AVIS DE LA COMMISSION. 26 novembre 2003
|
|
- Jeannine Charpentier
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 COMMISSION DE LA TRANSPARENCE REPUBLIQUE FRANÇAISE AVIS DE LA COMMISSION 26 novembre 2003 BEXTRA 10 mg, comprimé B/20 B/30 B/100 BEXTRA 20 mg, comprimé B/20 B/30 B/100 Laboratoires PHARMACIA Liste I Date de l'amm : 27 mars 2003 Motif de la demande : inscription Sécurité Sociale et Collectivités dans l indication : «Soulagement symptomatique dans le traitement de l arthrose ou de la polyarthrite rhumatoï de»: B/20 B/30 inscription Collectivités dans l indication : «Soulagement symptomatique dans le traitement de l arthrose ou de la polyarthrite rhumatoï de» : B/100 Secrétariat de la Commission : AFSSAPS Unité de la Transparence 1
2 1. CARACTERISTIQUES DU MEDICAMENT 1.1. Principe actif 1.2. Originalité AINS à action sélective sur la cyclo-oxygénase Indications Soulagement symptomatique dans le traitement de l arthrose ou de la polyarthrite rhumatoï de. Traitement de la dysménorrhée primaire Posologie Arthrose et polyarthrite rhumatoï de : la dose recommandée est de 10 mg en une prise par jour. Certains patients peuvent avoir un bénéfice supplémentaire avec une dose de 20 mg par jour en une prise. La dose maximale recommandée est de 20 mg une fois par jour. Traitement de la dysménorrhée primaire : la dose recommandée pour la soulagement symptomatique est de 40 mg en une prise par jour si nécessaire. Le premier jour de traitement, une dose supplémentaire de 40 mg peut être prise en cas de besoin. Ensuite, la dose maximale recommandée est de 40 mg en une prise par jour. 2. MEDICAMENTS COMPARABLES 2.1. Classement ATC 2003 M : Muscle et squelette 01 : Anti-inflammatoires et antirhumatismaux A : Anti-inflammatoires, antirhumatismaux, non stéroï diens H : Coxibs 03 : Valdécoxib 2
3 2.2. Médicaments de même classe pharmaco-thérapeutique Médicaments de comparaison Il s agit de l ensemble des AINS : acide tiaprofénique - SURGAM 100 mg et 200 mg, comprimé sécable et leurs génériques alminoprofène - MINALFENE 150 mg et 300 mg, comprimé sécable granules pour solution buvable, sachet-dose célécoxib CELEBREX 100 mg et 200 mg, gélule diclofénac - VOLTARENE LP 75 et 100 mg, comprimé B/15 et ses génériques diclofénac - VOLTARENE 25 mg, 50 mg, comprimé gastro-résistant B/30 et leurs génériques diclofénac et misoprostol - ARTOTEC, comprimé à double noyau gastro-résistant B/30 et ARTOTEC 75 mg/0,2 mg, comprimé gastro-résistant étodolac - LODINE LP 400 mg, comprimé pelliculé à LP étodolac - LODINE 100 mg, 200 mg, 300 mg, comprimé enrobé fénamate - NIFLURIL, gélule flurbiprofène - ANTADYS 50 et 100 mg, comprimé pelliculé flurbiprofène - CEBUTID LP 200 mg, gélule à LP flurbiprofène - CEBUTID 50 et 100 mg, comprimé enrobé ibuprofène - ANTARENE 100 mg, 200 mg, 400 mg comprimé pelliculé ibuprofène - BRUFEN 400, comprimés dragéifiés B/30 et ses génériques ibuprofène -NUREFLEX LP 200 et 300 mg, gélules à LP et 400 mg comprimé enrobé, granulés effervescents en sachet indométacine - CHRONO-INDOCID 75 mg, gélule indométacine INDOCID 25 mg, capsule B/30 kétoprofène - BI- PROFENID, comprimé sécable kétoprofène - PROFENID 50 et 100 mg, gélule - LP 200 mg, comprimé, gélule et ses génériques méloxicam - MOBIC 7,5 et 15 mg, comprimé sécable nabumétone - NABUCOX 1 g, comprimé naproxène - APRANAX 250 mg, granulé pour suspension buvable 275 mg, comprimé mg, granulé en sachet mg, comprimé mg, comprimé naproxène -NAPROSYNE 250 mg, 500 mg, 750 mg et 1000 mg comprimé mg, 500 mg granulé en sachet naproxène -NAPROXENE Cox 250 mg, 500 mg et 1000 mg, comprimé naproxène - NAPROXENE RPG 500 mg, comprimé naproxène - NAPROXENE sodique Teva 250 mg, 275 mg, 500 mg et 550 mg, comprimé nimésulide - NEXEN 100 mg, comprimé et sachets granulés piroxicam - BREXIN 20 mg, comprimé effervescent et sécable, sachets pour suspension buvable piroxicam - CYCLADOL 20 mg, comprimé effervescent et sécable, sachets pour suspension buvable piroxicam - FELDENE 10 mg, gélule et 20 mg, comprimé sécable et ses génériques piroxicam - PROXALYOC 10 mg et 20 mg, lyophilisats oraux phénylbutazone - BUTAZOLIDINE, comprimé rofécoxib VIOXX 12,5 et 25 mg, comprimé sulindac - ARTHROCINE 200 mg, comprimé ténoxicam - TILCOTIL 20 mg, comprimé pelliculé 3
4 2.2.2 Evaluation concurrentielle Le premier en nombre de journées de traitement acide tiaprofénique 200 mg, comprimé - SURGAM 200 mg B/15 Le plus économique en coût de traitement La spécialité ne peut être précisée du fait des variations de posologie interindividuelles et des variations intra-individuelles au cours de la maladie. Le dernier inscrit diclofénac 100 mg, comprimé à libération prolongée - VOLDAL LP 100 mg Gé B/15 (JO du 07/11/03) 2.3. Médicaments à même visée thérapeutique L ensemble des antalgiques. 3. ANALYSE DES DONNEES DISPONIBLES 3.1. Efficacité dans l arthrose et la polyarthrite rhumatoï de dans l arthrose Etudes versus rofécoxib Etude 872-IFL Une étude de non-infériorité avec bras a comparé l efficacité et la tolérance du 20 mg/j et du rofécoxib 25 mg/j pendant 6 semaines chez 566 malades arthrosiques. Critères de jugement : - douleur mesurée par le malade sur l EVA, 20 mg est considéré comme non inférieur à rofécoxib 25 mg si la borne supérieure de l intervalle de confiance 95 % de la différence des moyennes ajustées est inférieure à la borne de signification clinique indice WOMAC à la 6 ème semaine 20 mg est considéré comme non inférieur à rofécoxib 25 mg si la borne supérieure de l intervalle de confiance 95 % de la différence des moyennes ajustées est inférieure à la borne de signification clinique 5,5. 4
5 Résultats : Modifications de la douleur mesurée sur l EVA à la 6 ème semaine Modifications par 20 mg rofécoxib 25 mg rapport à la valeur N=218 N=215 N=102 de base Moyenne ajustée -37,99-39,95-21,15 Effet traitement Différence des Intervalle de confiance moyennes ajustées à 95 % rofécoxib 1,95 ( - 6,09) Modifications de l indice WOMAC à la 6 ème semaine Modifications par 20 mg rofécoxib 25 mg rapport à la valeur N=218 N=215 N=102 de base Moyenne ajustée -23,73-24,42-11,98 Effet traitement Différence des Intervalle de confiance moyennes ajustées à 95 % rofécoxib 0,68 ( - 3,44) La différence observée (dans son intervalle de confiance) entre 20 mg et rofécoxib 25 mg a permis de dire que a été non inférieur à rofécoxib. Il n y a pas eu de différence entre les 3 groupes concernant la survenue d effets indésirables. Etudes versus naproxène Etude N L objectif de cette étude était de comparer l efficacité du 5 et 10 mg/ j, du naproxène mg/j et du chez 466 malades atteints d arthrose de la hanche pendant 12 semaines. Critères de jugement : douleur (indice WOMAC), évaluation globale de sa maladie par le malade, capacité fonctionnelle (indice WOMAC). 5
