Introduction à la Physique des Particules Fondamentales CHAPITRE 2
|
|
- Étienne Paul
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Introduction à la Physique des Particules Fondamentales CHAPITRE Appendice la notion géométrique de la diffusion des particules - les définitions du taux des désintégrations des particules, et de la section efficace des interactions. - Pour les interactions entre particules fondamentales, il y a aspects : le cinétique (la conservation de l impulsion et de l énergie), et la dynamique de l interaction. 1
2 a) Imageons la réaction a + b c + d, dans le référentiel du laboratoire Le flux des particules a, dans un faisceau parallèle, à travers la cible b sera Φ a = n a v a où n a = # particules/unité de volume v a = vitesse des particules a Si chacune des particules b a une section géométrique efficace, σ, et si n b sera le densité des particules dans le cible, le nombre d interactions par unité de temps et par unité de surface du cible sera : N = Φ a σ n b dx = Lσ où L = luminosité = Φ a n b dx Le taux des interactions par particule b sera: W = Φ a σ et la section efficace est le taux des interactions par particule du cible, et par unité du flux incident.
3 b) L unité de mesure est le barn (1 barn = 10-8 m ). c) On a plusieurs types des interactions exclusives, par exemple : pp pp (élastique) pp ppπ 0 pp ppk + K (inélastique) etc La section efficace totale (ou inclusive) sera σ tot = Σσ i Pour une cible d épaisseur δx, la différence du flux, après le passage du faisceau, sera : δφ = Φn b σ (δx), donc Φ = Φ init e -x L où L = 1 n b σ s'appelle la longeur de collision 3
4 d) La Section Efficace Elastique pour une Sphère de rayon R Imageons une collision avec valeur d impact b. Donc, b = Rsinα = Rcos( θ ) Pour un impact entre b et (b+db), la particule sera déviée par une angle entre θ et (θ + dθ). Donc, nous pouvons écrire dσ = D(θ)dΩ dω = sinθ.dθ.dφ dσ = b.db.dφ donc D(θ) = dσ dω = donc D(θ) = et b db sinθ dθ Rbsin(θ ) sinθ σ = D(θ)dΩ = πr = R 4 4
5 e) La Section Efficace pour la diffusion classique de Coulomb (diffusion de Rutherford). Si q 1 et q seront les charges des particules, et se E sera l energie de la particule incidente: Dans le cas d une potentiel centrale, le moment cinétique sera : L = pb dφ dt = mr, donc dt r = dφ vb (conservation de moment cinétique autour de l'originr (r = OX) Dans ce cas,σ tot =. La raison est que la force est proportionnelle à 1/r. Au niveau quantique, le problème sera résolu par le phénomène qu on appelle screening ou blindage. Si nous considérons maintenant le composant d impulsion dans la direction, OD à chaque pointe, la changement totale sera de mvsin θ jusqu'à + mvsinθ. Donc, q mvsinθ = 1 q 1 cosφ dt 4πε 0 r = q q (π θ )/ 1 1 cosφ dφ 4πε 0 vb (π θ )/ b = q q 1 E cot θ En introduisant b dans la formule de dσ dω, dσ dω = b sinθ db dθ = 1 4 q 1 q E 1 sin 4 θ ( ) 5
6 f) Pour le cas non relativiste, le taux des interactions du type : sera A n ou A + B n W = π M if ρf où - M if est la matrice de transition entre l état initial i et l état final - M if inclut toute la dynamique de l interaction (Appendix..1) g) La quantité W est le taux des interactions par unité de temps et si Φ sera le flux incident, W = σ Φ Dans ce chapitre, nous traitons seulement le cinétique des interactions (donc M if = 1). h) La quantité ρ F = dn est la densité des états finaux dans le sens quantique, par unité de l énergie de tot finale, et où l énergie dans la transition sera conservée. 6
7 7
8 Chapitre Le Taux de Transition Bibliographie: Griffiths Chapitre 6 Perkins Appendix B Halzen et Martin, Chapitre 3.6 et Introduction Taux de Transition, W (non-rélativiste) Ce traitement est non rélativiste et simplifié, à voir le cours de Mécanique Quantique II pour une discussion plus complète. a) Nous avons un Hamiltonian H 0 ayant un ensemble des états propres E n avec les fonctions d ondes φ n. H 0 sera perturbé par le potentiel V(x,t). Nous devrons résoudre l équation H = H 0 (t) + V(x,t) H 0 φ n = E n φ n où φ m* φ n d 3 x = δ m,n V (H 0 (t) + V(x,t))ψ = i ψ t 8
9 pour une particule en mouvement dans un potentiel V(x,t). b) Nous écrivons ψ = a n (t)φ n (x)e ie nt avec =1 n si a n (t) ne dépend pas sur x. Donc, da i n dt φ n(x)e ie n t = V(x,t)a (t)φ (x)e ient n n Laissons i) multiplier les côtés par φ f * ; ii) intégrer les côtés sur la volume V ; et iii) utiliser l orthonormalité des fonctions d ondes et on obtient n n da f dt = i a n (t) φ f* Vφ n d 3 x e i(ef E i )t n V 9
10 c) Supposons que le potentiel V interagisse sur la particule dans l état propre initial, i, pendant la période. Il faut noter qu une transition entre états ne modifie pas l existence de la base orthonormale. T,T Supposons en plus que l effet du potentiel V est petit (a f <<1). Puis, T a i T = 1 a f T = 0; f i da f = i d 3 x φ f* Vφ i e i(e f E i )t dt V a f = i dt' d 3 x φ f* Vφ i e i(e f E i )t + C où C = δ fi T V et T fi = a f ( T ) T = i dt T V d 3 x φ f* e ie f [ t ]V φ i e ie i t = i d 4 xφ f* (x)vφ i (x) + C [ ] + C 10
