ETUDE CLINICO-SEROLOGIQUE DE LA MALADIE DE LYME EN ALGERIE ( ) RESUME
|
|
- Violette François
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Archives de l Institut Pasteur d Algérie Tome ETUDE CLINICO-SEROLOGIQUE DE LA MALADIE DE LYME EN ALGERIE ( ) A. ALEM* *, N. HADJI*. RESUME 133 sujets ont été dépistés pour la maladie de Lyme à Alger entre 1996 et d'entre eux ont été trouvés positifs. La demande de cet examen est de plus en plus fréquente mais reste faible en regard de l'incidence présumé de la maladie. Les manifestations cliniques les plus fréquentes sont constituées par les signes articulaires et neuro-méningés. Le diagnostic de maladie de Lyme doit être plus souvent évoqué et l'étiologie plus souvent recherchée. Ce faible nombre de cas (et de demande d'analyse) ne reflète nullement la réalité, un nombre plus élevé de cas est plutôt à craindre en raison de l'invasion, constatée dans les pays occidentaux, du vecteur ixodes et de sa présence en Tunisie. De la sorte ces résultats confirment la présence de la borreliose de Lyme en Algérie à l'instar de notre pays voisin. Mots clés : maladie de lyme, Algérie, Borrelia burgdorferi. * Institut Pasteur d Algérie Laboratoire de Sérologie Virale, Rickettsiales et Chlamydiales. 49
2 CLINICAL AND SEROLOGICAL SURVEY OF THE LYME DISEASE IN ALGERIA ( ) Summary 133 patients have been depicted for Lyme disease in Algiers between 1996 and among them have been found positive. The demand of this exam is more and more frequent but weak low in regard of the incidence presumed of the illness. The most frequent clinical manifestations are constituted by the articulator and meningo-neural signs. The diagnosis of Lyme disease must be evoked more frequently and the aetiology more often mannered. This weak number of case (and of analysis demand) reflects the reality not at all, a more elevated number of case is to fear by reason of the invasion, noted in the western countries, of the vector ixodes and its presence in Tunisia, rather. Of the way these results confirm the presence of Lyme borreliosis, in Algeria like our neighbour country. Keys words : Lyme disease, Algeria, Borrelia burgdorferi. 50
3 Archives de l Institut Pasteur d Algérie Tome INTRODUCTION La maladie de Lyme, due à un spirochète, Borrelia burgdorferi est transmise par une tique du genre Ixodes. Le réservoir du germe est constitué par de nombreuses espèces animales ; rongeurs, oiseaux, lézards L observation de nombreux cas d arthrites dans la ville de Lyme (district de Connecticut - U.S.A.) a abouti à la découverte de l agent de la maladie par W. Burgdorfer en 1982 [1]. B. burgdorferi fut considérée comme espèce unique. Par la suite, en regard de l hétérogénéité des souches isolées et en accord avec les règles de la taxonomie bactérienne basée sur les critères moléculaires, B. burgdorferi est devenu le complexe B. burgdorferi sensu lato. Ce complexe est actuellement divisé en plus de dix espèces, dont les quatre principales pathogènes pour l homme sont B. burgdorferi sensu stricto, B. garinii, B. afzeli et B. valaisiana [2, 3]. La maladie de Lyme se subdivise maintenant en formes cliniques : L érythème migrant est la lésion d inoculation. Elle est pathognomonique de la maladie. Les formes compliquées ne surviennent qu après plusieurs semaines jusqu à plusieurs années suivant la morsure de tique. Les formes compliquées précoces : Les neuroborrélioses se présentent sous forme de méningo-radiculites ou de radiculonévrites périphériques ; d atteinte de nerfs crâniens, la paralysie faciale est particulièrement fréquente. Les Atteintes cardiaques et le lymphocytome cutané bénin sont des manifestations rares. Les formes compliquées tardives : Manifestation articulaire ; ce sont des mono ou des oligo-arthrites touchant électivement les grosses articulations et en particulier le genou. L acrodermatite chronique atrophiante ou syndrome de Pick-Herxheimer est une manifestation très tardive (plusieurs années après la contamination). Le diagnostic clinique de la maladie est facile au stade d érythème migrant, il devient plus difficile aux cours des stades tardifs de la maladie. Il nécessite l'apport du laboratoire. 51
4 L isolement du germe est difficile à partir des produits pathologiques en raison des exigences de la bactérie et surtout de la très faible densité bactérienne dans les tissus. Les techniques de diagnostic par amplification génique réservées aux laboratoires de recherches sont en développement au sein de notre laboratoire. Le diagnostic reste actuellement basé sur la sérologie. Elle manque toutefois de sensibilité aux stades précoces et sa spécificité reste modérée dans les formes plus tardives mais elle demeure le test biologique le plus utile au diagnostic. Un des objectifs concernant cet article est de faire connaître aux cliniciens que ce test est disponible au niveau de notre laboratoire. L incidence de la maladie est dans les pays occidentaux en nette augmentation. Elle varie en Europe de 0,3 (Royaume Unis) à 130 (Autriche) pour habitants [4]. En Algérie La même évolution dans l incidence de la maladie devra être observée. La demande d examen provenant des confrères cliniciens doit être en augmentation. Cette analyse doit être pratiquée comme test de dépistage chez tous les patients qui présentent un des signes évocateurs de la maladie de Lyme (érythème, fièvre