Emergence des résistances aux antipaludiques : mécanismes et conséquences

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Emergence des résistances aux antipaludiques : mécanismes et conséquences"

Transcription

1 Emergence des résistances aux antipaludiques : mécanismes et conséquences

2 I-Introduction II-Le parasite et sa physiopathologie III- Le paludisme à travers l histoire IV-Les antimalariques et l émergence de résistances V- Le futur VI-Conclusion

3 Introduction

4 Problématique du Paludisme : 3,3 milliards de personnes vivent en zone d endémie palustre millions d épisodes d accès palustre par an entre et décès annuels ( ) dont 90% des cas en Afrique 90% d enfants de moins de 5 ans Priorité de l OMS et cela depuis sa création (1948)

5 I-Le Paludisme, physiopathologie

6 Maladie parasitaire potentiellement mortelle pour l homme due à des protozoaires du genre Plasmodium Transmission par les moustiques femelles du genre Anopheles 5 espèces de parasites du genre Plasmodium: P. malariae P. ovale P. vivax P. falciparum P. knowlesi

7 5 espèces différentes, 5 aires de répartitions différentes P. falciparum : Afrique sub-saharienne et Madagascar, Asie du Sud et Sud Est, Amérique centrale et du Sud P. ovale : Afrique centrale P. vivax : Moyen Orient, Afrique du Nord, Madagascar, Maurice, Amérique centrale et Sud, Asie tropicale P. malariae : Afrique tropicale et du Nord, Amérique centrale et du Sud, Iran P. knowlesi : Asie du Sud Est, découverte récente, maladie zoonotique (transmission à partir de macaques)

8 Répartition Globale

9 5 espèces différentes, 5 cliniques différentes P. falciparum : fièvre tierce maligne, rechutes limitée à 6 mois, complication possible : neuropaludisme, mortalité 30% par crise sans prise en charge P. ovale : fièvre tierce bénigne, rechutes pendant 5 ans P. vivax : fièvre tierce bénigne, rechutes pendant 2 ans P. malariae : fièvre quarte, rechutes jusqu à ans, complications possibles (rares) : insuffisance rénale P. knowlesi : fièvre toutes les 24 heures, pas de rechutes, complications possibles (rares) notamment rénales et hépatiques, mortalité < 2%

10 II-Le Paludisme à travers l histoire

11 Le Paludisme à travers l histoire Origine probable : Transmis des grands singes à l homme en Afrique (à l origine souche aviaire) (à l exception de P. knowlesi) Date supposée : > ans (pour P. falciparum)

12 Le Paludisme à travers l histoiree Dissémination avec les déplacements humains (en partie lié au fait que les Anopheles vecteurs ont développés des habitudes fortement anthropophiles) à ans : PO/Mésopotamie, Inde puis Asie du SE Nergal, Dieu Babylonien de la destruction et de la pestilence, est représenté sous forme d un insecte/moustique

13 Le Paludisme à travers l histoiree Dissémination avec les déplacements humains (en partie lié au fait que les Anopheles vecteurs ont developpés des habitudes fortement anthropophiles) à ans : PO/Mésopotamie, Inde puis Asie du SE Des momies égyptiennes présentent des splénomégalies paludiques. Les Egyptiens utilisent des moustiquaires et des répulsifs à moustiques à base d huiles essentielles. Le papyrus d Eber parle de fièvre morbide annuelle (lors de la saison des crues) Les symptômes de la malaria suite à une piqûre de moustiques sont décris avec précision dans les textes védiques Hindous (y compris fièvres tierces et quartes)

14 Le Paludisme à travers l histoire ans : Chine : Le Nei Jing (texte médical chinois) parle de fièvres paroxystiques répétées avec splénomégalie Un texte légal oblige les époux devant se rendre en zone à fièvre à donner l autorisation à leur(s) femme(s) de se re-marier La pharmacopée chinoise intègre des extraits d Artemisia comme «anti-fièvre» (-600 BC)

15 Le Paludisme à travers l histoire -2500/-2000 : Côte méditerranéenne Hippocrate décris les fièvres périodiques avec splénomégalie et fait le lien avec l eau stagnante (mais il parle d ingestion) (-400 BC) Les romains, conscients du caractère malsain des marais, drainent les zones marécageuses (César -50 BC) -1000/-500 : Europe centrale +300/+1000 Période des invasions et Moyen Age : Europe du Nord Paludismo vient du latin Palus (ou lagon) Malaria vient de l italien mal aria (mauvais air) Au 15 e siècle le paludisme est répandu de l Europe du Nord (St-Petersbourg, Londres) au Japon/Corée/Chine/Asie du SE et bien sûr en Afrique.

16 Le Paludisme à travers l histoire fin du 15 e siècle introduction du paludisme dans le nouveau monde (conquête espagnole et trafic d esclaves ) d abord dans les Caraïbes et AmSud puis au 18 e en Amérique du Nord en 1850 tout le continent est atteint du Canada au Chili A cette date le paludisme couvre la quasi totalité du globe De 1500 à 1750 la mortalité liée au paludisme dans certaines régions avoisine les 10% (jusqu à 30 à 50% annuels dans certains comptoirs africains)

17 Le Paludisme à travers l histoire 1650 introduction dans la pharmacopée de frères Jésuites au Pérou de l écorce de «l arbre à fièvre» (quinquina) pour lutter contre les crises de paludisme généralisation à partir de 1750 et production de la «poudre des jésuites» à partir de 1850 plantation en dehors de l Amérique du sud et disponibilité large chute de la mortalité de 50% de 1850 à 1950 : En 100 ans on estime la mortalité liée au paludisme entre 150 et 300 millions (soit entre 2,5 et 5% de la mortalité mondiale) Premières campagnes d éradication (via l OMS) : 1950

18 III-Les antimalariques et l émergence de résistances

19 Les médicaments anti paludiques jusqu à la 1 er Guerre Mondiale : quinine début des recherches pour molécules alternatives entre en Allemagne poursuivies entre les 2 guerres : 4 et 8-aminoquinolines (primaquine, amodiaquine, chloroquine) ainsi que d autres composés type quinacrine ou les sulfonamides quinine primaquine chloroquine sulfadoxine

20 Les médicaments anti paludiques Fin de la guerre : retour à la quinine IIe Guerre Mondiale : utilisation de la quinacrine et de la primaquine (sortie du monopole de la quinine) et nouvelles recherches à cause de leur toxicité Anglais : Proguanil et pyriméthamine Américains : Mefloquine et Halofantrine proguanil pyriméthamine halofantrine

21 Les médicaments anti paludiques mécanismes d action Quinine-Choloquine-Mefloquine-Halofantrine Mécanisme d action non encore bien défini S accumulent dans la vacuole digestive du parasite et l empêcherait de détoxifier l hème de l hémoglobine Hb Quinine Choloroquine Mefloquine Halofantrine Hème toxique Hèmozoine Non toxique globine AA Trophozoite de Plasmodium

