En France métropolitaine, le côlon-rectum est la plus fréquente des localisations cancéreuses après
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- Carole Larouche
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1 PATHOLOGIES CANCERS DU CÔLON-RECTUM Dans le thème «Pathologies» Mortalité générale et espérance de vie. Mortalité prématurée. Maladies cardiovasculaires. Cancers : vue d ensemble. Cancers du poumon. Cancers du sein. Sida. Fiche 2.7 Novembre 2011 Contexte En France métropolitaine, le côlon-rectum est la plus fréquente des localisations cancéreuses après la prostate et le poumon chez l homme, et après le sein chez la femme. Ce cancer est rare avant 50 ans. Au-delà, le nombre de nouveaux cas augmente très rapidement. On estime qu un homme sur 17 et une femme sur 20 en seront atteints au cours de leur existence. En 25 ans, alors que le nombre de nouveaux cas augmente en France métropolitaine, la mortalité par cancer colorectal a diminué de façon importante pour les deux sexes. Cette évolution dissociée semble liée à un diagnostic plus précoce, associé à une amélioration du traitement (baisse de la mortalité opératoire et augmentation de l opérabilité). Le cancer du côlon-rectum est l un des cancers susceptible de bénéficier d un dépistage de masse. Ce dernier repose sur un test de détection du sang occulte dans les selles (Hemoccult ) qui permet de suspecter l existence de polypes adénomateux, susceptibles de se transformer en cancer ou de lésions cancéreuses à un stade précoce. En cas de test positif, une coloscopie est proposée. Ce type de dépistage devrait permettre de réduire d au moins de 15 la mortalité par cancer colorectal au niveau national à condition que plus de 50 de la population concernée participe régulièrement au dépistage et qu une coloscopie soit faite en cas de dépistage positif. Mis en place initialement dans 23 départements pilotes dont l Hérault et les Pyrénées-Orientales, le programme de dépistage organisé du cancer colorectal s est développé progressivement en France et s est généralisé à l ensemble des départements en 2009 : un test de dépistage est proposé tous les deux ans, aux hommes et femmes âgés de 50 à 74 ans qui n ont pas de risque particulier pour ce cancer, par l intermédiaire de leur médecin traitant. Les sujets à risque élevé (antécédents personnels ou familiaux de polype ou de cancer colorectal, antécédents de maladie inflammatoire de l intestin) doivent quant à eux bénéficier d un suivi spécifique par coloscopie. Des tests de dépistage des prédispositions génétiques peuvent également être proposés dans le cadre de consultation d oncogénétique aux patients atteints de maladies associées aux gènes majeurs de susceptibilité du cancer colorectal et à leur famille. Mais la prévention primaire du cancer colorectal est également possible. Selon le rapport de l Agence française de sécurité sanitaire des aliments «Nutrition et cancer», l ensemble des facteurs nutritionnels (alimentation, alcool, surcharge pondérale et activité physique insuffisante) interviendrait dans l apparition d un tiers des cancers les plus communs. L essentiel à retenir en Languedoc-Roussillon En Languedoc-Roussillon, le cancer du côlon-rectum a été responsable de plus de 730 en moyenne annuelle entre 2007 et Il constitue la 3 e cause de par cancer chez les hommes et la 2 e à quasi-égalité avec le poumon chez les femmes. Une fois prises en compte les différences de structure par âge de la population, la mortalité régionale par cancer du côlon-rectum semble se stabiliser depuis Les taux de mortalité par cancer du côlon-rectum régionaux restent en dessous des taux observés au niveau national et suivent la tendance observée à la baisse depuis une vingtaine d années. Le nombre estimé de nouveaux cas de cancers du côlon-rectum en 2010 s élève à près de en Languedoc-Roussillon. Les hommes sont le plus souvent concernés. En 2010, les taux de participation au dépistage du côlon-rectum organisé dans les départements du Languedoc-Roussillon sont inférieurs aux objectifs fixés et un peu en dessous du taux moyen en France métropolitaine, mais le dépistage organisé est récent dans l ensemble des départements du Languedoc-Roussillon (2009). Une spécificité en Languedoc-Roussillon... Une des priorités régionales de santé publique est d augmenter la participation au dépistage organisé du cancer du côlon-rectum et de l ancrer dans les habitudes des femmes et des hommes de 50 ans à 74 ans. Pour cela, des structures départementales œuvrent dans ce sens en Languedoc-Roussillon (cf. page 6). 1
