Rappel : état des lieux
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- Yvette Perrot
- il y a 6 ans
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1 L aéronautique en Aquitaine à l horizon de 5 ans : diagnostic et pistes de travail décembre 2006 Rappel : état des lieux
2 L AERONAUTIQUE EN AQUITAINE A L HORIZON DE 5 ANS Le poids du secteur Aéronautique-Spatial en Aquitaine Préciser, quantitativement, les contours de ce secteur technologiquement complexe est un exercice délicat et nécessairement arbitraire. En effet, les nomenclatures officielles utilisées par l INSEE (mais aussi par le SESSI, les ASSEDIC, l URSSAF, etc.) attribuent à chaque établissement de production un code NAF (Nomenclature des Activités Françaises) qui découle de la nature du produit fabriqué (ou du service offert) et non de sa destination finale. Par regroupement, une unité de traitement et revêtement des métaux (à titre d exemple), sera ainsi incluse dans le secteur Travail des métaux, et non Aéronautique même si elle fournit quasi-exclusivement ce dernier. Le poids effectif global de l activité générée par le secteur aéronautique et spatial sur un territoire donné ne peut donc être apprécié en toute rigueur, mais différentes sources complémentaires les unes des autres permettent de l approcher. Dans tous les cas, la seule donnée disponible et pertinente à l échelle régionale concerne l emploi (et les rémunérations), faute de pouvoir connaître et ventiler territorialement la valeur ajoutée. Un noyau dur Un noyau dur est statistiquement défini, correspondant à la rubrique E13 du regroupement dit en NES-114 (Nomenclature Économique de Synthèse, la plus couramment utilisée) Construction aéronautique et spatiale dans lequel ne figurent que les unités dont la production finale est clairement identifiable comme relevant de cette activité, hors établissements relevant directement du Ministère de la Défense. Sur cette base étroite, mais comparable, les dernières données disponibles auprès de l INSEE (base de données dite CLAP : Connaissance Localisée de l Appareil Productif) permettent de construire le tableau comparatif suivant en effectifs et rémunération brute 3 : Activités NES-114 Construction aéronautique et spatiale (année 2004) Régions Effectifs salariés Rémunération brute Nb d établissements au 31/12 (cumulée sur l année) recensés En unités % (part dans Millions d % (part dans le total France) le total France) Aquitaine , ,5 31 Ile-de-France , ,4 79 Midi-Pyrénées , ,0 44 Pays de la Loire , ,1 15 Provence-Alpes-Côte d Azur , ,9 32 Total France Les effectifs en fin d année ne rendent pas compte des variations mensuelles de l emploi, ni des effets du temps partiel, ni de la structure hiérarchique des emplois. Les rémunérations, en cumul sur un an, sont donc économiquement beaucoup plus significatives pour mesurer la contribution d un secteur donné au revenu salarial distribué régionalement. 10 Source : d après INSEE Sur les cinq principales régions françaises concernées par cette activité (représentant ensemble près de 83 % des effectifs nationaux et 86 % des rémunérations correspondantes), l Aquitaine est au 3 e rang derrière Ile-de-France et Midi-Pyrénées, regroupant un peu plus de 15 % des effectifs salariés et 14,5 % des rémunérations.
