Pré-Rapport d évaluation du système de décontamination de la société Beewair : virus Influenza H1N1 et Adénovirus type 5.

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1 Pré-Rapport d évaluation du système de décontamination de la société Beewair : virus Influenza H1N1 et Adénovirus type 5. Rapport d essai : BW E2 Lyon, le 26/06/14 Page 1 sur 6 Confidentiel

2 1. Avant-propos VirNext est la plateforme technologique de services et d innovation du laboratoire VirPath. VirNext est spécialisée dans l évaluation de technologies physiques, chimiques et biologiques de décontamination de l air intérieur et des surfaces ainsi que des technologies de dépollution/désinfection de l eau et des effluents. La société Beewair a demandé à la plateforme technologique VirNext d évaluer l efficacité d un épurateur d air intérieur à décontaminer un espace confiné contenant des virus influenza H1N1 ou des adénovirus humains de type 5. Le système de traitement et de décontamination Beewair (gamme bw60: m3/h) est composé d'un réacteur tangentiel intégrant des modules DBD-Lyse d'une puissance d'irradiation de 70 Watts ( UVc 254nm) et d'une capacité d'oxydation/minéralisation moyenne de TeraRad. Demandeur : Beewair 3 Allée de la Teppe Charnay les Macon Contact : Dr Pierre-Alexandre Deveau Laboratoire de l essai : Plateforme technologique VirNext, Faculté de médecine RTH Laennec 2 ème étage, 7-11 rue Guillaume Paradin, Lyon cedex 08 Responsable technique : Anaïs Proust Rapport d essai : BW E2 Lyon, le 26/06/14 Page 2 sur 6 Confidentiel

3 2. Méthodologie L expérimentation consiste à évaluer le système de décontamination développé par la société Beewair, sur sa capacité à décontaminer un espace confiné contenant des microorganismes. L espace confiné est matérialisé par une enceinte de nébulisation de 2,5m 3 dans laquelle des atmosphères artificielles contenant des micro-organismes peuvent être générées de façon reproductible. Les atmosphères contaminées sont obtenues via la nébulisation de solutions concentrées de microorganismes. Les prélèvements sont réalisés via l aspiration du volume total de l enceinte et la remise en suspension des microorganismes par un mouvement cyclonique (Coriolis, Bertin Technologies). 3. Evaluation de l efficacité de l épurateur 3.1 Conditions expérimentales Date : 16/06/2014 Adénovirus de type 5 et 20/06/2014 Influenza H1N1 Température : 20 C Débit du système de décontamination : 60m 3 /h Temps de fonctionnement : Les temps de fonctionnement du système de décontamination ont été définis afin d évaluer l efficacité de décontamination de l espace confiné après le passage de 3 volumes d enceinte (450 s) et 8 volumes d enceintes (1200 s) pour l évaluation sur les adénovirus et 3 volumes d enceinte (450 s) et 6 volumes d enceintes (900 s) pour l évaluation sur les virus influenza Nombre d échantillon : 12 pour chaque micro-organisme Concentration des solutions en micro-organisme : - Influenza H1N DICT 50 /50 µl - Adénovirus de type DICT 50 /50 µl Paramètres de collection : 10 minutes (2,5 m 3 ) dans 7 ml de milieu de collection (tampon phosphate) Rapport d essai : BW E2 Lyon, le 26/06/14 Page 3 sur 6 Confidentiel

4 Méthode d évaluation: - Influenza : titre infectieux par dilution limite sur cellules MDCK (Madin-Darby Canine Kidney), incubation 96 heures à 37 C et 5% CO 2 - Adénovirus : titre infectieux par dilution limite sur cellules A549 (Carcinomic Human Alveolar Basal Epithelial), incubation 7 jours à 37 C et 5% CO Résultats : Figure 1: Evaluation de l'épurateur d'air Beewair : Adénovirus de type 5. Les données collectées permettent de définir l efficacité du système Beewair sur la décontamination d un espace confiné contenant des adénovirus humains de type 5. - Abattement en Log DICT 50 /50µL : - 4,48 ± 0,06 Log en 450 secondes - 5,28 ± 0,27 Log en 1200 secondes Rapport d essai : BW E2 Lyon, le 26/06/14 Page 4 sur 6 Confidentiel

5 Figure 2: Evaluation de l'épurateur d'air Beewair : virus influenza H1N1. Les données collectées permettent de définir l efficacité du système Beewair sur la décontamination d un espace confiné contenant des virus influenza H1N1. - Abattement en Log DICT 50 /50µL : - 4,10 ± 0,10 Log en 450 secondes - 4,00 ± 0,00 Log en 900 secondes Rapport d essai : BW E2 Lyon, le 26/06/14 Page 5 sur 6 Confidentiel

