Psychomotricité n. du langage avec des interprétations littérales (4) et dans le domaine des fonctions exécutives
|
|
- Marie-Françoise Marie-Agnès Desroches
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Entretiens de Psychomotricité Université de Versailles St-Quentin, Assistance Publique-Hôpitaux de Paris, Service des Urgences Médico-chirurgicales, Réalisations motrices et troubles envahissants du développement : étude comparée de différentes modalités de consignes C. Le Menn*, F. Pourre**, E. Aubert** * Psychomotricienne, cindy.lemenn@live.fr, **Psychomotriciens, Praticiens en Thérapies Cognitivo-comportementales, Service Universitaire de Psychiatrie de l Enfant et de l Adolescent, Pr Raynaud, Hôpital La Grave, Toulouse. Introduction Les Troubles Envahissants du Développement (TED) regroupent différentes pathologies comme le Trouble Autistique, le syndrome d Asperger, ou le Trouble Envahissant du Développement non spécifié (TEDnos). Le TEDnos correspond à un tableau clinique incomplet du Trouble autistique (2). Les sujets atteints de TED possèdent comme principal dénominateur une altération qualitative des interactions sociales. Ces perturbations ne sont pas entièrement imputables à un retard de développement mais à un phénomène de distorsion (9). En effet, les recherches entreprises ces dernières années ont permis la mise en évidence de déficits cognitifs spécifiques. Si certaines opérations apparaissent intactes, d autres sont en état de «sur fonctionnement» (3). Des particularités entravent les processus neuro-psychologiques où se déroulent les différentes étapes de traitement de l information : perception, attention et mémoire (10). Les stimuli en provenance des différents canaux peuvent être atténués, exagérés, fluctuer d un moment à l autre, être enregistrés après un délai. Ces distorsions, ainsi que le défaut de liaison entre ces informations donnent un caractère incohérent à l environnement et contribuent à le rendre imprévisible et angoissant (1, 7). Par ailleurs, d autres travaux mettent en relief des difficultés dans le registre de la pragmatique du langage avec des interprétations littérales (4) et dans le domaine des fonctions exécutives : un ensemble d opérations mentales en lien avec la mémoire de travail dont la fonction est de faciliter l adaptation d un sujet à une situation nouvelle (13). A ce tableau peuvent se rajouter des modèles théoriques comme le défaut de théorie de l esprit : c'est-à-dire la difficulté à prédire ou expliquer le comportement d autrui sur la base (5, 14) d états mentaux inférés ; le défaut de cohérence centrale : une incapacité à trouver un sens global face à une multiplicité d informations (6) ; ou encore la place accordée aux troubles de l imitation motrice liée à une défaillance des isomorphismes inter modaux permettant la correspondance entre corps vu et corps senti (Meltzoff in 11, 12). L ensemble de ces troubles et mécanismes dysfonctionnels rend bien évidemment difficile la compréhension des situations sociales, la communication avec autrui et les capacités d adaptation. Lors d une prise en charge ou d un bilan psychomoteur, les séances se composent d observation libre et spontanée, mais aussi de situations cadrées et structurées. Le psychomotricien entre ainsi en relation avec l enfant porteur d un TED dans le cadre d une situation comparable à celle d un guidage : construction, acquisition, transmission d informations et de savoir-faire (8). Il est amené à émettre des consignes à but d exécution motrice. Bien ENTRETIENS DE BICHAT
2 qu elle ne représente pas un médiateur unique à la relation, la consigne constitue une composante incontournable de toute prise en charge psychomotrice. Elle est nécessaire afin de guider la séance et de mettre l enfant dans des situations perceptivo-motrices variées, graduées en difficulté qu il n expérimenterait pas spontanément. Elle déclenche et organise l apprentissage décliné en terme de compétences motrices, perceptives, de stratégies et de savoir faire. Elle permet de hiérarchiser les informations et de guider l attention de l enfant sur certains éléments. Enfin, elle fournit des conseils, des propositions d alternatives en cas de difficulté. Le plus souvent, de façon intuitive, différents vecteurs (verbal, visuel, mobilisation passive ) sont utilisés pour que le sujet puisse recevoir et décoder au mieux la consigne. Une réflexion préalable sur les conséquences des modalités utilisées permettrait de faciliter le processus d apprentissage et peut-être aussi d éviter certaines réactions anxieuses voire de l évitement, face à des sollicitations vécues comme confuses et insaisissables par l enfant. Hypothèses Les apports théoriques, l observation clinique et l analyse de nos prises en charge nous amènent à élaborer plusieurs hypothèses : 1) Chez l enfant, la réalisation motrice finale est influencée par la modalité de consigne. 2) Des différences existent entre les enfants atteints de TED et les enfants «contrôles» au niveau de l appréhension des consignes. 3) Chez les sujets porteurs d un TED, le type de modalité de consigne utilisé a une incidence sur la réalisation motrice finale. 4) Il existe, dans l appréhension des consignes, des différences entre les sujets présentant un Trouble Autistique et ceux porteurs d un TEDnos. L objectif de cette étude est de mettre en évidence un mode optimal de transmission de la consigne dans la perspective de favoriser l ajustement avec l enfant lors des séances. Méthodologie : de l élaboration à la réalisation Pour cette recherche, un ensemble de situations standardisées a été mis au point. Il fait intervenir les 4 modalités suivantes : Verbale : l examinateur face à l enfant le regarde et donne la consigne indiquée (pas de geste explicatif, éviter de diriger le regard vers les éléments pertinents de la consigne). Visuelle : l examinateur exécute la séquence motrice à un rythme modéré sans ajouter d autres éléments (il sert de modèle à la réalisation). Verbale et visuelle en simultané : l examinateur commente son exécution. Il associe les consignes verbale et visuelle précédentes simultanément. Verbale puis visuelle : l examinateur, face à l enfant, le regarde et donne la consigne verbale indiquée, puis il exécute la séquence motrice à un rythme modéré. Pour bien rendre compte des situations rencontrées dans le cadre d une séance de psychomotricité, les 4 modalités sont évaluées dans 3 domaines : en motricité fine avec matériel, en motricité générale avec matériel ainsi qu en motricité générale sans matériel. Les items créés tiennent compte des exigences : de diversification et d hétérogénéité des situations, de simplicité au niveau praxique, de sollicitation minimale de la mémoire. Les consignes verbales ont été choisies avec la participation d un orthophoniste (utilisation de mots clés dénués d ambiguïté, construction de phrases simples ). Pour éviter un biais méthodologique, a été retenue comme critère d exclusion l incompréhension des mots clés inclus dans la consigne verbale. La création des items a été suivie de 10 passations auprès d une population «contrôle» âgée de 3 ans ½ à 11 ans ½ afin : de sélectionner les items les plus pertinents (les items échoués ou réussis systématiquement, quel que soit l âge, sont écartés) ; de les ranger par niveau de difficulté (Niveau 1 : 4 ans à 6 ans 11 mois d âge réel ; Niveau 2 : 7 ans à 11ans 11 mois d âge réel) ; 62 - ENTRETIENS DE BICHAT 2009