6 Résultats : valeurs à et évolution des critères de jugement entre et la 12 ème semaine. N=117 5 mg N= mg N=111 naproxène 1000 mg N= 118 Douleur (indice WOMAC) : échelle de 0 (pas de douleur) à 100 mm (douleur extrême) Inclusion 10,8 11,2 10,8 10,5 Semaine 12-1,25-2,54-2,83-2,94 Evaluation globale de sa maladie par le malade Inclusion 4,1 4,1 4,1 4,1 Semaine 12-0,87-1,20-1,29-1,18 Capacité fonctionnelle (indice WOMAC) Inclusion 37,1 38,6 37,0 36,6 Semaine 12-3,18-8,20-10,0-9,63 Conclusion : Il n a pas été noté de différence d efficacité entre 10 mg et naproxène 1000 mg Il y a eu davantage d effets secondaires gastro-intestinaux dans le groupe naproxène (32,22%) que dans les groupes 5 mg (22,5%), 10 mg (15,3 %) et (16,2%). Etude N Cette étude a comparé : - d une part l efficacité du aux doses de 5, 10 et 20 mg/ j et du - d autre part l incidence d ulcères gastro-duodénaux (endoscopie) sous 5, 10 et 20 mg/ j et sous naproxène mg/j chez 1016 malades atteints d arthrose du genou et traités pendant 12 semaines. Critères de jugement : douleur (indice WOMAC), évaluation globale de sa maladie par le malade, capacité fonctionnelle (indice WOMAC). 6
7 Résultats : valeurs à et évolution entre et la 12 ème semaine des critères de jugement. N=205 5 mg N= mg N= mg N=201 naproxène 1000 mg N= 204 Douleur (indice WOMAC) Inclusion 10,92 10,90 11,09 10,94 10,73 Semaine 12-2,99-3,73-3,60-3,92-3,92 Evaluation globale de sa maladie par le malade Inclusion 4,14 4,09 4,12 4,16 4,13 Semaine 12-1,24-1,40-1,53-1,55-1,41 Capacité fonctionnelle (indice WOMAC) Inclusion 37,76 37,28 38,73 37,89 37,97 Semaine 12-9,40-11,70-12,29-12,05-12,57 Une endoscopie digestive a été réalisée chez 908 malades avant et en fin de traitement. Résultats : Ulcères gastroduodénaux Erosions et/ou ulcères gastroduodénaux N=178 5 mg N= mg N= mg N=185 naproxène 1000 mg N= % 3 % 3 % 5 % 10% 23 % 23 % 16 % 25 % 51 % Conclusion : Il n a pas été observé de différence d efficacité entre 10 mg et 20 mg et naproxène 1000 mg. Il a été observé moins d ulcères gastro-duodénaux dans les groupes 5 mg (3%) et 10 mg (3%) que dans le groupe naproxène 1000 mg (10%). Il n y a pas de différence entre 20 mg et naproxène 1000 mg. Il y a eu moins d érosions et/ou d ulcères gastro-duodénaux dans les groupes 5 mg (23%),10 mg (16%) et 20 mg (25 %) que dans le groupe naproxène 1000 mg (51%). Etudes versus diclofénac Etude N Une étude de non-infériorité a comparé l efficacité du 10 et 20 mg/ j et du diclofénac 150 mg LP/j pendant 26 semaines chez 784 malades arthrosiques, et leur tolérance à 52 semaines. 7
8 Critères de jugement : douleur mesurée par le malade sur l EVA, évaluation globale de sa maladie par le malade (échelle de 1 à 5) capacité fonctionnelle (indice WOMAC) et WOMAC composite. Résultats : valeurs à et évolution par rapport à à 26 semaines des critères de jugement 10 mg N= mg N=261 diclofénac LP 150 mg N= 262 Douleur mesurée sur l EVA (IC à 95 % de la différence versus diclofénac) Inclusion 60,3 61,1 61,6 Semaine 26-17,4 (-0,34, 7,29) -18,2 (-1,19, 6,44) -20,8 évaluation globale de sa maladie par le malade Inclusion 3,5 3,5 3,5 Semaine 26-0,76 (0,00, 0,28) -0,73 (0,02, 0,31) -0,90 WOMAC composite Inclusion 45,8 47,4 47,6 Semaine 26-12,6 (1,00, 6,05) -13,5 (0,10, 5,14) -16,1 capacité fonctionnelle (indice WOMAC) Inclusion 32,5 33,8 34,2 Semaine 26-8,81 (0,52, 4,25) -9,46 (-0,13, 3,59) -11,2 Conclusion : Les différences observées (dans leur intervalle de confiance) entre 10 mg, 20 mg et diclofénac 150 mg ne sont pas sorties des bornes d équivalence très discutables choisies par le promoteur (15 mm). Il y a eu moins d événements digestifs (douleur abdominale, ulcères) dans les groupes 10 mg (24,3 %) et 20 mg (28,7 %) que dans le groupe diclofénac (40,1 %) à 52 semaines Dans la polyarthrite rhumatoï de Etudes versus naproxène Etude N L objectif principal de cette étude était de comparer l efficacité du 20 mg et 40 mg/j au chez 1089 malades atteints de polyarthrite rhumatoï de, pendant 12 semaines. L objectif secondaire était de comparer 10 mg, 20 mg et 40 mg/j au naproxène 1000 mg/j dans le traitement de la polyarthrite rhumatoï de. 8
9 Critères de jugement : Taux de répondeur ACR20 à 12 semaines (amélioration de 20 % du score de l American College of Rheumatology), en particulier nombre d articulations douloureuses, nombre d articulations gonflées, évaluation de sa maladie par le patient, évaluation de la maladie par le médecin. Résultats : N= mg/j N= mg/j N= mg/j N=221 naproxène 1000 mg/j N=225 Taux de répondeurs ACR20 Semaine Semaine Semaine Changement du nombre d articulations douloureuses Valeur à 27,5 27,3 29,0 29,3 28,9 Semaine 2-7,9-10,7-10,5-12,1-12,3 Semaine 6-8,5-12,1-11,5-13,3-12,3 Semaine 12-8,1-11,7-11,2-12,6-11,9 Changement du nombre d articulations gonflées Valeur à 20,1 20,8 20,2 20,5 21,3 Semaine 2-5,8-7,2-7,0-8,0-7,6 Semaine 6-6,2-7,6-7,3-7,9-7,8 Semaine 12-5,5-7,9-7,0-7,3-7,7 Evaluation de la maladie par le patient Valeur à 3,7 3,7 3,8 3,8 3,7 Semaine 2-0,6-1,1-0,9-1,1-1,1 Semaine 6-0,5-1,0-1,0-1,1-1,0 Semaine 12-0,5-1,0-0,9-0,9-1,0 Evaluation de la maladie par le médecin Valeur à 3,7 3,6 3,7 3,7 3,6 Semaine 2-0,6-1,0-1,0-1,1-1,0 Semaine 6-0,6-1,1-1,0-1,1-1,0 Semaine 12-0,5-1,0-1,0-1,0-1,0 Il n a pas été observé de différence d efficacité entre 10 mg, 20 mg, 40 mg et naproxène 1000 mg. Il y a eu davantage d effets indésirables gastro-intestinaux - dans les groupes 40 mg (34,4%) et naproxène (39,1%) versus (24,3 %), - dans le groupe naproxène (39,1%) versus 10 mg (26,8%) et 20 mg (25,9%). Etude N
10 L objectif principal de cette étude était de comparer l efficacité du 10 mg, 20 mg et 40 mg/j à celle du chez 1093 malades atteints de polyarthrite rhumatoï de, pendant 12 semaines. L objectif secondaire était de comparer 10 mg, 20 mg et 40 mg/j au naproxène 1000 mg/j dans le traitement de la polyarthrite rhumatoï de. Critères de jugement : Taux de répondeur ACR20 (amélioration de 20 % du score de l American College of Rheumatology), en particulier : nombre d articulations douloureuses, nombre d articulations gonflées, évaluation de sa maladie par le patient, évaluation de la maladie par le médecin. Résultats : N= mg/j N= mg/j N= mg/j N=209 naproxène 1000 mg/j N=219 taux de répondeurs ACR20 Semaine Semaine Semaine Changement du nombre d articulations douloureuses Valeur à 29,6 28,9 28,6 29,1 29,3 Semaine 2-6,9-10,6-11,3-13,2-13,3 Semaine 6-8,2-11,7-12,5-14,7-14,8 Semaine 12-8,8-12,2-11,8-14,0-14,4 Changement du nombre d articulations gonflées Valeur à 20,8 20,5 21,2 20,7 20,5 Semaine 2-6,0-6,7-7,1-7,6-8,5 Semaine 6-6,4-7,5-8,3-8,7-9,4 Semaine 12-6,7-7,5-7,9-8,1-9,3 Evaluation de la maladie par le patient Valeur à 3,6 3,6 3,7 3,6 3,7 Semaine 2-0,5-0,9-1,0-1,0-1,1 Semaine 6-0,4-0,9-1,0-1,0-1,1 Semaine 12-0,5-0,9-0,9-0,9-1,1 Evaluation de la maladie par le médecin Valeur à 3,6 3,6 3,6 3,6 3,6 Semaine 2-0,5-0,9-1,0-1,0-1,1 Semaine 6-0,5-0,9-1,0-1,0-1,1 Semaine 12-0,5-0,9-0,9-1,0-1,0 Il n a pas été noté de différence d efficacité entre 20 mg, 40 mg et naproxène 1000 mg. Il n y a pas eu de bénéfice plus important avec la dose de 40 mg qu avec la dose 20 mg. 10