2 CANCERS DU CÔLON-RECTUM Trois quarts des par cancer du côlon-rectum surviennent après 70 ans Les cancers du côlon-rectum ont été responsables de 732 en moyenne chaque année dans la région pour la période Les hommes restent les plus touchés par ce cancer : plus d un sur 2 (54,0 ). Près de 11 des par cancer sont provoqués par un cancer du côlon-rectum. Cette localisation est celle qui provoque le plus de par cancer en Languedoc-Roussillon après le poumon et la prostate chez les hommes. Le cancer du côlon-rectum est la 2 e cause de par cancer chez les femmes à quasi-égalité avec le poumon et après le cancer du sein. Les par cancer du côlon-rectum restent plus fréquents après 70 ans. Ils représentent les trois quarts des par cancer du côlon-rectum. Cette proportion est plus élevée chez les femmes que chez les hommes : 79 contre 71. Nombre de par cancer du côlon-rectum par tranche d âge en en Languedoc-Roussillon (en moyenne annuelle) Languedoc-Roussillon France métropolitaine Ensemble Hommes Femmes Ensemble Hommes Femmes < 50 ans 16 2,2 7 1,8 9 2, , , , ans 21 2,9 14 3,5 7 2, , , , ans 33 4,5 21 5,3 12 3, , , , ans 53 7,2 34 8,6 19 5, , , , ans 63 8,6 39 9,9 24 7, , , , ans 86 11, , , , , , ans , , , , , , ans , , , , , ,1 85 ans ou , , , , , ,8 Total , , , , , ,0 Source : Inserm CépiDc - Exploitation ORS L-R Taux brut de mortalité par cancer du côlon-rectum en Languedoc-Roussillon par âge et par sexe en (en moyenne annuelle) Unité : taux pour habitants du même sexe Échelle logarithmique < ans Languedoc-Roussillon France métropolitaine ou + 2
3 Stabilisation de la mortalité par cancer du côlon-rectum depuis deux ans Après une période d augmentation entre et , la mortalité par cancer du côlon-rectum a légèrement diminué, voire s est stabilisée ces dernières années, une fois prises en compte les différences de structure par âge de la population. Globalement, les taux standardisés de mortalité par cancer du côlon-rectum chez les hommes et chez les femmes sont nettement inférieurs ces dernières années à ceux observés au niveau national. Évolution des taux standardisés de mortalité par cancer du côlon-rectum en Languedoc-Roussillon entre et Unité : taux pour habitants du même sexe * 1999* 2000* 2001* 2002* 2003* 2004* 2005* 2006* 2007* 2008* Languedoc-Roussillon France métropolitaine *Année centrale pour le calcul de données lissées sur 3 ans Près de six nouveaux cas sur dix de cancer du côlon-rectum sont diagnostiqués chez les hommes Malgré une stabilisation récente de la mortalité en Languedoc-Roussillon, on assiste à une augmentation du nombre de nouveaux cas de cancers du côlon-rectum. Cette augmentation est due en partie à la croissance de la population et son vieillissement. L autre partie est due aux pratiques du dépistage précoce qui amènent à identifier des cancers du côlon-rectum de plus en plus tôt. Selon les estimations régionales publiées par le Registre des tumeurs dans l Hérault et portant sur l année 2010, près de nouveaux cas de cancer de côlon-rectum ont été recensés en Languedoc-Roussillon, soit 11 de l ensemble des nouveaux cas estimés en 2010 en Languedoc-Roussillon. Près de six nouveaux cas de cancer de côlon-rectum sur dix (58 ) sont recensés chez les hommes. CANCERS DU CÔLON-RECTUM Nouveaux cas estimés de cancer du côlon-rectum en 2010 e en Languedoc-Roussillon Ensemble Hommes Femmes Nb de cas Taux brut 1 Nb de cas Taux brut 1 Nb de cas Taux brut 1 Aude , , ,5 Gard , , ,4 Hérault , , ,1 Lozère 63 81, , ,3 Pyrénées-Orientales , , ,4 Languedoc-Roussillon , , ,6 Sources : Registre des tumeurs de l Hérault, Insee - Exploitation ORS L-R e : estimation (cf. à l encadré «Précision») 1 : nombre de nouveaux cas pour habitants de même sexe 3
