à l application de l article L du CSP Professions médicales et pharmaceutiques : Médecin, chirurgien-dentiste, pharmacien, sage-femme Autres professions de santé à l entrée dans les écoles : Infirmier, infirmier spécialisé, masseur kinésithérapeute, pédicure podologue, manipulateur d électroradiologie médicale, aide-soignant, auxiliaire de puériculture, ambulancier, technicien en analyses biomédicales Suppression de l obligation pour certaines filières non exposées : Audioprothésiste, ergothérapeute, orthophoniste, orthoptiste, psychomotricien mais obligation vaccinale possible (circulaire) : - Si établissement concerné par l arrêté du 15 mars Si exposition au risque évaluée par le médecin du travail M.Domart-Rançon 16
17 VHB : Actualisation de l obligation vaccinale Conditions d immunisation vis-à-vis du VHB Personnels exposés de certains établissements «toute personne exerçant une activité pouvant présenter un risque d exposition, à des agents biologiques» Evaluation individuelle du risque en fonction du poste par le médecin du travail. Vaccination Conforme au calendrier vaccinal Effectuée par le médecin du travail ou un autre médecin au choix de l intéressé Preuve de la vaccination (nom du vaccin, lot, doses et dates) Conditions d immunisation fixées par annexe de l arrêté Contre indication = évaluation par le médecin du travail, affectation en fonction des risques M.Domart-Rançon 17
18 VHB : Conditions d immunisation contre l hépatite B (1) Recherche d une protection individuelle efficace Schéma vaccinal Complet (0-1-6) - Avant 13 ans pour médecin, chirurgien, sage-femme, infirmier, pharmacien, technicien d analyse biomédicale - Avant 25 ans pour les autres Au delà de ces âges : Ac HBs exigé > 100 UI/L même ancien < 100 UI/L - Pas de contrôle ultérieur - Pas de rappel Recherche Ag HBs M.Domart-Rançon 18
19 VHB : Conditions d immunisation contre l hépatite B (2) Maîtriser la propagation chez les professionnels Ac HBs < 100 UI/L Recherche Ag HBs Ag HBs négatif Ag HBs positif - 10 UI/L < Ac HBs < 100 UI/L Ac HBs < 10 UI/L Protocole de suivi: Doses additionnelles 6 en tout - Si schéma ancien et pas d Ac: - rappel - Contrôle 1 à 2 mois Ac HBs Pas de contrôle ultérieur Si < 10 UI/L : - Maintien dans le poste - Contrôle annuel (Ag HBs + Ac HBs) Evaluation de restrictions en fonction du poste et de la virémie M.Domart-Rançon 19
20 VHB : Maîtriser sa propagation en milieu de soins Information du professionnel de santé Le soignant non-répondeur doit connaître : Son statut de non-répondeur à la vaccination, La nécessité du protocole annuel de suivi L importance du respect des précautions standard, Le risque de contamination par le VHB lors d un AES, et la nécessité de sa prise en charge Le soignant porteur de l antigène du VHB Son risque vis-à-vis du patient doit être évalué au mieux : restrictions actes invasifs temporaires ou définitives (cf avis du CSHPF), Doit être adressé en hépatologie: pour traitement éventuel Les mesures d accompagnement préconisées par le CSHPF ne sont pas prévues. M.Domart-Rançon 20
21 VHB : Maîtriser sa propagation en milieu de soins La circulaire d application Aucune possibilité de déroger à l obligation vaccinale Une contre-indication définitive à la vaccination correspond à une inaptitude à l entrée dans la profession Tout personnel exposé au risque n entrant pas dans le champ de l obligation vaccinale : recommandation par application du décret du 4 mai 1994 (protection contre les risques biologiques) et demande un retour d information sur les difficultés rencontrées rées dans l application de cette réglementation! M.Domart-Rançon 21
22 VHB - Implication du Médecin du Travail : écueils en pratique quotidienne ienne Evaluation du risque professionnel en fonction du type d activité Notion d exposition indispensable à l évaluation de l aptitude Peu ambiguïté pour les professionnels listés dans les arrêtés Plus difficile pour les autres devant entrer dans le champ d application (services techniques, agents de salubrité, ) Problème des sous-traitances La contrainte vaccinale doit-être : Justifiée en fonction du poste En cohérence avec le document unique En accord avec les partenaires (employeurs, CHSCT ) L information de l obligation vaccinale doit être faite par l employeur au salarié avant la prise de poste M.Domart-Rançon 22
