Un succès retentissant
|
|
- Danielle Labbé
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 AfPIF 2014 Le Forum Africain d Echange et d Interconnexion de Trafic Internet Hôtel Pullman Dakar Teranga août 2014 Un succès retentissant PLATINUM SPONSOR GOLD SPONSOR SILVER SPONSOR CONNECTIVITY SPONSOR
2 2
3 175 Participants 62 Pays Au cours des cinq dernières années, le Forum Africain sur le peering et l interconnexion (AfPIF) a encouragé l interconnexion et le partage de contenu entre les pays africains. Le nombre de points d échange a augmenté et plusieurs opérateurs échangent du contenu au niveau local et régional. Cette année, le Sénégal a accueilli 190 participants, venant de 62 pays, de cinq continents, et 1,032 visiteurs uniques ont suivi l évènement en ligne. Les discussions de trois jours étaient consacrées à l avenir du peering et comment continuer à réduire les coûts de transit, la dynamique de l interconnexion régionale et les questions de contenu, et les possibilités d interconnexion transfrontalières. Les participants provenaient des fournisseurs d infrastructures, des fournisseurs de services Internet (ISP), des points d échange Internet (IXP), des institutions financières internationales, des décideurs politiques et des régulateurs. 5 Continents 1,032 visiteurs uniques qui ont suivis en ligne Pour garder les discussions dynamiques et intéressantes, cette année, le format de la réunion a été révisé pour encourager des réunions parallèles et des discussions sur les moyens d accroître le peering, étant donné que la plupart des accords de peering sont faites de manière informelle («hand shakes») lors des événements de peering tels que l AfPIF. La réunion de cette année comprenait un «jour zéro», qui était un jour assisté par les opérateurs africains d IXP. La première journée était pour les coordonnateurs de peering, et la deuxième et la troisième journée étaient consacrées aux discussions générales pour tous. 3
4 270 utilisateurs enregistrés et 58 réunions programmées Présentations de 8 à 10 minutes Jeux de simulation d appairage en Français Plus de 100 copies du manuel sur l appairage remis aux participants Principales caractéristiques de cette année: 1. Réunions bilatérales. Des réunions bilatérales ont été rendue possibles grâce à l outil meeting-maker (avec la permission de DE- CIX) qui a permis aux participants d indiquer les réunions auxquelles ils aimeraient avoir avec les autres participants. Une salle de réunion a été mise à leur disposition. Au total, il y avait 270 utilisateurs enregistrés et 58 réunions ont été organisées. Ces réunions ont eu lieu le 27 Août, dans le cadre des sessions; les participants ont été encouragés à penser comme si c étaient des «speed dating». 2. Présentations éclairs. Les présentations éclairs ont permis aux participants qui n ont pas la possibilité de présenter lors de la session ordinaire de faire des exposés de 8 à 10 minutes pour partager des sujets. Cela a permis aux participants de tirer le maximum des sessions et des participants. 3. Jeu de Simulation de Peering. Au cours du jeu de simulation de peering de l AfPIF 2013 des joueurs francophones et anglophones ont mis en évidence une barrière de langue sous-jacente. Cette expérience a déclenché un intérêt pour les organisateurs de procéder au jeu de simulation de peering de cette année entièrement en français. Comme l événement a lieu dans une région francophone de l Afrique, le résultat a été extraordinaire. En outre, une nouvelle tournure a été ajoutée au jeu, où les participants devaient porter un casque (écouteur) jouant de la musique pour les distraire d entendre les décisions stratégiques de leurs concurrents pour les mesures qu ils ont prises. 4. Lancement du livre «Manuel du Peering». L Internet Society a soutenu la traduction en français par Mme Irina Trentea de Lyon-IX du livre intitulé Internet Peering Play book de William B. Norton. Plus de 100 exemplaires du «Manuel du peering» ont été signés et remis aux participants dont les deux premiers exemplaires remis à Malick Ndiaye le secrétaire permanent du ministère des Postes et Télécommunications du Sénégal et Abdul Karim Sall, le directeur général de l ARTP- l Autorité de régulation des Postes et des Télécommunications au Sénégal. 4
5 Plus de 30 probes atlas distribués 50 participants femmes comparés à 16, l an dernier 5. Distribution des Sondes de l Atlas. Suite à un panneau de mesures Internet informatif, les deux ambassadeurs des sondes de l Atlas présents étaient prêts pour distribuer de nouvelles sondes à ceux qui ont été en mesure de les placer en ligne. Plus de 30 sondes de l Atlas ont été distribués 6. Participation des femmes. Les femmes ont battu le record à l AfPIF Il y avait 50 participantes, contre 16 l année dernière. L une des femmes est devenue l une des premiers représentants du Zimbabwe à participer à un AfPIF. Le point saillant de la réunion était la volonté exprimée par les fournisseurs de réseaux mondiaux et de réseaux de diffusion de contenu à investir dans le continent, même si le niveau de contenu est encore loin d atteindre les niveaux mondiaux. Le point saillant de la réunion était la volonté exprimée par les fournisseurs de réseaux mondiaux et de réseaux de diffusion de contenu à investir dans le continent, même si le niveau de contenu est encore loin d atteindre les niveaux mondiaux. Cette année, Akamai, CloudFlare, Jaguar Networks, et Interxion ont partagé leurs expériences sur la façon de développer du contenu et des réseaux dans la région et ont exprimé leur intérêt dans la mise en place d infrastructures et de partager plus de contenu en Afrique. Google a soutenu AfPIF pendant cinq ans et a mis en place son Global Cache dans plusieurs pays. Auparavant, la question a été: «Comment pouvons-nous attirer l attention des CDN mondiaux et des fournisseurs de réseau» Mais cette année, les fournisseurs de réseaux et les CDN ont déclaré: «Nous sommes maintenant prêts!» 5
6 Questions majeures abordées : 1. L avenir de l Afrique Peering A partir de 2010, Bill Norton a conduit le «jeu de simulation de peering» qui permet aux participants de prendre les mêmes considérations qu ils font pour les décisions de peering dans la vie réelle. Cette année, il a dirigé le jeu avec Irina Trentea de Lyon IX, qui a aidé à traduire le livre de jeux de peering en français. Cette année, le jeu semblait plus facile, par rapport aux années précédentes, parce que beaucoup plus de participants ont acquis de l expérience en ce qui concerne la dynamique du peering. D après les discussions, il était clair que l avenir de l Afrique Peering s annonce prometteur. 2. Obtenir le Google Global Cache Pour de nombreux participants, l obtention de Google Cache est un défi, mais nécessaire à la croissance dans la région; car les services de Google sont largement utilisés dans la région et là où le cache est mis en place, il y a eu des avantages importants aux opérateurs de réseau et aux utilisateurs finaux. En conséquence, Google peut ainsi représenter un deuxième niveau d attraction pour d autres fournisseurs de réseau global et CDN - la première étant l existence d un IXP. Si il y a un cache partagé par l IXP, les discussions avec d autres entreprises mondiales sont susceptibles d être plus facile. Les détails des exigences relatives à l installation des infrastructures Google dans tous les pays ont été discutés au cours de la table ronde sur le contenu. Leurs conditions sont similaires à d autres CDN, de sorte que si vous les respectez, vous vous conformez très probablement aux conditions fixées par d autres CDN. 6
