GENESIS. Contraception définitive par implants intra-tubaires ESSURE : le point en 2014
|
|
- Anatole Lefèvre
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 GENESIS Contraception définitive par implants intra-tubaires ESSURE : le point en 2014 Cette méthode réalisée sous hystéroscopie est simple et efficace. Elle nécessite une information des patientes et le recours à des praticiens formés. Un contrôle radiographique ou échographique est recommandé à 3 mois. La principale complication est la migration secondaire ou la perforation tubaire. La stérilisation volontaire, qu elle soit masculine ou féminine est la méthode contraceptive la plus répandue dans le monde, représentant d après les données des Nations Unies près de 250 millions de couples. La stérilisation féminine représente environ 1/3 des méthodes contraceptives dans le monde (1). En France, un peu plus de stérilisations féminines volontaires à visée contraceptive ont été réalisées en 2010 (vs environ 1900 vasectomies ), parmi lesquelles environ par voie hystéroscopique par pose d implants Essure.
2 Evolution des techniques de stérilisation. Source ATIH 2011 Le but de cet article est de faire le point sur a pratique de la stérilisation par hystéroscopie en Les aspects réglementaires La stérilisation volontaire à visée contraceptive a été autorisée en France par la loi n du 4 juillet 2001, Art. L Cette loi stipule que la stérilisation contraceptive ne peut pas être pratiquée sur une personne mineure et qu elle ne peut être pratiquée que si la personne majeure intéressée a exprimé une volonté libre, motivée et délibérée en considération d une information claire et complète sur ses conséquences. Cela implique la remise lors de la consultation pour demande de stérilisation d un dossier d information écrit édité par le ministère de la santé, accessible sur Internet * : (
3 Une information sur les différentes méthodes contraceptives réversibles et non réversibles féminines et masculines. Un délai de réflexion de 4 mois est exigé entre la première information et la réalisation du geste qui pourra être pratiqué après confirmation écrite de la (ou du) patient(e). Par ailleurs, la loi du 4 mars 2002 précise que toute personne prend, avec le professionnel de santé et compte tenu des informations et des préconisations qu il lui fournit, les décisions concernant sa santé. Ainsi il n est nulle part mentionné de limite d âge autre que la majorité, aucun seuil minimal de parité et aucun accord du conjoint. Si le médecin consulté ne souhaite pas pratiquer cet acte, il notifie son refus à la patiente lors de la première consultation et doit l orienter vars un confrère pratiquant les stérilisations volontaires contraceptives. La stérilisation contraceptive est un acte chirurgical qui ne peut être pratiqué qu en établissement de santé publique ou privé. La stérilisation tubaire par pose d implants Essure est un acte chirurgical répondant à la codification CCAM JJPE001. Depuis un arrêté de l UNCAM de 2010, ce geste n était plus remboursé chez les patientes de moins de 40 ans hormis celles ayant des contre-indications majeures aux dispositifs intra-utérins ou aux contraceptions hormonales ou encore celles ayant une contre-indication majeure à la grossesse. Il est à nouveau remboursé même pour celles ayant moins de 40 ans, ce dont nous nous félicitons. Il est à noter que la stérilisation coelioscopique était de tout temps possible et remboursée chez les mêmes patientes de moins de 40 ans alors qu il s agit d une méthode moins efficace, plus risquée et nécessitant une hospitalisation et une immobilisation plus longue!!! Constitution de l implant Essure et mécanisme d action Chaque implant est constitué d une spire externe en Nitinol (alliage de Titane, de Nickel et de métaux précieux semblable à celui des stents de cardiologie), d une spire interne en acier qui supporte des fibres de polyéthylène. Ce sont ces fibres de polyéthylène qui sont responsables de la réaction inflammatoire et de la prolifération tissulaire qui se produit dans la corne utérine au contact de l implant, qui va coloniser l implant et occlure la trompe. Constitution de l implant : 1- spires internes. 2- spires externes. 3- fibres en polyéthylène. Le délai d occlusion est d environ 3 mois, raison pour laquelle le contrôle est effectué après ce délai. Les contre-indications sont rares On peut citer les naissances ou interruptions de grossesse de moins de 6 semaines, l incertitude quant au souhait d interrompre sa fertilité, une grossesse en cours ou suspectée (pose en 1re moitié de cycle), les cervicites aiguës non traitées, les saignements anormaux non explorés, les traitements immunosuppresseurs. L allergie au Nickel est une contre-indication dans les recommandations de l AFSSAPS mais uniquement si elle est avérée après des tests allergologiques. En effet, la majorité des «allergies» au nickel sont en fait des eczémas de contact et non des allergies. Enfin, la présence d implants intra-tubaires Essure n est pas une contre-indication à l IRM. Les aspects techniques - Le geste est pratiqué à l aide d un hystéroscope opératoire de type Betocchi en première moitié de cycle ou chez une patiente sous contraception orale. L anesthésie générale est possible en début d expérience mais le geste peut être réalisé totalement sans anesthésie avec simplement une prémédication prise 2 heures avant la pose des implants associant paracétamol et AINS auxquels on peut ajouter une benzodiazépine chez les patientes particulièrement