isolée ou au long cours, méningite lymphocytaire, radiculonévrites paralysie faciale -, certaines atteintes cardiaques ou cutanées ). De même les fiches de renseignements provenant des médecins traitants doivent être mieux élaborées et remplies. II- MATÉRIEL ET MÉTHODE Cette étude a porté sur 133 sujets tous hospitalisés de 1996 à 1999 au niveau des hôpitaux d Alger spécialisés en maladies infectieuses ou en neurologie. Ils présentent tous un ou plusieurs signes cliniques évocateurs de la maladie de Lyme. Leurs sérums sont adressés au Laboratoire de Sérologie Virale, Rickettsiales et Chlamydiales - Institut Pasteur d Algérie, pour effectuer un sérodiagnostic de la maladie de Lyme. Cette sérologie est réalisée par la technique ELISA (trousse Sanofi - Pasteur ; Platelia Borreliosis). Elle détecte les IgM et les IgG. Trois contrôles positifs et deux contrôles négatifs sont utilisés pour le calcul (effectué après chaque manipulation) du seuil de positivité. Tous les sérums trouvés positifs en borreliose sont testés vis à vis du tréponème en TPHA (treponema pallidum hemagglutination assay) et en VDRL (veneral disease research laboratory). 52
5 Archives de l Institut Pasteur d Algérie Tome III- RESULTATS L ensemble des sérologies ont été réalisées en quatre ans (de 1996 à 1999) (14%) Fig 1 : Répartition des cas positifs selon l'age 7(33%) 7(33%) 4(19%) < 15 ans >15 ans < 30 ans >30 sans renseignements L introduction de ce test dans notre laboratoire a eu lieu en Depuis la demande de cet examen augmente rapidement (3 en 1996, 18 en 1997, 20 en 1998 et 92 en 1999). Sur les 133 sérums testés 21 sont trouvés positifs (15,8%) et trois douteux (2,2%), Les 109 (82%) restants sont négatifs. Parmi les positifs, 7 (33,3%) sont du sexe féminin et 14 (66.7%) de sexe masculin. La répartition selon l âge chez les sujets trouvés positifs a montré (fig.1) que 3 Fig. 2 : Répartition des cas selon les signes cliniques d entre eux ont moins évocateurs de la maladie de 15 ans (14%), 7 (33%) sont des jeunes Sans renseignements Fièvre isolée cliniques 56 % adultes de moins de 1% 30 ans et 7 (33%) ont plus de 30 ans. Nous Autres signes cliniques 4% Arthites et arthralgies 7% Autres signes neurologique 29 % Paralysie faciale 3 % n avons pas de renseignements sur l âge des 4 restants (19%). 53
6 Concernant les signes cliniques évocateurs de la maladie de Lyme ayant conduit à la demande d'examen et selon les fiches de renseignements accompagnant les prélèvements, nous avons relevé (fig.2) l absence de renseignements chez 74 sujets (56%), une paralysie faciale dans 4 cas (3%), des arthrites et des arthralgies chez 9 sujets (7%) et chez 39 patients (29%) des signes neurologiques autres que des paralysies faciales constitués pour la majorité de méningites lymphocytaires et parfois de paralysies flasques touchant les membres supérieurs ou inférieurs. Fig. 3 : Répartition selon les manifestations cliniques des cas positifs 8 7(33%) (24%) 5(24%) 4 3(14%) 3 2 1(5%) Arthrite et arthralgie Paralysie faciale Autres signes neurologiques Autres signes cliniques Fièvre isolée Sans renseignements Chez les sujets trouvés positifs on relève (fig.3) 3 cas avec paralysie faciale, 5 cas ayant présenté des arthrites ou des arthralgies. Le nombre de sujets avec signes neurologiques est de 5. Il y a eu un cas avec des signes cliniques non évocateurs de la maladie de Lyme. Les sujets sans renseignements cliniques (qui représentent la majorité) sont au nombre de 7. 54
7 Archives de l Institut Pasteur d Algérie Tome DISCUSSION L'infection par B. burgdorferi sensu lato, reste peu étudiée en Algérie, peu de cas ont été mis en évidence relevant le peu d'intérêt accordée à cette infection. L'évolution de cette maladie, en nombre de cas, en Europe et en Amérique du Nord et l'invasion constatée du vecteur Ixodes ricinus dans ces pays ainsi que sa présence dans le pays voisin la Tunisie (5) fait craindre en Algérie une incidence élevée de la maladie. D'autant plus que le réservoir du germe (constitué par les oiseaux migrateurs, les rongeurs, les lézards et le bétail) est largement présent dans notre pays. L'introduction de la technique ELISA anti B. burgdorferi dans notre laboratoire a conduit à une augmentation progressive de la demande d'examen. De nombreux confrères en apprenant la disponibilité de cet examen en font de plus en plus la demande mais restent circonspects pour ce qui est de la fiche de renseignement ; elle est le plus souvent mal remplie et donnant peu d'indications qui auraient été très utiles. L'évolution concernant le nombre de demande d'examen est frappante ; 3 en 1996, 18 en 1997, 20 en 1998 et 92 en Une question reste posée: est-ce que cette évolution est davantage liée à disponibilité du test qu à l augmentation du nombre de patients suspects d être atteint par la maladie? Nous avons, dans cette étude, retrouvé un taux non négligeable de sujets séropositifs : 15,8%, soit vingt et un patients en quatre ans sur un total de 133 sujets examinés. Le nombre de sujets appelé à subir cet examen doit être plus élevé en raison de la fréquence supposée de la maladie et de sa méconnaissance. Il est essentiel d'atteindre un nombre plus grand de demande de recherche du germe qui soit en rapport avec l'incidence de la maladie. L'information des cliniciens de la disponibilité de ce test va aller à ce but, ce qui nous fournira des informations concrète sur les données épidémiologiques de la maladie. Le sex ratio est de 2 ; le faible nombre de cas de sujets infectés ne permet pas d'énoncer une quelconque interprétation quant à la valeur de ce sex ratio. 55