22 Les médicaments anti paludiques mécanismes d action Proguanil-Pyriméthamine-Sulfadoxine Interférent dans la voie des folates (synthèse de l acide folique) indispensable pour l étape ultime de transformation de l uracil en thymine Sulfadoxine Pyriméthamine proguanil DHPS : dihydropteroate Synthase DHFR : dihydrofolate Reductase

23 Les médicaments anti paludiques Mécanismes de résistance Essentiellement 5 gènes affectés Pfmdr1 (Plasmodium falciparum multiple drug resistance) Pfcrt1 (Plasmodium falciparum chloroquine resistance transporteur 1) Pfmrp (Plasmodium falciparum multidrug resistance associated protein) Ces 3 gènes codent pour des transporteurs membranaires d entrée ou de sorties. Pfdhfr et Pfdhps, les enzymes clés du métabolisme des folates

24 Les médicaments anti paludiques Mécanismes de résistance Pour Pfmdr1, Pfcrt1 et Pfmrp ces gènes codent pour des transporteurs qui jouent un rôle dans le flux des composés toxiques pour le parasite (y compris le surplus d hème ou les antimalariques) par expulsion active ou passive (pompes ou transporteurs à efflux) mécanismes de résistance : soit sur-expression, soit mutations ponctuelles améliorant le fonctionnement du transporteur Pour Pfdhfr et Pfdhps ce sont les cibles directes des antifolates mécanismes de résistance : mutations ponctuelles diminuant l affinité entre la drogue et l enzyme cible

25 Les médicaments anti paludiques Pourquoi l apparition de ces résistances

26 Les médicaments anti paludiques Pourquoi l apparition de ces résistances Tous ces médicaments sont disponibles dans les années Choix d une molécule pour les campagnes de masse de l OMS : chloroquine et pyriméthamine en raison de leurs prix et absence de toxicité relative

27 Programmes d éradication du paludisme par l OMS : Premiers plans (sous contrôle OMS) : 1955 Basé initialement sur des pulvérisations massives extra et intra domiciliaires de DDT afin de casser le cycle de transmission Apparition dès 1956 de résistances chez les anophèles Idée : puisque insecticide seul pas assez efficace, ajout d un antimalarique choix : Chloroquine et Pyriméthamine But : faire un campagne de traitement de masse (mass drug administration ou MDA) en complément du DDT afin de casser le cycle de transmission (sigle en français : administration massive de médicaments ou AMM)

28 Programmes d éradication du paludisme par l OMS : Définition et méthodologie MDA : MDA direct : protection de l ensemble de la population d une région par administration d un traitement sous forme médicamenteuse, quel que soit son statu physiopathologique (malade/sain) Problèmes possibles : conservation des médicaments disponibilité des médicaments observance des patients accès aux zones isolées coût couverture de la population (doit être idéalement > 90-95%) dosage (malade = doses de traitement, sain = prophylaxie)

29 Programmes d éradication du paludisme par l OMS : Définition et méthodologie MDA : MDA indirect : protection de l ensemble de la population d une région par administration d un traitement sous une forme d additif alimentaire, quel que soit son statu physiopathologique (malade/sain) Problèmes possibles : stabilité du mélange principe actif-additif populations exclus en raison de leur régime alimentaire (enfants par exemple) dose journalière variable

30 Programmes d éradication du paludisme par l OMS : Choix de l OMS : Basé sur le succès précédant de MDA à l iode (contre le goitre) : Ajout de pyriméthamine ou de chloroquine dans le sel de cuisine Campagne menée en Asie du SE, Afrique et AmSud

31 Programmes d éradication du paludisme par l OMS : Problèmes : couverture des bassins de population variable selon que le produit est distribué gratuitement ou par des circuits commerciaux normaux concentration des produits dans le sel (0.3% acceptable, 0.6% trop amer) stockage du sel en zone tropicale humide administration aux enfants, premiers concernés par les épisodes palustres difficulté à estimer la dose journalière de sel consommé (variations ethniques, géographiques, familiales, individuelles..)

32 Programmes d éradication du paludisme par l OMS : Conséquences : Après une chute rapide du taux de transmission (6-9 mois) rééquilibrage de l endémie parasitaire avec : retour de la transmission à un niveau quasi normal émergence de souches résistantes à la chloroquine ou à la pyriméthamine ou aux 2 (21 sites de mutation sur Pfcrt1 conférant une résistance ont été décris) (5-6 sites de mutation sur Pfdhfr conférant une résistance ont été décris)

33 Programmes d éradication du paludisme par l OMS : Résistances à la chloroquine Asie du SE (1962 Thaïlande) puis dissémination aux pays limitrophes avec extension rapide (Malaisie 1963, Cambodge 1963, Vietnam 1964, Birmanie 1969) Amérique du Sud (1961). Même mécanisme Afrique : apparition plus tardive chez des populations migrantes non immunes en Afrique de l Est (1979) Résistances à la pyriméthamine détectées dès 1950 lors de campagnes de faible ampleur entre 1952 et 1954 progressions annuelles de 50 à 60% selon les pays Résistance croisée Chloroquine/Pyriméthamine/autres composés souche Multiple Drug Resistance (MDR) isolée en Thaïlande en 1964

34 Autres développements de résistances (non liés aux programmes MDA de l OMS) Utilisation du Proguanil (Paludrine) en prophylaxie à faible dose chez les travailleurs de plantation (caoutchouc) en Asie du SE et AmSud 100 % de réussite clinique en 1947, 25 % de réussite clinique avec triple dose en 1949 Emergence de résistances à la Quinine Plus tardives (années 1938 supposées, 1960 documentées) car plus complexes au niveau génétique avec nécessité d une sur-expression de transporteurs

35 Conséquences Résistance à la Chloroquine Forte ré-augmentation de la mortalité et perte du composé le moins cher (0.20 $ par comprimé) : grosse problématique notamment en Afrique Résistance à la Quinine Impact le traitement d urgence et entraine des résistances multiples (noyaux quinine = noyaux chloroquine = noyaux halofantrine et méfloquine ce qui expliquera l émergence rapide de résistances contre ces 2 composés pourtant plus récents) Résistance à la sulfadoxine et pyriméthamine Emergence et dissémination rapide, a nécessité une combinaison Sulf/Pyr mais sur une base de parasites déjà résistants à l un ou l autre composé et donc pouvant facilement acquérir la seconde résistance

36 Conséquences

37 Conséquences Essais de nouvelles combinaisons synergiques : Sulfadoxine-Pyriméthamine Efficace mais utilisée sur une base de parasites déjà résistants à la Sulfadoxine ou à la Pyriméthamine => résistants à la combinaison

38 Conséquences Introduction de «nouvelles» molécules : Halofantrine et Méfloquine : sur une base de parasites résistants à la quinine, acquisition rapide de résistance à ces 2 molécules

