MOTIVATION DE L UTILISATION D INTERNET dans la pratique prostitutionnelle à Madagascar

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "MOTIVATION DE L UTILISATION D INTERNET dans la pratique prostitutionnelle à Madagascar"

Transcription

1 MOTIVATION DE L UTILISATION D INTERNET dans la pratique prostitutionnelle à Madagascar

2 Cette publication a été réalisée avec le soutien financier de l Agence Française de Développement, l Union européenne, Australian Aid et AIRFRANCE. Le contenu de cette publication relève de la seule responsabilité d ECPAT France et ne reflète pas nécessairement la position de ses bailleurs. Equipe sociale d ECPAT France Madagascar Editeur : ECPAT France Madagascar

3 LES MOTIVATIONS La migration des pratiques prostitutionnelles vers le cyberespace se constate depuis quelques années déjà. Depuis toujours, la prostitution se définit par «le fait de livrer son corps aux plaisirs sexuels d autrui pour de l argent». On entend par prostitution des enfants «le fait d utiliser un enfant aux fins d activités sexuelles contre rémunération ou toute autre forme d avantage» (Source : Protocole facultatif à la Convention Internationale des Droits de l Enfant concernant la vente d enfants, la prostitution des enfants et la pornographie mettant en scène des enfants). La présence des deux éléments «activités sexuelles» et «contrepartie» sont constitutifs d une situation de prostitution. Cette contrepartie n est pas caractérisée : elle peut être de l argent mais aussi des bijoux ou des vêtements. L enquête a voulu en savoir plus sur les avantages liés à l utilisation d internet dans la pratique prostitutionnelle. La sélection des enfants s est faite sur leur utilisation effective d internet. Le tableau suivant nous expose les motivations des jeunes non scolarisés à utiliser internet. Les pourcentages mentionnés sont relatifs au nombre de réponses données par les enfants. MOTIFS Nb. de fois cités par les enfants non scolarisés à Antananarivo Fréquence Nb. de fois cités par les enfants non scolarisés à Nosy Be Fréquence Recherche clients 56 64,5% 28 46% Conversation avec contacts 16 18,5% 26 42,6% Divertissement 15 17% 7 11,5% TOTAL % % Tableau n 1: motivation des enfants non scolarisés dans l utilisation d Internet à Antananarivo et Nosy Be 3

4 La première raison citée est la recherche des clients qui représente 64,5% des réponses pour Antananarivo et 46% pour Nosy Be. Internet est donc intimement lié pour ces jeunes à leur pratique prostitutionnelle. La seconde raison est la conversation avec les personnes en contact, ce qui peut également faire partie de la pratique prostitutionnelle. L enquête a cherché à comprendre les avantages que les jeunes trouvent à utiliser internet pour chercher des clients. Les questions ont été posées aux enfants non scolarisés. MOTIFS Facilité et confort de recherche Beaucoup de client / clients Vazahas Nb. de fois cités par les enfants non scolarisés à Antananarivo Fréquence Nb. de fois cités par les enfants non scolarisés à Nosy Be Fréquence 29 33% 22 37% 25 25% 23 39% Contact stable 0 0% 8 13,5% Meilleure tarification 20 22,5% 0 0% Discrétion 11 12% 0 0% Nouvelle pratique 4 4,5% 6 10,5% TOTAL % % Tableau n 2 : motivation principale des enfants non scolarisés dans l utilisation d Internet à Antananarivo et Nosy Be 4

5 Les avantages cités par les enfants sont en premier lieu du ressort de l efficacité. La recherche des clients est facilitée par internet, notamment par les réseaux sociaux qui ont été conçus pour faciliter les mises en contact. Facebook est un réseau social en ligne qui permet à ses utilisateurs de publier du contenu (texte, image, vidéo), d échanger des messages et d utiliser une variété d applications. Pour se faire identifier, les mineurs exposent des photos incitatives (maillot de plage, buste avec soutien-gorge), souvent accompagnés par de messages donnant indice de leurs prestations sexuelles. Le besoin d être au même endroit qu un client potentiel est effacé. Avant le recours à internet, les études sur les pratiques prostitutionnelles montraient que les filles fréquentaient en majorité certaines rues où les clients pouvaient s attendre à les trouver. Le racolage permettait alors de montrer sa disponibilité aux clients qui cherchent à consommer les services sexuels. Mais la pratique oblige à rester débout durant des heures pour attendre les clients. Le racolage se faisait aussi dans les bars mais consommer dans les bars pendant des heures coûte de l argent et la concurrence y reste importante. A part ces endroits, les parkings de bus et d autres endroits discrets comme les karaokés étaient aussi utilisés, notamment par les enfants scolarisés. De nombreuses difficultés étaient citées, comme le respect du territoire des autres qui était une source de conflit et de violence quotidienne. Les travailleuses du sexe adultes chassent notamment les mineurs dans leurs territoires car elles prennent tous les clients, concurrence déloyale. Trouver un lieu de passage tout en restant discret pour éviter les patrouilles des forces de l ordre était problématique pour les mineurs. L interdiction du racolage par la mairie de Tananarive en 2014 a augmenté les difficultés de mise en contact. Ces contraintes ont été résolues par l utilisation de l internet plus particulièrement Facebook. Une fille qui se prostitue depuis plus de 4 ans confirme ces changements : «mahita clients betsaka dia nitombo ny vola miditra» (on trouve beaucoup de clients et les revenus sont meilleurs). «Lasa any daholo ny olona no mitady sipa hatramin ilay hoe tsy mahazo ijoroana intsony eto amin ny ville. (Les clients se sont orientés vers l utilisation de l internet pour trouver 5

6 les personnes en situation de prostitution depuis l interdiction du racolage dans la grande ville). La demande pour des prestations sexuelles sur internet semble être particulièrement importante. D après le récit des jeunes, plus ils ont recruté de clients sur internet et plus les demandes de contacts se multiplient. Ce qui permet une augmentation rapide de la liste des clients qui veulent connaitre les prestations des mineurs et engagent des conversations jusqu à la réalisation d une rencontre. A noter que certains clients se connaissent et ils partagent leurs points de vue par rapport au mineur qui vient de sortir avec eux. Le besoin d être en relation en même temps que le client est également effacé. D une manière générale, le temps où les jeunes sont «accessibles» est important: les mineurs se connectent sur le téléphone portable, et ils réduisent seulement la fenêtre sans fermer l application en cours. Dès qu un message privé arrive, ils ouvrent et répondent. Les jeunes scolarisés se connectent même pendant les cours, avec discrétion. Ils déclarent néanmoins les heures de pointes, indispensable pour l échange avec les clients entre 12 à 14h et le soir après l école. Le téléphone portable est l outil indispensable pour 52% d entre eux : ils peuvent l utiliser n importe où à n importe quel moment. Les autres fréquentent des cybercafés. Ils s y connectent de Exploitation manière continue sexuelle et en des moyenne enfants en cela ligne dure un peu moins de deux heures. Le coût est faible. A Antananarivo ou à Nosy Be, le prix de connexion y reste très abordable avec des forfaits 15mn à 300 ariary dans la commune urbaine d Antananarivo et 50 ariay/mn à Nosy Be. Les conversations peuvent se faire de façon différée voire simultanément avec plusieurs clients potentiels. Autre motif mentionné par les jeunes concernant l utilisation de l internet est la tarification. Quand ECPAT France a mené une étude quantitative sur la prostitution des mineurs en 2013, la moyenne du coût par passe se trouvait à 5000 ariary, et beaucoup d enfant touchait donc bien moins que cette somme. Pour les enfants avec lesquels nous avons mené les entretiens, à Antananarivo, la fourchette de prix 6

