La seconde est une étude de la GGI SES sur l âge du parc de logements français menée en 1999 (cf document 2 des annexes).

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "La seconde est une étude de la GGI SES sur l âge du parc de logements français menée en 1999 (cf document 2 des annexes)."

Transcription

1 POSITION AIMCC n 6-15 Position validée par le Conseil d Administration de l AIMCC du 4 juin 2015 Date : 08 juillet 2015 Objet : ENV15160R1 DE Position AIMCC sur la durée de vie des bâtiments à prendre en compte dans l évaluation environnementale des bâtiments La durée de vie du bâtiment est l une des données fondamentales requises pour décrire «l objet» étudié dans le cadre de toute évaluation qu elle soit environnementale ou bien évidemment économique (notion coût global). Les spécifications normatives La norme EN sur l évaluation environnementale des bâtiments, propose de qualifier l objet étudié à travers la définition d un «Equivalent Fonctionnel» - EF caractérisé au minimum par la typologie du bâtiment, son profil d utilisation, les exigences fonctionnelles et techniques pertinentes du bâtiment et la durée de vie requise du bâtiment ReqSL. L EN précise que la période d étude pour l évaluation environnementale du bâtiment doit être égale à cette durée de vie requise. La période d étude pour l évaluation environnementale du bâtiment (= durée de vie requise) est fondamentale puisqu elle permet : - d évaluer les charges et bénéfices environnementaux liés à la phase d usage du bâtiment (exploitation, entretien et maintenance) - de calculer le taux de renouvellement des produits et équipements. L EN précise par ailleurs que la valeur de la durée de vie requise doit être celle spécifiée par le maître d ouvrage ou à défaut par le maître d œuvre. Sinon, la norme spécifie que cette durée de vie sera définie sur la base d une évaluation empirique, probabilistique ou statistique. On parle alors de durée de vie conventionnelle. Les études/données disponibles Tous les acteurs du secteur du bâtiment s entendent à dire que la durée de vie d un bâtiment est une caractéristique qui dépend du type de bâtiment. Ainsi, il ne devrait pas y avoir une seule durée de vie conventionnelle mais plusieurs durées de vie conventionnelles en fonction du type de bâtiment concerné (maison individuelle, immeuble de logements locatifs, bureaux administratifs, musée, etc.). Ce constat peut être complété par des informations issues d une revue des études publiques disponibles sur l âge des bâtiments. Cette revue permet d identifier 3 références bibliographiques dont les bilans sont assez concordants ; La première est une analyse économique et de marché des bâtiments à l échelle de l Europe (pour le développement de critères d écolabel et d achat public vert) menée par le JRC et l IPTS pour la commission européenne en 2011 (cf document 1 des annexes). La seconde est une étude de la GGI SES sur l âge du parc de logements français menée en 1999 (cf document 2 des annexes). La troisième est le cadre de référence pour des mesures communes relatives à l évaluation environnementale des bâtiments rédigé par la Sustainable Building Alliance en 2010 (cf document 3 des annexes). La première montre que 45% des bâtiments non résidentiels européens sont âgés de plus de 50 ans avec 26% qui sont âgés de plus de 65 ans. Elle rappelle que de nombreuses études font l hypothèse d une durée de vie de 50 ans pour les bâtiments tertiaires (plus particulièrement de bureaux). La seconde montre que plus de 50% des logements français sont âgés de de plus de 50 ans avec une 20% qui sont âgés d une centaine d années. Enfin, le cadre de référence pour des mesures communes (relatives à l évaluation environnementale des bâtiments) défini par la Sustainable Building Alliance réunissant les experts de la construction durable européens préconise une période d étude d une durée de 50 à 60 ans. 1

2 L analyse des quelques données statistiques identifiées ici confirme bien la variabilité des durées de vie des bâtiments en fonction de leur typologie. Eléments de discussion Par souci de cohérence avec la réalité et la normalisation en vigueur (EN 15978), il conviendrait d utiliser la durée de vie requise spécifiée par le maître d ouvrage. Toutefois, dans la mesure où l évaluation environnementale d un bâtiment peut servir tant, en amont, à l étape d éco-conception d un projet (qui nécessite alors une comparaison avec un bâtiment de référence pour situer la performance environnementale du projet envisagé) qu en aval à l étape de présentation voire d affichage de la performance environnementale (qui pourra elle aussi impliquer des considérations comparatives), il est nécessaire de disposer d un nombre suffisant de bâtiments de référence utilisant la même durée de vie requise que celle spécifiée par le MO du projet étudié pour pouvoir mener à bien l évaluation environnementale du projet. Ce qui n est pas le cas aujourd hui. Le recours à la durée de vie requise spécifiée par le maître d ouvrage comme période d étude pour l évaluation environnementale des bâtiments présente donc ce désavantage (difficulté à définir le projet de référence intégrant dans son équivalent fonctionnel la même durée de vie requise). En conséquence, il parait plus réaliste d envisager dans un premier temps de recourir à une durée de vie conventionnelle correspondant à une durée de vie moyenne qui serait définie sur la base d une analyse des données statistiques portant sur l âge des bâtiments. Une telle analyse montre sans surprise que les durées de vie sont variables notamment en fonction de la typologie des bâtiments (cf paragraphe précédent). Ainsi, dans le cadre de la définition d un socle commun pour l évaluation et l affichage environnementale des bâtiments, l option la plus pertinente serait d établir une courte liste de durées de vie conventionnelles par type de bâtiment et de spécifier d utiliser comme période d étude la durée de vie conventionnelle correspondant au type de bâtiment évalué. Lors de l établissement de la liste de durées de vie conventionnelles, il sera important de veiller à ne pas proposer des durées de vie conventionnelles trop courtes car, comme le mentionne les «Règles d application d HQE Performance pour l évaluation environnementale des bâtiments neufs» : «[ ] il faut faire attention aux durées de vie trop courtes, les logiques environnementales ne répondent pas toujours aux logiques économiques. [ ] Une durée de vie courte pénalise le bâti car elle diminue la durée d amortissement de ses impacts (structure et enveloppe notamment». Ainsi une période d étude trop courte peut conduire à des résultats biaisés (cf document 4 des annexes). Pour cette raison et fort des études disponibles sur l âge des bâtiments en Europe et en France, les durées de vie conventionnelles pourraient être comprises entre 50 ans (période d étude recommandée par la Sustainable Building Alliance) et 100 ans (âge moyen observé d une certaine typologie de bâtiment). La position de l AIMCC : Dans le cadre de la définition d un socle commun à l évaluation et l affichage environnementale des bâtiments, l AIMCC recommande à court terme: - d établir une courte liste de durées de vie conventionnelles par typologie de bâtiment, - de spécifier d utiliser comme période d étude la durée de vie conventionnelle correspondant au type de bâtiment évalué. L AIMCC propose que les durées de vie conventionnelles prennent des valeurs comprises entre 50 et 100 ans en fonction du type de bâtiment (à l exception des monuments historiques). Proposition de liste non exhaustive de durées de vie conventionnelles par type de bâtiment : o Bâtiment industriel : 50 ans o Bâtiment tertiaire : 50 ans o Logement collectif : 100 ans o Maison individuelle : 100 ans L AIMCC regroupe près d une centaine d Organisations professionnelles de fabricants de produits de construction (gros œuvre, second œuvre, équipements et systèmes) qui représentent sur le marché français un CA annuel de près de 45 milliards d Euros réalisé par près de entreprises employant personnes (source : MEEDDAT, BIPE). AIMCC : 3, rue Alfred Roll Paris tél : e mail : contact@aimcc.orgdélégué général : Patrick Ponthier 2