7 3. Interconnexion transfrontalière La question de l interconnexion transfrontalière a toujours été présente lors des cinq réunions AfPIF; les pays sont encore entrain d explorer les façons de modifier ou de mettre en place des lois qui encouragent l interconnexion transfrontalière et à une plus grande mesure favoriser la croissance des activités liées à l Internet. Les organisations mondiales présentes à AfPIF-2014 ont suggérés que l environnement réglementaire et politique doit être plus propice afin de créer un écosystème d affaires Internet dynamique, Il a été suggéré que les régulateurs devraient changer leur nom pour «agences de développement d affaires» et leurs activités d affaires fondamentales serait de permettre un environnement qui attire les investissements locaux et étrangers dans le pays. 4. Rôle de contenus locaux et de l hébergement La question de l hébergement de contenu et la croissance du contenu local a été une caractéristique constante de l événement AfPIF. La plupart du contenu accessible dans la région est hébergé à l étranger. Les présentateurs et les débats ont fait apparaître le développement d une industrie locale d hébergement comme un catalyseur majeur pour attirer les acteurs mondiaux dans la région. Ceci est aussi une façon de rendre la connectivité plus abordable et le peering plus attrayant pour les acteurs du marché. 7
8 Résumé quotidien des exposés 175 participants ont pris part à la journée des coordinateurs de l appairage Première journée : Faits saillants Les opérateurs africains approfondissent les discussions sur l interconnexion 1,032 visiteurs uniques ont participés à distance Au cours des cinq dernières années, les fournisseurs de services Internet, les fournisseurs de contenu et les fournisseurs de réseau se sont réunis pour discuter des moyens de mieux interconnecter le continent par des moyens plus durables et efficaces. La première journée est consacrée aux personnes techniques qui gèrent les réseaux et pouvant bénéficier de plus de connaissances techniques sur la façon d optimiser leurs réseaux, et de maximiser la valeur qu ils peuvent tirer de l interconnexion à un point d échange Internet. Cette année, environ 175 participants ont assisté à la «Journée Coordonnateurs de Peering», tandis que 1,032 visiteurs uniques ont participé en ligne. La journée commence par une invitation des participants à transmettre leurs informations des numéros de système autonome (AS) aux organisateurs. Les numéros AS sont essentiels dans le processus d «introductions peering» qui précède les négociations informelles de peering qui ont lieu au cours de la réunion de trois jours. À la fin de chaque journée, les participants prennent la parole et se présentent par leur numéro AS, les endroits où ils font du peering, leurs politiques de peering et qui ils aimeraient rencontrer au cours de la réunion. Un bref aperçu de la réunion AfPIF et à quoi s attendre a également été fourni. Après les présentations, la première session est «Le jeu de simulation de peering «, qui donne le ton pour la journée en introduisant les termes clés utilisés dans le processus de peering et quelques-uns des facteurs à considérer au moment de décider avec qui faire le peering. Le jeu permet aux participants de prendre des décisions tel qu ils le feraient dans des situations de la vie réelle; il ya de l argent impliqué et des «réseaux» qui ne prennent pas de décisions de peering sages 8
9 pourraient faire faillite rapidement. Le jeu de simulation de peering était, pour la première fois, réalisé entièrement en français. Pour les anciens et nouveaux participants, le jeu a fourni un contexte et des indicateurs sur ce qu il faut rechercher ou demander lors des négociations de peering qui ont lieu lors de la réunion. En tant qu opérateur ISP, l une des questions clés que les réseaux posent est; «Pourquoi devrais-je faire du peering avec vous?» Jeremy Fleury, de CloudFlare a conduit les participants à travers le processus d utilisation des outils disponibles pour mieux comprendre la composition du trafic d un réseau. La compréhension de la composition du trafic de réseau est utile pour répondre à certaines de ces questions fondamentales. Grâce à Netflow et S-Flow, l ISP peut améliorer son ingénierie de trafic, recueillir et partager des informations sur la quantité de données échangées avec d autres réseaux, et informer sur la nécessité de peering. Ces outils peuvent également être utilisés pour fournir des données aux opérateurs de réseaux du type d attaques de déni de service distribué (DDoS), les menaces de sécurité et les mesures mises en place pour contrecarrer ces attaques. Il y avait des présentations du Bangladesh qui ont démontré comment le modèle d affaires de peering et de transit peut diriger la stratégie technique d un ISP vers un grand succès. En outre, les participants ont également eu l occasion d écouter des approches novatrices de l Ouganda et du Rwanda pour la construction d infrastructures de fibre terrestre. Au fil des années, les opérateurs d IXP qui réussissent ont attribué l augmentation des pairs à la présence de Google Global Cache. Mike Blanche, de Google a conduit les participants à travers le processus de négociations de peering durant un forum de peering tels que l AfPIF. Les facteurs clés de succès sont les suivants: 1. Faire de la recherche et de l analyse de votre réseau 2. Inscrivez-vous à l outil meeting-maker, qui facilite les rencontres avec les différents participants de l AfPIF 3. Rencontrer des pairs potentiels 4. Échanger des idées et convenir de mettre en place du peering 5. Mettre en place du peering et configurer le matériel 9
10 Deuxième journée : Faits saillants Aborder la génération de contenu, l hébergement et les politiques Après huit ans d investissement massif dans les infrastructures de télécommunications, les opérateurs africains sont prêts à passer à la prochaine étape de génération et d hébergement de contenu local. La deuxième journée à AfPIF a été consacrée à des discussions sur le contenu; les moyens dont l Afrique peut développer ses activités d hébergement de contenu, les interconnexions transfrontalières, les défis réglementaires et les bonnes pratiques des autres régions comme l Union européenne, où l interconnexions transfrontalière et les activités d hébergement sont transparente. La journée a commencé avec le discours d ouverture de Sofie Maddens, directrice principal des services mondiaux à l Internet Society. Dans son discours, Maddens a souligné le rôle de l Internet Society, qui fonctionne à l intersection de la politique, de la technologie et du développement. Elle a noté que, depuis plus de 20 ans, les équipes internationales, en collaboration avec des partenaires du monde entier, ont été centrées sur l engagement avec les communautés de pratique, le partage d expertise et de connaissance technique, et l échange d informations pour l extension d un Internet ouvert, interopérable, omniprésente et accessible pour les personnes à travers le monde. Tout en soulignant le rôle d un Internet fiable et durable dans le développement économique, Maddens a noté que le développement de l Internet concerne fondamentalement les personnes et l Internet Society travaille pour la communauté, avec la communauté et dans la communauté. Elle a mis en relief le programme d interconnexion et d échange de trafic de l Internet Society, qui a travaillé avec de nombreux partenaires pour changer le paysage d interconnexion et d échange de trafic en Afrique et dans d autres pays. Et elle a mentionné que l Internet Society met en œuvre le projet «African Internet Exchange System (AXIS)» de 10