23 VHB - Implication du Médecin du Travail : écueils en pratique quotidienne L aptitude individuelle aux postes exposés Le relevé vaccinal est nécessaire au dossier administratif (écoles..) Restent strictement du domaine médical : - L appréciation du schéma vaccinal Enquête INVS : 41,3% des adultes en France déclarent avoir été vaccinés 28% avaient reçu 3 doses de vaccin Le contrôle de l immunité requise en fonction du poste Être vacciné ne signifie pas être apte La justification d une restriction vis-à-vis de l employeur doit-être conforme au secret médical (fiche d aptitude: «ne répond pas aux obligations légales») Nécessité de le traçabilité de la démarche dans le dossier médical M.Domart-Rançon 23
24 VHB - Implication du Médecin du Travail : écueils en pratique quotidienne Le suivi des personnels exposés est renforcé mais Visibilité sur le personnel médical? À l embauche : - En principe correctement vaccinés à l entrée dans les études - Le statut vaccinal est à exiger à l entrée en fonction à l hôpital en poste: médecins effectuant des actes invasifs: - Généralement vaccinés (cf AES-HEGP 2006: 100%) - Taux de couverture mieux approché avec accréditation - Problème de l immunité Mouvance des professionnels de santé? - Recommandations vaccinales aléatoire selon les pays - Risque de portage chronique en fonction des zones géographiques à risque persistance du réservoir de virus : porteurs chroniques en France (INVS ) 2004) M.Domart-Rançon 24
25 VHB : Données sur la population générale La couverture vaccinale avance Couverture vaccinale 50% 45% 40% Taux global 21.7 % 35% 30% 25% 20% 15% 10% 5% 0% 0-13ans 14-18ans 19-24ans 25-34ans 35-44ans 45-54ans 55ans Classes d âge Couverture vaccinale contre l hépatite B (3 doses) par tranches d âge (France,2002) M.Domart-Rançon 25
26 Conclusion L actualisation de la réglementation a pris en compte l évolution des acquis sur la prévention des risques liés au VHB. Elle réaffirme la nécessité de la prévention vaccinale dans un contexte «coût-efficacité» adapté au contrôle de la transmission du virus dans une population exposée. C est aussi une contribution à la maîtrise de la propagation du virus dans la population générale. Cela devrait permettre d atteindre un jour- les objectifs fixés par l OMS en 1991 : réduire dans les 20 ans 90% de l incidence de l affection. M.Domart-Rançon 26
27 VHB et professionnels de Santé Références Vaccination des professionnels de Santé contre l hépatite B JF.Gehanno - hygiènes XI-2- L hépatite B en France : aspects épidémiologiques et stratégie vaccinale D.Antona 24 èmes journées Nationales de formation continue en hépato gastroentérologie Paris mars 2006 Les non-répondeurs à la vaccination contre l hépatite B Daniel Levy-Bruhl INVS Journée annuelle du GERES Paris - sept 2002 La vaccination contre le virus de l hépatite B Dominique ABITEBOUL Communication Forum STJacques Hôpital Cochin- sept 2007 Et bien sûr : pour La législation : les arrêtés, la circulaire, et les avis du Conseil Supérieur d Hygiène Publique en France M.Domart-Rançon 27
Devenir des soignants non-répondeurs à la vaccination anti-vhb. Dominique Abiteboul - GERES Jean-François Gehanno Michel Branger
Devenir des soignants non-répondeurs à la vaccination anti-vhb Dominique Abiteboul - GERES Jean-François Gehanno Michel Branger Contexte Hépatite B = risque professionnel pour les soignants Passé futur
Plus en détailGuide des vaccinations Édition 2012. Direction générale de la santé Comité technique des vaccinations
Guide des vaccinations Édition 2012 Direction générale de la santé Comité technique des vaccinations 293 Vaccinations pour les personnels de santé INTRODUCTION La vaccination des personnels de santé a
Plus en détailLES ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL Prise en charge & Prévention
LES ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL Prise en charge & Prévention Evaluation du risque après AEV Selon le type d'accident Virus Percutanée Cutanéomuqueux Morsure VHB 2 à 40% >HCV>VIH Documentée VHC
Plus en détailZOOM ETUDES Les études paramédicales. Auditorium de l Institut Français du Bénin 9 novembre 2013
ZOOM ETUDES Les études paramédicales Auditorium de l Institut Français du Bénin 9 novembre 2013 L enseignement supérieur français - santé Études de médecine, pharmacie et odontologie : Universités en partenariat
Plus en détailSURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES
SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES Dr Virginie NAEL Service de Santé au travail du personnel hospitalier CHU Nantes 44èmes journées FMC ANMTEPH / SOHF - Lausanne - Septembre
Plus en détailLA VACCINATION PROFESSIONNELLE
F I C H E P R E V E N T I O N N 1 1 «H Y G I E N E S E C U R I T E» LA VACCINATION PROFESSIONNELLE INTRODUCTION La vaccination en milieu professionnel a un intérêt individuel dans le sens où elle protège
Plus en détailDispenses et allègements pour les diplômes du secteur SANITAIRE et SOCIAL