3 de les harmoniser (3 étapes au sein de chaque item). Tableau 1 - Description des items Domaines Motricité fine avec matériel (à table) : 7 items (4 items : niveau 1 ; 4 items : niveau 2) Remarque : 1 item est commun au 2 niveaux Motricité générale avec matériel : 7 items Motricité générale sans matériel : 7 items Types de situations proposées Praxie visuoconstructive Perception et discrimination visuo- spatiale Graphomotricité Praxies manuelles fines Praxies manuelles non fines Coordination bimanuelle Maîtrise de balle : lancer, faire rouler, saisir Equilibre dynamique : saut monopodal ou bipodal Localisation des parties du corps : du pied, de la tête Coordination rythmique simple : taper dans ses mains Déplacement avec matériel : pas en arrière Déplacement : pas en avant, en arrière, se retourner Coordination rythmique simple : taper dans ses mains Localisation des parties du corps : les épaules, la tête, les genoux, les mains Equilibre dynamique : saut pied joint, saut monopodal, saut pieds écartés Exemples d actions en 3 étapes 1- «Prend le petit fil» 2- «Enfile toutes les perles bleues» 3- «Puis, toutes les perles rondes» 1- «Prends la balle bleue» 2- «Fais des sauts sur un pied jusqu au bâton» 3- «Pose la balle sur ta tête» 1- «Retournetoi» 2- «Fais 2 pas en arrière» 3- «Mets tes mains sur ta tête» Douze items sont administrés à chaque enfant : 4 items par domaine psychomoteur. Un item de chaque domaine sera expliqué à l enfant sous la forme d une des 4 modalités (verbale, visuelle, verbale et visuelle, verbale puis visuelle). Un ordre aléatoire de passation des modalités de consigne est donné à chaque participant (24 combinaisons différentes). Ces mêmes combinaisons sont attribuées à chaque population, ce qui permet d éviter l association d un même item à une modalité spécifique, et par conséquent, de bien évaluer la performance d une population face à une modalité spécifique (et non pas la performance de la population à un item). Il a pu d ailleurs être vérifié que les scores totaux obtenus à l ensemble des items de l outil ne dépendaient pas du niveau moteur (mesuré par des tests standardisés). Un cadre d évaluation est clairement défini dans le sens où celle-ci ne concerne pas la qualité de la séquence motrice, mais l intégration et la compréhension de la consigne qui se mesure à travers l exécution motrice. Une cotation simple et précise est conçue afin d être le plus objectif possible. Chaque item se compose de 2 essais (le second essai étant administré uniquement si la totalité du premier essai n est pas correct), une note quantitative ainsi qu une note qualitative sont attribuées. Tableau 2 - Cotation : notes qualitative et quantitative Pour chaque item Note qualitative (3 points maximum) 3 points : l item est réussi dans le bon ordre temporel au premier essai 2 points : l item est réussi dans le bon ordre temporel au second essai 0 point si la totalité des 3 étapes n a pas été validée au second essai Note quantitative (3 points maximum) Chaque étape restituée est notée 1 point Si l enfant a réalisé 2 essais, on divise par 2 le nombre total de points obtenus ENTRETIENS DE BICHAT
4 Pour chaque item, l enfant obtient une note maximale de 6 points. Par modalité de consigne, le sujet est mis à l épreuve 3 fois (car il y a 3 domaines psychomoteurs). Ainsi, chaque sujet obtient une note maximale de 18 (à chaque type de consigne). Population Les exercices ont été proposés à 3 groupes de sujets : Une population d enfants porteurs d un «Trouble Envahissant du Développement», avec deux sous catégories : 18 enfants présentant un TEDnos et 6 enfants un Trouble Autistique soit 24 enfants au total de 6 ans à 11 ans ½, de l Hôpital de Jour. Une population d enfants «contrôle» appariés en âge réel à la population précédente (24 enfants de 6 ans à 11 ans ½). Une population d enfants «contrôle» appariés en âge de développement sur la base du QIG au WISC-III à la population TED soit 24 enfants de 3 ans ½ à 8 ans pour un QI global entre 42 et 95. Analyse des données Une analyse de variance 3 X 4 (Groupes x Modalités) avec mesures répétées sur le dernier facteur a été conduite sur les scores aux épreuves à l aide du logiciel SPSS. Afin de distinguer les résultats des deux groupes constituant la population TED, des analyses de variance séparées ont été réalisées sur chacun des scores. ceux obtenus avec des modalités uniques. La modalité verbale seule obtient les scores les plus bas (cf. figure 1). 2) Seconde hypothèse : Des différences existent entre les enfants atteints de TED et les enfants «contrôles» au niveau de l appréhension des consignes : Le facteur Groupe a également un effet significatif sur les scores obtenus [F(2,69) = 42,08 ; p < 0,0001] : les sujets TED ont en moyenne des résultats inférieurs à ceux des groupes contrôles sur l ensemble des modalités (cf. figure 1). 3) Troisième hypothèse : Chez les sujets porteurs d un TED, le type de modalité de consigne utilisé a une incidence sur la réalisation motrice finale : Il y a, en effet, une interaction significative entre les deux facteurs [F(6,207) = 2,91 ; p < 0,01]. Il en ressort une augmentation des scores moyens, chez les sujets TED, entre la modalité «verbale et visuelle» et la modalité «verbale puis visuelle». Cette différence n est pas retrouvée chez les deux groupes contrôles (cf. figure 1). Figure 1 : Scores par modalité de consigne pour les différents groupes (score max. = 18 points) Résultats Les résultats statistiques obtenus sur la base de ce protocole expérimental tendent à valider nos hypothèses initiales. 1) Première hypothèse : Chez l enfant, la réalisation motrice finale est influencée par la modalité de consigne : Le facteur Modalité a un effet significatif sur les scores [F(3,207) = 23,92 ; p < 0,0001] : l association des deux modalités de consigne donne en moyenne des scores supérieurs à 4) Quatrième hypothèse : Il existe, dans l appréhension des consignes, des différences entre les sujets présentant un Trouble Autistique et ceux porteurs d un TEDnos. La comparaison des scores dans les différentes modalités entre les sujets présentant un Trouble Autistique (TA) et ceux porteurs d un TEDnos fait apparaître une différence significative 64 - ENTRETIENS DE BICHAT 2009