11 d) Dans le cas d aucune dépendance en temps de V, V(x,t)=V(x) : T fi = iv fi dt e i(e f E i )t = πi V fi δ E f E i ( ) (conservation d'énergie) Ce résultat reste valable dans le cas rélativiste, et H=H(t). e) Nous définissons W fi comme la probabilité par unité de temps d un état i à l état f. Donc T fi = lim t T = π V fi δ ( E f E i )) W fi = d dt T fi L équation devra être intégré sur l ensemble des états initiaux (normalement un état seulement pour la physique des particules) et les états finaux. Pour un état initial, et une densité des états ρ(e) finaux : ( ) W fi = π de f ρ(e f ) V fi δ E f E i ) = π V fi ρ(e f ) 11
12 . Espace de Phase, ρ F. a) Commençons avec le cas non relativiste. La quantité dn = ρ(e)de tot = ρ(p) dp de tot de tot où ρ(p) est le nombre des états dans l intervalle d impulsion («momentum») (p, p+dp). Dans une dimension de longeur L, a valeur de p sera limité à p = h λ = π n π avec dn = dp L L Pour un volume V, le nombre des états quantiques dans l espace d impulsion (p, p+dp) et région angulaire dω, sera dn = V V h 3 p dpdω = (π ) 3 p dpdω Pour assurer une normalisation de volume, il faut en plus un facteur d onde, dans la matrice M fi. b) Pour n particules non relativistes dans un état final, 1 V de normalisation pour chacun des fonctions V dn = 1 (π ) p V 3 1 dp 1 dω 1... n (π ) p 3 ndp n dω n 1
13 c) Dans la transformation d un système non relativiste au cas relativiste, i) La quantité d 3 p sera remplacée par la quantité d 4 p. En effet, d 3 p = p dpdω d 4 p = d 3 p de δ(e p m ) d 3 p d(e p m ) = δ(e p m ) E d 3 p = E δ(e p m ) ii) La quantité d 3 p i E est un invariant de Lorentz pour les états libres. Avec les unités c=1 Donc, ' ' p x = γ(p x βe) p y E ' = γ(e βp x ) dp x ' = p ' x p x = p y p z ' dp x + p ' x E de dp E x = γ 1 β p x Puisque m = E p x p y p z et pour p y, p z fixes p x dp x = EdE : p x = p z dp x ' E ' = dp x E et d 3 ' p E ' = d 3 p E 13
14 iii) Egalement, la normalisation M if = T fi = ψ f U ψ i dv devra être modifiée par la normalisation de ψ f et ψ i V pour assurer l invariance relativiste (dans la solution de l équation Klein-Gordon, pour les fonctions ψ = Ne ip x, j µ = p µ N ). Par convention, chaque fonction d onde sera normalisée par un facteur 1 et pour le E cas relativiste avec n particules dans l état final : iv) W π ρ F = d de tot M if Π(E init i ) ρ F Pour ce cas, ρ F et M if seront invariantes de Lorentz. d 3 p 1...d 3 p n 1 (π ) 3(n 1) Π(E fin i ) ; p = - n -1 p n k k =1 La densité des particules (E par unité de volume dans le référentiel laboratoire et m dans le référentiel de repos) sera compensé par la contraction (m/e) de la volume. 14
15 .3 Le Règle d Or de Fermi pour les Désintégrations a) Le taux pour les désintégrations A n sera : πs c d 3 p dγ = M 1 if (E ) A ( π ) 3 E... cd 3 pn 1 π où p = E i i c, p i et ( ) 3 E n S = le produit des facteurs 1 pour j particules identiques dans j! l'état final; E i = m i pour une désintégration en répos; et c sont inclus dans l'équation. E A = l'énergie totale du système = l'énergie de la particule de désintégration = m A si la particule sera en repos.. π ( ) ( ) 3 δ 4 p A p 1... p n 15
16 b) Pour le cas =1, c =1 et la désintégration A 1+, S d 3 p dγ = M if 1. d 3 p m A E 1 E. 1 π et ( ) δ 4 ( p A p 1 p ) Γ = S 1 m A (4π) M if d 3 p δ 4 ( p A p 1 p ) 1. d 3 p E 1 E c) Laissons nous évaluer un exemple d une désintégration A 1+ Pour simplicité, nous prenons le cas π 0 γγ où m γ = 0. Dans ce cas, p π = p A = (m,0) E 1 = p 1 et E = p ( ) = δ m E 1 E δ 4 p A p 1 p donc Γ = S 3m A π M if ( ) ( ) δ 3 p 1 p δ( m p 1 p )δ 3 ( p p 1 p 1 p )d 3 p 1 d 3 p = K M if δ ( m p )d 3 p p S = 16πm M if ; Mif évalué à p 1 = p, p = m et S = 1 16
17 Dans le cas d une désintégration à corps, la quantité M if sort de l intégral puisqu elle devra ètre évaluée à des valeurs cinématiques fixes. Exercice (Griffiths ex. 6.6) : Montrer que, pour les désintégrations A 1+ avec m A,m 1,m 0, Γ = S p M if avec p = p 1 = p 8πm A Exercice : R = π e ν e π µ ν µ = (1.67 ± 0.03) Comparer l'espace de phase pour chaque cas. Le résultat? Ce n'est pas la raison. (A revoir dans la sec tion sur parité ) 17
18 .4 Le Règle d Or de Fermi pour la Diffusion a) Pour les interactions A + B n S dσ = M if 4 (p A p B ) (M A M B c ) [ ] ( π ) 4 δ 4 ( p A + p B p 1... p n ) c d 3 p 1 ( π ) 3 E... cd 3 p n 1 π ( ) 3 E n. où p i = E i c, p i et S = le produit des facteurs 1 j! pour j particules identiques dans l' état final; et c sont inclus dans l' équation. p A (E A + E B ) c = [(p A p B ) (M A M B c ) ] dans le centre - de - masse (c.m.s.) b) Pour le cas simple de l interaction A + B 1+, nous pouvons évaluer dσ en détail ( = c =1). 18
19 Dans le centre de masse, p A + p B = 0 et le facteur de flux incident sera ( p A p B ) ( m A m B ) = ( E A + E B ) p A Nous pouvons écrire la section efficace (avec = 1 et c = 1) comme : S dσ = ( 8π ) M if E A + E B ( ) p A d 3 p 1 d 3 p δ 4 p E 1 E A + p B p 1 p ( ) Maintenant, δ 4 ( p A + p B - p 1 - p ) = δ( E A + E B E 1 E )δ 3 ( p 1 p ) et E i = m i + p i et faut une intégration sur la quantité p (p p 1 ) dσ = [ ( ) ( p 1 + m ) ] d 3 p 1 ( ) ( m + p 1 ) S M if δ E ( A + E B ) p 1 + m 1 ( 8π ) ( E A + E B ) p A m 1 + p 1 19