4 CANCERS DU CÔLON-RECTUM Taux standardisé de mortalité par cancer du côlon-rectum en (en moyenne annuelle) Unité : taux pour habitants du même sexe...chez les hommes... France métropolitaine : 36,0 Languedoc-Roussillon : 33,0 29,7 34,7 33,0 29,7 33,8 40,9-42,7 36,6-40,8 32,3-36,5 23,8-32,2...Chez les femmes... France métropolitaine : 20,9 Languedoc-Roussillon : 19,0 12,4 19,6 18,8 20,8 18,8 23,0-26,2 20,9-22,9 18,8-20,8 15,1-18,7 Note de lecture : Chez les hommes, une fois prises en compte les différences de structure par âge de la population, trois régions du Sud (Midi- Pyrénées, Languedoc-Roussillon et Provence-Alpes-Côte d Azur) se caractérisent par une mortalité par cancer du côlon-rectum plus faible que la moyenne nationale. Au niveau départemental, la mortalité par cancer du côlon-rectum dans l Aude et en Lozère est beaucoup plus faible encore. 4
5 Plus de la moitié des nouvelles admissions en affections de longue durée pour cancer du côlon-rectum concerne les hommes En 2009, nouvelles admissions en affection de longue durée (ALD) ont été enregistrées pour un cancer du côlon-rectum par les trois principaux régimes d assurance maladie (général, agricole et des professions indépendantes). Les admissions pour cancer du côlon-rectum représentent 11,3 de l ensemble des ALD pour cancer en région en Les hommes sont plus concernés que les femmes : 53 de l ensemble des ALD pour cancer du côlon-rectum. Ce nombre d admissions continue d augmenter. Entre 2005 et 2009, une hausse de 14,2 est observée. Après standardisation sur l âge et le sexe, on constate que les Pyrénées-Orientales est le département présentant un taux d admission en ALD plus élevé que la moyenne régionale. À l opposé, la Lozère présente un taux inférieur. Les nouvelles admissions en affection de longue durée pour cancer du côlon-rectum en 2009 en Languedoc-Roussillon Nb Ensemble Hommes Femmes Taux standardisé 1 Nb Taux standardisé 1 Nb Taux standardisé 1 Aude Gard Hérault Lozère Pyrénées- Orientales Languedoc- Roussillon Sources : Cnamts, MSA, RSI, Insee - Exploitation ORS L-R 1 : taux standardisé d ALD pour habitants de même sexe Près de séjours hospitaliers pour tumeur maligne du côlon-rectum Le cancer du côlon-rectum a été à l origine de séjours hospitaliers en 2009 en Languedoc-Roussillon, représentant 11,5 de l ensemble des séjours pour cancer en diagnostic principal. Cette localisation cancéreuse constitue une des premières causes d hospitalisation dans les services de soins de courte durée. Près des deux tiers des séjours hospitaliers pour tumeur maligne du côlon-rectum sont enregistrés dans les départements de l Hérault et du Gard. Les séjours hospitaliers pour tumeur maligne du côlon-rectum en Languedoc-Roussillon en 2009 Nb de séjours Aude ,1 Gard ,1 Hérault ,1 Lozère 102 2,8 Pyrénées-Orientales ,0 Languedoc-Roussillon ,0 Source : PMSI - Exploitation ORS L-R Le dépistage organisé du cancer du côlon-rectum en Languedoc- Roussillon Le dépistage organisé du cancer colorectal a été généralisé à tout le territoire régional en 2009 et il est coordonné au niveau local par quatre structures de gestion (les mêmes que pour le dépistage organisé du cancer du sein). L Hérault et les Pyrénées-Orientales ont débuté avant 2007 en tant que départements pilotes et viennent donc de terminer leur deuxième campagne (une campagne se conduit sur deux années consécutives, la moitié de la population cible étant invitée chaque année). En 2010, près de hommes et femmes de 50 à 74 ans ont été invités à se faire dépister en Languedoc-Roussillon et un quart (25,6 ) a réalisé un test Hemoccult. Suite à un test positif, coloscopies ont été effectuées, soit pour 3,6 des tests réalisés. Parmi les personnes ayant eu une coloscopie, 3,4 ont appris qu elles étaient atteintes d un cancer du côlon-rectum : au total, 120 cancers de cette localisation ont été découverts (résultats provisoires) en En tenant compte des personnes exclues du dépistage, le taux de participation au dépistage du