- L arsenic. - Le titane. - Série de Paschen. - Le cuivre naturel
|
|
- Virgile Fournier
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Devoir surveillé N 2 - Atomistique et équations différentielles Devoir surveillé N 2 - Atomistique et équations différentielles Rappel : un résultat n a de «valeur» que s il est exprimé avec une unité. Mettez bien en valeur le raisonnement, soignez la présentation et la rédaction en étant concis mais en indiquant toutefois les arguments essentiels. Vous avez droit à la calculatrice. Enfin, choisissez de traiter moins de questions mais de les faire correctement ; le devoir est volontairement long. Bon courage! On donne : ev =, J, E 0 = 3, 6 ev et h = 6, J.s. I - L arsenic L arsenic As est un élément de la quatrième période et de la quinzième colonne. Donner sa structure électronique et son numéro atomique. Combien possède-t-il d électrons de valence? II - Le titane Écrire la configuration électronique du vanadium (Z=22) dans son état fondamental. Combien possède-t-il d électrons de valence? 2 Quel est l ion le plus stable envisageable à partir du titane? Justifier. Donner un autre ion possible en justifiant qu il soit probable mais moins que le précédent. III - Série de Paschen La série de Paschen, dans le spectre d émission de l atome d hydrogène, a été découverte en 908. Paschen remarqua que les longueurs d onde associées aux raies du spectre s exprimaient selon la relation λ = C n2 n 2 9 où C est une constante et n un nombre strictement supérieur à 3. Calculer C en mètres. 2 Calculer la longueur d onde de la première raie de la série (n = 4). Á quel domaine du spectre électromagnétique appartient-elle? 3 Quelle est la longueur d onde du rayonnement permettant l ionisation d un électron de cette série depuis sa plus basse énergie? IV - Le cuivre naturel Donner la configuration électronique du cuivre dans son état fondamental (Z=29) prévue par les règles de Pauli et Klechkovski. 2 Le cuivre naturel est principalement constitué de deux isotopes : 63 S et 65 S. Le cuivre 63 est le plus abondant. La masse atomique moyenne du cuivre est de 63,546 g.mol. En considérant qu une unité de masse atomique correspond à un gramme par mole, donner les proportions des deux isotopes en pourcents.
2 Devoir surveillé N 2 - Atomistique et équations différentielles V - Chimie du phosphore (d après MINES-PONTS MP 2007) L élément phosphore possède le numéro atomique Z=5. Après avoir rappelé les règles permettant de l obtenir, indiquer la configuration électronique dans l état fondamental de l élément phosphore. 2 On donne les énergies d ionisation successives du phosphore E i i E i (ev) 0,5 9,8 30,2 5,5 65, 220,7 263,9 Commenter ces valeurs et en particulier le saut existant entre i = 5 et i = 6. 3 Écrire une structure de Lewis pour les composés suivants : PCl 3, PCl 5, POCl 3 et PO En vous appuyant sur la théorie VSEPR, proposer une structure tridimensionnelle pour chacun des composés précédents. VI - Géométries de quelques molécules L ion cyanate NCO et l ion fulminate CNO sont des molécules composées d un atome de N, C et O, dans l ordre indiqué. Proposer une structure de Lewis pour chacune des deux espèces. 2 L ion cyanate forme des composés ioniques stables avec de nombreux cations métalliques, l ion fulminate forme des composés instables dont certains sont explosifs. Proposer une explication. 3 L ion CNO n existe pas. Proposer une explication. VII - Détermination d une espèce Une espèce visualisée en 3D se présente comme un atome central possédant trois atomes périphériques, dans une géométrie trigonale plane avec trois angles égaux à 20. Est-ce SO 2 3, NO 3 ou ICl 3? Justifier. VIII - Le chlorure stanneux Le chlorure d étain (II) SnCl 2 est utilisé en chimie organique. On donne pour l étain Sn Z=50. Proposer une représentation de Lewis de cette molécule ne faisant pas apparaître de charge formellle. 2 Prévoir la géométrie de la molécule, et donner une valeur approchée de l angle Cl-Sn-Cl. En fait, l angle déterminé est plutôt de 95. Proposer une explication. IX - Équations différentielles Résoudre les équations différentielles suivantes, les conditions initiales étant précisées. d2 g(t) dg(t) + g(t) = 3t avec g(0) = et dg (0) = d2 g(t) dg(t) + g(t) = 4 avec g(0) = et dg (0) = 3 3 d2 g(t) dg(t) dg(t) + 73 dg g(t) = 0 avec g(0) = 2 et 44 (0) = 5 2 = e g t avec g(0) = ln 2. 2
3 Correction DS N 2 : Atomistique et équations différentielles Correction DS N 2 : Atomistique et équations différentielles I - L arsenic Quatrième période : on est en 4s. Quinzième colonne : la classification périodique possédant 8 colonnes (2 de s, 0 de d et 6 de p), on est en p 3, la configuration électronique est donc s 2 2s 2 2p 6 3s 2 3p 6 4s 2 3d 0 4p 3, soit en tout Z=33, et 5 électrons de valence (ou 5 selon la «théorie» choisie). II - Le titane s 2 2s 2 2p 6 3s 2 3p 6 4s 2 3d 2, soit 4 électrons de valence. 2 Ion le plus stable : Ti 4+, car gaz noble le plus proche. On pourrait envisager Ti 2+ car on tombe sur une structure en 4s 2 qui est une couche s remplie. III - Série de Paschen D après Ritz-Rydberg, on a λ = E 0 hc ( 9 ) n 2 soit λ = hc E 0 9n 2 n 2 9 et donc C = 9hc E 0 = 8, m Attention au fait que E 0 = 3, 6 ev est en électron volts et non en joules! 2 La première raie correspond à la transition 3 4, donc d après la formule de Paschen à λ = C L ionisation correspond à n =, soit = 880 nm : domaine infrarouge. λ = C = 82 nm : domaine infrarouge. IV - Le cuivre naturel s 2 2s 2 2p 6 3s 2 3p 6 4s 2 3d 9 2 Soit x la proportion en pourcentage de cuivre 63, la proportion de cuivre 65 est donc (-x). On a 63x + ( x)65 = 63, 546 soit x=72,7% et y=-x=27,3%
