POLITIQUE DE PLACEMENT

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1 BANQUE PRIVEE OCTOBRE 2015 POLITIQUE DE PLACEMENT MENSUEL D INVESTISSEMENT EDMOND DE ROTHSCHILD (EUROPE) 1/10

2 EDMOND DE ROTHSCHILD (EUROPE) 2/10

3 SOMMAIRE Synthèse... 4 Conjoncture internationale... 5 Obligations... 6 Actions... 7 Devises... 8 Contact : Jean-Charles Schiltz Head of Portfolio Management, CIO jc.schiltz@edr.com EDMOND DE ROTHSCHILD (EUROPE) 3/10

4 SYNTHÈSE Alors que la croissance se poursuit dans les pays développés, c est le ralentissement des économies émergentes qui inquiète les investisseurs. Dans le cas de la Chine, ce sentiment est quelque peu exagéré. Le secteur des services, qui représente la moitié du tissu économique, se porte plutôt bien. Les pressions désinflationnistes liées à la chute des prix de l énergie vont progressivement disparaître. Aux Etats-Unis et en Zone Euro, par exemple, l inflation devrait osciller entre 1.5% et 2.0% au mois de janvier prochain. Les investisseurs semblent l ignorer. Les bourses mondiales testent d importants supports et devraient rebondir Dans cet environnement, la Fed s apprête à augmenter ses taux directeurs et la BCE son quantitative easing. Les récents soubresauts des marchés sont principalement liés à la survalorisation de ces derniers. Pour se maintenir à de tels niveaux, ils nécessitent une grande confiance de la part des investisseurs. Chaque fois que des incertitudes apparaîtront, cette confiance s étiolera et les marchés seront susceptibles de corriger. Au mois de septembre, les marchés financiers ont fait du sur-place. Ils se sont rassurés durant trois semaines pour, finalement, revenir à la case «départ» lorsque la Fed a communiqué ses inquiétudes. Les bourses mondiales testent d importants supports. Sans récession, la confiance devrait perdurer et les indices actions rebondir. Le Comité d Investissement a décidé de surpondérer légèrement le poids actions, afin de capter le mouvement à venir. L exposition au dollar demeure à un niveau élevé. Après une pause bien méritée, le billet vert profitera de la hausse des taux de la Réserve Fédérale. EDMOND DE ROTHSCHILD (EUROPE) 4/10

5 CONJONCTURE INTERNATIONALE La croissance américaine se porte bien. Le secteur manufacturier souffre quelque peu de la baisse des exportations, mais le secteur des services, qui représente 78% du PIB, se porte à merveille grâce à une forte demande domestique (cf. graphique). En effet, le consommateur américain dépense. Il est la locomotive de la croissance américaine depuis plus d un an. En Suisse, après la contraction du Produit Intérieur Brut (PIB) du premier trimestre, nous écrivions qu il n y avait pas lieu de s inquiéter pour la croissance, car elle ne passerait pas durablement en territoire négatif. Notre analyse pouvait sembler optimiste. Finalement, alors que nous nous attendions tout de même à un dernier passage en zone rouge, la réalité fut encore plus positive. Le deuxième trimestre est de très bonne facture, avec une croissance de +0.25% par rapport au précédent. La récession a donc été évitée. Les pays émergents dégagent des niveaux de profitabilité et de rentabilité indignes de leur potentiel intrinsèque. Ce potentiel est subordonné au succès de réformes structurelles, nécessaires afin d accroître leur compétitivité. La Chine se démarque par le caractère global des réformes engagées. Quant à l Inde, elle se distingue par son potentiel de développement économique. Sous l impulsion de Narendra Modi, le pays s est engagé dans la voie des réformes structurelles afin de promouvoir les investissements en infrastructures et d aplanir les contraintes administratives. Qui plus est, l environnement extérieur lui est actuellement très favorable. La dynamique de croissance dans les pays développés, combiné à la chute du cours des matières premières, constitue le scénario rêvé pour un retour à l équilibre des comptes courants. CROISSANCE DE L ACTIVITE ECONOMIQUE AUX ETATS-UNIS (SOURCES : DATASTREAM, EDMOND DE ROTHSCHILD) EDMOND DE ROTHSCHILD (EUROPE) 5/10