20 En écrivant ρ = p 1, d 3 p 1 = α dα dω = α dα d ( cosθ) dφ, et en intégrant sur α, dσ dω = S ( 8π ) E A + E B M if ( ) p 0 A δ ( E A + E B ) α ( + m 1 ) α [ ( + m ) ]α dα ( m 1 + α ) ( m + α ) Il faut ajouter que M if dépend sur la direction et la magnitude de p 1, et donc nous n'essayons pas d'intégrer M if sur dω. Néanmoins, puisque p 1 = -p et p A = -p B, M if sera une fonction seulement de p A et p 1. Dans le cas que ne dépend pas explicitement sur p 1 (p A est fixe) : dσ dω = S M if ( 8π ) ( E A + E B ) p 1 p A c) La section efficace pour une interaction sera spécifiée pour le spin des particules initiales et finales d une interaction (ou d une désintégration). Dans l absence de la spécification de l état du spin, chaque amplitude M if de spin final devra être ajouté, et il faut faire le moyen selon les possibles spins initiaux. 0
21 d) Dans l absence de polarisation des particules initiales d une interaction, il y a une symétrie cylindrique autour de la direction des particules initiales, et dσ dσ = π d cosθ dω (exercice) Egalement, on peut montrer que dans le centre de masse, t = p A (1 cosθ CM ) et dσ dt = π p A dσ dω CM (exercice) 1
22 .4.1 L Espace de Phase pour 3 particules. a) Laissons nous considérer le cas d une interaction A + B , par exemple, l interaction K + p K 0 pπ +, dans le centre de masse des particules A et B. Dans ce cas, laissons pour l instant M if = constant (c est à dire qu il y a aucune dynamique dans l interaction). La densité des états sera ( = c =1) proportionnelle à : ρ R 3 où 3 d 3 p R 3 = Π i i=1 δ 4 p A + p B p 1 p p 3 E i ( ) 3 d 3 p = Π i i=1 δ E A + E B E 1 E E 3 E i Puisque p 3 = p 1 + p ( ) ( ) δ 3 p 1 + p + p 3 ( ) et d 3 p i = p i dp i dω i, R 3 = d 3 p 1 d 3 p δ ( E A + E B E 1 E E 3 ) 8E 1 E E 3.
23 et en intégrant sur dω 1 et dω où dω 1 = 4π, dω = π d(cosθ 1 ), nous devrons écrire : R 3 = 1 8 p 1 E 1 dp 1 p = π 1 dp 1 E 1 Maintenant, p dω dp 1 dω δ ( E A + E B E 1 E E 3 ) E E 3 p ( ) ( ) d cosθ dp 1 δ E A + E B E 1 E E 3 E E 3 (i) p 3 = p 1 + p + p 1 p cosθ 1 et si p 1, p sont fixes, (ii) p 3 d p 3 = p 1 p d cosθ 1, et (iii) E i d E i = p i d p i Avec ces simplifications, ( ) R 3 = π de 1 de de 3 δ E 1 + E + E 3 E I = π de 1 de b) Le résultat est que dρ = constant de 1 de Ce résultat important indique que, dans l absence des effets de M if (cinétique seulement) la distribution d E 1 et E des évènements sera plate 3
24 c) Pour le cas A + B , m ij = ( p i + p j ) Donc, = s + m k s E k dm ij = s de k et de i de j = 1 d m jk 4s = constant dm ki 4
25 EXEMPLE : L interaction K + p K 0 pπ + 5
26 Dans ce cas, il y a importantes résonances (particules), le K*(89) et le Δ(138). La distribution de m pπ + vs. m K est 0 π + Figure : Diagramme de Dalitz pour l interaction K + p K 0 pπ +, avec p K + = 3 GeV/c. 6
27 Dans le cas du K*(89), le temps de désintégration est τ = 1.3 x 10-3 secs, caractéristique des interactions fortes. La largeur Γ d une résonance, et le temps de vie de l état, sont connectée par la relation Γ = τ. La forme des résonances (Breit-Wigner) est (chapitre 8) : Γ 4 σ (E E R ) + Γ 4 et cette dépendance en énergie n est rien d autre que la transformation de Fourier d une distribution exponentielle dans le temps. ψ(t) =ψ(0)e t(ie R +Γ ) avec =1 et c =1 Donc, si ω = E/ = E, g(ω) = g(e) = 0 0 ψ(t)e iωt dt ψ(t)e iet dt =ψ(0) e iet e t(ie R = 0 K (E R E) iγ +Γ ) dt 7
Quantité de mouvement et moment cinétique
6 Quantité de mouvement et moment cinétique v7 p = mv L = r p 1 Impulsion et quantité de mouvement Une force F agit sur un corps de masse m, pendant un temps Δt. La vitesse du corps varie de Δv = v f -
Plus en détailDYNAMIQUE DE FORMATION DES ÉTOILES
A 99 PHYS. II ÉCOLE NATIONALE DES PONTS ET CHAUSSÉES, ÉCOLES NATIONALES SUPÉRIEURES DE L'AÉRONAUTIQUE ET DE L'ESPACE, DE TECHNIQUES AVANCÉES, DES TÉLÉCOMMUNICATIONS, DES MINES DE PARIS, DES MINES DE SAINT-ÉTIENNE,
Plus en détailCHAPITRE IV Oscillations libres des systèmes à plusieurs degrés de liberté
CHAPITE IV Oscillations ibres des Systèmes à plusieurs derés de liberté 010-011 CHAPITE IV Oscillations libres des systèmes à plusieurs derés de liberté Introduction : Dans ce chapitre, nous examinons
Plus en détailErratum de MÉCANIQUE, 6ème édition. Introduction Page xxi (milieu de page) G = 6, 672 59 10 11 m 3 kg 1 s 2
Introduction Page xxi (milieu de page) G = 6, 672 59 1 11 m 3 kg 1 s 2 Erratum de MÉCANIQUE, 6ème édition Page xxv (dernier tiers de page) le terme de Coriolis est supérieur à 1% du poids) Chapitre 1 Page
Plus en détailI - Quelques propriétés des étoiles à neutrons
Formation Interuniversitaire de Physique Option de L3 Ecole Normale Supérieure de Paris Astrophysique Patrick Hennebelle François Levrier Sixième TD 14 avril 2015 Les étoiles dont la masse initiale est
Plus en détailMichel Henry Nicolas Delorme
Michel Henry Nicolas Delorme Mécanique du point Cours + Exos Michel Henry Maître de conférences à l IUFM des Pays de Loire (Le Mans) Agrégé de physique Nicolas Delorme Maître de conférences à l université
Plus en détail- I - Fonctionnement d'un détecteur γ de scintillation
U t i l i s a t i o n d u n s c i n t i l l a t e u r N a I M e s u r e d e c o e ffi c i e n t s d a t t é n u a t i o n Objectifs : Le but de ce TP est d étudier les performances d un scintillateur pour
