DISPOSITIF ORSEC MARITIME ANTILLES 300 Alerte
|
|
- Louis Laperrière
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 ALERTE SCHEMA D ALERTE GENERAL PAGE 03 ROSTER PAGE 20 NUMEROS D URGENCE PAGE 21 ALERTE Page 1 sur 17 Révision 00
2 301. Sommaire 301. Sommaire 302. Préambule 310. Schémas d alerte 311. Schémas d alerte général 312. Alerte SAR (hors SAMAR) 313. Alerte SAMAR 314. Alerte POLMAR 315. Alerte ANED 320. Niveau de gravité pour tout évènement de mer 321. Niveau 1 - Evènement de mer classique 322. Niveau 2 - Evènement de mer grave 323. Niveau 3 - Evènement de mer majeur 330. Mise en œuvre d une organisation adaptée à la typologie et au niveau de gravité 331. Qualification du niveau de gravité de l évènement de mer 332. Montée en puissance 333. Roster 334. Numéros d alerte 302. Préambule Les schémas d alerte sont valables quelque soit l évènement de mer se produisant dans la zone maritime des Antilles et qui nécessiterait la mise en place d une réponse de la sécurité civile maritime (ORSEC maritime). Cette section a pour but d expliciter : - le déclenchement de l alerte et le cheminement de l information vers les différents acteurs et décideurs ; - les niveaux de gravité qui permettent d estimer l ampleur du sinistre et de déterminer la stratégie de lutte adéquate à mettre en place ; - la qualification du sinistre dans toutes ses typologies. ALERTE Page 2 sur 17 Révision 00
3 310. Schémas d alerte Quelque soit l événement de mer nécessitant d alerter les services de l Etat, le schéma d alerte général suivant est appliqué pour tout ou partie, selon la gravité de l événement. Il est décliné et précisé par la suite pour chaque type d événements majeurs Schéma d alerte général Témoin, navire, aéronef ou personne impliquée Service d urgence de l Etat étatiques (DDG/AEM) ou CROSS Organismes sollicités à titre de conseils techniques ou médicaux Services d urgence géographiquement concernés Officier de permanence Sécurité Civile COM (ANTIPOL seulement) AEM Procureur de la République Organismes utiles de par leur expertise maritime Information des autorités centrales (SG Mer, CoFGC ) Autre préfet terrestre concerné (le cas échéant) DDG / AEM EMIZA Astreinte COGIC ALERTE Page 3 sur 17 Révision 00
4 312. Alerte SAR (hors SAMAR) DISPOSITIF ORSEC MARITIME Schéma d alerte SAR (hors SAMAR) Témoin, navire ou personne impliquée Service d urgence de l Etat étatiques (DDG/AEM) ou Services d urgence géographiquement concernés CROSS SCMM Représentant local de l armateur ISN CODIS, etc Procureur de la République Officier de permanence Sécurité Civile AEM Compagnie maritime Organismes consulaires Autre préfet terrestre concerné (le cas échéant) Pilotage Information des autorités centrales (SG Mer, CoFGC ) DDG / AEM EMIZA Astreinte COGIC ALERTE Page 4 sur 17 Révision 00
5 Avis, alertes et actions immédiates Organismes Avis et Alerte Actions Immédiates Témoin, navire ou personne impliquée 1 Alerte le CROSS ou un autre service d urgence (y compris étranger) Autres services d urgence y compris étrangers 1 Alerte le CROSS Antilles-Guyane CROSS AG 1 Le directeur informe le DDG AEM 2 Alerte les membres de l EGI SAR (CODIS, représentant de l armateur, SCMM, ISN) 3 Alerte l OAAEM 4 Avise le ou les MRCC adjacent(s) impliqué(s). 1 Recueille les informations nécessaires pour la conduite du sauvetage 2 Diffuse par VHF le message d alerte (MAYDAY RELAY ou PAN PAN) aux navires présents sur zone 3 Peut armer le CROSS dans sa configuration «EGI SAR» OAAEM 1 Alerte le 2 Alerte le procureur 3 Alerte les organismes utiles pour leur expertise (Compagnie maritime impliquée, consulats, pilotage) 1 AEM prépare le rappel des membres de l équipe de gestion de crise, les actes réglementaires et l information des autorités centrales (SGMER, COFGC) 1 Alerte, le cas échéant, les autres préfets concernés 1 Peut proposer au DDG/AEM d armer le COZ dans sa configuration «EGC» SAR. DDG/AEM 1 - Informe les hautes autorités politiques centrales 1 Décide d armer le COZ dans sa configuration «EGC» SAR. ALERTE Page 5 sur 17 Révision 00
6 313. Alerte SAMAR DISPOSITIF ORSEC MARITIME Schéma d alerte SAMAR Témoin, navire, aéronef ou personne impliquée ARCC Ou services d urgence ARSC SCMM étatiques (DDG AEM) ou CROSS Représentant local de la compagnie aérienne Services d urgence géographiquement concernés CODIS Procureur de la République Officier de permanence Sécurité Civile AEM Siège compagnie aérienne Organismes consulaires Autre préfet terrestre concerné (le cas échéant) Information des autorités centrales (SG Mer, CoFGC ) DDG / AEM EMIZA Astreinte COGIC ALERTE Page 6 sur 17 Révision 00
7 Avis, alertes et actions immédiates Organismes Avis et Alerte Actions Immédiates Témoin, navire aéronef ou personne impliquée 1 Alerte le CROSS, un ARCC/ARSC ou un autre service d urgence ARCC/ARSC 1 Alerte l ARSC ou directement le CROSS Antilles-Guyane 1 Définit une zone probable d accident CROSS AG 1 Informe le DDG AEM 2 Alerte les membres de l EGI SAR (CODIS, représentant de la compagnie, SCMM, ISN) 3 Alerte l OAAEM 4 Avise le ou les MRCC adjacent(s) impliqué(s). 1 Recueille les informations nécessaires pour la conduite du sauvetage 2 Diffuse par VHF le message d alerte (MAYDAY RELAY ou PAN PAN) aux navires présents sur zone 3 Peut armer le CROSS dans sa configuration «EGI SAR» OAAEM 1 Alerte le 2 Alerte le procureur 3 Alerte les organismes utiles pour leurs expertises (Compagnie aérienne impliquée, consulats, pilotage). 1 AEM prépare le rappel des membres de l équipe de gestion de crise, les actes réglementaires et l information des autorités centrales (SGMER, COFGC) 1 Alerte, le cas échéant, les autres préfets concernés 1 Peut proposer au DDG/AEM d armer le COZ dans sa configuration «EGC» SAR. DDG/AEM 1 Informe les hautes autorités politiques centrales 1 Décide d armer le COZ dans sa configuration «EGC» SAR ALERTE Page 7 sur 17 Révision 00
8 314. Alerte POLMAR Schéma d alerte POLMAR Témoin, navire, aéronef ou personne impliquée Service d urgence de l Etat Services d urgence géographiquement concernés CROSS COM CEPPOL Base Navale MARPOMP Armateurs / P&I Officier de permanence Sécurité Civile AEM CEDRE, IFREMER, INERIS, DEAL, METEO Autre préfet terrestre concerné (le cas échéant) DDG / AEM EMIZA Procureur de la République Information des autorités centrales (SG Mer, CoFGC ) Astreinte COGIC ALERTE Page 8 sur 17 Révision 00