Dispenses et allègements pour les diplômes du secteur SANITAIRE et SOCIAL (Document réalisé par la CIO Paramédical Février 2014 www.cioparamedical.com) Les références des textes législatifs figurant dans
Plus en détailDiagnostic des Hépatites virales B et C. P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux
Diagnostic des Hépatites virales B et C P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux Diagnostic VHC Dépistage: pourquoi? Maladie fréquente (Ac anti VHC chez 0,84% de la population soit 367 055
Plus en détailHEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas
HEPATITES VIRALES 22/09/09 Mme Daumas Infectieux Introduction I. Hépatite aigu II. Hépatite chronique III. Les différents types d hépatites A. Hépatite A 1. Prévention de la transmission 2. Vaccination
Plus en détailREGLEMENT D INTERVENTION BOURSES D ETUDES POUR LES FORMATIONS SANITAIRES ET SOCIALES
REGLEMENT D INTERVENTION BOURSES D ETUDES POUR LES FORMATIONS SANITAIRES ET SOCIALES Septembre 2008 1 Direction Générale Adjointe Solidarités Formations tout au long de la vie Direction des Solidarités
Plus en détailHépatite B. Le virus Structure et caractéristiques 07/02/2013
Hépatite B Le virus Structure et caractéristiques o o o Famille des Hepadnaviridae Genre orthohepadnavirus Enveloppé, capside icosaédrique, 42 nm 1 Le virus Structure et caractéristiques En microscopie
Plus en détailA PROPOS DES CRITERES D ATTRIBUTION DES EQUIVALENCES
IED PARIS 8 A PROPOS DES CRITERES D ATTRIBUTION DES EQUIVALENCES La procédure d équivalence permet de dispenser les étudiants de certains enseignements dans la mesure où ils peuvent justifier de l acquisition
Plus en détailY a-t-il une place pour un vaccin thérapeutique contre l hépatite B? H. Fontaine, Unité d Hépatologie Médicale, Hôpital Cochin
Y a-t-il une place pour un vaccin thérapeutique contre l hépatite B? H. Fontaine, Unité d Hépatologie Médicale, Hôpital Cochin Objectifs thérapeutiques Inhibition de la réplication virale Négativation
Plus en détailRECOMMANDATION EN SANTE PUBLIQUE. Stratégies de dépistage biologique des hépatites virales B et C. Argumentaire
RECOMMANDATION EN SANTE PUBLIQUE Stratégies de biologique des hépatites virales B et C Argumentaire Mars 2011 L argumentaire scientifique de cette évaluation en santé publique est téléchargeable sur www.has-sante.fr
Plus en détailConseil Supérieur d Hygiène Publique de France
1 Conseil Supérieur d Hygiène Publique de France Rapport du groupe de travail "Transmission du virus de l hépatite virale B aux patients par le personnel de santé" Juin 2003 Président Dominique Valla Membres
Plus en détailINFORMATIONS pour le médecin qui contrôle et complète le formulaire
Vaccination des étudiants du Baccalauréat en Médecine de Lausanne INFORMATIONS pour le médecin qui contrôle et complète le formulaire La vaccination du personnel de santé est recommandée par l Office fédéral
Plus en détailVaccinations pour les professionnels : actualités
Vaccinations pour les professionnels : actualités Dominique Abiteboul Service de Santé au Travail Hôpital Bichat - Claude Bernard Paris GERES Les vaccins A (H1N1)v 4QUESTIONS +++++ Pas assez de recul???
Plus en détailPublication des liens
Le Leem vous informe Publication des liens entre professionnels de santé et entreprises du médicament Vous êtes médecin, chirurgien-dentiste, sage-femme, pharmacien, professionnel paramédical ou tout autre
Plus en détailFormation professionnelle continue
Formation professionnelle continue La formation professionnelle continue comprend deux types d actions : - les actions figurant dans le plan de formation de l établissement ; - les actions choisies par
Plus en détailCertaines tables sont contextualisées : Version Territoriale ou hospitalière ; T ou H)
Nom de la table référentiel Nombre de pages Version 1 Régime-statut 1 Grade 33 Métier 13 Horaire 1 Discipline d'équipement (uniquement hospitalier) 5 Elément matériel 7 Nature de lésion 1 Siège de lésion
Plus en détailEquipe de Direction : -Docteur Christine BOURDEAU Responsable médical. - Annie PAPON Cadre responsable
Equipe de Direction : -Docteur Christine BOURDEAU Responsable médical - Annie PAPON Cadre responsable 1 AFGSU Niveau 1 page 4 AFGSU Niveau 2 page 5 AFGSU face aux risques NRBC page 6 Recyclage AFGSU Niveau
Plus en détailapparentés), titulaires d un diplôme ou d un titre paramédical européen, souhaitant exercer en région Nord Pasde-Calais et délivrées par les DRJSCS*
L équivalence Les autorisations des diplômes d exercice étrangers en France dans le pour les ressortissants secteur du paramédical européens (ou apparentés), titulaires d un diplôme ou d un titre paramédical
Plus en détailVaccination des voyageurs dont la sérologie VIH est positive.