3 D I A G N O S T I C E T P I S T E S D E T R A V A I L Avec les mêmes données il est également possible d apprécier le poids relatif de l activité sur l économie régionale : Poids relatif de l Activité NES-114 Construction aéronautique et spatiale (année 2004) Régions Part des effectifs salariés en % Part des rémunérations brutes en % Sphère productive* Total Sphère productive* Total Aquitaine 4,28 1,42 6,09 2,40 Ile-de-France 1,22 0,48 1,43 0,69 Midi-Pyrénées 7,63 2,64 11,32 4,78 Pays de la Loire 1,15 0,46 1,52 0,71 Provence-Alpes-Côte d Azur 1,65 0,49 2,49 0,91 Total France 1,14 0,42 1,52 0,67 Source : d après INSEE Le poids relatif du secteur apparaît, ici, le plus élevé en Midi-Pyrénées (d où une dépendance très forte de cette région aux fluctuations de l activité aéronautique, en très large part du seul groupe Airbus). En Ile-de-France, il est plus dilué, comme en Pays de la Loire et, dans une moindre mesure, en PACA. En Aquitaine, il est relativement conséquent : plus de 4 % de l emploi de la sphère productive et plus de 6 % des rémunérations correspondantes. Dans tous les cas, il est caractéristique de relever que le poids relatif de la construction aéronautique et spatiale est plus élevé en terme de rémunérations que d effectifs salariés, signe d une forte valeur ajoutée. A l intérieur de la région, les établissements relevant au sens strict du secteur Construction aéronautique et spatiale sont concentrés sur deux départements : la Gironde avec 15 établissements compte salariés (51,8 % des effectifs régionaux) ; les Pyrénées-Atlantiques avec 9 établissements comptent salariés (33,2 % des effectifs régionaux), ce qui au total représente 85 % de l emploi aquitain du secteur. Des estimations plus larges * Dans le fichier CLAP, l INSEE distingue trois groupes d activités : l emploi public (les trois fonctions publiques), l économie résidentielle (destinée aux besoins de la population locale : construction, commerce de détail, services à la personne ), la sphère productive (entreprises engagées dans la compétition nationale ou internationale et services aux entreprises associés). 11 Des estimations plus larges tentent d agréger non seulement les établissements du groupe précédent, mais tous ceux qui concourent aux activités aéronautiques et spatiales. Une deuxième source est ainsi fournie par le GIFAS, Syndicat professionnel du secteur qui regroupe 250 membres. Sur un total de l ordre de emplois directs recensés en 2005 au niveau national (auxquels s ajoutent environ emplois indirects), l Ile-de-France accroît son poids relatif par rapport à la statistique précédente avec 36 % des effectifs, Midi-Pyrénées recule à 23 %, l Aquitaine à 10 % suivie par PACA à 8 % et Pays de la Loire à un peu moins de 5 %. Dans cette approche, le total Aquitaine + Midi-Pyrénées n est pas encore équivalent à celui de l Ile-de-France, alors que dans les évaluations INSEE de l activité Construction aéronautique et spatiale, la somme des deux régions du Sud-Ouest excède de plus de 13 points le total des effectifs franciliens. Cet écart s explique par la réintroduction dans les chiffres du GIFAS des activités de siège et de R&D non intégrées dans des centres de production comme c est couramment le cas en Ile-de-France et qui, de ce fait, ne sont pas comptabilisées par l INSEE dans la branche Construction aéronautique et spatiale mais dans les Services aux entreprises. Une troisième source, beaucoup plus extensive encore, est celle qu avancent les initiateurs du pôle de compétitivité Aéronautique Espace Systèmes Embarqués (AESE). En recoupant les enquêtes réalisées par le Conseil Régional d Aquitaine auprès des donneurs d ordre, de l INSEE auprès des sous-traitants, fournisseurs et prestataires de services (Cf. Dossier n 60, Aéronautique-Espace, des dossiers d INSEE Aquitaine) et en réintroduisant les établissements et services du Ministère de la Défense, on parvient au tableau suivant ;
