Communiqué de presse Pressemitteilung Comunicato Stampa
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- Gérard Grenon
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1 OFS BFS UST Office fédéral de la statistique Bundesamt für Statistik Ufficio federale di statistica Uffizi federal da statistica Service d information Informationsdienst Servizio informazioni Servetsch d infurmaziun Communiqué de presse Comunicato Stampa 4 Economie nationale Volkswirtschaft Economia Neuchâtel, septembre 2001 No Comptes nationaux de la Suisse en 2000 Accélération de la croissance en 2000 grâce à la reprise des investissements et au maintien de la consommation finale des ménages L année 2000 se caractérise par une forte accélération de la croissance après la consolidation à haut niveau enregistrée en Selon les premières estimations de l'office fédéral de la statistique (OFS), le produit intérieur brut (PIB) à prix courants a progressé de 4,1% par rapport à l année pour s établir à 404 milliards de francs en Une telle progression n avait plus été enregistrée depuis La hausse du niveau général des prix étant modérée (+1,1%), le PIB à prix constants a augmenté de 3% et s élève à 345 milliards de francs. En 1999, la progression avait été de 1,6%. Les premiers calculs provisoires confirment l accélération de la croissance du PIB en 2000, tant à prix courants qu aux prix de En effet, basés sur les données révisées pour 1999, les résultats de l année sous revue progressent vivement. La première estimation du PIB se fonde sur les divers types de dépenses (PIB selon son affectation) ainsi que sur le comportement des différents secteurs générateurs de valeur ajoutée (approche par la production). Evolution dynamique de la production dans tous les secteurs de l économie En 2000, la valeur ajoutée à prix courants des entreprises non financières (producteurs marchands de biens et services non financiers) progresse sur un large front. Contrastant avec le recul enregistré l année, la production de biens augmente nettement, grâce notamment aux bonnes performances des entreprises actives dans la fabrication d instruments médicaux et de précision, dans l horlogerie, la chimie et la construction. L évolution d ensemble du secteur reste néanmoins marquée par le dynamisme des activités de services. On note tout particulièrement la progression des transports terrestres, des activités informatiques, et des postes et télécommunications. La baisse de prix enregistrée dans ces deux dernières branches se poursuit, et contribue à limiter la hausse du déflateur (c.-à-d. la hausse pondérée des prix de l ensemble du secteur) des entreprises non financières. La performance d ensemble du secteur reste toutefois inférieure à celle de l économie nationale (cf. Tab.1). Cette dernière bénéficie du dynamisme particulièrement élevé des entreprises productrices de services financiers. CH-2010 Neuchâtel Espace de l Europe 10
2 En effet, l apport des intermédiaires financiers (Banque nationale, banques, sociétés financières, bourses, etc.) à la croissance est le plus important depuis 1990, première année pour laquelle des données sectorielles sont disponibles. Le contexte dans lequel les intermédiaires financiers ont opéré en 2000 est particulièrement favorable. Ainsi, le chiffre d affaires des bourses suisses et les émissions publiques d emprunts obligataires et d actions suisses augmentent très fortement. Ces mouvements se reflètent d ailleurs dans les droits de timbre encaissés par les administrations publiques. Les droits de timbre sur les émissions augmentent de 44% alors que ceux perçus sur le négoce de titres progressent de 40%. Dans le même temps, beaucoup d emprunts sont remboursés et de nombreuses entreprises procèdent au rachat d une partie de leur capital-action. En conséquence, les commissions encaissées par les intermédiaires financiers augmentent fortement. Comme la consommation intermédiaire progresse à un rythme moindre, la valeur ajoutée atteint des niveaux records, tant à prix courants qu à prix constants. Par rapport au PIB, le secteur des intermédiaires financiers atteint sa part relative la plus élevée de la décennie. Après un exercice particulièrement difficile en 1999, les différentes branches couvertes par les entreprises d assurance se rétablissent progressivement. Ainsi, malgré un marché saturé et la persistance de sinistres importants (inondations au Tessin et au Valais, tempêtes de grêle), la branche dommage enregistre une hausse de sa valeur de production en Cette évolution réjouissante est toutefois compensée par une forte augmentation de la consommation intermédiaire, liée à des coûts de réorganisation et aux dépenses pour la mise en place de sites internet. La situation est semblable dans l assurance-vie. En conséquence, la valeur ajoutée des entreprises d assurance ne progresse que faiblement à prix courants, et diminue même aux prix de Enfin, la valeur ajoutée des administrations publiques augmente légèrement, tant à prix courants qu aux prix de Le recul marqué de la Confédération est partiellement dû à l autonomie octroyée aux Ecoles polytechniques fédérales. Les montants versés à ces établissements par la Confédération apparaissent dorénavant dans les subventions. Aux niveaux cantonal et communal, par contre, on enregistre une légère croissance des dépenses de personnel. Par ailleurs, la consommation intermédiaire à prix courants progresse, la réduction des dépenses d armement de la Confédération étant compensée par l augmentation des achats de services (informatiques