MODELISATION DE L'IMMUNITE DES CIRCUITS INTEGRES PASSE, PRESENT, ET NOUVEAUX CHALLENGES POUR LA NORMALISATION

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "MODELISATION DE L'IMMUNITE DES CIRCUITS INTEGRES PASSE, PRESENT, ET NOUVEAUX CHALLENGES POUR LA NORMALISATION"

Transcription

1 MODELISATION DE L'IMMUNITE DES CIRCUITS INTEGRES PASSE, PRESENT, ET NOUVEAUX CHALLENGES POUR LA NORMALISATION F. Lafon 1 - F. De Daran 1 - M.Ramdani 2 R.Perdriau 2 - O.Maurice 3 - M. Drissi 4 (1) : VALEO, 2 rue F. Pouillon Creteil Cedex France, Frederic.Lafon@valeo.com, Francois.de-Daran@valeo.com (2) : ESEO, LATTIS 4, rue Merlet-de-la-Boulaye B.P Angers Cedex 01 France, Mohamed.Ramdani@eseo.fr, Richard.Perdriau@eseo.fr (3) GERAC, 3 av Jean d'alembert - ZAC de Pissaloup TRAPPES France, Olivier.maurice@gerac.com (4) : IETR - INSA de Rennes 20 avenue des Buttes de Coësmes Rennes Cedex France, Mhamed.Drissi@insa-rennes.fr Résumé. Ce papier propose une revue de différentes techniques relatives à la modélisation de l'immunité des circuits intégrés, comprenant celles faisant l'objet de travaux en cours. Cette analyse permet de mettre en évidence les spécificités, performances et limitations des modèles proposés et de discuter des incidences sur les travaux de standardisation sur ce sujet. I. INTRODUCTION Les circuits intégrés (CI) sont une des causes principales des émissions électromagnétiques conduites ou rayonnées par les équipements, ou correspondent aux éléments sensibles lorsque l'on s intéresse à l'immunité des mêmes composants. Les perturbations vues au niveau du CI, sont issues d'une propagation des perturbations provenant de l'extérieur du système, ou générées par un des autres éléments du système (Fig. 1). Cette représentation permet de mettre en évidence le fait que la performance CEM du système repose fondamentalement sur celle des CI. Le développement de la simulation pour traiter des problématiques système requiert également des modèles pour représenter ces CI. H E Environnement Couplages champ à faisceaux Champ à PCB Tensions / courants au niveau du CI (CW Impulsions ) Défaillance Perturbation Destruction Figure 1. Déclinaison du besoin du véhicule au CI Alors que les travaux sur l'émission [1], ont permis la définition d'un standard [2], les premières réflexions dans le même cadre ont débuté, également en vue de standardiser un modèle d'immunité [3]. Mais peut-on parler "d'un" modèle unique qui serait satisfaisant pour tous les besoins? C'est bien là qu'est le challenge aujourd'hui et le but de cet article est de mettre en évidence les points délicats rendant cette ambition difficile à atteindre. Dans une première partie nous décrirons les bases des phénomènes étant à l'origine de la perturbation des CI, et les fonctions de base que l'on peut attendre d'un modèle d'immunité. Dans une seconde partie nous présenterons un historique des travaux relatifs à la modélisation de l'immunité, en mettant en évidence les spécificités des approches et structures des modèles. Comparée à l'émission, la modélisation de l'immunité d'un CI semble être une tâche d'une autre complexité, car il peut être soumis à des agresseurs ayant des caractéristiques extrêmement diverses. Cette différence résulte de la non bijectivité des domaines : si les émissions partent du domaine fonctionnel du composant, l immunité part des agresseurs externes dont la réunion des domaines couvre tout le spectre. On peut souhaiter avoir un modèle permettant de reproduire les comportements face à des phénomènes impulsionnels, ou en régime harmonique, en ayant dans chacun de ces cas des amplitudes plus ou moins élevées. Les effets étudiés peuvent eux aussi être différents tels que la destruction, ou la seule perturbation du composant avec là encore des critères variés. L'étude bibliographique sur le sujet aura permis de mettre en évidence que les structures des modèles sont liées à ces données d'entrée. Ainsi, compte tenu de l'amplitude du sujet, nous ne présenterons ici que les travaux relatifs aux agresseurs radio fréquences (CW) et sur une gamme de fréquence où les perturbations sont transmises au CI principalement en mode conduit (quelques GHz). La conclusion fera une synthèse de ces approches et précisera les conséquences pour les travaux de normalisation entamés sur le sujet. II. MECANISME ET FONCTIONS D'UN MODELE D'IMMUNITE II.1. Phénoménologie Afin de comprendre certaines approches de modélisation que nous allons détailler (partie III), il nous semble intéressant de décrire un des mécanismes fondamentaux

2 de perturbation d'un CI qu'est le phénomène de détection. Pour cela nous pouvons considérer le schéma équivalent d'un simple démodulateur, tel que celui présenté Fig.2. signal RF avec Valeur moyenne = 0 Signal redressé I=f(V 2 ) Composante Basse fréquence Figure 2. Principe de détection et de conversion de signal "out-band" en "in-band" Un perturbateur de forme sinusoïdale et de valeur moyenne nulle (correspondant aux perturbations injectées typiquement lors des essais CEM équipements), peut être redressé par un élément non linéaire, tel qu'une diode série, et le signal redressé peut alors charger des éléments capacitifs aux bornes desquels apparaît une composante continue. Les CI ont généralement des bandes passantes limitées à quelques khz, pour la plupart des applications automobile, et ce phénomène explique comment une perturbation hors bande (out-band) peut induire un dysfonctionnement d'un CI, du fait de la génération d une composante in-band par mécanisme de détection. Beaucoup de travaux traitant de la modélisation de l'immunité des CI tentent de représenter ce mécanisme. Nous les décrirons ci-après. Mais il est intéressant de noter que le modèle IBIS [4], qui offre une vision assez physique des structures des étages d'entrée / sortie des circuits logiques, intègre tous les éléments nécessaires à l'apparition de ce phénomène (Fig. 3). Les éléments non linéaires de ce modèle permettent de bien reproduire les effets de démodulation apparaissant sur ce type d'interface. Figure 3. Structure du modèle IBIS (Sortie) Le modèle IBIS reste cependant insuffisant car incomplet pour prendre en compte tous les phénomènes apparaissant en hautes fréquences, et c'est ce que proposent de compléter certains modèles que nous décrirons dans la partie III. II.2. Fonctions d'un modèle d'immunité De notre point de vue un modèle d'immunité doit permettre tout d'abord de reproduire le comportement de propagation des perturbations au niveau et au travers du composant. Cela doit permettre en particulier d'estimer correctement les caractéristiques électriques des perturbations ramenées sur une entrée du CI (notion d'impédance d'entrée), ainsi que d'estimer les perturbations transmises sur d'autres broches, par une simple propagation au travers du composant. La deuxième fonction est de pouvoir soit reproduire un comportement, soit de simplement statuer sur le fait que le CI soit dans un état perturbé ou non. La distinction entre ces deux objectifs nous semble importante et sera également un des choix qui mènera vers des structures différentes. Dans le premier cas, le principe consiste à reproduire les signaux fonctionnels déformés tel qu'observés en expérimentation en fonction des caractéristiques de l'agresseur. Cela donne alors un modèle comportemental qui peut être utilisé dans n'importe quel type d'application, et où au final, le statut de l'état perturbé ou pas du produit sera indépendant de la phase de génération du modèle. Il est évident que ce type de modélisation peut d'ores et déjà sembler intéressante mais contraignante (de par sa complexité). Au contraire, les modèles permettant de simplement donner un statut reposent sur l'utilisation de grandeurs électriques établies comme étant des seuils de mise en défaut du composant qui seront utilisés comme des limites à ne pas dépasser dans les configurations système. Bien que plus rapide et peut être plus simple, cette technique souffre du fait qu'aux seuils définis sont attachés des critères de défaut figés et bien précis. Chacune de ces approches présente des avantages et des inconvénients à étudier pour sélectionner une démarche plutôt qu'une autre, en fonction du contexte et des objectifs. III. HISTORIQUE ET ETAT DE L'ART Les travaux sur la modélisation de l'immunité ont débuté vers les années 60-70, mais n'ont jamais fait l'objet d'un standard, comme a pu l'être le modèle ICEM (Integrated Circuit Emission Model). Nous allons dans cette partie présenter quelques une des approches "accessibles" (au sens bibliographique du terme) et nous semblant être les plus remarquables. Il nous semble intéressant de présenter en introduction à cette partie le modèle d'ebers Moll [5], correspondant au modèle fonctionnel mais élaboré d'un transistor, proposé dès 1954, (Fig. 4). Figure 4. Modèle d'ebers Moll (Version complète)