4 anxieuses (2). La réalisation d un bloc para-cervical à la lidocaïne est également possible mais de moins en moins souvent pratiqué par les praticiens ayant l expérience de la pose des implants (3). - Il existe un consensus actuel pour la réalisation du geste selon la technique décrite par Betocchi qui se fait sans spéculum ni pince de préhension cervicale. La patiente est installée en position gynécologique. - Une antiseptie cutanéo-muqueuse soigneuse est réalisée. - L hystéroscope est ensuite introduit directement dans le vagin (vaginoscopie) sans spéculum. Le col est repéré puis cathétérisé par l hystéroscope qui remonte ainsi au fil de l eau jusqu à la cavité utérine. - Après un temps d exploration, le praticien procède à la pose des implants. 3 à 8 tours de spires doivent être visibles dans la cavité utérine après le largage de l implant. Cette technique sans anesthésie est réalisable dans la très grande majorité des cas et la douleur ressentie par les patientes est dans 70% des cas inférieure ou égale à celle des règles (4). Après la pose la patiente est surveillée quelques instant et peut retourner à ses occupations habituelles. La stérilisation hystéroscopique est selon ces modalités un geste simple et d un excellent rapport coût-efficacité pour la société comparée à une stérilisation par cœlioscopie. Le succès de pose des implants de stérilisation est de l ordre de 95% dans la littérature (3). En cas d échec de pose sans anesthésie, la patiente est reconvoquée si elle maintient sa demande pour la réalisation du geste sous anesthésie générale. Il est alors possible en cas de nouvel échec de convertir en cœlioscopie pour réaliser une ligature conventionnelle en accord bien sûr avec la patiente (94,4% et 96,5% de succès de pose après respectivement la 1re et la 2e tentative dans l étude coopérative française (3) ). Il est probablement impossible d atteindre un taux de succès de 100% compte tenu d un taux incompressible de pathologies tubaires proximales et de défauts de visualisation. Le geste de stérilisation hystéroscopique peut être fait en conservant un éventuel dispositif intra-utérin chez les patientes dont c était jusqu alors la contraception (5). Ce dispositif assurera la contraception ultérieure jusqu au contrôle. Le contrôle du positionnement des implants sera d ailleurs facilité par la présence du DIU. Cependant, pour les patientes porteuses d un DIU au lévonorgestrel, il ne faut pas omettre de préciser que les bénéfices non contraceptifs du dispositif seront perdus à l ablation (ménorragies, dysménorrhées possibles), ce qui pourrait conduire à la pose d un nouveau DIU du même type pour retrouver les effets bénéfiques non contraceptifs. De même, la pose des implants de stérilisation peut tout à fait être associée à un autre geste hystéroscopique dans le même temps (résection de myome ou de polype, endométrectomie) (6, 7). Dans cette dernière situation, le geste est réalisé sous anesthésie. La durée moyenne du geste chez les praticiens expérimentés est de 5 à 8 minutes (3, 8). Après la pose, la patiente doit conserver une contraception efficace de son choix pendant 3 mois, jusqu au contrôle de la bonne position des implants. Le contrôle de la pose doit être fait Compte tenu des risques de migration ou de malposition des implants qui pourraient compromettre l efficacité contraceptive, il est nécessaire de réaliser un contrôle 3 mois après la pose. Ce délai de 3 mois est le temps nécessaire pour obtenir l occlusion tubaire dans la majorité des cas (9). Pendant cette période, les patientes doivent poursuivre une contraception efficace de leur choix et être informées des risques de grossesse en l absence de contraception et en l absence de contrôle de la position des implants. Les recommandations de la FDA nordaméricaine sont de réaliser le contrôle par une hystérosalpingographie. Cependant cet examen est onéreux et potentiellement douloureux pour les patientes, conduisant à une faible observance aux Etats Unis. Du fait d une bonne corrélation entre la bonne position des implants et l occlusion tubaire, la plupart des pays européens recommandent le
5 contrôle à 3 mois par radiographie du bassin de face debout ou par échographie. - L interprétation du bon positionnement des implants sur la radiographie répond à des critères stricts (courbe harmonieuse de l implant, symétrie des 2 implants, alignement des 4 marqueurs, distance entre les extrémités proximales des implants inférieure à 4 cm) mais cette interprétation est difficile et sujette à caution (10). Pour cette raison il est nécessaire que le contrôle soit effectué par le praticien qui a fait la pose et interprété en fonction des données du compte rendu opératoire. - Le contrôle peut également se faire par échographie 2D par voie endo-vaginale qui semble aussi pertinente que la radiographie pour confirmer le bon positionnement des implants (11). L échographie doit montrer la présence des implants en position interstitielle. Dans notre expérience, le fait de pratiquer systématiquement une échographie endo vaginale en consultation en complément de la radiographie permet d améliorer la pertinence du contrôle et de réduire le nombre d hystérographies. En cas de doute sur le positionnement des implants à la radiographie de bassin ou à l échographie, il ne faut pas hésiter à confirmer par une hystérosalpingographie qui reste l examen de référence. Plus récemment des travaux ont porté sur l échographie 3D qui permet d obtenir le plus souvent des clichés interprétables facilement et de réduire le recours à l hystérographie (12). Cependant, cette méthode n est pas encore validée par les autorités de santé. Certaines circonstances imposent un contrôle par hystérographie systématique : trompe unique ou malformation utérine. Observance : être volontariste Le problème du contrôle est également celui de l observance. En effet, en l absence de politique volontariste, le taux de contrôle à 3 mois peut chuter à 50%. En revanche en cas de politique volontariste, ce contrôle est de l ordre de 90% Une politique volontariste de contrôle passe par un rendez-vous systématique à 3 mois donné lors de la sortie de la patiente et un rappel en l absence de présentation au rendez-vous. La mauvaise compliance au contrôle est responsable d environ 1/3 des grossesses observées (13), les autres grossesses étant obtenues après un défaut de contraception dans les 3 mois, une mauvaise date de pose ou une mauvaise interprétation des clichés de contrôle. Il est donc indispensable de rappeler aux patientes qu il s agir d une méthode plus efficace que la stérilisation chirurgicale classique mais qui comporte malgré tout un risque d échec de l ordre de 1/1000 (vs 1/100 pour la cœlioscopie). Ce taux d échec est d autant plus important que la pose a été difficile ou faite dans des circonstances particulières (trompe