Plus en détail8.1 Généralités sur les fonctions de plusieurs variables réelles. f : R 2 R (x, y) 1 x 2 y 2
Chapitre 8 Fonctions de plusieurs variables 8.1 Généralités sur les fonctions de plusieurs variables réelles Définition. Une fonction réelle de n variables réelles est une application d une partie de R
Plus en détailOscillations libres des systèmes à deux degrés de liberté
Chapitre 4 Oscillations libres des systèmes à deux degrés de liberté 4.1 Introduction Les systèmes qui nécessitent deux coordonnées indépendantes pour spécifier leurs positions sont appelés systèmes à
Plus en détailModule d Electricité. 2 ème partie : Electrostatique. Fabrice Sincère (version 3.0.1) http://pagesperso-orange.fr/fabrice.sincere
Module d Electricité 2 ème partie : Electrostatique Fabrice Sincère (version 3.0.1) http://pagesperso-orange.fr/fabrice.sincere 1 Introduction Principaux constituants de la matière : - protons : charge
Plus en détailReprésentation géométrique d un nombre complexe
CHAPITRE 1 NOMBRES COMPLEXES 1 Représentation géométrique d un nombre complexe 1. Ensemble des nombres complexes Soit i le nombre tel que i = 1 L ensemble des nombres complexes est l ensemble des nombres
Plus en détailCommun à tous les candidats
EXERCICE 3 (9 points ) Commun à tous les candidats On s intéresse à des courbes servant de modèle à la distribution de la masse salariale d une entreprise. Les fonctions f associées définies sur l intervalle
Plus en détailÉVALUATION FORMATIVE. On considère le circuit électrique RC représenté ci-dessous où R et C sont des constantes strictement positives.
L G L G Prof. Éric J.M.DELHEZ ANALYSE MATHÉMATIQUE ÉALUATION FORMATIE Novembre 211 Ce test vous est proposé pour vous permettre de faire le point sur votre compréhension du cours d Analyse Mathématique.
Plus en détail10 leçon 2. Leçon n 2 : Contact entre deux solides. Frottement de glissement. Exemples. (PC ou 1 er CU)
0 leçon 2 Leçon n 2 : Contact entre deu solides Frottement de glissement Eemples (PC ou er CU) Introduction Contact entre deu solides Liaisons de contact 2 Contact ponctuel 2 Frottement de glissement 2
Plus en détailPHYSIQUE-CHIMIE. Partie I - Spectrophotomètre à réseau
PHYSIQUE-CHIMIE L absorption des radiations lumineuses par la matière dans le domaine s étendant du proche ultraviolet au très proche infrarouge a beaucoup d applications en analyse chimique quantitative
Plus en détailTD 9 Problème à deux corps
PH1ME2-C Université Paris 7 - Denis Diderot 2012-2013 TD 9 Problème à deux corps 1. Systèmes de deux particules : centre de masse et particule relative. Application à l étude des étoiles doubles Une étoile
Plus en détailAlgorithmes pour la planification de mouvements en robotique non-holonome
Algorithmes pour la planification de mouvements en robotique non-holonome Frédéric Jean Unité de Mathématiques Appliquées ENSTA Le 02 février 2006 Outline 1 2 3 Modélisation Géométrique d un Robot Robot
Plus en détailRepérage d un point - Vitesse et
PSI - écanique I - Repérage d un point - Vitesse et accélération page 1/6 Repérage d un point - Vitesse et accélération Table des matières 1 Espace et temps - Référentiel d observation 1 2 Coordonnées
Plus en détailMATHS FINANCIERES. Mireille.Bossy@sophia.inria.fr. Projet OMEGA
MATHS FINANCIERES Mireille.Bossy@sophia.inria.fr Projet OMEGA Sophia Antipolis, septembre 2004 1. Introduction : la valorisation de contrats optionnels Options d achat et de vente : Call et Put Une option
Plus en détail5. Les conducteurs électriques
5. Les conducteurs électriques 5.1. Introduction Un conducteur électrique est un milieu dans lequel des charges électriques sont libres de se déplacer. Ces charges sont des électrons ou des ions. Les métaux,
Plus en détailLes calculatrices sont autorisées
Les calculatrices sont autorisées Le sujet comporte quatre parties indépendantes. Les parties 1 et portent sur la mécanique (de la page à la page 7). Les parties 3 et 4 portent sur la thermodnamique (de
Plus en détailUniversité de Caen. Relativité générale. C. LONGUEMARE Applications version 2.0. 4 mars 2014
Université de Caen LMNO Relativité générale C. LONGUEMARE Applications version.0 4 mars 014 Plan 1. Rappels de dynamique classique La force de Coulomb Le principe de moindre action : lagrangien, hamiltonien
Plus en détailCONCOURS COMMUN 2010 PHYSIQUE
CONCOUS COMMUN SUJET A DES ÉCOLES DES MINES D ALBI, ALÈS, DOUAI, NANTES Épreuve de Physique-Chimie (toutes filières) Corrigé Barème total points : Physique points - Chimie 68 points PHYSIQUE Partie A :
Plus en détailIntégrales doubles et triples - M
Intégrales s et - fournie@mip.ups-tlse.fr 1/27 - Intégrales (rappel) Rappels Approximation éfinition : Intégrale définie Soit f définie continue sur I = [a, b] telle que f (x) > 3 2.5 2 1.5 1.5.5 1 1.5
Plus en détailOM 1 Outils mathématiques : fonction de plusieurs variables
Outils mathématiques : fonction de plusieurs variables PCSI 2013 2014 Certaines partie de ce chapitre ne seront utiles qu à partir de l année prochaine, mais une grande partie nous servira dès cette année.