9 Avis, alertes et actions immédiates Organismes Avis et Alerte Actions Immédiates Témoin, navire ou personne impliquée 1 Alerte le CROSS ou un autre service d urgence (y compris étranger) 1 Autant que possible, assure le suivi visuel de la pollution Autres services d urgence y compris étrangers 1 Alerte le CROSS Antilles-Guyane CROSS AG 1 Alerte l officier d astreinte du COM 1 Remplit et diffuse le message POLREP initial COM 1 Alerte l officier d astreinte AEM 2 Alerte les membres de l EGI POLMAR (CEPPOL, Base Navale) 3 Alerte le SIDPC/COD géographiquement concerné à terre 1 - Peut décider d armer le CROSS dans sa configuration «EGI POLMAR» OAAEM 1 Alerte le 2 Alerte le procureur 3 Alerte les organismes utiles pour leur expertise maritime (METEO France, CEDRE, DM, DEAL, IFREMER, INERIS, armateur P&I) 1 Confirme/infirme l information par tout moyen dont il dispose 2 AEM prépare le rappel des membres de l équipe de gestion de crise, les actes réglementaires et l information des autorités centrales (SGMER, COFGC) 1 Alerte le DDG/AEM 2 Alerte, le cas échéant, les autres préfets concernés 1 Peut proposer au DDG/AEM d armer le COZ dans sa configuration «EGC» DDG/AEM 1- Informe les autorités centrales 1 Décide d armer le COZ dans sa configuration «EGC» POLMAR ALERTE Page 9 sur 17 Révision 00
10 315. Alerte ANED Schéma d alerte ANED Témoin, navire, aéronef ou personne impliquée Service d urgence de l Etat étatiques (DDG AEM) ou Services d urgence géographiquement concernés CROSS ISN Autorité portuaire concernée COM pour astreinte BN (EE) Armateur / P&I Officier de permanence Sécurité Civile Autre préfet terrestre concerné (le cas échéant) AEM DDG / AEM EMIZA Remorquage pré affrété Procureur de la République Information des autorités centrales (SG Mer, CoFGC ) Astreinte COGIC ALERTE Page 10 sur 17 Révision 00
11 Avis, alertes et actions immédiates Organismes Avis et Alerte Actions Immédiates Navire impliqué 1 Alerte le CROSS comme MAS 2 Le cas échéant, alerte l autorité portuaire si concernée 1 Explicite la situation 2 Transmet les coordonnées de son armateur Autres témoins 1 Alerte le CROSS 1 Peut diffuser l information pour assurer la sécurité nautique de son plan d eau (cas du port ou du navires témoins) CROSS AG 1 Alerte le DDG AEM 2 Alerte l OAAEM 3 S assure le cas échéant que l autorité portuaire soit bien informée 4 Peut diffuser un message sécurité (si perturbation du trafic) 1 Recueille les informations nécessaires pour l évaluation initiale de l événement. 2 Diffuse l INFO NAUT adaptée ; 3 Peut solliciter tout moyen afin de procéder à une évaluation de la situation sur place. 4 Peut armer le CROSS dans sa configuration «EGI ANED» OAAEM 1 Alerte le 2 Alerte le procureur 3 Alerte les organismes utiles pour leur expertise maritime (CENTOPS, Armateur, P&I, remorquage SOMARA) ; 4 Alerte le COM et sollicite les membres de l équipe d évaluation (ISN, pilotes ) 1 AEM prépare le rappel des membres de l équipe de gestion de crise, les actes réglementaires et l information des autorités centrales (SGMER, COFGC) 1 Alerte le DDG/AEM 2 Alerte, le cas échéant, les autres préfets concernés 1 Propose au DDG/AEM d armer le COZ dans sa configuration «EGC» ANED. 2 Propose au DDG/AEM la mise en œuvre de l équipe d évaluation DDG/AEM 1 Informe les hautes autorités politiques centrales 1 Décide d armer le COZ dans sa configuration «EGC» ANED. ALERTE Page 11 sur 17 Révision 00
12 320. Niveaux de gravité pour tout événement de mer L ampleur et les conséquences possibles de l événement de mer doivent être très rapidement appréciées afin d appliquer une stratégie d intervention proportionnée. En fonction du niveau de gravité, une organisation adéquate des secours est définie afin de répondre efficacement à l incident. L évaluation du niveau de gravité, implique d anticiper les répercussions potentielles et d évaluer l évolution d un événement de mer en début de séquence afin de s assurer des points suivants: 1. Rapidité de la réponse opérationnelle. 2. Pertinence des moyens mobilisés. 3. Prise en compte des 5 priorités de lutte (section 060) Niveau 1 Evènement de mer «classique» L'événement de mer de niveau 1 correspond à un incident auquel les secours font face dans leur configuration courante. L intervention ne nécessite aucun renfort particulier, en hommes ou moyens, autres que ceux qui lui sont normalement dédiés avec une coordination simple des unités engagées Niveau 2 Evènement de mer «grave» L événement de mer de niveau 2 implique un renfort humain des structures de gestion d incident classique. Un conseil technique ou médical peut être requis pour orienter la conduite des opérations. Une coordination renforcée de l intervention est nécessaire afin de maîtriser l évènement. Il s agit d un événement pouvant s inscrire dans la durée et qui peut nécessiter une réflexion logistique ainsi que le développement d une interface coordonnée avec la terre. Les moyens d intervention mobilisés peuvent dépasser la cadre conventionnel des moyens de l Etat : la situation peut donner lieu à la mise en œuvre de plan de coopération régionale et/ou de réquisition de moyens civils et/ou de passation de marchés dans l urgence. La conjonction simultanée de plusieurs événements de mer de niveau 1 peut engendrer une situation de niveau 2. ALERTE Page 12 sur 17 Révision 00
13 DISPOSITIF ORSEC MARITIME Etant donnée la maitrise de l intervention par les secours, la communication associée reste factuelle et ponctuelle. Le DDG AEM est tenu informé de l évolution de la situation Niveau 3 Evènement de mer «majeur» L événement de mer de niveau 3 ne peut être maîtrisé sans la mise en place d un support de l équipe de gestion d intervention. L événement dépasse le cadre de l intervention en mer. Son ampleur donne lieu à la mise en œuvre d une équipe de gestion de crise, placée en soutien de l EGI, dont les principales responsabilités sont de : - mobiliser des moyens d intervention exceptionnels ; - anticiper l évolution de la situation et ses impacts ; - mettre en place un soutien logistique adapté ; - instruire et anticiper les aspects juridiques de l événement ; - faciliter la mise en place d une communication de crise efficace. L événement s inscrit donc dans le temps. Un évènement de mer peut engendrer une gestion de crise ultérieure à la conduite de l intervention. Les répercussions de l événement de mer dépassent le cadre de l incident maritime et peuvent affecter l activité humaine et/ou l environnement limitrophe. L événement de mer de niveau 3 nécessite obligatoirement un dialogue avec les autorités terrestres. La conjonction de plusieurs thématiques d intervention simultanée de niveau 1 et/ou 2 peut engendrer une situation de niveau 3. ALERTE Page 13 sur 17 Révision 00