5 uniquement dans la modalité «verbale et visuelle» [F(1,22) = 5,01 ; p < 0,05], les sujets TA ont en moyenne des scores inférieurs à ceux des enfants TEDnos (respectivement 10,5 et 13,9) (cf. Figure 2). Figure 2 : Scores par modalité de consigne pour le groupe TEDnos et groupe d enfant avec autisme Discussion et implications thérapeutiques Ces résultats vont dans le sens des données de la littérature. Il a pu être de nouveau vérifié que le TED est une pathologie qui entrave de façon massive et particulière la saisie, et le traitement des informations jusqu à la réalisation de la tâche motrice demandée. Les résultats obtenus ont mis en exergue toute l importance et la nécessité des démonstrations visuelles auprès des enfants atteints de TED et plus spécifiquement auprès des sujets porteurs de Trouble autistique. Eu égard à leurs difficultés d accès à l abstraction, la symbolisation et au mode de communication verbale, il parait nécessaire de favoriser un registre de transmission explicite et d informations concrètes. D autre part, la redondance de façon synchrone des informations nuit à leur bonne intégration et compréhension, et au final à la bonne reproduction de la séquence motrice demandée par le psychomotricien. Deux hypothèses permettent de rendre compte de ce phénomène : Un défaut de cohérence centrale (difficulté à donner un sens face la multiplicité des informations, importance excessive accordée à un élément au détriment des autres). Chez les enfants porteurs d un Autisme, une interférence des modalités les unes sur les autres se révèle clairement identifiable. Les informations auditives et visuelles se parasitent. La distinction entre ces deux pathologies (Trouble Autistique / TEDnos) s avère donc importante lors des bilans et des prises en charge. Ces résultats revêtent un intérêt direct dans la prise en charge psychomotrice des enfants atteints de TED. Le psychomotricien, après avoir déterminé la modalité de consigne la plus adaptée, peut alors l appliquer, pour une restitution de la séquence motrice dans des conditions optimales. Cette approche permettra à l enfant de mieux saisir et comprendre son environnement et ainsi, d en diminuer la charge anxieuse. En phase avec les attentes du psychomotricien, l enfant peut alors interagir avec ce dernier plus sereinement (en répondant à ses attentes ou en le sollicitant à son tour). En effet, l incapacité à décoder les attentes d autrui, en dépit de compétences potentielles, peut mener à un désintérêt, une opposition (passive ou active) voire un refus systématique, afin d éviter toute situation inconnue perçue comme inaccessible ou insaisissable. Une compréhension plus rapide des attentes réduit également l exposition à l échec souvent vécu comme douloureux. S adapter aux modalités de saisie d informations des sujets porteurs d un TED facilite, grâce à une meilleure lisibilité des consignes, l actualisation de leurs compétences perceptivo-motrices mais également l appréhension de nouvelles. Ainsi ces enfants, souvent repérés pour leurs difficultés d acquisition, pourront-ils renforcer leur sentiment d efficacité personnelle, assouplir leur fonctionnement cognitif et expérimenter plus sereinement certaines situations d interaction sociale et d apprentissage. ENTRETIENS DE BICHAT
6 RÉFÉRENCES 1 - Adrien, J- L. (1996). Autisme du jeune enfant : développement psychologique et régulation de l activité. Paris : Expansion Scientifique Française. 2 - American Psychiatrique Association (1996). DSM IV, Critères diagnostiques (Washington DC, 1994, Trad. fr. par J.-D. Guelfi et al.) Paris : Masson. 3 - Amestoy, A. (2006). La cognition sociale, les habilités sociales et les Troubles envahissant du développement. Thèse médecine. Bordeaux : Université de Bordeaux 2 - Victor Segalen. 4 - Attwood, T. (2003). Le syndrome d Asperger et l autisme de haut niveau. Paris : Dunod. 5 - Attwood, T. (2008). Le syndrome d Asperger, guide complet. Bruxelles : De Boeck. 6 - Baron-Cohen, S. (2008). Autism and Asperger syndrome, the facts. Oxford : Oxford University Press. 7 - Barthélemy, C., Hameury, L., Lelord, G. (1995). L autisme de l enfant : la thérapie d échange et de développement. Paris : Expansion Scientifique Française. 8 - Cartron, A., Winnykamen, F. (2006). Les relations sociales chez l enfant (2 éd.). Paris : Armand Colin. 9 - Lenoir, P., Malvy, J., Bodier-Rethore, C. (2007). L autisme et les troubles du développement psychologique. Paris : Masson Mottron, L. (2004). L autisme : une autre intelligence. Bruxelles : Mardaga Nadel, J., Decety, J. (2002). Imiter pour découvrir l humain : Psychologie, neurobiologie et philosophie de l esprit. Paris : PUF Pacherie, E. (1998). Représentations motrices, imitations et théorie de l esprit : le cas de l autisme. In H. Grivois et J. Proust (Eds.), Subjectivité et conscience d agir. Approches cognitives et cliniques de la psychose (pp ). Paris : PUF Plumet, M.-H., Hughes, C., Tardif, C., Mouren- Simeoni, M.-C. (1998). L'hypothèse d'un déficit des fonctions exécutives dans l'autisme. Psychologie Française, 43, 2, Poirier, N. (1998). La théorie de l esprit de l enfant autiste. Santé Mentale au Québec, 23, ENTRETIENS DE BICHAT 2009
LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS
LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS 1. RÉFÉRENTIEL PROFESSIONNEL D ÉDUCATEUR SPÉCIALISÉ 2. RÉFÉRENTIEL ACTIVITÉS 3. RÉFÉRENTIEL DE 4. RÉFÉRENTIEL DE CERTIFICATION 5. RÉFÉRENTIEL DE FORMATION
Plus en détailAVIS DE LA FÉDÉRATION QUÉBÉCOISE DE L AUTISME DANS LE CADRE DE LA CONSULTATION PUBLIQUE SUR LA LUTTE CONTRE L INTIMIDATION
AVIS DE LA FÉDÉRATION QUÉBÉCOISE DE L AUTISME DANS LE CADRE DE LA CONSULTATION PUBLIQUE SUR LA LUTTE CONTRE L INTIMIDATION NOVEMBRE 2014 La Fédération québécoise de l'autisme (FQA) est un regroupement
Plus en détailSpécial Praxies. Le nouveau TVneurones est enfin arrivé! Les métiers. NOUVEAUX JEUX de stimulation cognitive, orientés praxies.
Enfants Adolescents AdultesPersonnesÂgéesPlasticité NeuronalePathologiesMaintienCognitif MémoireAttentionLangage FonctionsExécutivesVisuoSpatial Les métiers Spécial Praxies Le nouveau est enfin arrivé!