7 est assez étendue mais le prix par passe commence à ariary avec un maximum de ariary, alors qu à Nosy Be, on trouve une passe qui commence à ar et jusqu à plus de ar. Globalement, le tarif se concentre entre ar à que ce soit pour les jeunes scolarisés ou déscolarisés. Ce qui différencie Nosy Be est la possibilité de sortir avec un expatrié pendant une semaine. Dans ce cas, l enfant accompagnera son client de manière continue durant son passage sur le lieu et cette prestation est tarifée à environ 100 euros. Par ailleurs, certains enfants reçoivent plutôt des objets de valeur : téléphones portables de gamme, bijoux, ou vêtements chics. Les mineurs ne se comparent pas aux jeunes qui se prostituent dans les rues au vu de leur démarche, leur apparence et le types de clients. Tout cela détermine le tarif plus élevé. Internet offre en effet plus de capacité de négociation. Le type de conversation dans les messages privés s oriente souvent vers un processus de drague. L élément de conversation préalable, le fait d être des «contacts», sont des éléments qu on ne retrouve pas dans la prostitution de rue. Tout d abord, les deux parties essaient de nouer une relation de type «non commerciale». Quand la question de la rencontre sexuelle arrive, les deux parties discutent alors des conditions. Vu le nombre des clients qui veulent devenir amis du mineur, ce dernier peut trier les personnes qui l intéressent et les conditions qui lui conviennent. A la différence de la prostitution dans les rues, où les négociations se font sans protocole, les rencontres arrangées par internet sont précédées d un restaurant ou d un verre. Seulement après cette étape, ils passent à l acte. «Passage dia samy miparitaka, raha tsy hoe vazaha angaha» (on se rencontre et terminé, sauf s il est vazaha). Cette dernière affirmation confirme que l acte sexuel est bien la finalité de la relation virtuelle engagée. Mais internet permet de reprendre contact, quand le client était potentiellement intéressant. La relation virtuelle permet de garder un lien stable entre les deux parties. Une fille lycéenne de 16 ans raconte : «Tsia, izay mba metimety na olona fantatro fa tsy ny olona rehetra. Bogosy na ireny mba malazalaza 7

8 ireny, mba mikata» (Non, ceux qui sont plaisants, mais pas tout le monde, beau gosse, des gens célèbres ou qui présentent bien). Un garçon de 17 ans affirme à son tour que si les demandeurs sont des filles, il accepte de suite par contre si ce sont des garçons, je regarde d abord son profil et je trie après. Le point commun est le refus des noms qu ils jugent étranges et aussi des fausses identités de profil. Les contours de la prostitution deviennent ainsi plus difficiles à cerner. Les mineurs comme les clients ne considèrent pas leur pratique comme de la «prostitution». Certains enfants considèrent leur pratique comme une forme de relation comme les autres «fiarahana ohatran ny fiarahana rehetra ihany». Une jeune fille essaie d expliquer son point de vue en ces termes : «rehefa manao firaisana aho mba mila vola koa hamenoako ny tsy ampy amiko na dia eo aza ny fitiavana» (quand j ai eu une relation sexuelle avec une personne, je demande aussi de l argent pour que je puisse satisfaire aussi mes besoins malgré la présence de l amour). Cette affirmation marque le fait que même si la jeune fille a établi une relation beaucoup plus intime avec son client, il doit payer. Et elle rajoute «ny olona rehetra afaka manao izay tiany rehefa eo amin ny fitiavana fa tsy hoe mivaro-tena aho akory, tsy matetika koa anie izany e!» (Tout le monde peut faire ce qu il veut dans le domaine de l amour, je ne me prostitue pas du tout et je ne fais pas cela souvent). Elle met l accent sur sa liberté de vivre Exploitation pleinement sa sexuelle sexualité des ou enfants ce qu elle en ligne perçoit comme de l amour. Quand on interroge les enfants scolarisés, ils parlent de chercher de «nouveaux amis» sur internet pour 56% des enfants à Antananarivo et 61% à Nosy Be. Ils refusent catégoriquement d employer le terme de prostitution. Les échanges avec les jeunes montrent clairement qu une relation sexuelle avec «vazaha» n est pas du tout considérée comme de la prostitution, même s il y a (parce qu il y a forcément) une contrepartie. Une jeune fille explique qu elle a établi une relation virtuelle avec un expatrié. S ils ne sont pas encore dans une relation sexuelle, la mineure obtient de l argent venant de cette personne qui doit venir bientôt. Pour eux, garçons ou filles, la recherche des clients expatriés par 8

9 internet est une démarche pour arriver à leur fin qui est de trouver un «mari vazaha» ou au moins un «malgache riche». Avant de tomber sur celui qui sera leur mari, il faut se proposer au plus grand nombre possible. Trouver un mari expatrié est un signe de réussite. S afficher au restaurant ou sortir avec eux est un privilège qui renforce son image sociale. Etre marié avec un «vazaha» signifie une vie pleine d argent, des voyages à l étranger, de possibilité de construction de maison en dur, bref, une possibilité de réaliser ses rêves et de fuir la vie quotidienne des malgaches. Les éléments financiers sont inhérents au «vazaha». La prostitution ne peut s appliquer pour ces jeunes qu à une relation avec un national. Autre motif qui ressort est la discrétion. Vu que la prostitution enfantine est poursuivie par la loi en vigueur à Madagascar, les comptes en ligne permettent de cacher son identité et sa pratique. Les enfants peuvent y changer leur nom, leur âge, leur photo, de même que leurs clients. L anonymat permet de ne pas s exposer aux forces de l ordre mais aussi à des processus d exclusion sociale que les autres enfants en situation de prostitution de rue subissent. L anonymat reste néanmoins relatif. 46% des enfants interviewés à Antananarivo connaissent les paramètres de confidentialité dans l utilisation de Facebook, alors qu à Nosy be 83% les ignorent. Ce qui montre que malgré l utilisation quotidienne de cet outil de communication, les enfants ne le maitrisent pas convenablement. Internet permet également aux jeunes de cacher leurs pratiques à leurs parents. Plus de 80% de ces enfants utilisent internet sans aucune forme de contrôle parental. Les parents ne savent pas forcement comment opère Facebook ou les autres réseaux sociaux, ne connaissent pas les mots clés comme «mp» (message privé). Ce décalage de connaissances dans la manipulation des produits technologiques rend difficile le rôle des parents dans la supervision de leurs enfants. Les seules limites que les parents imposent s orientent sur la durée de l utilisation, ou les horaires (heure de dormir ou de faire les devoirs). Par contre, ils ont des difficultés à poser des limites sur les contenus consultés. 9