14 330. Mise en œuvre d une organisation adaptée à la typologie et au niveau de gravité Qualification du niveau de gravité de l évènement de mer Avant de mettre en œuvre le dispositif ORSEC, le CMS doit s attacher à donner une première qualification de l évènement par typologie : SAR POLMAR ANED Recherche et Sauvetage Antipollution hydrocarbure ou chimique Assistance au navire en difficulté Tout événement de mer pourra donc être qualifié par risque dimensionnant : Typologie SAR POLMAR ANED Niveau de gravité (précisez 1, 2 ou 3) Une organisation ORSEC Maritime sera donc mise en œuvre à partir de cette appréciation initiale. L évènement pourra être réapprécié à posteriori par les équipes de gestion de crise ou d évaluation. ALERTE Page 14 sur 17 Révision 00
15 332. Montée en puissance Témoin ou Autres services d urgence - Le témoin ou service d urgence reçoit ou perçoit l alerte - Il transfert l alerte vers le CROSS AG NIVEAU 1 - Le CROSS AG ou le COM peut faire face à l événement avec les moyens couramment mis à sa disposition (ORSEC MARITIME niveau 1). - L officier de permanence du CROSS / OPSMER ou l officier d astreinte du COM devient RI. - Les fonctions de gestion d intervention et de crise restent en veille. - Le chef de la division AEM et le sont informés pendant ou à l issue de l intervention (SITREP ou POLREP). - Le directeur du CROSS AG/le chef du COM peut décider de renforcer l organisation du centre opérationnel pour assurer la direction de l intervention (ORSEC MARITIME de niveau 2). NIVEAU 2 - Le directeur du CROSS/le chef du COM (N0) devient alors DI, il dirige l EGI. - Le DDG/AEM est tenu informé. - Les fonctions de gestion de crise restent en veille. Le DDG/AEM en s appuyant sur le peut engager des actions de support logistique et d anticipation sans formellement activer l EGC. NIVEAU 3 - Le propose au DDG/AEM d activer une équipe de crise pour faire face au sinistre (ORSEC MARITIME de niveau 3). - Le DDG AEM est DOS. - Le devient conseiller de crise maritime auprès du DOS. ALERTE Page 15 sur 17 Révision 00
16 333. Roster En cas d activation de l équipe de gestion de crise, le demande à ce que le personnel désigné rallie le COZ. En cas d indisponibilité ou d absence, ce sont les suppléants fonctionnels qui seront mobilisés ou en fonction des circonstances, du personnel désigné par le DOS sur proposition conjointe des autorités hiérarchiques du personnel concerné. Intitulé de la fonction Attributaires Localisation CHEF EGC CHEF DIV AEM CONSEILLER AEM Officier astreinte AEM ANTICIPATION CDT BN LOGISTIQUE FINANCES/ CONTENTIEUX Chef soutien logistique des FAA Responsable finances GSBDD COZ SUPPORT TECHNIQUE EGC Fonction EMIZA RENFORT ADMINISTRATIF SEC AEM COMMUNICATION DIR COM PREF PREF DIRECTEUR D INTERVENTION DIR CROSS Chef du COM CROSS MAIN COURANTE ADJ QUART SEC COM CROSS RESPONSABLE D INTERVENTION CMS OPSMER (antipol) CROSS Site approprié ALERTE Page 16 sur 17 Révision 00
17 334. Numéros d alerte Pour tout événement de mer, la gestion d intervention est coordonnée depuis le CROSS Antilles. Il est armé 24H/24. Ses coordonnées sont : VHF 16 MFHF 2182 Tél INMARSAT C antilles@mrccfr.eu Pour tout événement de mer, la gestion de crise est coordonnée depuis le COZ, activée sur proposition du par le DDG/AEM: Tél : Tél : emz@martinique.pref.gouv.fr ALERTE Page 17 sur 17 Révision 00
Le niveau 3 - alerte canicule correspond à une vigilance météorologique orange pour le paramètre canicule.
ANNEXE FICHE 10 : NIVEAU 3 - ALERTE CANICULE Le niveau 3 - alerte canicule correspond à une vigilance météorologique orange pour le paramètre canicule. I. MESURES PRISES AU NIVEAU 3 - ALERTE CANICULE 1.
Plus en détail«Cofely Endel apporte la force d un groupe, leader sur le marché de la maintenance. Ses
CHIMIE Maintenance d un centre de stockage NUCLÉAIRE DÉFENSE NUCLÉAIRE PO Augmenter la disponibilité de ses équipements de stockage Avoir un interlocuteur unique sur les prestations de maintenance et capable
Plus en détailOrganisation de la gestion de crise à Mayotte. Préfecture de Mayotte- SIDPC Mise à jour août 2011
Organisation de la gestion de crise à Mayotte Préfecture de Mayotte- SIDPC Mise à jour août 2011 SOMMAIRE INTRODUCTION AVANT LA CRISE PENDANT LA CRISE APRES LA CRISE 2 Service interministériel de défense
Plus en détailCETMEF - DT Point sur les travaux internationaux: élaboration de la e-navigation et modernisation du SMDSM
CETMEF - DT Point sur les travaux internationaux: élaboration de la e-navigation et modernisation du SMDSM AC1AM Jean-Charles CORNILLOU décembre 2013 Ministère de l'écologie, du Développement durable,
Plus en détailConvention relative : - aux échanges de données d'exploitation et de sécurité routière - à la gestion des crises routières. pour le département de
Convention relative : - aux échanges de données d'exploitation et de sécurité routière - à la gestion des crises routières pour le département de entre L'État, représenté par M.., Préfet d., et La Direction
Plus en détailPlans de secours NOMBREUSES VICTIMES
Plans de secours NOMBREUSES VICTIMES Dispositions générales ORSEC Dr M.NAHON SAMU75 02/2013 Crises sanitaires, Accidents catastrophiques à effets limités (ACEL), Catastrophes Majeures 2 Crises sanitaires,
Plus en détailANNEXE 1. Présentation Les systèmes et réseaux européens d échange de données relatives au trafic maritime
ANNEXE 1 Présentation Les systèmes et réseaux européens d échange de données relatives au trafic maritime 1. Introduction En permanence, plus de 20000 navires marchands sillonnent les mers européennes.