6 Fait à Lyon le 26/06/2014 Rapport d essai : BW E2 Lyon, le 26/06/14 Page 6 sur 6 Confidentiel

7 Evaluation théorique de la performance de l appareil BW60 sur le virus EBOLA En annexe : - Présentation des tests réalisés en collaboration avec le laboratoire VIRPATH et l Institut PASTEUR - Description des types de virus à contamination aéroportée - 1 -

8 Evaluation théorique de la performance du BW60 sur le virus EBOLA Le virus Ebola est considéré comme présentant un danger à fort potentiel de pandémie. Pendant des années, les virologues considéraient que le virus EBOLA se transmettait par contact direct entre êtres humains. Récemment, le Canadian Health Department a révélé que le virus se transmettait aussi par voie aéroportée : - Voie air-poumons - Voie air-globes oculaires Il est donc primordial de déterminer la capacité d abattement théorique du virus EBOLA par l appareil BEEWAIR BW60. Les contraintes relatives aux législations internationales en vigueur et aux délais nécessaires pour effectuer des tests en laboratoire sur le virus Ebola, ne rendent envisageables de tels tests qu à moyen terme. Il nous faut donc évaluer l efficacité de la technologie Beewair par analogie, notamment en se référant aux résultats obtenus récemment sur d autres virus. Nous savons que : Le virus EBOLA est un virus virulent, néanmoins sa structure «enveloppée» le rend théoriquement plus fragile à toute modification de son l environnement et à la désinfection qu un virus de type «nu» comme l ADENOVIRUS type 5. Par ailleurs, le virus EBOLA appartient à la famille des Filoviridae, il est donc plus résistant qu un virus influenza H1N1. Ainsi : Selon la définition et la nature du virus EBOLA et selon les tests effectués en collaboration avec le laboratoire VIRPATH et l Institut PASTEUR (se reporter à l annexe 1 «Présentation des tests réalisés en collaboration avec le laboratoire VIRPATH et l Institut PASTEUR»),nous pouvons raisonnablement supposer que l appareil BEEWAIR BW60 aura une capacité d abattement théorique minimale > 99,9999 % en 450 secondes (résultats obtenus pour l Adénovirus type 5). Docteur Pierre-Alexandre Deveau PA Responsable R&D - 2 -

9 Annexe 1 Présentation des tests réalisés en collaboration avec le laboratoire VIRPATH et l Institut PASTEUR The BEEWAIR Company has realized, in collaboration with the laboratory VIRPATH and the Institut PASTEUR, evaluation tests of the BEEWAIR technology and more specifically of the BW60 appliance on different types of viruses. Il a été décidé de tester la technologie DBD-Lyse dans une configuration médicale du réacteur BW60 (capacité oxydante de Tera RAD estimée), sur un virus dit «enveloppé» dont la résistance à un changement de son environnement et à la désinfection est faible : l Influenza H1N1, ainsi que sur un virus dit «nu», dont la résistance à un changement de son environnement et à la désinfection est forte : l Adénovirus type 5. Remarque : l Adénovirus type 5 est considéré comme l un des virus les plus résistants. Ce choix de ces 2 virus nous permet de réaliser une projection théorique de la capacité de traitement des modèles d appareils selon le type de virus à détruire. Les résultats ci-dessous montrent la capacité de traitement et de destruction des virus Adéno et H1N1 par le BW60 (rapport BW E2): - 3 -

10 Nous avons pu constater et valider que le système Beewair permet de réaliser un abattement > à 99,99999% (3.8 log TCID50 µl) pour le virus Influenza H1N1 en seulement 450 secondes et un abattement > 99,99999% (4.9 log d abattement) pour l'adénovirus type 5 en seulement 1200 secondes. En 420 secondes, l abattement sur l ADENOVIRUS type 5 est > 99,9999 % (4.48 log TCDI50µL). Annexe 2-4 -