10

Analyse de quelques occurrences issues d un corpus oral (dialecte betsileo) Quelques pistes pour l apprenant

Analyse de quelques occurrences issues d un corpus oral (dialecte betsileo) Quelques pistes pour l apprenant Ao Analyse de quelques occurrences issues d un corpus oral (dialecte betsileo) Quelques pistes pour l apprenant Préambule Locutrice non native du malgache Présentations traditionnelles de ao Sens et le

Plus en détail

lapleiade@ville-commentry.fr

lapleiade@ville-commentry.fr lapleiade@ville-commentry.fr Comprendre les principaux risques L exposition aux images choquantes Aujourd hui, vous risquez 1 fois sur 3 d'être confrontés à des images choquantes sur le Net, que ce soit

Plus en détail

Synthèse enquête CESC 2010 2011 Pratique d'internet, du téléphone portable et des jeux vidéo

Synthèse enquête CESC 2010 2011 Pratique d'internet, du téléphone portable et des jeux vidéo Préambule Afin de prévenir des nouvelles pratiques d'internet, chez les adolescents, nous avons décidé de réaliser une enquête auprès de tous les élèves du collège. Cette enquête comporte 40 questions.

Plus en détail

La sécurité sur Internet

La sécurité sur Internet La sécurité sur Internet si on en parlait en famille? Petit guide à l usage des parents Internet pour tous Internet de demain Réalisé avec l aide du ministère de l Enseignement supérieur et de la Recherche

Plus en détail

Photos et Droit à l image

Photos et Droit à l image Photos et Droit à l image 1) Le droit à l image (photos-vidéos) L atteinte au droit à l image n est pas caractérisée dès lors que la personne photographiée n est pas identifiable et que sa vie privée n

Plus en détail

Les pratiques des 9-16 ans sur Internet

Les pratiques des 9-16 ans sur Internet Les pratiques des 9-16 ans sur Internet Regards croisés entre parents et enfants! - Principaux résultats -! Décembre 2012! Arnaud ZEGIERMAN Directeur associé az@institut-viavoice.com Aurélien PREUD HOMME

Plus en détail

Le contrôle parental. Premier partenaire de votre réussite

Le contrôle parental. Premier partenaire de votre réussite Le contrôle parental Premier partenaire de votre réussite Table des matières 1 - Qu est-ce qu un logiciel de contrôle parental? 2 - Le contrôle parental «pas à pas» L onglet «Accueil» L onglet «administration»

Plus en détail

DOSSIER DE CANDIDATURE

DOSSIER DE CANDIDATURE INSTITUT INTERNATIONAL DU MULTIMEDIA DOSSIER DE CANDIDATURE MBA SPÉCIALISÉ VIDEO GAME MANAGEMENT NOM : Nom : Photo obligatoire PRENOM : Prénom : Vous êtes étudiant. Vous êtes ou avez été en activité professionnelle.

Plus en détail

PROMOUVOIR LA SANTÉ ET LES DROITS SEXUELS ET REPRODUCTIFS

PROMOUVOIR LA SANTÉ ET LES DROITS SEXUELS ET REPRODUCTIFS PROMOUVOIR LA SANTÉ ET LES DROITS SEXUELS ET REPRODUCTIFS Positionnement en vue de la session spéciale des (22 septembre 2014) 2 1. FACE À UN AVENIR INCERTAIN, LES GOUVERNEMENTS DOIVENT SE REMOBILISER

Plus en détail

LE HARCELEMENT A L ECOLE

LE HARCELEMENT A L ECOLE 1 05/05/2014 LE HARCELEMENT A L ECOLE l'essentiel : Selon une statistique nationale, un élève sur 10 est victime de harcèlement à l'école. Pour la moitié ce sont des cas de harcèlement sévère. Le harcèlement

Plus en détail

République Algérienne Démocratique et Populaire

République Algérienne Démocratique et Populaire République Algérienne Démocratique et Populaire Journée mondiale des Télécommunications Séminaire protection des enfant dans le cyberespace Hôtel El-Jazaïr Alger, le 17 Mai 2009. L ENFANT ET INTERNET «pour

Plus en détail

I-zara est un nouveau moyen de fructifier votre argent 1 ACTION DEVIENT 4 ACTIONS

I-zara est un nouveau moyen de fructifier votre argent 1 ACTION DEVIENT 4 ACTIONS I-zara est un nouveau moyen de fructifier votre argent 1 ACTION DEVIENT 4 ACTIONS Comment on s inscrit? Il suffit d acheter 1 ou plusieurs actions. Combien coûte 1 ACTION? Il existe 3 sortes d actions:

Plus en détail

«ENFANTS ET INTERNET» BAROMETRE 2011 de l opération nationale de sensibilisation :

«ENFANTS ET INTERNET» BAROMETRE 2011 de l opération nationale de sensibilisation : avec le soutien de «ENFANTS ET INTERNET» BAROMETRE nationale de sensibilisation : Génération Numérique Fiche technique Le cinquième baromètre et a été réalisé par Calysto dans le cadre de sensibilisation

Plus en détail

Safersurfing Sécurité sur les réseaux sociaux

Safersurfing Sécurité sur les réseaux sociaux Safersurfing Sécurité sur les réseaux sociaux En collaboration avec École et TIC Mentions légales Éditeur Auteur Photos educa.ch Prévention Suisse de la Criminalité www.skppsc.ch büro z {grafik design},

Plus en détail

mensuel d informations régionales 9è édition - Août 2011

mensuel d informations régionales 9è édition - Août 2011 masolavitra mensuel d informations régionales 9è édition - Août 2011 gratuit Sommaire page 2-3 : Prix de l Entrepreneur Social page 4 : Pour le développement de la région Haute-Matsiatra [Idees Vozama]