11 Il y a eu plus d effets indésirables dans le groupe naproxène 1000 mg que dans le groupe 10 mg. Etude versus diclofénac Etude I Une étude de non-infériorité a comparé l efficacité du 20 et 40 mg/j et du diclofénac 150 mg/j chez 720 malades atteints de polyarthrite rhumatoï de. Critères de jugement : douleur mesurée par le malade sur l EVA. Résultats : évaluation de la douleur sur l EVA 20 mg/j N= mg/j N=237 diclofénac 150 mg/j N=237 Moyenne à Différence à la semaine 26 56,5 55,8 56,8-11,3-12,3-13,0 Il n a pas été observé de différence entre 20 mg, 40 mg et diclofénac 150 mg sur la douleur (EVA). Il y a eu moins d ulcères gastro-duodénaux dans les groupes 20 mg (6 %) et 40 mg (4 %) que dans le groupe diclofénac 150 mg (16 %). Conclusion sur l ensemble des études : Dans l arthrose, il n y a pas eu de différence d efficacité entre 10 mg et 20 mg et naproxène 1000 mg. Dans la polyarthrite rhumatoï de, il n y a pas de différence d efficacité entre 20 et 40 mg et diclofénac 150 mg. Il n y a pas eu de différence d efficacité entre 20 mg et rofécoxib 25 mg. Il y a eu moins d effets indésirables gastro-intestinaux dans les groupes 10 mg et 20 mg que dans le groupe naproxène 1000 mg. Il y a eu moins d effets indésirables gastro-intestinaux dans les groupes 10 mg, 20 mg et 40 mg que dans le groupe diclofénac 150 mg. 11
12 3.2. Effets indésirables Etude N une étude endoscopique a comparé l incidence des ulcères gastro-intestinaux chez 1051 malades arthrosiques traités par 10 mg et 20 mg/j, diclofénac 150 mg/j et ibuprofène 2400 mg/j pendant 12 semaines. Incidences d ulcères gastro-duodénaux ( 3 mm) à S12: Nombre d ulcères gastro-duodénaux (%) N= mg/j N= mg/j N=198 ibuprofène 2400 mg/j N=184 diclofénac 150 mg/j N=187 8 (4%) 7 (4 %) 7 (4 %) 25 (14%) 25 (13%) Il y a eu moins d ulcères gastro-intestinaux dans les groupes 10 et 20 mg que dans les groupes diclofénac et ibuprofène. Etude N Une étude a comparé chez 1218 malades arthrosiques ou atteints de polyarthrite rhumatoï de pendant 26 semaines la tolérance de 40 et 80 mg/j (2 et 4 fois la dose recommandée par l AMM dans les indications arthrose et PR) et de naproxène 1000 mg/j Critères de jugement : Incidence de variations de la fonction rénale (clairance de l urée, créatinine urinaire, clairance de la créatinine, protéine totale urinaire), incidence et délai de survenue d ulcères gastro-duodénaux chez les malades ayant une polyarthrite rhumatoï de. Résultats : Incidence des ulcères gastro-duodénaux à 14 semaines : 40 mg/j 80 mg/j naproxène 1000 mg Tous les malades 4 % 8% 18% Arthrose 3% 9% 20% PR 5% 6% 16% Chez les malades atteints d arthrose ou de polyarthrite rhumatoï de, il y a eu moins d ulcères gastro-duodénaux dans les groupes 40 et 80 mg/j que dans le groupe naproxène. Incidence de variations de la fonction rénale à 26 semaines (clairance de l urée, créatinine urinaire, clairance de la créatinine, protéine totale urinaire) : 40 mg/j N= mg/j N=403 naproxène 1000 mg N=415 Evènements rénaux
13 Il y a eu davantage d événements rénaux (diminution de la perfusion rénale, protéinurie, œdème, hyponatrémie,..) dans le groupe 80 mg/j que dans le groupe naproxène 1000 mg/j Il n a pas été noté de différence entre 40mg/j et naproxène mg/j pour les événements rénaux. Un «pooling» des études a comparé l incidence des événements gastro-intestinaux cliniquement significatifs (saignements, perforation et occlusion) ainsi que celle des évènements gastro-intestinaux et des ulcères symptomatiques chez 7434 malades ayant reçu soit du, du 5 à 80 mg/j soit un autre AINS (naproxène 1000 mg/j, diclofénac 150 mg/j, ibuprofène 2400 mg/j). La fréquence des évènements gastro-intestinaux cliniquement significatifs a été plus faible dans le groupe (0,68 %) que dans le groupe AINS (1,96 %) p<0,018. La fréquence des évènements gastro-intestinaux et des ulcères symptomatiques a été plus faible dans le groupe (3,04 %) que dans le groupe AINS (12,28 %) p<0, Efficacité dans la dysménorrhée Etude N et étude N L objectif principal de ces 2 études monocentriques en double aveugle et cross-over était de comparer l activité antalgique du 20 mg, 40 mg et du chez des femmes ayant une dysménorrhée primaire d intensité modérée à sévère. L objectif secondaire était de comparer 20 mg et 40 mg au naproxène 550 mg dans le traitement de la dysménorrhée primaire. Cette étude comportait 4 cycles de traitement (un traitement par cycle) : 20 mg, 40 mg, naproxène 550 mg et Critères de jugement : - somme des scores de soulagement de la douleur sur une échelle de 0 (pas de soulagement) à 4 (soulagement complet) mesuré à 8 h et 12 heures après la première prise (score TOTPAR) - somme des scores d intensité de la douleur sur une échelle à 4 points (de 0 : intensité nulle, à 3 : douleur sévère) mesurée à 8 h et 12 heures après la première prise (score SPID). Résultats : score TOTPAR et SPID à 8 et 12 heures pour l étude N Scores N=95 20 mg N=95 40 mg N=95 naproxène 550 mg N=95 TOTPAR (intensité de la douleur) à 8 h 15,05 18,89 20,80 20,55 à 12 h 23,78 29,35 32,90 32,29 SPID (soulagement de la douleur) à 8 h 7,31 9,77 10,87 10,64 à 12 h 11,73 15,16 17,39 16,78 Résultats : score TOTPAR et SPID à 8 et 12 heures pour l étude N
14 Scores N=85 20 mg N=85 40 mg N=85 naproxène 550 mg N=85 TOTPAR (intensité de la douleur) à 8 h 14,07 19,64 20,94 20,71 à 12 h 21,99 30,67 32,94 31,89 SPID (soulagement de la douleur) à 8 h 6,41 10,32 10,36 10,76 à 12 h 10,34 16,14 16,45 16,54 Dans ces 2 études, 20 et 40 mg ont montré une activité antalgique non différente de celle du naproxène et supérieure à celle du. Tolérance : il n a pas été observé de différence entre les traitements pour la survenue d effets indésirables. Les données disponibles dans l indication dysménorrhée recueillies sur un faible effectif et une durée de traitement très brève, n ont pas montré de différence entre, naproxène et 20 et 40 mg. 4. CONCLUSIONS DE LA COMMISSION DE LA TRANSPARENCE 4.1. Service médical rendu Dans l arthrose et la polyarthrite rhumatoï de : La polyarthrite rhumatoï de et l arthrose sont des maladies chroniques invalidantes. Le rapport efficacité/effets indésirables de ces spécialités est important. Il s agit d un traitement symptomatique. Il existe de nombreuses alternatives thérapeutiques : les antalgiques dans l arthrose et les AINS (exceptés les pyrazolés) dans l arthrose et la polyarthrite rhumatoï de. Le niveau de service médical rendu dans la polyarthrite rhumatoï de et l arthrose est important. Dans la dysménorrhée primaire : La dysménorrhée n entraîne pas de complications graves, ni de handicap ni de dégradation marquée de la qualité de vie. Le rapport efficacité/effets indésirables est moyen. Il s agit d un traitement symptomatique. Il existe des alternatives thérapeutiques. Le niveau de service médical rendu dans la dysménorrhée primaire est modéré. 14