3 Sans être un modèle construit pour les aspects immunité, cette structure intègre les éléments parasites du transistor, ainsi que des sources contrôlées qui permettent en particulier de reproduire correctement les effets de détection d'enveloppe que nous avons décrits dans la partie précédente. Nous retrouverons certains de ces éléments dans les techniques que nous allons présenter. Plusieurs travaux ont été réalisés sur la modélisation des composants en réponse à des agressions impulsionnelles (type IEMN) dans les années 60-70, puis en réponse à des perturbateurs micro-ondes de fortes puissances dans les années 90. Ces travaux menés dans le domaine militaire n'auront pas fait l'objet de communications nous permettant de détailler les techniques développées. Il nous semblait cependant important de les citer, car cela montre encore une fois que le thème de la modélisation de l'immunité des CI n'est pas récent. D'autre part, cela illustre le fait que la volonté de modéliser semble être une évolution "naturelle" faisant suite à la phase de mise en évidence des phénomènes au travers de caractérisations expérimentales. III.1. Modèles dynamiques Il s'agit en partie des travaux de [6]. Le principe de ce modèle est de réaliser une description physique des comportements des entrées logiques des composants, en s'appuyant sur plusieurs blocs élémentaires (Fig. 5). Leurs caractéristiques sont extraites au travers de mesures d'impédances à l'analyseur de réseau (VNA), et sur la caractérisation DPI (Direct Power Injection) [7]. niveau de sortie est alors injecté dans le bloc fonction logique, permettant de reproduire le comportement fonctionnel de la porte logique, du fait de la variation du niveau présenté sur son entrée. Ce modèle nécessite une caractérisation fine de chacun des blocs, qui doit finalement être simulé dans le domaine temporel. En terme de limitation, on peut noter que ce modèle ne permet pas de reproduire le phénomène de propagation vers les autres broches du composant, en ne se focalisant qu'au niveau ramené sur l'entrée perturbé. Ce modèle dédié aux entrées logiques, et au phénomène de détection sur cet étage, ne semble pas exploitable pour prédire des dysfonctionnements sur les blocs internes, et n'est donc pas a priori facilement transposable à tout type de composant III.2. Modèles neuronaux Il s'agit des travaux en particulier de [8], qui propose un modèle comportemental basé sur un réseau de neurones. L'apprentissage du réseau est basé sur des caractérisations en DPI du CI. Les mesures consistent à construire une table reliant les signaux d'entrée (fonctionnels auxquels se superpose la perturbation), aux signaux de sortie(s) eux aussi correspondant à un signal fonctionnel, éventuellement déformé par la perturbation et sur lequel une perturbation transmise est également superposée. Le réseau de neurones doit alors reproduire ces liens existants (Fig. 6). Figure 6. Construction de la table des données pour l'apprentissage du réseau de neurones Figure 5. Structure du modèle dynamique Le premier bloc de ce modèle, appelé filtrage des hautes fréquences, permet de prédire le niveau des perturbations ramenées au point de la localisation de l'élément non linéaire engendrant la détection d'enveloppe. Ce bloc traduit l'effet de l'impédance d'entrée du composant et les effets du boîtier. Le bloc détection parasite, correspond aux éléments non linéaires (Diodes de protection ESD en particulier) dont la réponse à la perturbation va dépendre du point de polarisation. La perturbation ainsi détectée crée une composante continue, mettant un certain temps pour s'établir, et qui s'additionne à la tension de polarisation initiale. Le Dans le cadre de ces travaux, cette démarche a été appliquée avec succès pour la prédiction de l'immunité d'un inverseur. Les simulations dans le domaine temporel recoupent correctement des résultats de mesures, tel que illustré Fig. 7 (traduisant un apprentissage correct notamment). Figure 7. Validation de l'approche neuronale sur cas d'un inverseur Confrontation simulation / mesure

4 Les étapes de caractérisation permettant de générer le réseau de neurones restent cependant longues. On peut noter en particulier que généralement le modèle est extrait pour une configuration d'impédance de charge fixée, et que le besoin d'intégrer cet élément comme un paramètre dans le réseau de neurones semble quelque peu rédhibitoire en terme du volume de caractérisations que cela nécessiterait. Enfin, tous les cas d'illusions qui fausseraient l'apprentissage n'ont pas été couverts et cette technique demande encore de larges validations pour également couvrir ce dernier aspect. III.3. Modèles à description physique Ce que l'on entend par modèle à description physique regroupe en réalité les approches "boîtes blanches", qui sont basées sur la connaissance fine du design et des structures internes au CI. Le principe est alors de simuler les comportements de ces blocs soumis à des perturbations pour mettre en évidence leurs dysfonctionnements. Ces approches sont fondamentales pour la compréhension des mécanismes de défaillance, et permettent d'orienter les conceptions vers des solutions et techniques plus robustes. Parmi les travaux basés sur cette approche, on peut en particulier citer [9] qui traite le cas d'amplificateurs opérationnels, et qui établit une relation intéressante (1) entre les caractéristiques électriques des perturbations et l'immunité de ces composants. Le schéma considéré par [9] est donné Fig. 8. Le modèle ICEM est constitué principalement de deux éléments, que sont le PDN (Passive Distribution Network) et le IA (Internal Activity), qui sont identifiés sur la Fig. 9. Le PDN correspond au réseau des impédances présentées entre les différents accès du circuit et l'emplacement de la source de courant (IA). Cette source représente les appels de courant provoqués en interne par les commutations numériques principalement. Figure 9. Structure du modèle ICEM Parmi les premiers travaux de réutilisation de ICEM pour l'immunité, on peut citer [10]. Le principe est de réutiliser le PDN du modèle ICEM, et de remplacer la source de courant (IA) par une impédance équivalente (Fig. 10). La plupart des travaux réalisés avec cette technique se sont généralement concentrés exclusivement sur les perturbations par les alimentations des CI. Un critère de perturbation étant fixé sur un niveau ramené sur l'alimentation interne au composant (typiquement ±20% de la tension d'alimentation fonctionnelle). Figure 8. Modèle d'immunité de l'amplificateur opérationnel L'équation (1) donne l'offset de la tension continue (DC) de sortie en fonction des tensions perturbatrices de mode commun et de mode différentiel. Figure 10. Réutilisation de ICEM pour l'étude de l'immunité III.4. Modèles dérivés de ICEM et/ou d'ibis Fort de leur expérience sur la modélisation de l'émission avec le modèle ICEM, nombre de laboratoires ont abordé la problématique de l'immunité en tentant de réutiliser les mêmes techniques de modélisation. Afin de comprendre la philosophie et les structures des modèles développés, nous allons tout d'abord rappeler brièvement les constituants principaux du modèle ICEM. (1) Figure 11. Résultats obtenus pour la prédiction de l'immunité, basée sur la réutilisation de ICEM Les prédictions de l'immunité avec cette technique ont donné des tendances intéressantes (Fig. 11), mais présentant des faiblesses, que des travaux ultérieurs