unique, utérus malformé, mauvaise visibilité lors de la pose). Dans ce contexte, la relance des patientes ne venant pas à leur rendez-vous de contrôle est indispensable. Les complications et échecs de la méthode - La principale complication de la pose d implants de stérilisation est la migration secondaire ou la perforation tubaire qui peut se manifester par des douleurs lors de la pose (non systématique) et se traduit sur le cliché de contrôle par des implants en mauvaise position, soit en position intra-abdominale, soit avec une courbe qui n est pas harmonieuse. La perforation ne se voit pas en cours d intervention mais peut se traduire par une sensation d obstacle qui se lève en s accompagnant d une douleur brutale pour la patiente. La migration peut également être liée à un implant poussé trop loin dans la trompe se traduisant alors par un nombre de tours de spires insuffisant dans la cavité utérine. Il est donc important de disposer du compte rendu opératoire lors de la consultation de contrôle. Dans l étude collaborative française, ce taux de perforation est de 1% et celui de migration est de 1% (3). En cas d expulsion dans la cavité utérine il est possible de faire une seconde pose. En cas de perforation ou de migration abdominale, il est recommandé de recourir à une technique par cœlioscopie qui retirera l implant dans le même temps. - Quelques rares publications ont également rapporté des cas de douleurs pelviennes chroniques invalidantes ayant nécessité l ablation des implants (en général il s agissait en fait de malposition des implants passées inaperçues lors de la pose) ( 14) ou encore un cas d occlusion intestinale sur bride constituée sur un implant migré dans la cavité péritonéale (15). - Des grossesses sont sporadiquement rapportées dans la littérature. Dans une communication récente au congrès de l AAGL, Lévy rapportait 748 grossesses colligées au niveau mondial par la société Conceptus, rapportées aux implants vendus dans le monde soit 1,5/1000 (16). La principale cause de grossesse retrouvée était la mauvaise compliance au suivi et l absence de prise de contraception pendant les 3 mois suivant la pose. Viennent ensuite la mauvaise interprétation de l examen de contrôle et le non-respect du protocole de pose. Ces taux de grossesses et de complications sont à comparer à ceux provenant des études sur la stérilisation chirurgicale
6 classique qui retrouvent des taux de grossesse de l ordre de 0,75% à 3,65% selon l âge des patientes et les techniques employées et des taux de complications de l ordre de 0,9% parmi lesquelles des plaies d organes de voisinage (vessie, intestin) ou des hémorragies graves pouvant mettre en jeu le pronostic vital (17). Rappelons encore que les accidents de trocarts cœlioscopiques peuvent survenir dans environ 4 cas sur et les plaies digestives dans 5 cas sur procédures, quelle que soit l indication de la cœlioscopie avec mise en jeu du pronostic vital (18). Conclusions La contraception féminine définitive par pose d implants intra-tubaires Essure est donc une méthode d une grande efficacité et d une grande simplicité. La stérilisation contraceptive doit faire l objet d une information auprès de toute femme consultant pour contraception au même titre que les contraceptions temporaires (recommandations HAS). Elle nécessite de recourir à des praticiens formés. Elle est plus efficace que les méthodes conventionnelles par cœlioscopie avec moins de risques de complications et moins de contraintes pour les femmes et un moindre coût pour la société (pas d hospitalisation ou hospitalisation en demijournée, pas d arrêt de travail, pas de structure chirurgicale lourde, pas d anesthésie). Dans une enquête nationale sur la contraception que nous avions réalisée auprès de près de femmes (publication en cours de soumission), la stérilisation était le moyen contraceptif qui donnait le meilleur taux de satisfaction (score de 9,7/10). La cœlioscopie reste la méthode de rattrapage en cas d échec de la méthode. Pourtant en 2010, la coelioscopie représentait encore 40% des procédures de stérilisation (soit environ procédures dont statistiquement 4 plaies de gros vaisseaux et 5 plaies digestives lors de la cœlioscopie). Arnaud Le Tohic,Isabelle Grosdemouge,Julien Niro etpierre Panel - Centre Hospitalier de Versailles, Le Chesnay RÉFÉRENCES 1. d Arcangues C. Worldwide use of intrauterine devices for contraception. Contraception. 2007;75(6 Suppl):S2-7. Epub 2007/05/ Panel P. Predictive factors of Essure implant placement failure: prospective, multicenter study of 495 patients. Fertil Steril.93(1): Grosdemouge I. [Essure implants for tubal sterilisation in France]. Gynecol Obstet Fertil. 2009;37(5): La pratique francaise de la pose des implants de sterilisation tubaire Essure. 4. Levie M. Analysis of pain and satisfaction with office-based hysteroscopic sterilization. Fertil Steril.94(4): Vleugels MP. Hysteroscopic sterilization with Essure device in situ: A Challenge? Gynecol Surg. 2011;8(1): Panel P. Bipolar hysteroscopic procedures and placement of Essure microinserts for tubal sterilization: a case control study. Fertil Steril.95(7): Donnadieu AC. Essure sterilization associated with endometrial ablation. Int J Gynaecol Obstet. 2007;97(2): Levie M. A comparison of novice and experienced physicians performing hysteroscopic sterilization: an analysis of an FDA-mandated trial. Fertil Steril.96(3):643-8 e1. 9. Valle RF. Tissue response to the STOP microcoil transcervical permanent contraceptive device: results from a prehysterectomy study. Fertil Steril. 2001;76(5): Veersema S. Reproducibility of the interpretation of pelvic x-ray 3 months after hysteroscopic sterilization with Essure. Fertil Steril.94(4): Weston G, Bowditch J. Office ultrasound should be the first-line investigation for confirmation of correct ESSURE placement. Aust N Z J Obstet Gynaecol. 2005;45(4): Legendre G. Assessment of threedimensional ultrasound examination classification to check the position of the tubal sterilization microinsert. Fertil Steril.94(7): Levy B, Levie MD, Childers ME. A summary of reported pregnancies after hysteroscopic sterilization. J Minim Invasive Gynecol. 2007;14(3):271-4.