4 Correction DS N 2 : Atomistique et équations différentielles V - Chimie du phosphore (d après MINES-PONTS MP 2007) L élément phosphore possède le numéro atomique Z=5. Pauli, Klechkovski : cf. cours. s 2 2s 2 2p 6 3s 2 3p 3. 2 Les électrons enlevés sont de plus en plus stables, il faut donc de plus en plus d énergie pour les arracher, environ 0 ev à chaque nouvel électron, sauf de 3 à 4 (on arrache le premier électron de la couche 3s, alors qu on est en 3s 2 qui est saturée), et surtout de 5 à 6 (on arrache l électron s 2 2s 2 2p 6 qui est le premier électron de cœur et correspond aussi au gaz noble!) 3 On a les structures suivantes, la seconde ne respectant pas l octet l octet car le phosphore doit devenir hypervalent pour former les liaisons avec tous les atomes de chlore. 4 PCl 3 est du type AX 3 E, donc de structure pyramidale. PCl 5 est du type AX 5, donc bipyramide trigonale. Les deux derniers composés sont du type AX 4, donc tétraédriques. VI - Géométries de quelques molécules On peut proposer pour NCO et CNO trois structures respectant l octet, mais l une est en accord avec la plus grande électronégativité de l oxygène et possède un nombre de charges formelles pas trop grand. On retiendra donc les formes entourées. 2 L ion fulminate est très réactif car possède beaucoup de charges formelles, imposant notamment une charge négative à l atome de carbone et positive à l azote, en désaccord avec leurs électronégativités respectives. 3 L ion CNO ne peut donner que des formes de Lewis dans lesquelles l octet n est pas respecté pour les trois atomes, ou alors avec des charges formelles possédant toutes un grand nombre de charges formelles (au moins 2+ pour l oxygène, très en désaccord avec l électronégativité). 2
5 Correction DS N 2 : Atomistique et équations différentielles VII - Détermination d une espèce Les trois espèces ont pour forme de Lewis la plus probable La première est donc de type AX 3 E (pyramidale), la seconde AX 3 (trigonale plan) et la dernière AX 3 E 2 (bipyramide à base triangulaire). Notons que l iode, qui est un halogène, possède 7 électrons de valence. Étant plane, c est forcément la seconde forme que l on recherche. Les angles de 20 confirment d ailleurs le type AX 3. VIII - Le chlorure stanneux On a pour l étain la configuration électronique s 2 2s 2 2p 6 3s 2 3p 6 4s 2 3d 0 4p 6 5s 2 4d 0 5p 2 donc 4 électrons de valence (ou 4 selon la théorie). On peut donc proposer la forme de Lewis 2 La forme est de type AX 2 E, la molécule est donc coudée. Si les répulsions étaient identiques, on aurait un angle de 20 entre chaque «branche». On trouve 95 car la répulsion doublet-chlore est en fait plus forte que la chlore-chlore. Les deux «branches» de la molécule se rapprochent donc et l angle diminue. IX - Équations différentielles g(t) = e t (7 + 4t) + 3t 6 2 g(t) = 4 e t 4 e t/2 3 g(t) = e t/4 [ 2 cos 4 g(t) = ln (e t + ) ( 2t 3 ) + 3 sin ( )] 2t 3 3
6 Devoir surveillé N 2 - Atomistique et équations différentielles - Fiche de correction DS N 2 - Atomistique et équations différentielles - Fiche Bilan I - Bilan statistique Moyenne de la classe 9, Écart type 3, Médiane 9,4 II - Erreurs principales et récurrentes ERR Pour trouver la structure électronique d un atome, il ne faut que le principe de Pauli et la règle de Klechkovsky. La règle de Hund est superflue, car elle précise seuement comment se remplissent les cases quantiques, ce qui ne fait pas partie de l établissement de la structure électronique (non sanctionné mais le fait de l écrire a fait perdre du temps). ERR2 Beaucoup ont proposé des structures de Lewis ne respectant pas l octet. C est éventuellement possible, mais dans ce cas vous devez dire et justifier pourquoi, dans la structure envisagée, l octet n est pas respecté. Cette erreur sur l octet a été beaucoup trop fréquente! ERR3 Il ne faut pas oublier les doublets NON liants pour établir la géométrie d une molécule, par exemple PCl 3 était du type AX 3 E, donc pyramidale et non trigonale plan. De plus, il faut préciser le type à chaque fois, en utilisant la syntaxe AX n E m, comme ça toutes les ambiguïtés sont levées. ERR4 Pour les équations différentielles, comme c était un exercice bonus et de maths, je ne me suis pas attardé sur le détail de vos calculs, mais uniquement sur le résultat, c est donc une notation ON/OFF juste/faux. TOUTEFOIS, une simple vérification des conditions initiales suffit en général à savoir si on a juste ou faux. ERR5 Le spectre visible correspond aux longueurs d onde allant de 400 à 800 nanomètres. ERR6 Donner la géométrie n est pas se contenter de donner le type AX n E m mais également le nom de la géométrie. ERR7 Pour la règle de Klechkovsky, il était logique de dire ce qu étaient les nombres quantiques n et l lorsqu on les utilisait. Je n ai pas pénalisé cette faute. ERR8 Les charges formelles ou le fait qu une liaison soit double plutôt que simple ne comptent pas dans l établissement de la géométrie d une molécule. ERR9 On ne parle pas de gaz PARFAIT (qui est une notion que l on verra en thermodynamique mais qui n a AUCUN rapport avec l atomistique) mais de gaz NOBLE, RARE ou INERTE. ERR0 Nombreux parmi vous sont ceux qui n ont pas expliqué comment la donnée du numéro de ligne et de colonne permettait d établir la structure électronique. Il ne suffit pas de donner celle-ci, mais bien d expliquer comment vous faites! ERR La règle de Klechkovsky ne dit pas simplement que les électrons se placent sur les orbitales par ordre croissant d énergie, mais aussi que cet ordre croissant est fixé par (n+ll) croissant, puis n croissant.