Plus en détail

MODELE DE CONTRAT DE TRAVAIL A DUREE INDETERMINEE ENTRE PARENTS ET ASSISTANTES MATERNELLES

MODELE DE CONTRAT DE TRAVAIL A DUREE INDETERMINEE ENTRE PARENTS ET ASSISTANTES MATERNELLES MODELE DE CONTRAT DE TRAVAIL A DUREE INDETERMINEE ENTRE PARENTS ET ASSISTANTES MATERNELLES Ce modèle a une fonction d information La Convention Collective Nationale des assistants maternels du particulier

Plus en détail

Adapté avec la permission du Ministère de l Éducation, Nouveau Brunswick

Adapté avec la permission du Ministère de l Éducation, Nouveau Brunswick Adapté avec la permission du Ministère de l Éducation, Nouveau Brunswick SONDAGE SUR L ATTITUDE DES PARENTS ENVERS L ÉDUCATION EN MATIÈRE DE SANTÉ SEXUELLE Nota : Vous pouvez transmettre ce sondage de

Plus en détail

Définir et consolider son projet associatif

Définir et consolider son projet associatif FICHE PRATI QUE Définir et consolider son projet associatif L association se place sous le signe de la liberté : celle de se regrouper pour prendre collectivement une initiative. De l idée à la conception,

Plus en détail

To buzz or not to buzz?

To buzz or not to buzz? Georges CHÉTOCHINE To buzz or not to buzz? Comment lancer une campagne de buzz marketing Groupe Eyrolles, 2007 ISBN : 978-2-212-53812-0 CHAPITRE 5 Recruter, former, animer les évangélistes Les vecteurs

Plus en détail

ENFANTS ET INTERNET BAROMETRE 2009-2010 de l opération nationale de sensibilisation : Un clic,déclic le Tour de France Des Etablissements Scolaires

ENFANTS ET INTERNET BAROMETRE 2009-2010 de l opération nationale de sensibilisation : Un clic,déclic le Tour de France Des Etablissements Scolaires ENFANTS ET INTERNET BAROMETRE de l opération nationale de sensibilisation : Un clic,déclic le Tour de France Des Etablissements Scolaires 1 Fiche technique Le quatrième baromètre et a été réalisé par Calysto

Plus en détail

Apprenez à votre enfant la Règle «On ne touche pas ici».

Apprenez à votre enfant la Règle «On ne touche pas ici». 1. Apprenez à votre enfant la Règle «On ne touche pas ici». Près d un enfant sur cinq est victime de violence sexuelle, y compris d abus sexuels. Vous pouvez empêcher que cela arrive à votre enfant. Apprenez

Plus en détail

Les adolescents, leur téléphone portable et l'internet mobile. Octobre 2009

Les adolescents, leur téléphone portable et l'internet mobile. Octobre 2009 Les adolescents, leur téléphone portable et l'internet mobile Octobre 2009 1. Quelle est la panoplie multi-média des adolescents en 2009? 2. Et le téléphone mobile en particulier, qui est équipé / qui

Plus en détail

1er thème: comment les revenus et les prix influencent-ils les choix des consommateurs?

1er thème: comment les revenus et les prix influencent-ils les choix des consommateurs? Ménages et consommation 1er thème: comment les revenus et les prix influencent-ils les choix des consommateurs? question 1: comment le revenu des ménages est-il réparti? question 2: quelle est l influence

Plus en détail

Un logiciel pour aller plus loin dans la gestion de vos espaces. Mémo technique

Un logiciel pour aller plus loin dans la gestion de vos espaces. Mémo technique Office Espace Un logiciel pour aller plus loin dans la gestion de vos espaces Mémo technique Dotée de fonctionnalités avancées, Office Espace a été développé pour les mairies et collectivités qui recherchent

Plus en détail

le QuEbec POUR Enrichir Affirmer les valeurs communes de la société québécoise

le QuEbec POUR Enrichir Affirmer les valeurs communes de la société québécoise POUR Enrichir le QuEbec Mesures pour renforcer l action du Québec en matière d intégration des immigrants Affirmer les valeurs communes de la société québécoise Affirmer les valeurs communes de la société

Plus en détail

exigences des standards ISO 9001: 2008 OHSAS 18001:2007 et sa mise en place dans une entreprise de la catégorie des petites et moyennes entreprises.

exigences des standards ISO 9001: 2008 OHSAS 18001:2007 et sa mise en place dans une entreprise de la catégorie des petites et moyennes entreprises. R E S U M E de la Thése de doctorat Perfectionnement du systemé de management intégré qualité-responsabilité sociale-santé et sécurité occupationnelle élaborée par Monsieur le thésard Denuntzio C. Romeo,

Plus en détail

Internet et les nouvelles technologies : «Surfer avec plaisir et en sécurité»

Internet et les nouvelles technologies : «Surfer avec plaisir et en sécurité» Réf : Septembre 2013 Internet et les nouvelles technologies : Blog, Facebook, Netlog, Youtube L utilisation d Internet, des GSM et autres technologies se généralise mais attention, tout n est pas permis

Plus en détail

REGLEMENT DU RESTAURANT SCOLAIRE DU RPI OZENAY-PLOTTES ECOLE LES JOYEUX CARTABLES

REGLEMENT DU RESTAURANT SCOLAIRE DU RPI OZENAY-PLOTTES ECOLE LES JOYEUX CARTABLES REGLEMENT DU RESTAURANT SCOLAIRE DU RPI OZENAY-PLOTTES ECOLE LES JOYEUX CARTABLES Article 1 Bénéficiaires Le restaurant scolaire municipal accueille les enfants scolarisés dans les écoles DU RPI OZENAY-PLOTTES.

Plus en détail

Les internautes et les comparateurs de prix

Les internautes et les comparateurs de prix FM N 19410 Contact L Atelier : Sandra Edouard Baraud Tél : 01 43 16 90 22 sandra.edouardbaraud@atelier.net, Contact Ifop : Frédéric Micheau Tél : 01 45 84 14 44 frederic.micheau@ifop.com pour Les internautes

Plus en détail

Enquête internationale 2013 sur le Travail Flexible

Enquête internationale 2013 sur le Travail Flexible Enquête internationale 2013 sur le Travail Flexible En octobre 2013, BakkerElkhuizen a mené une enquête en ligne parmi les professionnels RH en Allemagne, en Angleterre, en Belgique et aux Pays-Bas portant

Plus en détail

Prévention des usages excessifs des technologies numériques. Prévention des usages excessifs des technologies numériques

Prévention des usages excessifs des technologies numériques. Prévention des usages excessifs des technologies numériques Prévention des usages excessifs des technologies numériques Prévention des usages excessifs des technologies numériques Prévention des usages excessifs des technologies numériques Prévention des usages

Plus en détail

Tablette tactile : la nouvelle nounou?