4 L AERONAUTIQUE EN AQUITAINE A L HORIZON DE 5 ANS Le pôle AESE en Aquitaine (estimations 2004) Nombre d établissements Effectifs Grands groupes donneurs d ordre Sous-Traitants Fournisseurs Prestataires de services Total Source : Pôle AESE Aquitain (BAAS-2ADI) En ajoutant, enfin, les effectifs estimés des PME qui n ont pas répondu à l enquête INSEE, le chiffre total de emplois est finalement avancé pour l Aquitaine et celui de pour la région Midi-Pyrénées (soit un total de emplois) s agissant des effectifs dépendants en totalité ou en partie du pôle AESE. Le ratio entre les deux régions est ainsi ramené à 1,5, alors qu il est de 1,7 dans la NES-114 de l INSEE et de plus de 2 dans les chiffres du GIFAS qui n incluent pas les personnels relevant directement du Ministère de la Défense. Avec ceux-ci, le total des effectifs industriels (y compris les centres d essais et de maintenance) lié à la composante militaire du secteur aéronautique-spatial en Aquitaine est encore de l ordre de salariés 4, soit près de 50 % de l ensemble, ce qui est toujours une proportion record parmi les régions françaises, cependant très éloignée des maxima de la fin des années soixante (alors : 80 % pour le militaire en Aquitaine et seulement 20 % pour le civil). Sur cette même base statistique, en terme d évolution, il n est pas permis de suivre dans le temps les effectifs déclarés par les sous-traitants, fournisseurs et prestataires, car le champ de l enquête (et des réponses) varie d une année sur l autre. Par contre, l INSEE est en mesure de fournir une image plus précise des effectifs des donneurs d ordres comme dans le tableau suivant. Evolution des effectifs salariés des donneurs d ordre* du pôle AESE en Aquitaine Donneurs d ordre du secteur aéronautique et spatial implantés en Aquitaine Effectif Evolution annuelle en % 01/01/ /01/ /01 1,5 % 01/01/ /02 4,3 % 01/01/ /03 1,1 % 01/01/ /04 1,2 % 01/01/ /05-1,2 % 01/01/ /06 0,1 % 4 Lors de son audition devant la Section, M. Jean-Pierre AUBERT a par ailleurs rappelé, qu il y a personnels à statut militaire en Aquitaine, civils relevant également du Ministère de la Défense et personnes bénéficiaires de retraites ou pensions militaires ce qui représente un total de 1,5 milliard d euros de revenus versés dans la région. * Certains des établissements recensés sont eux-mêmes sous-traitants d autres donneurs d ordres pour une partie de leur activité. C est ce qui conduit l INSEE à distinguer les effectifs globaux (chiffres du haut) des effectifs des donneurs d ordres au sens strict (chiffres du bas), excluant l emploi lié à cette part de sous-traitance. 12 Donneurs d ordre au sens strict du secteur aéronautique et spatial implantés en Aquitaine Effectif Evolution annuelle en % 01/01/ /01/ /01 1,0 % 01/01/ /02 4,1 % 01/01/ /03 1,2 % 01/01/ /04 1,6 % 01/01/ /05-1,3 % 01/01/ /06-0,4 % Source : DR-INSEE (Bordeaux) On voit qu après une hausse sensible sur la période (incluse), l année 2004 a été marquée par une certaine érosion, stabilisée en 2005, tendance plus favorable qui devrait être confirmée sur l ensemble de l année 2006, plus nettement d ailleurs au sud qu au nord de la région.
5 D I A G N O S T I C E T P I S T E S D E T R A V A I L La structure du secteur Aéronautique-Spatial en Aquitaine Si au regard des relations inter-industrielles, le secteur aéronautique-spatial en Aquitaine est celui auquel s applique le mieux l appellation de complexe industriel 5, il n en est pas moins diversifié et incomplet. - Diversifié parce que, à la différence de Midi-Pyrénées autour des programmes Airbus, aucun marché n écrase les autres : avions de ligne, avions d affaires, avions militaires, hélicoptères, vecteurs militaires, lanceurs spatiaux ce qui limite l impact de crises sectorielles et amortit les effets de cycle. - Incomplet parce que, précisément en corollaire de la diversité des productions, même si les établissements aquitains entretiennent entre eux de fortes liaisons de proximité, ils doivent compléter la gamme de leurs échanges par des relations tout aussi soutenues avec d autres régions françaises telles au premier rang l Ile-de-France, Midi-Pyrénées ou encore PACA, ce à quoi s ajoutent les flux d import-export sur des biens et équipements intermédiaires. Ce constat d évidence, oblige à re-situer l Aquitaine dans un contexte géographique de plus en plus large, ce qui peut conduire à un certain sentiment d impuissance de l action régionale face à la mondialisation. C est pourquoi, avant