7 Devoir surveillé N 2 - Atomistique et équations différentielles - Fiche de correction Remarques Faire les équations différentielles prenait du temps, ce n était donc pas forcément une bonne stratégie de commencer par celles-ci. La dernière d entre elles était non linéaire, elle se résolvait donc par séparation de variables, puisque c est la seule méthode que l on ait apprise en physique pour résoudre ce type d equations différentielles. Les électrons célibataires (notés par un point) sont très rares. En général, si vous en trouvez un, c est que vous avez raté le décompte des électrons, souvent en oubliant la charge de l ion. Beaucoup d entre vous oublient les charges formelles dans les schémas de Lewis. C est une erreur GRAVE! On n écrit pas «les électrons de valences» mais «de valence». J ai très souvent vu que la dérivé d une constante était égale à elle-même, ce qui est assez gênant : si g(t) = 4, alors g (t) = 4 par exemple... Le troisième exercice n a été fait correctement que par deux ou trois personnes. Il faut absolument le revoir et il retombera sous une forme proche dans un DS à venir (vous ne pourrez pas dire que je ne vous l avais pas dit...) Les ions Ti(+IV ) et Ti(+II) étaient tous deux probables, mais beaucoup ont annoncé que le second l était plus car il nécessitait de perdre moins d électrons (2 contre 4). C est vrai, mais celui qui en perd 4 acquiert alors la structure d un gaz noble qui est BEAUCOUP plus stable. On retient que, dans l ordre, on recherche avant tout la structure gaz rare, puis celle correspondant à toutes les sous-couches saturées, et enfin éventuellement à des demi-couches saturées. Bien entendu, il faut perdre ou gagner un nombre raisonnable d électrons, plus de 5 ou 6 confinent à l extravagance (donc pas de T i 4...) 2
CHAPITRE VI : HYBRIDATION GEOMETRIE DES MOLECULES
CAPITRE VI : YBRIDATION GEOMETRIE DES MOLECULES VI.1 : YBRIDATION DES ORBITALES ATOMIQUES. VI.1.1 : Introduction. La théorie d hybridation a été développée au cours des années 1930, notamment par le chimiste
Plus en détailCHAPITRE 2 : Structure électronique des molécules
CHAPITRE 2 : Structure électronique des molécules I. La liaison covalente 1) Formation d une liaison covalente Les molécules sont des assemblages d atomes liés par des liaisons chimiques résultant d interactions
Plus en détailTHEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE
THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE 1. RAPPEL: L ATOME CONSTITUANT DE LA MATIERE Toute la matière de l univers, toute substance, vivante ou inerte, est constituée à partir de particules
Plus en détailBTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1
BTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1 I. L ATOME NOTIONS EÉLEÉMENTAIRES DE CIMIE Les atomes sont des «petits grains de matière» qui constituent la matière. L atome est un système complexe que l on
Plus en détailMolécules et Liaison chimique
Molécules et liaison chimique Molécules et Liaison chimique La liaison dans La liaison dans Le point de vue classique: l approche l de deux atomes d hydrogd hydrogènes R -0,9-1 0 0,5 1 1,5,5 3 3,5 4 R
Plus en détailANALYSE SPECTRALE. monochromateur
ht ANALYSE SPECTRALE Une espèce chimique est susceptible d interagir avec un rayonnement électromagnétique. L étude de l intensité du rayonnement (absorbé ou réémis) en fonction des longueurs d ode s appelle
Plus en détailChapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :
Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur
Plus en détailPartie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN
Partie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN Objectifs : Exploiter un spectre infrarouge pour déterminer des groupes caractéristiques Relier un spectre
Plus en détailEXERCICE II. SYNTHÈSE D UN ANESTHÉSIQUE : LA BENZOCAÏNE (9 points)
Bac S 2015 Antilles Guyane http://labolycee.org EXERCICE II. SYNTHÈSE D UN ANESTHÉSIQUE : LA BENZOCAÏNE (9 points) La benzocaïne (4-aminobenzoate d éthyle) est utilisée en médecine comme anesthésique local
Plus en détailEnseignement secondaire
Enseignement secondaire Classe de IIIe Chimie 3e classique F - Musique Nombre de leçons: 1.5 Nombre minimal de devoirs: 4 devoirs par an Langue véhiculaire: Français I. Objectifs généraux Le cours de chimie
Plus en détailACIDES BASES. Chap.5 SPIESS
ACIDES BASES «Je ne crois pas que l on me conteste que l acide n ait des pointes Il ne faut que le goûter pour tomber dans ce sentiment car il fait des picotements sur la langue.» Notion d activité et
Plus en détailApplication à l astrophysique ACTIVITE
Application à l astrophysique Seconde ACTIVITE I ) But : Le but de l activité est de donner quelques exemples d'utilisations pratiques de l analyse spectrale permettant de connaître un peu mieux les étoiles.