cancer colorectal est de 29,4 en 2010 (28,2 sur la campagne ) en Languedoc-Roussillon. Le taux départemental le plus élevé est enregistré pour les Pyrénées- Orientales (40,9 en 2010) et le plus faible pour la Lozère (18,0 en 2010). Les taux sont encore éloignés des objectifs fixés (atteindre 60 en 2013 selon le plan cancer) tant au niveau local qu au niveau national. Un des objectifs du Plan cancer est de faire augmenter de façon générale de 15 la participation à ce dépistage organisé, voire de l augmenter de 50 dans les départements où le taux est le plus faible grâce à des actions ciblées sur ces territoires. Les principaux résultats de la participation au dépistage organisé du cancer du côlon-rectum en Languedoc-Roussillon en 2010 Nombre de personnes invitées Nombre de tests réalisés Nombre de coloscopies effectuées Nombre de cancers découverts Taux de participation Insee * () Aude ,0 Gard P 24,9 Hérault ,0 Lozère P 18,0 Pyrénées-Orientales ,9 Languedoc-Roussillon ,4 Sources : Structures départementales de gestion, Insee, ORS L-R p : résultats provisoires car certains dossiers sont toujours en attente de résultats * Cf méthodologie p. 6 Limites : ces résultats de participation doivent être pris avec précaution car ce dépistage organisé n a que deux ans de généralisation sur l ensemble du territoire régional. CANCERS DU CÔLON-RECTUM 5
6 CANCERS DU CÔLON-RECTUM Novembre 2011 Les cancers correspondent aux maladies classées C00 à C97 selon la dixième classification internationale des maladies (CIM10). Sont exclus les tumeurs bénignes (D10-D36 en CIM10) et les tumeurs au stade initial de leur développement et celles à évolution imprévisible et de nature non précisée (D00-D09, D37-D48 en CIM10). Les cancers du côlon-rectum étudiés dans cette fiche correspondent aux maladies classées en CIM10 entre C18 et C21. Nouveaux cas de cancer : nombre de nouveaux cas diagnostiqués de cancer au cours d une période de temps. Le taux brut de mortalité par tranche d âge quinquennale chez les hommes (respectivement chez les femmes) est égal au nombre de masculins (respectivement féminins) par cancer rapporté à la population masculine (respectivement féminine) du même âge (taux de mortalité spécifique). Les cancers correspondent uniquement aux tumeurs malignes. Modalités d élaboration et limites des statistiques médicales de : voir fiche «Mortalité générale et espérance de vie» dans le même thème. Les données sur les ALD figurant dans ce document concernent les assurés et les ayants droits du régime général, du régime agricole et du régime des professions indépendantes. Elles ont été fournies par les services médicaux de ces trois régimes. Les données disponibles sont des données par affection et non par individu : plusieurs individus peuvent apparaître autant de fois qu ils sont admis pour une ALD (effet de la loi d août 2004). Les données sur les séjours hospitaliers proviennent de l exploitation de la base PMSI (programme de médicalisation des systèmes d information), mesure médico-économique de l activité hospitalière. Cette base rassemble des données de séjour dans les services de soins de courte durée (médecine, chirurgie, obstétrique) des établissements de santé publics et privés. Les données sont domiciliées et concernent les séjours hospitaliers dont le cancer du côlon-rectum a constitué le diagnostic principal. L unité de base est le séjour, un même patient ayant pu effectuer plusieurs séjours. Pour en savoir plus : Base de données Score santé, Fnors Base nationale des causes médicales de , Inserm CépiDc Base nationale des affections de longue durée (ALD) 2009, Cnamts, MSA, RSI Base nationale PMSI 2009, Atih. Le cancer dans l Hérault Édition spéciale : évolution sur 20 ans Registre des Tumeurs de l Hérault, 2010, 218 p. Bilan du plan cancer en Languedoc-Roussillon. ORS LR, Drass LR, 2008, 176 p. Dossiers thématiques cancers : surveillance épidémiologique des cancers / Évaluation des programmes de dépistage des cancers. InVS, mise à jour 2011/07, Évaluation épidémiologique du dépistage organisé du cancer colorectal en France. Résultats