39 Conséquences Introduction de «nouvelles» molécules : Atovaquone : acquisition très rapide de résistance, à associer avec Proguanil

40 Les médicaments anti paludiques mécanismes d action Atovaquone Inhibiteur de la synthèse des pyrimidines par action au niveau mitochondrial

41 Conséquences Introduction de «nouvelles» molécules : Artémisinine : connue en Chine depuis 2000 ans, utilisée en pharmacopée européenne suite à la crise de la résistance à la chloroquine depuis 1990 En 2001 l OMS considère que l ART «est le plus grand espoir contre le paludisme» En : Apparition des premières résistances

42 Les médicaments anti paludiques mécanismes d action Artémisinine et dérivés endopéroxyde se liant à l hème de l hématie et entrainant la libération de radicaux libres toxiques Hb -OH ADN Membrane cellulaire Métabolisme protidique Trophozoite de Plasmodium

43 Conséquences

44 Conséquences

45 V-Le Futur

46 Réflexions pour un traitement efficace dans le futur Monothérapies efficaces mais très transitoirement : association de plusieurs molécules Déjà commercialisées ou en cours d évaluation : Artesunate (ART) amodiaquine ART- luméfantrine ART- méfloquine ART- Proguanil-Dapsone ART-Proguanil-Atovaquone.

47 Réflexions pour un traitement efficace dans le futur Chimiothérapie insuffisante seule (surtout si molécules couteuses) : association avec une prophylaxie mécanique (moustiquaires imprégnées)

48 Réflexions pour un traitement efficace dans le futur Suivi des résistances avec des organismes de contrôle (WWARN : WorldWide Antimalarial Resistance NetWork) Recherche de nouvelles molécules (rare..) Recherche de nouvelles formes galéniques adaptées aux populations cibles (ex ART-luméfantrine ou Coartem nécessite l absorption concomitante d un corps gras, difficile en Afrique.) Education des praticiens et des populations locales pour éviter les sous dosages, les ruptures de posologie. Lutte contre la contre façon

49 Conclusion

50 L acquisition de résistance aux anti-paludiques dynamique et multi factorielle est un phénomène de part les erreurs de méthodologie des campagnes de traitement l adaptabilité et la plasticité génétique du parasite favorisant l émergence et la dissémination de mutations conférant un phénotype de résistance L effet «croisé» ou l effet «domino» des phénotypes de résistance (R [antimalarique1] favorise R [antimalarique 2]) le coût des traitements les plus efficaces poussant au maintien des TT les moins chers même lors d émergence de souches de sensibilité réduite

51 Les campagnes de contrôle du paludisme doivent résoudre un dilemme : distribution la plus large des antimalariques les plus efficaces vs minimiser et contrôler le développement et la dissémination des résistances Les nouvelles campagnes associent : traitement insecticide (lutte antivectorielle) prophylaxie mécanique améliorée (moustiquaires imprégnées) TT avec combinaison ART-XX Ces campagnes ciblant plusieurs phases du cycle de transmission parasitaire ont permis une forte diminution de la mortalité Méthodologie efficace

Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence

Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Dominique GENDREL Necker-Enfants Malades Traiter en urgence en présence de trophozoïtes Plus de 80% des paludismes d importation en

Plus en détail

La vaccination, une bonne protection

La vaccination, une bonne protection Vaccin contre l hépatite A et l hépatite B La personne qui reçoit ce vaccin se protège contre l hépatite A, l hépatite B et leurs complications. L hépatite A et l hépatite B sont des infections du foie

Plus en détail

Paludisme Actualités 2015 Professeur Pierre Aubry. Mise à jour le 11/01/2015

Paludisme Actualités 2015 Professeur Pierre Aubry. Mise à jour le 11/01/2015 Paludisme Actualités 2015 Professeur Pierre Aubry. Mise à jour le 11/01/2015 1. Introduction : vers l'élimination du paludisme? En 2001, les dirigeants du monde entier ont adopté les Objectifs du Millénaire

Plus en détail

Planches pour le Diagnostic microscopique du paludisme

Planches pour le Diagnostic microscopique du paludisme République Démocratique du Congo Ministère de la Santé Programme National de Lutte Contre le Paludisme Planches pour le Diagnostic microscopique du paludisme Ces planches visent à améliorer le diagnostic

Plus en détail

THÈSE DOCTORAT DE L UNIVERSITÉ BORDEAUX 2

THÈSE DOCTORAT DE L UNIVERSITÉ BORDEAUX 2 Université Victor Segalen Bordeaux 2 Année 2010 Thèse n THÈSE pour le DOCTORAT DE L UNIVERSITÉ BORDEAUX 2 Mention : Sciences,Technologie, Santé Option : Epidémiologie et Santé Publique Présentée et soutenue

Plus en détail

Apport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses

Apport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses Apport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses M-H H BESSIERES,, S. CASSAING, A. BERRY, R. FABRE, J-F.. MAGNAVAL Service de Parasitologie-Mycologie Diagnostic biologique d une d parasitose

Plus en détail

4. Comment la maladie est-elle transmise à l homme? 2. Les composantes des soins de santé primaires : 1. Qu est-ce que l Initiative de Bamako (IB)?

4. Comment la maladie est-elle transmise à l homme? 2. Les composantes des soins de santé primaires : 1. Qu est-ce que l Initiative de Bamako (IB)? GENERALITES SUR : SANTE et MALADIE SOINS de SANTE PRIMAIRES (SSP) INITIATIVE de BAMAKO (IB) Objectifs généraux Au terme de ce module de formation, les participants devraient être capables de: Comprendre

Plus en détail

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86 LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT

Plus en détail

Les Maladies Tropicales, la Société de Pathologie Exotique. et l Institut Pasteur

Les Maladies Tropicales, la Société de Pathologie Exotique. et l Institut Pasteur Les Maladies Tropicales, la Société de Pathologie Exotique et l Institut Pasteur Un partenariat qui a bien plus de 100 ans Beaucoup des grands noms de la recherche française sur les maladies tropicales

Plus en détail

CHAPITRE 3 LA SYNTHESE DES PROTEINES

CHAPITRE 3 LA SYNTHESE DES PROTEINES CHAITRE 3 LA SYNTHESE DES ROTEINES On sait qu un gène détient dans sa séquence nucléotidique, l information permettant la synthèse d un polypeptide. Ce dernier caractérisé par sa séquence d acides aminés

Plus en détail

Conseils aux voyageurs

Conseils aux voyageurs Conseils aux voyageurs Informations issues du site du Ministère des Affaires Etrangères en France : http://www.diplomatie.gouv.fr/ Entrée / Séjour : Un visa d entrée est nécessaire pour les ressortissants