Plus en détailMETHODE D APPLICATION DE L OSTÉOPATHIE. Liste des 155 modèles thérapeutiques du Référentiel RÉÉQUILIBRATION FONCTIONNELLE Méthode SOLÈRE
METHODE D APPLICATION DE L OSTÉOPATHIE Liste des 155 modèles thérapeutiques du Référentiel RÉÉQUILIBRATION FONCTIONNELLE Méthode SOLÈRE Notre formation a pour objet la diffusion de connaissances dans le
Plus en détail23. Interprétation clinique des mesures de l effet traitement
23. Interprétation clinique des mesures de l effet traitement 23.1. Critères de jugement binaires Plusieurs mesures (indices) sont utilisables pour quantifier l effet traitement lors de l utilisation d
Plus en détailL E C O U T E P r i n c i p e s, t e c h n i q u e s e t a t t i t u d e s
L E C O U T E P r i n c i p e s, t e c h n i q u e s e t a t t i t u d e s L E C O U T E P r i n c i p e s, t e c h n i q u e s e t a t t i t u d e s Stéphane Safin Psychologue - Ergonome Lucid Group -
Plus en détailLe bilan neuropsychologique du trouble de l attention. Ania MIRET Montluçon le 4-12- 2009
Le bilan neuropsychologique du trouble de l attention Ania MIRET Montluçon le 4-12- 2009 Introduction L attention est une fonction de base dont l intégrité est nécessaire au bon fonctionnement cognitif
Plus en détailEpilepsies : Parents, enseignants, comment accompagner l enfant pour éviter l échec scolaire?
Epilepsies : Parents, enseignants, comment accompagner l enfant pour éviter l échec scolaire? L épilepsie concerne plus de 500 000 personnes en France, dont la moitié sont des enfants ou des adolescents.
Plus en détailTABLE DES MATIÈRES. PRINCIPES D EXPÉRIMENTATION Planification des expériences et analyse de leurs résultats. Pierre Dagnelie
PRINCIPES D EXPÉRIMENTATION Planification des expériences et analyse de leurs résultats Pierre Dagnelie TABLE DES MATIÈRES 2012 Presses agronomiques de Gembloux pressesagro.gembloux@ulg.ac.be www.pressesagro.be
Plus en détailLa Menace du Stéréotype
La Menace du Stéréotype Fabrice GABARROT Bureau M6158 - Uni Mail Université de Genève 40, Bld du Pont d'arve CH-1205 Genève SUISSE Courriel : Fabrice.Gabarrot@pse.unige.ch Les stéréotypes sont, pour simplifier,
Plus en détailDiplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences
Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,
Plus en détailEfficacité de la réalité virtuelle pour faciliter la prévention de la rechute auprès de joueurs en traitement
Efficacité de la réalité virtuelle pour faciliter la prévention de la rechute auprès de joueurs en traitement Stéphane Bouchard*, Ph.D. Département de Psychoéducation et de Psychologie Université du Québec
Plus en détailLes 6 sous-stades. La période sensori-motrice. Le stade réflexe. Coordination main/bouche. Du réflexe au schème: exemple du réflexe de succion
Les 6 sous-stades La période sensori-motrice La construction de l intelligence à partir des sens, de l action et des déplacements I. Stade réflexe du premier mois II. Stade des réactions circulaires primaires
Plus en détailUNIVERSITE DES ANTILLES ET DE LA GUYANE
UNIVERSITE DES ANTILLES ET DE LA GUYANE UFR DES SCIENCES MEDICALES FACULTE DE MEDECINE Hyacinthe BASTARAUD Campus Universitaire de Fouillole B.P. 145 97154 Pointe-à-Pitre Cedex Tél. : 0590 48 33 33 Fax
Plus en détailA PROPOS DES CRITERES D ATTRIBUTION DES EQUIVALENCES
IED PARIS 8 A PROPOS DES CRITERES D ATTRIBUTION DES EQUIVALENCES La procédure d équivalence permet de dispenser les étudiants de certains enseignements dans la mesure où ils peuvent justifier de l acquisition
Plus en détailPOSTURE PROFESSIONNELLE ENSEIGNANTE EN QUESTION?
N 372 LAMEUL Geneviève 1 POSTURE PROFESSIONNELLE ENSEIGNANTE EN QUESTION? Le développement croissant de l usage des technologies perturbe l école dans son organisation interne, dans son rapport à la société,
Plus en détailBrochure d information destinée aux parents. Bienvenue à Clairival. Informations utiles sur la prise en soins de votre enfant
Brochure d information destinée aux parents Bienvenue à Clairival Informations utiles sur la prise en soins de votre enfant Présentation Le service de psychiatrie de l enfant et de l adolescent des Hôpitaux
Plus en détailAutisme Questions/Réponses
Autisme Questions/Réponses 1. Quelle est la définition de l autisme et des autres troubles envahissants du développement établie dans l état des connaissances élaboré et publié par la HAS? Les définitions
Plus en détailUniversité d été de l AFORPEL 30 juillet 4 août 2012. La Gestalt et les «état limite» (Borderline)
La Gestalt et les «état limite» (Borderline) Les patients qui souffrent du trouble borderline (plus de 2% de la population active, 10% des consultations externes des médecins psychiatres et 15 à 20% des
Plus en détailR E G L E M E N T G E N E R I Q U E DES F O R M A T I O N S E P D E S S P E C I A L I S E E S E N S O I N S
Direction des ressources humaines Centre de formation Formations spécialisées en soins R E G L E M E N T G E N E R I Q U E DES F O R M A T I O N S E P D E S S P E C I A L I S E E S E N S O I N S P O U
Plus en détailPSYCHOSOMATIQUE, RELAXATION, PSYCHOTHERAPIES A MEDIATION CORPORELLE
UNIVERSITE MONTPELLIER 1 DIPLOME UNIVERSITAIRE PSYCHOSOMATIQUE, RELAXATION, PSYCHOTHERAPIES A MEDIATION CORPORELLE Option A: Psychosomatique, thérapies de relaxation. Option B: Psychosomatique et psychothérapies
Plus en détailFiche de synthèse sur la PNL (Programmation Neurolinguistique)
1 Fiche de synthèse sur la PNL (Programmation Neurolinguistique) La programmation neurolinguistique (PNL) fournit des outils de développement personnel et d amélioration de l efficacité relationnelle dans
Plus en détailPROJET VIVRE, HABITER ET TRAVAILLER DANS LYON ET LE GRAND LYON
PROJET VIVRE, HABITER ET TRAVAILLER DANS LYON ET LE GRAND LYON Pourquoi une structure innovante pour jeunes adultes autistes dits «évolués»? L association Sésame-Autisme Rhône-Alpes souhaite offrir aux
Plus en détailStratégie d intervention auprès des élèves présentant des comportements et attitudes scolaires inappropriés
Stratégie d intervention auprès des élèves présentant des comportements et attitudes scolaires inappropriés IEN/CTR ASH 2011-2012 Comportements inappropriés / Troubles de la conduite et du comportement
Plus en détail2013-2014. psychologie. UFR des Sciences de l Homme
2013-2014 DU LYCÉE À L UNIVERSITÉ psychologie UFR des Sciences de l Homme OBJECTIFS de la formation Vous êtes intéressé par les études de psychologie? A l Université Bordeaux Segalen, cette formation s
Plus en détailLe Focus Group. - Bases de données, personnes ayant déjà participé à des expériences et acceptant de participer à des études ultérieures.