5 [11,12] ont tenté de corriger. Au travers d une modélisation plus fine des structures, et en particulier du substrat des micro contrôleurs étudiés, avec la prise en compte d'éléments non linéaires, les résultats de prédiction ont pu ainsi être améliorés. Plus récemment, [13] a travaillé sur la modélisation d'un régulateur linéaire, en renforçant la prise en compte de ces éléments non linéaires (Schéma Fig. 12 et résultats Fig.13). Figure 12. Modèle d'immunité du régulateur L4949 développé par [13] La première hypothèse forte de cette technique est relative à l'utilisation des paramètres S pour décrire le PDN du circuit. Cela revient à rejeter au second ordre les termes des développements en série de Volterra des fonctions non linéaires. Il est supposé que ces effets (qui sont bien à l'origine du phénomène de perturbation) peuvent être négligés jusqu'au seuil de susceptibilité et n'interviennent pas avant ce seuil sur les aspects propagation au sein du composant. Autrement dit, la part de puissance dissipée dans la composante continue détectée reste faible devant celle contenue dans le fondamental. La deuxième hypothèse est la prise en compte de la puissance transmise au composant comme étant une information électrique permettant de caractériser l'immunité propre de tout composant. Ces deux hypothèses sont vérifiées systématiquement dans le processus de production et de validation du modèle. Figure 13. Résultats obtenus pour la prédiction de l'immunité sur le régulateur L4949. Malgré une amélioration progressive des résultats et des qualités de prédiction, on constate que ces modèles ne permettent pas systématiquement l'obtention de résultats corrects sur toute la gamme de fréquence souhaitée. La localisation et le dimensionnement des éléments non linéaires restent également un point délicat. En effet, leur positionnement reste souvent encore intuitif et/ou requiert un minimum de connaissances sur la structure interne du CI. On pouvait présager de ces difficultés de par la non bijectivité des domaines spectraux. Mais ces travaux peuvent fournir des modèles pour des domaines limités et participent aux progrès d ensemble sur la compréhension des phénomènes mis en jeux dans les processus de perturbations. Afin de répondre à des contraintes industrielles, une autre technique dérivée de ICEM a également été proposée par [14]. Ces contraintes sont en particulier de considérer le composant comme une boîte noire, de n'extraire les données nécessaires à la modélisation que par des caractérisations expérimentales, et tout ceci dans un délai acceptable. Une autre particularité de la technique proposée, est de pouvoir traiter toutes les analyses dans le domaine fréquentiel. Figure 14. Exemple de validation du modèle d'immunité proposé par [14] Cette technique permet l'obtention de résultats tout à fait acceptables sur un grand nombre de cas traités correspondant à différentes familles et technologies de circuits. Les corrélations entre la prédiction de l'immunité et les résultats expérimentaux sur le cas d'un transistor (Fig. 14.) permettent d'apprécier la qualité des modèles ainsi proposés. IV. CONCLUSIONS / PERSPECTIVES Au delà des caractéristiques du perturbateur à considérer, notre étude bibliographique aura permis d'identifier un certain nombre d'autres facteurs impactant également les structures des modèles. Parmi ces facteurs, on peut en particulier retenir et citer: - La connaissance ou non du design interne au composant, amenant à distinguer les approches de modélisation "boîtes noires" et "boîtes blanches". - Le niveau et la précision des informations obtenues par l'expérimentation (choix des techniques) ou par extraction du design (choix des outils et état d'avancement de la conception).

6 - Le choix de reproduire un comportement ou de simplement pouvoir statuer sur un état de susceptibilité. - Le langage ou format de description - L'exploitation du modèle en temporel ou fréquentiel - Les objectifs liés à l'utilisation du modèle. Le besoin du fondeur n'est pas le même que le systèmier. Le fondeur souhaite exploiter des modèles pour l'aider dans sa conception interne, alors que l'équipementier n'a besoin que d'une vue aux frontières du composant pour la conception de son produit. Malgré ces facteurs impactant la structure des modèles, les premiers travaux de standardisation du groupe UTE 47A, ont permis d'établir une structure générique présentée Fig. 15, et satisfaisante pour les différentes descriptions des modèles que nous venons de détailler. Figure 15. Structure du modèle d'immunité Le PDN représente le comportement en impédances du composant, avec éventuellement des éléments non linéaires. Le IB (Internal Behavioural), correspond à un bloc comportemental permettant de soit reproduire un comportement fonctionnel (allures temporelles) lorsque le composant est soumis à des perturbations, soit de simplement pouvoir statuer sur un état perturbé ou non du composant. Il nous semble difficile à ce jour d'aller plus loin dans ce travail de standardisation. Tout d'abord car la majorité des techniques présentées ne formalise pas de méthodologie généralisable et applicable directement sur n'importe quel type ou broche d'un composant, alors que c'est bien cela qui doit faire aussi l'objet du standard. Ensuite, les validations des modèles ne sont pas systématiques où montrent clairement des insuffisances encore incomprises. Ces différents travaux mettent cependant en évidence que les méthodes d'essais des CI qui ont été développées à l'origine pour caractériser, comparer et valider des composants, ne semblent pas totalement adaptées pour obtenir les informations nécessaires à la modélisation. Ces méthodes devraient donc être adaptées au niveau de la normalisation pour répondre aussi à ce besoin. REFERENCES [1] J.-L. Levant et al., EMC Assessment at Chip and PCB Level: Use of the ICEM Model for Jitter Analysis in an Integrated PLL, IEEE Transactions on Electromagnetic Compatibility, vol. 49, no. 1, pp , Feb [2] IEC FDV "EMC IC modeling part 2: Models of Integrated Circuits for EMI behavioural simulation Conducted Emission modelling", International Electrotechnical Commission Std., [3] New proposal of IEC : "Integrated Circuit EMC IC modeling Part 4: ICIM -CI, Integrated Circuit Immunity Model, Conducted Immunity", International Electrotechnical Commission Std., [4] IEC "Electronic Design Automation - Part 1: I/O Buffer Informations Specification (IBIS 3.2)", [5] A. Raghavan, "Modeling and design techniques for RF power amplifiers". Wiley, [6] O.Maurice. "Caractérisation de la susceptibilité des composants entre 0.1 et 4 GHz" - mémoire Ingénieur. CNAM, 1995 [7] IEC "Integrated circuits Measurement of electromagnetic immunity 150 khz to 1 GHz Part 4: Direct RF power injection method", International Electrotechnical Commission Std., 2006 [8] I. Chahine et al., Characterization and modeling of the susceptibility of integrated circuits to conducted electromagnetic disturbances up to 1 GHz, IEEE Transactions on Electromagnetic Compatibility, vol. 50, no. 2, pp , May [9] F. Fiori & P. Crovetti. "Nonlinear Effects of Radio Frequency Interference in Operational Amplifiers". IEEE Transactions on Circuits and Systems, vol. 49, pages , [10] S. Baffreau. "Susceptibilité des micro-contrôleurs aux agressions électromagnétiques". PhD thesis, Institut National des Sciences Appliquées de Toulouse, [11] A. Boyer et al., Modelling of a Direct Power Injection Aggression on a 16-bit Microcontroller Buffer, in Proceedings of EMC COMPO 07, Torino, Italy, [12] A. Alaeldine et al. "Direct power injection model for immunity prediction in integrated circuits", IEEE Transactions on Electromagnetic Compatibility, vol. 50, pp , Feb [13] A. Ndoye, E. Sicard & F.Lafon. "Méthodologie prédictive de l'immunité conduite d'un circuit intégré non linéaire". Colloque CEM Limoges, 2010 [14] F. Lafon, et al. "An Industry-Compliant Immunity Modeling Technique for Integrated Circuits". In EMC 09 Kyoto - International Symposium on Electromagnetic Compatibility, 2009

Manipulation N 6 : La Transposition de fréquence : Mélangeur micro-ondes

Manipulation N 6 : La Transposition de fréquence : Mélangeur micro-ondes Manipulation N 6 : La Transposition de fréquence : Mélangeur micro-ondes Avant Propos : Le sujet comporte deux parties : une partie théorique, jalonnée de questions (dans les cadres), qui doit être préparée

Plus en détail

Chapitre 2 : Systèmes radio mobiles et concepts cellulaires

Chapitre 2 : Systèmes radio mobiles et concepts cellulaires Chapitre 2 : Systèmes radio mobiles et concepts cellulaires Systèmes cellulaires Réseaux cellulaires analogiques de 1ère génération : AMPS (USA), NMT(Scandinavie), TACS (RU)... Réseaux numériques de 2ème

Plus en détail

TP Modulation Démodulation BPSK

TP Modulation Démodulation BPSK I- INTRODUCTION : TP Modulation Démodulation BPSK La modulation BPSK est une modulation de phase (Phase Shift Keying = saut discret de phase) par signal numérique binaire (Binary). La phase d une porteuse

Plus en détail

NO-BREAK KS. Système UPS dynamique PRÉSENTATION

NO-BREAK KS. Système UPS dynamique PRÉSENTATION NO-BREAK KS Système UPS dynamique PRÉSENTATION Table des matières Chapitre 1 : Description du système No-Break KS...3 Chapitre 2 : Fonctionnement lorsque le réseau est présent...4 Chapitre 3 : Fonctionnement

Plus en détail

LES CARACTERISTIQUES DES SUPPORTS DE TRANSMISSION

LES CARACTERISTIQUES DES SUPPORTS DE TRANSMISSION LES CARACTERISTIQUES DES SUPPORTS DE TRANSMISSION LES CARACTERISTIQUES DES SUPPORTS DE TRANSMISSION ) Caractéristiques techniques des supports. L infrastructure d un réseau, la qualité de service offerte,

Plus en détail

Champ électromagnétique?