8 La répartition selon l'âge montre que la majorité des sujets atteints sont des jeunes adultes de moins de trente ans. Mais là aussi le faible nombre de cas de patients infectés ne permet pas d'avancer une interprétation juste. La distribution selon les manifestations cliniques révèle que le nombre de sujets testés sans renseignements cliniques est très élevé (56%). Les fiches de renseignements sont rarement remplies correctement. Nous nous proposons de diffuser auprès de nos confrères une fiche de renseignement qui doit accompagner chaque prélèvement et qui devra être convenablement remplie. Concernant les manifestations cliniques ayant justifié la demande d'examen la paralysie faciale ne représente que 3%. Les signes neurologiques sont présents chez 29 % des patients ; il s'agit de méningites lymphocytaires et de paralysies flasques pour lesquels (et pour certain) d'autres étiologies virales ont été recherchées et diagnostiquées (herpès virus, entérovirus ). La répartition des cas positifs selon les signes cliniques, révèle là aussi que le nombre de sujets sans renseignements cliniques est le plus élevé (7 cas). Les arthrites et les arthralgies sont au nombre de 5, représentant ainsi l'expression la plus fréquente de la maladie. Le nombre de sujets ayant présenté des manifestations neurologiques (méningites lymphocytaires) est de 5, représentant ainsi la deuxième manifestation de la maladie. La paralysie faciale (3 cas) considérée par les auteurs comme le signe le plus fréquent de la maladie de Lyme ne vient qu'en troisième position. Le diagnostic de la maladie de Lyme ne peut être posé uniquement par une sérologie positive ; la présence d'anticorps anti-b. burgdorferi ne signifie pas obligatoirement une maladie de Lyme. De nombreuses réactions croisées existent avec d'autres germes, comme le Tréponème pallidum et d'autres spirochètes. Des maladies auto-immunes peuvent aussi engendrer des réactions croisées. Le diagnostic est soutenu par l'absence d'autres étiologies, une sérologie positive et une réponse favorable au traitement antibiotique. 56
9 Archives de l Institut Pasteur d Algérie Tome CONCLUSION La présence de la maladie de Lyme en Algérie ne pose aucun doute. De 1996 à 1999, 21 cas ont été diagnostiqués. Les signes cliniques évocateurs sont articulaires et neurologiques (méningite et paralysie faciale). Le nombre réduit de cas ne doit pas laisser supposer que la maladie est rare ; il est lié à la faible demande d'examen. Il est nécessaire que cette demande de sérologie anti- B. burgdorferi augmente en informant les cliniciens de la disponibilité de ce test. L'ELISA, technique utilisée au niveau de notre laboratoire, possède une spécificité modérée, particulièrement aux stades tardifs de la maladie ; elle ne constitue qu'un argument pour appuyer le diagnostic. La technique du Western blot d'un grand intérêt, par sa haute spécificité, pour la confirmation du diagnostic, reste la technique de référence. 57
10 BIBLIOGRAPHIE 1. Burgdorfer, W., A. G. Barbour, S. F. Hayes, J. L. Benach, E. Grundwald and J. P. Davis Lyme disease: A tick-borne spirochetosis? Science. 216: Postic, D., M. V. Assous, P. A. D. Grimont and G. Baranton Diversity of Borrelia burgdorferi sensu lato evidenced by restriction fragment lenght polymorphism of rrf (5S) rrl (23S) intergenic spacer amplicons. Int. J. Syst. Bacteriol. 44: Saint Girons, I., L. Gern, J. S. Gray, E. C. Guy, E. Korenberg, P. A. Nuttall, S. G. T. Rijpkema, A. Schönberg, G. Stanek and D. Postic Identification of Borrelia burgdorferi sensu lato species in Europe. Zent. Bl. Bakteriol. 287, O'Connell, S., M. Granström, J. S. Gray and G. Stanek Epidemiology of european Lyme borreliosis. Zent. Bl. Bakteriol. 287, Aoun, K., A. Kechrid, N. Lagha, A. Zerrouk and N. Bouzouaia La maladie de Lyme en Tunisie, résultats d'une étude clinico-sérologique ( ). Cahiers Santé. 8:
Les conséquences pathologiques de la maladie de Lyme
Les conséquences pathologiques de la maladie de Lyme Travail de maturité réalisé au Lycée Jean-Piaget de Neuchâtel sous la direction de M. Latif Camara Lye Paillard Ce travail montre l intérêt que représente
Plus en détailDIAGNOSTIC SEROLOGIQUE DE LA SYPHILIS
DIAGNOSTIC SEROLOGIQUE DE LA SYPHILIS A-L. Basse-Guérineau 1,2 et le comité de relecture 3 1 Institut de veille sanitaire ; 2 Laboratoire de virologie, Hôpital Saint-Vincent de Paul, Paris ; 3 N. Dupin
Plus en détailTuberculose bovine. Situation actuelle
Tuberculose bovine Situation actuelle 21 mai 2013 Dr G. Peduto Vétérinaire cantonal Service de la consommation et des affaires vétérinaires 1 Tuberculose bovine La Suisse est indemne depuis 1959 Dernier
Plus en détailArthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes
Arthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes G Borgherini 1, A Gouix 1, F Paganin 1, A Jossaume 1, L Cotte 2, C Arvin-Berod 1, A Michault
Plus en détailVaccinations pour les professionnels : actualités
Vaccinations pour les professionnels : actualités Dominique Abiteboul Service de Santé au Travail Hôpital Bichat - Claude Bernard Paris GERES Les vaccins A (H1N1)v 4QUESTIONS +++++ Pas assez de recul???