Plus en détail

Approches immunologiques potentielles du traitement du paludisme humain

Approches immunologiques potentielles du traitement du paludisme humain Approches immunologiques potentielles du traitement du paludisme humain Claudio Daniel RIBEIRO A l'heure actuelle les différentes possibilités thérapeutiques proposées pour le traitement du paludisme rencontrent

Plus en détail

Pemetrexed, pionnier de la chimiothérapie histoguidée. Dr Olivier CASTELNAU Institut Arnault TZANCK ST Laurent du Var

Pemetrexed, pionnier de la chimiothérapie histoguidée. Dr Olivier CASTELNAU Institut Arnault TZANCK ST Laurent du Var Pemetrexed, pionnier de la chimiothérapie histoguidée Dr Olivier CASTELNAU Institut Arnault TZANCK ST Laurent du Var SFPO Octobre 2009 EPIDEMIOLOGIE Incidence : 1.35 M par an dans le monde (12,4%) 28 000

Plus en détail

M A N U E L D E F O R M A T I O N

M A N U E L D E F O R M A T I O N MANUEL DE FORMATION TABLE DES MATIÈRES Introduction 5 Généralités 6. Qu est-ce que la CPS? 6. Distribution géographique du paludisme saisonnier 7. Quand faut-il utiliser la CPS? 7. Une intervention recommandée

Plus en détail

sporozoïtes Oocystes* Schizontes* ookinètes mérozoites zygotes Développement : Durée de la sporogonie (à 28 C, en jours)

sporozoïtes Oocystes* Schizontes* ookinètes mérozoites zygotes Développement : Durée de la sporogonie (à 28 C, en jours) 500 Nombre de cas de paludisme diagnostiqué en Belgique LA MALARIA : Nombre de cas 400 300 200 100 0 Méthodes diagnostiques 1984 1986 1988 1990 1992 1994 Année 1996 1998 2000 2002 LA MALARIA fr 2006 ver

Plus en détail

Sénégal. Enquête Nationale sur le Paludisme 2008-2009 (ENPS-II)

Sénégal. Enquête Nationale sur le Paludisme 2008-2009 (ENPS-II) Sénégal Enquête Nationale sur le Paludisme 2008-2009 (ENPS-II) RÉPUBLIQUE DU SÉNÉGAL Enquête Nationale sur le Paludisme au Sénégal 2008-2009 (ENPS-II) Salif Ndiaye Mohamed Ayad Ministère de la Santé,

Plus en détail

Référentiel Officine

Référentiel Officine Référentiel Officine Inscrire la formation dans la réalité et les besoins de la pharmacie d officine de demain - Ce référentiel décrit dans le cadre des missions et des activités du pharmacien d officine

Plus en détail

Partie I Recommandations aux voyageurs des pays tropicaux - 15

Partie I Recommandations aux voyageurs des pays tropicaux - 15 8 Avertissement Mis à part quelques précisions sur la prévention du paludisme (malaria) et le traitement de la diarrhée chez les enfants, ce livre ne se consacre ni aux nouveau-nés et jeunes enfants, ni

Plus en détail

INSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES»

INSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES» INSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES» v On ne guérit pas ( en général ) d une insuffisance cardiaque, mais on peut la stabiliser longtemps, très longtemps à condition v Le patient insuffisant cardiaque

Plus en détail

Le VIH et votre foie

Le VIH et votre foie Le VIH et votre foie Le VIH et votre foie Que dois-je savoir au sujet de mon foie? Votre foie joue un rôle incroyablement important. Il filtre votre sang en éliminant les substances nocives (toxiques)

Plus en détail

ACCES UNIVERSEL AUX TESTS DIAGNOSTIQUES DU PALUDISME

ACCES UNIVERSEL AUX TESTS DIAGNOSTIQUES DU PALUDISME ACHIEVING Accès universel aux tests diagnostiques du paludisme Manuel Pratique Programme mondial de lutte antipaludique Organisation Mondiale de la Santé 20 avenue Appia 1211 Genève 27 Suisse http://www.who.int/malaria/en/

Plus en détail

La résistance d'agents infectieux aux médicaments antimicrobiens

La résistance d'agents infectieux aux médicaments antimicrobiens DECLARATION COMMUNE DES ACADEMIES DU G SCIENCE 2013 La résistance d'agents infectieux aux médicaments antimicrobiens Une menace globale pour l'humanité Depuis l introduction dans les années 40 du premier

Plus en détail

LES BRIC: AU DELÀ DES TURBULENCES. Françoise Lemoine, Deniz Ünal Conférence-débat CEPII, L économie mondiale 2014, Paris, 11 septembre 2013

LES BRIC: AU DELÀ DES TURBULENCES. Françoise Lemoine, Deniz Ünal Conférence-débat CEPII, L économie mondiale 2014, Paris, 11 septembre 2013 LES BRIC: AU DELÀ DES TURBULENCES 1. Facteurs structurels du ralentissement de la croissance dans les BRIC 2. Interdépendances commerciales entre les BRIC et le reste du monde Françoise Lemoine, Deniz

Plus en détail

Lieux de stage des étudiants du Master 2 en Santé Internationale 2010-2015

Lieux de stage des étudiants du Master 2 en Santé Internationale 2010-2015 Lieux de stage des étudiants du Master 2 en Santé Internationale 2010-2015 Lieux de stage, structures d accueil et sujets de stage des étudiants du Master 2 en Santé Internationale 2010-2015 Pays Structure

Plus en détail

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 10 mai 2006

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 10 mai 2006 COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 10 mai 2006 METOJECT 10 mg/ml, solution injectable en seringue pré-remplie 1 seringue pré-remplie en verre de 0,75 ml avec aiguille : 371 754-3 1 seringue pré- remplie

Plus en détail

Accès aux antiviraux contre les hépatites dans les pays à bas et moyens revenus : produire localement des génériques. Maurice Cassier CNRS CERMES3

Accès aux antiviraux contre les hépatites dans les pays à bas et moyens revenus : produire localement des génériques. Maurice Cassier CNRS CERMES3 Accès aux antiviraux contre les hépatites dans les pays à bas et moyens revenus : produire localement des génériques Maurice Cassier CNRS CERMES3 Production de génériques dans les PVD et accessibilité

Plus en détail

Volet de l étude consacré aux interventions des personnels de santé, intitulé

Volet de l étude consacré aux interventions des personnels de santé, intitulé STAGIAIRES L'ÉTUDE TACT Volet de l étude consacré aux interventions des personnels de santé, intitulé Une étude randomisée en groupe des interventions des personnes de santé et des communautés pour encourager

Plus en détail

Le parasitisme chez les arthropodes

Le parasitisme chez les arthropodes Le parasitisme chez les arthropodes Photo : Warren Rosenberg NOWAK Julien La puce du chat Ctenocephalides 1 felis SOMM AIRE I. Introduction... 5 A. Définition... 5 B. Le parasitisme, une forme spéciale