Champ électromagnétique? Qu est-ce qu un Champ électromagnétique? Alain Azoulay Consultant, www.radiocem.com 3 décembre 2013. 1 Définition trouvée à l article 2 de la Directive «champs électromagnétiques» : des champs électriques

Plus en détail

INTRODUCTION A L ELECTRONIQUE NUMERIQUE ECHANTILLONNAGE ET QUANTIFICATION I. ARCHITECTURE DE L ELECRONIQUE NUMERIQUE

INTRODUCTION A L ELECTRONIQUE NUMERIQUE ECHANTILLONNAGE ET QUANTIFICATION I. ARCHITECTURE DE L ELECRONIQUE NUMERIQUE INTRODUCTION A L ELECTRONIQUE NUMERIQUE ECHANTILLONNAGE ET QUANTIFICATION I. ARCHITECTURE DE L ELECRONIQUE NUMERIQUE Le schéma synoptique ci-dessous décrit les différentes étapes du traitement numérique

Plus en détail

Les techniques de multiplexage

Les techniques de multiplexage Les techniques de multiplexage 1 Le multiplexage et démultiplexage En effet, à partir du moment où plusieurs utilisateurs se partagent un seul support de transmission, il est nécessaire de définir le principe

Plus en détail

Transmission de données. A) Principaux éléments intervenant dans la transmission

Transmission de données. A) Principaux éléments intervenant dans la transmission Page 1 / 7 A) Principaux éléments intervenant dans la transmission A.1 Equipement voisins Ordinateur ou terminal Ordinateur ou terminal Canal de transmission ETTD ETTD ETTD : Equipement Terminal de Traitement

Plus en détail

EMETTEUR ULB. Architectures & circuits. Ecole ULB GDRO ESISAR - Valence 23-27/10/2006. David MARCHALAND STMicroelectronics 26/10/2006

EMETTEUR ULB. Architectures & circuits. Ecole ULB GDRO ESISAR - Valence 23-27/10/2006. David MARCHALAND STMicroelectronics 26/10/2006 EMETTEUR ULB Architectures & circuits David MARCHALAND STMicroelectronics 26/10/2006 Ecole ULB GDRO ESISAR - Valence 23-27/10/2006 Introduction Emergence des applications de type LR-WPAN : Dispositif communicant

Plus en détail

SIMULATION HYBRIDE EN TEMPOREL D UNE CHAMBRE REVERBERANTE

SIMULATION HYBRIDE EN TEMPOREL D UNE CHAMBRE REVERBERANTE SIMULATION HYBRIDE EN TEMPOREL D UNE CHAMBRE REVERBERANTE Sébastien LALLECHERE - Pierre BONNET - Fatou DIOUF - Françoise PALADIAN LASMEA / UMR6602, 24 avenue des landais, 63177 Aubière pierre.bonnet@lasmea.univ-bpclermont.fr

Plus en détail

Systèmes de transmission

Systèmes de transmission Systèmes de transmission Conception d une transmission série FABRE Maxime 2012 Introduction La transmission de données désigne le transport de quelque sorte d'information que ce soit, d'un endroit à un

Plus en détail

Notions d asservissements et de Régulations

Notions d asservissements et de Régulations I. Introduction I. Notions d asservissements et de Régulations Le professeur de Génie Electrique doit faire passer des notions de régulation à travers ses enseignements. Les notions principales qu'il a

Plus en détail

Intérêt du découpage en sous-bandes pour l analyse spectrale

Intérêt du découpage en sous-bandes pour l analyse spectrale Intérêt du découpage en sous-bandes pour l analyse spectrale David BONACCI Institut National Polytechnique de Toulouse (INP) École Nationale Supérieure d Électrotechnique, d Électronique, d Informatique,

Plus en détail

CLIP. (Calling Line Identification Presentation) Appareil autonome affichant le numéro appelant

CLIP. (Calling Line Identification Presentation) Appareil autonome affichant le numéro appelant 1. Besoin CLIP (Calling Line Identification Presentation) Appareil autonome affichant le numéro appelant ETUDE FONCTIONNELLE De très nombreux abonnés du réseau téléphonique commuté ont exprimé le besoin

Plus en détail

Contribution à la conception par la simulation en électronique de puissance : application à l onduleur basse tension

Contribution à la conception par la simulation en électronique de puissance : application à l onduleur basse tension Contribution à la conception par la simulation en électronique de puissance : application à l onduleur basse tension Cyril BUTTAY CEGELY VALEO 30 novembre 2004 Cyril BUTTAY Contribution à la conception

Plus en détail

CHAPITRE IX : Les appareils de mesures électriques

CHAPITRE IX : Les appareils de mesures électriques CHAPITRE IX : Les appareils de mesures électriques IX. 1 L'appareil de mesure qui permet de mesurer la différence de potentiel entre deux points d'un circuit est un voltmètre, celui qui mesure le courant

Plus en détail

PRODUIRE DES SIGNAUX 1 : LES ONDES ELECTROMAGNETIQUES, SUPPORT DE CHOIX POUR TRANSMETTRE DES INFORMATIONS

PRODUIRE DES SIGNAUX 1 : LES ONDES ELECTROMAGNETIQUES, SUPPORT DE CHOIX POUR TRANSMETTRE DES INFORMATIONS PRODUIRE DES SIGNAUX 1 : LES ONDES ELECTROMAGNETIQUES, SUPPORT DE CHOIX POUR TRANSMETTRE DES INFORMATIONS Matériel : Un GBF Un haut-parleur Un microphone avec adaptateur fiche banane Une DEL Une résistance

Plus en détail

Atlas départemental de la couverture 2G et 3G en France métropolitaine : Bas-Rhin (67)

Atlas départemental de la couverture 2G et 3G en France métropolitaine : Bas-Rhin (67) Novembre 2012 Atlas départemental de la couverture 2G et 3G en France métropolitaine : Bas-Rhin (67) Autorité de régulation des communications électroniques et des postes ISSN : 2258-3106 CONTENU DE L

Plus en détail

500 W sur 13cm avec les modules PowerWave

500 W sur 13cm avec les modules PowerWave 500 W sur 13cm avec les modules PowerWave Philippe Borghini / F5jwf f5jwf@wanadoo.fr Janvier 2012 Introduction Tout le monde a déjà vu au moins une fois, sur les puces, ces fameuses platines PowerWave

Plus en détail

Compatibilité Électromagnétique

Compatibilité Électromagnétique Compatibilité Électromagnétique notions générales et applications à l électronique de puissance Ir. Stéphane COETS 18 mai 2005 Journée d étude en Électronique de Puissance 1 Plan de l exposé La Compatibilité

Plus en détail

Mini_guide_Isis.pdf le 23/09/2001 Page 1/14

Mini_guide_Isis.pdf le 23/09/2001 Page 1/14 1 Démarrer...2 1.1 L écran Isis...2 1.2 La boite à outils...2 1.2.1 Mode principal...3 1.2.2 Mode gadgets...3 1.2.3 Mode graphique...3 2 Quelques actions...4 2.1 Ouvrir un document existant...4 2.2 Sélectionner

Plus en détail

". TY convertisseur statique, et des condensateurs de filtrage.