Le Focus Group I. Définition «Le Focus groupe est une discussion de groupe ouverte, organisée dans le but de cerner un sujet ou une série de questions pertinents (Kitzinger, Markova, & Kalampalikis, 2004).
Plus en détailCOMPETENCE DE NIVEAU N1
GROUPE DES ACTIVITES ATHLETIQUES DEMI FOND Réaliser une performance motrice maximale mesure à une échéance donnée COMPETENCE DE NIVEAU N1 Compétences attendues dans l APSA Réaliser la meilleure performance
Plus en détailTest de terrain ou test de laboratoire pour la performance en endurance?
Test de terrain ou test de laboratoire pour la performance en endurance? Ajaccio 12 mai 2012 F. Carré Université Rennes 1 Hopital Pontchaillou Inserm UMR 1099 Les «tests» chez le sportif Exploration performance
Plus en détailMASTER 2 SCIENCES HUMAINES ET SOCIALES Mention Psychologie. Spécialité : Recherches en psychologie
S3 Spécialité : Recherches en psychologie UE OBLIGATOIRES UE 1 : Epistémologie et méthodes de recherche en psychologie Ce séminaire aborde plusieurs aspects de la recherche en psychologie. Il présente
Plus en détailSOCLE COMMUN - La Compétence 3 Les principaux éléments de mathématiques et la culture scientifique et technologique
SOCLE COMMUN - La Compétence 3 Les principaux éléments de mathématiques et la culture scientifique et technologique DOMAINE P3.C3.D1. Pratiquer une démarche scientifique et technologique, résoudre des
Plus en détailN 163 - ROUX-PEREZ Thérèse. 1. Problématique
N 163 - ROUX-PEREZ Thérèse CONSTRUCTION IDENTITAIRE DES ENSEIGNANTS EN FORMATION INTIALE : ENTRE REPRESENTATIONS PARTAGEES ET ELEMENTS DE DIFFERENCIATION DANS LE RAPPORT AU METIER 1. Problématique L étude
Plus en détailCONCOURS D ENTREE EN POUR L ANNEE UNIVERSITAIRE 2014 / 2015
MINISTERE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE ------------------- UNIVERSITE PAUL SABATIER FACULTE DE MEDECINE TOULOUSE-RANGUEIL Enseignements des Techniques de Réadaptation 133, route de Narbonne
Plus en détailComment remplir une demande d AVS Remplir les dossiers administratifs quand on a un enfant autiste et TED (3) : demander une AVS
Comment remplir une demande d AVS Remplir les dossiers administratifs quand on a un enfant autiste et TED (3) : demander une AVS Intégration était le maître mot de la loi de 75, scolarisation est ce lui
Plus en détailCAHIER DES CHARGES DE LA FORMATION OUVERTURE D ACTION. Certificat de Qualification Professionnelle des Services de l Automobile
CAHIER DES CHARGES DE LA FORMATION OUVERTURE D ACTION Certificat de Qualification Professionnelle des Services de l Automobile A.N.F.A. Département Ingénierie et Compétences Mars 2013 SOMMAIRE INFORMATIONS
Plus en détailBERTHIER E, CHRISTIANO M, PHILIPPE M O, IEHL J, TATARU N, DECAVEL P, VUILLIER F, ELISEEF A, MOULIN T. Introduction (1). Contexte de l étude
REPRODUCTIBILITE INTEROBSERVATEUR DU TEST «NIHSS» (National Institutes of Heath Stroke Scale) RÉALISÉ PAR VIDÉOCONFÉRENCE : EXPÉRIENCE DU RÉSEAU DES URGENCES NEUROLOGIQUES (RUN) BERTHIER E, CHRISTIANO
Plus en détailIntervenir sur les interactions parents-enfants dans un contexte muséal scientifique
Intervenir sur les interactions parents-enfants dans un contexte muséal scientifique Rodica AILINCAI, doctorante, Laboratoire «Éducation et Apprentissages», Université Paris 5 René Descartes Annick WEIL-BARAIS,
Plus en détailCritères de Choix d une Echelle de Qualité De Vie. Etudes cliniques dans l autisme. Introduction
Critères de Choix d une Echelle de Qualité De Vie Etudes cliniques dans l autisme Marie-Christine Picot Congrès Epsylon 5 avril 2013 Introduction Mesurer la Qualité de Vie liée à la Santé : Evaluer les
Plus en détailNOM : Prénom : Date de naissance : Ecole : CM2 Palier 2
NOM : Prénom : Date de naissance : Ecole : CM2 Palier 2 Résultats aux évaluations nationales CM2 Annexe 1 Résultats de l élève Compétence validée Lire / Ecrire / Vocabulaire / Grammaire / Orthographe /
Plus en détailDIPLOMES UNIVERSITAIRES DE PSYCHIATRIE Faculté Médecine Poitiers Année 2002 Professeur J. L. SENON Psychiatrie
DIPLOMES UNIVERSITAIRES DE PSYCHIATRIE Faculté Médecine Poitiers Année 2002 Professeur J. L. SENON Psychiatrie Accompagnement des Personnes Atteintes de Maladies Génétiques et de leur Famille D.U. - 1
Plus en détailLA SIMULATION: INTERETS EN FORMATIION MEDICALE CONTINUE. C Assouline
LA SIMULATION: INTERETS EN FORMATIION MEDICALE CONTINUE C Assouline Principes «Human error is the price we pay for intelligence» 3 buts principaux de la simulation : détecter les erreurs éviter les erreurs
Plus en détailAPRES TOUT ACTE DE MALTRAITANCE. 3. Elaboration des recommandations de pratique. 4. Diffusion au personnel des recommandations.