3 ANNEXES 3

4 Document 1: Extrait du rapport du JRC «Development of european Ecolabel and Green Public Procurement criteria for office buildings Economical and market analysis» JRC IPTS Draft Report June

5 5

6 DOCUMENT 2 : Extrait étude de la DGI SES (1999) Sur la base des impôts, la DGI SES a aussi réalisé une étude de l âge du parc qui donne une part encore plus importante pour les anciennes maisons. 6

7 7

8 Document 3 : Extrait du cadre de référence pour des mesures communes relatives à l évaluation environnementale des bâtiments 2010 Extrait de la page 15 (sur l équivalent fonctionnel) : 8

9 Document 4 : exemple d évaluation biaisée liée à la définition d une durée de vie conventionnelle trop courte Lors de l évaluation d un ouvrage, la durée de vie de référence d un produit ou équipement permet de calculer son des taux de renouvellement équipements ainsi que la durée d entretien et d exploitation du bâtiment. Dans l ensemble des normes du CEN TC350, il est considéré de façon conventionnelle et arbitraire que l ouvrage, objet de l évaluation, est systématiquement démoli ou déconstruit et ceci quel que soit la durée d étude choisi. Outre le fait que, comme déjà souligné, la grande majorité des ouvrages évalués ne sont pas détruits au terme de leur période d étude, la position du TC350 résulte d une mauvaise compréhension de la durée de vie d un ouvrage. Ainsi selon l EOTA (European Organisation for Technical Approval, 1999) la durée de vie d un ouvrage est la période pendant laquelle la performance de l ouvrage est maintenue au vu des exigences essentielles (résistance mécanique, stabilité, résistance au feu, niveau d isolation thermique, niveau de consommation énergétique ) Si la performance n est plus assurée et qu aucune rénovation/réhabilitation n est prévue dans le cycle de vie de l ouvrage celui n est pas pour autant systématiquement détruit. Pour exemple, les cas de conversion/ réhabilitation de bâtiment («Adaptative reuse») non traités dans les normes actuelles. Ceci ne serait sans conséquence si cela ne conduisait à biaiser l évaluation et à favoriser des solutions constructives peu durables au motif que leurs impacts (liés à leur production et transport) peuvent être amortis sur des périodes courtes ne nécessitant pas leur remplacement et correspondant à leur durée de vie moyenne. Un exemple est donné ci-dessous. En modifiant la période d évaluation du bâtiment, le choix de la solution constructive la moins impactante est inversé. Si RSP =100 ans, l énergie grise des éléments maçonnés est amortie sur 100 ans et non plus sur 50 ans, A contrario l énergie grise des éléments en bois (qui doivent être renouvelés une fois) est multipliée par deux. Tout aussi choquant, la future norme FprEN «Évaluation de la performance économique des bâtiments» refuse de prendre en compte la valeur résiduelle d un bâtiment considérant toujours qu il est systématiquement détruit au terme de la période d étude (même courte). Cette donnée est toutefois capitale pour l investisseur tout comme pour l acquéreur. 9

BULLETIN OFFICIEL DES IMPÔTS

BULLETIN OFFICIEL DES IMPÔTS BULLETIN OFFICIEL DES IMPÔTS DIRECTION GÉNÉRALE DES IMPÔTS 5 B-17-01 N 191 du 26 OCTOBRE 2001 5 F.P. / 69 INSTRUCTION DU 17 OCTOBRE 2001 IMPOT SUR LE REVENU. CREDIT D IMPOT POUR L ACQUISITION OU LA LOCATION

Plus en détail

ETUDE SUR LE PRIX DE MARCHE DE L IMMOBILIER D ENTREPRISE EN ZONES RURALES FRAGILES

ETUDE SUR LE PRIX DE MARCHE DE L IMMOBILIER D ENTREPRISE EN ZONES RURALES FRAGILES ETUDE SUR LE PRIX DE MARCHE DE L IMMOBILIER D ENTREPRISE EN ZONES RURALES FRAGILES SYNTHESE JUILLET 2004 DATAR - AATEC / ARGUYL - 2-29/07/04 OBJECTIF ET CONTEXTE L immobilier d entreprise est un enjeu

Plus en détail

ARCHITECTURE ET FONCTIONNEMENT DE LA NORMALISATION. Journée du 22-06-2005 sur la Normalisation dans les Transports Publics

ARCHITECTURE ET FONCTIONNEMENT DE LA NORMALISATION. Journée du 22-06-2005 sur la Normalisation dans les Transports Publics ARCHITECTURE ET FONCTIONNEMENT DE LA NORMALISATION Journée du 22-06-2005 sur la Normalisation dans les Transports Publics DEFINITION D UNE NORME UNE NORME EST UN DOCUMENT : *ETABLI PAR CONSENSUS ET APPROUVE

Plus en détail

La Garantie de Performance Energétique en rénovation

La Garantie de Performance Energétique en rénovation La Garantie de Performance Energétique en rénovation Lille, 5 juin 2012 Patrick BURGUET GPE Rénovation: Typologie des travaux concernés Tous travaux de rénovation de bâtiment situé en France Métropolitaine

Plus en détail

Présentation du programme de travail et méthode de travail

Présentation du programme de travail et méthode de travail Présentation du programme de travail et méthode de travail Pierre Nolay Alphéeis Rappel des objectifs Elaborer une méthodologie de Garantie de Performance Energétique De la caractérisation de l état initial

Plus en détail

Fiche explicative pour la saisie des équipements du génie climatique dans la RT2012