d aborder dans la deuxième partie les perspectives des différents marchés, il est apparu éclairant à la Section du CESR, pour une première approche du tissu régional, de suivre un ordre hiérarchique, découlant du positionnement des différents établissements situés en Aquitaine (voir le schéma en pages centrales (IV)), en distinguant successivement l aéronautique stricto-sensu et le spatial ; ce dernier sous-secteur d activité apparaissant géographiquement et industriellement beaucoup plus intégré que le premier. L aéronautique 5 Devançant le groupe Energie-chimie-pharmacie, l agroalimentaire et le secteur bois-forêt correspondant plutôt à la notion de filière (de la matière première en amont vers la distribution en aval), les échanges entre établissements industriels de transformation restant limités. Cf. contribution du CESR pour le SRADT : Aquitaine, évolutions récentes, enjeux et perspectives, mai Une seule entreprise se présente en Aquitaine comme assembleur final : le groupe DASSAULT, à l instar du rôle que joue Airbus en Midi-Pyrénées ou Eurocopter en PACA. L usine de Mérignac assure en effet le montage terminal et la mise en vol de tous les avions du constructeur, tant de la gamme militaire (Mirage 2000, Rafale) que civile (Falcon 2000, Falcon 900, Falcon 7X). Cette unité est approvisionnée en amont par les deux autres usines du groupe en Aquitaine : Biarritz (pour la plus grande part des fuselages centraux, empennage et pièces composites du Rafale) et Martignas (pour les voilures). Si des composants majeurs viennent d Ilede-France (usine Dassault d Argenteuil, moteurs Snecma de l usine de Villaroche ) une grosse partie des équipements est produite en Aquitaine concernant le Rafale et plus largement, dans le grand Sud-Ouest, concernant le Falcon 7X (à l exception pour ce dernier, outre des moteurs fournis par diverses entreprises nord-américaines, de l avionique et des aménagements ultimes réalisés aux Etats-Unis). Ainsi, au-delà des salariés que compte aujourd hui le groupe en Aquitaine (soit un peu plus du tiers des effectifs totaux de Dassault-Aviation), l entreprise joue un rôle d entraînement majeur sur le tissu industriel régional, y compris en ce qui concerne les essais de tirs (en vol sur la base de Cazaux et air-sol sur le terrain de Captieux) et la maintenance (avec l AIA de Bordeaux s agissant des moteurs des mirages et du Rafale, en relation avec le constructeur Snecma). Dassault-Aviation reste cependant un groupe aéronautique de taille modeste comparativement aux autres acteurs majeurs du secteur. L entreprise présente en effet le cas singulier d être restée à l écart des larges regroupements qui se sont opérés depuis quinze ans, à l image de EADS, Thalès, SAFRAN (Snecma-Sagem), etc. L actionnariat de Dassault reste ainsi majoritairement familial avec 50,21 % du capital, même si le groupe EADS qui a repris la part de l Etat français en détient 46,3 % et le public 3,49 %. Trois groupes ressortent comme des concepteurs-constructeurs d équipements majeurs, proposés en version spécifique aux assembleurs finals, parfois au choix du client. Turboméca, en sensible progression sur les années récentes, est désormais le plus gros employeur industriel d Aquitaine entre ses deux établissements de Bordes (2 500 salariés) et de Tarnos (1 200 salariés). La société - intégrée dans le groupe SAFRAN - garde son siège social
6 L AERONAUTIQUE EN AQUITAINE A L HORIZON DE 5 ANS 14 (et toutes les activités connexes) à Bordes, cas unique en Aquitaine et qui n a d équivalent en province qu en Midi-Pyrénées (avec Airbus) et PACA (avec Eurocopter). L activité de Turboméca est très majoritairement dédiée à la production de turbines pour hélicoptères et complémentairement pour avions d entraînement. Son premier partenaire, pour un peu plus de la moitié du chiffre d affaires, est la société Eurocopter (EADS), tant dans ses programmes civils que militaires. L exportation assure le complément en direction des autres grands constructeurs d hélicoptères : Sikorski, Agusta, Hal, etc. La gamme des produits est très large (47 types de moteurs de 1,5 à 14 t) s adressant à clients finals civils et militaires dans une proportion approximative de 