Plus en détailINTRODUCTION À LA SPECTROSCOPIE
INTRODUCTION À LA SPECTROSCOPIE Table des matières 1 Introduction : 2 2 Comment obtenir un spectre? : 2 2.1 Étaller la lumière :...................................... 2 2.2 Quelques montages possibles
Plus en détail1 ère Partie : Concepts de Base
1 ère Partie : Concepts de Base 7 8 J-89 COURS 2. Qu est ce que la Chimie? Ce chapitre ainsi que le suivant sont des rappels de concepts que vous êtes censés avoir appris en Terminale S. Néanmoins, il
Plus en détailPhysique Chimie. Utiliser les langages scientifiques à l écrit et à l oral pour interpréter les formules chimiques
C est Niveau la représentation 4 ème 2. Document du professeur 1/6 Physique Chimie LES ATOMES POUR COMPRENDRE LA TRANSFORMATION CHIMIQUE Programme Cette séance expérimentale illustre la partie de programme
Plus en détail1.2 Coordinence. Notion de liaison de coordinence : Cas de NH 3. et NH 4+ , 3 liaisons covalentes + 1 liaison de coordinence.
Règle de l octet : tendance qu on les atomes à s entourer de 8 électrons dans l édifice moléculaire. Ce n est pas une règle générale. Composés respectant la règle de l octet Composés ne respectant pas
Plus en détailProfesseur Eva PEBAY-PEYROULA
3-1 : Physique Chapitre 8 : Le noyau et les réactions nucléaires Professeur Eva PEBAY-PEYROULA Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés. Finalité du chapitre
Plus en détailNiveau 2 nde THEME : L UNIVERS. Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS
Document du professeur 1/7 Niveau 2 nde THEME : L UNIVERS Physique Chimie SPECTRES D ÉMISSION ET D ABSORPTION Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS Les étoiles : l analyse de la lumière provenant
Plus en détail4 ème PHYSIQUE-CHIMIE TRIMESTRE 1. Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique. PROGRAMME 2008 (v2.4)
PHYSIQUE-CHIMIE 4 ème TRIMESTRE 1 PROGRAMME 2008 (v2.4) Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique Les Cours Pi e-mail : lescourspi@cours-pi.com site : http://www.cours-pi.com
Plus en détailSECTEUR 4 - Métiers de la santé et de l hygiène
SECTEUR 4 - Métiers de la santé et de l hygiène A lire attentivement par les candidats Sujet à traiter par tous les candidats inscrit au BEP Les candidats répondront sur la copie. Les annexes éventuelles
Plus en détailContenu pédagogique des unités d enseignement Semestre 1(1 ère année) Domaine : Sciences et techniques et Sciences de la matière
Contenu pédagogique des unités d enseignement Semestre 1(1 ère année) Domaine : Sciences et techniques et Sciences de la matière Algèbre 1 : (Volume horaire total : 63 heures) UE1 : Analyse et algèbre
Plus en détailPROGRAMME DE PHYSIQUE - CHIMIE EN CLASSE DE SECONDE GÉNÉRALE ET TECHNOLOGIQUE
PROGRAMME DE PHYSIQUE - CHIMIE EN CLASSE DE SECONDE GÉNÉRALE ET TECHNOLOGIQUE Préambule Objectifs La culture scientifique et technique acquise au collège doit permettre à l élève d avoir une première représentation
Plus en détailPhysique Chimie. Réaliser les tests de reconnaissance des ions Cl -,
Document du professeur 1/5 Niveau 3 ème Physique Chimie Programme A - La chimie, science de la transformation de la matière Connaissances Capacités Exemples d'activités Comment reconnaître la présence
Plus en détailPrincipe de fonctionnement des batteries au lithium
Principe de fonctionnement des batteries au lithium Université de Pau et des pays de l Adour Institut des Sciences Analytiques et de Physicochimie pour l Environnement et les Matériaux 22 juin 2011 1 /
Plus en détailEXERCICES SUPPLÉMENTAIRES
Questionnaire EXERCICES SUPPLÉMENTAIRES SCP 4010-2 LE NUCLÉAIRE, DE L'ÉNERGIE DANS LA MATIÈRE /263 FORME C Version corrigée: Équipe sciences LeMoyne d'iberville, septembre 2006. QUESTION 1 (5 pts) 1. La
Plus en détailLES ELEMENTS CHIMIQUES
LES ELEMENTS CHIMIQUES.LA CLASSIFICATION PERIODIQUE DE MENDELEÏEV En 869, le chimisme russe Dimitri Ivanovitch Mendeleïev rangea les 63 éléments chimiques connus à son époque dans un tableau. Il les disposa
Plus en détailComprendre l Univers grâce aux messages de la lumière
Seconde / P4 Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière 1/ EXPLORATION DE L UNIVERS Dans notre environnement quotidien, les dimensions, les distances sont à l échelle humaine : quelques mètres,
Plus en détailGénéralités. Chapitre 1
Chapitre 1 Généralités Les complexes des métaux de transition sont des molécules constituées d un ou de plusieurs centre(s) métallique(s) (Ti, Fe, Ni, etc.) lié(s) à un certain nombre de «ligands». Ceux-ci
Plus en détailExercices sur le thème II : Les savons
Fiche d'exercices Elève pour la classe de Terminale SMS page 1 Exercices sur le thème : Les savons EXERCICE 1. 1. L oléine, composé le plus important de l huile d olive, est le triglycéride de l acide
Plus en détailChap 1: Toujours plus vite... Introduction: Comment déterminer la vitesse d une voiture?