11 l Union africaine avec les ateliers de meilleurs pratique qui ont déjà eu lieu dans 29 pays à travers l Afrique, et des ateliers techniques dans près de 30 pays. Cinq ateliers sur les Transporteurs Internet régionaux et les IXP régionaux ont été organisés en 2014 et a finalisé l achèvement de la deuxième phase du projet AXIS. Maddens a mis en évidence le fait que les investissements dans les infrastructures ont entraîné une croissance de contenu important dans la région, mais que la livraison de ce contenu sont entravées par le manque d interconnexion et par le manque d installations d hébergement locales. De la production de contenu Nollywood au Nigeria, à la production de contenu en ligne et des services e-gouvernementaux, Maddens a noté que l Afrique est entrain de produire son propre contenu et d améliorer la pertinence pour ses utilisateurs. Étaient présent à la cérémonie d ouverture Abdul Karim Sall, le directeur général de l ARTP- autorité de régulation de la poste et des télécommunications au Sénégal et Malick Ndiaye le secrétaire permanent du ministère des postes et des télécommunications au Sénégal. Dans son discours, Sall a noté que le régulateur avait fait des progrès en vue d assurer que tous les grands acteurs du secteur des TIC sénégalais sont prêts à travailler ensemble pour offrir le premier IXP dans le pays. Il a noté que le Sénégal est commis à l innovation et au développement d applications qui augmentent le niveau de contenu et ajoutent de la valeur, rendant le pays plus attrayant pour les investisseurs. Ndiaye, qui est un membre fondateur de l ISOC Sénégal en 1999, a déclaré que le pays a bénéficié du projet AXIS; qui a aidé les parties prenantes à développer une politique d IXP et ils sont maintenant sur le point de lancer la phase opérationnelle En stimulant la croissance de l infrastructure Internet, le gouvernement va renforcer ses partenariats public-privé, en commençant par le développement d une ville numérique, à quelques kilomètres de Dakar, a déclaré Ndiaye. Mathieu Paonessa de Jaguar Networks a prononcé son discours sur l avenir d hébergement de contenu en Afrique, en abordant les problèmes d hébergement. Il a passé en revue certains sites - sites nouvelles, blogs, vidéo et musique - qui ont du contenu accessible en Afrique, mais qui sont hébergés à l étranger. 11
12 Il a noté que le développement de l infrastructure a conduit à une baisse des coûts de connectivité, mais les défis réglementaires entravent encore la connectivité transfrontalière. Il a donné l exemple de Kinshasa et de Brazzaville, les capitaux les plus proches dans le monde, séparées par une rivière, mais ils ont été incapables de trouver des moyens d échanger efficacement du contenu et de partager des infrastructures. Il a comparé le cas avec l Europe, où un opérateur a juste besoin d une licence et peut exercer ses activités sur plusieurs pays sans la création d entreprises locales comme c est exigé dans de nombreux pays africains. Ce qui ressort du discours, c est que si l Afrique veut développer son activité d hébergement, la politique et les questions de réglementation doivent être adressées à la même vitesse que les investissements en infrastructures. La discussion de l après-midi portait sur des questions de politiques de contenu et la façon d obtenir plus de pairs à l IXP, qui finira par rendre l IXP plus attrayant. Le point culminant de la discussion était la présentation par Thomas Volmer, de Google Global Cache, qui a parlé de facteurs que Google considère avant la mise en place des infrastructures dans un pays. De l analyse ressort que le Global Cache est l infrastructure d entrée que Google déploie dans des lieux qui répondent à ses exigences. Quelques questions que Google pourrait vous poser avant de déployer un cache? 1. Est-cet-que votre pays a un IXP qui fonctionne? 2. Pouvez-vous leur offrir l espace rack 6U? 3. Avez-vous l Internet BW à la GGC? 4. Avez-vous un réseau de parrainage ou d un accord de partage des coûts entre les membres des IXP? La dernière session de la journée était consacrée aux peering bilatéraux des rencontres organisés individuellement ou à travers l outil meetingmarker de l AfPIF. 12
13 Troisième journée : Faits saillants L avenir de l Afrique est brillant! L avenir du Peering en Afrique est prometteur. Ce fut le sentiment retentissant des 175 participants qui ont exploré des moyens de mieux interconnecter et échanger du contenu. La troisième journée a été consacrée à l avenir du peering en Afrique, les intervenants explorant l histoire du peering et se demandant si nous pouvons prédire l avenir, Des discussions se sont tenues sur la possibilité d agrandir le peering national et transfrontalier et la mesure du trafic Internet qui peuvent aider à rendre l IXP plus attrayant. Bill Norton, communément appelé Dr Peering a prononcé le discours d ouverture sur l avenir des accords de peering. Il a retracé l histoire du peering de l époque où le gouvernement était impliqué dans les investissements d infrastructure Internet jusqu à la transition vers la participation du secteur privé. Il a également souligné le rôle crucial que du contenu tel que la vidéo, et que l augmentation de contenu apporte plus d acteurs à l IXP. Pour encourager la croissance, le Dr Peering a dit que l opérateur IXP doit connaître tous les pairs et les réunir pour échanger plus facilement du contenu. Dr peering est l auteur de Peering Playbook et a été traduit en français par Irina Trentea de LyonIX avec le soutien de l Internet Society. Le livre aborde la question de la barrière de langue, qui a été identifié dans le passé comme un obstacle pour les accords de peering. Le livre était disponible uniquement en anglais, et présente un problème pratique que les opérateurs francophones d IXP peuvent faire face, lors de la communication avec un opérateur IXP anglophone. La discussion de la journée a abordé certaines des stratégies que l Afrique peut adopter pour garantir une croissance. Tout d abord, il a été souligné que l absence d infrastructure ne devrait pas empêcher un pays d investir dans un IXP. Wouter Van Hultenfrom Interxion a donné un exemple relatant qu ils étaient sur un côté de la ville qui n a pas de connectivité par fibre optique quand la société a commencé 13