des programmes pilotes au-delà de la première campagne. InVS, 2010, 12 p. Dépistage organisé du cancer colorectal : guide du format des données et définitions des indicateurs de l évaluation du programme national. InVS, 2010, 80 p. Numéro thématique Dépistage organisé du cancer colorectal en France. InVS, Bulletin épidémiologique hebdomadaire, n 02-03, 2009, 32 p. Projection de l incidence et de la mortalité par cancer en France en InVS, 2011, 78 p. Plan cancer Inca, 2009, 136 p. L état de santé de la population en France en : indicateurs associés à la loi relative à la politique de santé publique. Drees, 2010, 309 p. Méthodologie Précisions Le taux standardisé est le taux que l on observerait dans la région (ou le département) si elle (ou il) avait la même structure par âge que la population de référence (population de France métropolitaine au recensement de 2008). Affection de longue durée (ALD) : affection nécessitant un traitement prolongé et une thérapeutique coûteuse prise en charge à 100 par l assurance maladie. Le taux de participation au dépistage organisé du cancer du côlon-rectum (taux dit Insee) est le nombre de femmes et hommes dépistés fourni par les structures de gestion rapporté à 100 personnes âgées de 50 à 74 ans (la moitié de la population cible) (projections Insee Omphale). Les nouveaux cas de cancers du côlon-rectum en Languedoc-Roussillon pour l année 2010 : estimations réalisées par le Registre des tumeurs de l Hérault. Les estimations régionales en 2010 sont calculées pour chaque département à partir d un modèle qui tient compte par exemple de l âge et des taux bruts d incidence observés sur les années précédentes. Le taux brut d incidence est le rapport entre le nombre de nouveaux cas d une maladie apparus pendant une période donnée sur le nombre de personnes à risque pendant cette période. Le dénominateur (nombre de personnes à risque) est la population recensée au 1 er janvier Ce taux est exprimé pour personnes. La prévention en région Numéro vert Allo dépistage : Numéro cancer info service : Aude ADOC route Minervoise Carcassonne - Tél contact@adoc11.fr Comité féminin de l Aude - «Les terres de Jade» - 30 rue du Limousin Narbonne Tél comitefeminin11@gmail.com Ligue contre cancer Comité Aude - Place des Anciens Combattants Algérie-Afrique du Nord - BP Carcassonne cedex - Tél cd11@ligue-cancer.net Gard-Lozère Gard Lozère Dépistage - 42 rue du Forez Nîmes cedex 09 - Tél gld@gldepistage.fr Comité féminin du Gard allée Norbert Wiener - BP Nîmes cedex 1 Tél cf30@sfr.fr Ligue contre cancer Comité du Gard - 8 rue Suger - BP Nîmes cedex 4 Tél cd30@ligue-cancer.net Ligue contre cancer Comité Lozère - CH de Mende - Av. du 8 mai BP Mende - Tél cd48@ligue-cancer.net Hérault Dépistages rue des Apothicaires Montpellier cedex 5 - Tél jcc@depistage34.fr Comité féminin de l Hérault rue des Apothicaires Montpellier cedex 5 Tél comitefeminin34@wanadoo.fr Ligue contre le cancer Comité de l Hérault - Espace de prévention Epidaure - 1 rue des Apothicaires Montpellier cedex 5 - Tél cd34@ligue-cancer.net Pyrénées-Orientales Dépistages 66-1 impasse de la Vigneronne - BP Perpignan cedex 9 Tél secretariat.depistae66@wanadoo.fr Ligue contre cancer Comité des Pyrénées-Orientales - 3 allée des villas Amiel Perpignan Tél cd66@ligue-cancer.net L actualisation de cette fiche a été financée par l ARS. La réalisation de l atlas régional de la santé observée en Languedoc-Roussillon a été initiée par le Conseil régional et l État (Drass). Comité de relecture : Pauline Buffard, Philippe Vagner et Carole Salvio-Grandemange (ARS) et Béatrice Rougy (Conseil régional). Rédaction de la fiche : Inca Ruiz et Hafid Boulahtouf, sous la direction technique de Bernard Ledésert (CREAI-ORS LR). Agence régionale de santé du Languedoc-Roussillon 28 Parc-Club du Millénaire 1025, rue Henri Becquerel CS Montpellier cedex 2 CREAI-ORS Languedoc-Roussillon BP ZAC de Tournezy 135 allée Sacha Guitry Montpellier cedex 3 Conseil régional Hôtel de Région 201 avenue de la Pompignane Montpellier cedex 2 6
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