Tablette tactile : la nouvelle nounou? Observatoire Orange - Terrafemina Tablette tactile : la nouvelle nounou? Sondage de l institut CSA Fiche technique du sondage L institut CSA a réalisé pour Orange et Terrafemina la 13 ème vague d un baromètre

Plus en détail

FICHE DE RENSEIGNEMENTS

FICHE DE RENSEIGNEMENTS FICHE DE RENSEIGNEMENTS INSCRIPTION 2014-2015 A rendre avant le 14 août 2014 Merci FAMILLE : 1 2 ENFANT(s) NOM de l enfant :...... PRENOM Né(e) le :...../../... Classe :..... Mon enfant ira à : la Garderie

Plus en détail

Notre planète mobile : Canada

Notre planète mobile : Canada Notre planète mobile : Canada Mieux comprendre les utilisateurs de mobiles Mai 2012 1 LES TÉLÉPHONES INTELLIGENTS ONT TRANSFORMÉ LE COMPORTEMENT DES CONSOMMATEURS 2 Le téléphone intelligent représente

Plus en détail

DOSSIER DE PRESSE RETROUVEZ TOUS VOS PAPIERS!

DOSSIER DE PRESSE RETROUVEZ TOUS VOS PAPIERS! DOSSIER DE PRESSE RETROUVEZ TOUS VOS PAPIERS! SOMMAIRE 01. Naissance d une idée p.3 02. Chiffres-clés p.4 03. Retrouvez tous vos papiers! p.5 04. Comment ça marche? p.6 05. Le pionnier de la relation client

Plus en détail

La réforme des pensions expliquée

La réforme des pensions expliquée La réforme des pensions expliquée TABLE DES MATIÈRES 1. LA PENSION ANTICIPÉE... 2 1.1. SITUATION AVANT LA RÉFORME... 2 1.2. SITUATION À PARTIR DU 1 ER JANVIER 2013... 2 1.3. LES MESURES DE TRANSITION...

Plus en détail

SUPER GO UN PROGRAMME DE RENFORCEMENT DES JEUNES FILLES

SUPER GO UN PROGRAMME DE RENFORCEMENT DES JEUNES FILLES SUPER GO UN PROGRAMME DE RENFORCEMENT DES CAPACITES DES JEUNES FILLES CONTEXTE DU PROGRAMME SUPER GO Féminisation du VIH : quelques chiffres clés (EIS-2005) 0,4% des filles de 15 à 19 ans sont infectées

Plus en détail

INTERVENTION SUR LES DANGERS DES NOUVELLES TECHNOLOGIES MULTIMEDIA PARENTS / ENFANTS

INTERVENTION SUR LES DANGERS DES NOUVELLES TECHNOLOGIES MULTIMEDIA PARENTS / ENFANTS INTERVENTION SUR LES DANGERS DES NOUVELLES TECHNOLOGIES MULTIMEDIA PARENTS / ENFANTS Capitaine Laurent SAMBOURG Brigadier chef Patrick ISABEL Policiers Formateurs Anti Drogue De la D.D.S.P de l Eure Présentation

Plus en détail

Risques et sécurité des enfants sur Internet : rapport pour la France

Risques et sécurité des enfants sur Internet : rapport pour la France Risques et sécurité sur Internet: le point de vue des jeunes et des parents en France 1 Risques et sécurité des enfants sur Internet : rapport pour la France Résultats de l enquête EU Kids Online menée

Plus en détail

Intervention de l association Fréquences Ecoles le mardi 27 Novembre

Intervention de l association Fréquences Ecoles le mardi 27 Novembre Synthèse du contenu des différentes actions de la Quinzaine d animations, de prévention et d information autour de l Internet, des réseaux sociaux et des relations aux écrans du 26 Novembre au 8 Décembre

Plus en détail

Augustin Andriamananoro, dans son bureau ministériel, ce 26 mai 2010

Augustin Andriamananoro, dans son bureau ministériel, ce 26 mai 2010 Augustin Andriamananoro, dans son bureau ministériel, ce 26 mai 2010 Qu est-ce qu on ne raconte pas sur certains ministres qui n ont plus été reconduits au sein du gouvernement Vital II. Cela n a qu une

Plus en détail

Du 1 er juillet 2014 au 30 juin 2015

Du 1 er juillet 2014 au 30 juin 2015 Place Vignioboul Mon Pass Loisirs Du 1 er juillet 2014 au 30 juin 2015 Prénom : / Nom : Ma date de naissance : / / Téléphone (domicile) : / Mon portable : / Mon mail : / Cocher 1 possibilité : (OBLIGATOIRE)

Plus en détail

Avertissement. Le Conseil général. L association ADEJ. Les jeunes connaissent bien les dangers d Internet.

Avertissement. Le Conseil général. L association ADEJ. Les jeunes connaissent bien les dangers d Internet. 2 Le Conseil général Equiper l ensemble d une tranche d âge d ordinateurs portables et lui permettre d accéder à l informatique et aux moyens de communication : c est le pari très ambitieux fait au cours

Plus en détail

Le logiciel : un outil de gestion des données, une aide pour le choix des techniques et un outil de communication pour le personnel de terrain

Le logiciel : un outil de gestion des données, une aide pour le choix des techniques et un outil de communication pour le personnel de terrain Le logiciel : un outil de gestion des données, une aide pour le choix des techniques et un outil de communication pour le personnel de terrain La WALLONIE comprend 262 communes Communes de 1 à 5.000 habitants

Plus en détail

Service Hainchamps de mise en autonomie en logement communautaire

Service Hainchamps de mise en autonomie en logement communautaire Service Hainchamps de mise en autonomie en logement communautaire Pour adultes handicapés mentaux de la Meuse serésienne rue Hainchamps 77 siège social: a.s.b.l. Cesahm 4100 Seraing rue du Sewage 9 à 4100

Plus en détail

CONTRAT DE BAIL POUR UN APPARTEMENT Entre : 1. Monsieur... et Madame... domicilies a... ci-apres denomme bailleur - et 2. Monsieur... et madame...