. TY convertisseur statique, et des condensateurs de filtrage. curopaiscnes raiemamt European Patent Office Office européen des brevets Numéro de publication : 0 267 129 A1 (g) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN (21) Numéro de dépôt: 87420286.4 @ Date de dépôt: 23.10.87 Int.

Plus en détail

THESE DOCTEUR. Génie Electrique. Maxime MOREAU

THESE DOCTEUR. Génie Electrique. Maxime MOREAU N d ordre : 117 ECOLE CENTRALE DE LILLE THESE présentée en vue d obtenir le grade de DOCTEUR en Génie Electrique par Maxime MOREAU DOCTORAT DELIVRE PAR L ECOLE CENTRALE DE LILLE Modélisation haute fréquence

Plus en détail

LECTEURS - RFID. RFID-tags

LECTEURS - RFID. RFID-tags LECTEURS - RFID RFID-tags Les fréquences propres à la RFID Classées en quatre groupes: 1.Les "basses fréquences" inférieures à 135 KHz: deux fréquences sont utilisées, le 125 KHz et le 134 KHz ; 2.Les

Plus en détail

Master4Light. Caractérisation Optique et Electrique des Sources Lumineuses. Equipement 2-en-1 : source de courant et spectrophotomètre

Master4Light. Caractérisation Optique et Electrique des Sources Lumineuses. Equipement 2-en-1 : source de courant et spectrophotomètre DSF-M4L-Rev2.0-04/12 Master4Light Equipement 2-en-1 : source de courant et spectrophotomètre Interface graphique logicielle, connexion USB Configuration personnalisable : laboratoire et in-situ http://www.majantys.com

Plus en détail

Equipement. électronique

Equipement. électronique MASTER ISIC Les générateurs de fonctions 1 1. Avant-propos C est avec l oscilloscope, le multimètre et l alimentation stabilisée, l appareil le plus répandu en laboratoire. BUT: Fournir des signau électriques

Plus en détail

Astra Elite AM/3 Manuel d'installation

Astra Elite AM/3 Manuel d'installation 1) Caractéristiques techniques Astra Elite AM/3 Manuel d'installation Alimentation : - Tension : 9 à 16 V- - Consommation : 33 ma repos/40 ma en alarme - Ondulation : 2 V c à c à 12 V- Canal Hyperfréquence

Plus en détail

Chapitre 2 : communications numériques.

Chapitre 2 : communications numériques. Chapitre 2 : communications numériques. 1) généralités sur les communications numériques. A) production d'un signal numérique : transformation d'un signal analogique en une suite d'éléments binaires notés

Plus en détail

La polarisation des transistors

La polarisation des transistors La polarisation des transistors Droite de charge en continu, en courant continu, statique ou en régime statique (voir : le transistor) On peut tracer la droite de charge sur les caractéristiques de collecteur

Plus en détail

Cours 9. Régimes du transistor MOS

Cours 9. Régimes du transistor MOS Cours 9. Régimes du transistor MOS Par Dimitri galayko Unité d enseignement Élec-info pour master ACSI à l UPMC Octobre-décembre 005 Dans ce document le transistor MOS est traité comme un composant électronique.

Plus en détail

1 Démarrer... 3 1.1 L écran Isis...3 1.2 La boite à outils...3 1.2.1 Mode principal... 4 1.2.2 Mode gadget...4 1.2.3 Mode graphique...

1 Démarrer... 3 1.1 L écran Isis...3 1.2 La boite à outils...3 1.2.1 Mode principal... 4 1.2.2 Mode gadget...4 1.2.3 Mode graphique... 1 Démarrer... 3 1.1 L écran Isis...3 1.2 La boite à outils...3 1.2.1 Mode principal... 4 1.2.2 Mode gadget...4 1.2.3 Mode graphique... 4 2 Quelques actions... 5 2.1 Ouvrir un document existant...5 2.2

Plus en détail

Approche expérimentale du rayonnement électromagnétique émis par un téléphone portable

Approche expérimentale du rayonnement électromagnétique émis par un téléphone portable Approche expérimentale du rayonnement électromagnétique émis par un téléphone portable RÉSUMÉ U N I O N D E S P R O F E S S E U R S D E P H Y S I Q U E E T D E C H I M I E par Lycée Victor Hugo - 25000

Plus en détail

Chapitre I La fonction transmission

Chapitre I La fonction transmission Chapitre I La fonction transmission 1. Terminologies 1.1 Mode guidé / non guidé Le signal est le vecteur de l information à transmettre. La transmission s effectue entre un émetteur et un récepteur reliés

Plus en détail

TABLE DES MATIÈRES 1. DÉMARRER ISIS 2 2. SAISIE D UN SCHÉMA 3 & ' " ( ) '*+ ", ##) # " -. /0 " 1 2 " 3. SIMULATION 7 " - 4.

TABLE DES MATIÈRES 1. DÉMARRER ISIS 2 2. SAISIE D UN SCHÉMA 3 & '  ( ) '*+ , ##) #  -. /0  1 2  3. SIMULATION 7  - 4. TABLE DES MATIÈRES 1. DÉMARRER ISIS 2 2. SAISIE D UN SCHÉMA 3! " #$ % & ' " ( ) '*+ ", ##) # " -. /0 " 1 2 " 3' & 3. SIMULATION 7 0 ( 0, - 0 - " - & 1 4. LA SOURIS 11 5. LES RACCOURCIS CLAVIER 11 STI Electronique

Plus en détail

Etudier l influence de différents paramètres sur un phénomène physique Communiquer et argumenter en utilisant un vocabulaire scientifique adapté

Etudier l influence de différents paramètres sur un phénomène physique Communiquer et argumenter en utilisant un vocabulaire scientifique adapté Compétences travaillées : Mettre en œuvre un protocole expérimental Etudier l influence de différents paramètres sur un phénomène physique Communiquer et argumenter en utilisant un vocabulaire scientifique

Plus en détail

ELECTRONIQUE ANALOGIQUE

ELECTRONIQUE ANALOGIQUE LCTRONIQU ANALOGIQU CALCUL T XPRIMNTATION D UN AMPLIFICATUR A TRANSISTOR BIPOLAIR Joël RDOUTY Mise à jour décembre 2010 AMPLIFICATUR BASS FRQUNC A TRANSISTOR BIPOLAIR L'objectif de ce T est de montrer

Plus en détail

Electron S.R.L. - MERLINO - MILAN ITALIE Tel (++ 39 02) 90659200 Fax 90659180 Web www.electron.it, e-mail electron@electron.it

Electron S.R.L. - MERLINO - MILAN ITALIE Tel (++ 39 02) 90659200 Fax 90659180 Web www.electron.it, e-mail electron@electron.it Electron S.R.L. Design Production & Trading of Educational Equipment B3510--II APPLIICATIIONS DE TRANSDUCTEURS A ULTRASONS MANUEL D IINSTRUCTIIONS POUR L ETUDIIANT Electron S.R.L. - MERLINO - MILAN ITALIE

Plus en détail

Amplificateur à deux étages : gains, résistances "vues", droites de charges, distorsion harmonique

Amplificateur à deux étages : gains, résistances vues, droites de charges, distorsion harmonique Problème 6 Amplificateur à deux étages : gains, résistances "ues", droites de charges, distorsion harmonique Le circuit analysé dans ce problème est un exemple représentatif d'amplificateur réalisé à composants

Plus en détail

Décharge électrostatique

Décharge électrostatique Décharge électrostatique F. Rachidi École Polytechnique Fédérale de Lausanne Groupe Compatibilité Électromagnétique Farhad.Rachidi@epfl.ch http://emcwww.epfl.ch 1 Contenu Génération des charges statiques

Plus en détail

Introduction : Les modes de fonctionnement du transistor bipolaire. Dans tous les cas, le transistor bipolaire est commandé par le courant I B.