Plus en détailMINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE- DDASS DE SEINE MARITIME
Département des situations d urgence sanitaire Personne chargée du dossier : Evelyne FALIP/Nicole BOHIC Tél : 01 40 56 59 65/02 32 18 31 66 evelyne.falip@sante.gouv.fr MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES
Plus en détailFICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION
FICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION Madame, Monsieur, Si votre état de santé nécessite une transfusion sanguine, ce document est destiné à vous informer sur les avantages et les risques de la transfusion,
Plus en détailInterprétation de la sérologie TPHA/VDRL JRI 2012
Interprétation de la sérologie TPHA/VDRL JRI 2012 Barbara KULI CHU de la Réunion Service de Médecine Interne, Unité des Maladies Infectieuses Service d'immunologie Clinique, CDAG, CIDDIST Cas Mr M 58 ans
Plus en détailSURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES
SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES Dr Virginie NAEL Service de Santé au travail du personnel hospitalier CHU Nantes 44èmes journées FMC ANMTEPH / SOHF - Lausanne - Septembre
Plus en détailActualisation de la prescription en biologie rhumatologie
Actualisation de la prescription en biologie rhumatologie Pathologies inflammatoires et connectivites Pathologies dégénératives Exclusion du métabolisme phosphocalcique et des marqueurs du remodelage osseux
Plus en détailL ANGINE. A Epidémiologie :
L ANGINE L angine est une inflammation aiguë des amygdales d origine essentiellement virale, et secondairement bactérienne. C est les streptocoque ß hémolytique du groupe A, qui est l agent responsable
Plus en détailCompte rendu d hospitalisation hépatite C. À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie
Compte rendu d hospitalisation hépatite C À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS HOPITAL DU BON SECOURS Service d HEPATHOLOGIE du Professeur
Plus en détailLes animaux vertébrés sont-ils réservoirs de rickettsies?
Les animaux vertébrés sont-ils réservoirs de rickettsies? Bernard DAVOUST 1,2, Oleg MEDIANNIKOV 2, Jean-Lou MARIÉ 1,2, Cristina SOCOLOVSCHI 2, Philippe PAROLA 2 et Didier RAOULT 2 1 - Direction régionale
Plus en détail[Sondage France Lyme] Votre vécu de la maladie de Lyme
[Sondage ] Votre vécu de la maladie de Lyme Bonjour, Ce sondage a été créé par l'association. Nous souhaitons analyser la situation des malades en France à large échelle. Votre réponse nous sera très utile.
Plus en détailLa lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002.
Le diagnostic de la tuberculose bovine La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002. 1. Tuberculination Dans la première phase d une infection de tuberculose bovine (Mycobacterium
Plus en détailConduite à tenir devant une morsure de chien (213b) Professeur Jacques LEBEAU Novembre 2003 (Mise à jour mars 2005)
Conduite à tenir devant une morsure de chien (213b) Professeur Jacques LEBEAU Novembre 2003 (Mise à jour mars 2005) Pré-Requis : Anatomie faciale Principes de traitement des plaies Principes d'antibiothérapie
Plus en détailApport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses
Apport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses M-H H BESSIERES,, S. CASSAING, A. BERRY, R. FABRE, J-F.. MAGNAVAL Service de Parasitologie-Mycologie Diagnostic biologique d une d parasitose
Plus en détailDiagnostic des Hépatites virales B et C. P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux
Diagnostic des Hépatites virales B et C P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux Diagnostic VHC Dépistage: pourquoi? Maladie fréquente (Ac anti VHC chez 0,84% de la population soit 367 055
Plus en détailEpidémiologie appliquée aux sciences vétérinaires DES DAOA DES - DEA
Epidémiologie appliquée aux sciences vétérinaires DES DAOA DES - DEA Claude SAEGERMAN Département des maladies infectieuses et parasitaires, Service d épidémiologie et analyse de risques appliquées aux
Plus en détailSTOP à la Transmission des microorganismes!
STOP à la Transmission des microorganismes! M.E Gengler Vendredi 25 Avril 2014 Vous avez ditstandard? Voici les «Précautions Standard» ou PS Les Précautions Standard : la Loi Respectez les «précautions
Plus en détailMINISTERE DE LA SANTE, DE LA FAMILLE ET DES PERSONNES HANDICAPEES
MINISTERE DE LA SANTE, DE LA FAMILLE ET DES PERSONNES HANDICAPEES Conduite à tenir pour la prise en charge des personnes présentant un syndrome ou une suspicion de syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS)
Plus en détailS. Kernéis, T. Ancelle, V. Naneix-Laroche, N. Amrane, JP. Leroy, T. Hanslik, O. Launay
Etude AMARCOR Tolérance et immunogénicité du vaccin contre la fièvre jaune chez des sujets recevant une corticothérapie par voie générale : étude de cohorte observationnelle S. Kernéis, T. Ancelle, V.