Thème 2 La sécurité Chap 1: Toujours plus vite... Introduction: Comment déterminer la vitesse d une voiture?! Il faut deux informations Le temps écoulé La distance parcourue Vitesse= distance temps > Activité
Plus en détailStructure quantique cohérente et incohérente de l eau liquide
Structure quantique cohérente et incohérente de l eau liquide Prof. Marc HENRY Chimie Moléculaire du Solide Institut Le Bel, 4, Rue Blaise Pascal 67070 Strasbourg Cedex, France Tél: 03.68.85.15.00 e-mail:
Plus en détailNouveau programme de première S (2011) : l essentiel du cours. www.physagreg.fr
Nouveau programme de première S (2011) : l essentiel du cours www.physagreg.fr 22 avril 2012 Table des matières 1 Couleur, vision et image 3 1.1 Oeil réel et oeil réduit...................... 3 1.2 Lentille
Plus en détailSynthèse et propriétés des savons.
Synthèse et propriétés des savons. Objectifs: Réaliser la synthèse d'un savon mise en évidence de quelques propriétés des savons. I Introduction: 1. Présentation des savons: a) Composition des savons.
Plus en détailLES SUBSTITUTIONS NUCLÉOPHILES EN SÉRIE ALIPHATIQUE S N 1 ET S N 2
Pr atem BEN ROMDANE LES SUBSTITUTIONS NUCLÉOPILES EN SÉRIE ALIPATIQUE S N 1 ET S N 2 3 - LE MÉCANISME S N 2 a - Constatations expérimentales Cinétique : l'étude des réactions de substitution nucléophile
Plus en détail4. Conditionnement et conservation de l échantillon
1. Objet S-II-3V1 DOSAGE DU MERCURE DANS LES EXTRAITS D EAU RÉGALE Description du dosage du mercure par spectrométrie d absorption atomique de vapeur froide ou par spectrométrie de fluorescence atomique
Plus en détailLe monde nano et ses perspectives très prometteuses.
Le monde nano et ses perspectives très prometteuses. I/ Présentation du monde nano. Vidéo «Science Suisse : Christian Schönenberger, nano-physicien», 12 min. «Christian Schönenberger conduit le Swiss Nanoscience
Plus en détailBACCALAURÉAT GÉNÉRAL PHYSIQUE-CHIMIE
BAALAURÉAT GÉNÉRAL SESSIN 2015 PYSIQUE-IMIE Série S Durée de l épreuve : 3 heures 30 oefficient : 6 L usage de la calculatrice est autorisé e sujet ne nécessite pas de feuille de papier millimétré Le sujet
Plus en détail- I - Fonctionnement d'un détecteur γ de scintillation
U t i l i s a t i o n d u n s c i n t i l l a t e u r N a I M e s u r e d e c o e ffi c i e n t s d a t t é n u a t i o n Objectifs : Le but de ce TP est d étudier les performances d un scintillateur pour
Plus en détailRayonnements dans l univers
Terminale S Rayonnements dans l univers Notions et contenu Rayonnements dans l Univers Absorption de rayonnements par l atmosphère terrestre. Etude de documents Compétences exigibles Extraire et exploiter
Plus en détailChapitre 6 La lumière des étoiles Physique
Chapitre 6 La lumière des étoiles Physique Introduction : On ne peut ni aller sur les étoiles, ni envoyer directement des sondes pour les analyser, en revanche on les voit, ce qui signifie qu'on reçoit
Plus en détail2 C est quoi la chimie?
PARTIE 1 AVANT LA CHIMIE VERTE... 2 C est quoi la chimie? L inconnu étant source d angoisse, nous allons essayer de définir les grands domaines de la chimie pour mieux la connaître, l appréhender et donc
Plus en détailDM n o 8 TS1 2012 Physique 10 (satellites) + Chimie 12 (catalyse) Exercice 1 Lancement d un satellite météorologique
DM n o 8 TS1 2012 Physique 10 (satellites) + Chimie 12 (catalyse) Exercice 1 Lancement d un satellite météorologique Le centre spatial de Kourou a lancé le 21 décembre 200, avec une fusée Ariane, un satellite
Plus en détailEcole Centrale d Electronique VA «Réseaux haut débit et multimédia» Novembre 2009
Ecole Centrale d Electronique VA «Réseaux haut débit et multimédia» Novembre 2009 1 Les fibres optiques : caractéristiques et fabrication 2 Les composants optoélectroniques 3 Les amplificateurs optiques
Plus en détailPartie 1. Addition nucléophile suivie d élimination (A N + E) 1.1. Réactivité électrophile des acides carboxyliques et groupes dérivés
Molécules et matériaux organiques Partie 1. Addition nucléophile suivie d élimination (A N + E) 1.1. Réactivité électrophile des acides carboxyliques et groupes dérivés bjectifs du chapitre Notions à connaître
Plus en détailL ANALYSE EN COMPOSANTES PRINCIPALES (A.C.P.) Pierre-Louis GONZALEZ
L ANALYSE EN COMPOSANTES PRINCIPALES (A.C.P.) Pierre-Louis GONZALEZ INTRODUCTION Données : n individus observés sur p variables quantitatives. L A.C.P. permet d eplorer les liaisons entre variables et
Plus en détailListe des maladies professionnelles de l OIT. (révisée en 2010)
Liste des maladies professionnelles de l OIT (révisée en 2010) CONFÉRENCE INTERNATIONALE DU TRAVAIL Recommandation 194 Recommandation concernant la liste des maladies professionnelles et l enregistrement
Plus en détail1 ère partie : tous CAP sauf hôtellerie et alimentation CHIMIE ETRE CAPABLE DE. PROGRAMME - Atomes : structure, étude de quelques exemples.