PROCESSUS D ASSURANCE QUALITE MIS EN ŒUVRE APRES TOUT ACTE DE MALTRAITANCE 1. Identification des circonstances déclenchantes de l acte de maltraitance. 2. Définition des objectifs correctifs. 3. Elaboration
Plus en détailFormation à la systémique pour consultants et personnels RH
J.A. Malarewicz Conseil Conseil, Formation, Supervision, Coaching S.A.S. au capital de 8OOO TVA : FR 36478450471 SIRET : 478 450471 00014 N formateur 11921445592 Région IdF 11 rue du Professeur Leroux
Plus en détailCohorte Observatoire Musculosquelettique (COMETT) Pénibilité et Vieillissement
TITRE DU CONSORTIUM : Cohorte Observatoire Musculosquelettique (COMETT) Pénibilité et Vieillissement RESPONSABLES : Alexis Descatha, UMS 011, Villejuif ; Yves Roquelaure, LEEST, Angers ; Bradley Evanoff,
Plus en détailWhy Software Projects Escalate: The Importance of Project Management Constructs
Why Software Projects Escalate: The Importance of Project Management Constructs Why Software Projects Escalate: The Importance of Project Management Constructs 1. Introduction 2. Concepts de la gestion
Plus en détailquestions/réponses sur les DYS
D Y S L E X I E, D Y S P H A S I E, D Y S P R A X I E, Les DYS, un handicap émergeant? La Dysphasie trouble du langage oral? La Dyspraxie, trouble de la coordination du geste? La Dyslexie, trouble du langage
Plus en détailLes soins des douleurs chroniques dans les TMS Les échecs thérapeutiques
Les soins des douleurs chroniques dans les TMS Les échecs thérapeutiques France MARCHAND Nagi MIMASSI Psychologue clinicienne stagiaire doctorante Praticien hospitalier Consultation des douleurs chroniques
Plus en détailCompétences en fin de maternelle Comparer des quantités.
Le socle commun : Palier 1 - Compétence 3 «Les principaux éléments de mathématiques» Ecrire, nommer, comparer, ranger les nombres entiers naturels inférieurs à 1000. Les programmes : Compétences en fin
Plus en détailFORMATION PNL CYCLE COMPLET. «Révélez vos talents»
Formation Coaching Préparation Mentale athlètes haut-niveau Enseignement de la PNL Annecy Genève Aix-les-Bains Chambéry Contact : +33677610793 s.thomas-conseil@orange.fr www.sebastien-thomas-conseil.com
Plus en détailETES-VOUS PRET.ES A ALLER MIEUX?
ETES-VOUS PRET.ES A ALLER MIEUX? Projet formulé à partir de ma pratique de terrain: Constats Public défavorisé Plus le niveau d instruction est bas plus plus le risque est grand de développer des troubles
Plus en détailCONTRAINTES PSYCHOLOGIQUES ET ORGANISATIONNELLES AU TRAVAIL ET SANTE CHEZ LE PERSONNEL SOIGNANT DES CENTRES HOSPITALIERS:
CONTRAINTES PSYCHOLOGIQUES ET ORGANISATIONNELLES AU TRAVAIL ET SANTE CHEZ LE PERSONNEL SOIGNANT DES CENTRES HOSPITALIERS: Infirmier(e)s et aides soignant(e)s ETUDE ORSOSA État de santé, conditions de travail
Plus en détailProchaines Dates séminaires 2015. Nom : Prénom :.. Date naissance :.. Adresse Complète :
Bulletin d inscription Séminaire A renvoyer à Manuel SPERLING 33, rue des Tulipiers 93110 ROSNY ou à scanner à bougerlavie@gmail.com Séminaire 2015 choisi : Participation au séminaire : Module 3 et 4 =
Plus en détailLE DÉVELOPPEMENT PSYCHOMOTEUR DU NOURRISSON ET JEUNE ENFANT 0-6 ANS
LE DÉVELOPPEMENT PSYCHOMOTEUR DU NOURRISSON ET JEUNE ENFANT 0-6 ANS DE QUELS MOYENS DISPOSE-T-ON? EXAMEN CLINIQUE + QUESTIONS des grandes étapes du développement de l'enfant dans les domaines de : Acquisition
Plus en détail«Les jeux en ligne, quelle influence en France?»
Les multiples facettes du jeu Québec, 30 mai 2012 «Les jeux en ligne, quelle influence en France?» M. Grall-Bronnec, G. Bouju, M. Lagadec J. Caillon, J.L. Vénisse Le contexte des jeux de hasard et d argent
Plus en détailLe référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique
A R D E Q A F Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique 1.1 Définition de la profession et du contexte de l intervention p. 2 1.2 Le référentiel d activités du Diplôme
Plus en détailL3 Psychologie «Ergonomie : travail, innovations et formation» Les enjeux et éléments historiques. Principaux concepts et théories sous-jacentes
9/25/14 L3 Psychologie «Ergonomie : travail, innovations et formation» Présentation du thème 1 Catherine Delgoulet LATI Thème 1 (C. Delgoulet) Comprendre/transformer le travail Les enjeux et éléments historiques
Plus en détailREFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL
1 REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION L assistant de service social exerce de façon qualifiée, dans le cadre d un mandat
Plus en détailFORMATION Coach & Team. Promotion CT26 - Lyon
FORMATION Coach & Team Promotion CT26 - Lyon JBS est une école de coaching animée par des enseignants et des superviseurs de coachs, tous intervenants en entreprise et didacticiens, ayant eu un parcours
Plus en détailVersion définitive approuvée après enquête publique
Secteurs 3 et 4 de Marne-la-Vallée et communes environnantes Phase 3 Version définitive approuvée après enquête publique ROLAND RIBI & ASSOCIES Ingénieurs-conseils et urbanistes s.à.r.l. 15, avenue de
Plus en détailObjectif. Développer son efficacité personnelle par une meilleure communication avec soi et les autres
Développement personnel La programmation neurolinguistique (P.N.L.) Objectif. Développer son efficacité personnelle par une meilleure communication avec soi et les autres. Historique et postulats de la
Plus en détailChapitre 3. Les distributions à deux variables
Chapitre 3. Les distributions à deux variables Jean-François Coeurjolly http://www-ljk.imag.fr/membres/jean-francois.coeurjolly/ Laboratoire Jean Kuntzmann (LJK), Grenoble University 1 Distributions conditionnelles
Plus en détailNotes de lecture : Dan SPERBER & Deirdre WILSON, La pertinence
Notes de lecture : Dan SPERBER & Deirdre WILSON, La pertinence Gwenole Fortin To cite this version: Gwenole Fortin. Notes de lecture : Dan SPERBER & Deirdre WILSON, La pertinence. 2006.