Vaccination des voyageurs dont la sérologie VIH est positive. Pr Jean Beytout Service des maladies infectieuses et tropicales CHU de Clermont-Ferrand. Comité Technique des Vaccinations Conclusion Le principal
Plus en détailDOSSIER D INSCRIPTION A L INSTITUT DE FORMATION EN MASSO-KINESITHERAPIE DE BREST 2015
INSTITUT DE FORMATION EN MASSO- KINESITHERAPIE Faculté de médecine de BREST 22, avenue Camille Desmoulins CS 93837 29238 BREST CEDEX DOSSIER D INSCRIPTION A L INSTITUT DE FORMATION EN MASSO-KINESITHERAPIE
Plus en détailLe Président, à Mesdames et Messieurs les Maires et Présidents
Circulaire n 05/2013 Cl. C 4311 Colmar, le 25/01/2013 C E N T R E d e G E S T I O N d u H A U T - R H I N F o n c t i o n P u b l i q u e T e r r i t o r i a l e 2 2, r u e W i l s o n 6 8 0 27 C O L M
Plus en détailService d ambulance. Normes. de soins aux patients. et de transport
Service d ambulance Normes de soins aux patients et de transport Ministère de la Santé et des Soins de longue durée Direction des services de santé d urgence Avril 2000 (Mise à jour : octobre 2002) Soins
Plus en détailL hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015
L hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015 Objectifs de la présentation Décrire l évolution clinique et la prise en charge d
Plus en détailTests de détection de l interféron γ et dépistage des infections tuberculeuses chez les personnels de santé
Tests de détection de l interféron γ et dépistage des infections tuberculeuses chez les personnels de santé Réunion GERES du 6 juillet 2007 : D Abiteboul,, E Bouvet, A Buonaccorsi,, G Carcelain,, M Domart-Rançon,
Plus en détailDTS IMAGERIE MÉDICALE ET RADIOLOGIE THÉRAPEUTIQUE
DTS IMAGERIE MÉDICALE ET RADIOLOGIE THÉRAPEUTIQUE Formation sous contrat d association avec l Etat Dossier d inscription en 2 ème ou 3 ème année ÉCOLE MASO 7, avenue des Palmiers 66000 Perpignan tél. 04
Plus en détailPARAMEDICAL. Métiers et formations. Centre d information et d orientation de NOUMEA
PARAMEDICAL Métiers et formations Centre d information et d orientation de NOUMEA Santé et paramédical Soins médicaux médecin, chirurgien dentaire, pharmacien, sage-femme Soins paramédicaux infirmier,
Plus en détailCode emploi statutaire de la fonction publique hospitalière (NEH) Emplois non-médicaux
emploi statutaire de la fonction publique hospitalière (NEH) Emplois non-médicaux Rubriques S40.G10.08.002.004 / S40.G10.10.002.004 / S40.G10.25.002.004 Table incluant les codes fournis par la Direction
Plus en détailCONDITIONS D'ADMISSION A L'IFMK
CONDITIONS D'ADMISSION A L'IFMK TEXTES DE REFERENCE : - Décret du 29 mars 1963 modifié relatif aux études préparatoires et aux épreuves du diplôme d Etat de masseur-kinésithérapeute, - Arrêté du 23 décembre
Plus en détailGuide du parcours de soins Titre ACTES ET PRESTATIONS AFFECTION DE LONGUE DURÉE. Hépatite chronique B
Guide du parcours de soins Titre ACTES ET PRESTATIONS AFFECTION DE LONGUE DURÉE Hépatite chronique B Février 2015 Ce document est téléchargeable sur : www.has-sante.fr Haute Autorité de Santé Service des
Plus en détailFormation d Auxiliaire ambulancier
Formation d Dossier d inscription Site de Lyon L Ambulancier assure les transports sanitaires et la surveillance de patients stables à bord des Véhicules Sanitaires Légers. Il est le second membre de l
Plus en détailCOMPLEMENT AU RAPPORT GERES SUR LES ACCIDENTS EXPOSANT AU SANG ET LE RISQUE DE TRANSMISSION DE SOIGNANT A PATIENT
COMPLEMENT AU RAPPORT GERES SUR LES ACCIDENTS EXPOSANT AU SANG ET LE RISQUE DE TRANSMISSION DE SOIGNANT A PATIENT Association sans but lucratif déclarée conformément à la loi du 1er juillet 1901 GERES
Plus en détailLes vaccinations en milieu professionnel
Les vaccinations en milieu professionnel Mise à jour Août 2008 Dans le cadre de la prévention du risque biologique, le code du travail précise, aux articles R.4421-1 et suivants, la démarche d'analyse
Plus en détailChristian TREPO, MD, PhD
PEG INTERFERON MONOTHERAPI E Christian TREPO, MD, PhD Unmet medical needs in chronic HBV infection Inhibition of viral replication Normalisation of ALT Improvement in liver necroinflammation Improvement
Plus en détailLe don de moelle osseuse :
DON DE MOELLE OSSEUSE Le don de moelle osseuse : se décider aujourd hui, s engager pour longtemps LA MOELLE OSSEUSE ET SA GREFFE La moelle osseuse C est le tissu mou dans le centre du corps des os qui
Plus en détailL axe 5 du Cancéropole Nord Ouest
L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu id & Société L état des lieux d un pari Le Rapport Cordier 1 Biomarqueurs prédictifs 2 L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu & Société
Plus en détailBTS DIÉTÉTIQUE. Dossier d intégration en 1 ère année. Formation sous contrat d association avec l Etat
BTS DIÉTÉTIQUE Formation sous contrat d association avec l Etat Dossier d intégration en 1 ère année ÉCOLE MASO 7, avenue des Palmiers 66000 Perpignan tél. 04 68 35 76 76 fax 04 68 35 76 77 contact@ecolemaso.fr
Plus en détailSTOP à la Transmission des microorganismes!