notamment) des communes. En termes de PIB, la part des administrations publiques diminue légèrement par rapport au niveau de l année antérieure. La demande intérieure stimulée par la reprise des investissements dans la construction La demande intérieure, qui se compose des consommations finales et de la formation brute de capital fixe (investissements), progresse fortement en 2000 (cf. Tab. 2). La consommation finale intérieure des ménages et des institutions sans but lucratif au service des ménages (ISBLSM), qui représente plus de 60% du PIB, augmente de 3,2% à prix courants, en nette progression sur l année (+2,6%). Aux prix de 1990, la progression est de 2,3%. Pour sa part, la formation brute de capital fixe aux prix de 1990 enregistre une hausse marquée de 5,8% grâce à la consolidation à haut niveau des investissements en biens d équipement et à la reprise dans la construction. La consommation finale des ménages se stabilise à un niveau élevé La croissance à prix courants de la consommation finale nationale des ménages et ISBLSM est supérieure à celle enregistrée en Cependant, l année 2000 se caractérise également par une accélération de la hausse des prix, liée notamment à la forte progression des prix des produits pétroliers. La croissance de la consommation finale nationale aux prix de 1990 est ainsi moins marquée qu en Au vu des résultats des années antérieures, on peut parler d une stabilisation à haut niveau. L évolution des fonctions de consommation est très semblable à celle enregistrée en Ainsi, toutes les fonctions progressent. Celles qui enregistrent une baisse de prix, à savoir «Transports et communications», «Loisirs, spectacles, enseignement et culture» affichent de fortes augmentations à prix constants. Deux éléments tranchent toutefois par rapport à la situation de l année. D une part, la fonction «Logement, chauffage et éclairage» se démarque par une progression modeste à prix constants, reflet de 2
3 l augmentation très forte du prix de l énergie et de la clémence de l hiver D autre part, la progression de la fonction «Transports et communications» est nettement plus faible que celle enregistrée antérieurement. En effet, les ménages avaient acquis de nombreux véhicules automobiles en 1998 et Comme il s agit d un bien durable, cette dépense ne se répète pas régulièrement. De fait, l année sous revue est sous l influence du ralentissement de ces achats. En dépit de ces facteurs particuliers, on peut considérer que la consommation finale des ménages et ISBLSM connaît une croissance soutenue. La progression du déflateur (+0,9%) requiert un commentaire. Cette augmentation résulte d évolutions de prix contrastées. Le prix du mazout, par exemple, explose durant l année sous revue alors que le prix des communications continue de diminuer fortement. L impact de ces évolutions opposées dépend de leur poids relatif dans les diverses fonctions de consommation. Au niveau de l agrégat, les différentes variations se neutralisent, et le déflateur de la consommation finale des ménages affiche ainsi une progression modérée. Les investissements, soutien déterminant à la croissance Les deux composantes de la formation brute de capital fixe sont en progression. En effet, les investissements de construction repartent à la hausse et les investissements en biens d équipement maintiennent leur croissance à un niveau élevé. Les investissements de construction à prix courants augmentent de 6,8% en Outre un effet de base lié à la révision de la statistique pour 1999, cette évolution signale une nette reprise dans ce secteur. Cette dernière se traduit également par des prix en hausse (+4,6%). La progression aux prix de 1990 est donc plus modeste que la hausse à prix courants, mais l amélioration de la situation dans ce secteur reste très nette. La progression est particulièrement marquée dans le génie civil, alors que les investissements de construction de bâtiments sont moins dynamiques. Les importants investissements liés aux grands projets de transports publics (NLFA et Rail 2000), en phase de réalisation complète, insufflent une forte dynamique aux investissements de génie civil. En conséquence, la catégorie d ouvrage «Transports et communications» se distingue par un taux de croissance très important. A prix courants, les investissements en biens d équipement affichent l accroissement le plus élevé de ces dernières années. En termes de PIB, ils rejoignent la part relative enregistrée en La forte croissance des dernières années a ainsi compensé les baisses des années de récession. Trois domaines progressent tout particulièrement. Ce sont les machines et équipements, les machines de bureau, d ordinateurs et d équipements informatiques, et enfin les équipements de radio, de télévision et de télécommunication. Le secteur de l informatique et les télécommunications poursuivent ainsi sur la lancée des dernières années. Par contre, on note une baisse sensible dans les investissements en moyens de transports. Celle-ci est due au fait que Swissair n a pas importé en 2000 autant d avions de ligne qu en Après le recul enregistré l année, le déflateur progresse légèrement en 2000 (+0,3%). L évolution aux prix de 1990 reste donc vigoureuse et les investissements en biens d équipement représentent un apport important à la croissance observée en Recul de la contribution extérieure Après le sommet de 1999, l écart à prix courants entre le total des exportations et des importations se réduit. En effet, la détérioration du déficit dans les échanges de biens est plus forte que la progression de l excédent dans les échanges de services. Le traditionnel excédent courant de la Suisse diminue. Le solde de la balance commerciale (exportations de biens moins importations de biens) se détériore fortement durant l année sous revue. Deux éléments sont à l origine de cette dégradation. D une part, les importations de produits énergétiques explosent suite à la hausse vigoureuse des prix pétroliers. Le solde de la balance des matières premières et demi-produits passe ainsi de -396 millions en 1999 à 1,3 milliards en D autre part, les échanges d objets de valeur se soldent par un déficit nettement plus important qu en Une telle situation avait déjà marqué l évolution du commerce extérieur de la période En 3