50/50 en pourcentage du chiffre d affaires. Cette diversité est une force commerciale, mais une faiblesse en terme de rentabilité, les marges étant sensiblement plus limitées sur les petits que sur les gros équipements. A l activité de production stricto sensu vient s ajouter celle de la maintenance globale (plus rémunératrice), le plus souvent assurée directement pour le compte du client final. La répartition du CA de l entreprise s établit à 60 % sur les turbines neuves et 40 % sur la maintenance. Si dans l ouverture de nouveaux marchés (Amérique du Nord, Asie ) le besoin de disposer de relais et le principe de compensation conduisent à implanter une partie des activités de montage et de support auprès des clients, les fabrications critiques et le cœur de l activité de maintenance restent en Aquitaine. Quant à la délocalisation de la sous-traitance vers des pays à bas coût (Europe de l Est par exemple ) elle reste limitée du fait de productions spécialisées en petites séries et de développements en partenariat de proximité. C est pourquoi les relations locales de sous-traitance sont denses, particulièrement en Béarn, ce qui conduit à la création d une zone d activité spécifique autour du site de Bordes, dénommée Éole. Thalès, depuis la recomposition de ce groupe, compte deux établissements en Aquitaine : Thalès-Airborne-Systems à Pessac (ex. usine Thomson) et Thalès-Avionics au Haillan (ex-usine Sextant Avionique) ainsi qu une filiale spécialisée dans les logiciels (Thalès IS à Bordeaux). Le premier est presque exclusivement dédié à des équipements militaires, principalement : radars, systèmes électroniques embarqués, en premier rang pour le Rafale et le retrofit du Mirage 2000, mais a accueilli aussi récemment l unité de R & D logiciel complexe. Le second est également lié aux programmes militaires : solutions avioniques spécifiques (visualisation, casque, etc.) pour avions et hélicoptères, mais aussi au civil dans l aménagement de cockpits, activité désormais majoritaire sur le site (de l ordre de 60 %) grâce aux marchés obtenus auprès d Airbus ainsi qu à l export vers Sukhoï (avion régional) et Boeing (pour les systèmes multimédia de bord du 787). C est pourquoi si, dans l organigramme du groupe, la direction de l aéronautique militaire est implantée à Bordeaux, celle de l aéronautique civile est à Toulouse. En progression depuis la création du groupe Thalès, plus fortement sur les activités civiles que militaires, les effectifs des deux sites avoisinent pour le premier, et dépassent pour le second, le seuil des emplois directs. Le total cumulé de salariés est important à l échelle de l Aquitaine et plus encore de la seule agglomération bordelaise. Toutefois il ne représente que le sixième des effectifs globaux de la division aéronautique de Thalès (les autres unités importantes étant à Elancourt en Ile-de-France, Brest, Valence, Toulouse et à Crowley en Grande-Bretagne), l ensemble du groupe comptant plus de salariés au total entre la France, la Grande-Bretagne, l Allemagne et le Canada. Si l actionnariat est majoritairement français : Etat 31,3 %, Alcatel 15 % (actuellement, cette part devant monter à 25 % par transfert d une partie des participations de l Etat), Dassault 6 %, le groupe Thalès est devenu une entreprise multinationale confrontée à des marchés de plus en plus disputés, au gré des résultats des appels d offres. Messier-Dowty, est une société du groupe SAFRAN. L usine de Bidos regroupe plus de 800 salariés sur les quelque que compte Messier-Dowty entre ses huit différentes implantations internationales (en Europe, Amérique du Nord et Asie). Elle est spécialisée dans la conception, fabrication et maintenance des systèmes d atterrissage, et constitue le centre d excellence du groupe dans le domaine des amortisseurs. Les clients sont très diversifiés : Airbus (qui représente actuellement 60 % du CA), Dassault (toutes gammes), ATR, Eurocopter mais aussi Boeing (ce qui est nouveau) pour certains modèles de référence. Sur cet équipement très spécifique : les atterrisseurs (qui représentent en moyenne 3 % du prix des appareils), la production mondiale s organise autour d une sorte de duopole : Messier-Dowty, Goodrich.