STOP à la Transmission des microorganismes! M.E Gengler Vendredi 25 Avril 2014 Vous avez ditstandard? Voici les «Précautions Standard» ou PS Les Précautions Standard : la Loi Respectez les «précautions
Plus en détailVaccinations - Rédaction Dr BOUTON
20-14 Vaccinations - Rédaction Dr BOUTON Chaque personnel navigant est responsable de la mise à jour des ses vaccins. 1 - VACCINATION OBLIGATOIRE La vaccination contre la fièvre jaune (vaccination anti-amarile)
Plus en détailCOMMENT DEVENIR KINÉSITHÉRAPEUTE
COMMENT DEVENIR KINÉSITHÉRAPEUTE DESCRIPTION DU MÉTIER Le masseur-kinésithérapeute ou «kiné» dans le langage courant, effectue sur prescription médicale des actes de gymnastique médicale, de massage, de
Plus en détailSignalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014
Signalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014 Nadège Caillere, Cire Océan Indien Dr Joao Simoes, Cellule de veille, d alerte et de gestion
Plus en détailINAUGURATION DU CESU Centre d Enseignement des Soins d Urgence
Centre Hospitalier Universitaire Groupe Hospitalo-Universitaire Carémeau Place du Professeur R. Debré - 30009 Nîmes cedex 9-04 66 68 68 68 www.chu-nimes.fr INAUGURATION DU CESU Centre d Enseignement des
Plus en détailRESPONSABILITÉ INDEMNITAIRE
RESPONSABILITÉ INDEMNITAIRE (CIVILE ET ADMINISTRATIVE) Pr Scolan Clinique de médecine légale RESPONSABILITÉ CIVILE Introduction Obligation de répondre devant la justice d un dommage et de le réparer Délictuelle
Plus en détailLES HEPATITES VIRALES
LES HEPATITES VIRALES Infect virales atteignant préférentiellement le foie avec lés inflammatoires, altérat hépatocytaire (cytolsye hépatique) et élévat des transaminases. Etiolo gie Transm ission Contam
Plus en détailORGANISATION DES SOINS EN SITUATION DE PANDEMIE GRIPPALE
Ministère de la Santé et des Solidarités Direction de l Hospitalisation et de l Organisation des Soins ORGANISATION DES SOINS EN SITUATION DE PANDEMIE GRIPPALE > FICHES DE RECOMMANDATIONS 1 re édition
Plus en détailCharte de la Banque ADN et de Cellules de Généthon
Sommaire 1. PREAMBULE... 2 2. DEFINITIONS... 2 3. CADRE LEGAL... 3 4. ORGANISATION DE LA BACG... 4 5. PRESTATIONS DE LA BACG... 5 6. MODALITES DE CONTRIBUTION ET D UTILISATION DES SERVICES... 5 7. REGLES
Plus en détailHépatite C une maladie silencieuse..