6 OBLIGATIONS Comme nous l escomptions, la Fed a décidé de ne pas relever ses taux directeurs au mois de septembre mais d attendre d avoir plus de certitudes quant à la vigueur de l économie américaine au troisième trimestre avant d augmenter ses taux directeurs. Un premier mouvement de hausse est attendu d ici la fin de l année puis un resserrement graduel en 2016 si la demande domestique continue d être soutenue par le dynamisme du crédit et la progression des salaires. Techniquement, le conseil des gouverneurs a décidé d élargir la liste des indicateurs surveillés, afin de capturer la dynamique économique mondiale. Cette situation ressemble à celle de 2013, lorsque la Fed avait retardé le début du tapering à cause des turbulences financières. Elle avait finalement agi de manière inattendue, dès le moment où les données ont montré de la résilience. En effet, plusieurs présidents de Fed régionales ont pris la parole récemment pour indiquer que la décision avait été difficile à prendre, laissant la porte ouverte à un basculement de leur consensus vers plus d austérité. N oublions pas non plus que la stabilisation des prix pétroliers implique un rebond des indices de prix dès le mois de novembre (cf. graphique). Les investisseurs pourraient alors avoir le sentiment que la Fed est «behind the curve», en retard sur le cycle économique. Une situation de ce type pourrait laisser entrevoir un resserrement monétaire plus cadencé. Les marchés obligataires en souffriraient. INFLATION AUX ETATS-UNIS ET EN EUROPE, COMPAREE AUX PRIX PETROLIERS (SOURCES : BLOOMBERG, EDMOND DE ROTHSCHILD) United States CPI (%YoY) Euro Area CPI (%YoY) Oil Prices (%YoY, L.H.S.) EDMOND DE ROTHSCHILD (EUROPE) 6/10

7 ACTIONS L attentisme de la Réserve Fédérale était grandement probable. En revanche, ce qui n était pas escompté, ce sont les propos de Janet Yellen sur le manque de vigueur de l économie mondiale et de la récente volatilité des marchés financiers. Les commentaires de la Présidente de la Fed sont venus nourrir l incertitude des investisseurs. En étant réservée, la banque centrale américaine a donné l impression de naviguer à vue et d être moins prévisible qu auparavant. Après trois semaines de rebond technique, les marchés boursiers ont enregistré une nouvelle phase difficile. Les investisseurs hésitent à acheter des actifs dont la valorisation est riche. Les bonnes nouvelles en provenance d Europe n ont pas suffi à calmer les inquiétudes venues des Etats-Unis ou d Asie. La progression des profits des sociétés suisses est très clairement plus dynamique que celle des entreprises de la Zone Euro. Le MSCI Switzerland poursuit donc son ascension relative par rapport au MSCI Euro Area (cf. graphique). Son caractère moins cyclique en fait également un investissement plus défensif, en cas de nouvelle correction boursière. Il permettrait de limiter les dégâts. Malmenés par un cycle des matières premières défavorable et un dollar fort, les actions émergentes connaissent depuis 2011 des performances relatives décevantes face à leurs homologues développés. Si le recours massif à l endettement du consommateur américain au cours de la dernière décennie avait dopé la croissance émergente, le désendettement qui s en est ensuivi et la perspective d une activité mondiale contenue privent la sphère émergente de relais d expansion. Néanmoins, la réponse favorable des marchés émergents au rebond récent des prix des matières premières notamment, est un signe encourageant EVOLUTION RELATIVE DES ACTIONS SUISSES (SOURCES : BLOOMBERG, EDMOND DE ROTHSCHILD) Relative Perf. MSCI Switzerland (in CHF) vs MSCI Euro Area (in EUR) Relative Perf. MSCI Switzerland (in CHF) vs MSCI Euro Area (in CHF) EDMOND DE ROTHSCHILD (EUROPE) 7/10