Plus en détailVaccinations - Rédaction Dr BOUTON
20-14 Vaccinations - Rédaction Dr BOUTON Chaque personnel navigant est responsable de la mise à jour des ses vaccins. 1 - VACCINATION OBLIGATOIRE La vaccination contre la fièvre jaune (vaccination anti-amarile)
Plus en détailDÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE
DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement Disponible
Plus en détailLes Infections Associées aux Soins
Les Infections Associées aux Soins Dr Catherine Sartor EOH Conception Assistance Publique Hôpitaux de Marseille Ecole IFSI, Marseille, 12 septembre 2014 Définitions 2007 Infection Nosocomiale (IN) 1999
Plus en détailLA TUBERCULOSE Docteur ALAIN BERAUD
LA TUBERCULOSE Docteur ALAIN BERAUD Service de Pneumologie Hôpital Beauregard - THIONVILLE 1 Bilan initial Objectifs Bilan de base Traitement pharmacologique Autres traitements pharmacologiques Autres
Plus en détailTEST DE DÉTECTION DE LA PRODUCTION D INTERFÉRON γ POUR LE DIAGNOSTIC DES INFECTIONS TUBERCULEUSES
TEST DE DÉTECTION DE LA PRODUCTION D INTERFÉRON γ POUR LE DIAGNOSTIC DES INFECTIONS TUBERCULEUSES Classement NABM : non inscrit code : non codé DÉCEMBRE 2006 Service évaluation des actes professionnels
Plus en détailCette intervention aura donc été décidée par votre chirurgien pour une indication bien précise.
Qu est-ce qu une arthroscopie? Il s agit d une intervention chirurgicale mini-invasive dont le but est d explorer l articulation du genou et de traiter la lésion observée dans le même temps. Comment se
Plus en détailMISSION PARTENARIALE IMMUNOLOGIE - VACCINATION & INFECTIOLOGIE A l occasion de BIOPHARM AMERICA 2015 BOSTON, ETATS-UNIS 14 au 18 septembre 2015
SAVE THE DATE! MISSION PARTENARIALE IMMUNOLOGIE - VACCINATION & INFECTIOLOGIE A l occasion de BIOPHARM AMERICA 2015 BOSTON, ETATS-UNIS 14 au 18 2015 BioPharm America est le plus grand événement de partenariats
Plus en détailNOUVELLE APPROCHE SUR LA MALADIE DE LYME
Traduction des directives du Dr Burrascano pour le traitement de la maladie de Lyme par KAT kath_m01@yahoo.fr 1 Traduction validée par le conseil de l'ilads, New York, le 09 Juin 2006. Avec tous mes remerciements
Plus en détailVaccination et tuberculose en Gériatrie. Unité de Prévention et de Dépistage: Centre de vaccination et centre de lutte anti tuberculeuse CH Montauban
Vaccination et tuberculose en Gériatrie Unité de Prévention et de Dépistage: Centre de vaccination et centre de lutte anti tuberculeuse CH Montauban VACCINATIONS 2 Personnes âgées et vaccinations Avec
Plus en détailPolyarthrite rhumatoïde et biologie
Polyarthrite rhumatoïde et biologie Le point de vue de l'immunologiste Sylvain Laboratoire d'immunologie, sdubucquoi@univ univ-lille2. -lille2.fr FR et PR Définition Auto-anticorps anti-fragment Fc des
Plus en détailI - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE
I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais
Plus en détailParasites externes du chat et du chien
Parasites externes du chat et du chien Identification, prévention et traitement Les tiques Les tiques transmettent des maladies parfois mortelles. La prévention est la meilleure arme. 1 - Où les trouve-t-on?
Plus en détailFaculté de Médecine de Marseille
Evaluation des examens complémentaires dans la démarche médicale : prescription utiles et inutiles (4) P. Gerbaux, M. Drancourt, J. Boucraut, J. Hassoun, F. Roux Décembre 2005 Objectifs du cours : 1. Citer
Plus en détailVaccinations. Actualités et perspectives
Vaccinations Actualités et perspectives Cet ouvrage présente les travaux du groupe d experts réunis par l Inserm dans le cadre de la procédure d expertise collective, pour répondre aux questions posées
Plus en détailLe Livre des Infections Sexuellement Transmissibles
Le Livre des Infections Sexuellement Transmissibles sommaire Qu est-ce qu une IST? p. 5 La blennorragie gonococcique p. 7 La chlamydiose p. 8 L hépatite B p. 9 L herpès génital p. 10 Les mycoplasmes et
Plus en détailSérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde
1 ETSL Sérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde TP 1 GABIN-GAUTHIER 13/11/2009 I. LA MALADIE... 2 II. TECHNIQUES QUALITATIVES... 2 1. PRINCIPE... 2 2. MODE OPERATOIRE... 3 2.1. WRST ou Waaler Rose
Plus en détailACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL. Dr David Bruley Service de Maladies Infectieuses CHU Grenoble
ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL Dr David Bruley Service de Maladies Infectieuses CHU Grenoble Définition d un AES Sang ou liquide biologique potentiellement contaminant Sécrétions vaginales / sperme
Plus en détail2.0 Interprétation des cotes d évaluation des risques relatifs aux produits
2.0 Interprétation des cotes d évaluation des risques relatifs aux produits L interprétation des cotes attribuées dans le cadre des évaluations des risques relatifs aux produits décrite plus loin repose
Plus en détailImplication des Corevih dans l arrivée des ADVIH: Expérience du Corevih LCA
Implication des Corevih dans l arrivée des ADVIH: Expérience du Corevih LCA Réunion Icône 2015 STRASBOURG Laurence Boyer - PH -SMIT- CHU Nancy Contexte Plan VIH/Sida/IST- 2010/14: Augmenter le dépistage:
Plus en détailCarte de soins et d urgence
Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase
Plus en détailStreptocoque B :apports des tests en fin de grossesse, nouvelles propositions.
Streptocoque B :apports des tests en fin de grossesse, nouvelles propositions. Exemple d une étude prospective sur la place d un test de détection rapide du SGB. HONORAT Raphaële 1, ASSOULINE Corinne 1,
Plus en détailCONTROVERSE : IDR OU QUANTIFERON LORS D'UN CONTAGE EN EHPAD?