Fiche explicative pour la saisie des équipements du génie climatique dans la RT2012 Fiche explicative pour la saisie des équipements du génie climatique dans la RT2012 LES CHAUFFE-EAU THERMODYNAMIQUES I/ PRINCIPE GENERAL Un chauffe-eau thermodynamique (CET) est un générateur thermodynamique

Plus en détail

V- Conclusion: La relation Marché / Emploi / Formation Prévision à l horizon 2014

V- Conclusion: La relation Marché / Emploi / Formation Prévision à l horizon 2014 V- Conclusion: La relation Marché / Emploi / Formation A- Les marchés du Bâtiment à l horizon 2014 1. Scénario prospectif sur le territoire de la Les prévisions à horizon 2014 reposent sur plusieurs hypothèses

Plus en détail

Rapport de certification ANSSI-CSPN-2010/07. KeePass Version 2.10 Portable

Rapport de certification ANSSI-CSPN-2010/07. KeePass Version 2.10 Portable PREM IE R M IN IS T R E Secrétariat général de la défense et de la sécurité nationale Agence nationale de la sécurité des systèmes d information Rapport de certification ANSSI-CSPN-2010/07 KeePass Version

Plus en détail

Journée IHF Palavas les Flots. Vers un Hôpital plus Efficace et mieux intégré à la Ville de demain. Segment Santé France

Journée IHF Palavas les Flots. Vers un Hôpital plus Efficace et mieux intégré à la Ville de demain. Segment Santé France Journée IHF Palavas les Flots Vers un Hôpital plus Efficace et mieux intégré à la Ville de demain Segment Santé France Schneider Electric en bref Milliards d euros de CA en 2012 du CA réalisé dans les

Plus en détail

Guide du/de la candidat/e pour l élaboration du dossier ciblé

Guide du/de la candidat/e pour l élaboration du dossier ciblé Guide du/de la candidat/e pour l élaboration du dossier ciblé en vue de l obtention du titre de "Conseiller ère diplômé e en orientation professionnelle, universitaire et de carrière" par la validation

Plus en détail

Format de l avis d efficience

Format de l avis d efficience AVIS D EFFICIENCE Format de l avis d efficience Juillet 2013 Commission évaluation économique et de santé publique Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service documentation

Plus en détail

A-QU EST-CE QUE L ORIE? Intervention ADI

A-QU EST-CE QUE L ORIE? Intervention ADI A-QU EST-CE QUE L ORIE? 1 A-QU EST-CE QUE L ORIE? Observatoire Régional de l Immobilier d Entreprise en Ile-de-France créé en 1986 dans un contexte de tertiarisation de l économie ; Pour accompagner les

Plus en détail

Réaliser la fiche de lecture du document distribué en suivant les différentes étapes de la méthodologie (consulter le support du TD!

Réaliser la fiche de lecture du document distribué en suivant les différentes étapes de la méthodologie (consulter le support du TD! Réaliser la fiche de lecture du document distribué en suivant les différentes étapes de la méthodologie (consulter le support du TD!) 1. Réaliser la note sur l auteur (bien lire le document, utiliser Internet)

Plus en détail

Financement de la réhabilitation des logements

Financement de la réhabilitation des logements Financement de la réhabilitation des logements Quels instruments disponibles? La gamme des outils Aides directes de l Etat et des collectivités locales Subventions nationales et locales Défiscalisation

Plus en détail

viser une garantie de performance énergétique dans le neuf et l existant

viser une garantie de performance énergétique dans le neuf et l existant Une démarche en construction à la Ville de Nîmes : viser une garantie de performance énergétique dans le neuf et l existant Colloque 2014 de la Fondation Bâtiment Energie «Fiabilité et massification des

Plus en détail

Sommaire Préface...XV Introduction générale... XVII Introduction à la 2e édition... XXI Définir le tableau de bord...1

Sommaire Préface...XV Introduction générale... XVII Introduction à la 2e édition... XXI Définir le tableau de bord...1 Sommaire Préface...XV Introduction générale... XVII Introduction à la 2 e édition... XXI 1 Définir le tableau de bord...1 1 Quelle définition peut-on donner au vocable tableau de bord?...3 2 Quelle est

Plus en détail

BULLETIN OFFICIEL DES IMPÔTS

BULLETIN OFFICIEL DES IMPÔTS BULLETIN OFFICIEL DES IMPÔTS DIRECTION GÉNÉRALE DES IMPÔTS 4 H- 3-03 N 112 du 26 JUIN 2003 SOCIETES CIVILES DE PLACEMENT IMMOBILIER OBJET SOCIAL ASSOUPLISSEMENTS. ARTICLE 1 ER DU DECRET N 2003-74 DU 28

Plus en détail

FORMATION ECLAIRAGE PUBLIC

FORMATION ECLAIRAGE PUBLIC FORMATION ECLAIRAGE PUBLIC DIR Centre Est Mâcon 22/10/07 1 La norme éclairage NF EN 13 201 Avant : Recommandations AFE : référence pour la profession Février 2005: Application de la norme Éclairage NF

Plus en détail

Les frais d accès au réseau et de recours à la signature électronique sont à la charge de chaque candidat.

Les frais d accès au réseau et de recours à la signature électronique sont à la charge de chaque candidat. Les frais d accès au réseau et de recours à la signature électronique sont à la charge de chaque candidat. Tout document contenant un virus informatique fera l objet d un archivage de sécurité et sera

Plus en détail

Manuel d'installation de GESLAB Client Lourd

Manuel d'installation de GESLAB Client Lourd Manuel d'installation GESLAB Client Lourd Référence Date de la dernière mise à jour Rédigé par Objet GESLAB_MINS_TECH_Manuel d'installation GESLAB Client 15/04/2013 Steria Manuel d'installation de GESLAB

Plus en détail

Norme comptable internationale 33 Résultat par action

Norme comptable internationale 33 Résultat par action Norme comptable internationale 33 Résultat par action Objectif 1 L objectif de la présente norme est de prescrire les principes de détermination et de présentation du résultat par action de manière à améliorer

Plus en détail

P.L.U. Plan Local d'urbanisme PRESCRIPTION D'ISOLEMENT ACOUSTIQUE AU VOISINAGE DES INFRASTRUCTURES TERRESTRES DOCUMENT OPPOSABLE

P.L.U. Plan Local d'urbanisme PRESCRIPTION D'ISOLEMENT ACOUSTIQUE AU VOISINAGE DES INFRASTRUCTURES TERRESTRES DOCUMENT OPPOSABLE Commune du Département de l'oise P.L.U Plan Local d'urbanisme PRESCRIPTION D'ISOLEMENT ACOUSTIQUE AU VOISINAGE DES INFRASTRUCTURES TERRESTRES DOCUMENT OPPOSABLE Document Établi le 20 septembre 2013 Le

Plus en détail

Serveur Hôte : Serveur physique configuré et administré par GROUPE PULSEHEBERG.