15 4.2. Amélioration du service médical rendu Cette spécialité n apporte pas d amélioration du service médical rendu (ASMR V) par rapport au rofécoxib (VIOXX) dans l arthrose et la polyarthrite rhumatoï de. Cette spécialité n apporte pas d amélioration du service médical rendu (ASMR V) par rapport au naproxène sodique dans l indication dysménorrhée primaire Place dans la stratégie thérapeutique Arthrose : Dans le cadre d un traitement symptomatique de l arthrose, il convient de débuter le traitement symptomatique par le paracétamol. En cas d échec, les AINS sont prescrits, en commençant par des doses faibles. Ils doivent être réservés aux poussées douloureuses, et ne pas être prescrits au long cours. La place du, comme celle de tous les AINS, se situe donc en deuxième intention. L indication et la prescription de cette spécialité aux patients à risque (antécédents ulcéreux, sujet âgé, traitement anti-coagulant ) justifient de prendre les mêmes précautions que celles recommandées pour l ensemble des AINS. Polyarthrite rhumatoï de : Le traitement de la polyarthrite fait le plus souvent appel à des séquences successives de médicaments. Les anti-inflammatoires sont un traitement de première intention, associés aux traitements de fond. L indication et la prescription de cette spécialité aux patients à risque (antécédents ulcéreux, sujet âgé, traitement anti-coagulant ) justifient de prendre les mêmes précautions que celles recommandées pour l ensemble des AINS. Dysménorrhée primaire : La dysménorrhée primaire est induite par l action de prostaglandines utérines. Sa prise en charge consiste en l administration soit d antalgiques, soit d inhibiteurs de la synthèse de prostaglandines comme les AINS, soit d une contraception orale. Les AINS doivent être prescrits dès le début des règles et pendant les 2 ou 3 premiers jours. En cas d échec, il faut éventuellement changer d AINS. 15
16 4.4. Population cible Population cible dans l arthrose : L arthrose touche essentiellement les personnes de plus de 60 ans, les femmes plus fréquemment que les hommes (2 femmes pour un homme). Sa prévalence en France est très mal connue et repose souvent sur des données anciennes et approximatives. Selon les données de l enquête SPS du CREDES (rapport du Haut Comité de la Santé Publique, 2002) et les données du Panel THALES ( ), la population d arthrosiques symptomatiques serait de l ordre de 4 à 5 millions de patients. Les AINS ne sont ni un traitement de 1 ère intention, ni un traitement au long cours. Les seules données épidémiologiques disponibles sur le recours aux AINS sont celles du Panel THALES D après ce Panel, environ 60 à 65 % des arthrosiques seraient traités par AINS. Population cible dans la polyarthrite rhumatoï de : Sur la base des données épidémiologiques disponibles, la prévalence de la polyarthrite rhumatoï de peut être estimée à à patients. Selon les experts, la très grande majorité de ces patients est susceptible d être traitée par des AINS. Population cible dans la dysménorrhée primaire La prévalence de la dysménorrhée primaire est mal connue. Toutes les femmes en âge de procréer peuvent être concernées par une dysménorrhée primaire, même si celle-ci semble toucher plus fréquemment les femmes jeunes. Selon les rares données disponibles, la prévalence de la dysménorrhée chez les femmes de 15 à 50 ans pourrait être de l ordre de 50% soit environ 7,3 millions de femmes concernées en France. Il est à noter toutefois qu une forte proportion de femmes ont recours à l automédication pour soulager leur dysménorrhée Recommandations de la Commission de la Transparence Avis favorable à l'inscription sur la liste des spécialités remboursables aux assurés sociaux et sur la liste des médicaments agréés à l'usage des collectivités et divers services publics dans toutes les indications de l AMM Conditionnement Il est adapté aux conditions de prescription Taux de remboursement : Dans les indications arthrose et polyarthrite rhumatoï de : 65 % Dans l indication dysménorrhée primaire : 35 % 16
UTILISATION ET PRECAUTION D EMPLOI DES AINS Professeur Philippe BERTIN, Chef de Service de Rhumatologie, CHU Limoges Octobre 2009
UTILISATION ET PRECAUTION D EMPLOI DES AINS Professeur Philippe BERTIN, Chef de Service de Rhumatologie, CHU Limoges Octobre 2009 Objectifs pédagogiques : 1 ) Connaître les mécanismes d action des AINS
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 10 mars 2010
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 10 mars 2010 ARIXTRA 1,5 mg/0,3 ml, solution injectable en seringue pré-remplie - Boîte de 2 (CIP : 363 500-6) - Boîte de 7 (CIP : 363 501-2) - Boîte de 10 (CIP : 564
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 10 mai 2006
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 10 mai 2006 METOJECT 10 mg/ml, solution injectable en seringue pré-remplie 1 seringue pré-remplie en verre de 0,75 ml avec aiguille : 371 754-3 1 seringue pré- remplie
Plus en détailPlan. Introduction. Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé. Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or
Plan Introduction Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or Introduction NACO: une actualité brûlante! AVK: Plus forte incidence
Plus en détailAnti-Inflammatoires Non stéroïdiens
Pharmacologie Clinique des Anti-Inflammatoires Non stéroïdiens Effets indésirables Aude FERRAN Plan Toxicité digestive Ulcères» Physiopathologie : effets locaux et systémiques» Cas du cheval Augmentation
Plus en détailPharmacologie des «nouveaux» anticoagulants oraux
Pharmacologie des «nouveaux» anticoagulants oraux Apixaban, Dabigatran, Rivaroxaban Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046 et CIC 9301 INSERM-CHRU, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détail1 - Que faut-il retenir sur les anticoagulants oraux?