Introduction : Les modes de fonctionnement du transistor bipolaire. Dans tous les cas, le transistor bipolaire est commandé par le courant I B. Introduction : Les modes de fonctionnement du transistor bipolaire. Dans tous les cas, le transistor bipolaire est commandé par le courant. - Le régime linéaire. Le courant collecteur est proportionnel

Plus en détail

Acquisition et conditionnement de l information Les capteurs

Acquisition et conditionnement de l information Les capteurs Acquisition et conditionnement de l information Les capteurs COURS 1. Exemple d une chaîne d acquisition d une information L'acquisition de la grandeur physique est réalisée par un capteur qui traduit

Plus en détail

Mesures de temps de propagation de groupe sur convertisseurs de fréquence sans accès aux OL

Mesures de temps de propagation de groupe sur convertisseurs de fréquence sans accès aux OL Mesures de temps de propagation de groupe sur convertisseurs de fréquence sans accès aux Comment mesurer le temps de propagation de groupe sur des convertisseurs de fréquence dans lesquels le ou les oscillateurs

Plus en détail

CARACTERISTIQUE D UNE DIODE ET POINT DE FONCTIONNEMENT

CARACTERISTIQUE D UNE DIODE ET POINT DE FONCTIONNEMENT TP CIRCUITS ELECTRIQUES R.DUPERRAY Lycée F.BUISSON PTSI CARACTERISTIQUE D UNE DIODE ET POINT DE FONCTIONNEMENT OBJECTIFS Savoir utiliser le multimètre pour mesurer des grandeurs électriques Obtenir expérimentalement

Plus en détail

2. Couche physique (Couche 1 OSI et TCP/IP)

2. Couche physique (Couche 1 OSI et TCP/IP) 2. Couche physique (Couche 1 OSI et TCP/IP) 2.1 Introduction 2.2 Signal 2.3 Support de transmission 2.4 Adaptation du signal aux supports de transmission 2.5 Accès WAN 2.1 Introduction Introduction Rôle

Plus en détail

La Recherche du Point Optimum de Fonctionnement d un Générateur Photovoltaïque en Utilisant les Réseaux NEURO-FLOUS

La Recherche du Point Optimum de Fonctionnement d un Générateur Photovoltaïque en Utilisant les Réseaux NEURO-FLOUS Rev. Energ. Ren. : Chemss 2000 39-44 La Recherche du Point Optimum de Fonctionnement d un Générateur Photovoltaïque en Utilisant les Réseaux NEURO-FLOUS D.K. Mohamed, A. Midoun et F. Safia Département

Plus en détail

«SERVICES D INGENIERIE»

«SERVICES D INGENIERIE» PUNCH POWERGLIDE STRASBOURG 45 années d expériences Le pôle R & D de PPS rassemble plus d une centaine d experts, chefs de projet, ingénieurs et techniciens expérimentés en recherche et développement,

Plus en détail

Conception Electronique (CEL) Prof. Maurizio Tognolini

Conception Electronique (CEL) Prof. Maurizio Tognolini Conception Electronique (CEL) Prof. Maurizio Tognolini iai institut d Automatisation industrielle MTI/CEL 19/09/2010 v2.0 1 CEL semestre «automne» 2010-2011 Enseignement: cours et labo: (Chaque semaine)

Plus en détail

Superstrat tout Dielectrique Pour le Contrôle de l Ouverture Angulaire d'une Antenne à Double Polarisation

Superstrat tout Dielectrique Pour le Contrôle de l Ouverture Angulaire d'une Antenne à Double Polarisation URSI-France Journées scientifiques 26/27 mars 2013 Superstrat tout Dielectrique Pour le Contrôle de l Ouverture Angulaire d'une Antenne à Double Polarisation All Dielectric Superstrate to Control the Half-Power-BeamWidth

Plus en détail

Version MOVITRANS 04/2004. Description 1121 3027 / FR

Version MOVITRANS 04/2004. Description 1121 3027 / FR MOVITRANS Version 04/2004 Description 1121 3027 / FR SEW-USOCOME 1 Introduction... 4 1.1 Qu est-ce-que le MOVITRANS?... 4 1.2 Domaines d utilisation du MOVITRANS... 4 1.3 Principe de fonctionnement...

Plus en détail

Sujet proposé par Yves M. LEROY. Cet examen se compose d un exercice et de deux problèmes. Ces trois parties sont indépendantes.

Sujet proposé par Yves M. LEROY. Cet examen se compose d un exercice et de deux problèmes. Ces trois parties sont indépendantes. Promotion X 004 COURS D ANALYSE DES STRUCTURES MÉCANIQUES PAR LA MÉTHODE DES ELEMENTS FINIS (MEC 568) contrôle non classant (7 mars 007, heures) Documents autorisés : polycopié ; documents et notes de

Plus en détail

Expérience 3 Formats de signalisation binaire

Expérience 3 Formats de signalisation binaire Expérience 3 Formats de signalisation binaire Introduction Procédures Effectuez les commandes suivantes: >> xhost nat >> rlogin nat >> setenv DISPLAY machine:0 >> setenv MATLABPATH /gel/usr/telecom/comm_tbx

Plus en détail

MESURE DE LA TEMPERATURE

MESURE DE LA TEMPERATURE 145 T2 MESURE DE LA TEMPERATURE I. INTRODUCTION Dans la majorité des phénomènes physiques, la température joue un rôle prépondérant. Pour la mesurer, les moyens les plus couramment utilisés sont : les

Plus en détail

Analyseur de réseaux radio R&S TSMU. Les interférences sources de brouillage fréquentes dans les réseaux radio

Analyseur de réseaux radio R&S TSMU. Les interférences sources de brouillage fréquentes dans les réseaux radio RADIOCOMS MOBILES Systèmes de mesure de couverture 44820/2 Fig. 1 Le R&S TSMU peut reconnaître et analyser automatiquement les interférences co-canal et canaux adjacents dans les réseaux GSM pendant une

Plus en détail

Anticiper pour avoir une innovation d'avance : le leitmotiv de Pierre Jouniaux, entrepreneur du big data!

Anticiper pour avoir une innovation d'avance : le leitmotiv de Pierre Jouniaux, entrepreneur du big data! Anticiper pour avoir une innovation d'avance : le leitmotiv de Pierre Jouniaux, entrepreneur du big data! Pierre Jouniaux http://www.safety line.fr CV : Pierre Jouniaux, ingénieur aéronautique, pilote

Plus en détail

Transmission d informations sur le réseau électrique

Transmission d informations sur le réseau électrique Transmission d informations sur le réseau électrique Introduction Remarques Toutes les questions en italique devront être préparées par écrit avant la séance du TP. Les préparations seront ramassées en

Plus en détail

Comparaison des performances d'éclairages

Comparaison des performances d'éclairages Comparaison des performances d'éclairages Présentation Support pour alimenter des ampoules de différentes classes d'efficacité énergétique: une ampoule LED, une ampoule fluorescente, une ampoule à incandescence

Plus en détail

Le concept cellulaire

Le concept cellulaire Le concept cellulaire X. Lagrange Télécom Bretagne 21 Mars 2014 X. Lagrange (Télécom Bretagne) Le concept cellulaire 21/03/14 1 / 57 Introduction : Objectif du cours Soit un opérateur qui dispose d une

Plus en détail

Comment aborder en pédagogie l aspect «système» d une chaîne télécom?

Comment aborder en pédagogie l aspect «système» d une chaîne télécom? Comment aborder en pédagogie l aspect «système» d une chaîne télécom? Introduction : Guillaume Ducournau, Christophe Gaquière, Thierry Flamen guillaume.ducournau@polytech-lille.fr Plate-forme PolyCOM,

Plus en détail

LA COUCHE PHYSIQUE EST LA COUCHE par laquelle l information est effectivemnt transmise.