Serveur Hôte : Serveur physique configuré et administré par GROUPE PULSEHEBERG. Conditions Générales de Vente et d Utilisation (CGV / CGU) Lexique Serveur Hôte : Serveur physique configuré et administré par GROUPE PULSEHEBERG. Hébergement mutualisé : Également appelé hébergement web,

Plus en détail

BULLETIN OFFICIEL DES IMPÔTS

BULLETIN OFFICIEL DES IMPÔTS BULLETIN OFFICIEL DES IMPÔTS DIRECTION GÉNÉRALE DES IMPÔTS 7 K-2-02 N 40 du 26 FEVRIER 2002 PRELEVEMENT DE 20 % SUR LES CONTRATS D ASSURANCE SUR LA VIE. CONTRATS EN UNITES DE COMPTE. ASSIETTE. METHODE

Plus en détail

Valoriser durablement votre patrimoine immobilier en optimisant sa performance énergétique.

Valoriser durablement votre patrimoine immobilier en optimisant sa performance énergétique. Valoriser durablement votre patrimoine immobilier en optimisant sa performance énergétique. L audit de performance énergé Gérer son patrimoine, c est anticiper, analyser et agir! L immobilier représente

Plus en détail

www.gam-ingenierie.fr

www.gam-ingenierie.fr CONCEPTION I RÉALISATION I COMMERCE GAM INGENIERIE SAS 211 rue de Picardie - BP 50604-45166 OLIVET CEDEX Tél : 02 38 69 38 55 Fax : 02 38 63 30 44 www.gam-ingenierie.fr www.gsegroup.com Sommaire 4>7 Une

Plus en détail

Infrastructures de recharge pour véhicules électriques

Infrastructures de recharge pour véhicules électriques Infrastructures de recharge pour véhicules électriques (irve) recueil pratique éditorial Ce recueil a été rédigé par les professionnels de la filière électrique, pour aider les installateurs à proposer

Plus en détail

BULLETIN OFFICIEL DES IMPÔTS

BULLETIN OFFICIEL DES IMPÔTS BULLETIN OFFICIEL DES IMPÔTS DIRECTION GÉNÉRALE DES IMPÔTS 4 C-4-03 N 84 du 9 MAI 2003 DISPOSITIONS DIVERSES (BIC, IS, DISPOSITIONS COMMUNES). FRAIS ET CHARGES. DEPENSES ENGAGEES LORS DE LA CREATION DE

Plus en détail

BULLETIN OFFICIEL DES IMPÔTS

BULLETIN OFFICIEL DES IMPÔTS BULLETIN OFFICIEL DES IMPÔTS DIRECTION GÉNÉRALE DES IMPÔTS 4 A-9-05 N 70 du 18 AVRIL 2005 DISPOSITIONS DIVERSES (BIC. IS. DISPOSITIONS COMMUNES). CRÉDIT D'IMPÔT (C.G.I., ART. 199 TER G, 220 I, 223 O ET

Plus en détail

La collecte et la gestion des données dans le cadre de la prospection d énergie solaire

La collecte et la gestion des données dans le cadre de la prospection d énergie solaire Conférence SIG 2012 - ESRIFRANCE La collecte et la gestion des données dans le cadre de la prospection d énergie solaire Serge MANG-JOUBERT GAIAGO Eric VIDALENC - ADEME 1 Auteurs : Rodrigo MARIONI, Serge

Plus en détail

REFERENTIEL POUR L ATTRIBUTION DE LA MENTION RGE :

REFERENTIEL POUR L ATTRIBUTION DE LA MENTION RGE : REFERENTIEL POUR L ATTRIBUTION DE LA MENTION RGE : RECONNU GARANT DE L ENVIRONNEMENT Date de mise en application : 20/02/2014 QUALIFELEC RE/0010 indice A 1 SOMMAIRE 1. DOMAINE D APPLICATION... 4 1.1 Objet...

Plus en détail

Contribution des industries créatives

Contribution des industries créatives RÉSUMÉ - Septembre 2014 Contribution des industries créatives à l économie de l UE en termes de PIB et d emploi Évolution 2008-2011 2 Contribution des industries créatives à l économie de l UE en termes

Plus en détail

COMMUNAUTE ECONOMIQUE ET MONETAIRE DE L AFRIQUE CENTRALE -------------------- LA COMMISSION -------------------

COMMUNAUTE ECONOMIQUE ET MONETAIRE DE L AFRIQUE CENTRALE -------------------- LA COMMISSION ------------------- COMMUNAUTE ECONOMIQUE ET MONETAIRE DE L AFRIQUE CENTRALE -------------------- LA COMMISSION ------------------- DOSSIER TYPE A FOURNIR PAR LES INDUSTRIELS ET A PRESENTER PAR LES ETATS MEMBRES DE LA CEMAC

Plus en détail

Charte d utilisation de la marque de certification NF pour les bâtiments non résidentiels*

Charte d utilisation de la marque de certification NF pour les bâtiments non résidentiels* Charte d utilisation de la marque de certification NF pour les bâtiments non résidentiels* Comment communiquer sur la marque NF? Dès lors que vous bénéficiez d un certificat ou d une attestation, vous

Plus en détail

Cadeaux d affaires, cadeaux d entreprises, objets publicitaires www.france-cadeaux.fr - services@france-cadeaux.fr

Cadeaux d affaires, cadeaux d entreprises, objets publicitaires www.france-cadeaux.fr - services@france-cadeaux.fr Siège France Cadeaux 84 rue de Courbiac 17100 Sainte 00 33 (0)5 46 74 66 00 RC.424 290 211 00012 Cadeaux d affaire, cadeaux d entreprie, objet publicitaire www.france-cadeaux.fr - ervice@france-cadeaux.fr

Plus en détail

CHAPITRE V SELECTION DES CONSULTANTS ET D AUTRES PRESTATAIRES DE SERVICES

CHAPITRE V SELECTION DES CONSULTANTS ET D AUTRES PRESTATAIRES DE SERVICES CHAPITRE V SELECTION DES CONSULTANTS ET D AUTRES PRESTATAIRES DE SERVICES Méthode de sélection: les dispositions qui suivent s appliquent lorsqu elles ne sont pas contraires à celles préconisées dans les

Plus en détail

La valeur présente (ou actuelle) d une annuité, si elle est constante, est donc aussi calculable par cette fonction : VA = A [(1-1/(1+k) T )/k]