CONTRAT DE BAIL POUR UN APPARTEMENT Entre : 1. Monsieur... et Madame... domicilies a... ci-apres denomme bailleur - et 2. Monsieur... et madame... CONTRAT DE BAIL POUR UN APPARTEMENT Entre : 1. Monsieur... et Madame... domicilies a... ci-apres denomme bailleur - et 2. Monsieur... et madame... domicilie actuellement a... ci-apres denomme locataire

Plus en détail

Commentaires. Michael Narayan. Les taux de change à terme

Commentaires. Michael Narayan. Les taux de change à terme Commentaires Michael Narayan L étude de Levin, Mc Manus et Watt est un intéressant exercice théorique qui vise à extraire l information contenue dans les prix des options sur contrats à terme sur le dollar

Plus en détail

Des questions..des réponses

Des questions..des réponses 1 Des questions..des réponses C est quoi le Foyer 150?... 3 Qui travaille au Foyer 150?... 4 Pourquoi est-on placé au Foyer 150?... 4 Comment arrive-t-on au Foyer 150?...... 5 Première étape : contact

Plus en détail

RÉGLEMENT DU CONCOURS ÉCO-VIDÉOS

RÉGLEMENT DU CONCOURS ÉCO-VIDÉOS RÉGLEMENT DU CONCOURS ÉCO-VIDÉOS 1/ Le principe du concours Le concours Eco-Vidéo souhaite donner aux jeunes une nouvelle opportunité pour s exprimer sur les problématiques développement durable et partager

Plus en détail

Compte-rendu de la rencontre «Etre parent avec une tablette numérique» - le 9 avril 2013

Compte-rendu de la rencontre «Etre parent avec une tablette numérique» - le 9 avril 2013 Compte-rendu de la rencontre «Etre parent avec une tablette numérique» - le 9 avril 2013 Introduction de Claire Hédin-Vignaud, responsable de la Médiathèque Markoff : Rappel des motivations qui ont amené

Plus en détail

Analyse des questionnaires d évaluation parents et enfants Juin 2015

Analyse des questionnaires d évaluation parents et enfants Juin 2015 Réforme des rythmes scolaires Projet Educatif de territoire d Evecquemont Analyse des questionnaires d évaluation parents et enfants Juin 2015 A Du PEDT au comité de suivi et d évaluation de la réforme

Plus en détail

DP 500/ DP 510 Appareils de mesure du point de rosée mobiles avec enregistreur

DP 500/ DP 510 Appareils de mesure du point de rosée mobiles avec enregistreur DP 500/ DP 510 Appareils de mesure du point de rosée mobiles avec enregistreur de données Les nouveaux appareils DP 500/ DP 510 sont les appareils de service mobiles idéaux pour mesure le point de rosée

Plus en détail

Enquête. De satisfaction. D utilisation des bus de ville. De Colomiers

Enquête. De satisfaction. D utilisation des bus de ville. De Colomiers Enquête De satisfaction D utilisation des bus de ville De Colomiers Décembre 2013 1 Préambule A l origine, ce projet est issu du programme d un candidat aux élections de 2011. C est notre rôle de choisir

Plus en détail

Les Nouvelles Technologies de l Information et de la Communication

Les Nouvelles Technologies de l Information et de la Communication Les Nouvelles Technologies de l Information et de la Communication Diaporama réalisé à partir des résultats du questionnaire passé par 648 lycéens du Lycée Hector Berlioz Définition des nouvelles technologies

Plus en détail

Charte de protection des mineurs

Charte de protection des mineurs «Mes enfants, soyez joyeux!» Charte de protection des mineurs Au sein de l Académie Musicale de Liesse Mise à jour août 2014 L ensemble des adultes intervenant au sein de l Académie Musicale de Liesse

Plus en détail

Roger pour la maison et la vie sociale. Combler le manque de compréhension

Roger pour la maison et la vie sociale. Combler le manque de compréhension Roger pour la maison et la vie sociale Combler le manque de compréhension Profiter pleinement des moments qui comptent le plus La technologie moderne des aides auditives permet aux utilisateurs d entendre

Plus en détail

Comité conseil en matière de prévention et sécurité des personnes et des biens Octobre 2013

Comité conseil en matière de prévention et sécurité des personnes et des biens Octobre 2013 PROJET Encadrement du système de caméras de sécurité et Foire aux questions Comité conseil en matière de prévention et sécurité des personnes et des biens Octobre 2013 2 3 Table des matières 1. CADRE JURIDIQUE...4

Plus en détail

Le compte chèque jeune monabanq.

Le compte chèque jeune monabanq. - 1 - Le compte chèque jeune monabanq. Découvrez notre offre dans son intégralité : 0810 002 001 (N Azur, prix d un appel local depuis un poste fixe, de 8h à 22h en semaine et de 8h à 20h le samedi). Principaux

Plus en détail

Les jeunes et l'argent Vague 2

Les jeunes et l'argent Vague 2 Les jeunes et l'argent Vague 2 Etude publiée pour Axa Banque Mars 2015 Sommaire 1 4 L argent, un univers d évocation ambivalent pour les jeunes 7 Des jeunes qui affichent un certain optimisme pour l avenir

Plus en détail

CONFERENCE DE PRESSE

CONFERENCE DE PRESSE Union nationale des associations familiales CONFERENCE DE PRESSE RESEAUX SOCIAUX : Quelles sont, dès 8 ans, les pratiques de nos enfants? Quel est le rôle des parents? Résultats de l enquête réalisée par

Plus en détail

Associations en France

Associations en France Associations en France 1) Association de loi 1901 1.1) Idées reçues Contrairement à ce qu'on entend souvent : une association peut se composer de deux personnes seulement ; une association n'est pas nécessairement

Plus en détail

La responsabilitié civile... vous connaissez?

La responsabilitié civile... vous connaissez? Fiche d activité FA La responsabilitié civile... vous connaissez? Lorsqu on parle d assurance habitation, le feu et le vol sont les deux sortes de sinistres qui viennent d abord à l esprit. Mais il y en

Plus en détail

INSCRIPTION au RESTAURANT SCOLAIRE Année 2014 / 2015

INSCRIPTION au RESTAURANT SCOLAIRE Année 2014 / 2015 NOM DE L ENFANT :. PRENOM DE L ENFANT : Date de Naissance :.. Sexe de l enfant: Masculin Féminin 1 Dossier à compléter par enfant. Maternelle : Elémentaire : - petite section - moyenne section.. Classe

Plus en détail

Etude sur Le service de restauration scolaire

Etude sur Le service de restauration scolaire Etude sur Le service de restauration scolaire En accord avec les objectifs de l Association des Parents d Elèves de Génération ECOLE, une enquête de satisfaction de la cantine scolaire a donné les résultats

Plus en détail

Tehindrazanarivelo Liva; Mamy Aimanantsoa; Toky Rabemanantsoa; Alex Objet:

Tehindrazanarivelo Liva; Mamy Aimanantsoa; Toky Rabemanantsoa; Alex Objet: Randriamiharisoa Alex De: randriamihaja josefa [r_josefa@yahoo.fr] Envoyé: jeudi, 1. octobre 2009 16:03 À: AZ Cc: Tehindrazanarivelo Liva; Mamy Aimanantsoa; Toky Rabemanantsoa; Alex Objet: Tr : DEVIS ET