Plus en détail

PRODUITS MORTELS LES PESTICIDES DANS LE COTON

PRODUITS MORTELS LES PESTICIDES DANS LE COTON Pe s t i c i d e A c t i o n N e t w o r k U K PRODUITS MORTELS LES PESTICIDES DANS LE COTON Résumé exécutif et Recommendations 5 St Peter s St London N1 8JD Royaume Uni t: +44 (0)20 7359 0440 f: +44 (0)20

Plus en détail

LUTTE ANTI-VECTORIELLE EN ETABLISSEMENT DE SANTE

LUTTE ANTI-VECTORIELLE EN ETABLISSEMENT DE SANTE LUTTE ANTI-VECTORIELLE EN ETABLISSEMENT DE SANTE 13.05 Objectif Le risque lié à la présence d ectoparasites et d agents nuisibles dans les établissements de santé est réel pour les patients et pour le

Plus en détail

INVESTIR POUR UN MONDE SANS PALUDISME

INVESTIR POUR UN MONDE SANS PALUDISME INVESTIR POUR UN MONDE SANS PALUDISME Des progrès extrêmement importants ont été réalisés ces dernières années dans la lutte contre le paludisme, mais ces avancées sont fragiles et réparties de façon inégale.

Plus en détail

Livret des nouveaux anticoagulants oraux. Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation

Livret des nouveaux anticoagulants oraux. Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation Livret des nouveaux anticoagulants oraux Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation DONNÉES DU PATIENT Nom Adresse Tél MÉDECIN TRAITANT Nom Adresse Tél SPÉCIALISTE Nom Hôpital Tél MÉDICAMENT

Plus en détail

DEPLACEMENTS PROFESSIONNELS et EXPATRIATION Aspects pratiques et législatifs

DEPLACEMENTS PROFESSIONNELS et EXPATRIATION Aspects pratiques et législatifs DEPLACEMENTS PROFESSIONNELS et EXPATRIATION Aspects pratiques et législatifs Sabine GENTY Médecin Groupe Technip (secteur International) Ex Prat Att à la Consultation des Voyages Hôpital Avicenne BOBIGNY

Plus en détail

Enjeux et Perspectives de la composante «Environnement Santé» du Plan d Action de l Initiative Environnement du NEPAD

Enjeux et Perspectives de la composante «Environnement Santé» du Plan d Action de l Initiative Environnement du NEPAD PRÉSENTATION POWER POINT Enjeux et Perspectives de la composante «Environnement Santé» du Plan d Action de l Initiative Environnement du NEPAD Cheikh FOFANA, Assistant au Secrétaire Exécutif, Secrétariat

Plus en détail

First do no harm Hippocrates (470 360 BC)

First do no harm Hippocrates (470 360 BC) PHARMACOVIGILANCE DR A.TEBAA - Pr R. SOULAYMANI BENCHEIKH CENTRE ANTI POISON ET DE PHARMACOVIGILANCE M.COOPER-SHANTHI-PAL QUALITY ASSURANCE ET SECURITY MEDECINE Dakar 5-9 Mars 2006 First do no harm Hippocrates

Plus en détail

Le don de moelle osseuse :

Le don de moelle osseuse : DON DE MOELLE OSSEUSE Le don de moelle osseuse : se décider aujourd hui, s engager pour longtemps LA MOELLE OSSEUSE ET SA GREFFE La moelle osseuse C est le tissu mou dans le centre du corps des os qui

Plus en détail

L Expatriation pour une vie professionnelle différente

L Expatriation pour une vie professionnelle différente L Expatriation pour une vie professionnelle différente Et si vous regardiez. pour devenir expatrié de la santé, quelques idées Une population qui atteint pour la région près de 600 millions d habitants,

Plus en détail

Les Jeudis de l'europe

Les Jeudis de l'europe LE DIABETE SUCRE EST DEFINI EN DEHORS DE TOUT EPISODE DIABETOGENE : 1.26 g/l SOIT 7 mmol/l PREVALENCE DU DIABETE DE TYPE 2 EN FRANCE METROPOLITAINE 3.4 % AGE = 63 ANS HOMMES = 54% 25% > 75 ans OUTRE MER

Plus en détail

Réseau sur. Médicaments. l Innocuité et l Efficacité des. Document d orientation pour la présentation de requêtes au RIEM

Réseau sur. Médicaments. l Innocuité et l Efficacité des. Document d orientation pour la présentation de requêtes au RIEM Réseau sur l Innocuité et l Efficacité des Médicaments Document d orientation pour la présentation de requêtes au RIEM Instituts de recherche en santé du Canada Canadian Institutes of Health Research Version

Plus en détail

Orientation diagnostique devant une éosinophilie 1

Orientation diagnostique devant une éosinophilie 1 Orientation diagnostique devant une éosinophilie 1 Introduction L hyperéosinophilie est définie par la présence de polynucléaires éosinophiles circulants à plus de 0,5 G/l (500/µl) (quel que soit leur

Plus en détail

En selle, Simone! Un an A velo autour du monde. Dossier de sponsoring. Septembre 2015 - Aout 2016

En selle, Simone! Un an A velo autour du monde. Dossier de sponsoring. Septembre 2015 - Aout 2016 En selle, Simone! Un an A velo autour du monde Septembre 2015 - Aout 2016 Dossier de sponsoring Sommaire Le projet Description... 4 Qui sommes-nous? Nos projets... 5 Présentation... 3 L'itineraire Carte...

Plus en détail

Le Guide. des stratégies pour la lutte : Malaria Safe

Le Guide. des stratégies pour la lutte : Malaria Safe «Nous encourageons les leaders du secteur privé dans toutes les régions endémiques à lire le Guide des stratégies et à appliquer ses stratégies gagnantes.» Professeur Awa Marie Coll-Seck Director exécutif

Plus en détail

CAMPUS FRANCE. Janvier 2015

CAMPUS FRANCE. Janvier 2015 n 46 CAMPUS FRANCE Les notes Janvier 2015 Les États-Unis dans la mobilité étudiante internationale Synthèse Open Doors 2014 Avant-propos Offrant un tableau général de la mobilité internationale du point

Plus en détail

RELPAX. hydrobromure d élétriptan

RELPAX. hydrobromure d élétriptan RELPAX hydrobromure d élétriptan * Pharmacocinétique * Toxicologie * Formulation galénique * Essais cliniques * Conclusion * Pharmacocinétique * Toxicologie * Formulation galénique * Essais cliniques *

Plus en détail

Cordarone et Thyroïde par François Boustani

Cordarone et Thyroïde par François Boustani Physiologie de la thyroïde : l hormonosynthèse thyroïdienne se fait à partir de l iode essentiellement d origine digestive et de la thyroglobuline qui est une protéine synthétisée par la thyroïde à partir

Plus en détail

Migraine : traitement de la crise. Comment utiliser les triptans?