Hépatite C une maladie silencieuse.. F. Bally Centre de Maladies Infectieuses et Epidémiologie Institut Central des Hôpitaux Valaisans Histoire Années 70 Hépatite non-a-non-b = hépatite post-transfusionelle
Plus en détailDISTRIBUTION DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR VOIE ORALE PAR L INFIRMIERE : RISQUE DE NON PRISE DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR LE PATIENT
INSTITUT DE FORMATION DES CADRES DE SANTE ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS ACTIVITE PROFESSIONNELLE N 8 : LE CADRE GERE LES RISQUES CONCERNANT LES PRESTATIONS, LES CONDITIONS DE TRAVAIL DES PERSONNELS,
Plus en détailFICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION
FICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION Madame, Monsieur, Si votre état de santé nécessite une transfusion sanguine, ce document est destiné à vous informer sur les avantages et les risques de la transfusion,
Plus en détailGRILLES INDICIAIRES DE RÉMUNÉRATION ET TRAITEMENT BRUT MOYEN DU GRADE applicables à la fonction publique territoriale à compter du 1 er janvier 2015
GRILLES INDICIAIRES DE RÉMUNÉRATION ET TRAITEMENT BRUT MOYEN DU GRADE applicables à la fonction publique territoriale à compter du 1 er janvier 2015 Références : - Loi n 84-53 du 26 janvier 1984 modifiée
Plus en détailVaccination contre la grippe saisonnière
le point sur risques infectieux > Vaccinations Vaccination contre la grippe saisonnière Questions / Réponses - Professionnels de santé Document élaboré le 14 octobre 2014 1 - Quand a lieu la campagne de
Plus en détailLISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B
LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B Actualisation février 2009 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailations sanitaires et sociales épertoire des form Conseil régional d Île-de-France www.iledefrance.fr
www.iledefrance.fr «Vous aider à faire le meilleur des choix possibles dans un secteur professionnel en évolution constante» Choisir sa formation professionnelle n est pas un exercice simple tant sont
Plus en détailLe Président, à Mesdames et Messieurs les Maires et Présidents
Circulaire n 06/2014 Cl. C 4311 Colmar, le 03/02/2014 Mise à jour 17 février 2014 C E N T R E d e G E S T I O N d u H A U T - R H I N F o n c t i o n P u b l i q u e T e r r i t o r i a l e 2 2, r u e
Plus en détailCOMPTE-RENDU D ACCREDITATION DE LA CLINIQUE LA LIRONDE. Saint-Clément-de-Rivière 34980 Saint-Gély-du-Fesc
COMPTE-RENDU D ACCREDITATION DE LA CLINIQUE LA LIRONDE Saint-Clément-de-Rivière 34980 Saint-Gély-du-Fesc Avril 2003 SOMMAIRE COMMENT LIRE LE «COMPTE-RENDU D ACCREDITATION»... p.3 PARTIE 1 PRESENTATION
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION 10 octobre 2001 VIRAFERONPEG 50 µg 80 µg 100 µg 120 µg 150 µg, poudre et solvant pour solution injectable B/1 B/4 Laboratoires SCHERING PLOUGH Peginterféron
Plus en détailLOI DE SÉCURISATION DE L EMPLOI N 2013 504 du 14 juin 2013
LOI DE SÉCURISATION DE L EMPLOI N 2013 504 du 14 juin 2013 Les changements concernant la protection sociale complémentaire Les dates clés 11 janv. 2013 : Signature de l Accord National Interprofessionnel
Plus en détailACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL. Dr David Bruley Service de Maladies Infectieuses CHU Grenoble
ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL Dr David Bruley Service de Maladies Infectieuses CHU Grenoble Définition d un AES Sang ou liquide biologique potentiellement contaminant Sécrétions vaginales / sperme
Plus en détailTraitements de l hépatite B
Traitements de l hépatite B S Matheron Service des maladies infectieuses et tropicales A Hôpital Bichat-Claude Bernard Virus de l hépatite B: histoire naturelle Contage Hépatite aigüe 70% asymptomatique
Plus en détailCaisse Nationale de l'assurance Maladie des Travailleurs Salariés Sécurité Sociale
Caisse Nationale de l'assurance Maladie des Travailleurs Salariés Sécurité Sociale Circulaire CNAMTS MMES et MM les Directeurs Date : - des Caisses Régionales d'assurance Maladie 27/03/96 - des Caisses
Plus en détailProphylaxie infectieuse après exposition professionnelle
1 Prophylaxie infectieuse après exposition professionnelle Introduction Le personnel soignant est régulièrement confronté au risque de contamination par le virus de l immunodéficience humaine (VIH) mais
Plus en détailQuantification de l AgHBs Pouquoi? Quand?
Quantification de l AgHBs Pouquoi? Quand? Michelle Martinot-Peignoux Service d Hépatologie Hôpital Beaujon Université Paris-Diderot INSERM U-773/CRB3 Clichy-France Plan Introduction Applications Cliniques
Plus en détailLaissez-nous. prendre soin. de vous. Recrutement - Intérim - Services
Laissez-nous prendre soin de vous Recrutement - Intérim - Services affirmer Nos différences Adecco Medical, filiale santé du leader mondial des solutions RH, a bâti une relation de confiance avec ses clients,
Plus en détailLa nomenclature des métiers se compose de : 5 domaines fonctionnels, 22 familles de métiers, 64 sous-familles de métiers, 183 fiches métiers.
4.2. Liste des métiers par domaines, familles et sous-familles La nomenclature des métiers se compose de : 5 domaines fonctionnels, 22 familles de métiers, 64 sous-familles de métiers, 183 fiches métiers.