Plus en détailACCIDENT NUCLÉAIRE OU RADIOLOGIQUE MAJEUR
Premier ministre PLAN NATIONAL DE RÉPONSE ACCIDENT NUCLÉAIRE OU RADIOLOGIQUE MAJEUR NUMÉRO 200/SGDSN/PSE/PSN - ÉDITION FÉVRIER 2014 2 PRÉFACE L a France a choisi d exploiter les technologies nucléaires
Plus en détailCRISE DES HYDROCARBURES
CRISE DES HYDROCARBURES -RETEX- DIRECCTE de Zone de Défense Ouest MINISTÈRE DE L ÉCONOMIE, DES FINANCES ET DE L INDUSTRIE MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI ET DE LA SANTE -11/10 au 15/10 DIRECCTE de Zone
Plus en détailPlan ORSEC. du département du Finistère
PRÉFET DU FINISTÈRE Préfecture du Finistère Cabinet du préfet Service interministériel de défense et de protection civiles Plan ORSEC «secours à nombreuses victimes» du département du Finistère Plan ORSEC
Plus en détailAnnexe VI au Protocole au Traité sur l Antarctique relatif à la protection de l environnement
MESURE 1 - ANNEXE Annexe VI au Protocole au Traité sur l Antarctique relatif à la protection de l environnement Responsabilité découlant de situations critiques pour l environnement Les Parties, Préambule
Plus en détailLa sécurité & sûreté maritime en Tunisie. Ministère du transport Direction Générale de la Marine Marchande
La sécurité & sûreté maritime en Tunisie Ministère du transport Direction Générale de la Marine Marchande 1 QUELQUES DONNEES Une façade maritime de 1300 Km de côtes. La flotte nationale Tunisienne comporte
Plus en détailFiche N 18 Ind. 1 du 21 juin 2013 LA GESTION DE CRISE DANS LE DOMAINE NUCLÉAIRE
Fiche N 18 Ind. 1 du 21 juin 2013 GASN ASSOCIATION DES RETRAITÉS DU GROUPE CEA GROUPE ARGUMENTAIRE SUR LE NUCLÉAIRE LA GESTION DE CRISE DANS LE DOMAINE NUCLÉAIRE 1. INTRODUCTION La gestion de crise dans
Plus en détailSchéma Régional d Intelligence Economique (SRIE) de la région CENTRE 2012-2015
Orléans, le 5 octobre 2012 Schéma Régional d Intelligence Economique (SRIE) de la région CENTRE 2012-2015 Introduction L intelligence économique, c est le dispositif par lequel tout acteur économique assure
Plus en détailDossier de presse. Exercice cyclone : «ZANNO 2014» Les services de l État et leurs partenaires se préparent à la saison cyclonique
Cabinet du Préfet Bureau de la communication interministérielle Fort-de-France, le 12 juin 2013 Dossier de presse Exercice cyclone : «ZANNO 2014» Les services de l État et leurs partenaires se préparent
Plus en détailEOLIEN EN MER : Projet de Saint Nazaire. 15 Novembre 2012. Instance de Suivi et de Concertation
EOLIEN EN MER : Projet de Saint Nazaire 15 Novembre 2012 Instance de Suivi et de Concertation AGENDA A/ Les acteurs du consortium A/ Les acteurs du consortium B/ Le projet C/ Les études environnementales
Plus en détailRéf. Ifremer N 12/2 212 838. Surveillance et gardiennage du Centre Ifremer de Bretagne. Cahier des Clauses Techniques Particulières (CCTP)
Réf. Ifremer N 12/2 212 838 Surveillance et gardiennage du Centre Ifremer de Bretagne Cahier des Clauses Techniques Particulières (CCTP) 1. OBJET...3 2. RESPONSABLES HABILITES...3 3. DEFINITION DES PRESTATIONS
Plus en détailAPRES TOUT ACTE DE MALTRAITANCE. 3. Elaboration des recommandations de pratique. 4. Diffusion au personnel des recommandations.