Migraine : traitement de la crise. Comment utiliser les triptans? Migraine : traitement de la crise Comment utiliser les triptans? 6 ème congrès national de lutte contre la douleur 19-20 Mars Alger Alain Serrie Service de Médecine de la douleur, médecine palliative et

Plus en détail

Jim Barrington 1 *, Olympia Wereko-Brobby 2, Peter Ward 3, Winfred Mwafongo 4, Seif Kungulwe 5. Résumé

Jim Barrington 1 *, Olympia Wereko-Brobby 2, Peter Ward 3, Winfred Mwafongo 4, Seif Kungulwe 5. Résumé RECHERCHE «SMS for Life» : un projet pilote destiné à améliorer la gestion de la fourniture d antipaludiques dans les zones rurales de Tanzanie à l aide d une technologie standard Jim Barrington 1 *, Olympia

Plus en détail

Evaluation Multisectorielle RRM dans le Groupement de Minime, Bouar, Nana-Mambéré Rapport préliminaire

Evaluation Multisectorielle RRM dans le Groupement de Minime, Bouar, Nana-Mambéré Rapport préliminaire Evaluation Multisectorielle RRM dans le Groupement de Minime, Bouar, Nana-Mambéré Rapport préliminaire Date : L évaluation multisectorielle s est déroulée du 26 au 28/08/2015. Zone d évaluation : Localité

Plus en détail

HEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas

HEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas HEPATITES VIRALES 22/09/09 Mme Daumas Infectieux Introduction I. Hépatite aigu II. Hépatite chronique III. Les différents types d hépatites A. Hépatite A 1. Prévention de la transmission 2. Vaccination

Plus en détail

Mise au point. Test rapide de diagnostic du paludisme : une curieuse discordance.

Mise au point. Test rapide de diagnostic du paludisme : une curieuse discordance. Mise au point Test rapide de diagnostic du paludisme : une curieuse discordance. J. Maslin a, T. Coton b, C. Martinaud a, D. Lignac c, L. Journaux d, F. Grassin e, B. Chagneau f. a Fédération des Laboratoires,

Plus en détail

Programme international de formation

Programme international de formation Programme international de formation La science n a pas de patrie, car la connaissance appartient à l humanité, c est un flambeau qui illumine le monde. Louis Pasteur Le Réseau International des Instituts

Plus en détail

«Les Arabes sont musulmans, les musulmans sont arabes.»

«Les Arabes sont musulmans, les musulmans sont arabes.» «Les Arabes sont musulmans, les musulmans sont arabes.» Les Turcs, les Persans et autres Arabes musulmans (...) Extrait de lettre de lecteur au journal Le Monde À cette idée reçue, il faut opposer d emblée

Plus en détail

7- Les Antiépileptiques

7- Les Antiépileptiques 7- Les Antiépileptiques 1 Définition L épilepsie est un trouble neurologique chronique caractérisé par la survenue périodique et imprévisible de crises convulsives dues à l émission de décharges électriques

Plus en détail

EVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE. Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines

EVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE. Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines EVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines Juillet 2010 Mise à jour Septembre 2010 1 Le rapport complet

Plus en détail

LES EFFETS INDESIRABLES DES MEDICAMENTS

LES EFFETS INDESIRABLES DES MEDICAMENTS LES EFFETS INDESIRABLES DES MEDICAMENTS Cours Francophone Inter pays de Pharmacovigilance Centre Antipoison et de pharmacovigilance du Maroc Dr R. Benkirane TERMINOLOGIE Plusieurs termes sont préconisés

Plus en détail

Comité du développement et de la propriété intellectuelle (CDIP)

Comité du développement et de la propriété intellectuelle (CDIP) F CDIP/12/INF/4 ORIGINAL : ANGLAIS DATE : 3 OCTOBRE 2013 Comité du développement et de la propriété intellectuelle (CDIP) Douzième session Genève, 18 21 novembre 2013 RÉSUMÉ DE L ÉTUDE SUR LA PROPRIÉTÉ

Plus en détail

Communiqué de presse. Merck Serono. 18 septembre 2008

Communiqué de presse. Merck Serono. 18 septembre 2008 Communiqué de presse 18 septembre 2008 Merck Serono annonce le lancement de l'essai clinique ORACLE MS destiné à évaluer la cladribine en comprimés chez des patients à risque de développer une sclérose

Plus en détail

Les anticoagulants. PM Garcia Sam Hamati. sofomec 2008

Les anticoagulants. PM Garcia Sam Hamati. sofomec 2008 Les anticoagulants PM Garcia Sam Hamati sofomec 2008 1 Les anticoagulants sofomec 2008 point de vue HAS AVK = 13% des hospitalisations pour accidents iatrogènes 17 000 hospitalisations / an /France pas

Plus en détail

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 23 mai 2007

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 23 mai 2007 COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 23 mai 2007 SUTENT 12,5 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 265-0) SUTENT 25 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 266-7) SUTENT 50 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 267-3)

Plus en détail

L investigation chez la personne infectée par le VIH

L investigation chez la personne infectée par le VIH P O U R Q U O I P A R L E R D U V I H E N 2 0 0 4? 2 L investigation chez la personne infectée par le VIH quand et comment utiliser les différents tests de laboratoire? par Harold Dion Paul, un homme de

Plus en détail

Plan de Suivi-Evaluation du Programme National de Lutte contre le Paludisme 2011 2015

Plan de Suivi-Evaluation du Programme National de Lutte contre le Paludisme 2011 2015 REPUBLIQUE DU BENIN ---------- MINISTERE DE LA SANTE ---------- DIRECTION NATIONALE DE LA SANTE PUBLIQUE ---------- PROGRAMME NATIONAL DE LUTTE CONTRE LE PALUDISME Plan de Suivi-Evaluation du Programme

Plus en détail

La drépanocytose. Sikkelcelziekte (Frans)

La drépanocytose. Sikkelcelziekte (Frans) La drépanocytose Sikkelcelziekte (Frans) Qu est-ce que la drépanocytose? La drépanocytose est une maladie causée par un changement héréditaire du pigment rouge dans les globules rouges : l hémoglobine.