14 en Le seul fournisseur de fibres les a encouragés d abandonner, mais ils ont continué. Aujourd hui, cette partie de l entreprise dispose de plusieurs centres de données exploités par des sociétés différentes. Alors que les panélistes ont discuté des moyens dont un IXP peut réduire les coûts en attirant des CDN et d autres grands acteurs, le rôle du régulateur comme un catalyseur de la croissance de l entreprise a été discuté et il a été suggéré que le nom devrait changer de régulateur vers «Agences de développement des entreprises» («Business Development Agency «) afin de stimuler la croissance des entreprises sur Internet dans leurs pays respectifs. La première table ronde de l après-midi était sur les outils de mesure qu un IXP peut mettre en place pour recueillir de bonnes données et aider les membres à prendre des décisions en matière de sécurité, à comprendre les façons d apporter du contenu beaucoup plus près que possible des personnes. Le point culminant était les sondes RIPE-ATLAS! Elles ont été distribuées aux participants qui étaient sûrs qu ils les mettront disponibles en ligne. Ceci est un projet conjoint d AfriNIC et de l Internet Society et est calculé pour fournir autant de données que possible pour mesurer la connectivité Internet et l accessibilité en temps réel. L une des nouvelles fonctionnalités de cette année est la session éclair; où les participants qui n ont pas eu la chance de faire une présentation peuvent faire un exposé de dix minutes sur leur projet. Des entretiens ont eu lieu durant la session sur la boîte à outils IXP qui cherche à élargir les activités des IXP à des marchés plus émergents. Cette session a aussi inclus des webinaires IPv6, du partage d expériences sur la création d un IXP au Burundi et le processus et les leçons appris d un IXP Kenyan durant son processus de migration. La principale leçon était du Burundi IX. La communauté au Burundi a passé 18 mois pour mettre en place un IXP. La plupart du temps a été consacré aux tracasseries administratives. La configuration technique a pris une semaine seulement. 14
15 La cérémonie de clôture a été la dernière session de la journée, avec des remarques de Dawit Bekele et Malick Ndiaye. Ils étaient reconnaissants envers les participants qui ont pris part à la réunion, même si le monde craignait le Voyage vers l Afrique de l Ouest en raison de craintes de l épidémie d Ebola. Cette année, la réunion a attiré 190 participants, vues uniques de 62 pays et 13 sponsors. AfPIF 2015 continuera de miser sur l excellent événement de un grand qui ont rendu possible cet événement! 15
16 Internet Society Galerie Jean-Malbuisson, 15 CH-1204 Geneva Switzerland Tel: Fax: Wiehle Ave. Suite 201 Reston, VA USA Tel: Fax: AfPIF 2014 SPONSORS PLATINUM SPONSOR GOLD SPONSOR SILVER SPONSOR CONNECTIVITY SPONSOR
Conférence régionale du Forum d Action pour la gouvernance Locale en Afrique Francophone
Conférence régionale du Forum d Action pour la gouvernance Locale en Afrique Francophone Hôtel Teranga, Saly, Sénégal, du 18-19 Octobre 2011 Note de cadrage Contexte et justification L importance que revêt
Plus en détailTABLE RONDE DES MINISTRES AFRICAINS CHARGÉS DES TIC EN PRÉLUDE À LA 42 ÈME RÉUNION DE L ICANN. Hôtel Méridien Dakar, SENEGAL.
COMMISSION DE L UNION AFRICAINE REPUBLIQUE DU SENEGAL ---------------- MINISTERE DE LA COMMUNICATION, DES TELECOMMUNICATIONS ET DES TECHNOLOGIES DE L INFORMATION ET DE LA COMMUNICATION TABLE RONDE DES
Plus en détailLes synergies à développer dans les TIC Infrastructures régionales de communications
Les synergies à développer dans les TIC Infrastructures régionales de communications Par Karim ATTOUMANI MOHAMED, @attoukarim, attoukarim[at]gmail.com 25 Octobre 2014 à Moroni - Union des Comores Quelques
Plus en détailLES DEFIS DU DEVELOPPEMENT DU MARCHE DES SERVICES MOBILES A VALEUR AJOUTEE EN AFRIQUE. Par Dr.-Ing. Pierre-François KAMANOU
Paris le 01 Novembre 2007 LES DEFIS DU DEVELOPPEMENT DU MARCHE DES SERVICES MOBILES A VALEUR AJOUTEE EN AFRIQUE Par Dr.-Ing. Pierre-François KAMANOU 1 Introduction Dans le cadre de leur politique de réformes
Plus en détailCentre d etudes. strategiques de l Afrique. E t a b l i r d e s p a r t e n a r i a t s p o u r l a v e n i r d e l A f r i q u e
Centre d etudes strategiques de l Afrique E t a b l i r d e s p a r t e n a r i a t s p o u r l a v e n i r d e l A f r i q u e Séminaire pour hauts responsables - Lisbonne, Portugal Le premier événement
Plus en détailServices Financiers Mobiles Supervision et Surveillance des Services Financiers Mobiles
Mobile Financial Services Working Group (MFSWG) Services Financiers Mobiles Supervision et Surveillance des Services Financiers Mobiles Cette Note Directrice a été élaborée par le Groupe de Travail sur
Plus en détailla confiance dans l économie de l information
C o n f é r e n c e d e s N at i o n s U n i e s s u r l e c o m m e r c e e t l e d é v e l o p p e m e n t SERVICES fournis La Division de la technologie et de la logistique de la CNUCED propose les
Plus en détailCONSEIL DE COORDIN AT I O N DU PROGRAM M E DE L ONUSID A
CONSEIL DE COORDIN AT I O N DU PROGRAM M E DE L ONUSID A ONUSIDA/CCP (36)/15.12 Date de publication : 24 juin 2015 TRENTE-SIXIÈME RÉUNION Date : 30 juin - 2 juillet 2015 Lieu : Salle du conseil exécutif,
Plus en détailLe cadre juridique de la fibre optique au Sénégal? Baye Samba DIOP Chef service affaires juridiques ARTP Sénégal baye.diop@artp.sn
Le cadre juridique de la fibre optique au Sénégal? Baye Samba DIOP Chef service affaires juridiques ARTP Sénégal baye.diop@artp.sn PLAN EN TROIS QUESTIONS OU? QUOI? COMMENT? Ou? Le Sénégal se situe à l
Plus en détailRapport final IGF-AC, edition 2013, Kinshasa
Rapport final IGF-AC, edition 2013, Kinshasa L an 2013, le 28 et 29 août, s est tenue dans la salle du Campus Numérique Francophone de Kinshasa, le Forum sur la Gouvernance de l Internet en Afrique Centrale,
Plus en détailLe téléphone public, cent ans d usages et de techniques de Fanny CARMAGNAT
NOTE DE LECTURE Le téléphone public, cent ans d usages et de techniques de Fanny CARMAGNAT par André TURCOTTE «Pourquoi s intéresser au téléphone public?» En posant cette question dès le début de son livre,
Plus en détailQualité du service et VoiP:
Séminaire régional sur les coûts et tarifs pour les pays membres du Groupe AF Bamako (Mali), 7-9 avril 2003 1 Qualité du service et VoiP: Aperçu général et problèmes duvoip Mark Scanlan Aperçu général
Plus en détailBureau de développement des télécommunications (BDT)
Bureau de développement des télécommunications (BDT) Réf.: BDT/POL/HCB/DM/026 Genève, le 08 avril 2011 Contact: Diadié Touré, Conseiller Principal, UIT Dakar, Sénégal Téléphone: +221 33 822 80 18/20 Administrations
Plus en détailRapport 2012 de l Observatoire de la téléphonie mobile en Afrique subsaharienne. Résumé
Rapport 2012 de l Observatoire de la téléphonie mobile en Afrique subsaharienne Résumé 1 Rapport 2012 de l Observatoire de la téléphonie mobile en Afrique subsaharienne Au cours de la dernière décennie,
Plus en détailCONSEIL SIMULATION SPÉCIALE DU CONSEIL
Organisation de l aviation civile internationale NOTE DE TRAVAIL C-WP/Simulation 5/12/14 CONSEIL SIMULATION SPÉCIALE DU CONSEIL DÉFIS RELATIFS AUX PRÉVISIONS DE PÉNURIE DE PERSONNEL AÉRONAUTIQUE QUALIFIÉ
Plus en détail#JEF2014. 03 au 28 novembre 2014. Journees De L ENTREPRENEURIAT. www. journees-entrepreneuriat-feminin.com
#JEF2014 03 au 28 novembre 2014 2014 Journees De L ENTREPRENEURIAT Feminin 4 ème Edition www. journees-entrepreneuriat-feminin.com COMMUNIQUé de presse Journées de l Entrepreneuriat Féminin 2014-4ème édition
Plus en détailRéduire la pauvreté : comment les collectivités territoriales peuvent-elles être des catalyseurs du développement économique pro-pauvre?