Plus en détailL accès au suivi et au traitement pour les personnes atteintes de l hépatite C au Québec 1
L accès au suivi et au traitement pour les personnes atteintes de l hépatite C au Québec 1 DOCUMENT SYNTHÈSE Lina Noël, Julie Laforest, Pier-Raymond Allard, Marc Dionne, INTRODUCTION Au Québec, près de
Plus en détailEnsemble dénommés «Les Parties»
Convention de partenariat relative à l organisation des formations conduisant à la délivrance du diplôme d Etat de masseur-kinésithérapeute et à la reconnaissance du grade de licence + 60 ECTS Entre :
Plus en détailArthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes
Arthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes G Borgherini 1, A Gouix 1, F Paganin 1, A Jossaume 1, L Cotte 2, C Arvin-Berod 1, A Michault
Plus en détailLes contre-indications au don de sang
Les contre-indications au don de sang Souvent, les donneurs s interrogent sur les raisons pour lesquelles tout le monde ne peut pas donner son sang. Le don de sang est une démarche d assistance à autrui,
Plus en détailBonne lecture!! et si vous souhaitez consulter le document de l AFEF dans son intégralité, c est ici
Un résumé des recommandations éditées par l AFEF le 1 er juin 2015 Les recommandations de l AFEF vont plus loin que celles de l EASL. Le Pr Victor De Lédinghen, du CHU de Bordeaux, et secrétaire général
Plus en détailLivret d accueil des stagiaires
Livret d accueil des stagiaires SOMMAIRE : I/ Présentation du service II/Le métier de manipulateur III/ Modalités d encadrement IV/ Votre stage V/ Bilan global de votre stage I/ Présentation du service
Plus en détailANNEXE 1 DEFINITIONS DES NIVEAUX DE QUALIFICATION DES EMPLOIS
ANNEXE 1 DEFINITIONS DES NIVEAUX DE QUALIFICATION DES EMPLOIS DEFINITIONS DES NIVEAUX DE QUALIFICATION DES EMPLOIS Employés et cadres Contenu des activités (en terme de technicité, animation, gestion-communication,
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailLes hépatites virales chroniques B et C
Les hépatites virales chroniques B et C www.aqodad.ma Service d hépato-gastroentérologie CHU HASSAN II; Fès 6èmes journées médicales d Al Hoceima; Le 28 09 2013 1 Introduction Problème majeur de santé
Plus en détailCERTIFICATION MÉDICALE RAPPORT MÉDICAL POUR LE DROIT DE SÉJOUR
Prévu à l article L313-11 11 du Code de l entrée et du séjour des étrangers et du droit d asile (Ceseda), le droit au séjour pour raison médicale concerne les étrangers atteints de maladie grave qui ne
Plus en détailRéseau de Santé du Pays des Vals de Saintonge Pôle de santé du Canton d Aulnay de Saintonge MSP Aulnay et Néré PROJET D AULNAY PSP
Réseau de Santé du Pays des Vals de Saintonge PROJET D AULNAY MSP PSP Réseau de santé de proximité Historique Objectifs Particularités Avenir Réseau de Santé du Pays des Vals de Saintonge MAISON DE SANTE
Plus en détailHépatite = inflammation du foie. Pr Bronowicki CHU Nancy - 17.11.2011 Conférence mensuelle - section de Forbach
Hépatite = inflammation du foie Pr Bronowicki CHU Nancy - 17.11.2011 Conférence mensuelle - section de Forbach 1 Hépatites virales chroniques 2 Histoire naturelle Hépatite aiguë Guérison Hépatite chronique
Plus en détailVaccinations et milieu professionnel
La place de la vaccination dans la prévention des risques infectieux La prévention des risques infectieux au travail ne se réduit pas à la protection vaccinale. La vaccination s inscrit comme une des mesures
Plus en détailPour l'entrée en institut de formation paramédicale
FORMER Dossier médical Pour l'entrée en institut de formation paramédicale Avril 2015 Aide-soignant-e Auxiliaire de puériculture Infirmier-e Masseur-kinésithérapeute Manipulateur-trice en électroradiologie
Plus en détailTRAITEMENT DE L HÉPATITE B
TRAITEMENT DE L HÉPATITE B P Mathurin Service d Hépatogastroentérologie Pr Paris Hôpital Claude Hurriez CHRU Lille CRITERES VIROLOGIQUES ET HISTOIRE NATURELLE 1 OBJECTIF THERAPEUTIQUE: Séroconversion HBe
Plus en détailCompliance (syn. Adhérence - Observance) IFMT-MS-Sémin.Médict.Nov.05 1
Compliance (syn. Adhérence - Observance) IFMT-MS-Sémin.Médict.Nov.05 1 Qu est ce que la compliance? Une maladie a été diagnostiquée Le diagnostic est correct Le traitement a été bien indiqué, bien choisi,
Plus en détailENSEIGNEMENTS D EXPLORATION CLASSE DE SECONDE GT MARS 2011 SANTÉ ET SOCIAL. Ressources documentaires pour la découverte des métiers et des formations
ENSEIGNEMENTS D EXPLORATION CLASSE DE SECONDE GT MARS 2011 SANTÉ ET SOCIAL Ressources documentaires pour la découverte des métiers et des formations «Les enseignements d'exploration permettent de développer
Plus en détailDIAPOSITIVE 1 Cette présentation a trait à la réglementation sur les thérapies cellulaires.