Plus en détail

FRAMEWORK CONVENTION ON CLIMATE CHANGE - Secretariat CONVENTION - CADRE SUR LES CHANGEMENTS CLIMATIQUES - Secrétariat

FRAMEWORK CONVENTION ON CLIMATE CHANGE - Secretariat CONVENTION - CADRE SUR LES CHANGEMENTS CLIMATIQUES - Secrétariat UNITED NATIONS NATIONS UNIES FRAMEWORK CONVENTION ON CLIMATE CHANGE - Secretariat CONVENTION - CADRE SUR LES CHANGEMENTS CLIMATIQUES - Secrétariat Atelier de formation à la mise en oeuvre des programmes

Plus en détail

NATIONS UNIES J O U R N A L. Commission des stupéfiants Cinquante-septième session Vienne, 17-21 mars 2014 N 5

NATIONS UNIES J O U R N A L. Commission des stupéfiants Cinquante-septième session Vienne, 17-21 mars 2014 N 5 NATIONS UNIES J O U R N A L Commission des stupéfiants Cinquante-septième session Vienne, 17-21 mars 2014 N 5 PROGRAMME DES SÉANCES MERCREDI 19 MARS 2014 10 heures 9 e séance plénière Salle du Conseil

Plus en détail

Plan. Introduction. Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé. Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or

Plan. Introduction. Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé. Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or Plan Introduction Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or Introduction NACO: une actualité brûlante! AVK: Plus forte incidence

Plus en détail

Outil d Evaluation relatif aux Socles de compétences Premier degré de l enseignement secondaire HISTOIRE. ANVERS AU XVI e SIÈCLE. Dossier de l élève

Outil d Evaluation relatif aux Socles de compétences Premier degré de l enseignement secondaire HISTOIRE. ANVERS AU XVI e SIÈCLE. Dossier de l élève Outil d Evaluation relatif aux Socles de compétences Premier degré de l enseignement secondaire HISTOIRE ANVERS AU XVI e SIÈCLE Dossier de l élève Nom :.. Prénom : Classe : Première partie Tâche : Tu disposes

Plus en détail

Nouveaux anticoagulants oraux : aspects pratiques

Nouveaux anticoagulants oraux : aspects pratiques Nouveaux anticoagulants oraux : aspects pratiques Christelle MARQUIE CHRU de Lille Clinique de Cardiologie L i l l e 2 Université du Droit et de la Santé Les NOAG: QCM 1. ont les mêmes indications que

Plus en détail

Sérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde

Sérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde 1 ETSL Sérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde TP 1 GABIN-GAUTHIER 13/11/2009 I. LA MALADIE... 2 II. TECHNIQUES QUALITATIVES... 2 1. PRINCIPE... 2 2. MODE OPERATOIRE... 3 2.1. WRST ou Waaler Rose

Plus en détail

Pharmacologie des «nouveaux» anticoagulants oraux

Pharmacologie des «nouveaux» anticoagulants oraux Pharmacologie des «nouveaux» anticoagulants oraux Apixaban, Dabigatran, Rivaroxaban Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046 et CIC 9301 INSERM-CHRU, Institut de Médecine Prédictive

Plus en détail

La raison d être des systèmes d information

La raison d être des systèmes d information La raison d être des systèmes d information 23 ème Séminaire en sciences pharmaceutiques Pourrait-on vivre sans? 1 Enjeux Processus de soins très complexes et fortement basés sur la fiabilité humaine Suivi

Plus en détail

DON DE SANG. Label Don de Soi

DON DE SANG. Label Don de Soi DON DE SANG Label Don de Soi 2015 SOMMAIRE Les différents types de dons p.3 Le don de sang total Le don de plasma Le don de plaquettes Le don de moelle osseuse Que soigne-t-on avec un don de sang? p.7

Plus en détail

ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE

ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE PRISE EN CHARGE SYSTÉMATISÉE DES PERSONNES ATTEINTES D HYPERTENSION ARTÉRIELLE SOCIÉTÉ QUÉBÉCOISE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE 23 ÉVALUATION DE

Plus en détail

Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve

Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Différentes

Plus en détail

Loi 41. GUIDE D EXERCICE Les activités réservées aux pharmaciens

Loi 41. GUIDE D EXERCICE Les activités réservées aux pharmaciens Loi 41 GUIDE D EXERCICE Les activités réservées aux pharmaciens AVIS Ce guide ne se substitue pas aux lois, aux règlements ou au jugement des professionnels de la santé. Il représente l état actuel du

Plus en détail

CULTURE D ENTREPRISE ET GESTION DES RISQUES. Favoriser la performance des organisations publiques par l influence des valeurs opérantes

CULTURE D ENTREPRISE ET GESTION DES RISQUES. Favoriser la performance des organisations publiques par l influence des valeurs opérantes CULTURE D ENTREPRISE ET GESTION DES RISQUES Favoriser la performance des organisations publiques par l influence des valeurs opérantes L exemple du Comité de Bâle Julien Benomar Culture d entreprise et

Plus en détail

Table des matières PARTIE THEORIQUE... 2 II.1 Dans le monde II.2 Au Maroc

Table des matières PARTIE THEORIQUE... 2 II.1 Dans le monde II.2 Au Maroc Table des matières PARTIE THEORIQUE... 2 I. INTRODUCTION... 3 II. EPIDEMIOLOGIE... 5 II.1 Dans le monde... 5 II.2 Au Maroc... 6 III. DIAGNOSTIC MORPHOLOGIQUE DES PARASITES... 12 IV. DONNEES DIAGNOSTIQUES

Plus en détail

Hémostase et Endocardite Surveillance des anticoagulants. Docteur Christine BOITEUX

Hémostase et Endocardite Surveillance des anticoagulants. Docteur Christine BOITEUX Hémostase et Endocardite Surveillance des anticoagulants Docteur Christine BOITEUX Théorie Endocardites et anticoagulation POUR Thromboses Emboles septiques CONTRE Favorise emboles septiques et diffusion

Plus en détail

MALADIES D AILLEURS aux escales et à terre. origine, soins, prévention

MALADIES D AILLEURS aux escales et à terre. origine, soins, prévention MALADIES D AILLEURS aux escales et à terre. origine, soins, prévention Le but de ce dossier n est évidemment pas d être un Traité de Médecine mais plutôt une base de référence sur les risques médicaux

Plus en détail

Anémie et maladie rénale chronique. Phases 1-4

Anémie et maladie rénale chronique. Phases 1-4 Anémie et maladie rénale chronique Phases 1-4 Initiative de qualité en matière d issue des maladies rénales de la National Kidney Foundation Saviez-vous que l initiative de qualité en matière d issue des

Plus en détail

ACTES OFFICIELS L'ORGANISATION MONDIALE DE LA SANTÉ N 164 RAPPORT ANNUEL DU DIRECTEUR GÉNÉRAL L'ASSEMBLÉE MONDIALE DE LA SANTÉ ET AUX NATIONS UNIES

ACTES OFFICIELS L'ORGANISATION MONDIALE DE LA SANTÉ N 164 RAPPORT ANNUEL DU DIRECTEUR GÉNÉRAL L'ASSEMBLÉE MONDIALE DE LA SANTÉ ET AUX NATIONS UNIES ACTES OFFICIELS DE L'ORGANISATION MONDIALE DE LA SANTÉ N 164 ACTIVITÉ DE L'OMS 1967 RAPPORT ANNUEL DU DIRECTEUR GÉNÉRAL A L'ASSEMBLÉE MONDIALE DE LA SANTÉ ET AUX NATIONS UNIES Le Rapport financier pour

Plus en détail

Nouveaux Anticoagulants. Dr JF Lambert Service d hématologie CHUV

Nouveaux Anticoagulants. Dr JF Lambert Service d hématologie CHUV Nouveaux Anticoagulants Dr JF Lambert Service d hématologie CHUV Plan Petit rappel d hémostase Anticoagulant oraux classiques Les nouveaux anticoagulants (NAC) Dosage? Comment passer de l'un à l'autre

Plus en détail

Parasites externes du chat et du chien

Parasites externes du chat et du chien Parasites externes du chat et du chien Identification, prévention et traitement Les tiques Les tiques transmettent des maladies parfois mortelles. La prévention est la meilleure arme. 1 - Où les trouve-t-on?