8 DEVISES Si la réaction des investisseurs vis-à-vis de la Réserve Fédérale peut sembler difficile à prévoir pour les actions et les obligations, elle est en revanche nettement plus aisée pour le marché des changes. Peu importe quand aura lieu la hausse des taux de la Fed et à quel rythme, elle aura lieu. Le dollar profitera de cet avantage comparatif pour s apprécier face à la plupart des devises, et notamment son principal rival : l euro. Il pourrait être judicieux de réduire tactiquement l exposition au dollar à mesure que Janet Yellen retarde son durcissement de politique monétaire, il est pourtant nécessaire de rester exposé au billet vert, voire d être prêt à accentuer ce positionnement dans les prochains mois. Le dollar garde un potentiel d appréciation, à long terme. Une fois n est pas coutume, le franc suisse a profité des perturbations de marché pour concéder un peu de terrain face à la monnaie unique. Au cours des deux derniers mois, le taux de change EUR/CHF est passé de 1.04 à Cette évolution peut sembler surprenante à l heure où l économie helvétique se porte à merveille. Plusieurs points permettent pourtant de l expliquer : le franc suisse demeure très chèrement valorisé, la Zone Euro semble renaître de ses cendres et la Banque Nationale Suisse (BNS) intervient à nouveau sur le marché des devises. Dans le courant du seul mois d août, ses réserves de change ont progressé de 9.2 milliards de francs suisses. En tenant compte de tous ces paramètres, nous estimions initialement que le taux de change de l euro et du franc suisse devait osciller entre 1.00 et 1.10 tout au long de l année TAUX DE CHANGE EUR/CHF (SOURCES : BLOOMBERG, EDMOND DE ROTHSCHILD) --- EUR/CHF Exchange Rate EDMOND DE ROTHSCHILD (EUROPE) 8/10

9 AVERTISSEMENT Document non contractuel. Avertissement : les données chiffrées, commentaires, analyses et les travaux de recherche figurant dans cette présentation sont une explication objective et indépendante du contenu des recommandations et reflètent le sentiment de Edmond de Rothschild (Europe) sur les marchés, leur évolution, compte tenu de son expertise, des analyses économiques et des informations possédées à ce jour. Ils ne sauraient toutefois constituer une quelconque offre ou proposition d'investissement ni un quelconque engagement ou garantie de Edmond de Rothschild (Europe). Lorsque les informations sont fournies par des tiers, tels que des prestataires spécialisés dans la fourniture de services financiers ou des marchés réglementés, Edmond de Rothschild (Europe) n'assumera aucune responsabilité quant à leur qualité et leur exactitude. Ces informations ne sont données qu à titre purement indicatif par Edmond de Rothschild (Europe) et ne sauraient être interprétées comme une confirmation par Edmond de Rothschild (Europe) ou comme reflétant une valeur financière exacte. Le lecteur est tenu de vérifier personnellement auprès des sources citées les informations fournies par Edmond de Rothschild (Europe). En aucun cas, la responsabilité de Edmond de Rothschild (Europe) ne saurait être engagée par une décision d investissement, de désinvestissement ou de conservation prise sur la base desdits commentaires, analyses et données chiffrées qui sont données à titre informatif. Il appartient et il est particulièrement recommandé à chaque investisseur de se procurer les différents descriptifs réglementaires de chaque produit financier avant tout investissement, pour analyser son risque et forger sa propre opinion indépendamment de Edmond de Rothschild (Europe), en s entourant de l avis de tous les conseils spécialisés dans ces questions afin de s assurer notamment de l adéquation de cet investissement à ses connaissances, son expérience en matière financière, à ses objectifs d investissement ainsi qu à sa situation financière et fiscale. Les performances (brutes de commissions, frais et autres charges à prélever par Edmond de Rothschild (Europe)) et les volatilités passées ne préjugent pas des performances et des volatilités futures et ne sont pas constantes dans le temps. Elles peuvent par ailleurs être affectées par une fluctuation des taux de change. Aucune partie de ce document ne peut être reproduite, stockée dans un système de récupération de données ou distribuée à quelque fin ou par quelque moyen que ce soit, électronique, mécanique, photocopie, enregistrement ou autre, sans la permission expresse et écrite de Edmond de Rothschild (Europe). EDMOND DE ROTHSCHILD (EUROPE) 9/10

10 EDMOND DE ROTHSCHILD (EUROPE) 20, boulevard Emmanuel Servais L-2535 Luxembourg T EDMOND DE ROTHSCHILD (EUROPE) 10/10

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