Réduire la pauvreté : comment les collectivités territoriales peuvent-elles être des catalyseurs du développement économique pro-pauvre? Les trois dernières décennies ont été marquées par des progrès impressionnants
Plus en détailÉtude de cas : création d une section nationale de GOPAC
Étude de cas : création d une section nationale de GOPAC www.gopacnetwork.org Note du Secrétariat mondial de GOPAC Le document suivant se veut un point de départ dans l engagement d autres parlementaires
Plus en détailServices Cahier des charges
FFT Doc 09.001 v1.0 (Avril 2009) Fédération Française des Télécommunications Commission Normalisation Groupe de travail Interconnexion IP Sous-groupe Services Services Cahier des charges 2009, Fédération
Plus en détailParis Europlace Forum financier international 20 avril 2015 «FAVORISER LA CROISSANCE ÉCONOMIQUE EN EUROPE»
Paris Europlace Forum financier international 20 avril 2015 «FAVORISER LA CROISSANCE ÉCONOMIQUE EN EUROPE» Table ronde 3 : Revue de la stabilité financière de la Banque de France «Financement de l économie
Plus en détailForum National sur la Gouvernance de l'internet Place du Souvenir Africain, 29 Juillet 2010
République du Sénégal Ministère des Technologies de l Information et de la Communication Chapitre Sénégalais de l INTERNET Society Forum National sur la Gouvernance de l'internet Place du Souvenir Africain,
Plus en détailDIRIGEZ MIEUX. AMÉLIOREZ VOTRE COACHING AUPRÈS DES LEADERS. INSTAUREZ UNE MEILLEURE CULTURE DE LEADERSHIP.
DIRIGEZ MIEUX. AMÉLIOREZ VOTRE COACHING AUPRÈS DES LEADERS. INSTAUREZ UNE MEILLEURE CULTURE DE LEADERSHIP. MOBILIS PERFORMA PRÉSENTE LE PROGRAMME DE FORMATION PROFESSIONNELLE EN, UNE FORMATION ÉLABORÉE
Plus en détailDiscours d ouverture de Michèle Bourque présidente et première dirigeante Société d assurance-dépôts du Canada Ottawa mercredi 6 février 2013
1 Première conférence du Comité régional de l AIAD (Association internationale des assureurs-dépôts) pour l Amérique du Nord sur les règlements transfrontières et les institutions-relais Discours d ouverture
Plus en détailLe problème de la neutralité du Net est-il réglé?
Le problème de la neutralité du Net est-il réglé? P. Maillé et B. Tuffin 22 mai 2014 Résumé Le 3 Avril 2014, le Parlement européen a apporté une définition «claire et sans ambiguïté» de la neutralité du
Plus en détailObservatoire ING DIRECT
Observatoire ING DIRECT 1 Rappel méthodologique Méthodologie Mode de recueil : Online, sur Panel LSR Un questionnaire de 10 minutes environ Date de terrain : du 27 septembre au 1 er octobre 2013 Cible
Plus en détailCOMMENT FAIRE POUR Mettre en œuvre le questionnaire de MY WORLD sur les téléphones
COMMENT FAIRE POUR Mettre en œuvre le questionnaire de MY WORLD sur les téléphones L enquête sur My World est disponible à travers trois canaux principaux: en ligne sur www.myworld2015.org hors ligne sous
Plus en détailPrésentation IXP 2014. Présentation générale Grenoblix 2014 06/06/2014 - Slide 1 / 14
Présentation IXP 2014 Présentation générale Grenoblix 2014 06/06/2014 - Slide 1 / 14 Association Rezopole Association garantissant la neutralité 9 salariés Bureau indépendant (personnes physiques) Subventions
Plus en détailMINISTERE DES POSTES, DES TELECOMMUNICATIONS ET DES NOUVELLES TECHNOLOGIES ET DE LA COMMUNICATION
MINISTERE DES POSTES, DES TELECOMMUNICATIONS ET DES NOUVELLES TECHNOLOGIES ET DE LA COMMUNICATION Central African Backbone Communication Infrastructure and Technology CAB CIT Congo Projet N IDA 49740 CG
Plus en détailConseil d administration Genève, mars 2000 ESP. Relations de l OIT avec les institutions de Bretton Woods BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL
BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL GB.277/ESP/4 (Add.1) 277 e session Conseil d administration Genève, mars 2000 Commission de l'emploi et de la politique sociale ESP QUATRIÈME QUESTION À L ORDRE DU JOUR
Plus en détailCompétences, qualifications et anticipation des changements dans le secteur de l électricité en Europe
Compétences, qualifications et anticipation des changements dans le secteur de l électricité en Europe Un cadre d action commun des partenaires sociaux européens du secteur de l électricité I. Introduction
Plus en détailForum du Conseil de l Europe pour l avenir de la démocratie. «Systèmes électoraux» Document d information à l attention des ONG intéressées
Forum du Conseil de l Europe pour l avenir de la démocratie «Systèmes électoraux» Kiev, Ukraine, 21-23 octobre 2009 Document d information à l attention des ONG intéressées Le Forum pour l avenir de la
Plus en détailInfo-commerce : Incertitude économique mondiale
Info-commerce : Incertitude économique mondiale avril 2012 Panel de recherche d EDC Résultats du sondage de février 2012 Faits saillants Même si les É.-U. restent une importante destination commerciale,
Plus en détailDU CONSEIL DE MEDIATION ET DE SECURITE DE LA CEDEAO
COMMUNIQUE DE PRESSE PRESS RELEASE "Ebola constitue une menace pour toutes les entreprises: il nous faut donc soutenir la lutte contre le virus Ebola" N 241/2014 Abuja, le 12 Decembre 2014 OUVERTURE A
Plus en détailINGENIERIE ET DEPLOIEMENT DE RESEAUX COMPLEXES WiMAX - INTERNET - VoIP
PRESENTATION DE LA PROBLEMATIQUE Dans le cadre de la dérégulation des télécommunications d un pays Africain, un industriel Européen s appuyant sur sa filiale basée dans ce pays, souhaite devenir «ISP»
Plus en détailEquinix Exchange Paris
Equinix Exchange Paris QUALITÉ, FIABILITÉ ET PERENNITE DU PEERING EN FRANCE Nicolas DEFFAYET 2 décembre 2011 Evolution du réseau Deux points de présence (PoP) reliés par un ring redondant en fibres noires
Plus en détailModernisation et gestion de portefeuilles d applications bancaires
Modernisation et gestion de portefeuilles d applications bancaires Principaux défis et facteurs de réussite Dans le cadre de leurs plans stratégiques à long terme, les banques cherchent à tirer profit
Plus en détailPAYS INVITE D'HONNEUR :LA FRANCE
Note Conceptuelle PAYS INVITE D'HONNEUR :LA FRANCE La Tunisie renouvelle son engagement pour le développement et la prospérité de l'afrique et des pays arabes, par l'organisation de la 8ème édition de
Plus en détailProtection vs. Innovation ouverte : Comment concilier l innovation et l accès aux nouvelles technologies pour tous?