Plus en détail

Que sont les. inhibiteurs?

Que sont les. inhibiteurs? Que sont les inhibiteurs? TABLE DES MATIÈRES Publié par la Fédération mondiale de l hémophilie (FMH) Fédération mondiale de l hémophilie, 2010 La FMH encourage la redistribution de ses publications à des

Plus en détail

Atelier N 2. Consultation de patientes porteuses d une maladie générale

Atelier N 2. Consultation de patientes porteuses d une maladie générale Atelier N 2 Consultation de patientes porteuses d une maladie générale Contre indica,ons à la grossesse Hypertension artérielle pulmonaire >30mmHg Maladie de Marfan (dilatation aortique>4 cm) Rétrécissement

Plus en détail

Rapport 2014 sur la lutte contre la tuberculose dans le monde

Rapport 2014 sur la lutte contre la tuberculose dans le monde Rapport 2014 sur la lutte contre la tuberculose dans le monde Résumé d orientation La tuberculose reste l une des maladies transmissibles causant le plus de décès dans le monde. En 2013, selon les estimations,

Plus en détail

125 700 m² LE MARCHÉ LOCATIF - 3T 2014 LA DÉFENSE. Demande placée. Taille des transactions 2010 2011 2012 2013 3T2014 2010 2011 2012 2013 3T2014

125 700 m² LE MARCHÉ LOCATIF - 3T 2014 LA DÉFENSE. Demande placée. Taille des transactions 2010 2011 2012 2013 3T2014 2010 2011 2012 2013 3T2014 LE MARCHÉ LOCATIF - 3T 2014 LA DÉFENSE Demande placée 125 700 m² +41% : confirme son retour en grâce sur le marché locatif, en dépit d un 3 ème trimestre 2014 beaucoup moins flamboyant que le précédent,

Plus en détail

LE POINT TOX. N 7 - Juillet 2013. Bulletin du réseau de toxicovigilance de La Réunion L ÉVOLUTION TEMPORELLE DU NOMBRE D INTOXICATIONS

LE POINT TOX. N 7 - Juillet 2013. Bulletin du réseau de toxicovigilance de La Réunion L ÉVOLUTION TEMPORELLE DU NOMBRE D INTOXICATIONS LE POINT TOX Bulletin du réseau de toxicovigilance de La Réunion N - Juillet 213 Dans ce bulletin d information, nous vous présentons l évolution temporelle du nombre d intoxications à la Réunion recensées

Plus en détail

REFERENTIEL D AUTO-EVALUATION DES PRATIQUES EN ODONTOLOGIE

REFERENTIEL D AUTO-EVALUATION DES PRATIQUES EN ODONTOLOGIE REFERENTIEL D AUTO-EVALUATION DES PRATIQUES EN ODONTOLOGIE Janvier 2006 I. PROMOTEURS Association dentaire française (ADF). Haute Autorité de santé (HAS). II. SOURCE Agence nationale d accréditation et

Plus en détail

Investir dans l avenir

Investir dans l avenir Investir dans l avenir RÉSUMÉ DU RAPPORT MONDIAL 2009 BANQUE MONDIALE www.unitedcalltoaction.org La communauté mondiale devrait être choquée par les millions d enfants qui meurent ou sont rendus invalides

Plus en détail

Insuffisance cardiaque

Insuffisance cardiaque Insuffisance cardiaque Connaître son évolution pour mieux la vivre Guide d accompagnement destiné au patient et ses proches Table des matières L évolution habituelle de l insuffisance cardiaque 5 Quelles

Plus en détail

e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé

e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé Professeur Michèle Kessler CHU de Nancy et réseau Néphrolor L une des applications de la télémédecine est la télésurveillance à domicile,

Plus en détail

Contre les Insectes en Général

Contre les Insectes en Général les Insectes en Général Nettoyant, désodorisant Le Bicarbonate De Soude a bien des vertus! Derrière sa poudre blanche, fine et sans odeur se cache un puissant insecticide biodégradable et non toxique pour

Plus en détail

Efficacité et risques des médicaments : le rôle du pharmacien

Efficacité et risques des médicaments : le rôle du pharmacien Société vaudoise de pharmacie, février 2008 Efficacité et risques des médicaments : le rôle du pharmacien Olivier Bugnon, Professeur adjoint en Pharmacie communautaire, Ecole de Pharmacie Genève-Lausanne;

Plus en détail

TD de Biochimie 4 : Coloration.

TD de Biochimie 4 : Coloration. TD de Biochimie 4 : Coloration. Synthèse de l expérience 2 Les questions posées durant l expérience 2 Exposé sur les méthodes de coloration des molécules : Générique Spécifique Autres Questions Pourquoi

Plus en détail

NOTIONS DE BASE SUR LES MEDICAMENTS

NOTIONS DE BASE SUR LES MEDICAMENTS NOTIONS DE BASE SUR LES MEDICAMENTS Objectif général : Au terme de ce module, les participants doivent connaître les différentes sortes de médicaments qu ils doivent gérer et dispenser. Objectifs spécifiques

Plus en détail

Protéger. son animal. la gamme FRONTLINE. grâce à la gamme. Contre les puces et les tiques. Efficace plusieurs semaines (1) Résistant à la pluie,

Protéger. son animal. la gamme FRONTLINE. grâce à la gamme. Contre les puces et les tiques. Efficace plusieurs semaines (1) Résistant à la pluie, la gamme Frontline Contre les puces et les tiques Efficace plusieurs semaines (1) Résistant à la pluie, aux bains et aux shampooings (2) Protéger son animal grâce à la gamme FRONTLINE La gamme FRONTLINE

Plus en détail

Informations générales

Informations générales PHARMACEUTICAL INSPECTION CONVENTION PHARMACEUTICAL INSPECTION CO-OPERATION SCHEME Informations générales PS/INF 71/2012 26 septembre 2012 Le schéma de coopération dans le domaine de l inspection pharmaceutique

Plus en détail

Grossesse et HTA. J Potin. Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours

Grossesse et HTA. J Potin. Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours Grossesse et HTA J Potin Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours HTA et grossesse Pathologie fréquente : 2 à 5 % des grossesses (2 à 3 % des multipares, 4 à 8 % des primipares)

Plus en détail