CONTROVERSE : IDR OU QUANTIFERON LORS D'UN CONTAGE EN EHPAD? Hélène MANGEARD François MALADRY Tuberculose : infection mycobactérienne Infection mycobactérienne chronique (M. Tuberculosis ++ ou bacille
Plus en détailAnticorps neutralisants des Interférons dans la Sclérose En Plaques en Bretagne
Anticorps neutralisants des Interférons dans la Sclérose En Plaques en Bretagne Pr Gilles EDAN, Dr Emmanuelle LEPAGE, Morgane PIHAN (Interne), Virginie OLIVE, (Attaché de recherche clinique), Neurologie,
Plus en détailvaccin pneumococcique polyosidique conjugué (13-valent, adsorbé)
EMA/90006/2015 EMEA/H/C/001104 Résumé EPAR à l intention du public vaccin pneumococcique polyosidique conjugué (13-valent, adsorbé) Le présent document est un résumé du rapport européen public d évaluation
Plus en détailTests rapides de dépistage
Tests rapides de dépistage Maladies infectieuses Marqueurs cardiaques Marqueurs de tumeurs Grossesse Rhumatologie Allergies Drogues > Pour un diagnostic rapide et économique > Résultats exacts et fiables
Plus en détailDevenir des soignants non-répondeurs à la vaccination anti-vhb. Dominique Abiteboul - GERES Jean-François Gehanno Michel Branger
Devenir des soignants non-répondeurs à la vaccination anti-vhb Dominique Abiteboul - GERES Jean-François Gehanno Michel Branger Contexte Hépatite B = risque professionnel pour les soignants Passé futur
Plus en détailSignalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014
Signalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014 Nadège Caillere, Cire Océan Indien Dr Joao Simoes, Cellule de veille, d alerte et de gestion
Plus en détailIntérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée
Intérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée C. Rondé-Oustau, JY. Jenny,J.Sibilia, J. Gaudias, C. Boéri, M. Antoni Hôpitaux
Plus en détailCONFERENCE sur la BORRELIOSE (Maladie de Lyme)
RESUME de ma CONFERENCE sur la BORRELIOSE (Maladie de Lyme) Par Bernard CHRISTOPHE, Diplômé d Etat en Pharmacie, gérant de NUTRIVITAL (03 88 69 11 33) Spécialisé en Phytoaromathérapie et Recherche des
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailTrucs du métier. L arthrite psoriasique en l absence du psoriasis. clinicien@sta.ca. Avez-vous un truc? Son épidémiologie et son expression
L arthrite psoriasique en l absence du psoriasis Trucs du métier Son épidémiologie et son expression Le psoriasis est une maladie cutanée inflammatoire chronique qui touche de 1 % à 3 % de la population
Plus en détail1.1.2 : Indiquer la voie de pénétration du microorganisme
Situation n 2 : EN QUOI L EPIDEMIE DE CHIKUNGUNYA APPORTE T- ELLE DES CHANGEMENTS DANS NOTRE VIE QUOTIDIENNE? Séance n 1 : Le chikungunya Objectif : Prévenir le risque infectieux Tout d un coup, Adeline
Plus en détailIl est bien établi que le réseau d eau hospitalier peut
Les micro-organismes de l eau impliqués dans les infections nosocomiales Depuis 2001 chez Pall, en charge de l information scientifique et réglementaire dans les domaines d applications couverts par la
Plus en détailTEST ELISA (ENZYME-LINKED IMMUNOSORBENT ASSEY)
TEST ELISA (ENZYME-LINKED IMMUNOSORBENT ASSEY) Lise Vézina, technicienne de laboratoire Michel Lacroix, agronome-phytopathologiste Direction de l innovation scientifique et technologique Au Laboratoire
Plus en détailMinistère de la santé, de la jeunesse et des sports. Comité technique des infections nosocomiales et des infections liées aux soins
Ministère de la santé, de la jeunesse et des sports. DIRECTION GENERALE DE LA SANTE DIRECTION DE L HOSPITALISATION ET DE L ORGANISATION DES SOINS Comité technique des infections nosocomiales et des infections
Plus en détailZ I G U I N C H O R SITUATION ECONOMIQUE ET SOCIALE REGIONALE 2013. Service Régional de la Statistique et de la Démographie de Ziguinchor
Z I G U I N C H O R REPUBLIQUE DU SENEGAL Un Peuple Un But Une Foi ------------------ MINISTERE DE L ECONOMIE, DES FINANCES ET DU PLAN ------------------ AGENCE NATIONALE DE LA STATISTIQUE ET DE LA DEMOGRAPHIE
Plus en détailENTENTE INTERDEPARTEMENTALE
ENTENTE INTERDEPARTEMENTALE DE LUTTE CONTRE LA RAGE ET AUTRES ZOONOSES ETAT D AVANCEMENT DES TRAVAUX 2011 SUR L ECHINOCOCCOSE ALVEOLAIRE et autres zoonoses Toutous, vous saurez tout sur l échino! Note
Plus en détailStratégies de dépistage des bactéries multirésistantes. Qui? Pourquoi? Comment? Après? L exemple des MRSA
Stratégies de dépistage des bactéries multirésistantes à l hôpital et en MRS: Qui? Pourquoi? Comment? Après? L exemple des MRSA Prof. Dr. Youri Glupczynski Unité d Hygiène hospitalière & Laboratoire de
Plus en détailAMAMI Anaïs 3 C LORDEL Maryne. Les dons de cellules & de tissus.