Protection vs. Innovation ouverte : Comment concilier l innovation et l accès aux nouvelles technologies pour tous? Salle Notre-Dame des Victoires, 09 septembre 2014 16h30 18h Intervenants: Dominique Buendé,
Plus en détailContact. entreprise. Appsfinity Gmbh Neuhofstrasse 3a CH 6340 Baar (ZG)
Contact entreprise. Appsfinity Gmbh Neuhofstrasse 3a CH 6340 Baar (ZG) Tel: +41 415 520 504 Email: sales@onlogis.com Visibilité et controle sur vos opérations, n importe où et à tout moment... Onlogis
Plus en détailSession 9: Suivi de la mise en œuvre de plans nationaux large bande
Forum Régional de l UIT/BDT sur les aspects économiques et financiers des Télécommunications/TIC pour l'afrique Brazzaville, Republic of Congo 18-19 February 2014 Session 9: Suivi de la mise en œuvre de
Plus en détail1. Contexte. 2. Dresser le bilan : expériences et nouveaux développements
Renforcer la redevabilité mutuelle pour améliorer l efficacité et les résultats en matière de développement pour la santé : accords conclus à Nairobi par les signataires du IHP+ sur la future approche
Plus en détailREVUE DE LA DEFENSE DU BURUNDI : LEÇONS TIREES
REVUE DE LA DEFENSE DU BURUNDI : LEÇONS TIREES Juin 2014 TABLE DES MATIERES REMERCIEMENTS... iii CARTE DU BURUNDI... iv SIGLES ET ABREVIATIONS... v RESUME EXECUTIF... vii CHAPITRE I : INTRODUCTION...
Plus en détailRapport final du projet ImpactIPv6
Community Grant Project Rapport final du projet ImpactIPv6 Date du rapport : Yaoundé le 11 mars 2013 Sommaire 1. Bref aperçu du projet global 2. Descriptions des activités effectuées pendant la période
Plus en détailS engager à agir pour le développement durable dans une période de changement
Nations Unies Conseil économique et social Distr. générale 13 avril 2015 Français Original: anglais E/ECE/1471/Rev.1 Commission économique pour l Europe Soixante-sixième session Genève, 14-16 avril 2015
Plus en détailTechnologie numérique : effets en cascade des améliorations à la productivité
Activités d apprentissage concernant l adoption de technologies numériques Programme d aide à la recherche industrielle Programme pilote d adoption des technologies numériques Industrial Research Assistance
Plus en détailEnjeux et Perspectives de la composante «Environnement Santé» du Plan d Action de l Initiative Environnement du NEPAD
PRÉSENTATION POWER POINT Enjeux et Perspectives de la composante «Environnement Santé» du Plan d Action de l Initiative Environnement du NEPAD Cheikh FOFANA, Assistant au Secrétaire Exécutif, Secrétariat
Plus en détailTermes de Référence. Pour un Consultant Chargé d une «étude ex ante sur l impact socioéconomique et environnemental des OGM en Afrique de l Ouest»
CED EAO Co mmunau t é Économiq u e de s Ét ats d Af r iq u e d e l O u es t Conseil Ouest et Centre Africain pour la Recherche et le Développement Agricoles ECOWAS Econo m ic Co mmunit y of West Af r ica
Plus en détailLogiciels de Gestion de Projet: Guide de sélection
Logiciels de Gestion de Projet: Guide de sélection Logiciels de Gestion de Projets: Guide de sélection PPM Software Selection Guide ETAPE 1: Faiblesses Organisationnelles identifier clairement vos besoins
Plus en détailLe MIC lance un appel à projet «Serious Game»
Microsoft Innovation Center asbl Siège social : Parc Initialis, Boulevard Initialis 1 à 7000 Mons Le MIC lance un appel à projet «Serious Game» Le Microsoft Innovation Center (MIC) fait appel aux candidatures
Plus en détailGarantir une meilleure prestation de services et une expérience utilisateur optimale
LIVRE BLANC Garantir une meilleure prestation de services et une expérience utilisateur optimale Mai 2010 Garantir une meilleure prestation de services et une expérience utilisateur optimale CA Service
Plus en détailLe projet SIST. Internet et Grilles de calculs en Afrique Agropolis- Montpellier 10-12 Décembre 2007
Le projet SIST Internet et Grilles de calculs en Afrique Agropolis- Montpellier 10-12 Décembre 2007 Le projet SIST Le projet du fonds de solidarité prioritaire (FSP) SIST (Système d Information Scientifique
Plus en détailPrésentation générale. Novembre 2013
Présentation générale Novembre 2013 Fonctionnement France-IX Association de loi 1901 L association est constituée des membres connectés. Chaque membre dispose d une voix égale et participe aux votes lors
Plus en détailIntroduction à l évaluation des besoins en compétences essentielles
Introduction à l évaluation des besoins en compétences essentielles Cet outil offre aux conseillers en orientation professionnelle : un processus étape par étape pour réaliser une évaluation informelle
Plus en détailLa situation du Cloud Computing se clarifie.
Résumé La situation du Cloud Computing se clarifie. Depuis peu, le Cloud Computing est devenu un sujet brûlant, et à juste titre. Il permet aux entreprises de bénéficier d avantages compétitifs qui leur
Plus en détailSITE I NTERNET. Conception d un site Web
SITE I NTERNET Conception d un site Web Conception de votre site Web Préambule Ce document a pour but de donner une méthode de travail afin de réaliser dans les meilleures conditions un site internet.