La nouvelle convention pharmaceutique offre l opportunité aux pharmaciens d accompagner les patients traités par anticoagulants oraux au long cours afin de prévenir les risques iatrogéniques. Les anticoagulants
Plus en détailRecommandation Pour La Pratique Clinique
Recommandation Pour La Pratique Clinique Prise en charge diagnostique et thérapeutique de la migraine chez l adulte ( et chez l enfant) : aspects cliniques (et économiques) Octobre 2002 1 La migraine de
Plus en détailBien vous soigner. avec des médicaments disponibles sans ordonnance. juin 2008. Douleur. de l adulte
Bien vous soigner avec des médicaments disponibles sans ordonnance juin 2008 Douleur de l adulte Douleur de l adulte Ce qu il faut savoir La douleur est une expérience sensorielle et émotionnelle désagréable,
Plus en détailObservation. Merci à l équipe de pharmaciens FormUtip iatro pour ce cas
Cas clinique M. ZAC Observation Mr ZAC ans, 76 ans, 52 kg, est admis aux urgences pour des algies fessières invalidantes, résistantes au AINS. Ses principaux antécédents sont les suivants : une thrombopénie
Plus en détailAVIS DE LA COMMISSION. 30 juin 2004
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE REPUBLIQUE FRANÇAISE AVIS DE LA COMMISSION 30 juin 2004 BIPERIDYS 20 mg, comprimé pelliculé sécable (Boîtes de 20 et 40) Laboratoires PIERRE FABRE MEDICAMENT dompéridone Liste
Plus en détailPoint d information Avril 2012. Les nouveaux anticoagulants oraux (dabigatran et rivaroxaban) dans la fibrillation auriculaire : ce qu il faut savoir
Point d information Avril 2012 Les nouveaux anticoagulants oraux (dabigatran et rivaroxaban) dans la fibrillation auriculaire : ce qu il faut savoir Le dabigatran (PRADAXA), inhibiteur direct de la thrombine,
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION 10 octobre 2001 VIRAFERONPEG 50 µg 80 µg 100 µg 120 µg 150 µg, poudre et solvant pour solution injectable B/1 B/4 Laboratoires SCHERING PLOUGH Peginterféron
Plus en détailTraiter la goutte sans être débordé
Fédération des médecins omnipraticiens du Québec Traiter la goutte sans être débordé Hélène Demers et Michel Lapierre Vous voulez traiter et prévenir la goutte? Lisez ce qui suit! Les différentes phases
Plus en détailAlgorithme d utilisation des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS)
Algorithme d utilisation des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) Édition Conseil du médicament www.cdm.gouv.qc.ca Coordination Anne Fortin, pharmacienne Élaboration Conseil du médicament Fédération
Plus en détailI.TRAITEMENT DE CRISE -ANTALGIQUES SIMPLES -ANTINFLAMMATOIRES BIPROFENID -TRIPTANS
TRAITEMENT DE LA MIGRAINE I.TRAITEMENT DE CRISE -ANTALGIQUES SIMPLES PARACETAMOL PEU OU PAS EFFICACE ASSOCIATIONS ASPIRINE-METOCLOPRAMIDE (CEPHALGAN MIGPRIV ) -ANTINFLAMMATOIRES -TRIPTANS BIPROFENID 1
Plus en détailMIGRAINE - TRAITEMENT
MIGRAINE - TRAITEMENT Restauration d une bonne qualité de vie Adapté à chaque patient Reposant sur trois axes : éviction des facteurs déclenchants traitement de crise traitement prophylactique ANAES 2002
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux (NAC)
Les nouveaux anticoagulants oraux (NAC) Dr Jean-Marie Vailloud Cardiologue libéral/ salarié (CHU/clinique) Pas de lien d'intérêt avec une entreprise pharmaceutique Adhérent à l'association Mieux Prescrire
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 23 mai 2007
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 23 mai 2007 SUTENT 12,5 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 265-0) SUTENT 25 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 266-7) SUTENT 50 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 267-3)
Plus en détailAvis 29 mai 2013. XYZALL 5 mg, comprimé B/14 (CIP : 34009 358 502 4-9) B/28 (CIP : 34009 358 505 3-9) Laboratoire UCB PHARMA SA.
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 29 mai 2013 XYZALL 5 mg, comprimé B/14 (CIP : 34009 358 502 4-9) B/28 (CIP : 34009 358 505 3-9) Laboratoire UCB PHARMA SA DCI Code ATC (2012) Motif de l examen Liste
Plus en détailMigraine : traitement de la crise. Comment utiliser les triptans?
Migraine : traitement de la crise Comment utiliser les triptans? 6 ème congrès national de lutte contre la douleur 19-20 Mars Alger Alain Serrie Service de Médecine de la douleur, médecine palliative et
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 1 er octobre 2008
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 1 er octobre 2008 Examen dans le cadre de la réévaluation du service médical rendu de la classe des IMAO B, en application de l article R 163-21 du code de la sécurité
Plus en détailLes anti-inflammatoires non stéro. Les antalgiques non opiacés.