LA COUCHE PHYSIQUE EST LA COUCHE par laquelle l information est effectivemnt transmise. M Informatique Réseaux Cours bis Couche Physique Notes de Cours LA COUCHE PHYSIQUE EST LA COUCHE par laquelle l information est effectivemnt transmise. Les technologies utilisées sont celles du traitement

Plus en détail

SYSTEME DE PALPAGE A TRANSMISSION RADIO ETUDE DU RECEPTEUR (MI16) DOSSIER DE PRESENTATION. Contenu du dossier :

SYSTEME DE PALPAGE A TRANSMISSION RADIO ETUDE DU RECEPTEUR (MI16) DOSSIER DE PRESENTATION. Contenu du dossier : SYSTEME DE PALPAGE A TRANSMISSION RADIO ETUDE DU RECEPTEUR (MI16) DOSSIER DE PRESENTATION Contenu du dossier : 1. PRESENTATION DU SYSTEME DE PALPAGE A TRANSMISSION RADIO....1 1.1. DESCRIPTION DU FABRICANT....1

Plus en détail

Extrait des Exploitations Pédagogiques

Extrait des Exploitations Pédagogiques Pédagogiques Module : Compétitivité et créativité CI Première : Compétitivité et créativité CI institutionnel : Développement durable et compétitivité des produits Support : Robot - O : Caractériser les

Plus en détail

Enregistrement et transformation du son. S. Natkin Novembre 2001

Enregistrement et transformation du son. S. Natkin Novembre 2001 Enregistrement et transformation du son S. Natkin Novembre 2001 1 Éléments d acoustique 2 Dynamique de la puissance sonore 3 Acoustique géométrique: effets de diffusion et de diffraction des ondes sonores

Plus en détail

0 20mV; 0 40mV; 0 80mV; 0 160mV; 0 320mV; 0 640mV; 0 1,28V; 0 2,56V 0 5V; 0 10V

0 20mV; 0 40mV; 0 80mV; 0 160mV; 0 320mV; 0 640mV; 0 1,28V; 0 2,56V 0 5V; 0 10V ITM carte d entrèes analogues INTERFACES DE PROCES La carte ITM a 8 isolées entrées analogiques, chaque canal a un 16 bit A/N convertisseurs, avec une haute stabilité et une très haute rapport de réjection

Plus en détail

Chapitre 13 Numérisation de l information

Chapitre 13 Numérisation de l information DERNIÈRE IMPRESSION LE 2 septembre 2013 à 17:33 Chapitre 13 Numérisation de l information Table des matières 1 Transmission des informations 2 2 La numérisation 2 2.1 L échantillonage..............................

Plus en détail

DIFFRACTion des ondes

DIFFRACTion des ondes DIFFRACTion des ondes I DIFFRACTION DES ONDES PAR LA CUVE À ONDES Lorsqu'une onde plane traverse un trou, elle se transforme en onde circulaire. On dit que l'onde plane est diffractée par le trou. Ce phénomène

Plus en détail

WWW.ELCON.SE Multichronomètre SA10 Présentation générale

WWW.ELCON.SE Multichronomètre SA10 Présentation générale WWW.ELCON.SE Multichronomètre SA10 Présentation générale Le SA10 est un appareil portable destiné au test des disjoncteurs moyenne tension et haute tension. Quoiqu il soit conçu pour fonctionner couplé

Plus en détail

Chapitre 1 Régime transitoire dans les systèmes physiques

Chapitre 1 Régime transitoire dans les systèmes physiques Chapitre 1 Régime transitoire dans les systèmes physiques Savoir-faire théoriques (T) : Écrire l équation différentielle associée à un système physique ; Faire apparaître la constante de temps ; Tracer

Plus en détail

TP Détection d intrusion Sommaire

TP Détection d intrusion Sommaire TP Détection d intrusion Sommaire Détection d intrusion : fiche professeur... 2 Capteur à infra-rouge et chaîne de mesure... 4 Correction... 14 1 Détection d intrusion : fiche professeur L'activité proposée

Plus en détail

LES DIFFÉRENTS FORMATS AUDIO NUMÉRIQUES

LES DIFFÉRENTS FORMATS AUDIO NUMÉRIQUES LES DIFFÉRENTS FORMATS AUDIO NUMÉRIQUES Compétences mises en jeu durant l'activité : Compétences générales : S'impliquer, être autonome. Compétence(s) spécifique(s) : Reconnaître des signaux de nature

Plus en détail

Synthèse des convertisseurs statiques DC/AC pour les systèmes photovoltaïques

Synthèse des convertisseurs statiques DC/AC pour les systèmes photovoltaïques Revue des Energies Renouvelables ICESD 11 Adrar (2011) 101 112 Synthèse des convertisseurs statiques DC/AC pour les systèmes photovoltaïques M. Meddah *, M. Bourahla et N. Bouchetata Faculté de Génie Electrique,

Plus en détail

Contributions à l expérimentation sur les systèmes distribués de grande taille

Contributions à l expérimentation sur les systèmes distribués de grande taille Contributions à l expérimentation sur les systèmes distribués de grande taille Lucas Nussbaum Soutenance de thèse 4 décembre 2008 Lucas Nussbaum Expérimentation sur les systèmes distribués 1 / 49 Contexte

Plus en détail

Partie Agir : Défis du XXI ème siècle CHAP 20-ACT EXP Convertisseur Analogique Numérique (CAN)

Partie Agir : Défis du XXI ème siècle CHAP 20-ACT EXP Convertisseur Analogique Numérique (CAN) 1/5 Partie Agir : Défis du XXI ème siècle CHAP 20-ACT EXP Convertisseur Analogique Numérique (CAN) Objectifs : Reconnaître des signaux de nature analogique et des signaux de nature numérique Mettre en

Plus en détail

Analyse de la bande passante

Analyse de la bande passante Analyse de la bande passante 1 Objectif... 1 2 Rappels techniques... 2 2.1 Définition de la bande passante... 2 2.2 Flux ascendants et descandants... 2 2.3 Architecture... 2 2.4 Bande passante et volumétrie...

Plus en détail

CULTe Le samedi 9 février2008 à 15h. Conf 1 : WIFI, les bases

CULTe Le samedi 9 février2008 à 15h. Conf 1 : WIFI, les bases CULTe Le samedi 9 février2008 à 15h Conf 1 : WIFI, les bases 1) Principes de fonctionnement (antennes, fréquences, emetteurs/recepteurs, point d'accés) a) Les grandes classes de fréquences HF, 300 Khz

Plus en détail

Convertisseurs statiques d'énergie électrique

Convertisseurs statiques d'énergie électrique Convertisseurs statiques d'énergie électrique I. Pourquoi des convertisseurs d'énergie électrique? L'énergie électrique utilisée dans l'industrie et chez les particuliers provient principalement du réseau

Plus en détail

Caractéristiques des ondes

Caractéristiques des ondes Caractéristiques des ondes Chapitre Activités 1 Ondes progressives à une dimension (p 38) A Analyse qualitative d une onde b Fin de la Début de la 1 L onde est progressive puisque la perturbation se déplace

Plus en détail

T500 DUAlTACH. JAQUET T500 DualTach Instrument de mesure et de surveillance équipé de 2 entrées fréquence TACHYMETRE 2 CANAUX

T500 DUAlTACH. JAQUET T500 DualTach Instrument de mesure et de surveillance équipé de 2 entrées fréquence TACHYMETRE 2 CANAUX 02-09 T500 DUAlTACH JAQUET T500 DualTach Instrument de mesure et de surveillance équipé de 2 entrées fréquence JAQUET T500 DualTach Instrument multi canal de mesure et de surveillance pour applications

Plus en détail

Etude RFPro Exposition professionnelle

Etude RFPro Exposition professionnelle Société de médecine et santé au travail 20 mars 2009 Etude RFPro Exposition professionnelle A. Massardier-Pilonchéry, M. Hours T. Demallmann, C. Dousson, G. Lafon, M. Gillet, Jc.Gobet, E. Trescol UMRESTTE

Plus en détail

Electron S.R.L. SERIE B46 - SYSTEMES DIDACTIQUES DE TELEPHONIE

Electron S.R.L. SERIE B46 - SYSTEMES DIDACTIQUES DE TELEPHONIE Electron S.R.L. Design Production & Trading of Educational Equipment SERIE B46 - SYSTEMES DIDACTIQUES DE TELEPHONIE Specifications may change without notic Page 1 of 9 File BROCHURE B46xx B4610 UNITE DIDACTIQUE

Plus en détail

Le réseau sans fil "Wi - Fi" (Wireless Fidelity)