7 14. Connor VF. Essure : a review six years later. J Minim Invasive Gynecol. 2009;16(3): Belotte J. Small bowel obstruction subsequent to Essure microinsert sterilization: a case report. Fertil Steril.96(1):e Levy B. Reported pregnancies after ESSURE hysteroscopic sterilization: a retrospective analysis of pregnancy reports worldwide during commercial distribution: J Minim Invasive Gynecol. 2012;18:SV Jamieson DJ. Complications of interval laparoscopic tubal sterilization: findings from the United States Collaborative Review of Sterilization. Obstet Gynecol. 2000;96(6): Epub 2000/11/ Collinet P. [Risks associated with laparoscopic entry]. J Gynecol Obstet Biol Reprod (Paris). 2010;39(8 Suppl 2):S Epub 2010/12/28. Les risques de la voie d abord en coelioscopie. Article paru dans le Genesis N 179 (juin 2014)
ASPECT ECHOGRAPHIQUE NORMAL DE LA CAVITE UTERINE APRES IVG. Dr D. Tasias Département de gynécologie, d'obstétrique et de stérilité
Hôpitaux Universitaires de Genève ASPECT ECHOGRAPHIQUE NORMAL DE LA CAVITE UTERINE APRES IVG Dr D. Tasias Département de gynécologie, d'obstétrique et de stérilité Introduction (1) L IVG chirurgicale est
Plus en détailUn avantage décisif pour la résection des polypes et des myomes. Système
Un avantage décisif pour la résection des polypes et des myomes Système Nouvelle norme en résection hystéroscopique Truclear apporte une précision, une clarté et une efficacité sans précédents pour réséquer
Plus en détailContraception après 40 ans
Contraception après 40 ans Stratégies de choix des méthodes contraceptives chez la femme. Recommandations pour la pratique clinique Décembre 2004. ANAES/AFSSAPS Un vaste choix contraceptif Contraception
Plus en détailSUTURE D EPISIOTOMIE ET PRISE EN CHARGE DE LA CICATRICE; RECOMMANDATIONS AUX PATIENTES
SUTURE D EPISIOTOMIE ET PRISE EN CHARGE DE LA CICATRICE; RECOMMANDATIONS AUX PATIENTES M. BERLAND Université Claude Bernard Lyon 1 Faculté de Médecine et de Maïeutique Lyon Sud Charles Mérieux 1 METHODES
Plus en détailINTERVENTIONS CHIRURGICALES EN GYNÉCOLOGIE
INTERVENTIONS CHIRURGICALES EN GYNÉCOLOGIE Informations générales pour la convalescence Pour vous, pour la vie Ce feuillet est destiné à mieux vous renseigner sur les points à observer après une opération
Plus en détailACCIDENTS ELECTRIQUES EN CHIRURGIE COELIOSCOPIQUE. Dr JF Gravié FCVD
ACCIDENTS ELECTRIQUES EN CHIRURGIE COELIOSCOPIQUE Dr JF Gravié FCVD CONTEXTE (1) Risques électriques de 0,1 à 0,4% Enquête de pratique * 506 chirurgiens: 18% expérience personnelle, 54% connaissaient un
Plus en détailIncontinence anale du post-partum
Incontinence anale du post-partum Laurent Abramowitz Unité de proctologie médico-chirurgicale de l hôpital Bichat, Paris Et cabinet libéral Prévalence Inc anale France (1) : 11% > 45 ans Damon et al (2):Pop
Plus en détailLA RECHERCHE EN REVUE
LA CONTRACEPTION AU CANADA : DES PREMIÈRES MÉTHODES AUX POSSIBILITÉS FUTURES La disponibilité de méthodes contraceptives sûres et efficaces a toujours été une question importante pour les Canadiens. Cependant,
Plus en détailCette intervention aura donc été décidée par votre chirurgien pour une indication bien précise.
Qu est-ce qu une arthroscopie? Il s agit d une intervention chirurgicale mini-invasive dont le but est d explorer l articulation du genou et de traiter la lésion observée dans le même temps. Comment se
Plus en détailNOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR. JAYDESS 13,5 mg, système de diffusion intra-utérin. Lévonorgestrel
NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR JAYDESS 13,5 mg, système de diffusion intra-utérin Lévonorgestrel Ce médicament fait l objet d une surveillance supplémentaire qui permettra l identification rapide
Plus en détailPrise en charge des déchirures périnéales obstétricales sévères. Courjon M, Ramanah R, Eckman A, Toubin C, Riethmuller D.
Prise en charge des déchirures périnéales obstétricales sévères Courjon M, Ramanah R, Eckman A, Toubin C, Riethmuller D. Introduction Incidence : 0,5 à 3 % Importance de la reconnaissance et d un traitement
Plus en détailDes soins après avortement : Amis des Jeunes. Cartes à conseils 1-6
Des soins après avortement : Amis des Jeunes Cartes à conseils 1-6 SAA: Avant l intervention Accueillir cordialement la cliente et la mettre à l aise Garantir la confidentialité et l intimité Prendre les
Plus en détailLa mienne est. La mienne est. en comprimés
La mienne est dans mon bras La mienne est au cuivre La mienne est en latex La mienne est sans ordonnance La mienne dure 3 ans La mienne n est pas contraignante La mienne est remboursée La mienne est en
Plus en détailQUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE?
QUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE? Vous allez être opéré(e) à la clinique Saint-pierre d une fistule anale par l équipe chirurgicale des docteurs Bardou, Ben brahem
Plus en détailBUREAU CENTRAL DE TARIFICATION - 1 rue Jules Lefebvre 75431 Paris Cedex 09 Statuant en matière d'assurance de responsabilité civile médicale
Statuant en matière d'assurance de responsabilité civile médicale QUESTIONNAIRE PROPOSITION PROFESSIONNELS DE SANTE Document général CONTRAT EN COURS : DATE DE FIN DES GARANTIES :.. NOM DE L'ASSUREUR :..
Plus en détailCOMMISSION NATIONALE D EVALUATION DES DISPOSITIFS MEDICAUX ET DES TECHNOLOGIES DE SANTE. AVIS DE LA COMMISSION 08 février 2011 CONCLUSIONS
COMMISSION NATIONALE D EVALUATION DES DISPOSITIFS MEDICAUX ET DES TECHNOLOGIES DE SANTE AVIS DE LA COMMISSION 08 février 2011 Nom : Modèles et références retenus : Fabricant : Demandeur : Données disponibles
Plus en détailF us u ses c ouc u he h s s po p nt n a t né n es J. L J. an sac CHU H T ou
Fausses couches spontanées J Lansac CHU Tours Définition Avortement : expulsion produit de conception avant 22SA ou enfant
Plus en détailItem 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve
Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Différentes
Plus en détail19 thèmes dans 10 villes
SATISFAIRE À VOS OBLIGATION DE DPC FACILEMENT GRÂCE AU CNGOF DPC réalisés par le CNGOF et financée par l Agrément CNGOF : 11 75 32 07 175 - FMC 100 098 Indemnité de 345 par jour et prise en charge hôtellerie
Plus en détailJFM. 7èmes journées franco-marocaines de. Gynécologie, Obstétrique et Fertilité. Marrakech. 17, 18 et 19 mai 2012. www.lesjfm.com
JFM 2012 7èmes journées franco-marocaines de Gynécologie, Obstétrique et Fertilité Marrakech 17, 18 et 19 mai 2012 Président des 7 èmes jfm : Pr. Léon Boubli (Marseille) Coordination scientifique et organisation
Plus en détailImages en «franc» hypersignal T2 du pelvis féminin Atlas iconographique
Images en «franc» hypersignal du pelvis féminin Atlas iconographique Cavet M, Soyer P, Malzy P, Bendavid S, Merlin A, Martin-Grivaud S, Rymer R RADIOLOGIE VISCERALE ET VASCULAIRE, HOPITAL LARIBOISIERE
Plus en détailSOMMAIRE COMMUNIQUÉ DE PRESSE. p. 3. p. 4 LE CESU. p. 5. Les outils. p. 6. Le centre de simulation. Quelques chiffres
SOMMAIRE COMMUNIQUÉ DE PRESSE p. 3 LE CESU Les outils Le centre de simulation Quelques chiffres Un exemple : la formation à l emploi des infirmiers des services d urgences En annexe p. 4 p. 5 p. 6 p. 6
Plus en détailIschémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète.
Ischémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète. A propos d un cas clinique, sont rappelés: - les caractères cliniques et pronostiques de l IMS chez le diabétique, - la démarche de l identification de
Plus en détailSimulation en santé. Outil de gestion des risques. Avril 2014. Dr MC Moll 1
C E N T R E H O S P I T A L I E R U N I V E R S I T A I R E D ' A N G E R S Simulation en santé Outil de gestion des risques 1 La Simulation : définition 2 Le terme «simulation en santé» correspond à l
Plus en détailROBOT ET CHIRURGIE AORTIQUE:
ROBOT ET CHIRURGIE AORTIQUE: FAISABILITÉ ET PERSPECTIVES FUTURES Fabien THAVEAU, Nabil CHAKFE, Jean-Georges KRETZ Service de Chirurgie Vasculaire, Strasbourg INTRODUCTION CHIRURGIE MINI-INVASIVE: but:
Plus en détailETUDE DE MARCHE : LA CONTRACEPTION
ETUDE DE MARCHE : LA CONTRACEPTION INTRODUCTION Autrefois, l'avortement était prohibé par l'apanage des familles nombreuses et par l'influence de l'église qui classaient la contraception au rang de délit.
Plus en détailPRISE EN CHARGE DES LESIONS SPINCTERIENNES ANALES DU POST-PARTUM : DU CURATIF AU PREVENTIF
PRISE EN CHARGE DES LESIONS SPINCTERIENNES ANALES DU POST-PARTUM : DU CURATIF AU PREVENTIF Laurent ABRAMOWITZ Unité de proctologie médico-chirurgicale Hôpital Bichat Claude Bernard 95, Rue de Passy 75016
Plus en détailLes définitions des saignements ACS/PCI
Les définitions des saignements ACS/PCI Les définitions classiques et leurs limites Les nouvelles définitions Des éléments pour de futures définitions François SCHIELE, CHU de BESANCON Définition «classique»,
Plus en détailQui et quand opérer. au cours du traitement de l EI?
Qui et quand opérer au cours du traitement de l EI? Gilbert Habib Département de Cardiologie - Timone Marseille 7es JNI Bordeaux, 8 juin 2006 Université de la Méditerranée Faculté de Médecine de Marseille
Plus en détailCet article a été remis à EndoFrance par le Pr Madélenat pour une utilisation réservée à l association EndoFrance
Faut-il coelioscoper les adolescentes? Patrick Madélénat Juin 2008 La difficulté de vivre avec une endométriose est admise de toutes celles qui en souffrent. En parallèle la difficulté de son traitement
Plus en détailLettre circulaire aux Gastro-Entérologues
Pôle Santé Prévention Régulation R.P.S. CL/EF Troyes, le 4 décembre 2008. Lettre circulaire aux Gastro-Entérologues PRISE EN CHARGE DE L EXPLORATION INTESTINALE PAR VIDEOCAPSULE INGEREE Docteur, La décision
Plus en détailIl importe de noter que ce guide émet des recommandations conformes aux informations scientifiques disponibles au moment de sa publication, soit au
Il importe de noter que ce guide émet des recommandations conformes aux informations scientifiques disponibles au moment de sa publication, soit au 15 août 2011. Toutefois, ces recommandations n ont aucunement
Plus en détailINFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT
INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT Les étapes du don de rein DONNER UN REIN DE SON VIVANT PEUT concerner CHACUN le don du vivant 3 /////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////
Plus en détailinfo ROACCUTANE Brochure d'information sur la contraception destinée aux patientes traitées par Roaccutane Roaccutane
Roaccutane isotrétinoïne Brochure d'information sur la contraception destinée aux patientes traitées par Roaccutane info ROACCUTANE RM SM MANAGEMENT Programme de prévention de la grossesse SOMMAIRE 3.
Plus en détailAUDIT ISO SUR CESARIENNE CH MACON
AUDIT ISO SUR CESARIENNE CH MACON JOURNEE DU «RESEAU MATER» Jeudi 18 novembre 2010 C. Brunet M.P. Veuillet Sage-femme cadre I.D.E. hygiéniste PRESENTATION DU SERVICE MATERNITE CH MACON niveau 2B PERSONNELS
Plus en détailFormation chirurgicale des internes DES de Gynécologie-Obstétrique
Diplôme InterUniversitaire de Pédagogie Médicale 2010-2011 Formation chirurgicale des internes DES de Gynécologie-Obstétrique Afchine FAZEL, Praticien Hospitalier, Gynécologie et Obstétrique, Hôpital Lariboisière.