Plus en détail

Planifier avec les expériences clés pour les enfants de 3 à 5 ans

Planifier avec les expériences clés pour les enfants de 3 à 5 ans Planifier avec les expériences clés pour les enfants de 3 à 5 ans Ginette Hébert formatrice en petite enfance AFÉSÉO FORUM 2012 Cette formation s appuie sur mon expérience d accompagnement d éducatrices

Plus en détail

Le ConseiL GénéraL du Bas-rhin au de vos vies. pour les jeunes. www.bas-rhin.fr

Le ConseiL GénéraL du Bas-rhin au de vos vies. pour les jeunes. www.bas-rhin.fr Le ConseiL GénéraL du Bas-rhin au de vos vies pour les jeunes www.bas-rhin.fr Les bons plans jeunes du 67 Tu as entre les mains tous les bons plans «jeunes» proposés et financés par le Conseil Général

Plus en détail

DEMANDE DE VISA TOURISME/ (VISITE FAMILIALE/OU AMICALE)

DEMANDE DE VISA TOURISME/ (VISITE FAMILIALE/OU AMICALE) DEMANDE DE VISA TOURISME/ (VISITE FAMILIALE/OU AMICALE) UN FORMULAIRE DUMENT REMPLIS AVEC UNE PHOTO RECENTE. PASSEPORT D UNE VALIDITE MINIMALE DE 3 MOIS APRES L EXPIRATION DU VISA ET UN MINIMUM DE 2 PAGES

Plus en détail

1. Composition des groupes en formation qui ont été interrogés sur le thème de l inter- culturalité:

1. Composition des groupes en formation qui ont été interrogés sur le thème de l inter- culturalité: 1. Composition des groupes en formation qui ont été interrogés sur le thème de l inter- culturalité: Nous avons consulté les 3 sites de l INSUP plus particulièrement confrontés à la mixité culturelle :

Plus en détail

1/ LES CARACTÉRISTIQUES DU CYBER-HARCÈLEMENT

1/ LES CARACTÉRISTIQUES DU CYBER-HARCÈLEMENT LE CYBER-HARCÈLEMENT Avec l utilisation massive des nouvelles technologies, le harcèlement entre élèves peut se poursuivre, voire débuter, en dehors de l enceinte des établissements scolaires. On parle

Plus en détail

REGLEMENT DEPARTEMENTAL DES SERVICES DE RESTAURATION ET D HEBERGEMENT Collège Joseph PEYRE à Garlin

REGLEMENT DEPARTEMENTAL DES SERVICES DE RESTAURATION ET D HEBERGEMENT Collège Joseph PEYRE à Garlin REGLEMENT DEPARTEMENTAL DES SERVICES DE RESTAURATION ET D HEBERGEMENT Collège Joseph PEYRE à Garlin Vu les articles L.213-2 et L.421-23 II du code de l Education qui confient aux départements la compétence

Plus en détail

Cinzia Grassi, Loredana Ceccacci, Anna Elisa D Agostino Observatoire pour le contraste de la pédophilie et de la pornographie enfantine

Cinzia Grassi, Loredana Ceccacci, Anna Elisa D Agostino Observatoire pour le contraste de la pédophilie et de la pornographie enfantine 14. La collecte de données sur la violence envers les enfants Cinzia Grassi, Loredana Ceccacci, Anna Elisa D Agostino Observatoire pour le contraste de la pédophilie et de la pornographie enfantine Introduction

Plus en détail

REPUBLIQUE FRANÇAISE. REGLEMENT DES SERVICES PERISCOLAIRES 2013/2014 (RESTAURANT SCOLAIRE et GARDERIE et CENTRE D ANIMATION)

REPUBLIQUE FRANÇAISE. REGLEMENT DES SERVICES PERISCOLAIRES 2013/2014 (RESTAURANT SCOLAIRE et GARDERIE et CENTRE D ANIMATION) REPUBLIQUE FRANÇAISE M A I R I E DE P O N T H E V R A R D 5, PLACE DE LA MAIRIE 78730 PONTHEVRARD TELEPHONE : 01.30.41.22.13 - TELECOPIE : 01.30.88.20.26 EMAIL : PONTHEVRARD@ORANGE.FR REGLEMENT DES SERVICES

Plus en détail

UFR Etudes Interculturelles de Langues Appliquées. Evolution professionnelle des anciens du DESS/Master 2 ILTS

UFR Etudes Interculturelles de Langues Appliquées. Evolution professionnelle des anciens du DESS/Master 2 ILTS UFR Etudes Interculturelles de Langues Appliquées Enquête sur le marché de la traduction Evolution professionnelle des anciens du DESS/Master 2 ILTS Méthodologie Les données de ce document sont issues

Plus en détail

Compte rendu : Bourse Explora Sup

Compte rendu : Bourse Explora Sup Compte rendu : Bourse Explora Sup J ai effectué un stage d un mois et demi passionnant au sein de l école de langue anglaise LTC à Brighton. J ai eu par la suite la chance d être embauchée durant un mois

Plus en détail

Garde des enfants et droit de visite

Garde des enfants et droit de visite Garde des enfants et droit de visite Lorsque vous ne vivez plus ensemble en famille Conna tre vos droits et vos responsabilités concernant votre enfant Begin a better ending Commencer une meilleure fin

Plus en détail

Ministère délégué à la Sécurité sociale, aux Personnes âgées, aux Personnes handicapées et à la Famille Dossier de presse

Ministère délégué à la Sécurité sociale, aux Personnes âgées, aux Personnes handicapées et à la Famille Dossier de presse Ministère délégué à la Sécurité sociale, aux Personnes âgées, aux Personnes handicapées et à la Famille Dossier de presse Les logiciels de contrôle parental mercredi 26 avril 2006 Ministère délégué à la

Plus en détail

Une école au Togo, épisode 1/4

Une école au Togo, épisode 1/4 Une école au Togo, épisode 1/4 Thèmes Éducation, formation Concept Ce documentaire présente la situation de l école primaire au Togo. Contenu Pour visionner le documentaire Une école au Togo, allez sur

Plus en détail

A1 Parler avec quelqu un Je peux dire qui je suis, où je suis né(e), où j habite et demander le même type d informations à quelqu un. Je peux dire ce que je fais, comment je vais et demander à quelqu un

Plus en détail

Observatoire Orange Terrafemina vague 14. La ville connectée. Sondage de l institut CSA

Observatoire Orange Terrafemina vague 14. La ville connectée. Sondage de l institut CSA Observatoire Orange Terrafemina vague 14 La ville connectée Sondage de l institut CSA Fiche technique du sondage L institut CSA a réalisé pour Orange et Terrafemina la 14 ème vague d un baromètre portant

Plus en détail

TITRE DE VOTRE PROJET :...