4 dépit de ces facteurs exceptionnels, les échanges de biens se caractérisent par un grand dynamisme. Comme les prix des biens importés augmentent plus fortement que ceux des biens exportés, les termes de l échange se détériorent. Les prix des produits pétroliers exercent ainsi une grande influence sur les résultats de l année A prix courants, l excédent de la balance des services dépasse son niveau record de Les échanges progressent fortement aussi bien à l exportation qu à l importation. Ces mouvements sont stimulées par l expansion soutenue des achats de prestations aériennes, téléphoniques et bancaires. En termes de PIB à prix courants, le solde de la balance des services atteint son niveau le plus élevé depuis le début des années OFFICE FEDERAL DE LA STATISTIQUE Service de l'information Renseignements: Ruth Meier, OFS, Section des comptes nationaux, tél.: 032/ Philippe Stauffer, OFS, Section des comptes nationaux, tél.: 032/
5 Tabl. 1(a) Compte de production (C1) de l'économie nationale (S00) en millions de francs, à prix courants Production de biens et services moins : Consommation intermédiaire plus : TVA grevant les produits plus : Impôts nets liés à l'importation Produit intérieur brut aux prix du marché Tabl. 1(b) Compte de production (C1) de l'économie nationale (S00) en millions de francs, aux prix de 1990 Production de biens et services moins: Consommation intermédiaire plus : TVA grevant les produits plus : Impôts nets liés à l'importation Produit intérieur brut aux prix du marché
6 Tabl. 2(a) Produit intérieur brut selon son affectation en millions de francs, à prix courants Dépenses imputées au produit intérieur brut Consommation finale en Suisse (concept intérieur) Ménages et ISBLSM (1) Administrations publiques Assurances sociales Formation brute de capital Formation brute de capital fixe Investissements en biens d'équipement Constructions Variation des stocks Demande intérieure Exportations de biens et services Exportations de biens (fob) (2) Exportations de services moins : Importations de biens et services Importations de biens (caf) (3) Importations de services Produit intérieur brut aux prix du marché (2) free on board (3) coût, assurance, fret 6
7 Tabl. 2(b) Produit intérieur brut selon son affectation en millions de francs, aux prix de 1990 Dépenses imputées au produit intérieur brut Consommation finale en Suisse (concept intérieur) Ménages et ISBLSM (1) Administrations publiques Assurances sociales Formation brute de capital Formation brute de capital fixe Investissements en biens d'équipement Constructions Variation des stocks Demande intérieure Exportations de biens et services Exportations de biens (fob) (2) Exportations de services moins : Importations de biens et services Importations de biens (caf) (3) Importations de services Produit intérieur brut aux prix du marché (2) free on board (3) coût, assurance, fret 7
8 Tabl. 3(a) Consommation finale des ménages et ISBLSM(1) selon les concepts national et intérieur en millions de francs, à prix courants Consommation finale des résidents (concept national) 228' ' ' moins : Consommation finale dans le reste du monde des ménages résidents 12'768 13'076 14' plus : Consommation finale en Suisse des ménages non résidents 15'125 15'558 17' Consommation finale en Suisse (concept intérieur) 231' ' ' Tabl. 3(b) Consommation finale des ménages et ISBLSM(1) selon les concepts national et intérieur en millions de francs, aux prix de 1990 Consommation finale des résidents (concept national) 192' ' ' moins : Consommation finale dans le reste du monde des ménages résidents 12'150 12'068 12' plus : Consommation finale en Suisse des ménages non résidents 11'732 11'851 12' Consommation finale en Suisse (concept intérieur) 191' ' '
9 Tabl. 4(a) Consommation finale des ménages et ISBLSM (1) en millions de francs, à prix courants Produits alimentaires, boissons et tabac Articles d'habillement et chaussures Logement, chauffage et éclairage Meubles, articles d'ameublement, matériel ménager, articles de ménage et dépenses d'entretien Services médicaux et dépenses de santé Transports et communications Loisirs, spectacles, enseignement et culture Autres biens et services Consommation finale des ISBLSM Consommation finale des ménages et ISBLSM Tabl. 4(b) Consommation finale des ménages et ISBLSM (1) en millions de francs, aux prix de 1990 Produits alimentaires, boissons et tabac Articles d'habillement et chaussures Logement, chauffage et éclairage Meubles, articles d'ameublement, matériel ménager, articles de ménage et dépenses d'entretien Services médicaux et dépenses de santé Transports et communications Loisirs, spectacles, enseignement et culture Autres biens et services Consommation finale des ISBLSM Consommation finale des ménages et ISBLSM
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