Les anti-inflammatoires non stéro roïdiens et stéro roïdiens. Les antalgiques non opiacés. (bases pharmacologiques) DCEM1 Pr.. Laurent Monassier Pharmacologie DCEMI Ce que nous allons voir 1 ère partie:
Plus en détailPLAIDOYER POUR UNE UTILISATION RAISONNEE DES ANTI-INFLAMMATOIRES EN ODONTO-STOMATOLOGIE
PLAIDOYER POUR UNE UTILISATION RAISONNEE DES ANTI-INFLAMMATOIRES EN ODONTO-STOMATOLOGIE K. SOUAGA *, A. ADOU *, D. AMANTCHI, Y. ANGOH * INTRODUCTION L observation fréquente de cellulites maxillo-faciales
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 23 mai 2012
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 23 mai 2012 SEGLOR 5 mg, gélule B/30 (CIP: 321 899-8) SEGLOR LYOC 5 mg, lyophilisat oral B/30 (CIP: 334 062-4) Laboratoire UCB PHARMA dihydroergotamine (mésilate de)
Plus en détailItem 182 : Accidents des anticoagulants
Item 182 : Accidents des anticoagulants COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Cruralgie par hématome
Plus en détailEXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE
EXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE Etape n 1 : Faire l état des lieux Identifier la situation
Plus en détailE04a - Héparines de bas poids moléculaire
E04a - 1 E04a - Héparines de bas poids moléculaire Les héparines de bas poids moléculaire (HBPM) sont un mélange inhomogène de chaînes polysaccharidiques obtenues par fractionnement chimique ou enzymatique
Plus en détailLa migraine M BOULIN 2014
La migraine M BOULIN 2014 Cas clinique Mlle B Q1 Mlle B, 28 ans se dit migraineuse mais ne sait pas trop quoi prendre au moment de ses crises. Que lui dire? Réponse 1 Sans être médecin, vous devez quand
Plus en détailSemaine de la sécurité des patients: novembre 2012
Semaine de la sécurité des patients: novembre 2012 Qu'est-ce-que la douleur? La douleur est une sensation désagréable et complexe (sensorielle et émotionnelle). Cette sensation provient de l'excitation
Plus en détailLes Migraines et les céphalées. Dr G.Hinzelin Migraines et Céphalées Migraines et Céphalées La migraine représente entre 5 à 18% de la population française selon le sexe et en fonction des études. Est
Plus en détailProgramme pour les patients traités par les nouveaux anti-coagulants oraux.
Programme P H A R M A C O pour les patients traités par les nouveaux anti-coagulants oraux. AG Caffin 1, Y Chabi 1, C Sévin 2, B Leclere 3, C Debelmas 4, G Camus 1, X Bohand 1 1 Hôpital d Instruction des
Plus en détailMEDICAMENTS CONTENANT L ASSOCIATION DEXTROPROPOXYPHENE / PARACETAMOL :
REPUBLIQUE FRANÇAISE Juin 2009 MEDICAMENTS CONTENANT L ASSOCIATION DEXTROPROPOXYPHENE / PARACETAMOL : Recommandation de l EMEA de retrait de ces médicaments à la suite de l évaluation européenne et avis
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 7 janvier 2009
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 7 janvier 2009 ZANEXTRA 20 mg/10 mg, comprimés pelliculés B/30, code CIP : 385 967.4 B/90, code CIP : 387 392.9 Laboratoires BOUCHARA RECORDATI Enalapril/Lercanidipine
Plus en détailAssurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments. Avis 2 23 Octobre 2012
Assurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments Avis 2 23 Octobre 2012 Titre I : Nom du médicament, DCI, forme pharmaceutique, dosage, présentation HUMIRA (DCI : Adalimumab
Plus en détailDirective clinique de consensus sur la dysménorrhée primaire
DIRECTIVES CLINIQUES DE LA SOGC N o 169, décembre 2005 Directive clinique de consensus sur la dysménorrhée primaire CO-PRÉSIDENTES Guylaine Lefebvre, MD, FRCSC, Ottawa (Ont.) Odette Pinsonneault, MD, FRCSC,
Plus en détailL arthrose, ses maux si on en parlait!
REF 27912016 INFORMER UPSA BROCH ARTHROSE V2 08-12.indd 2 30/08/12 11:48 Qu est-ce que l arthrose? L arthrose est une maladie courante des articulations dont la fréquence augmente avec l âge. C est une
Plus en détailEVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE. Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines
EVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines Juillet 2010 Mise à jour Septembre 2010 1 Le rapport complet
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC. Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014
Les nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014 Un AVC toutes les 4 minutes 1 130 000 AVC par an en France 1 770 000 personnes ont été victimes
Plus en détailLivret des nouveaux anticoagulants oraux. Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation
Livret des nouveaux anticoagulants oraux Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation DONNÉES DU PATIENT Nom Adresse Tél MÉDECIN TRAITANT Nom Adresse Tél SPÉCIALISTE Nom Hôpital Tél MÉDICAMENT
Plus en détailFibrillation atriale chez le sujet âgé
Dr Benoit Blanchard LE HAVRE Le 18 MARS 2014 Fibrillation atriale chez le sujet âgé Le plus fréquent des trouble du rythme cardiaque, 750,000 personnes atteintes de FA en France, 100,000 nouveaux cas chaque
Plus en détailCLINIMIX AVIS DE LA COMMISSION DE LA TRANSPARENCE
CLINIMIX AVIS DE LA COMMISSION DE LA TRANSPARENCE BAXTER_CLINIMIX N9G15 E et N12G20E_Avis CT_14-02-2007.pdf BAXTER_CLINIMIX N9G15E N12G20E N14G30 N17G35_Avis CT_12-12-2001.pdf BAXTER_CLINIMIX changement
Plus en détailGuide du parcours de soins Titre ACTES ET PRESTATIONS AFFECTION DE LONGUE DURÉE. Hépatite chronique B
Guide du parcours de soins Titre ACTES ET PRESTATIONS AFFECTION DE LONGUE DURÉE Hépatite chronique B Février 2015 Ce document est téléchargeable sur : www.has-sante.fr Haute Autorité de Santé Service des
Plus en détailLes Nouveaux AntiCoagulants Oraux
Les Nouveaux AntiCoagulants Oraux (NACO) Emmanuel HAZARD/Jean-loup HERMIL Chronologie Héparine non fractionnée 1950 HBPM 1980 NACO >2008 AVK 1960 Fondaparinux 2002 2 Les indications des NACOs En médecine
Plus en détailMigraine et Abus de Médicaments
Migraine et Abus de Médicaments Approches diagnostiques et thérapeutiques des Céphalées Chroniques Quotidiennes Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailLISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B
LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B Actualisation février 2009 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailSUAREZ VALENCIA Juan Sebastian @toolsdoc MARCHAND Guillaume @drguiloo dmdpost.com Résumé Hélène Caillault
ATELIER THEMATIQUE : APPLICATIONS POUR TABLETTES ET SMARTPHONES SUAREZ VALENCIA Juan Sebastian @toolsdoc MARCHAND Guillaume @drguiloo dmdpost.com Résumé Hélène Caillault INTRODUCTION La santé mobile, c
Plus en détailAccidents des anticoagulants
30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER
Plus en détailCéphalées de tension. Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris
Céphalées de tension Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris Céphalée de tension : une maladie hétérogène La plus fréquente des céphalées primaires Diagnostic basé sur l interrogatoire Manque de spécificité
Plus en détailRÉSUMÉ DES CARACTÉRISTIQUES DU PRODUIT. Bisolax 5 mg comprimés enrobés contient 5 mg de bisacodyl par comprimé enrobé.
RÉSUMÉ DES CARACTÉRISTIQUES DU PRODUIT 1. Dé nomination du mé dicame nt Bisolax 5 mg comprimés enrobés. 2. Composition qualitative e t quantitative Bisolax 5 mg comprimés enrobés contient 5 mg de bisacodyl
Plus en détailCEPHALEES CHRONIQUES QUOTIDIENNES AVEC ABUS MEDICAMENTEUX
CEPHALEES CHRONIQUES QUOTIDIENNES AVEC ABUS MEDICAMENTEUX Groupe de travail du RRDBN Y.Perier, A.S.Sergent, E.Touchard, V.Lepelletier, S.Sladek FMC 2009 1 PLAN Migraine sans aura Epidémiologie Critères
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 18 novembre 2009
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 18 novembre 2009 LEDERTREXATE 5 mg, solution injectable B/1 ampoule de 2 ml (Code CIP : 315 012-5) LEDERTREXATE 25 mg, solution injectable B/1 ampoule de 1 ml (Code CIP
Plus en détailLES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS
LES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS Pr. Alessandra Bura-Rivière, Service de Médecine Vasculaire Hôpital Rangueil, 1 avenue Jean Poulhès, 31059 Toulouse cedex 9 INTRODUCTION Depuis plus de cinquante ans, les héparines
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 2 avril 2014 DERMOVAL, gel flacon de 20 ml (CIP : 34009 326 130 4 5) DERMOVAL 0,05 POUR CENT, crème tube de 10 g (CIP : 34009 320 432 9 3) Laboratoire GLAXOSMITHKLINE
Plus en détailQU EST-CE QUE LA PROPHYLAXIE?