7 D I A G N O S T I C E T P I S T E S D E T R A V A I L Du fait de l accroissement d activités généré par les nouveaux marchés obtenus par le groupe, le site béarnais est engagé dans un important programme immobilier de ré-industrialisation intitulé : Bidos Au total, les établissements aquitains de ces quatre groupes principaux (Dassault, SAFRAN/Turboméca, Thalès, SAFRAN/Messier-Dowty) totalisent dans la région près de salariés directs, soit plus du tiers des effectifs de l aéronautique en Aquitaine. Dans leur rôle de donneurs d ordre ils induisent une part majoritaire de la sous-traitance et des prestations de services commandées par le secteur aéronautique au tissu régional de PME, ce dernier étant également sollicité par des donneurs d ordres situés dans d autres régions françaises (à concurrence de 10 % de l activité des entreprises aquitaines) : Snecma en Ile-de-France, Airbus (et ses équipementiers spécialisés : SOCATA, Latécoère, etc.) ainsi qu ATR en Midi-Pyrénées, Eurocopter en PACA mais aussi à l étranger : autres établissements européens du groupe EADS, BAE et ses partenaires du programme Eurofighter, Rolls-Royce en Grande-Bretagne, Boeing et Sitkowski aux Etats-Unis, Bombardier au Canada, Embraer au Brésil, Sukhoi en Russie, etc. Le tissu régional de sous-traitants, fournisseurs et prestataires lié (totalement ou en partie) au secteur aéronautique est relativement dense comme on l a vu plus haut, mais très hétérogène tant par : la taille des établissements : d ateliers purement artisanaux à une dizaine de grosses PME ou établissements de groupes industriels et financiers tels (à titre d exemple, sans prétention à l exhaustivité, s agissant des unités régionales les plus importantes en effectifs salariés) : la SAFT à Bordeaux (accumulateurs embarqués) ; Creuzet aéronautique à Marmande (pièces pour moteurs et aérostructures) ; PCC à Ogeu les Bains (fonderie de précision) ; EADS-Composites Aquitaines à Salaunes (matériaux pour aéronautique) ; Examéca à Serres-Castet (tôlerie, tuyauterie pour hélicoptères et avions) ; Cofidur-Electronique à Périgueux (composants électroniques pour systèmes embarqués) ; Potez aéronautique à Aire-sur-l Adour (aérostructures) ; EADS-Sogerma à Mérignac (éléments de voilure pour le programme ATR) ; Fonderie Messier à Arudy, ALEMA (ingénierie aéronautique) à Tarnos, etc. Ces entreprises et établissements relèvent en quasi totalité de l UIMM et une partie adhère au groupe Aéro-PME du GIFAS ; la nature des produits ou des prestations proposés : de produits propres au travail à façon, en passant par des développements en commun avec les bureaux d études des donneurs d ordre ; le positionnement hiérarchique dans les relations de sous-traitance (cf. infra page 30) ; le statut juridique et l actionnariat : de filiales spécifiques des grands donneurs d ordre, d établissements inclus dans des groupes spécialisés (nationaux ou internationaux), le cas échéant sous le contrôle financier de fonds de pension, à des PME familiales, certaines liées à l histoire même des origines de l aéronautique dans le Sud-Ouest, d autres, plus récentes, résultant de prises de contrôle par leur encadrement ou de croissances externes ; l implantation géographique : si le plus grand nombre d entreprises spécialisées dans l aéronautique se concentre sur les deux bassins principaux d activité (agglomération bordelaise, pays de l Adour 6 ), quelques unes, au hasard de leur localisation initiale et de leurs mutations successives, appartiennent à l Aquitaine intérieure. 6 S agissant sur ces deux bassins de la dépendance des sous-traitants au secteur aéronautique, les enquêtes des CCI auprès des 50 premières entreprises montrent, qu en ce qui concerne les sous-traitants mécaniciens, 28 % de l activité est orientée en Gironde vers l aéronautique, mais 50 % dans les Pays de l Adour. 15 Les établissements connexes spécifiquement dédiés à la maintenance et aux essais aéronautiques viennent compléter la liste des implantations régionales : l AIA, centre du Service de la Maintenance aéronautique de la DGA, compte un millier de salariés dans l agglomération bordelaise pour le maintien en conditions opérationnelles de moteurs des appareils des armées françaises et de quelques pays étrangers, et dispose sur la commune de Marcheprime du terrain d essais de moteurs de Croix d Hins ; le CEV (Centre d Essai en Vol) regroupe, sur la base de Cazaux, un effectif de l ordre de 700