Plus en détailPRATICIEN CERTIFIÉ EN PNL
(Programmation Neuro Linguistique) Nos formations PNL lient la tête et le cœur. Vous apprendrez et expérimenterez la PNL à travers un vécu inoubliable. Cette formation suit les normes de : ABH (American
Plus en détailENSEIGNEMENTS - JOURNEES COLLOQUES D.U et D.I.U
ENSEIGNEMENTS - JOURNEES COLLOQUES D.U et D.I.U Pr. Philippe DUVERGER CHU ANGERS SEMINAIRE CLINIQUE - Psychanalyse avec les enfants 2 ème et 4 ème jeudi de chaque mois de septembre 2007 à juin 2008 Etudes
Plus en détailCODE DE VIE 2013-2014
CODE DE VIE 2013-2014 1. ASSIDUITÉ J assiste obligatoirement à tous mes cours. Je fais tous les travaux demandés et je les remets à temps. Après une absence ou à la demande des enseignants, je me présente
Plus en détailStress des soignants et Douleur de l'enfant
5e rencontre francophone Suisse et France voisine de la douleur chez l enfant Stress des soignants et Douleur de l'enfant Céline ROUSSEAU-SALVADOR Psychomotricienne - Psychologue Clinicienne Service d
Plus en détailM2S. Formation Management. formation. Animer son équipe Le management de proximité. Manager ses équipes à distance Nouveau manager
Formation Management M2S formation Animer son équipe Le management de proximité Manager ses équipes à distance Nouveau manager Coacher ses équipes pour mieux manager Déléguer et Organiser le temps de travail
Plus en détailLes dys à haut potentiel : reconnaître, comprendre, expliquer. Michel Habib, Neurologue CHU Timone, Marseille
Les dys à haut potentiel : reconnaître, comprendre, expliquer Michel Habib, Neurologue CHU Timone, Marseille We may usefully think of the language faculty, the number faculty, and others, as "mental organs,"
Plus en détailSOCLE COMMUN: LA CULTURE SCIENTIFIQUE ET TECHNOLOGIQUE. alain salvadori IA IPR Sciences de la vie et de la Terre 2009-2010 ALAIN SALVADORI IA-IPR SVT
SOCLE COMMUN: LA CULTURE SCIENTIFIQUE ET TECHNOLOGIQUE alain salvadori IA IPR Sciences de la vie et de la Terre 2009-2010 ALAIN SALVADORI IA-IPR SVT SOCLE COMMUN ET PROGRAMMES La référence pour la rédaction
Plus en détailtroubles comportementaux aigus et/ou cognitifs tous les intervenants de l entreprise Prise en charge immédiate sur le lieu de travail.
Introduction Les troubles comportementaux aigus et/ou cognitifs concernent tous les intervenants de l entreprise : dangerosité du salarié pour lui-même et pour autrui, risque de désorganisation de l activité
Plus en détailRECO. Définition des bonnes pratiques de prévention dans les centres d appels téléphoniques R.470
RECO DU COMITE TECHNIQUE NATIONAL DES ACTIVITES DE SERVICES 1 Définition des bonnes pratiques de prévention dans les centres d appels téléphoniques Yves Cousson - INRS Pour vous aider à : réduire le bruit
Plus en détailItem 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve
Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Différentes
Plus en détailMETHODOLOGIE GENERALE DE LA RECHERCHE EPIDEMIOLOGIQUE : LES ENQUETES EPIDEMIOLOGIQUES
Enseignement du Deuxième Cycle des Etudes Médicales Faculté de Médecine de Toulouse Purpan et Toulouse Rangueil Module I «Apprentissage de l exercice médical» Coordonnateurs Pr Alain Grand Pr Daniel Rougé
Plus en détailProgramme d Enseignement EPTHECC «Enseignement de la Psychopathologie et des Thérapies Comportementales et Cognitives»
Programme d Enseignement EPTHECC «Enseignement de la Psychopathologie et des Thérapies Comportementales et Cognitives» SOMMAIRE Pages Présentation de la Formation EPTHECC 2 Les objectifs de la Formation
Plus en détailTélé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale :
Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale : Docteur DARY Patrick, Cardiologue, Praticien Hospitalier Centre Hospitalier de St YRIEIX - Haute Vienne 87500 Situé
Plus en détailFormat de l avis d efficience
AVIS D EFFICIENCE Format de l avis d efficience Juillet 2013 Commission évaluation économique et de santé publique Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service documentation
Plus en détailLes offres de services spécialisés
Les offres de services spécialisés Le contexte et les enjeux, incluant les offres de services spécialisés aux familles et aux proches, aux partenaires ainsi que notre engagement dans la collectivité. PAVILLON
Plus en détailMieux connaître les publics en situation de handicap
Mieux connaître les publics en situation de handicap Plus de 40 % des Français déclarent souffrir d une déficience 80 Comment définit-on le handicap? au moins une fois au cours de leur vie et 10 % indiquent
Plus en détailTroubles psychiques de la grossesse et du post-partum Q19. Psychiatrie adulte Module D Pr Jean Louis Senon Année universitaire 2002-2003
Troubles psychiques de la grossesse et du post-partum Q19 Psychiatrie adulte Module D Pr Jean Louis Senon Année universitaire 2002-2003 Plans et objectifs Pendant la grossesse Troubles mineurs, dépressions
Plus en détailHABITAT INDIGNE, SOUFFRANCE PSYCHIQUE. ET DEFENSES DELIRANTES DANS LES EXCLUSIONS (internes et externes) Lyon, 2014
HABITAT INDIGNE, SOUFFRANCE PSYCHIQUE ET DEFENSES DELIRANTES DANS LES EXCLUSIONS (internes et externes) Lyon, 2014 Les évolutions récentes Remplacer «incurie» par «abandon» Abandon de soi, de son soin
Plus en détailCONNAISSANCE DE SOI APPRENDRE A AVOIR CONFIANCE EN SOI
CONNAISSANCE DE SOI APPRENDRE A AVOIR CONFIANCE EN SOI Comprendre ses propres stratégies d échec et de réussite Mettre à jour ses freins, ses propres croyances Développer son potentiel et repousser ses
Plus en détailCENTRE D EDUCATION ET DE SOINS SPECIALISES POUR ENFANTS POLYHANDICAPES «LE RIVAGE» LIVRET D ACCUEIL DU STAGIAIRE