Plus en détailLa Voix sur le Réseau IP
Abossé AKUE-KPAKPO Gestionnaire des Télécommunications Chef Division Internet et Offres Entreprise Abosse.akue@togotel.net.tg BP : 8103 Lomé Tél : +228 221 86 54 Mob : +228 904 01 81 Fax : +228 221 88
Plus en détailPlanification financière
Planification financière Introduction La planification financière couvre un large éventail de sujets et dans le meilleur des cas, elle les regroupe d une manière ordonnée et intégrée. Toutefois, vu qu
Plus en détailMot d ouverture de Mamadou Lamine N DONGO Lead Results Adviser Banque Africaine de Développement Coordonnateur de AfCoP
Mot d ouverture de Mamadou Lamine N DONGO Lead Results Adviser Banque Africaine de Développement Coordonnateur de AfCoP 17 Septembre 2013, 9h00 Tunis, Tunisie Monsieur le Directeur du Département Assurance
Plus en détailSOMMAIRE. AVRIL 2013 TECHNOLOGIE ÉTUDE POINTS DE VUE BDC Recherche et intelligence de marché de BDC TABLE DES MATIÈRES
AVRIL 2013 TECHNOLOGIE ÉTUDE POINTS DE VUE BDC Recherche et intelligence de marché de BDC TABLE DES MATIÈRES Faits saillants du sondage 2 Contexte et méthode de sondage 3 Profil des répondants 3 Investissements
Plus en détailLes performances des banques en ligne chinoises en 2010 par Arthur Hamon - Asia Pacific Area Manager & Alain Petit - Responsable Benchmarks & Etudes
Les performances des banques en ligne chinoises en 2010 par Arthur Hamon - Asia Pacific Area Manager & Alain Petit - Responsable Benchmarks & Etudes L empire du milieu est le pays qui compte le plus grand
Plus en détailBureau du commissaire du Centre de la sécurité des télécommunications
Bureau du commissaire du Centre de la sécurité des télécommunications 2009-2010 Rapport sur les plans et les priorités L honorable Peter Gordon MacKay, C.P., député Ministre de la Défense nationale TABLE
Plus en détail/HV*,; *OREDO,QWHUQHWH;FKDQJH
/HV*,; *OREDO,QWHUQHWH;FKDQJH +8$1*0DLUDHYD /285'5RGROSKH *, *, 6200$,5(,QWURGXFWLRQ 3UpVHQWDWLRQGHV*,; 4X HVWFHTX XQ*,;" 4XHOOHHVWO XWLOLWpG XQ*,;" +LVWRLUHGHV*,; )RQFWLRQQHPHQWHWLPSRUWDQFHGHV*,;GDQVOHVUpVHDX[,QWHUQHWOHUpVHDXGHVUpVHDX[,QWpUrWGX*,;
Plus en détailIdées et propositions de cours. «Cookies, Cache & Co!» NetLa Matériel pédagogique 6. Campagne pour la protection de la personnalité
NetLa Matériel pédagogique 6 Idées et propositions de cours «Cookies, Cache & Co!» Informations sur le cours...page 2 Complément d informations pour l enseignant...page 3 Préparation...Page 4 Introduction
Plus en détailTARIFS PUBLICS VOIX ET INTERNET, PORTABILITE, LES FREINS AU DEVELOPPEMENT DES MARCHES DE DETAILS ET LES ENJEUX DE REGULATION
TARIFS PUBLICS VOIX ET INTERNET, PORTABILITE, LES FREINS AU DEVELOPPEMENT DES MARCHES DE DETAILS ET LES ENJEUX DE REGULATION Marketing des opérateurs & Régulation FORMATION Durée : 4 jours PARIS Du 13
Plus en détailComité monétaire et financier international
Comité monétaire et financier international Trente-et-unième réunion 18 avril 2015 Déclaration de Mr. Regis Immongault Ministre de l économie, de la promotion des investissements et de la prospective Gabon
Plus en détailHPCBIG DATASIMULATION
INNOVATION BY SIMULATION SIMULER POUR INNOVER le rendez-vous international The international meeting HPCBIG DATASIMULATION 23 & 24 juin/june 2015 ECOLE POLYTECHNIQUE PALAISEAU - FRANCE www.teratec.eu DOSSIER
Plus en détailRécapitulatif: Du 17 au 28 Août 2015. Mesures de développement de la place de Paris. Retard dans l implémentation du format SWIFT au Maroc.
Du 17 au 28 Août 2015 Récapitulatif: Mesures de développement de la place de Paris. Retard dans l implémentation du format SWIFT au Maroc. Accord de partenariat entre la Bourse de Casablanca et London
Plus en détailLa technologie de la voix sur réseau IP (VoIP) fait son chemin
Shutterstock La technologie de la voix sur réseau IP (VoIP) fait son chemin Au cours des dix dernières années, poussés par la croissance des réseaux large bande et la réduction des coûts, les services
Plus en détailIntelligence d affaires nouvelle génération
Intelligence d affaires nouvelle génération Sept étapes vers l amélioration de l intelligence d affaires par l entremise de la recherche de données À PROPOS DE CETTE ÉTUDE Les approches traditionnelles
Plus en détailBanque Africaine de Développement
The Next 50 Years: The Africa We Want Banque Africaine de Développement Programme Provisoire Côte d Ivoire, Abidjan, 25 29 mai 2015 Samedi 23 et dimanche 24 mai 2015, de 9 h à 17 h : Enregistrement des
Plus en détailNATIONS UNIES COMMISSION ECONOMIQUE POUR L AFRIQUE Bureau Sous-Régional pour l Afrique Centrale
Réunion Ad hoc NATIONS UNIES COMMISSION ECONOMIQUE POUR L AFRIQUE Bureau Sous-Régional pour l Afrique Centrale F Distr. : GENERAL ECA/SRO-CA/AHEGM.HLTIC/13/Inf.1 Février : 2013 Original : Français Ad Hoc
Plus en détailOptimiser le référencement naturel de son site web
Rodez, le 15 avril 2011 Les moteurs de recherche Les moteurs utilisés dans le monde Les moteurs utilisés en Europe Où clique un internaute? Référencement «payant» 35-40% des clics sur Google Référencement
Plus en détailSTATUTS DE L ASSOCIATION DES BANQUES CENTRALES AFRICAINES ------------------------------------
STATUTS DE L ASSOCIATION DES BANQUES CENTRALES AFRICAINES ------------------------------------ (version amendée à Kampala, en Ouganda, le 19 août 2003) 2 Les signataires des présents Statuts, Reconnaissant
Plus en détailRécapitulatif: Du 04 au 15 Mai 2015. Rapport 2014 de l ECSDA. Développements du CSD du Ghana. Rapport de l OICV sur la fraude d investissement.
Du 04 au 15 Mai 2015 Récapitulatif: Rapport 2014 de l ECSDA. Développements du CSD du Ghana. Rapport de l OICV sur la fraude d investissement. Report du lancement de la plateforme T2S. Agrément de 10 CCP
Plus en détailVOLUME 1 CRÉATION D UN SITE WEB
VOLUME 1 CRÉATION D UN SITE WEB Comprendre les principales étapes TABLE DES MATIÈRES PARTIE 1 - RENCONTRE DE DÉMARRAGE 03 PARTIE 2 - ANALYSE FONCTIONNELLE 03 PARTIE 3 - ARBORESCENCE 04 PARTIE 4 - MAQUETTES
Plus en détailFiche entreprise : E12
Fiche entreprise : E12 FONCTION ET CARACTÉRISTIQUES / PERSONNE INTERVIEWÉE La personne interviewée a une formation en génie mécanique et agit à titre de directrice de la production, ce qui inclut la responsabilité
Plus en détail90 ans au service de l'excellence en éducation!