8 L AERONAUTIQUE EN AQUITAINE A L HORIZON DE 5 ANS personnes pour la réception et la certification d avions militaires et les essais des systèmes d armes (en collaboration avec MBDA, Sagem, Dassault, Thalès ) ; SOGERMA-SERVICES, devrait désormais être incluse dans la branche maintenance (Sabena Technics) du groupe TAT et poursuivre à Mérignac une activité de support, d aménagement intérieur et de reconversion d avions, tant militaires que civils, avec un effectif de départ d un peu plus de 500 salariés. Le spatial Les activités liées à l espace sont, pour leur part, géographiquement beaucoup plus concentrées formant un véritable pôle balistique dans l ouest de l agglomération bordelaise. L activité dominante (pour plus des trois-quarts des chiffres d affaires) reste liée au programme des missiles balistiques de la force stratégique française avec un donneur d ordre unique : la DGA, en fonction des moyens budgétaires affectés par les lois de finances. Quatre établissements principaux et complémentaires comptent encore, ensemble, autour de salariés, en dépit d une baisse quasi-continue des effectifs depuis une vingtaine d années : EADS-ST (Astrium), avec un effectif d un peu moins d un millier de personnes à Saint-Médarden-Jalles, pour la construction de missiles ; Snecma Propulsion Solide, avec un effectif de l ordre de personnes, au Haillan, pour les moteurs des lanceurs spatiaux ; SME (SNPE Matériaux Energétiques), à Saint-Médard-en-Jalles pour les propergols et matériaux énergétiques, avec un peu plus de 800 salariés ; Le CAEPE, établissement de la DGA pour les expertises et essais au sol et en vol simulé, au Haillan, comptant environ 350 salariés. Il convient encore d ajouter l établissement girondin du CEA-CESTA au Barp (1 000 salariés aujourd hui, hors personnel du chantier en cours) qui, en amont, abrite le projet de Laser Mégajoule destiné à la simulation nucléaire cœur du Pôle de Compétitivité Route des lasers - mais participe aussi aux recherches-développement-construction-essais relatifs à l architecture des têtes des missiles de la Force de Dissuasion et à la conception des véhicules de rentrée atmosphérique. Ces établissements du pôle balistique bordelais se retrouvent (pour 25 à 30 % de leur CA respectif) sur les programmes de lanceurs spatiaux européens (initiés par l Agence spatiale européenne et Arianespace, relayées en France par le CNES), en complémentarité des autres sites nationaux dédiés à cette activité tant en Midi-Pyrénées (Toulouse), que dans le bassin parisien (Vernon ) et en Guyane (Kourou). De façon complémentaire ils sont également associés aux systèmes de propulsion pour missiles tactiques et roquettes, activité à laquelle est spécifiquement dédié, sur le site de la SME, un établissement (et le siège) de la société Roxel France, établissement qui compte en propre un peu plus de 300 salariés travaillant principalement sur la motorisation des vecteurs militaires du groupe MBDA, en complémentarité avec les activités de fabrication développées sur d autres sites du groupe en France (Bourges) et en Grande-Bretagne. 16 Même si les activités de sous-traitance ne génèrent pas les mêmes volumes d activité dans le spatial que dans l aéronautique stricto sensu, nombre de PME citées au point précédent sont associées au pôle balistique bordelais (fabrication, matériaux, traitement de surface, électronique, câblage, batteries, études et réalisation d outillages, etc.), car elles produisent indifféremment pour l une ou l autre des deux filières. Parallèlement certains établissements du secteur spatial cherchent une diversification vers l aéronautique (et d autres activités, telle l automobile s agissant des propergols des airbags, ou encore l exploitation pétrolière à partir de nouveaux tubes en composites thermodurcissables) en se positionnant eux-mêmes en sous-traitants de certains grands donneurs d ordre (par exemple Snecma, dans le domaine des matériaux composites thermo-structuraux). C est par le jeu des productions conjointes et de ces échanges technologiques réciproques que
9 D I A G N O S T I C E T P I S T E S D E T R A V A I L les secteurs aéronautique et spatial constituent, bel et bien, un seul et même complexe industriel en Aquitaine. Enfin, au titre des essais, il faut encore mentionner, à côté des sites girondins pré-cités CEV de Cazaux, CAEPE du Haillan le Centre d essais de lancement de missiles CELM de Biscarosse qui regroupe un effectif de l ordre de 800 personnes. Ce rappel synthétique des contours et de l état des lieux du secteur aéronautique (et spatial) régional doit servir de fil conducteur pour structurer la deuxième partie du présent rapport consacrée aux perspectives à court-moyen terme sur les différents marchés (et programmes) impliquant des entreprises implantées en Aquitaine. 17
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