Référentiel CAP Sciences Physiques Page 1/9 SCIENCES PHYSIQUES CERTIFICATS D APTITUDES PROFESSIONNELLES Le référentiel de sciences donne pour les différentes parties du programme de formation la liste
Plus en détailPHYSIQUE-CHIMIE. Partie I - Spectrophotomètre à réseau
PHYSIQUE-CHIMIE L absorption des radiations lumineuses par la matière dans le domaine s étendant du proche ultraviolet au très proche infrarouge a beaucoup d applications en analyse chimique quantitative
Plus en détailCompétence 3-1 S EXPRIMER A L ECRIT Fiche professeur
Compétence 3-1 S EXPRIMER A L ECRIT Fiche professeur Nature de l activité : Réaliser 3 types de productions écrites (réécriture de notes, production d une synthèse de documents, production d une argumentation)
Plus en détailLa gravure. *lagravureparvoiehumide *lagravuresèche
La gravure Après avoir réalisé l étape de masquage par lithographie, il est alors possible d effectuer l étape de gravure. L étape de gravure consiste à éliminer toutes les zones non protégées par la résine
Plus en détailRappels sur les couples oxydantsréducteurs
CHAPITRE 1 TRANSFORMATIONS LENTES ET RAPIDES 1 Rappels sur les couples oxydantsréducteurs 1. Oxydants et réducteurs Un réducteur est une espèce chimique capable de céder au moins un électron Demi-équation
Plus en détailTransport des gaz dans le sang
UE3-2 - Physiologie Physiologie Respiratoire Chapitre 9 : Transport des gaz dans le sang Docteur Sandrine LAUNOIS-ROLLINAT Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailTransport des gaz dans le sang
UE3-2 - Physiologie Physiologie Respiratoire Chapitre 9 : Transport des gaz dans le sang Docteur Sandrine LAUNOIS-ROLLINAT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailCorrection ex feuille Etoiles-Spectres.
Correction ex feuille Etoiles-Spectres. Exercice n 1 1 )Signification UV et IR UV : Ultraviolet (λ < 400 nm) IR : Infrarouge (λ > 800 nm) 2 )Domaines des longueurs d onde UV : 10 nm < λ < 400 nm IR : 800
Plus en détailNOTICE DOUBLE DIPLÔME
NOTICE DOUBLE DIPLÔME MINES ParisTech / HEC MINES ParisTech/ AgroParisTech Diplômes obtenus : Diplôme d ingénieur de l Ecole des Mines de Paris Diplôme de HEC Paris Ou Diplôme d ingénieur de l Ecole des
Plus en détailEffets électroniques-acidité/basicité
Université du Maine Faculté des Sciences Retour Révisions de cours Effets électroniquesacidité/basicité Il est très important dans un cours de himie organique de connaitre ces notions qui vont intervenir
Plus en détailChapitre 11: Réactions nucléaires, radioactivité et fission
1re B et C 11 Réactions nucléaires, radioactivité et fission 129 Chapitre 11: Réactions nucléaires, radioactivité et fission 1. Définitions a) Nucléides (= noyaux atomiques) Les nucléides renferment les
Plus en détailLE PHYSICIEN FRANCAIS SERGE HAROCHE RECOIT CONJOINTEMENT LE PRIX NOBEL DE PHYSIQUE 2012 AVEC LE PHYSICIEN AMERCAIN DAVID WINELAND
LE PHYSICIEN FRANCAIS SERGE HAROCHE RECOIT CONJOINTEMENT LE PRIX NOBEL DE PHYSIQUE 0 AVEC LE PHYSICIEN AMERCAIN DAVID WINELAND SERGE HAROCHE DAVID WINELAND Le physicien français Serge Haroche, professeur
Plus en détailNotes. Schéma général PRODUCTION ÉLECTROLYTIQUE Composés inorganiques, nonmétaux
XXXX C25 PROCÉDÉS ÉLECTROLYTIQUES OU ÉLECTROPHORÉTIQUES; APPAREILLAGES À CET EFFET (électrodialyse, électro-osmose, séparation de liquides par l électricité B01D; usinage du métal par action d une forte
Plus en détailSophie Guézo Alexandra Junay
Sophie Guézo Alexandra Junay sophie.guezo@univ-rennes1.fr alexandra.junay@univ-rennes1.fr Unité Mixte de Recherche (UMR) Université Rennes I et CNRS Physique moléculaire Matière molle Matériaux Nanosciences
Plus en détailChapitre 10 : Radioactivité et réactions nucléaires (chapitre 11 du livre)
Chapitre 10 : Radioactivité et réactions nucléaires (chapitre 11 du livre) 1. A la découverte de la radioactivité. Un noyau père radioactif est un noyau INSTABLE. Il se transforme en un noyau fils STABLE
Plus en détailSujet. calculatrice: autorisée durée: 4 heures
DS SCIENCES PHYSIQUES MATHSPÉ calculatrice: autorisée durée: 4 heures Sujet Spectrophotomètre à réseau...2 I.Loi de Beer et Lambert... 2 II.Diffraction par une, puis par deux fentes rectangulaires... 3
Plus en détailLes puissances 4. 4.1. La notion de puissance. 4.1.1. La puissance c est l énergie pendant une seconde CHAPITRE
4. LES PUISSANCES LA NOTION DE PUISSANCE 88 CHAPITRE 4 Rien ne se perd, rien ne se crée. Mais alors que consomme un appareil électrique si ce n est les électrons? La puissance pardi. Objectifs de ce chapitre
Plus en détailEnergie Nucléaire. Principes, Applications & Enjeux. 6 ème - 2014/2015
Energie Nucléaire Principes, Applications & Enjeux 6 ème - 2014/2015 Quelques constats Le belge consomme 3 fois plus d énergie que le terrien moyen; (0,56% de la consommation mondiale pour 0,17% de la
Plus en détailPHYSIQUE-CHIMIE. Partie I - Propriétés de l atome
PHYSIQUE-CHIMIE Ce sujet traite de quelques propriétés de l aluminium et de leurs applications. Certaines données fondamentales sont regroupées à la fin du texte. Partie I - Propriétés de l atome I.A -
Plus en détailT4 Pourquoi éteindre les phares d une voiture quand le moteur est arrêté? Comment fabriquer une pile? un accumulateur?