11 Description des types de virus à contamination aéroportée Les virus sont des micro-organismes très petits (de 50 à 300 nm) qui ont besoin de détourner de leur fonction les cellules hôtes infectées pour pouvoir continuer de se répliquer et de se diffuser. En terme de qualité de l air intérieur, la contamination d un sujet «hôte»par des polluants micro-organiques dépend de l'environnement, de la nature et de la concentration des micro-organismes dans ce dernier. Les virus impliqués dans cette question de qualité de l air intérieur sont en grande partie responsables de maladies respiratoires. La transmission du virus est effectuée habituellement par l'intermédiaire de gouttelettes produites par la toux, les éternuements ou lors d échanges verbaux et de contacts directs. Les infections des voies respiratoires aiguës sont une cause majeure de maladies graves dans le monde et constituent la première cause de décès chez les jeunes enfants (près de 2 millions de décès par an selon l Organisation Mondiale de la Santé). L'impact social et économique des maladies virales infectieuses s attaquant aux voies respiratoires est très important. Compte tenu de leurs caractéristiques de résistance à l'environnement (ph, humidité et température) et à la désinfection (par exemple, la désinfection ou les UV), les virus peuvent être classés en deux groupes principaux: (a) les virus «enveloppés» et (b) les virus "nus". a : Les virus enveloppés Les virus enveloppés présentent une bicouche lipidique d'origine cellulaire qui abrite les éléments de surface «clefs» permettant l'infection virale de cellules hôtes. La destruction de cette enveloppe et/ou de ces déterminants de surface annihile complètement la capacité d'infection. Ces virus enveloppés sont considérés comme étant fragiles, sensibles aux variations des paramètres environnementaux. Cependant, il existe de grandes différences entre les différents virus et les soustypes de souches

12 Les virus enveloppés qui sont particulièrement impliqués dans la question de la contamination de l'air intérieur sont énumérés ci-dessous: Le virus de la grippe, de la famille des Orthomyxoviridae, est responsable de la grippe saisonnière. Ces virus possèdent une enveloppe et ont un diamètre moyen de 100 à 300 nm. Ces virus sont très contagieux mais ne démontrent pas un niveau élevé de résistance lors d une modification des paramètres environnementaux. Le virus respiratoire syncytial (RSV), de la famille des Paramyxoviridae, est responsable d'une grande partie des bronchiolites et des pneumonies chez les jeunes enfants. Ce virus peut rester infectieux tout en résistant 30 minutes sur la peau et jusqu'à 6-7 heures sur des surfaces plastiques ou métalliques (par exemple, stéthoscope, jouets). Il est sensible à de nombreux désinfectants et à une température > 55 C. Le métapneumovirus humain (hmpv) de la famille des Paramyxoviridae, est responsable des infections des voies respiratoires inférieures de type pneumonie chez les jeunes enfants (deuxième cause après RSV). Une maladie associée à une infection à hmpv est généralement bénigne mais peut être grave chez certains sujets, comme les personnes âgées, les personnes atteintes d'asthme ou les patients ayant subis une greffe de poumon (augmentation du risque de rejet). Le virus para-influenza humain (HPIV) de la famille des Paramyxoviridae, constitue la cause principale d'hospitalisation des nourrissons. Ces infections peuvent aussi avoir des conséquences graves chez les personnes âgées et/ou les personnes immunodéprimées. Le coronavirus (CoV) de la famille Coronaviridae, infecte les voies respiratoires supérieures et gastro-intestinales. Ces virus peuvent être responsables de rhumes et de maladies respiratoires. En 2012, un nouveau coronavirus humain (MERS-CoV) a été identifié au Moyen-Orient comme l'agent causal du syndrome respiratoire aigu et/ou mortel. Depuis son identification, il a été responsable de 254 cas confirmés en laboratoire dont 93 décès (OMS, 24/04/2014)

13 L émergence de ce nouveau coronavirus chez les humains soulève des préoccupations concernant une éventuelle épidémie généralisée, semblable à celle provoquée par le SRAS-CoV en En effet, le 5 mai 2014 l US CDC (Center for Disease Control and Prevention) a annoncé un premier cas de MERS-CoV aux États-Unis. b) Virus «nus» : L adénovirus (AdV) de la famille Adenoviridae, infectent les voies respiratoires principalement mais aussi celle gastro-intestinal. Ils sont associés à la pharyngite, pneumonie, mais aussi à la conjonctivite. Plus rarement, l adénovirus peut être responsable de l'encéphalite chez les jeunes enfants ou les patients immunodéprimés. En raison de leur structure «nue», ces virus présentent un degré élevé de résistance dans un environnement et ainsi qu aux procédés de désinfection (UV par exemple). Les rhinovirus, de la famille des Picornaviridae, sont responsables des rhinites communes lors d épisodes de froid. Ces virus sont généralement transmis par les gouttelettes d'air et sont hautement résistants

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