Plus en détailMODULE D EXERCICE PROFESSIONNEL NOTION MÉDICO-ÉCONOMIQUE DES DE RADIOLOGIE ET IMAGERIE MÉDICALE. Dr F Lefèvre (1-2), Pr M Claudon (2)
MODULE D EXERCICE PROFESSIONNEL NOTION MÉDICO-ÉCONOMIQUE DES DE RADIOLOGIE ET IMAGERIE MÉDICALE Dr F Lefèvre (1-2), Pr M Claudon (2) 1 - SCP Radiolor 2 - CHU de Nancy MODE D EXERCICE DU PRATICIEN Choix
Plus en détailProlapsus génital et incontinence urinaire chez la femme Professeur Pierre BERNARD Septembre 2002
Prolapsus génital et incontinence urinaire chez la femme Professeur Pierre BERNARD Septembre 2002 Pré-Requis : Connaissance de bases : Anatomie du pelvis Classification des troubles de la statique génitale
Plus en détailExploration et Prise en charge d un couple infertile
Exploration et Prise en charge d un couple infertile Florence LESOURD Pôle d Obstétrique, Gynécologie et Médecine de la Reproduction CHU Paule de Viguier - Toulouse DIU de Médecine de la Reproduction-Gynécologie
Plus en détailUn test Pap pourrait vous sauver la vie
Un test Pap pourrait vous sauver la vie Un test Pap pourrait vous sauver la vie Vous avez 21 ans ou plus et êtes sexuellement active? Passez un test Pap! Si vous saviez qu un test Pap, qui prend 5 minutes,
Plus en détailBiométrie foetale. Comité éditorial pédagogique de l'uvmaf. Date de création du document 01/071011. - Support de Cours (Version PDF) -
Biométrie foetale Comité éditorial pédagogique de l'uvmaf Date de création du document 01/071011 Table des matières I Techniques de biométrie...3 I.1 Mesure de la longueur cranio-caudale...3 I.2 Mesure
Plus en détail_GUIDE À L ATTENTION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ_
_GUIDE À L ATTENTION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ_ INTRODUCTION L accès à la contraception, sans autorisation parentale, est un droit pour les mineur(e)s. Néanmoins, dans la réalité, les jeunes ayant besoin
Plus en détailCompte-rendu de la conférence débat du 26 mai 2005 : LA TELECHIRURGIE
Compte-rendu de la conférence débat du 26 mai 2005 : LA TELECHIRURGIE Intervenants : - Docteur Nicolas Bonnet, chirurgien, service de Chirurgie Thoracique et Cardiovasculaire de l Hôpital de la Pitié-Salpêtrière,
Plus en détailphase de destruction et d'élimination de débris
LE POST PARTUM I ) Définition : c'est une période de 6 semaines allant de l'accouchement jusqu'au retour de couches (= règles). Pendant ce temps il est nécessaire d'effectuer une surveillance médicale
Plus en détailLes cancers de l appareil génital féminin
Recherche Information - prévention - dépistage Actions pour les malades et leurs proches Les cancers de l appareil génital féminin (col et corps de l utérus, ovaires) G R A N D P U B L I C Janvier 2009
Plus en détailProgramme «maladie» - Partie II «Objectifs / Résultats» Objectif n 2 : développer la prévention
Programme «maladie» - Partie II «Objectifs / Résultats» Objectif n 2 : développer la prévention Indicateur n 2-3 : Indicateurs sur le dépistage du cancer 1 er sous-indicateur : taux de participation au
Plus en détailDirective clinique de consensus sur la dysménorrhée primaire
DIRECTIVES CLINIQUES DE LA SOGC N o 169, décembre 2005 Directive clinique de consensus sur la dysménorrhée primaire CO-PRÉSIDENTES Guylaine Lefebvre, MD, FRCSC, Ottawa (Ont.) Odette Pinsonneault, MD, FRCSC,
Plus en détailLa planification familiale pour les femmes et couples après une réparation de la fistule
La planification familiale pour les femmes et couples après une réparation de la fistule Fistula Care à EngenderHealth 440 Ninth Avenue, 13th Floor New York, NY, USA 10001 Tel: 212-561-8000 E-mail: fistulacare@engenderhealth.org
Plus en détailImpact de la gémellité sur le risque d incontinence urinaire du post-partum
Gynécologie Obstétrique & Fertilité 38 (2010) 238 243 Article original Impact de la gémellité sur le risque d incontinence urinaire du post-partum Impact of twin gestation on the risk of postpartum stress
Plus en détailICI VOUS ÊTES QUELQU'UN CENTRE HOSPITALIER DE CORNOUAILLE "VOTRE IDENTITÉ C EST VOTRE SÉCURITÉ"
ICI VOUS ÊTES QUELQU'UN CENTRE HOSPITALIER DE CORNOUAILLE "VOTRE IDENTITÉ C EST VOTRE SÉCURITÉ" ICI VOUS ÊTES ICI VOUS ÊTES VOUS ÊTES UNIQUE UNIQUE < L espérance de vie augmente régulièrement. Cela est
Plus en détailI La conservation des dossiers médicaux répond à un triple intérêt :
mai 2009 DOSSIERS MEDICAUX CONSERVATION ARCHIVAGE Article 45 (article R.4127-45 du code de la santé publique) «, le médecin doit tenir pour chaque patient une fiche d'observation qui lui est personnelle
Plus en détailLa déchirure. Les risques. Troubles périnéaux du post-partum. La déchirure
Troubles périnéaux du post-partum La déchirure T. Linet La déchirure Les risques Entre 2 et 6 % de périnée complet mais TRES sous diagnostiqué car ± rupture du sphincter interne sur périnée semblant intact
Plus en détailLA CHOLÉCYSTECTOMIE PAR LAPAROSCOPIE
LA CHOLÉCYSTECTOMIE PAR LAPAROSCOPIE Une technique chirurgicale Pour vous, pour la vie Qu est-ce que la cholécystectomie? C est l intervention chirurgicale pratiquée pour enlever la vésicule biliaire.
Plus en détailLes petis signes de T21 : comment ça marche et à quoi ça sert? Christophe Vayssière (Toulouse) DIU d echographie 2011
Les petis signes de T21 : comment ça marche et à quoi ça sert? Christophe Vayssière (Toulouse) DIU d echographie 2011 2 types de «petits signes»? Il a 2 types de petits signes de T21 : 1/ les signes suite
Plus en détailArtéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques
Artéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques T Smayra, L Menassa-Moussa, S Slaba, M Ghossain, N Aoun Hôtel-Dieu de France, Université
Plus en détailStreptocoque B :apports des tests en fin de grossesse, nouvelles propositions.
Streptocoque B :apports des tests en fin de grossesse, nouvelles propositions. Exemple d une étude prospective sur la place d un test de détection rapide du SGB. HONORAT Raphaële 1, ASSOULINE Corinne 1,
Plus en détailECHOGRAPHIE EN GYNECOLOGIE ET EN OBSTETRIQUE
ECHOGRAPHIE EN GYNECOLOGIE ET EN OBSTETRIQUE (Diplôme Interuniversitaire National d ) 17/02/2015 avec Bordeaux, Brest, Lille, Lyon, Marseille, Nantes, Paris V et XII, Toulouse et Tours Objectifs : Formation
Plus en détailRéflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Bull. Acad. Natle Chir. Dent., 2007, 50 113 Commission de l exercice professionnel et Groupe de réflexion Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Plus en détailQUALITÉ DE L APPRENTISSAGE DE L INTUBATION ORO-TRACHÉALE EN LABORATOIRE DE SIMULATION, SON INTÉRÊT POUR LES PATIENTS.