CENTRE D EDUCATION ET DE SOINS SPECIALISES POUR ENFANTS POLYHANDICAPES «LE RIVAGE» LIVRET D ACCUEIL DU STAGIAIRE 12 rue aux raisins - 62600 BERCK SUR MER 03.21.89.44.01 - Fax : 03.21.89.44.82 Le mot d
Plus en détail9.11 Les jeux de hasard et d argent
9.11 Les jeux de hasard et d argent Maud Pousset, Marie-Line Tovar 288 Les jeux de hasard et d argent (JHA) constituent une activité ancienne et répandue, mais longtemps interdite. Leur offre s est étoffée,
Plus en détailAutisme : ce que nous attendons des Agences Régionales de Santé
Autisme : ce que nous attendons des Agences Régionales de Santé La mise en place du plan autisme 3 met au premier plan les ARS qui vont devoir le mettre en œuvre en région. Elle a vite fait apparaître
Plus en détailLE DÉVELOPPEMENT PSYCHOMOTEUR DE L ENFANT DEPISTAGE DE L AUTISME (TROUBLES ENVAHISSANTS DU DÉVELOPPEMENT OU TED)
LE DÉVELOPPEMENT PSYCHOMOTEUR DE L ENFANT DEPISTAGE DE L AUTISME (TROUBLES ENVAHISSANTS DU DÉVELOPPEMENT OU TED) DÉPISTAGE ENTRE 18 MOIS ET 2 ANS COMMENT REPERER L'AUTISME INFANTILE AVANT 3 ANS troubles
Plus en détailMONITORING / SUIVI DES PATIENTS
Formation Recherche Clinique OncoBasseNormandie 02/12/2013 MONITORING / SUIVI DES PATIENTS Jean-Michel GRELLARD ARC Coordinateur - Centre François Baclesse Quelques définitions Cahier d observation ou
Plus en détailMaster Métiers de l enseignement scolaire. Mémoire professionnel de deuxième année UTILISER ET COMPRENDRE L ORDINATEUR EN MÊME TEMPS :
IUFM de Bonneville Année universitaire 2012-2013 Master Métiers de l enseignement scolaire Mémoire professionnel de deuxième année UTILISER ET COMPRENDRE L ORDINATEUR EN MÊME TEMPS : L apprentissage dans
Plus en détailILLUSTRATION D UNE PRISE EN CHARGE PSYCHOMOTRICE EN GROUPE POUR UN ENFANT PORTEUR D AUTISME
UNIVERSITE PAUL SABATIER FACULTE DE MEDECINE Toulouse Rangueil Institut de Formation en Psychomotricité ILLUSTRATION D UNE PRISE EN CHARGE PSYCHOMOTRICE EN GROUPE POUR UN ENFANT PORTEUR D AUTISME Mémoire
Plus en détailLES BASES DU COACHING SPORTIF
LES BASES DU COACHING SPORTIF Module N 1 Motivation, concentration, confiance, communication Module N 2 L apprentissage : «Apprendre à apprendre» LES BASES DU COACHING SPORTIF APPRENTISSAGE PLAISIR PERFORMANCE
Plus en détailComprendre les différentes formes de communication
Chapitre 2 Communiquer de façon professionnelle 2. Lisez la mise en situation ci-dessous. Ensuite, nommez les attitudes favorisant la communication qui n ont pas été mises en pratique et expliquez votre
Plus en détail10 REPÈRES «PLUS DE MAÎTRES QUE DE CLASSES» JUIN 2013 POUR LA MISE EN ŒUVRE DU DISPOSITIF
10 REPÈRES POUR LA MISE EN ŒUVRE DU DISPOSITIF «PLUS DE MAÎTRES QUE DE CLASSES» JUIN 2013 MEN-DGESCO 2013 Sommaire 1. LES OBJECTIFS DU DISPOSITIF 2. LES ACQUISITIONS PRIORITAIREMENT VISÉES 3. LES LIEUX
Plus en détailCONDITIONS A REMPLIR POUR L OBTENTION DU LABEL DE QUALITE NIVEAU II
PROGRAMME QUALITÉ DU TOURISME SUISSE Règlement niveau II RÈGLEMENT NIVEAU II CONDITIONS A REMPLIR POUR L OBTENTION DU LABEL DE QUALITE NIVEAU II Toute entreprise souhaitant obtenir le label de qualité
Plus en détailQuelques stratégies pédagogiques pour enseigner à un enfant atteint d autisme ou autres TED en maternelle Communication Interactions sociales
Quelques stratégies pédagogiques pour enseigner à un enfant atteint d autisme ou autres TED en maternelle Ces stratégies ont pour but de permettre à un enfant atteint d un trouble envahissant du développement
Plus en détailFrançois Émond psychologue 2003 Centre François-Michelle. Liste des 24 catégories de connaissances et compétences à développer
Programme par Cœur François Émond psychologue 2003 Centre François-Michelle Trousse de consolidation des connaissances et compétences scolaires Attention, mémoire, raisonnement, stratégies, habiletés linguistiques
Plus en détailwww.key-partners.biz DU CHANGEMENT MA
MANAGEMENT DU CHANGEMENT MANAGEMENT DU CHANGEMENT MANAGEMENT DU CHANGEMEN MANAGEMENT DU CHANGEMENT MANAGEMENT DU CHANGEMENT MANAGEMENT DU CHANGEME MANAGEMENT DU CHANGEMENT MANAGEMENT DU CHANGEMENT MANAGEMENT
Plus en détailLes enfants autistes ont besoin d apprendre comme les autres
LJ Corporate. Crédits photo : Fotolia - J.B. Mariou - D.R. Nos associations militent pour un accompagnement éducatif et comportemental précoce des personnes autistes, afin de les aider à progresser et
Plus en détailPour une mobilité sure et durable des
Safe Move For older drivers Pour une mobilité sure et durable des conducteurs âgés Claude Marin-Lamellet IFSTTAR-TS2-LESCOT 2 Partenaires Projet miroir en Suède Financeurs 3 Personnes impliquées IFSTTAR
Plus en détailLIVRES. n 58 Mars 2015. AMARAL Roberta. Petite chronique d'une famille atypique. Suresnes : Les éditions du Net, 2013. 110 p.
n 58 Mars 2015 Rejoignez-nous sur Facebook : www.facebook.com/centreressourcesautisme LIVRES AMARAL Roberta. Petite chronique d'une famille atypique. Suresnes : Les éditions du Net, 2013. 110 p. BINTZ
Plus en détailUne situation d'apprentissage du lexique en MS Les activités gymniques
Cette séquence permet l acquisition des compétences nécessaires à la construction des connaissances : - Connaître et enrichir le lexique de base de l action «se déplacer» : marcher, ramper, courir, grimper-escalader,
Plus en détailLA FIN DE VIE AUX URGENCES: LES LIMITATIONS ET ARRÊTS DES THÉRAPEUTIQUES ACTIVES. Dr Marion DOUPLAT SAMU- Urgences Timone
LA FIN DE VIE AUX URGENCES: LES LIMITATIONS ET ARRÊTS DES THÉRAPEUTIQUES ACTIVES Dr Marion DOUPLAT SAMU- Urgences Timone SOMMAIRE 1. La mort aux urgences 2. Les Limitations et Arrêts des Thérapeutiques
Plus en détail