AMAMI Anaïs 3 C LORDEL Maryne Les dons de cellules & de tissus. Introduction : Une greffe (don) de cellules consiste à administrer à un patient dont un organe vital ne fonctionne plus correctement, une
Plus en détailDéfinition de l Infectiologie
Définition de l Infectiologie Discipline médicale clinique Spécialisée. Prise en charge des Maladies Infectieuses et Tropicales. Actuelles, émergentes ou ré-émergentes. Référents dans le cadre d un maillage
Plus en détailIST et SIDA : s'informer pour se protéger!
IST et SIDA : s'informer pour se protéger! Tous concernés! De quoi s agit-il? Les Infections Sexuellement Transmissibles (IST) sont des infections dues à des virus, des bactéries, des parasites ou des
Plus en détailQu est-ce que la peste?
Département fédéral de l'intérieur DFI Office fédéral de la santé publique OFSP Unité de direction Santé publique Qu est-ce que la peste? État : 1 juin 2008 Réponses aux questions fréquemment posées concernant
Plus en détailLA HERNIE DISCALE LOMBAIRE
Feuillet d'information complémentaire à l attention du patient LA HERNIE DISCALE LOMBAIRE Madame, Monsieur, Suite aux examens, une hernie discale au niveau du rachis lombaire a été diagnostiquée, il faudrait
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION 10 octobre 2001 VIRAFERONPEG 50 µg 80 µg 100 µg 120 µg 150 µg, poudre et solvant pour solution injectable B/1 B/4 Laboratoires SCHERING PLOUGH Peginterféron
Plus en détailAnnexe I. Notification de réactions indésirables graves par l établissement :
Annexe I. Notification de réactions indésirables graves par l établissement : Partie A. Notification rapide d une suspicion de cas de réaction indésirable grave chez un donneur (vivant) (complication liée
Plus en détailHépatites Auto-Immunes. Critères et Scores Diagnostiques
Hépatites Auto-Immunes Critères et Scores Diagnostiques Olivier CHAZOUILLERES Service d Hépatologie Centre de référence des maladies inflammatoires des voies biliaires Paris Saint Antoine HAI: Modes de
Plus en détailSida : «Avant d arrêter le préservatif, faites le test»
Sida : «Avant d arrêter le préservatif, faites le test» Dossier de presse Juin 2008 Sida : le test du dépistage encore trop peu souvent associé à l arrêt du préservatif dans le couple Situation de l infection
Plus en détailMINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE
MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE AVIS DU COMITE TECHNIQUE DES VACCINATIONS / DU CONSEIL SUPERIEUR D HYGIENE PUBLIQUE DE FRANCE relatif à la vaccination par le vaccin
Plus en détailQuelles sont les maladies hautement contagieuses susceptibles d être hospitalisées en réanimation en France?
53 e congrès national d anesthésie et de réanimation. Infirmiers. Infirmier(e)s de réanimation 2011 Sfar. Tous droits réservés. Quelles sont les maladies hautement contagieuses susceptibles d être hospitalisées
Plus en détailDracunculose Association Française des Enseignants de Parasitologie et Mycologie (ANOFEL)
Dracunculose Association Française des Enseignants de Parasitologie et Mycologie (ANOFEL) 2014 1 Table des matières Introduction... 3 1. Historique et actualité... 3 2. Agent pathogène et cycle... 4 3.
Plus en détailInfection par le VIH/sida et travail
Documents publiés dans la collection VIH-sida du ministère de la Santé et de la Protection sociale : COLLECTION VIH/SIDA Sida-MST (maladies sexuellement transmissibles) Transmission - Diagnostic/dépistage
Plus en détailo Anxiété o Dépression o Trouble de stress post-traumatique (TSPT) o Autre
Page 1 Garantie Responsabilité civile - Lésions corporelles de l assurance automobile - Étude des dossiers de demande d indemnisation fermés en Ontario Descriptions des blessures Élaborées à partir des
Plus en détailL immunoenzymologie. Technique puissante couramment utilisée e en recherche et en diagnostic cificité des anticorps pour leurs nes
L immunoenzymologie Technique puissante couramment utilisée e en recherche et en diagnostic Basée e sur la très s grande spécificit cificité des anticorps pour leurs antigènes nes Test qualitatif Détection
Plus en détailItem 182 : Accidents des anticoagulants
Item 182 : Accidents des anticoagulants COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Cruralgie par hématome
Plus en détailLes hommes sont des obsédés, les femmes sont vénales (nous l avons mesuré)
MIRATECH FRANCE CONCEPT7 PAYS BAS EYEFACT DANEMARK CHECON PESQUISA BRESIL BUNNYFOOT ANGLETERRE UNIVERSITAT POMPEU FABRA ESPAGNE CUSTOMER EXPERIENCE LABS ETATS-UNIS Les hommes sont des obsédés, les femmes
Plus en détailObjectif 3 : Confinement et certification
Objectif 3 : Confinement et certification CONFINEMENT ET CERTIFICATION Principaux objectifs Indicateurs de réalisation Principales activités Certifier l éradication et le confinement de tous les poliovirus
Plus en détailAccidents des anticoagulants
30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER
Plus en détailPrévenir la colonisation par Campylobacter chez les poulets de chair. Dr. Wael Abdelrahman Consultant technique, Probiotiques volailles