La valeur présente (ou actuelle) d une annuité, si elle est constante, est donc aussi calculable par cette fonction : VA = A [(1-1/(1+k) T )/k] Evaluation de la rentabilité d un projet d investissement La décision d investir dans un quelconque projet se base principalement sur l évaluation de son intérêt économique et par conséquent, du calcul

Plus en détail

Règlement de la consultation

Règlement de la consultation Communauté de communes du Pays de Saint-Aubin-du-Cormier 3 rue de la Libération, BP11, 35140 Saint-Aubin-du-Cormier Tel : 02.99.39.22.94 Fax : 02.99.45.18.03 Marché public de prestation de services Règlement

Plus en détail

Saisie des chauffe-eau thermodynamiques à compression électrique

Saisie des chauffe-eau thermodynamiques à compression électrique Fiche d application : Saisie des chauffe-eau thermodynamiques à compression électrique Date Modification Version 01 décembre 2013 Précisions sur les CET grand volume et sur les CET sur air extrait 2.0

Plus en détail

NOTICE TELESERVICES : Payer un impôt et gérer les contrat de paiement des impôts professionnels

NOTICE TELESERVICES : Payer un impôt et gérer les contrat de paiement des impôts professionnels NOTICE TELESERVICES : Payer un impôt et gérer les contrat de paiement des impôts professionnels Sommaire Sommaire... 1 Objet de la notice... 2 A qui s adresse cette notice?... 2 Pré-requis... 2 Notion

Plus en détail

Etude de faisabilité

Etude de faisabilité Etude de faisabilité Modèle de cahier des charges pour chaufferie dédiée Ce modèle de cahier des charges d étude de faisabilité a été réalisé dans le cadre de la Mission Régionale Bois-Energie Il est un

Plus en détail

make life easier Lease Bike 105, rue de l Abbé Groult 75015 Paris info@leasebike.fr

make life easier Lease Bike 105, rue de l Abbé Groult 75015 Paris info@leasebike.fr et longue durée avec Présentation La location longue durée de véhicules a conquis sa légitimité dans le monde de l entreprise car elle répond à des besoins évolutifs en matière de comportement et de gestion.

Plus en détail

Comparaison des enjeux énergétiques de la France et de l Allemagne

Comparaison des enjeux énergétiques de la France et de l Allemagne Comparaison des enjeux énergétiques de la France et de l Allemagne Dans la perspective de la première conférence franco-allemande sur l énergie qui se tiendra le 2 juillet prochain à Paris 1, il paraît

Plus en détail

Livret 10. Mise à jour février 2008. Département Tertiaire

Livret 10. Mise à jour février 2008. Département Tertiaire Élaborer mon étude financière Livret 10 Calculer mon seuil de rentabilité Mise à jour février 2008 Département Tertiaire Avertissement au lecteur Le présent fascicule fait l'objet d'une protection relative

Plus en détail

CONSULTATION PUBLIQUE SUR LA CREATION D UN REGISTRE NATIONAL DES CREDITS AUX PARTICULIERS

CONSULTATION PUBLIQUE SUR LA CREATION D UN REGISTRE NATIONAL DES CREDITS AUX PARTICULIERS CONSULTATION PUBLIQUE SUR LA CREATION D UN REGISTRE NATIONAL DES CREDITS AUX PARTICULIERS Consultation publique : veuillez adresser vos réponses avant le 27 février 2013 à l adresse électronique hcp@dgtresor.gouv.fr.

Plus en détail

Guide d établissement des budgets des propositions soumises aux appels à projets de

Guide d établissement des budgets des propositions soumises aux appels à projets de Guide d établissement des budgets des propositions soumises aux appels à projets de l ANR 1. INTRODUCTION...3 2. PRINCIPES GENERAUX...4 2.1. Assiette et taux de l aide... 4 2.2. TVA... 5 2.3. Règles spécifiques

Plus en détail

Contenu attendu des guides nationaux de bonnes pratiques d hygiène GBPH

Contenu attendu des guides nationaux de bonnes pratiques d hygiène GBPH Contenu attendu des guides nationaux de bonnes pratiques d hygiène GBPH Note d information à l usage des professionnels En complément de cette note, des informations relatives au contenu des GBPH sont

Plus en détail

GUIDE PRATIQUE. Du provisionnement des emprunts à risques

GUIDE PRATIQUE. Du provisionnement des emprunts à risques Ministère de l Égalité des territoires et du Logement Ministère de l Économie et des Finances GUIDE PRATIQUE Du provisionnement des emprunts à risques Application aux Offices Publics de l Habitat à comptabilité

Plus en détail

La mise en œuvre BBC. Formation pour entreprises IBSE

La mise en œuvre BBC. Formation pour entreprises IBSE La mise en œuvre BBC Formation pour entreprises IBSE 2 Les labels Maison bioclimatique Maison conçue pour bénéficier de tous les avantages du climat et du terrain ainsi que de la végétation environnante.

Plus en détail

Epargne, Retraite, Prévoyance et Santé

Epargne, Retraite, Prévoyance et Santé L offre FOBA Des outils d aide à la vente Budget Retraite Augmenter la vente des différentes solutions retraite ANI Générer des rendez-vous qualifiés et réduire le délai de décision pour la souscription

Plus en détail

Incitations à l acquisition de véhicules neufs moins polluants en 2014

Incitations à l acquisition de véhicules neufs moins polluants en 2014 Incitations à l acquisition de véhicules neufs moins polluants Incitations à l acquisition de véhicules neufs moins polluants en 2014 2014 PREAMBULE Afin d inciter les particuliers, les entreprises et

Plus en détail

DE RENOVATION? GUIDE DES AIDES FINANCIÈRES 2015 VOUS AVEZ UN PROJET. Confort amélioré Economies d'énergie Patrimoine valorisé

DE RENOVATION? GUIDE DES AIDES FINANCIÈRES 2015 VOUS AVEZ UN PROJET. Confort amélioré Economies d'énergie Patrimoine valorisé VOUS AVEZ UN PROJET DE RENOVATION? GUIDE DES AIDES FINANCIÈRES 2015 EDITION 2015 avec la mention RGE et le CITE Confort amélioré Economies d'énergie Patrimoine valorisé SOMMAIRE ECO PTZ P.2 CREDIT D IMPÔT

Plus en détail

3.5 INTERROGATION DES COMPTES

3.5 INTERROGATION DES COMPTES 3.5 INTERROGATION DES COMPTES Interrogation et lettrage pour les comptes généraux Interrogation tiers pour les clients et fournisseurs. Sur ces deux menus, possibilité de lettrer automatiquement ou manuellement