PROCESSUS D ASSURANCE QUALITE MIS EN ŒUVRE APRES TOUT ACTE DE MALTRAITANCE 1. Identification des circonstances déclenchantes de l acte de maltraitance. 2. Définition des objectifs correctifs. 3. Elaboration
Plus en détailP.C.S. Plan Communal de Sauvegarde
P.C.S Plan Communal de Sauvegarde Plan Communal de Sauvegarde de CHINON Sommaire CHAPITRE 1 INTRODUCTION FI 1 Préambule FI 2 Objet du PCS et cadre réglementaire FI 3 Arrêté municipal de réalisation du
Plus en détailL outillage du Plan de Continuité d Activité, de sa conception à sa mise en œuvre en situation de crise
Auteur : Robert BERGERON Consultant en Sécurité des Systèmes d Information et Management de la Continuité d Activité Quel outil pour le PCA? de sa conception à sa mise en œuvre en situation de crise Introduction
Plus en détailMINISTÈRE DU TRAVAIL, DES RELATIONS SOCIALES, DE LA FAMILLE, DE LA SOLIDARITÉ ET DE LA VILLE MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SPORTS ADMINISTRATION
ADMINISTRATION ADMINISTRATION GÉNÉRALE MINISTÈRE DE L INTÉRIEUR, DE L OUTRE-MER ET DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES MINISTÈRE DE LA SANTÉ, DE LA JEUNESSE, DES SPORTS ET DE LA VIE ASSOCIATIVE Secrétariat
Plus en détailDISPOSITIONS GENERALES ORSEC LIVRE 2 MODES D ACTION GENERAUX DU DISPOSITIF ORSEC PLAN ORSEC NOMBREUSES VICTIMES
ORGANISATION DE LA REPONSE DE SECURITE CIVILE TOME I DISPOSITIONS GENERALES LIVRE 2 Plan ORSEC nombreuses victimes Préfecture des Landes Cabinet du Préfet - SIDPC - DISPOSITIONS GENERALES ORSEC LIVRE 2
Plus en détailVIGIPIRATE DE VIGILANCE, DE PRÉVENTION ET DE PROTECTION FACE AUX MENACES D ACTIONS TERRORISTES. Partie publique du Plan gouvernemental
Partie publique du Plan gouvernemental DE VIGILANCE, DE PRÉVENTION ET DE PROTECTION FACE AUX MENACES D ACTIONS TERRORISTES VIGIPIRATE n 650/SGDSN/PSN/PSE du 17 janvier 2014 SOMMAIRE 2 Introduction Le nouveau
Plus en détailSystèmes et réseaux d information et de communication
233 DIRECTEUR DES SYSTÈMES ET RÉSEAUX D INFORMATION ET DE COMMUNICATION Code : SIC01A Responsable des systèmes et réseaux d information FPESIC01 Il conduit la mise en œuvre des orientations stratégiques
Plus en détailRésumé CONCEPTEUR, INTEGRATEUR, OPERATEUR DE SYSTEMES CRITIQUES
Aristote ----- Cloud Interopérabilité Retour d'expérience L A F O R C E D E L I N N O V A T I O N Résumé Les systèmes d'information logistique (SIL) sont des outils qui amènent des gains de productivité
Plus en détailPLAN COMMUNAL DE SAUVEGARDE COMMUNE DE PUNAAUIA PARTIE 2: OPERATIONNELLE
2011 PLAN COMMUNAL DE SAUVEGARDE COMMUNE DE PUNAAUIA PARTIE 2: OPERATIONNELLE SOMMAIRE SOMMAIRE 2 DECLENCHEMENT DU PCS 3.1 ROLE ET OBJECTIFS DU PLAN 3.2 MODALITES DE DECLENCHEMENT DES DIFFERENTES ALERTES
Plus en détailDivision Espace et Programmes Interarméeses. État tat-major des armées
Division Espace et Programmes Interarméeses LE MINDEF en quelques mots 295 000 personnes, militaires et civils. 7000 personnes engagées en opérations extérieures, 80% au sein d une coalition internationale
Plus en détailLE référentiel des métiers
LE référentiel des métiers 2 Le référentiel des métiers de Pôle emploi FILIÈRE RELATION DE SERVICES Métiers MISSIONS ACTIVITÉS COMPÉTENCES Le référentiel des métiers de Pôle emploi 3 4 Le référentiel des
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE Contacts presse
DOSSIER DE PRESSE Contacts presse : Bureau de la communication interministérielle - 02.48.67.34.36 pref-communication@cher.gouv.fr Préfecture du Cher - Place Marcel Plaisant CS 60022-18020 BOURGES Cedex
Plus en détailITIL V3. Transition des services : Principes et politiques
ITIL V3 Transition des services : Principes et politiques Création : janvier 2008 Mise à jour : août 2009 A propos A propos du document Ce document de référence sur le référentiel ITIL V3 a été réalisé
Plus en détailUne autorisation préalable en
Demande d autorisation préalable ou d autorisation provisoire afin d accéder à une formation délivrant l aptitude professionnelle d agent privé de sécurité Vous souhaitez Accéder à une formation afin d
Plus en détailModèle de Manuel de. Système de Management de la Sécurité, et SMS/SGS
MINISTÈRE DE L ÉCOLOGIE, DU DÉVELOPPEMENT DURABLE, DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT Direction générale de l aviation civile Direction de la sécurité de l'aviation civile Direction aéroports et navigation
Plus en détailKen Bell s Sommaire des Abréviations
Ken Bell s Sommaire des Abréviations AUG: CSAM: DSA: PUI: RCP: RIA: SCR: Arrêt Urgence Général CERN Safety Alarm Monitoring Défibrillateur Semi-Automatique Plan Urgence D Intervention Réanimation Cardio-Pulmonaire
Plus en détailFormations dédiées aux acteurs du logement social
Gestion et communication de crise Formations dédiées aux acteurs du logement social Arjuna est un cabinet conseil dédié, depuis 1993, à la gestion et la communication de crise. Lors des formations qu ils
Plus en détailLoi n 2006-686 du 13 juin 2006 relative à la transparence et à la sécurité en matière nucléaire
Référence : DEP-Bordeaux-0538-2009 Monsieur le directeur du CNPE de Civaux BP n 64 86320 CIVAUX Bordeaux, le 15 avril 2009 Objet : Réf. : Contrôle des installations nucléaires de base Centre nucléaire
Plus en détailCes efforts ont déjà contribué significativement à l atteinte des objectifs de l OTAN depuis 2014.
Dès le début de la crise ukrainienne et compte tenu de la menace potentielle perçue par ses alliés d Europe centrale et du Nord à leurs frontières, l OTAN a pris un ensemble de mesures politiques et militaires
Plus en détailLes services de secours face aux phénomènes météorologiques: La gestion des alertes. Luxembourg, le 11 décembre 2012
Les services de secours face aux phénomènes météorologiques: La gestion des alertes Luxembourg, le 11 décembre 2012 Trends in global disasters Wild fire 4% Slide 5% Floods 32% World distribution of disasters
Plus en détailQ ASSURANCE ET HELISMUR
Q ASSURANCE ET HELISMUR Samedi 29 mars 2014 29 mars 2014 Tous droits réservés 1. Qui sommes-nous? Q Le Groupe VERSPIEREN Les données clés en 2013 : - 1 er courtier d assurance à capital familial du marché
Plus en détailPLAN ORSEC DE NOUVELLE - CALÉDONIE
HAUT-COMMISSARIAT de la RÉPUBLIQUE en NOUVELLE-CALEDONIE --------- Cabinet --------- --------- Direction de la Sécurité Civile --------- Dispositions prises en application du Code de la Sécurité Intérieure
Plus en détailPRESENTATION DE L AGENCE NATIONALE DES PORTS. Avril 2011
PRESENTATION DE L AGENCE NATIONALE DES PORTS Avril 2011 1 Mise en place d un cadre législatif et réglementaire L instauration par la Loi 15-02 de: l obligation d exercice des activités portuaires dans
Plus en détailREPONSE OPERATIONNELLE DU SDIS 06 FACE A UN EVENEMENT SISMIQUE Patrick BAUTHEAC Directeur Départemental des Services d incendie des Alpes Maritimes
Atelier 1 groupe de travail sismique franco-italo-suisse du projet Interreg Alcotra RiskNET Atelier 1 gruppo di lavoro sismico franco-italo-svizzero del progetto Interreg Alcotra RiskNET Anticiper la gestion
Plus en détail1 - Connexion au service de gestion des demandes informatiques du lycée
1 - Connexion au service de gestion des demandes informatiques du lycée http://support.e-lycee-paca.fr Adresse du service en ligne à partir de tout point d accès internet, 24h/24. 1 Les identifiants sont
Plus en détailComment s exerce l autorisation parentale de sortie de l enfant du territoire national ou l opposition à cette sortie?