T4 Pourquoi éteindre les phares d une voiture quand le moteur est arrêté? Comment fabriquer une pile? un accumulateur? Pour ce module, sont proposés et présentés des phases de recherche documentaire, de
Plus en détailChapitre 6. Fonction réelle d une variable réelle
Chapitre 6 Fonction réelle d une variable réelle 6. Généralités et plan d étude Une application de I dans R est une correspondance entre les éléments de I et ceu de R telle que tout élément de I admette
Plus en détailExercices - Fonctions de plusieurs variables : corrigé. Pour commencer
Pour commencer Exercice 1 - Ensembles de définition - Première année - 1. Le logarithme est défini si x + y > 0. On trouve donc le demi-plan supérieur délimité par la droite d équation x + y = 0.. 1 xy
Plus en détailLABORATOIRES DE CHIMIE Techniques de dosage
LABORATOIRES DE CHIMIE Techniques de dosage Un dosage (ou titrage) a pour but de déterminer la concentration molaire d une espèce (molécule ou ion) en solution (généralement aqueuse). Un réactif de concentration
Plus en détailSUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION)
Terminale S CHIMIE TP n 2b (correction) 1 SUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION) Objectifs : Déterminer l évolution de la vitesse de réaction par une méthode physique. Relier l absorbance
Plus en détailChapitre 11 Bilans thermiques
DERNIÈRE IMPRESSION LE 30 août 2013 à 15:40 Chapitre 11 Bilans thermiques Table des matières 1 L état macroscopique et microcospique de la matière 2 2 Énergie interne d un système 2 2.1 Définition.................................
Plus en détailBACCALAURÉAT PROFESSIONNEL SUJET
SESSION 203 Métropole - Réunion - Mayotte BACCALAURÉAT PROFESSIONNEL ÉPREUVE E4 CULTURE SCIENTIFIQUE ET TECHNOLOGIQUE : MATHÉMATIQUES Toutes options Durée : 2 heures Matériel(s) et document(s) autorisé(s)
Plus en détailSCIENCES PHYSIQUES. Durée : 3 heures. L usage d une calculatrice est interdit pour cette épreuve. CHIMIE
Banque «Agro-Véto» Technologie et Biologie AT - 0310 SCIECES PYSIQUES Durée : 3 heures L usage d une calculatrice est interdit pour cette épreuve. Si, au cours de l épreuve, un candidat repère ce qui lui
Plus en détailChapitre 4 - Spectroscopie rotationnelle
Chapitre 4 - Spectroscopie rotationnelle 5.1 Classification Déterminer à quelle catégorie (sphérique, symétrique, asymétrique) appartiennent ces molécules : a) CH 4, b) CH 3 F, c) CH 3 D, d) SF 6, e) HCN,
Plus en détailTemps forts départementaux. Le calcul au cycle 2 Technique opératoire La soustraction
Temps forts départementaux Le calcul au cycle 2 Technique opératoire La soustraction Calcul au cycle 2 La soustraction fait partie du champ opératoire additif D un point de vue strictement mathématique,
Plus en détailDécrets, arrêtés, circulaires
Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SOLIDARITÉS Arrêté du 11 janvier 2007 relatif aux limites et références de qualité des eaux brutes et des eaux destinées à la
Plus en détailLycée Galilée Gennevilliers. chap. 6. JALLU Laurent. I. Introduction... 2 La source d énergie nucléaire... 2
Lycée Galilée Gennevilliers L'énergie nucléaire : fusion et fission chap. 6 JALLU Laurent I. Introduction... 2 La source d énergie nucléaire... 2 II. Équivalence masse-énergie... 3 Bilan de masse de la
Plus en détailMESURE DE LA TEMPERATURE
145 T2 MESURE DE LA TEMPERATURE I. INTRODUCTION Dans la majorité des phénomènes physiques, la température joue un rôle prépondérant. Pour la mesurer, les moyens les plus couramment utilisés sont : les
Plus en détailCONSTANTES DIELECTRIQUES
9 E7 CONTANTE DIELECTRIQUE I. INTRODUCTION Dans cette expéience, nous étuieons es conensateus et nous éiveons les popiétés e iélectiques tels que l'ai et le plexiglas. II. THEORIE A) Conensateus et iélectiques
Plus en détailChapitre 6. Réactions nucléaires. 6.1 Généralités. 6.1.1 Définitions. 6.1.2 Lois de conservation
Chapitre 6 Réactions nucléaires 6.1 Généralités 6.1.1 Définitions Un atome est constitué d électrons et d un noyau, lui-même constitué de nucléons (protons et neutrons). Le nombre de masse, noté, est le
Plus en détailChapitre 6 : les groupements d'étoiles et l'espace interstellaire
Chapitre 6 : les groupements d'étoiles et l'espace interstellaire - Notre Galaxie - Amas stellaires - Milieu interstellaire - Où sommes-nous? - Types de galaxies - Interactions entre galaxies Notre Galaxie
Plus en détail10 en agronomie. Domaine. Les engrais minéraux. Livret d autoformation ~ corrigés. technologique et professionnel
10 en agronomie Les engrais minéraux Livret d autoformation ~ corrigés 8 Domaine technologique et professionnel Collection dirigée par Madeleine ASDRUBAL Ingénieur d agronomie ENESAD Département des Sciences
Plus en détailRDP : Voir ou conduire