Plus en détailChapitre 1 Cinématique du point matériel
Chapitre 1 Cinématique du point matériel 7 1.1. Introduction 1.1.1. Domaine d étude Le programme de mécanique de math sup se limite à l étude de la mécanique classique. Sont exclus : la relativité et la
Plus en détailCHAPITRE 10. Jacobien, changement de coordonnées.
CHAPITRE 10 Jacobien, changement de coordonnées ans ce chapitre, nous allons premièrement rappeler la définition du déterminant d une matrice Nous nous limiterons au cas des matrices d ordre 2 2et3 3,
Plus en détailExercices - Polynômes : corrigé. Opérations sur les polynômes
Opérations sur les polynômes Exercice 1 - Carré - L1/Math Sup - Si P = Q est le carré d un polynôme, alors Q est nécessairement de degré, et son coefficient dominant est égal à 1. On peut donc écrire Q(X)
Plus en détailLa fonction d onde et l équation de Schrödinger
Chapitre 1 La fonction d onde et l équation de Schrödinger 1.1 Introduction En physique classique, une particule est décrite par sa position r(t). L évolution de sa position (la trajectoire de la particule)
Plus en détailcel-00530377, version 1-28 Oct 2010
Mécanique des milieux continus F r a n ç o i s S i d o r o f f p Ce document est sous licence Creative Commons Paternité Pas d Utilisation Commerciale Partage des Conditions Initiales à l Identique 3.0
Plus en détailP17- REACTIONS NUCLEAIRES
PC A DOMICILE - 779165576 P17- REACTIONS NUCLEAIRES TRAVAUX DIRIGES TERMINALE S 1 Questions de cours 1) Définir le phénomène de la radioactivité. 2) Quelles sont les différentes catégories de particules
Plus en détailC est un mouvement plan dont la trajectoire est un cercle ou une portion de cercle. Le module du vecteur position OM est constant et il est égal au
1 2 C est un mouvement plan dont la trajectoire est un cercle ou une portion de cercle. Le module du vecteur position est constant et il est égal au rayon du cercle. = 3 A- ouvement circulaire non uniforme
Plus en détailAntennes et Propagation radio
Antennes et Propagation radio GEL-4202/GEL-7019 Dominic Grenier Département de génie électrique et de génie informatique Université Laval Québec, Canada G1V 0A6 Hiver 2015 c DG-Antennes, 1996,2002,2006,2007,2009,2012
Plus en détail= b j a i φ ai,b j. = ˆBa i φ ai,b j. = a i b j φ ai,b j. Par conséquent = 0 (6.3)
I Commutation d opérateurs Chapitre VI Les relations d incertitude I Commutation d opérateurs Un des résultats importants établis dans les chapitres précédents concerne la mesure d une observable  : une
Plus en détailF411 - Courbes Paramétrées, Polaires
1/43 Courbes Paramétrées Courbes polaires Longueur d un arc, Courbure F411 - Courbes Paramétrées, Polaires Michel Fournié michel.fournie@iut-tlse3.fr http://www.math.univ-toulouse.fr/ fournie/ Année 2012/2013
Plus en détailNOMBRES COMPLEXES. Exercice 1 :
Exercice 1 : NOMBRES COMPLEXES On donne θ 0 un réel tel que : cos(θ 0 ) 5 et sin(θ 0 ) 1 5. Calculer le module et l'argument de chacun des nombres complexes suivants (en fonction de θ 0 ) : a i( )( )(1
Plus en détailInteractions des rayonnements avec la matière
UE3-1 : Biophysique Chapitre 2 : Interactions des rayonnements avec la matière Professeur Jean-Philippe VUILLEZ Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.
Plus en détailSYSTEME DE PARTICULES. DYNAMIQUE DU SOLIDE (suite) Table des matières
Physique Générale SYSTEME DE PARTICULES DYNAMIQUE DU SOLIDE (suite) TRAN Minh Tâm Table des matières Applications de la loi de Newton pour la rotation 93 Le gyroscope........................ 93 L orbite
Plus en détailCinétique et dynamique des systèmes de solides
Cinétique et dynamique des systèmes de solides Page 2/30 CINÉTIQUE des systèmes matériels... 3 1.) Notion de masse...3 2.) Centre de masse d'un ensemble matériel...4 3.) Torseurs cinétique et dynamique...6
Plus en détailSUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION)
Terminale S CHIMIE TP n 2b (correction) 1 SUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION) Objectifs : Déterminer l évolution de la vitesse de réaction par une méthode physique. Relier l absorbance
Plus en détail= 1 si n = m& où n et m sont souvent des indices entiers, par exemple, n, m = 0, 1, 2, 3, 4... En fait,! n m
1 épartement de Physique, Université Laval, Québec Pierre Amiot, 1. La fonction delta et certaines de ses utilisations. Clientèle Ce texte est destiné aux physiciens, ingénieurs et autres scientifiques.
Plus en détailCorrection du baccalauréat S Liban juin 2007
Correction du baccalauréat S Liban juin 07 Exercice. a. Signe de lnx lnx) : on fait un tableau de signes : x 0 e + ln x 0 + + lnx + + 0 lnx lnx) 0 + 0 b. On afx) gx) lnx lnx) lnx lnx). On déduit du tableau
Plus en détailMESURE ET PRECISION. Il est clair que si le voltmètre mesure bien la tension U aux bornes de R, l ampèremètre, lui, mesure. R mes. mes. .
MESURE ET PRECISIO La détermination de la valeur d une grandeur G à partir des mesures expérimentales de grandeurs a et b dont elle dépend n a vraiment de sens que si elle est accompagnée de la précision
Plus en détailIntroduction. Mathématiques Quantiques Discrètes
Mathématiques Quantiques Discrètes Didier Robert Facultés des Sciences et Techniques Laboratoire de Mathématiques Jean Leray, Université de Nantes email: v-nantes.fr Commençons par expliquer le titre.