Plus en détail

Prescriptions Techniques

Prescriptions Techniques Prescriptions Techniques Application du décret n 2004-555 du 15 juin 2004 relatif aux prescriptions techniques applicables aux Canalisations et Raccordements des installations de transport, de distribution

Plus en détail

En date du 11 décembre 2008

En date du 11 décembre 2008 R E F O N T E S I T E W E B G F I E CAHIER DES CHARGES ET DEVIS En date du 11 décembre 2008 ADITEL - WEB AGENCY 4 RUE CAROLINE 75017 PARIS Tel 01 44 70 02 77 SARL AU CAPITAL DE 20 000 EUROS R.C.S BOBIGNY

Plus en détail

Norme internationale d information financière 1 Première application des Normes internationales d information financière

Norme internationale d information financière 1 Première application des Normes internationales d information financière IFRS 1 Norme internationale d information financière 1 Première application des Normes internationales d information financière Objectif 1 L objectif de la présente Norme est d assurer que les premiers

Plus en détail

L Indice Environnemental

L Indice Environnemental L Indice Environnemental Historique et position face à l hypothèse de Porter Corinne MERCADIE Responsable Environnement & Emballages 1ere expérience de collecte et de mesure environnementale 2008 à 2010

Plus en détail

SBA Smart Buildings Alliance for Smart Cities

SBA Smart Buildings Alliance for Smart Cities SBA Smart Buildings Alliance for Smart Cities Rencontre autour du manifeste Emmanuel FRANCOIS Président de l association SBA Serge LE MEN Vice Président de l association SBA Les nouveaux acteurs, les nouveaux

Plus en détail

20 règles pour un site (1)

20 règles pour un site (1) Conseils, outils et services de l AWT Séminaires «Webmarketing et exportations Utiliser Internet pour vendre àl étranger» Mont Saint Guibert Mons Seraing du 7 au 9 / 12 /2010 20 règles pour un site (1)

Plus en détail

DPGF - LOT 3 - CVC / PLOMBERIE

DPGF - LOT 3 - CVC / PLOMBERIE 4, rue Dolorès Ibarruri DPGF - LOT 3 - CVC / PLOMBERIE L entreprise a la responsabilité de prévoir les bonnes quantités de fourniture pour la réalisation des travaux : - faire les métrés et renseigner

Plus en détail

BULLETIN OFFICIEL DES IMPÔTS

BULLETIN OFFICIEL DES IMPÔTS BULLETIN OFFICIEL DES IMPÔTS DIRECTION GÉNÉRALE DES IMPÔTS 7 G-3-04 N 124 du 4 AOÛT 2004 MUTATIONS A TITRE GRATUIT. SUCCESSIONS. EVALUATION DES BIENS. PRINCIPE. OBLIGATIONS DES REDEVABLES. DELAIS POUR

Plus en détail

INTRODUCTION. Master Management des Ressources Humaines de l IAE de Toulouse Page 1

INTRODUCTION. Master Management des Ressources Humaines de l IAE de Toulouse Page 1 LES FICHES OUTILS RESSOURCES HUMAINES L évaluation 360 Feed-back INTRODUCTION Aujourd hui les ressources humaines sont considérées par les entreprises comme un capital. La notion de «capital humain» illustre

Plus en détail

Etude sur les cadres règlementaires et leur efficacité à encourager les entreprises à améliorer leur efficacité énergétique et sur les mesures

Etude sur les cadres règlementaires et leur efficacité à encourager les entreprises à améliorer leur efficacité énergétique et sur les mesures Etude sur les cadres règlementaires et leur efficacité à encourager les entreprises à améliorer leur efficacité énergétique et sur les mesures complémentaires nécessaires Synthèse Avril 2015 Pourquoi

Plus en détail

ACCRÉDITATION DES CENTRES PRIVÉS ET DES PROGRAMMES DE FORMATION PROFESSIONNELLE EN HAÏTI. Formulaire de demande d une autorisation de fonctionnement

ACCRÉDITATION DES CENTRES PRIVÉS ET DES PROGRAMMES DE FORMATION PROFESSIONNELLE EN HAÏTI. Formulaire de demande d une autorisation de fonctionnement ACCRÉDITATION DES CENTRES PRIVÉS ET DES PROGRAMMES DE FORMATION PROFESSIONNELLE EN HAÏTI Formulaire de demande d une autorisation de fonctionnement Juin 2011 Projet d accompagnement de l INFP dans la révision,

Plus en détail

Conception et construction des ouvrages gaz. Club de la Performance Immobilière

Conception et construction des ouvrages gaz. Club de la Performance Immobilière Conception et construction des ouvrages gaz Club de la Performance Immobilière Novembre 2014 RT2012 et arrêté 2 Aout 77 Arrêté du 26 octobre 2010 relatif aux caractéristiques thermiques et aux exigences

Plus en détail

Le financement de la réhabilitation thermique des bâtiments

Le financement de la réhabilitation thermique des bâtiments Le financement de la réhabilitation thermique des bâtiments Sommaire Problématique globale du financement vert Ressources financières Outils de financement Outils de garantie Structures de portage Valeur

Plus en détail

Manuel d utilisation de la messagerie. http://zimbra.enpc.fr

Manuel d utilisation de la messagerie. http://zimbra.enpc.fr Manuel d utilisation de la messagerie http://zimbra.enpc.fr ÉCOLE DES PONTS PARISTECH/ DSI JANVIER 04 SOMMAIRE. Connexion à la messagerie.... Présentation générale de l écran d accueil.... Déconnexion...

Plus en détail

REGLEMENT SECURITE INCENDIE ERP. DISPOSITIONS ARCHITECTURALES LES DEGAGEMENTS : couloirs,escaliers,sorties,portes

REGLEMENT SECURITE INCENDIE ERP. DISPOSITIONS ARCHITECTURALES LES DEGAGEMENTS : couloirs,escaliers,sorties,portes REGLEMENT SECURITE INCENDIE ERP DISPOSITIONS ARCHITECTURALES LES DEGAGEMENTS : couloirs,escaliers,sorties,portes REG 4-21 Vous trouverez l'ensemble des textes et réglementation ici : http://www.sitesecurite.com/portail/

Plus en détail

Avis n 94-02 sur la méthodologie relative aux comptes combinés METHODOLOGIE RELATIVE AUX COMPTES COMBINES

Avis n 94-02 sur la méthodologie relative aux comptes combinés METHODOLOGIE RELATIVE AUX COMPTES COMBINES CONSEIL NATIONAL DE LA COMPTABILITÉ Avis n 94-02 sur la méthodologie relative aux comptes combinés Le Conseil national de la comptabilité réuni en formation de Section des entreprises le 28 octobre 1994,