1S Thème : Observer RDP : Voir ou conduire DESCRIPTIF DE SUJET DESTINE AU PROFESSEUR Objectif Compétences exigibles du B.O. Initier les élèves de première S à la démarche de résolution de problème telle
Plus en détailMise en pratique : Etude de spectres
Mise en pratique : Etude de spectres Introduction La nouvelle génération de spectromètre à détecteur CCD permet de réaliser n importe quel spectre en temps réel sur toute la gamme de longueur d onde. La
Plus en détailPHYSIQUE CHIMIE. Notions de première indispensables. Table des matières. pour la Terminale S 1 LE PHOTON 2 LES SOLUTIONS COLORÉES
Table des matières 1 LE PTN 2 LES SLUTINS CLRÉES 3 AVANCEMENT D UNE RÉACTIN CIMIQUE 4 STRUCTURE DES MLÉCULES PYSIQUE 5 INTERACTINS FNDAMENTALES 6 RADIACTIVITÉ ET RÉACTINS NUCLÉAIRES 2 CIMIE 7 MATIÈRE ET
Plus en détailLa physique nucléaire et ses applications
La physique nucléaire et ses applications I. Rappels et compléments sur les noyaux. Sa constitution La représentation symbolique d'un noyau est, dans laquelle : o X est le symbole du noyau et par extension
Plus en détaila. Fusion et énergie de liaison des noyaux b. La barrière Coulombienne c. Effet tunnel & pic de Gamov
V. Les réactions r thermonucléaires 1. Principes a. Fusion et énergie de liaison des noyaux b. La barrière Coulombienne c. Effet tunnel & pic de Gamov 2. Taux de réactions r thermonucléaires a. Les sections
Plus en détailTP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE
TP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE OBJECTIFS : - Distinguer un spectre d émission d un spectre d absorption. - Reconnaître et interpréter un spectre d émission d origine thermique - Savoir qu un
Plus en détailCompléments - Chapitre 5 Spectroscopie
ompléments - hapitre 5 Spectroscopie Spectroscopie par résonance magnétique nucléaire (RMN 13 ) Tandis que la spectroscopie RMN 1 H fournit des données sur la disposition des atomes d'hydrogène dans une
Plus en détailECO-PROFIL Production Stratifié HPL mince fabriqué par Polyrey
ECO-PROFIL Production Stratifié HPL mince fabriqué par Polyrey Août 2009 modifié Avril 2013 1 : Feuille décor imprimée ou teintée dans la masse, imprégnée de résine mélamine 2 : Surface de protection imprégnée
Plus en détailTP N 3 La composition chimique du vivant
Thème 1 : La Terre dans l'univers, la vie et l'évolution du vivant : une planète habitée Chapitre II : La nature du vivant TP N 3 La composition chimique du vivant Les conditions qui règnent sur terre
Plus en détailExo7. Calculs de déterminants. Fiche corrigée par Arnaud Bodin. Exercice 1 Calculer les déterminants des matrices suivantes : Exercice 2.
Eo7 Calculs de déterminants Fiche corrigée par Arnaud Bodin Eercice Calculer les déterminants des matrices suivantes : Correction Vidéo ( ) 0 6 7 3 4 5 8 4 5 6 0 3 4 5 5 6 7 0 3 5 4 3 0 3 0 0 3 0 0 0 3
Plus en détailChapitre 5 : Noyaux, masse et énergie
Chapitre 5 : Noyaux, masse et énergie Connaissances et savoir-faire exigibles : () () (3) () (5) (6) (7) (8) Définir et calculer un défaut de masse et une énergie de liaison. Définir et calculer l énergie
Plus en détailK W = [H 3 O + ] [OH - ] = 10-14 = K a K b à 25 C. [H 3 O + ] = [OH - ] = 10-7 M Solution neutre. [H 3 O + ] > [OH - ] Solution acide
La constante d autoprotolyse de l eau, K W, est égale au produit de K a par K b pour un couple acide/base donné : En passant en échelle logarithmique, on voit donc que la somme du pk a et du pk b d un
Plus en détailFonctions de deux variables. Mai 2011
Fonctions de deux variables Dédou Mai 2011 D une à deux variables Les fonctions modèlisent de l information dépendant d un paramètre. On a aussi besoin de modéliser de l information dépendant de plusieurs
Plus en détailcontributions Les multiples de la chimie dans la conception des tablettes et des Smartphones Jean-Charles Flores
Les multiples contributions de la chimie dans la conception des tablettes et des Smartphones Jean-Charles Flores Jean-Charles Flores est spécialiste de l électronique organique au sein de la société BASF
Plus en détailCours d algorithmique pour la classe de 2nde
Cours d algorithmique pour la classe de 2nde F.Gaudon 10 août 2009 Table des matières 1 Avant la programmation 2 1.1 Qu est ce qu un algorithme?................................. 2 1.2 Qu est ce qu un langage
Plus en détailPrincipe de la corrosion galvanique :
Préconisations d installation d un ballon d ECS face à la corrosion galvanique Des questions reviennent fréquemment sur le forum de l APPER concernant la corrosion, les couples galvaniques, les cuves ballons
Plus en détailL École nationale des pompiers du Québec. Dans le cadre de son programme de formation Pompier I
L École nationale des pompiers du Québec Dans le cadre de son programme de formation Pompier I QUATRIÈME ÉDITION MANUEL DE LUTTE CONTRE L INCENDIE EXPOSÉ DU PROGRAMME D ÉTUDES POMPIER 1 SUJET 4 Énergie
Plus en détail