Plus en détailLe théorème de Thalès et sa réciproque
Le théorème de Thalès et sa réciproque I) Agrandissement et Réduction d une figure 1) Définition : Lorsque toutes les longueurs d une figure F sont multipliées par un même nombre k on obtient une autre
Plus en détailLe modèle de Black et Scholes
Le modèle de Black et Scholes Alexandre Popier février 21 1 Introduction : exemple très simple de modèle financier On considère un marché avec une seule action cotée, sur une période donnée T. Dans un
Plus en détailLE PRODUIT SCALAIRE ( En première S )
LE PRODUIT SCALAIRE ( En première S ) Dernière mise à jour : Jeudi 4 Janvier 007 Vincent OBATON, Enseignant au lycée Stendhal de Grenoble ( Année 006-007 ) 1 Table des matières 1 Grille d autoévaluation
Plus en détailDifférentiabilité ; Fonctions de plusieurs variables réelles
Différentiabilité ; Fonctions de plusieurs variables réelles Denis Vekemans R n est muni de l une des trois normes usuelles. 1,. 2 ou.. x 1 = i i n Toutes les normes de R n sont équivalentes. x i ; x 2
Plus en détailUnités, mesures et précision
Unités, mesures et précision Définition Une grandeur physique est un élément mesurable permettant de décrire sans ambiguïté une partie d un phénomène physique, chacune de ces grandeurs faisant l objet
Plus en détailChapitre 0 Introduction à la cinématique
Chapitre 0 Introduction à la cinématique Plan Vitesse, accélération Coordonnées polaires Exercices corrigés Vitesse, Accélération La cinématique est l étude du mouvement Elle suppose donc l existence à
Plus en détailExercices - Nombres complexes : corrigé. Formes algébriques et trigonométriques, module et argument
Formes algébriques et trigonométriques, module et argument Exercice - - L/Math Sup - On multiplie le dénominateur par sa quantité conjuguée, et on obtient : Z = 4 i 3 + i 3 i 3 = 4 i 3 + 3 = + i 3. Pour
Plus en détailBaccalauréat S Nombres complexes Index des exercices sur les complexes de septembre 1999 à juin 2012 Tapuscrit : DENIS VERGÈS
Baccalauréat S Nombres complexes Index des exercices sur les complexes de septembre 1999 à juin 2012 Tapuscrit : DENIS VERGÈS N o Lieu et date Q.C.M. Algébrique Géométrie 1 Asie juin 2012 2 Métropole juin
Plus en détailChapitre 6. Réactions nucléaires. 6.1 Généralités. 6.1.1 Définitions. 6.1.2 Lois de conservation
Chapitre 6 Réactions nucléaires 6.1 Généralités 6.1.1 Définitions Un atome est constitué d électrons et d un noyau, lui-même constitué de nucléons (protons et neutrons). Le nombre de masse, noté, est le
Plus en détailLe repère mobile d Elie Cartan
Première partie Le repère mobile d Elie Cartan Avertissement! En général, nous nous placerons dans le cas de non-annulation des courbures. I. Courbure des courbes à2d Nous allons étudier la notion de repère
Plus en détailBaccalauréat S Antilles-Guyane 11 septembre 2014 Corrigé
Baccalauréat S ntilles-guyane 11 septembre 14 Corrigé EXERCICE 1 6 points Commun à tous les candidats Une entreprise de jouets en peluche souhaite commercialiser un nouveau produit et à cette fin, effectue
Plus en détailDM n o 8 TS1 2012 Physique 10 (satellites) + Chimie 12 (catalyse) Exercice 1 Lancement d un satellite météorologique
DM n o 8 TS1 2012 Physique 10 (satellites) + Chimie 12 (catalyse) Exercice 1 Lancement d un satellite météorologique Le centre spatial de Kourou a lancé le 21 décembre 200, avec une fusée Ariane, un satellite
Plus en détailLes rayons cosmiques primaires chargés
Les rayons cosmiques primaires chargés Historique de leur découverte Spectre en énergie Composition: abondance Electrons/positons Muons Antiprotons Processus d accélération Expériences Ballons (BESS) Satellites
Plus en détailTD1 PROPAGATION DANS UN MILIEU PRESENTANT UN GRADIENT D'INDICE
TD1 PROPAGATION DANS UN MILIEU PRESENTANT UN GRADIENT D'INDICE Exercice en classe EXERCICE 1 : La fibre à gradient d indice On considère la propagation d une onde électromagnétique dans un milieu diélectrique
Plus en détail3ème séance de Mécanique des fluides. Rappels sur les premières séances Aujourd hui : le modèle du fluide parfait. 2 Écoulements potentiels
3ème séance de Mécanique des fluides Rappels sur les premières séances Aujourd hui : le modèle du fluide parfait 1 Généralités 1.1 Introduction 1.2 Équation d Euler 1.3 Premier théorème de Bernoulli 1.4
Plus en détailChapitre 11: Réactions nucléaires, radioactivité et fission
1re B et C 11 Réactions nucléaires, radioactivité et fission 129 Chapitre 11: Réactions nucléaires, radioactivité et fission 1. Définitions a) Nucléides (= noyaux atomiques) Les nucléides renferment les
Plus en détailRupture et plasticité
Rupture et plasticité Département de Mécanique, Ecole Polytechnique, 2009 2010 Département de Mécanique, Ecole Polytechnique, 2009 2010 25 novembre 2009 1 / 44 Rupture et plasticité : plan du cours Comportements
Plus en détailPROBLÈMES DE RELATIVITÉ RESTREINTE (L2-L3) Christian Carimalo
PROBLÈMES DE RELATIVITÉ RESTREINTE (L2-L3) Christian Carimalo I - La transformation de Lorentz Dans tout ce qui suit, R(O, x, y, z, t) et R (O, x, y, z, t ) sont deux référentiels galiléens dont les axes
Plus en détailSimulation de systèmes quantiques sur un ordinateur quantique réaliste
Simulation de systèmes quantiques sur un ordinateur quantique réaliste Benjamin Lévi To cite this version: Benjamin Lévi. Simulation de systèmes quantiques sur un ordinateur quantique réaliste. Physics.