Plus en détail

Les documents primaires / Les documents secondaires

Les documents primaires / Les documents secondaires Les documents primaires / Les documents secondaires L information est la «matière première». Il existe plusieurs catégories pour décrire les canaux d information (les documents) : - Les documents primaires

Plus en détail

Projet de loi RSA et politiques d insertion Observations et propositions d amendements de l Uniopss

Projet de loi RSA et politiques d insertion Observations et propositions d amendements de l Uniopss Projet de loi RSA et politiques d insertion Observations et propositions d amendements de l Uniopss Modalités d attribution des droits connexes au RSA Instaurer une automaticité de fait et non de droit

Plus en détail

L énergie nucléaire au sein du mix énergétique belge

L énergie nucléaire au sein du mix énergétique belge L énergie nucléaire au sein du mix énergétique belge 1. Sécurité d approvisionnement Le taux de dépendance énergétique de la Belgique est plus important que la moyenne européenne. Ainsi en 2011, le taux

Plus en détail

1. Les comptes de dépôt et d épargne

1. Les comptes de dépôt et d épargne 1. Les comptes de dépôt et d épargne 1.1 Les comptes de dépôt 1.1.1 Le taux de possession d un compte de dépôt Le premier constat est celui d un accès important aux comptes de dépôt, quelle que soit la

Plus en détail

LES IMPACTS SUR VOTRE SYSTEME DE FACTURATION DE LA SIGNATURE ELECTRONIQUE COMME OUTIL DE SECURISATION DE VOS ECHANGES DEMATERIALISES

LES IMPACTS SUR VOTRE SYSTEME DE FACTURATION DE LA SIGNATURE ELECTRONIQUE COMME OUTIL DE SECURISATION DE VOS ECHANGES DEMATERIALISES Dématérialisation des factures au service du cash management LES IMPACTS SUR VOTRE SYSTEME DE FACTURATION DE LA SIGNATURE ELECTRONIQUE COMME OUTIL DE SECURISATION DE VOS ECHANGES DEMATERIALISES Conférence

Plus en détail

Manuel de SQUIRRELMAIL à l'usage des étudiants.

Manuel de SQUIRRELMAIL à l'usage des étudiants. Manuel de SQUIRRELMAIL à l'usage des étudiants. SQUIRRELMAIL 1 est une interface Web (Webmail) utilisée pour traiter le courrier électronique à travers le réseau Internet. Un avantage d'une telle méthode

Plus en détail

Bureau&Commerce, Epinay (93), SCI Mimosa. Bureau/Centre de tri/commerce La Poste, Cergy (95), POSTE IMMO

Bureau&Commerce, Epinay (93), SCI Mimosa. Bureau/Centre de tri/commerce La Poste, Cergy (95), POSTE IMMO MO BureaUx P.1... P.2... P.3... P.4... P.5... Bureau, Paris (75), PCHVT Bureau&Commerce, Epinay (93), SCI Mimosa Bureau/Centre de tri/commerce La Poste, Cergy (95), POSTE IMMO Bureau à Energie Positive,

Plus en détail

LE CHAMP D APPLICATION

LE CHAMP D APPLICATION LES TEXTES Loi n 2001-420 du 15 mai 2001 relative aux nouvelles régulations économiques (art. 54 et 55) Décret n 2002-231 du 21 février 2002 modifiant le décret du 7 mars 2001 portant code des marchés

Plus en détail

1 Première section: La construction générale

1 Première section: La construction générale AMALGAMATIONS DE CLASSES DE SOUS-GROUPES D UN GROUPE ABÉLIEN. SOUS-GROUPES ESSENTIEL-PURS. Călugăreanu Grigore comunicare prezentată la Conferinţa de grupuri abeliene şi module de la Padova, iunie 1994

Plus en détail

CONTRAT DE MAINTENANCE INTERcom

CONTRAT DE MAINTENANCE INTERcom CONTRAT DE MAINTENANCE INTERcom Pour un crédit de.points. ENTRE LES SOUSSIGNES SERVICES soft Eurl Dont le Siège social est : 1 er Groupe, Bt B Place du 1 er Mai Alger Ci après dénommer «LE PRESTATAIRE»

Plus en détail

BULLETIN OFFICIEL DES IMPÔTS

BULLETIN OFFICIEL DES IMPÔTS BULLETIN OFFICIEL DES IMPÔTS N 16 DU 4 FEVRIER 2010 DIRECTION GÉNÉRALE DES FINANCES PUBLIQUES 5 B-11-10 INSTRUCTION DU 15 JANVIER 2010 IMPOT SUR LE REVENU. PLAFOND DE RESSOURCES DU LOCATAIRE POUR LE BENEFICE

Plus en détail

DISPOSITIF RÉGIONAL ET DEPARTEMENTAL EN FAVEUR DES PÉPINIÈRES D ENTREPRISES

DISPOSITIF RÉGIONAL ET DEPARTEMENTAL EN FAVEUR DES PÉPINIÈRES D ENTREPRISES CAHIER DES CHARGES DISPOSITIF RÉGIONAL ET DEPARTEMENTAL EN FAVEUR DES PÉPINIÈRES D ENTREPRISES Rappel du cadre général d intervention des 3 collectivités : Dans le prolongement du Schéma Régional de Développement

Plus en détail

Analyse des coûts. 1 ère année DUT GEA, 2005/2006 Analyse des coûts

Analyse des coûts. 1 ère année DUT GEA, 2005/2006 Analyse des coûts Analyse des coûts Les techniques de calcul et d analyse des coûts portent le nom de comptabilité analytique ou comptabilité de gestion. Ces deux termes seront utilisés indifféremment dans ce cours. Contrairement

Plus en détail

Solutions informatiques (SI) Semestre 1

Solutions informatiques (SI) Semestre 1 Solutions informatiques (SI) Cette unité vise l acquisition de compétences générales à partir desquelles sont construites les compétences propres aux parcours de spécialisation. Elle comprend, d une part,

Plus en détail

UNIVERSITE DE TOULON UFR FACULTE DE DROIT REGLEMENT D EXAMEN ANNEE 2012/2017 LICENCE DROIT MENTION DROIT GENERAL

UNIVERSITE DE TOULON UFR FACULTE DE DROIT REGLEMENT D EXAMEN ANNEE 2012/2017 LICENCE DROIT MENTION DROIT GENERAL UNIVERSITE DE TOULON UFR FACULTE DE DROIT REGLEMENT D EXAMEN ANNEE 01/017 LICENCE DROIT MENTION DROIT GENERAL Les présentes règles s inscrivent dans le cadre réglementaire national défini par les tetes