Produits de thérapie cellulaire DIAPOSITIVE 1 Cette présentation a trait à la réglementation sur les thérapies cellulaires. DIAPOSITIVE 2 La fabrication des thérapies cellulaires est examinée par la Division
Plus en détailInfection à CMV et allogreffe de cellules souches hématopoïétiques : Expérience du Centre National de Greffe de Moelle Osseuse, Tunis.
Infection à CMV et allogreffe de cellules souches hématopoïétiques : Expérience du Centre National de Greffe de Moelle Osseuse, Tunis. Tarek Ben Othman Congrès de la STPI, 24 avril 2009 Plan Introduction
Plus en détailIl est bien établi que le réseau d eau hospitalier peut
Les micro-organismes de l eau impliqués dans les infections nosocomiales Depuis 2001 chez Pall, en charge de l information scientifique et réglementaire dans les domaines d applications couverts par la
Plus en détailTitre. Attestation relative au portage salarial. Objet CIRCULAIRE N 2011-33 DU 7 NOVEMBRE 2011. Direction des Affaires Juridiques INST0026-ACE/JBB
CIRCULAIRE N 2011-33 DU 7 NOVEMBRE 2011 Direction des Affaires Juridiques INST0026-ACE/JBB Titre Attestation relative au portage salarial Objet Transmission de l attestation relative au portage salarial
Plus en détailAudit et Inspection Les contraintes extérieures B.Malivoir
Audit et Inspection Les contraintes extérieures B.Malivoir Chef de projet Hémato-Onco CHRU Tours Vice Présidente CPP Région Ouest1 Le contexte juridique Directive 2001/20/CE du Parlement européen et du
Plus en détailProgramme DPC des infirmiers
Catalogue de formations de la FNFCEPPCS pour l année 2015 Programme DPC des infirmiers Le catalogue peut évoluer en cours d année ; nous vous en tiendrons informés. 1 L INFIRMIER DE CENTRE DE SANTÉ FACE
Plus en détailLa Révolution Numérique Au Service De l'hôpital de demain. 18-19 JUIN 2013 Strasbourg, FRANCE
La Révolution Numérique Au Service De l'hôpital de demain 18-19 JUIN 2013 Strasbourg, FRANCE Le développement de la e-santé : un cadre juridique et fonctionnel qui s adapte au partage Jeanne BOSSI Secrétaire
Plus en détailPathologie VIH. Service maladies infectieuses Archet 1. Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013
Pathologie VIH Service maladies infectieuses Archet 1 Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013 Les traitements antirétroviraux Sont classés en 5 familles selon leur mode
Plus en détailREUNION D INFORMATION LES ETUDES DE SANTE ET LES METIERS AUXQUELS ELLES MENENT
REUNION D INFORMATION LES ETUDES DE SANTE ET LES METIERS AUXQUELS ELLES MENENT A. RASCLE CIO de L Haÿ les Roses Novembre 2013 Sommaire Les métiers médicaux PACES Médecine Maïeutique (sage-femme) Pharmacie
Plus en détailVaccination et tuberculose en Gériatrie. Unité de Prévention et de Dépistage: Centre de vaccination et centre de lutte anti tuberculeuse CH Montauban
Vaccination et tuberculose en Gériatrie Unité de Prévention et de Dépistage: Centre de vaccination et centre de lutte anti tuberculeuse CH Montauban VACCINATIONS 2 Personnes âgées et vaccinations Avec
Plus en détailMINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE- DDASS DE SEINE MARITIME
Département des situations d urgence sanitaire Personne chargée du dossier : Evelyne FALIP/Nicole BOHIC Tél : 01 40 56 59 65/02 32 18 31 66 evelyne.falip@sante.gouv.fr MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES
Plus en détailJe m inscris au forfait, donc je consulte toujours dans ma maison médicale
Je m inscris au forfait, donc je consulte toujours dans ma maison médicale Ma mutuelle paye un montant fixe chaque mois à ma maison médicale LE FORFAIT est un contrat entre patient, maison médicale et
Plus en détailMinistère des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes
Ministère des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes Direction générale de la santé Sous-direction de la prévention des risques infectieux Bureau des maladies infectieuses, des risques
Plus en détailUnion des Métiers et des Industries de l Hôtellerie LE PERMIS D EXPLOITATION ET LE PERMIS DE VENTE DE BOISSONS ALCOOLIQUES LA NUIT
Union des Métiers et des Industries de l Hôtellerie JURIDIQUE Date : 26/07/2011 N : 28.11 LE PERMIS D EXPLOITATION ET LE PERMIS DE VENTE DE BOISSONS ALCOOLIQUES LA NUIT Le Décret n 2011-869 du 22 juillet
Plus en détailDécrets, arrêtés, circulaires
Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE L INTÉRIEUR, DE LA SÉCURITÉ INTÉRIEURE ET DES LIBERTÉS LOCALES Arrêté du 16 août 2004 relatif aux formations des médecins, pharmaciens et infirmiers
Plus en détail