QU EST-CE QUE LA PROPHYLAXIE? TABLES DES MATIÈRES Publié par la Fédération mondiale de l hémophilie (FMH) Fédération mondiale de l hémophilie, 2014 La FMH encourage la traduction et la redistribution de
Plus en détailACTUALITES THERAPEUTIQUES. Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012
ACTUALITES THERAPEUTIQUES Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012 Traitement de fond Objectifs: Réduire le nombre de poussées Arrêter ou freiner la progression du handicap Les traitements disponibles
Plus en détailNouveaux anticoagulants oraux : aspects pratiques
Nouveaux anticoagulants oraux : aspects pratiques Christelle MARQUIE CHRU de Lille Clinique de Cardiologie L i l l e 2 Université du Droit et de la Santé Les NOAG: QCM 1. ont les mêmes indications que
Plus en détail27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013
27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013 Les Nouveaux Anticoagulants Oraux (NACO) dans la maladie thrombo embolique veineuse INTRODUCTION Thrombose veineuse
Plus en détailOrdonnance collective
Centre de Santé et de Services sociaux de Québec-Nord NUMÉRO DE L ORDONNANCE: OC-31 Ordonnance collective Nom de l ordonnance: Initier des analyses de laboratoire pour le suivi de la clientèle présentant
Plus en détailINDUCTION DES LYMPHOCYTES T- RÉGULATEURS PAR IL2 A TRÈS FAIBLE DOSE DANS LES PATHOLOGIES AUTO- IMMUNES ET INFLAMMATOIRES APPROCHE TRANSNOSOGRAPHIQUE
INDUCTION DES LYMPHOCYTES T- RÉGULATEURS PAR IL2 A TRÈS FAIBLE DOSE DANS LES PATHOLOGIES AUTO- IMMUNES ET INFLAMMATOIRES APPROCHE TRANSNOSOGRAPHIQUE Etude clinique N NCT01988506 Inves9gateur coordinateur
Plus en détail«Les lombalgies chroniques communes à la consultation de rhumatologie du CHU de Fès»
2006-2007 Premier Prix : «La voie d abord postérieure mini-invasive modifiée de la hanche» Dr. Chbani Idrissi Badr Deuxième Prix «Éradication de l helicobacter pylori: quelle trithérapie en première intention?»
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 14 mars 2012
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 14 mars 2012 XARELTO 15 mg, comprimés pelliculés B/14 (CIP: 34009 219 225 1 6) B/28 (CIP: 34009 219 226 8 4) B/42 (CIP: 34009 219 227 4 5) B/10 (CIP: 34009 219 228 0
Plus en détailNouvelles données concernant le traitement des crises de goutte aiguës
Cette version online contient toutes les mises à jour disponibles au sujet de la prise en charge de la goutte, suivies par la Fiche de transparence de juin 2010. Goutte Date de publication jusqu au 1 er
Plus en détailFaut-il encore modifier nos pratiques en 2013?
Anti-agrégants, anticoagulants et Endoscopie digestive Faut-il encore modifier nos pratiques en 2013? Christian Boustière, Marseille ANGIOPAS Essai de phase II randomisé multicentrique évaluant l efficacité
Plus en détailAvis 23 avril 2014. BARITEKAL 20 mg/ml, solution injectable Boîte de 10 ampoules de 5 ml (CIP : 34009 585 896 3 8) Laboratoire NORDIC PHARMA
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 23 avril 2014 BARITEKAL 20 mg/ml, solution injectable Boîte de 10 ampoules de 5 ml (CIP : 34009 585 896 3 8) Laboratoire NORDIC PHARMA DCI Code ATC (2012) Motif de l
Plus en détailCéphalées. 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée. APP du DENAISIS
Céphalées 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée EPU DENAIN -14 novembre 2006 Dr Kubat-Majid14 novembre 2006 Dr KUBAT-MAJID Céphalées 1 Mise au point sur la migraine
Plus en détailLa migraine : une maladie qui se traite
La migraine : une maladie qui se traite L évolution natuelle de la migraine Maladie fluctuante+++ Modification des symptômes avec l âge ++ : Moins de crises sévères Caractère pulsatile moins fréquent Plus
Plus en détailAINS : données d innocuité durant la grossesse et l allaitement
AINS : données d innocuité durant la grossesse et l allaitement Les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) sont largement utilisés dans la population générale pour le soulagement de douleurs d étiologies
Plus en détailItem 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve
Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Différentes
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. AVIS 1 er février 2012
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 1 er février 2012 Le projet d avis adopté par la Commission de la Transparence le 16 novembre 2011 a fait l objet d une audition le 1 février 2012 XEPLION 25 mg, suspension
Plus en détailjournées chalonnaises de la thrombose
Nos connaissances certaines et notre pratique journalière : Les Nouveaux Anticoagulants dans la thromboprophylaxie de la chirurgie prothétique du MI Benoit Cots et Jean Marc Royer le 29/11/12-1 Recommandations
Plus en détailDU BON USAGE DES TRIPTANS DANS LA MIGRAINE
DU BON USAGE DES TRIPTANS DANS LA MIGRAINE SEPTEMBRE 2009 A. AUTRET, TOURS au moins 5 crises : de MIGRAINE SANS AURA 4 72 heures, 2 des caractères : 1 signe d accompagnement : modérée ou sévère, pulsatile,
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 14 mars 2012
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 14 mars 2012 XARELTO 15 mg, comprimés pelliculés B/14 (CIP: 34009 219 225 1 6) B/28 (CIP: 34009 219 226 8 4) B/42 (CIP: 34009 219 227 4 5) B/10 (CIP: 34009 219 228 0
Plus en détailLe RIVAROXABAN (XARELTO ) dans l embolie pulmonaire
Le RIVAROXABAN (XARELTO ) dans l embolie pulmonaire Dr Florence Parent Service de Pneumologie et Soins Intensifs de Pneumologie Hôpital Bicêtre, AP-HP Inserm U999. Université Paris-Sud Traitement anticoagulant
Plus en détailRecommandations après le retrait des associations dextropropoxyphène/paracétamol et dextropropoxyphène/paracétamol/caféine
Groupe Référent Médecins Généralistes de l Afssaps Mise au point Prise en charge des douleurs de l adulte modérées à intenses Recommandations après le retrait des associations dextropropoxyphène/paracétamol
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux : quelles interactions médicamenteuses?