Plus en détailChapitre 2 Les ondes progressives périodiques
DERNIÈRE IMPRESSION LE er août 203 à 7:04 Chapitre 2 Les ondes progressives périodiques Table des matières Onde périodique 2 2 Les ondes sinusoïdales 3 3 Les ondes acoustiques 4 3. Les sons audibles.............................
Plus en détailMECANIQUE DU POINT. y e y. z e z. ] est le trièdre de référence. e z. où [O, e r. r est la distance à l'axe, θ l'angle polaire et z la côte
I) Cinématique du point matériel: 1) Référentiel: MECANIQUE DU POINT L ensemble de tous les systèmes d axes de coordonnées liés à un même solide de référence S constitue un repère Soit une horloge permettant
Plus en détail1 radian. De même, la longueur d un arc de cercle de rayon R et dont l angle au centre a pour mesure α radians est α R. R AB =R.
Angles orientés Trigonométrie I. Préliminaires. Le radian Définition B R AB =R C O radian R A Soit C un cercle de centre O. Dire que l angle géométrique AOB a pour mesure radian signifie que la longueur
Plus en détailCours 1. Bases physiques de l électronique
Cours 1. Bases physiques de l électronique Par Dimitri galayko Unité d enseignement Élec-info pour master ACSI à l UPMC Octobre-décembre 2005 1 Champ électrique et ses propriétés Ce premier cours introduit
Plus en détailpar Alain Bonnier, D.Sc.
par Alain Bonnier, D.Sc. 1. Avons-nous besoin d autres sources d énergie? 2. Qu est-ce que l énergie nucléaire? 3. La fusion nucléaire Des étoiles à la Terre... 4. Combien d énergie pourrait-on libérer
Plus en détailCours 02 : Problème général de la programmation linéaire
Cours 02 : Problème général de la programmation linéaire Cours 02 : Problème général de la Programmation Linéaire. 5 . Introduction Un programme linéaire s'écrit sous la forme suivante. MinZ(ou maxw) =
Plus en détailTravaux dirigés de mécanique du point
Travaux dirigés de mécanique du point Année 011-01 Arnaud LE PADELLEC Magali MOURGUES alepadellec@irap.omp.eu magali.mourgues@univ-tlse3.fr Travaux dirigés de mécanique du point 1/40 P r é s e n t a t
Plus en détailCorrection du Baccalauréat S Amérique du Nord mai 2007
Correction du Baccalauréat S Amérique du Nord mai 7 EXERCICE points. Le plan (P) a une pour équation cartésienne : x+y z+ =. Les coordonnées de H vérifient cette équation donc H appartient à (P) et A n
Plus en détailCalcul intégral élémentaire en plusieurs variables
Calcul intégral élémentaire en plusieurs variables PC*2 2 septembre 2009 Avant-propos À part le théorème de Fubini qui sera démontré dans le cours sur les intégrales à paramètres et qui ne semble pas explicitement
Plus en détailCours d Electromagnétisme
Année Universitaire 2012-2013 Licence de Physique (S4) Cours d Electromagnétisme Chargé du Cours : M. Gagou Yaovi Maître de Conférences, HDR à l Université de Picardie Jules Verne, Amiens yaovi.gagou@u-picardie.fr
Plus en détailIntroduction à l'electromagnétisme
Introduction à l'electromagnétisme 5 novembre 2014 Table des matières 1 Systèmes de coordonnées et vecteurs 6 1.1 Systèmes de coordonnées................................... 6 1.1.1 Repère cartésien...................................
Plus en détailCOURS DE MÉCANIQUE STATISTIQUE UNIVERSITÉ LYON-1. Monique Combescure. 3 janvier 1970
COURS DE MÉCANIQUE STATISTIQUE MASTER PREMIÈRE ANNÉE UNIVERSITÉ LYON-1 Monique Combescure 3 janvier 1970 TABLE DES MATIÈRES I] QUELQUES NOTIONS ÉLÉMENTAIRES EN STATISTIQUE I-1 Variables aléatoires I-2
Plus en détailFonctions de plusieurs variables. Sébastien Tordeux
Fonctions de plusieurs variables Sébastien Tordeux 22 février 2009 Table des matières 1 Fonctions de plusieurs variables 3 1.1 Définition............................. 3 1.2 Limite et continuité.......................
Plus en détailLES CARACTERISTIQUES DES SUPPORTS DE TRANSMISSION
LES CARACTERISTIQUES DES SUPPORTS DE TRANSMISSION LES CARACTERISTIQUES DES SUPPORTS DE TRANSMISSION ) Caractéristiques techniques des supports. L infrastructure d un réseau, la qualité de service offerte,
Plus en détailEXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points)
BAC S 2011 LIBAN http://labolycee.org EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points) Les parties A et B sont indépendantes. A : Étude du fonctionnement d un spectrophotomètre
Plus en détailIUT DE NÎMES DÉPARTEMENT GEII ÉLECTRONIQUE DE PUISSANCE CONVERSION AC/DC AMÉLIORATION DU FACTEUR DE PUISSANCE
IU DE NÎMES DÉPAREMEN GEII ÉLECRONIQUE DE PUISSANCE AMÉLIORAION DU FACEUR DE PUISSANCE Yaël hiaux yael.thiaux@iut-nimes.fr 13 septembre 013 able des matières 1 Généralités 3 1.1 Historique........................................
Plus en détail2008/03. La concentration des portefeuilles : perspective générale et illustration
2008/03 La concentration des portefeuilles : perspective générale et illustration Olivier Le Courtois Professeur de finance et d assurance UPR Economie, Finance et Gestion EMLYON Christian Walter Actuaire
Plus en détailCompte rendu des TP matlab
Compte rendu des TP matlab Krell Stella, Minjeaud Sebastian 18 décembre 006 1 TP1, Discrétisation de problèmes elliptiques linéaires 1d Soient > 0, a R, b 0, c, d R et f C([0, 1], R). On cerce à approcer
Plus en détailFonctions de plusieurs variables : dérivés partielles, diérentielle. Fonctions composées. Fonctions de classe C 1. Exemples
45 Fonctions de plusieurs variables : dérivés partielles, diérentielle. Fonctions composées. Fonctions de classe C 1. Exemples Les espaces vectoriels considérés sont réels, non réduits au vecteur nul et
Plus en détailI. Polynômes de Tchebychev
Première épreuve CCP filière MP I. Polynômes de Tchebychev ( ) 1.a) Tout réel θ vérifie cos(nθ) = Re ((cos θ + i sin θ) n ) = Re Cn k (cos θ) n k i k (sin θ) k Or i k est réel quand k est pair et imaginaire
Plus en détailRelativité et électromagnétisme. Alain Comtet - alain.comtet@u-psud.fr, Notes de Florian Bolgar
Relativité et électromagnétisme Alain Comtet - alain.comtet@u-psud.fr, Notes de Florian Bolgar Table des matières 1 Symétries et principe de relativité 5 I) Symétries et groupes de transformation....................