Comment s exerce l autorisation parentale de sortie de l enfant du territoire national ou l opposition à cette sortie? En cas d autorité parentale exclusive, c est la liberté ; le parent la détenant pouvant
Plus en détail«Une heure pour savoir»
PLAN CYCLONE. ORGANISATION DÉPARTEMENTALE ET ZONALE DE LA GESTION DE CRISE «Une heure pour savoir» LE 8 JUILLET 2011 E.FONTANILLE/ J. VINCENT Les CYCLONES aux ANTILLES Depuis 1986 le Cyclone (en Grec Dieu
Plus en détailINSPECTION GÉNÉRALE CONSEIL GÉNÉRAL DE CONSEIL GÉNÉRAL DE DE L ADMINISTRATION L ENVIRONNEMENT ET L ÉCONOMIE, DE L INDUSTRIE,
INSPECTION GÉNÉRALE CONSEIL GÉNÉRAL DE CONSEIL GÉNÉRAL DE DE L ADMINISTRATION L ENVIRONNEMENT ET L ÉCONOMIE, DE L INDUSTRIE, DU DÉVELOPPEMENT DE LÉNERGIE ET DES DURABLE TECHNOLOGIES Rapport Rapport Rapport
Plus en détailHébergement TNT OM Important
O F F R E D E R E F E R E N C E 2 0 1 4 Hébergement TNT OM Important ANNEXE H7 REGLES D ACCES AUX SITES GERES PAR TDF Version 2014_1 du 09 janvier 2015 * Imaginer des solutions pour un monde numérique
Plus en détailTableau de Bord. Clas 1.1 Conduite d'un projet de communication
Bande de Com! Tableau de Bord Julien Pansier PROJET Clas 1.1 Conduite d'un projet de communication 1.1.1 Prise en charge du dossier de l annonceur C11.1. S approprier la demande de l annonceur - Comprendre
Plus en détailActivités privées de sécurité
cerfa N 13851*01 Activités privées de sécurité Demande d autorisation préalable afin d accéder à une formation délivrant l aptitude professionnelle d agent privé de sécurité Demande d autorisation provisoire
Plus en détailGuide méthodologique «La conduite du retour d expérience, éléments techniques et opérationnels»
DIRECTION DE LA DEFENSE ET DE LA SECURITE CIVILES SOUS DIRECTION DE LA GESTION DES RISQUES Bureau de l Analyse et de la Préparation aux Crises Guide méthodologique «La conduite du retour d expérience,
Plus en détailExpérience professionnelle / stages en entreprise. Langues étrangères. Attestation sur l honneur
CAMAS FORMATION BORDEAUX 11 avenue Pierre Mendès France 33700 Mérignac Tél. : 05 56 18 98 16 camasbordeaux@camasformation.fr DOSSIER DE CANDIDATURE UNE FOIS COMPLÉTÉ, LE DOSSIER DEVRA ÊTRE ENVOYÉ À L ADRESSE
Plus en détailretour d expérience accident ferroviaire de Brétigny-sur-Orge (91), le 12 juillet 2013 RETOUR D EXPÉRIENCE DE L ACCIDENT...2
SOMMAIRE RETOUR D EXPÉRIENCE DE L ACCIDENT...................................................2 CHRONOLOGIE DES FAITS...........................................3 ORGANISATION DE LA CHAÎNE DE COMMANDEMENT.............................................4
Plus en détail- Biométrique par badge code - Visualisation en directe - Positionnement sur des alarmes - Image haute résolution de jour comme de nuit
Réseaux intelligent - Système d analyse de scène - Déclenchement de signal automatique ou manuel - Surveillance périphérique et périmétrique - Biométrique par badge code - Visualisation en directe - Positionnement
Plus en détailASSURANCE COLLECTIVE ACCIDENT VÉHICULE DE TRANSPORT PUBLIC CERTIFICAT D ASSURANCE
ASSURANCE COLLECTIVE ACCIDENT VÉHICULE DE TRANSPORT PUBLIC CERTIFICAT D ASSURANCE Le présent certificat comprend des limitations à la protection. Veuillez le lire attentivement, le conserver en lieu sûr
Plus en détail1 - Qu est-ce qu une mission, comment déterminer son contenu et qui va les accomplir?
FICHE N 20 : LES MISSIONS DE TERRAIN À ASSURER Pour assurer la mise en œuvre des missions de sauvegarde, il est nécessaire de disposer d intervenants de terrain. En fonction des phénomènes, de la situation,
Plus en détailCentre d Information et de Gestion du Trafic
Centre d Information et de Gestion du Trafic Présentation NCA juin2012 Le CIGT 06 Un service du Conseil général des Alpes Maritimes Créé en 2006 - Au sein de la Direction des Routes Fonctionnement 24h/24
Plus en détailPrésentation générale Underwriting & International Risk Management
Présentation générale Underwriting & International Risk Management Assurances de personne Biens & Responsabilités des Entreprises Production audiovisuelle Schéma général 1 PRESENTATION GENERALE L association
Plus en détailwww.formationpoissonnier.fr Association de Formation des Poissonniers de France SIRET : 507 700 664 00026 - APE : 8559A N déclaration d activité :
www.formationpoissonnier.fr Association de Formation des Poissonniers de France SIRET : 507 700 664 00026 - APE : 8559A N déclaration d activité : 53220837422 Tél : 02.96.50.50.85 Fax : 02.96.50.50.86
Plus en détailL-ebore SAS. choisissez des solutions à portée de main... La sûreté, les risques, la continuité d activité, les crises, au cœur de vos problématiques,
L-ebore SAS 2013 La sûreté, les risques, la continuité d activité, les crises, au cœur de vos problématiques, choisissez des solutions à portée de main... Qui sommes-nous? Spécialisée dans le domaine de
Plus en détailGuide de bonnes Pratiques EMAT
Guide de bonnes Pratiques EMAT 1 Table des matières I. PRINCIPE GENERAL DE LA DEMANDE DE TRAVAUX... 3 II. LES MODALITES D UTILISATION DE L EMAT... 4 A. La Convention... 4 B. Expression de la demande...