Les nouveaux anticoagulants oraux : quelles interactions médicamenteuses? Dr Stéphanie Chhun, Pharmacologue (Hôpital Universitaire Necker Enfants-Malades) Pr Stéphane Mouly, Interniste (Hôpital Lariboisière)
Plus en détailLANCEMENT DE IPRAALOX, 20 mg Pantoprazole
COMMUNIQUE DE PRESSE LANCEMENT DE IPRAALOX, 20 mg Pantoprazole Paris, le 7 Mars 2012 Sanofi annonce la mise à disposition dans les officines de Ipraalox 20 mg, à base de pantoprazole, une nouvelle marque
Plus en détailMarseille 25 octobre 2012 Accompagnement du traitement chez les co-infectés VHC-VIH en pratique
Marseille 25 octobre 2012 Accompagnement du traitement chez les co-infectés VHC-VIH en pratique Dominique Larrey Service d Hépatogastroenterologie et transplantation Hôpital Saint Eloi CHU Montpellier
Plus en détailSYNOPSIS INFORMATIONS GÉNÉRALES
Evaluation de l utilisation d un anticoagulant anti-xa direct oral, Apixaban, dans la prévention de la maladie thromboembolique veineuse chez les patients traités par IMiDs au cours du myélome : étude
Plus en détailNouveaux Anti-thrombotiques. Prof. Emmanuel OGER Pharmacovigilance Pharmaco-épidémiologie Faculté de Médecine Université de Rennes 1
Nouveaux Anti-thrombotiques Prof. Emmanuel OGER Pharmacovigilance Pharmaco-épidémiologie Faculté de Médecine Université de Rennes 1 Classification Antithrombines directes o Ximélagatran EXANTA o Désirudine
Plus en détailMigraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques
Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Dr Solène de Gaalon Service de neurologie- CHU Nantes Société française des migraines et céphalées Céphalées de tension
Plus en détailSpondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste. Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil
Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil Le Diagnostic Objectif de la démarche diagnostique Diagnostic de SPONDYLARTHROPATHIE
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 18 janvier 2006
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 18 janvier 2006 ADVATE 1500 UI, poudre et solvant pour solution injectable 1 flacon(s) en verre de 1 500 UI - 1 flacon(s) en verre de 5 ml avec matériel(s) de perfusion(s)
Plus en détailFiche Produit Profils Médicalisés PHMEV
Guide méthodologique développé par l équipe de projets ci-dessous : Fiche Produit Profils Médicalisés PHMEV EQUIPE PROJET Chef de projet : Maryline CHARRA, Pharmacien Conseil Responsable de la mission
Plus en détailÉpidémiologie des accidents hémorragiques dus aux anticoagulants oraux
Épidémiologie des accidents hémorragiques dus aux anticoagulants oraux Docteur Marie-Josèphe JEAN-PASTOR Centre Régional Pharmacovigilance Marseille-Provence-Corse Hôpital Sainte Marguerite AP-HM Tél :
Plus en détailLes medicaments contre l arthrite. Un guide de référence. SeRIE TRAITEMENTS. arthrite.ca
Les medicaments contre l arthrite Un guide de référence SeRIE TRAITEMENTS arthrite.ca Table des matières REMARQUE : Le masculin est utilisé pour faciliter la lecture. Mot de bienvenue 4 Introduction à
Plus en détailAspects pratiques du traitement de la MTEV
JFA Aspects pratiques du traitement de la MTEV 1 er février 2013 Isabelle Mahé Hôpital Louis Mourier Médecine Interne APHP, Université Paris 7 Conflits d intérêt Conseil en développement Daiichi Sankyo,
Plus en détailUNIVERSITE DE NANTES
UNIVERSITE DE NANTES FACULTE DE MEDECINE Année 2014 N THESE Pour le DIPLOME D ETAT DE DOCTEUR EN MEDECINE Diplôme d études spécialisées en médecine générale Par Monsieur MÉAR François-Xavier Né le 24 Février
Plus en détailContraintes liées aux aspects économiques, impact de la T2A : le point de vue de l industriel
Contraintes liées aux aspects économiques, impact de la T2A : le point de vue de l industriel Jean-Michel Hotton Directeur des relations institutionnelles Laboratoire Pfizer 10 ème Journées Nationales
Plus en détailI Identification du bénéficiaire (nom, prénom, N d affiliation à l O.A.) : II Eléments à attester par un médecin spécialiste en rhumatologie :
ANNEXE A : Formulaire de première demande Formulaire de première demande de remboursement de la spécialité HUMIRA pour une spondylarthrite axiale sévère sans signes radiographiques de spondylarthrite ankylosante
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 18 janvier 2012
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 18 janvier 2012 ELIQUIS 2,5 mg, comprimés pelliculés B/10 (CIP: 419 454-4) B/20 (CIP: 419 455-0) B/60 (CIP: 419 456-7) B/60x1 (CIP: 419 457-3) Laboratoire Bristol-Myers
Plus en détailCAPACITE DE GERIATRIE
TRAITEMENT DE LA DOULEUR CHEZ LE SUJET AGE CAPACITE DE GERIATRIE 11.03.2009 Dr Françoise ESCOUROLLE-PELTIER Unité de Soins Palliatifs - Équipe Mobile Hôpital BRETONNEAU CONSEQUENCES DE LA PRISE EN CHARGE
Plus en détailMédecine Physique Prévention de la maladie thrombo-embolique veineuse. Pr Philippe NGUYEN Vendredi 17 Décembre 2010
Médecine Physique Prévention de la maladie thrombo-embolique veineuse Pr Philippe NGUYEN Vendredi 17 Décembre 2010 Situation clinique : «prévention de la MTEV» Femme, 72 ans, poids = 87 kg, taille = 1,56
Plus en détailSemaine Sécurité des patients
Bienvenue dans le «mystère de la chambre des erreurs»! Découvrez le tableau de synthèse des réponses du matériel nécessaire à la mise en place de la chambre des erreurs ainsi que les réponses attendues
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants en 2012
Les nouveaux anticoagulants en 2012 Actualités thérapeutiques 1 er décembre 2012 Dr Jérôme CONNAULT Service de Médecine Interne Hôtel-Dieu CHU de Nantes jerome.connault@chu-nantes.fr Pourquoi de nouveaux
Plus en détailNotice : Informations de l utilisateur. Pantomed 20 mg comprimés gastro-résistants. Pantoprazole
Notice : Informations de l utilisateur Pantomed 20 mg comprimés gastro-résistants Pantoprazole Veuillez lire attentivement cette notice avant d utiliser ce médicament car elle contient des informations
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 31 janvier 2007
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 31 janvier 2007 NEUPRO 2 mg/24 h dispositif transdermique Sachet-dose, B/30 : 377 209-7 Sachet-dose, B/90 : 570 143-4 NEUPRO 4 mg/24 h dispositif transdermique Sachet-dose,
Plus en détailNouveaux AntiCoagulants par Voie Orale. Dr. François PAPON 27 juin 2013
Nouveaux AntiCoagulants par Voie Orale Dr. François PAPON 27 juin 2013 Limites des traitements anticoagulants standards «Nécessité» nouveaux anticoagulants Objectif; se rapprocher de l antithrombotiqueidéal
Plus en détailXARELTO (RIVAROXABAN) 2,5 MG - 15 MG - 20 MG, COMPRIMÉS PELLICULÉS GUIDE DE PRESCRIPTION
Les autorités de santé de l Union Européenne ont assorti la mise sur le marché du médicament Xarelto 2,5 mg; 15 mg et 20 mg de certaines conditions. Le plan obligatoire de minimisation des risques en Belgique
Plus en détailFaut-il arrêter les médicaments avant une opération planifiée?
La CMPS informe sur l adaptation pré-opératoire du traitement médicamenteux 5 Faut-il arrêter les médicaments avant une opération planifiée? Irene Vogel Kahmann Différentes questions se posent chez les
Plus en détail