Prévenir la colonisation par Campylobacter chez les poulets de chair Dr. Wael Abdelrahman Consultant technique, Probiotiques volailles Prévenir la colonisation par Campylobacter chez les poulets de chair
Plus en détailAnnales du Contrôle National de Qualité des Analyses de Biologie Médicale
Annales du Contrôle National de Qualité des Analyses de Biologie Médicale ARN du virus de l hépatite C : ARN-VHC ARN-VHC 03VHC1 Novembre 2003 Edité : mars 2006 Annales ARN-VHC 03VHC1 1 / 8 ARN-VHC 03VHC1
Plus en détailLaurence LEGOUT, Michel VALETTE, Henri MIGAUD, Luc DUBREUIL, Yazdan YAZDANPANAH et Eric SENNEVILLE
Laurence LEGOUT, Michel VALETTE, Henri MIGAUD, Luc DUBREUIL, Yazdan YAZDANPANAH et Eric SENNEVILLE Service Régional Universitaires des Maladies Infectieuses et du Voyageur, Hôpital Gustave Dron 59208 TOURCOING
Plus en détailLes Ontariens rejettent catégoriquement le projet de création d une école afrocentriste
ÉCOLE AFROCENTRISTE EN ONTARIO Pour diffusion immédiate PAGE 1 DE 5 Les Ontariens rejettent catégoriquement le projet de création d une école afrocentriste La vaste majorité des répondants sont d accord
Plus en détailMAB Solut. vos projets. MABLife Génopole Campus 1 5 rue Henri Desbruères 91030 Evry Cedex. www.mabsolut.com. intervient à chaque étape de
Mabsolut-DEF-HI:Mise en page 1 17/11/11 17:45 Page1 le département prestataire de services de MABLife de la conception à la validation MAB Solut intervient à chaque étape de vos projets Création d anticorps
Plus en détailABL and Evivar Medical for Strategic Partnership and Alliance in HIV and Hepatitis
ABL and Evivar Medical for Strategic Partnership and Alliance in HIV and Hepatitis Conférence de Presse ABL SA - Chambre de Commerce de Luxembourg - Mardi 29 Septembre 2009, 18h Annonce de Presse ABL and
Plus en détailGARANTIES DE BONNE ECECUTION
GARANTIES DE BONNE ECECUTION Bengescu Marcela University of Pitesti, Economic Science Faculty Pitesti, Str. Negru Vodă, No. 27, m_bengescu@yahoo.com, 0721248109 Dumitru Mihaela University of Pitesti, Economic
Plus en détailAssociation lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose
Association lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose Auteurs Cendrine Godet (*) Jean-Pierre Frat (**) Cédric Landron (*) Lydia Roy (***) Paul Ardilouze (****) Jean-Pierre Tasu (****) (*)
Plus en détailLa Greffe de Cellules Souches Hématopoïétiques
La Greffe de Cellules Souches Hématopoïétiques Professeur Ibrahim Yakoub-Agha CHRU de LILLE (Illustration de J. Cloup, extraite du CD-Rom «greffe de Moelle» réalisé par la société K Noë) La moelle osseuse
Plus en détailÉvolution des pratiques vaccinales : 3. vaccination après la grossesse
Évolution des pratiques vaccinales : 3. vaccination après la grossesse Professeur Emmanuel Grimprel Service de Pédiatrie Générale, Hôpital Trousseau, Paris Université Pierre et Marie Curie, Paris Déclaration
Plus en détailVue d ensemble : Office of Cellular, Tissue and Gene Therapies
Vue d ensemble : Office of Cellular, Tissue and Gene Therapies DIAPOSITIVE 1 Cette présentation fournit une vue d ensemble de l Office of Cellular, Tissue, and Gene Therapies (bureau des thérapies cellulaires,
Plus en détailTraitement antibiotique probabiliste des urétrites et cervicites non compliquées
Bon usage Mise au point Traitement antibiotique probabiliste des urétrites et cervicites non compliquées Actualisation Octobre 2008 MESSAGES CLÉS L évolution de la résistance du gonocoque aux quinolones
Plus en détailHEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas
HEPATITES VIRALES 22/09/09 Mme Daumas Infectieux Introduction I. Hépatite aigu II. Hépatite chronique III. Les différents types d hépatites A. Hépatite A 1. Prévention de la transmission 2. Vaccination
Plus en détailMICROBIOLOGIE. 1. Strep A et Urine Slide. 2. Coloration de Gram 3. Virologie (HCV, HBV, HIV)
MICROBIOLOGIE 1. Strep A et Urine Slide (page 1) 2. Coloration de Gram (page 1) 3. Virologie (HCV, HBV, HIV) (page 1) 4. UKNEQAS Microbiology (page 2) 5. QCMD (page 4) Les programmes 1, 2 et 3 sont organisés
Plus en détailVIRUS DE L'IMMUNODEFICIENCE HUMAINE (HIV)
VIRUS DE L'IMMUNODEFICIENCE HUMAINE (HIV) En 1999, dans le monde, plus de 33 millions de sujets dont 43% de femmes étaient infectés par le virus de l'immunodéficience humaine ou HIV. L'épidémie progresse
Plus en détailchronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé
Document destiné aux professionnels de santé Agence relevant du ministère de la santé La maladie rénale chronique Un risque pour bon nombre de vos patients Clés pour la dépister et ralentir sa progression
Plus en détailService d ambulance. Normes. de soins aux patients. et de transport
Service d ambulance Normes de soins aux patients et de transport Ministère de la Santé et des Soins de longue durée Direction des services de santé d urgence Avril 2000 (Mise à jour : octobre 2002) Soins
Plus en détailClub Santé. «Vaccination : quelle évolution pour une meilleure prévention?» Dimanche 16 octobre 2005
Club Santé «Vaccination : quelle évolution pour une meilleure prévention?» Dimanche 16 octobre 2005 Contacts Presse : Florence PARIS Fanny ALLAIRE Tél : 01.39.17.90.85 Fax : 01.39.17.86.56 Adresses e-mail
Plus en détail