Le réseau sans fil Wi - Fi (Wireless Fidelity) Professionnel Page 282 à 291 Accessoires Page 294 TPE / Soho Page 292 à 293 Le réseau sans fil "Wi - Fi" (Wireless Fidelity) Le a été défini par le Groupe de travail WECA (Wireless Ethernet Compatibility

Plus en détail

Mini_guide_Isis_v6.doc le 10/02/2005 Page 1/15

Mini_guide_Isis_v6.doc le 10/02/2005 Page 1/15 1 Démarrer... 2 1.1 L écran Isis... 2 1.2 Les barres d outils... 3 1.2.1 Les outils d édition... 3 1.2.2 Les outils de sélection de mode... 4 1.2.3 Les outils d orientation... 4 2 Quelques actions... 5

Plus en détail

MESURES D UN ENVIRONNEMENT RADIOELECTRIQUE AVEC UN RECEPTEUR CONVENTIONNEL ETALONNE

MESURES D UN ENVIRONNEMENT RADIOELECTRIQUE AVEC UN RECEPTEUR CONVENTIONNEL ETALONNE Jacques Mézan de Malartic / F2MM MESURES D UN ENVIRONNEMENT RADIOELECTRIQUE AVEC UN RECEPTEUR CONVENTIONNEL ETALONNE 1- Objectif des mesures (Page 1) 1-1 Critères de qualité radio 1-2 Principe des mesures

Plus en détail

DAC. avec interface USB audio et préampli stéréo Casque CONVERTISSEUR DIGITAL VERS ANALOGIQUE. Guide d utilisation V1.1 Jan 2011

DAC. avec interface USB audio et préampli stéréo Casque CONVERTISSEUR DIGITAL VERS ANALOGIQUE. Guide d utilisation V1.1 Jan 2011 réf 2080 avec interface USB audio et préampli stéréo Casque CONVERTISSEUR DIGITAL VERS ANALOGIQUE Guide d utilisation V1.1 Jan 2011 DAC NTRODUCTION Merci d'avoir acheté ce DAC (convertisseur audio numérique-analogique)

Plus en détail

Fonctions de la couche physique

Fonctions de la couche physique La Couche physique 01010110 01010110 Couche physique Signal Médium Alain AUBERT alain.aubert@telecom-st-etienne.r 0 Fonctions de la couche physique 1 1 Services assurés par la couche physique Transmettre

Plus en détail

PRINCIPE, REGULATION et RECHERCHE de PANNES

PRINCIPE, REGULATION et RECHERCHE de PANNES NOTICE TECHNIQUE N 003 Date : 08/04/03 Révisé le: 14/09/07 ALTERNATEUR PRINCIPE, REGULATION et RECHERCHE de PANNES 1 ) Principe : Contrairement à la dynamo qui produit du courant alternatif redressé par

Plus en détail

Chapitre 18 : Transmettre et stocker de l information

Chapitre 18 : Transmettre et stocker de l information Chapitre 18 : Transmettre et stocker de l information Connaissances et compétences : - Identifier les éléments d une chaîne de transmission d informations. - Recueillir et exploiter des informations concernant

Plus en détail

Manipulations du laboratoire

Manipulations du laboratoire Manipulations du laboratoire 1 Matériel Les manipulations de ce laboratoire sont réalisées sur une carte électronique comprenant un compteur 4-bit asynchrone (74LS93) avec possibilité de déclenchement

Plus en détail

UE 503 L3 MIAGE. Initiation Réseau et Programmation Web La couche physique. A. Belaïd

UE 503 L3 MIAGE. Initiation Réseau et Programmation Web La couche physique. A. Belaïd UE 503 L3 MIAGE Initiation Réseau et Programmation Web La couche physique A. Belaïd abelaid@loria.fr http://www.loria.fr/~abelaid/ Année Universitaire 2011/2012 2 Le Modèle OSI La couche physique ou le

Plus en détail

LA MESURE INDUSTRIELLE

LA MESURE INDUSTRIELLE E02 LA MESURE INDUSTRIELLE 20 Heures Technicien responsable de la maintenance Approfondir les techniques de mesure; Prendre en compte l aspect métrologie. Connaître les limites et les facteurs d influences

Plus en détail

Projet de synthèse de l'électronique analogique : réalisation d'une balance à jauges de contrainte

Projet de synthèse de l'électronique analogique : réalisation d'une balance à jauges de contrainte J3eA, Journal sur l enseignement des sciences et technologies de l information et des systèmes, Volume 4, HorsSérie 2, 20 (2005) DOI : http://dx.doi.org/10.1051/bibj3ea:2005720 EDP Sciences, 2005 Projet

Plus en détail

TELEVISION NUMERIQUE

TELEVISION NUMERIQUE REPUBLIQUE DU CAMEROUN Paix - Travail Patrie --------------------- UNIVERSITE DE YAOUNDE I ---------------------- ECOLE NATIONALE SUPERIEURE POLYTECHNIQUE ---------------------- REPUBLIC OF CAMEROUN Peace

Plus en détail

Système ASC unitaire triphasé. PowerScale 10 50 kva Maximisez votre disponibilité avec PowerScale

Système ASC unitaire triphasé. PowerScale 10 50 kva Maximisez votre disponibilité avec PowerScale Système ASC unitaire triphasé 10 50 kva Maximisez votre disponibilité avec Protection de première qualité est un système ASC triphasé de taille moyenne qui offre une protection électrique remarquable pour

Plus en détail

Intelligence Artificielle et Systèmes Multi-Agents. Badr Benmammar bbm@badr-benmammar.com

Intelligence Artificielle et Systèmes Multi-Agents. Badr Benmammar bbm@badr-benmammar.com Intelligence Artificielle et Systèmes Multi-Agents Badr Benmammar bbm@badr-benmammar.com Plan La première partie : L intelligence artificielle (IA) Définition de l intelligence artificielle (IA) Domaines

Plus en détail

ACOUSTIQUE 3 : ACOUSTIQUE MUSICALE ET PHYSIQUE DES SONS

ACOUSTIQUE 3 : ACOUSTIQUE MUSICALE ET PHYSIQUE DES SONS Matériel : Logiciel winoscillo Logiciel synchronie Microphone Amplificateur Alimentation -15 +15 V (1) (2) (3) (4) (5) (6) ACOUSTIQUE 3 : ACOUSTIQUE MUSICALE ET PHYSIQUE DES SONS Connaissances et savoir-faire

Plus en détail

AOMS : UN NOUVEL OUTIL DE PHOTOGRAMMÉTRIE

AOMS : UN NOUVEL OUTIL DE PHOTOGRAMMÉTRIE AOMS : UN NOUVEL OUTIL DE PHOTOGRAMMÉTRIE A. Dumont, F. Jallon et JB. Monnerie ESIC SN Z.A. du buisson de la couldre 1 Allée des Châtaigniers - F78190 TRAPPES S. Naudet, P. Sayd et M. Viala * LETI (CEA

Plus en détail

ÉTUDE DE LA SUSCEPTIBILITÉ DES CIRCUITS INTÉGRÉS NUMÉRIQUES AUX AGRESSIONS HYPER-FRÉQUENCES

ÉTUDE DE LA SUSCEPTIBILITÉ DES CIRCUITS INTÉGRÉS NUMÉRIQUES AUX AGRESSIONS HYPER-FRÉQUENCES N o d ordre : 817 THÈSE présentée à L INSTITUT NATIONAL DES SCIENCES APPLIQUÉES DE TOULOUSE pour l obtention du titre de DOCTEUR de l Institut National des Sciences Appliquées de Toulouse Spécialité :

Plus en détail

Étude des Corrélations entre Paramètres Statiques et Dynamiques des Convertisseurs Analogique-Numérique en vue d optimiser leur Flot de Test

Étude des Corrélations entre Paramètres Statiques et Dynamiques des Convertisseurs Analogique-Numérique en vue d optimiser leur Flot de Test 11 juillet 2003 Étude des Corrélations entre Paramètres Statiques et Dynamiques des Convertisseurs Analogique-Numérique en vue d optimiser leur Flot de Test Mariane Comte Plan 2 Introduction et objectif

Plus en détail