Plus en détail

Maintenance/évolution d'un système d'information

Maintenance/évolution d'un système d'information Centre national de la recherche scientifique Direction des systèmes d'information REFERENTIEL QUALITE Procédure Qualité Maintenance/évolution d'un système d'information Référence : CNRS/DSI/conduite-projet/maintenance-evolution/presentation/proc-maintenance

Plus en détail

Nue propriété et cession d usufruit

Nue propriété et cession d usufruit Nue propriété et cession d usufruit L usufruit et la nue propriété Un bien mobilier ou immobilier est généralement détenu en pleine propriété. Lorsque le bien procure des revenus, ce droit de propriété

Plus en détail

afférent au projet de décret relatif aux obligations indexées sur le niveau général des prix

afférent au projet de décret relatif aux obligations indexées sur le niveau général des prix CONSEIL NATIONAL DE LA COMPTABILITÉ Note de présentation - Avis N 2002-11 du 22 octobre 2002 afférent au projet de décret relatif aux obligations indexées sur le niveau général des prix Sommaire I - Rappels

Plus en détail

Loi de Finance 2010: Nouveautés en Fiscalité Automobile

Loi de Finance 2010: Nouveautés en Fiscalité Automobile Loi de Finance 2010: Nouveautés en Fiscalité Automobile Introduction Présentation des évolution de la loi de finance 2010 impactant la location longue durée: Suppression de la taxe professionnelle (art.

Plus en détail

Sur la stratégie immobilière de la chambre de commerce et d industrie territoriale de Seine-et- Marne (CCITSM).

Sur la stratégie immobilière de la chambre de commerce et d industrie territoriale de Seine-et- Marne (CCITSM). 2014-09 Séance du 12 février 2014 AVIS Sur la stratégie immobilière de la chambre de commerce et d industrie territoriale de Seine-et- Marne (CCITSM). Vu le décret n 2011-1388 du 28 octobre 2011 modifiant

Plus en détail

Formation Bâtiment Durable : Suivi et monitoring des bâtiments durables

Formation Bâtiment Durable : Suivi et monitoring des bâtiments durables Formation Bâtiment Durable : Suivi et monitoring des bâtiments durables Bruxelles Environnement INTRODUCTION : FACTEURS DETERMINANTS POUR LA GESTION DES BATIMENTS DURABLES Thomas DEVILLE Cenergie cvba

Plus en détail

L immobilier en centre ville

L immobilier en centre ville La note d information de la SCPI URBAN PATRIMOINE 2 a reçu le visa de l AMF n 11-37 en date du 18/10/2011 ; elle peut être obtenue gratuitement auprès de la Société de Gestion par demande adressée à :

Plus en détail

L immobilier en centre ville

L immobilier en centre ville SCPI «Scellier BBC Intermédiaire*» L immobilier en centre ville Mise à jour - 31 janvier 2012 *Le dispositif fiscal «Scellier BBC Intermédiaire» offre au souscripteur une réduction d impôt en contrepartie

Plus en détail

La délégation de pouvoirs

La délégation de pouvoirs La délégation de pouvoirs DELEGATIONS DE POUVOIR Secteur Pharmaceutique Paris, 27 septembre 2006 Introduction: définition, contexte et rappel des principes généraux Délégation de pouvoirs et notions voisines

Plus en détail

Gé nié Logiciél Livré Blanc

Gé nié Logiciél Livré Blanc Gé nié Logiciél Livré Blanc Version 0.2 26 Octobre 2011 Xavier Blanc Xavier.Blanc@labri.fr Partie I : Les Bases Sans donner des définitions trop rigoureuses, il faut bien commencer ce livre par énoncer

Plus en détail

Etude relative aux rapports des présidents sur les procédures de contrôle interne et de gestion des risques pour l exercice 2011

Etude relative aux rapports des présidents sur les procédures de contrôle interne et de gestion des risques pour l exercice 2011 Etude relative aux rapports des présidents sur les procédures de contrôle interne et de gestion des risques pour l exercice 2011 SOMMAIRE Synthèse et Conclusion... 1 Introduction... 4 1. La description

Plus en détail

AU SOMMAIRE DU DOSSIER DE PRESSE

AU SOMMAIRE DU DOSSIER DE PRESSE DOSSIER DE PRESSE Collectif RGE pas comme ça! Lundi 1 er décembre 2014, le Collectif «RGE Pas comme ça!» a demandé au juge des référés auprès du Conseil d État de prononcer la suspension de la mise en

Plus en détail

Produits hypothécaires

Produits hypothécaires Produits hypothécaires A chaque besoin sa solution www.cmvsa.ch Vous et nous parlons le même langage Vos intérêts et objectifs sont au centre de nos préoccupations. Aussi nous voulons être proches de vous.

Plus en détail

BANQUE POPULAIRE GESTION PRIVÉE SCPI SCELLIER BBC FRUCTIRESIDENCE BBC. BANQUE & ASSURANCE www.banquepopulaire.fr

BANQUE POPULAIRE GESTION PRIVÉE SCPI SCELLIER BBC FRUCTIRESIDENCE BBC. BANQUE & ASSURANCE www.banquepopulaire.fr BANQUE POPULAIRE GESTION PRIVÉE SCPI SCELLIER BBC FRUCTIRESIDENCE BBC BANQUE & ASSURANCE www.banquepopulaire.fr Avertissement - Facteurs de risques Lorsque vous investissez dans une SCPI de type «Scellier

Plus en détail

Argumentaires Contre

Argumentaires Contre Parlamentsdienste Services du Parlement Servizi 13.095 del Parlamento Servetschs dal parlament Argumentaires Contre Remplacer la taxe sur la valeur ajoutée par une taxe sur l énergie. Initiative populaire

Plus en détail

REGLEMENT DE CONSULTATION LOCATION ET MAINTENANCE D UNE MACHINE A AFFRANCHIR ET D UNE MACHINE A METTRE SOUS PLI POUR LE SERVICE DU COURRIER

REGLEMENT DE CONSULTATION LOCATION ET MAINTENANCE D UNE MACHINE A AFFRANCHIR ET D UNE MACHINE A METTRE SOUS PLI POUR LE SERVICE DU COURRIER MARCHES PUBLICS DE FOURNITURES COURANTES ET SERVICES VILLE DE CENON 1 Avenue CARNOT 33151 CENON CEDEX REGLEMENT DE CONSULTATION LOCATION ET MAINTENANCE D UNE MACHINE A AFFRANCHIR ET D UNE MACHINE A METTRE

Plus en détail