QUALITÉ DE L APPRENTISSAGE DE L INTUBATION ORO-TRACHÉALE EN LABORATOIRE DE SIMULATION, SON INTÉRÊT POUR LES PATIENTS. Mémoire de D.E.S.C. de Médecine d Urgence Olivier Vuillot Matériel et Méthode : Design
Plus en détailLE CONTRÔLE DU FACTEUR BACTERIEN 3-POUR LE TRAITEMENT DES PARODONTITES
LE CONTRÔLE DU FACTEUR BACTERIEN 3-POUR LE TRAITEMENT DES PARODONTITES Le Diagnostic : Il repose sur l écoute du patient, l examen clinique, le sondage, la radiographie. L inflammation gingivale peut être
Plus en détailTélé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale :
Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale : Docteur DARY Patrick, Cardiologue, Praticien Hospitalier Centre Hospitalier de St YRIEIX - Haute Vienne 87500 Situé
Plus en détailcompaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte
Influence des paramètres de non compaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte C. Defrance, K. Warin-Fresse, G. Fau, P. Guérin, B. Delasalle, P.D. Crochet La non compaction
Plus en détailRèglement concernant l obtention du «CERTIFICAT SSO DE FORMATION POSTGRADE (CFP SSO) EN IMPLANTOLOGIE ORALE»
Règlement concernant l obtention du «CERTIFICAT SSO DE FORMATION POSTGRADE (CFP SSO) EN IMPLANTOLOGIE ORALE» INDEX: 1. Bases 2. Objectifs de formation postgrade 3. Candidature en vue de l obtention du
Plus en détailCet article a été transmis par le Pr Madélénat à l association EndoFrance pour une utilisation qui lui réservée
PRISE EN CHARGE DE L'ENDOMETRIOSE Patrick Madélénat Hôpital Bichat Juin 2007 L'endométriose est une maladie difficile. Avant tout elle est difficile à vivre pour celles qui en souffrent, mais elle est
Plus en détailTraitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse
Traitements néoadjuvants des cancers du rectum Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse Journées Francophones d Hépato-gastroentérologie et d Oncologie Digestive 2010 CONFLITS D INTÉRÊT Pas de conflit d intérêt
Plus en détailConsignes de remplissage - Grille de recueil - Thème DAN2
Généralisation 2014 d un recueil d indicateurs pour l amélioration de la qualité et de la sécurité des soins dans les établissements de santé de soins de courte durée Consignes de remplissage - Grille
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailEXAMEN CLINIQUE D UN TROUBLE DE LA STATIQUE PELVIENNE
EXAMEN CLINIQUE D UN TROUBLE DE LA STATIQUE PELVIENNE Pr Claude Hocké Pôle Gynécologie- Obstétrique-Reproduction Hôpital Pellegrin CHU Bordeaux 1 INTERROGATOIRE IL RESTE FONDAMENTAL ET PEUT ÊTRE DIVISÉ
Plus en détailLa planification familiale
La planification familiale après l avortement spontané ou provoqué Introduction Les grossesses non désirées sont l une des principales raisons pour lesquelles les femmes choisissent d avorter. Beaucoup
Plus en détailUEMS - OB/GYN SECTION LA FORMATION DU SPECIALISTE EN GYNECOLOGIE OBSTETRIQUE PROPOSITIONS DU GROUPE DE TRAVAIL DE L' EBCOG 1.
UEMS - OB/GYN SECTION Board et Collège Européen de Gynécologie et d' Obstétrique ( EBCOG) LA FORMATION DU SPECIALISTE EN GYNECOLOGIE OBSTETRIQUE PROPOSITIONS DU GROUPE DE TRAVAIL DE L' EBCOG 1. ADOPTEES
Plus en détailBrochure d information
Centre de stérilité masculine et Centre d Études et de Conservation des Œufs et du Sperme humain CECOS Midi-Pyrénées Hôpital Paule de Viguier 330 avenue de Grande-Bretagne CHU de Toulouse 2005 Brochure
Plus en détailLES STANDARDS DES METHODES DE PLANIFICATION FAMILIALE AU MAROC
ROYAUME DU MAROC MINISTERE DE LA SANTE DIRECTION DE LA POPULATION DIVISION DE LA PLANIFICATION FAMILIALE Programme National de Planification Familiale LES STANDARDS DES METHODES DE PLANIFICATION FAMILIALE
Plus en détailFaut-il encore modifier nos pratiques en 2013?
Anti-agrégants, anticoagulants et Endoscopie digestive Faut-il encore modifier nos pratiques en 2013? Christian Boustière, Marseille ANGIOPAS Essai de phase II randomisé multicentrique évaluant l efficacité
Plus en détailCOMPLICATIONS THROMBOTIQUES DES SYNDROMES MYÉLOPROLIFÉRATIFS: ÉVALUATION ET GESTION DU RISQUE
COMPLICATIONS THROMBOTIQUES DES SYNDROMES MYÉLOPROLIFÉRATIFS: ÉVALUATION ET GESTION DU RISQUE D APRES «THROMBOTIC COMPLICATIONS OF MYELOPROLIFERATIVE NEOPLASMS : RISK ASSESSMENT AND RISK-GUIDED MANAGEMENT
Plus en détailLe droit à l image???