Genève, le 19 janvier 2015 Original : anglais 90 ans au service de l'excellence en éducation! SOIXANTE-QUATRIÈME SESSION DU CONSEIL DU BUREAU INTERNATIONAL D ÉDUCATION Genève, 28 30 janvier 2015 VISIBILITÉ
Plus en détailÉCHANGEZ DES IDÉES CRÉEZ DE NOUVEAUX PARADIGMES FAVORISEZ LE CHANGEMENT
PROGRAMME MINISTÉRIEL 2014 BIENVENUE La convergence des communications mobiles et d'internet a révolutionné la façon dont nous nous connectons, nous travaillons, nous gérons notre vie, et nous divertissons.
Plus en détailPersonne-ressource : Geoff Smith Directeur des Relations gouvernementales Tél. : 613-688-2064 Téléc. : 613-852-9696 smith@electricity.
Proposition prébudgétaire 2015 de l Association canadienne de l électricité (ACÉ) présentée au Comité permanent des finances de la Chambre des communes Personne-ressource : Geoff Smith Directeur des Relations
Plus en détailAppel à Manifestation d'intérêt
AfricaInteract : Renforcement des liens entre la recherche et les décideurs politiques pour l'adaptation au changement climatique en Afrique Appel à Manifestation d'intérêt Recrutement d'un expert pour
Plus en détailUn monde économique interconnecté La mondialisation appliquée aux actions. Livret complémentaire de l exposition temporaire
Un monde économique interconnecté La mondialisation appliquée aux actions Livret complémentaire de l exposition temporaire Un monde économique interconnecté Sans Bourse, Sommaire Circulation des capitaux
Plus en détailPassage du marketing par e-mail à l automatisation du marketing
Passage du marketing par e-mail à l automatisation du marketing L automatisation du marketing est une technologie qui permet de fidéliser les prospects grâce à des campagnes automatisées. Étant donné que
Plus en détailE-COMMERCE VERS UNE DÉFINITION INTERNATIONALE ET DES INDICATEURS STATISTIQUES COMPARABLES AU NIVEAU INTERNATIONAL
E-COMMERCE VERS UNE DÉFINITION INTERNATIONALE ET DES INDICATEURS STATISTIQUES COMPARABLES AU NIVEAU INTERNATIONAL Bill Pattinson Division de la politique de l information, de l informatique et de la communication
Plus en détailAPPEL À MANIFESTATION D INTÉRÊT
Conseil Ouest et Centre Africain pour la Recherche et le Développement Agricoles West and Central African Council for Agricultural Research and Development APPEL À MANIFESTATION D INTÉRÊT RECRUTEMENT D
Plus en détailStratégies gagnantes pour les prestataires de services : le cloud computing vu par les dirigeants Dossier à l attention des dirigeants
Dossier à l attention des dirigeants Centres d évaluation de la technologie inc. Le cloud computing : vue d ensemble Les sociétés de services du monde entier travaillent dans un environnement en pleine
Plus en détailLa surveillance prudentielle du secteur financier
La surveillance prudentielle du secteur financier Chapitre VII Chapitre VI Chapitre V Chapitre IV Chapitre III Chapitre II Chapitre I Chapitre VII Chapitre VI Chapitre V Chapitre IV Chapitre III Chapitre
Plus en détailLe capital-investissement en Afrique
Neuvième Forum pour le développement de l'afrique Le capital-investissement en Afrique Document de travail Neuvième Forum pour le développement de l'afrique Des finan cements innovants pour l a transformation
Plus en détailÉvaluation de l impact des points d échange Internet étude empirique portant sur le Kenya et le Nigeria
. Rapport pour l Internet Society Évaluation de l impact des points d échange Internet étude empirique portant sur le Kenya et le Nigeria Avril 2012 Michael Kende, Charles Hurpy Réf. : 20945-144 Évaluation
Plus en détailAssemblée des États Parties
Cour pénale internationale Assemblée des États Parties Distr. : générale 29 octobre 2013 ICC-ASP/12/47 FRANÇAIS Original : anglais Douzième session The Hague, 20-28 novembre 2013 Rapport de la Commission
Plus en détailConférences stratégiques & prospectives Exposition de solutions et services innovants Animations & ateliers interactifs
Conférences stratégiques & prospectives Exposition de solutions et services innovants Animations & ateliers interactifs Présentation L industrie du retail est aujourd hui confrontée à un défi fascinant
Plus en détailMise en place des projets collaboratifs. public-privé dans les TIC à l entreprise. Cynapsys
Mise en place des projets collaboratifs public-privé dans les TIC à l entreprise Cynapsys 22 Septembre, Pôle Elghazala, Ariana Imed AMMAR Manager AGENDA Présentation de CYNAPSYS Vision et Stratégie de
Plus en détailCLUB DE REFLEXION SUR LE MALI (CRM)
Club de Réflexion sur le Mali (CRM) En collaboration avec Enda Tiers Monde et Institut Panafricain de Stratégies (IPS) Organise le Forum sur la crise malienne et ses répercussions sur la stabilité, la
Plus en détailDébroussailler les paiements mobiles :
UN LIVRE BLANC DE CHASE PAYMENTECH Débroussailler les paiements mobiles : ce que les commerçants canadiens doivent savoir Utilisation de la technologie mobile pour les paiements Depuis quelques mois, on
Plus en détailLa Formule pour la réussite des satellites de club
La Formule pour la réussite des satellites de club COMMENT LANCER UN SATELLITE Vous voulez rendre votre club encore plus pratique, gratifiant et attrayant pour les membres potentiels et les membres actuels?
Plus en détailOrganisation de dispositifs pour tous les apprenants : la question de l'évaluation inclusive
Organisation de dispositifs pour tous les apprenants : la question de l'évaluation inclusive Transcription et traduction de la communication de Verity DONNELLY colloque Éducation inclusive, la question
Plus en détailLes vols via les mobiles
1 Les vols via les mobiles Android est le système d exploitation le plus populaire parmi les utilisateurs des appareils mobiles et malheureusement aussi parmi les cybercriminels puisque c est l OS le plus
Plus en détailConsidérations sur la crise et le marché intérieur 1
Considérations sur la crise et le marché intérieur 1 Auteurs : Jacques Potdevin : Président de la Fédération des Experts comptables Européens (FEE - Federation of European Accountants 2 ) de 2007 à 2008.
Plus en détailCommunauté Finance & Gestion Table ronde
Communauté Finance & Gestion Table ronde Quand le réseau se met au service du financement Marie FAGUET notrepetiteentreprise.com Thierry BONNET - Finance Utile Pierre Henri SOLER UNILEND Pascal SANCHEZ
Plus en détail