Plus en détailCONDITIONS GENERALES DE LOCATION MEDIACO YACHTS
CONDITIONS GENERALES DE LOCATION MEDIACO YACHTS ART. 1 : OBJET DU CONTRAT Le présent contrat a pour objet la mise à disposition d un bateau avec ou sans équipage. L identification du loueur, du locataire,
Plus en détailQUESTIONNAIRE Responsabilité Civile
QUESTIONNAIRE Responsabilité Civile RESPONSABILITE CIVILE PROFESSIONNELLE DE LA SECURITE : ACTIVITES DE SURVEILLANCE ET DE GARDIENNAGE (activités régies par le livre VI du Code de la sécurité intérieure)
Plus en détailCompte Qualité. Maquette V1 commentée
Compte Qualité Maquette V1 commentée Élaborée suite à l expérimentation conduite par la Haute Autorité de santé au second semestre 2013 auprès de 60 établissements testeurs. Direction de l Amélioration
Plus en détailGDR des CPE sous la direction de Nathalie Szoc LIVRET DE FORMATION ET DE COMPETENCE CPE
GDR des CPE sous la direction de Nathalie Szoc LIVRET DE FORMATION ET DE COMPETENCE CPE Compétences communes à tous les professeurs et personnels d éducation Référentiel des compétences professionnelles
Plus en détailFonctionnalités HSE PILOT. Groupe QFI www.hse-pilot.com
Fonctionnalités HSE PILOT Groupe QFI www.hse-pilot.com Module produit chimique RECENSEMENT DES PRODUITS Les produits chimiques sont omniprésents dans les entreprises. La gestion qui leur est associée peut
Plus en détailCOURTIERS D ASSURANCES MARITIMES & TRANSPORTS RISQUES D ENTREPRISES. www.degonde.com
COURTIERS D ASSURANCES MARITIMES & TRANSPORTS RISQUES D ENTREPRISES Police d assurance datant de 1772 Le nom de DEGONDE est associé à l'assurance Maritime et Transports depuis quatre générations, à Bordeaux
Plus en détail3.2. RAPPORT DU PRÉSIDENT DU CONSEIL D ADMINISTRATION (ARTICLE L. 225-37 DU CODE DE COMMERCE)
3 3.2. RAPPORT DU PRÉSIDENT DU CONSEIL D ADMINISTRATION (ARTICLE L. 225-37 DU CODE DE COMMERCE) Pour l élaboration du présent rapport, le Président a consulté le Vice-Président Exécutif, Directeur Financier
Plus en détailCoopération entre les ports maritimes et les plateformes intérieures ( freight village )
Coopération entre les ports maritimes et les plateformes intérieures ( freight village ) Bruno VERGOBBI Délégué général de l UPACCIM (Union des Ports Autonomes et des Chambres de Commerce et d Industrie
Plus en détailCONDITIONS GENERALES DE VENTE PRODUITS & SERVICES SPGO HIGH TEC
CONDITIONS GENERALES DE VENTE PRODUITS & SERVICES SPGO HIGH TEC ARTICLE I : Les présentes conditions générales de vente concernent exclusivement la vente d équipements de sécurité avec ou sans prestations
Plus en détailCirculaire n 5051 du 04/11/2014
Circulaire n 5051 du 04/11/2014 Collaboration entre les Centres psycho-médico-sociaux, le Service de médiation scolaire et le Service des équipes mobiles missions et rôles Réseaux et niveaux concernés
Plus en détailGUIDE DE REDACTION D'UN MANUEL D'EXPLOITATION PARTIE D
Page : 1/7 Note : Le contenu des différents chapitres de la partie D doit être traité par des responsables de l exploitation et non du TRTO. Les éléments qui concernent les personnels navigants doivent
Plus en détailLES "RPAS" CIVILS RESPONSABILITES ET ASSURANCE
ASTECH JOURNÉE THÉMATIQUE SUR LES DRONES 25 AVRIL 2013 LES "RPAS" CIVILS RESPONSABILITES ET ASSURANCE Pierre-Olivier Leblanc, Avocat à la Cour Associé Jean-Baptiste Charles, Avocat à la Cour HOLMAN FENWICK
Plus en détailRecours aux entreprises extérieures
RECOMMANDATION R429 Recommandations adoptées par le Comité technique national de la chimie, du caoutchouc et de la plasturgie le 21 novembre 2006. Cette recommandation annule et remplace la recommandation
Plus en détailPERSONNE ACTIVITE à RISQUE Travailleur isolé - Chute - Milieu explosif
PERSONNE ACTIVITE à RISQUE Travailleur isolé - Chute - Milieu explosif Mise en place Ceinture Holster Pendentif...Poignet Cheville Sac Celui qui protège pour gérer et traiter les informations PcGeoVie
Plus en détailManagement par les processus Retour sur Investissement. Lionel Di Maggio Master 1 MIAGE
Management par les processus Retour sur Investissement Lionel Di Maggio Master 1 MIAGE 1 Programme Cours Module Type de Cours Duree Planning Objectifs et définitions du "Management par le process" CM 1.5
Plus en détailSéquence 1 : La place du MSP et de l ISP
Séquence 1 : La place du MSP et de l ISP 1- Sécurité civile et police administrative L activité opérationnelle des sapeurs pompiers s exercent dans le cadre de la police administrative. La police administrative
Plus en détailOutils et moyens pour implanter la continuité des opérations dans votre organisation
Outils et moyens pour implanter la continuité des opérations dans votre organisation Colloque sur la sécurité civile, 15 février 2012 Mariette Trottier Ministère du Développement économique, de l Innovation
Plus en détailREFERENTIEL Chef(fe) de Projets Marketing et Commercial Titre Bac+4 certifié Niveau II J.O du 09 Août 2014 - code NSF 312
REFERENTIEL Chef(fe) de Projets Marketing et Commercial Titre Bac+4 certifié Niveau II J.O du 09 Août 2014 - code NSF 312 1 REFERENTIEL DE FORMATION CHEF(FE) DE PROJETS MARKETING ET COMMERCIALE TITRE CERTIFIE
Plus en détailMESDAMES ET MESSIEURS LES DIRECTEURS ET CHEFS DE SERVICE
MESDAMES ET MESSIEURS LES DIRECTEURS ET CHEFS DE SERVICE PPRS/SEC//BR/DS/PP/DSA/N 12-04 Danielle SOULAT 01 43 93 84 77 POUR DIFFUSION AUX AGENTS POSTE A POURVOIR : CHEF DE PROJET ARCHIVAGE ET SYSTEME D
Plus en détailCONDITIONS GENERALES D UTILISATION DE L APPLICATION LINK MYPEUGEOT 1 - PREAMBULE
CONDITIONS GENERALES D UTILISATION DE L APPLICATION LINK MYPEUGEOT 1 - PREAMBULE L application Link MyPeugeot (ci-après dénommée «l Application») est une application mobile gratuite, compatible ios 6 ou