Plus en détailSujet proposé par Yves M. LEROY. Cet examen se compose d un exercice et de deux problèmes. Ces trois parties sont indépendantes.
Promotion X 004 COURS D ANALYSE DES STRUCTURES MÉCANIQUES PAR LA MÉTHODE DES ELEMENTS FINIS (MEC 568) contrôle non classant (7 mars 007, heures) Documents autorisés : polycopié ; documents et notes de
Plus en détailPhysique - Résumés de cours PCSI. Harold Erbin
Physique - Résumés de cours PCSI Harold Erbin Ce texte est publié sous la licence libre Licence Art Libre : http://artlibre.org/licence/lal/ Contact : harold.erbin@gmail.com Version : 8 avril 2009 Table
Plus en détailInterférences et applications
Interférences et applications Exoplanète : 1ère image Image de la naine brune 2M1207, au centre, et de l'objet faible et froid, à gauche, qui pourrait être une planète extrasolaire Interférences Corpuscule
Plus en détailA retenir : A Z m n. m noyau MASSE ET ÉNERGIE RÉACTIONS NUCLÉAIRES I) EQUIVALENCE MASSE-ÉNERGIE
CP7 MASSE ET ÉNERGIE RÉACTIONS NUCLÉAIRES I) EQUIVALENCE MASSE-ÉNERGIE 1 ) Relation d'équivalence entre la masse et l'énergie -énergie de liaison 2 ) Une unité d énergie mieux adaptée 3 ) application 4
Plus en détailAngles orientés et fonctions circulaires ( En première S )
Angles orientés et fonctions circulaires ( En première S ) Dernière mise à jour : Jeudi 01 Septembre 010 Vincent OBATON, Enseignant au lycée Stendhal de Grenoble (Année 006-007) Lycée Stendhal, Grenoble
Plus en détail4. Martingales à temps discret
Martingales à temps discret 25 4. Martingales à temps discret 4.1. Généralités. On fixe un espace de probabilités filtré (Ω, (F n ) n, F, IP ). On pose que F contient ses ensembles négligeables mais les
Plus en détailÉPREUVE COMMUNE DE TIPE - PARTIE D. Mesures sur les fibres optiques
ÉPREUVE COMMUNE DE TIPE - PARTIE D TITRE : Mesures sur les fibres optiques 0 Temps de préparation :... h 5 minutes Temps de présentation devant le jury :.0 minutes Entretien avec le jury :..0 minutes GUIDE
Plus en détailDe l utilisation des calculs ab initio appliqués à la théorie moléculaire du défaut quantique
De l utilisation des calculs ab initio appliqués à la théorie moléculaire du défaut quantique Inauguraldissertation zur Erlangung der Würde eines Doktors der Philosophie vorgelegt der Philosophisch-Naturwissenschaftlichen
Plus en détailIntégration et probabilités TD1 Espaces mesurés Corrigé
Intégration et probabilités TD1 Espaces mesurés Corrigé 2012-2013 1 Petites questions 1 Est-ce que l ensemble des ouverts de R est une tribu? Réponse : Non, car le complémentaire de ], 0[ n est pas ouvert.
Plus en détailChapitre 1. Une particule quantique sans spin, à 1 dimension (I) 1.1 Espace des états : les fonctions d'ondes
Chapitre 1 Une particule quantique sans spin, à 1 dimension (I) Dans ce chapitre il y a beaucoup de rappels du cours de licence, mais avec une présentation aussi un peu plus formelle. Nous allons étudier
Plus en détailCalculating Greeks by Monte Carlo simulation
Calculating Greeks by Monte Carlo simulation Filière mathématiques financières Projet de spécialité Basile Voisin, Xavier Milhaud Encadré par Mme Ying Jiao ENSIMAG - Mai-Juin 27 able des matières 1 Remerciements
Plus en détailGELE5222 Chapitre 9 : Antennes microruban
GELE5222 Chapitre 9 : Antennes microruban Gabriel Cormier, Ph.D., ing. Université de Moncton Hiver 2012 Gabriel Cormier (UdeM) GELE5222 Chapitre 9 Hiver 2012 1 / 51 Introduction Gabriel Cormier (UdeM)
Plus en détailI - PUISSANCE D UN POINT PAR RAPPORT A UN CERCLE CERCLES ORTHOGONAUX POLES ET POLAIRES
I - PUISSANCE D UN POINT PAR RAPPORT A UN CERCLE CERCLES ORTHOGONAUX POLES ET POLAIRES Théorème - Définition Soit un cercle (O,R) et un point. Une droite passant par coupe le cercle en deux points A et
Plus en détailProduits d espaces mesurés
Chapitre 7 Produits d espaces mesurés 7.1 Motivation Au chapitre 2, on a introduit la mesure de Lebesgue sur la tribu des boréliens de R (notée B(R)), ce qui nous a permis d exprimer la notion de longueur
Plus en détailRésolution d équations non linéaires
Analyse Numérique Résolution d équations non linéaires Said EL HAJJI et Touria GHEMIRES Université Mohammed V - Agdal. Faculté des Sciences Département de Mathématiques. Laboratoire de Mathématiques, Informatique
Plus en détailLes correcteurs accorderont une importance particulière à la rigueur des raisonnements et aux représentations graphiques demandées.
Les correcteurs accorderont une importance particulière à la rigueur des raisonnements et aux représentations graphiques demandées. 1 Ce sujet aborde le phénomène d instabilité dans des systèmes dynamiques
Plus en détail