TITRE DE VOTRE PROJET :... PREFET DE L AIN Nous vous invitons à prendre contact avec l un des référents mentionnés à l annexe 7 pour l accompagnement et le suivi de votre projet. Nous vous invitons à prendre connaissance avec attention

Plus en détail

BOURSE AU PERMIS DE CONDUIRE

BOURSE AU PERMIS DE CONDUIRE Paris, le 5 février 2008 BOURSE AU PERMIS DE CONDUIRE Le dispositif consiste dans la prise en charge par la commune d une partie du coût du permis de conduire en échange d une activité bénévole d intérêt

Plus en détail

II - ENCADREMENT. Rappel du nombre d élèves participants. Total du nombre de personnels encadrant. Nom prénom Date de naissance Observations

II - ENCADREMENT. Rappel du nombre d élèves participants. Total du nombre de personnels encadrant. Nom prénom Date de naissance Observations ACADEMIE DE LILLE INSPECTION ACADEMIQUE DU PAS-DE-CALAIS Division des écoles 20 bd de la Liberté 62021 Arras cedex DE1- Nadine Guyon Tél : 03 21 23 91 23 Fax : 03 21 23 82 27 e-mail : ce.i62dec1@ac-lille.fr

Plus en détail

Conseils de sécurité pour les parents

Conseils de sécurité pour les parents Sécurité Internet pour les enfants et les familles Conseils de sécurité pour les parents Internet fait à présent partie intégrante de la vie quotidienne de la plupart des gens. En quelques années, cet

Plus en détail

L OBSERVATOIRE LCL EN VILLE - RÉALISÉ PAR BVA L ÉCONOMIE DU PARTAGE, ZOOM SUR LES JEUNES URBAINS. Juin 2014

L OBSERVATOIRE LCL EN VILLE - RÉALISÉ PAR BVA L ÉCONOMIE DU PARTAGE, ZOOM SUR LES JEUNES URBAINS. Juin 2014 L OBSERVATOIRE LCL EN VILLE - RÉALISÉ PAR BVA L ÉCONOMIE DU PARTAGE, ZOOM SUR LES JEUNES URBAINS Juin 2014 Contacts BVA : Céline BRACQ Directrice BVA Opinion Lilas BRISAC Chargée d études 01 71 16 88 00

Plus en détail

Nom Prénom :... Baby-sitters

Nom Prénom :... Baby-sitters Nom Prénom :... Baby-sitters DOSSIER D INSCRIPTION 2012/2013 Charte «baby-sitting» Pour le Bureau Information Jeunesse De TARBES Avant propos Cette présente charte détermine l ensemble des rôles et engagements

Plus en détail

Les médias en quelques statistiques

Les médias en quelques statistiques Les médias en quelques statistiques Daniel Giroux Secrétaire général, Centre d études sur les médias, Université Laval Avec la collaboration de Sébastien Charlton Le fait que les Québécois passent de plus

Plus en détail

Le guide des assurances Working Holiday

Le guide des assurances Working Holiday Le guide des assurances Working Holiday Comment choisir son assurance? 1 on ne choisit pas l assurance en fonction de son prix mais avec le rapport prix-garantie À méditer : «l assurance est toujours trop

Plus en détail

Echantillon interrogé en ligne sur système CAWI (Computer Assistance for Web Interview)

Echantillon interrogé en ligne sur système CAWI (Computer Assistance for Web Interview) Les idées reçues sur la sécurité informatique Contact : OpinionWay 15 place de la République 75003 Paris http://www.opinion-way.com Juillet 2014 1 Méthodologie Méthodologie Echantillon de représentatif

Plus en détail

Dossier d inscription

Dossier d inscription Partie réservée au service : N d arrivée : Ville de Digne-les-Bains Service éducation education@dignelesbains.fr Ecole : Classe : Année scolaire 2015/2016 Services d accueil pour les enfants des écoles

Plus en détail

Le guide des assurances Working Holiday

Le guide des assurances Working Holiday Le guide des assurances Working Holiday Comment choisir son assurance? 1 on ne choisit pas l assurance en fonction de son prix mais avec le rapport prix-garantie À méditer : «l assurance est toujours trop

Plus en détail

LA RUMEUR Enquête 1 / Leïla, 3ème

LA RUMEUR Enquête 1 / Leïla, 3ème Enquête 1 / Leïla, 3ème OBJECTIFS PÉDAGOGIQUES DU MODULE Insister sur l'impact possible d' «une simple rumeur» Sensibiliser aux risques du cyberharcèlement et aux différents types de cyberviolences ZOOM

Plus en détail

Le travail à temps partiel Les pièges à éviter

Le travail à temps partiel Les pièges à éviter Le travail à temps partiel Les pièges à éviter 1 HOMMES - FEMMES Les références aux personnes et fonctions au masculin visent naturellement aussi bien les hommes que les femmes. FR-NL Deze brochure is

Plus en détail

A propos de la médiation

A propos de la médiation A propos de la médiation La médiation, une démarche volontaire mais spécifique Si toute personne peut, en principe, être médiateur, il faut avoir suivi avec un succès une formation d'un minimum de 90 heures

Plus en détail

Commission d éthique pour les télécommunications

Commission d éthique pour les télécommunications Commission d éthique pour les télécommunications Ellipse Building Bâtiment C Bd du Roi Albert II, 35 1030 BRUXELLES Décision n D-2011-05 concernant Media Technologies www.telethicom.be secretariaat-secretariat@telethicom.be

Plus en détail

CAHIER DES CLAUSES PARTICULIERES. Transports sanitaires

CAHIER DES CLAUSES PARTICULIERES. Transports sanitaires Marché de service CAHIER DES CLAUSES PARTICULIERES Transports sanitaires - Etablissement contractant : CENTRE HOSPITALIER 858 rue des Drs. Devillers 02120 GUISE 03.23.51.55.55 03.23.51.55.35 Procédure

Plus en détail

Le pack idéal pour les jeunes

Le pack idéal pour les jeunes Le pack idéal pour les jeunes LE MINE PACK EST LE PACK IDÉAL POUR LES JEUNES JUSQU À 25 ANS QUI SAVENT CE QU ILS VEULENT. PAS DE VERSION LIGHT, MAIS UN PACK COMPLET AVEC TOUS LES AVANTAGES D UN VRAI COMPTE

Plus en détail

Un logiciel de contrôle parental, c est quoi?

Un logiciel de contrôle parental, c est quoi? LES LOGICIELS DE CONTROLE PARENTAL Ces dispositifs de protection des mineurs sur Internet proposent des fonctionnalités de plus en plus évoluées. Mais ils ne remplaceront jamais l action pédagogique des

Plus en détail