Plus en détail2013 Formations à la sûreté maritime
2013 Formations à la sûreté maritime Agent de sûreté de navire (SSO) STCW 2010 Company security officer (CSO) OMI course 3.20 Sensibilisation à la sûreté maritime STCW 2010 Formation pour les gens de mer
Plus en détailFICHE METIER. «Assistant son» Assistant son APPELLATION(S) DU METIER DEFINITION DU METIER
Opérateur du son Version 1 «Assistant son» APPELLATION(S) DU METIER Assistant son DEFINITION DU METIER L assistant son aide l ingénieur du son ou le chef opérateur du son, responsable des enregistrements
Plus en détailla conformité LES PRINCIPES D ACTION
La fonction Conformité au sein de BNP Paribas La fonction Conformité a été créée en décembre 2004, en anticipation de nouvelles dispositions du règlement 97-02 sur le contrôle interne des établissements
Plus en détailTERMES DE RÉFÉRENCE AXE : FORMATION CREATION ET GESTION DE BASES DE DONNEES
REPUBLIQUE TUNISIENNE --*-- MINISTERE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR, DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE, DES TECHNOLOGIES DE L INFORMATION ET DE LA COMMUNICATION TERMES DE RÉFÉRENCE AXE : FORMATION CREATION ET
Plus en détailCENTRALE D ALARME SANS FILS
CENTRALE D ALARME SANS FILS Cher client, Nous vous remercions d avoir fait l acquisition de notre appareil, avant de commencer son installation veuillez lire le mode d emploi joint et prenez note de ce
Plus en détailModernisation SI & Télécom des Samu-Centres 15. Assemblée Générale SUdF
Modernisation SI & Télécom des Samu-Centres 15 Assemblée Générale SUdF 04 juin 2014 Agenda 1. Genèse du projet 2. Solution envisagée 3. Feuille de route 4. Point d étape Projet de modernisation des SI
Plus en détailConsignes déclaratives DSN
Consignes déclaratives DSN Pôle emploi 1/8 Contenu PREAMBULE... 3 1. GERER UNE FIN DE CDD / GERER UNE PROLONGATION DE CDD... 4 2. GERER UNE ABSENCE NON REMUNEREE OU PARTIELLEMENT REMUNEREE... 5 3. GERER
Plus en détailLE TABLEAU DE BORD DE SUIVI DE L ACTIVITE
TABLEAU DE BORD LE TABLEAU DE BORD DE SUIVI DE L ACTIVITE DEFINITION Le tableau de bord est un support (papier ou informatique) qui sert à collecter de manière régulière des informations permettant de
Plus en détailLes systèmes d'information et d'alerte par SMS Vers une stratégie de communication directe
CLEVER SMS - MEMO GUARD Marketing direct, e-démocratie, gestion de crise. 1 Le SMS, une opportunité à saisir SMS : Short Message Service Taux de lecture dépassant les 90% Taux de retour supérieur aux autres
Plus en détailUDSG CLASSIFICATION DOSSIER DOCUMENTAIRE
UDSG CLASSIFICATION DOSSIER DOCUMENTAIRE 2 SOMMAIRE I. LES FAMILLES PROFESSIONNELLES... 5 II. LES FONCTIONS GENERIQUES... 12 FAMILLE ETUDES ET CONCEPTION......... 15 ASSISTANT D ETUDES ET CONCEPTION...16
Plus en détailJe soussigné(e) Mme, Mlle, M.., reconnaît avoir pris connaissance du règlement ci-dessus et en accepte les conditions. Fait le..
Fiche d inscription Prévention et Secours Civiques de Niveau 1 (PSC1) DELEGATION LOCALE DE SURESNES Madame Mademoiselle Monsieur NOM d usage : NOM de naissance : Prénom : Date de naissance : Lieu de naissance
Plus en détailLa rationalisation Moderniser l organisation pour dynamiser l entreprise
La rationalisation Moderniser l organisation pour dynamiser l entreprise - la transformation en marche - 1 Les enjeux de la rationalisation Qu est ce que c est? Pour qui? Etymologie : du latin ratio, calcul,
Plus en détailSystème de management H.A.C.C.P.
NM 08.0.002 Norme Marocaine 2003 Système de management H.A.C.C.P. Exigences Norme Marocaine homologuée par arrêté du Ministre de l'industrie, du Commerce et des Télécommunications N 386-03 du 21 Février
Plus en détailPlan d intervention d urgence. en cas d attaque contre les systèmes d information. ou de faille technique des systèmes d information.
Plan d intervention d urgence en cas d attaque contre les systèmes d information ou de faille technique des systèmes d information «PIU Cyber» (version publique) Ministère d État Ministère de l Économie
Plus en détailAnticiper la gestion d'un séisme dommageable Anticipare la gestione dei danni di un terremoto
Atelier 1 groupe de travail sismique franco-italo-suisse du projet Interreg Alcotra RiskNET Atelier 1 gruppo di lavoro sismico franco-italo-svizzero del progetto Interreg Alcotra RiskNET Anticiper la gestion
Plus en détailLa diplomatie économique et la promotion économique du Maroc à l étranger
Conseil National du Commerce Extérieur La diplomatie économique et la promotion économique du Maroc à l étranger Anticiper Partager Agir 2000 www.cnce.org.ma Sommaire INTRODUCTION 1. LE NOUVEAU CONTEXTE
Plus en détailI. - LES FAITS NÉCESSITANT LA MISE EN ŒUVRE DE LA PROCÉDURE SPÉCIFIQUE D URGENCE A.
MINISTÈRE DES AFFAIRES SOCIALES, DU TRAVAIL ET DE LA SOLIDARITÉ Délégation générale à l emploi et à la formation professionnelle Sous-direction des formations en alternance et de l insertion des jeunes
Plus en détailAPPEL A PROPOSITION ACTIONS COLLECTIVES 2011-2012
APPEL A PROPOSITION ACTIONS COLLECTIVES 2011-2012 RÉPONSE DE L ORGANISME LES ORGANISMES DE FORMATI ON S ENGAGENT A COMPLETER LE PRESENT DOCUMENT DE REPONSE DANS LE CADRE DE L APPEL A PROPOSITION SUR LE
Plus en détailCQP Plasturgie Assemblage parachèvement finitions. Référentiels d activités et de compétences Référentiel de certification
CQP Plasturgie Assemblage parachèvement finitions Référentiels d activités et de compétences Référentiel de certification DESIGNATION DU METIER OU DES COMPOSANTES DU METIER EN LIEN AVEC LE CQP Le titulaire
Plus en détail