Le droit à l image??? Dans ma propre philosophie, je peux parler de DROIT sans évoquer les DEVOIRS.. Vous me permettrez donc de vous en entretenir de prime abord avec cependant les nuances suivantes: Le
Plus en détailLA SIMULATION: INTERETS EN FORMATIION MEDICALE CONTINUE. C Assouline
LA SIMULATION: INTERETS EN FORMATIION MEDICALE CONTINUE C Assouline Principes «Human error is the price we pay for intelligence» 3 buts principaux de la simulation : détecter les erreurs éviter les erreurs
Plus en détailNotions de base Gestion du patient au bloc opératoire
Notions de base Gestion du patient au bloc opératoire Vieillissement de la population Augmentation du nombre de patients porteurs de stimulateurs cardiaques et défibrillateurs implantables Augmentation
Plus en détailService évaluation des actes professionnels
TRAITEMENT DES AGÉNÉSIES DENTAIRES MULTIPLES LIÉES AUX DYSPLASIES ECTODERMIQUES OU À D'AUTRES MALADIES RARES, CHEZ L ENFANT ATTEINT D OLIGODONTIE, AVEC POSE DE 2 IMPLANTS (VOIRE 4 MAXIMUM) UNIQUEMENT DANS
Plus en détailLa recherche clinique au cœur du progrès thérapeutique
2 èmes Assises de l Innovation Thérapeutique Paris, 05-11-2014 La recherche clinique au cœur du progrès thérapeutique Pr. Jean-François DHAINAUT Président du Groupement Inter-régional de la Recherche Clinique
Plus en détailPharmacovigilance des Essais cliniques
Pharmacovigilance des Essais cliniques Edouard LECHAPTOIS DIU FIEC 22 janvier 2013 1 Introduction S o m m a i r e Eléments de réglementation Définitions Responsabilité des investigateurs / promoteurs Organisation
Plus en détailPROJET DE TÉLÉMEDECINE
PROJET DE TÉLÉMEDECINE ISIFC 2 ème année Année universitaire 2011-2012 LA TÉLÉSURVEILLANCE Louis ACHA Rafaël MINACORI ISIFC Génie biomédical 23,rue Alain SAVARY 25000 Besançon Cedex Tél : 03 81 66 66 90
Plus en détailLa mienne est. en comprimés
La mienne est dans mon bras La mienne est au cuivre La mienne est en latex La mienne est La mienne sans ordonnance dure 3 ans La mienne n est La mienne est pas contraignante hebdomadaire La mienne est
Plus en détailOptimiser. la hauteur. d une table de travail REPÈRES POUR OPTIMISER LA HAUTEUR DE LA TABLE PREMIER REPÈRE LE TYPE DE TÂCHE
E R G O N O M I E Association paritaire pour la santé et la sécurité du travail du secteur de la fabrication de produits en métal, de la fabrication de produits électriques et des industries de l habillement
Plus en détaille bilan urodynamique Dr René Yiou, CHU Henri Mondor
le bilan urodynamique Dr René Yiou, CHU Henri Mondor Bilan urodynamique Continence et miction = résultat d'un rapport de forces vessie/urètre: 1. Pression vésicale de remplissage (compliance): doit rester
Plus en détailAméliorer la Performance des Fournisseurs
Les Solutions SQA de Solumina L Assurance Qualité Fournisseur Figure 1 Influence sur les affaires de nos clients actuels. Réduire des Stocks lors des Inspections Le Système de Contrôle Qualité Fournisseurs
Plus en détailCENTRE D UROLOGIE PRADO-LOUVAIN. Prolapsus génital
CENTRE D UROLOGIE PRADO-LOUVAIN Prolapsus génital Qu est-ce que c est? Le prolapsus génital est une affection féminine. Il se définit par une saillie des organes pelviens (vessie, utérus, rectum) à travers
Plus en détailLecture critique d article ou comment briller en société sans en avoir trop l air
Lecture critique d article ou comment briller en société sans en avoir trop l air Réunion Inter-Corevih Basse Normandie - Bretagne Mont Saint-Michel Février 2014 Jean-Marc Chapplain Plan Actualité Dissection
Plus en détailL endométriose. souvent méconnue. Brochure d information destinée aux femmes atteintes et aux personnes
L endométriose une maladie gynécologique évolutive, souvent méconnue Brochure d information destinée aux femmes atteintes et aux personnes intéressées Groupe d experts de l endométriose de la Société d
Plus en détailTraitement chirurgical du reflux gastro-œsophagien et de la hernie hiatale
Relecture scientifique Société française Relecture juridique Médecins experts Relecture déontologique Médecins Conseil national de l ordre des médecins (CNOM) Relecture des patients Confédération interassociative
Plus en détailBUREAU CENTRAL DE TARIFICATION - 1 rue Jules Lefebvre 75431 Paris Cedex 09 Statuant en matière d'assurance de responsabilité civile médicale
Statuant en matière d'assurance de responsabilité civile médicale QUESTIONNAIRE PROPOSITION PROFESSIONNELS DE SANTE Document général CONTRAT EN COURS : DATE DE FIN DES GARANTIES :.. NOM DE L'ASSUREUR :..
Plus en détailTransplantation pulmonaire et mucoviscidose. Optimiser la prise en charge médicale
Transplantation pulmonaire et mucoviscidose Optimiser la prise en charge médicale Dr Isabelle Danner-Boucher CRCM adulte de Nantes Unité de Transplantation Thoracique 11èmes Journées Scientifiques de la
Plus en détailB06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs
B06-1 B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs L ischémie aiguë est une interruption brutale du flux artériel au niveau d un membre entraînant une ischémie tissulaire. Elle constitue
Plus en détailVOTRE COMPLEMENTAIRE SANTE
Version octobre 2012 VOTRE COMPLEMENTAIRE SANTE ASSISTANTES MATERNELLES & SALARIES DE PARTICULIERS EMPLOYEURS Une équipe de conseillers est à votre service du lundi au vendredi de 9h00 à 12h30 et de 13h30
Plus en détaildossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s
dossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours lat ransplantation hépatique p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s Contact presse Anne-Karen Nancey - Direction de la communication
Plus en détailPLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris
PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases
Plus en détailPACK SANTE TOUS PAYS 3 NIVEAUX DE GARANTIES AU CHOIX
PACK SANTE TOUS PAYS 3 NIVEAUX DE GARANTIES AU CHOIX Une garantie de paiement (entente préalable) peut être requise pour certaines prestations comme indiqué par un «1» ou un «2» dans le tableau ci-dessous.
Plus en détailDr FOUGERAIS Guillaume, formateur Génération Implant, Nantes.
La photographie intra buccale : méthode de réalisation. Dr FOUGERAIS Guillaume, formateur Génération Implant, Nantes. La photographie numérique est un formidable outil de communication pour nos patients
Plus en détail