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1 4 SITES PÔLE DE CAEN Parc Athéna - 8 rue Jane Addams SAINT-CONTEST Tél. : CHAQUE MOIS NOTRE BAROMÈTRE! ABONNEZ-VOUS AU BAROMÈTRE DES PHARMACIES SUR NOTRE SITE : PÔLE DE ROUEN 5 espace des Foudriots SAINT-AUBIN-LÈS-ELBEUF Tél. : STATISTIQUES RÉGIONALES DE LA PHARMACIE PÔLE DU MANS Technopôle Université - 72 avenue Olivier Messiaen LE MANS Tél. : Sabrina DELAUNAY Christelle LABOIS RÉGIONS NORMANDIE - MAINE Laëtitia LEPELLEY ÉDITION 2015 sabrina.delaunay@llaec.fr christelle.labois@llaec.fr laetitia.lepelley@llaec.fr Emmanuel DELAUBERT Joël LECOEUR emmanuel.delaubert@llaec.fr joel.lecoeur@llaec.fr P ark eretp arke r.fr Un service exclusif proposé par notre cabinet pour retrouver, chaque mois, les évolutions moyennes des chiffres d affaires des officines pour une meilleure connaissance des tendances du marché RECEVEZ PÔLE DU HAVRE Parc de l Estuaire - avenue du Cantipou HARFLEUR Tél. : DÉCOUVREZ LES RENDEZ-VOUS CGP LA LA FORCE D UN RÉSEAU NATIONAL 09 JUIN OCTOBRE 2015 Plus d informations, rendez-vous sur :

2 ÉDITO 9. ANALYSE DE LA STRUCTURE FINANCIÈRE LA TAUX D ENDETTEMENT 09 JUIN 2015 Le cabinet LECOEUR LEDUC et Associés (LLA) est depuis de nombreuses années spécialiste dans la gestion de l officine. L officine vit une profonde mutation par une remise en cause de son modèle économique actuel, par une nouvelle rémunération à l honoraire, par une réforme des remises sur le générique. Subi ou anticipé, le changement de l officine est une réalité. Elle doit s adapter aux nouveaux enjeux sociétaux : maîtrise des dépenses de santé, réduction des déficits publics, mais aussi aux nouveaux Ce sont près de 400 pharmaciens qui chaque jour nous accordent leur confiance. modes de consommation où le consommateur ultra-connecté veut le meilleur prix pour faire face à la crise économique, au chômage et à la baisse du pouvoir d achat. Notre accompagnement quotidien auprès des 400 pharmaciens clients de notre cabinet nous conforte, chaque jour, à vous apporter un éclairage prospectif de votre métier. Comme vous, nous sommes indépendants et libéraux. Dans la relation, c est essentiel. Nous avons une conception, un état d esprit commun avec vous, nous partageons la même philosophie : des libéraux au service des libéraux. Vos préoccupations, vos problématiques, nous les partageons. Les solutions pour faire évoluer une implantation, une forme juridique ou une structure sont notre quotidien. Facilitateurs de projets, nous vous apportons pertinence et confiance. STATISTIQUES LLA DE L OFFICINE 2014, L OUTIL DE RÉFÉRENCE DE TOUT UN MÉTIER POUR NOTRE RÉGION. Pour la 27 ème année, nous vous présentons nos statistiques régionales LLA 2015, outil de référence de votre métier dans votre région. Analyser votre activité est la première étape indispensable ; analyser votre marché, votre environnement, votre concurrence, vos chiffres et ratios. C est l une de nos missions. Parce que vous vous posez ce type de questions, nous réalisons cette plaquette statistiques de la manière la plus précise et claire possible sur un échantillon de 357 officines clientes de notre cabinet. Parce que vous pouvez souhaiter plus d informations pour avancer, nous sommes à votre entière disposition pour répondre à vos interrogations. Que cette analyse statistique vous apporte la pertinence recherchée et reste l outil de référence de votre profession. Merci de votre confiance et bonne lecture. Cette étude est réalisée sur un échantillon de 357 officines clientes de notre cabinet. LES EXPERTS LIBÉRAUX LLA MEMBRES DU RÉSEAU CONSEIL GESTION PHARMACIE Dettes financières C.A. H.T. 42,89 % 44,35 % L endettement financier (capital restant dû de l emprunt) représente 42,89 % du chiffre d affaires. Nous constatons un désendettement régulier de l échantillon malgré le renouvellement des titulaires. FONDS DE ROULEMENT Capitaux propres + Dettes financières - Actif immobilisé 198,5 162,2 +36,3 Le niveau du fonds de roulement présage de la bonne santé financière de l officine, il doit couvrir le besoin en fonds de roulement (décalages de trésorerie liés à l activité). Il progresse de euros pour atteindre euros. BESOIN EN FONDS DE ROULEMENT Actif circulant - Dettes d exploitation 21,3 11,8 +9,5 L activité officinale nécessite peu de besoins de trésorerie pour couvrir son cycle d exploitation, le besoin en fonds de roulement représente 5 jours de chiffre d affaires. TRÉSORERIE Fonds de roulement - Besoin en fonds de roulement 177,2 150,4 +26,8 Le niveau de trésorerie s est amélioré par l accroissement du fonds de roulement et permettra de faire face à d éventuelles baisses de rentabilité. AUTONOMIE FINANCIÈRE Capitaux propres Total du bilan 0,44 0,39 L autonomie financière, mesurée par le niveau des capitaux propres, progresse au fur et à mesure du désendettement constaté par le remboursement de l emprunt d acquisition. Les capitaux propres représentent 44 % du total du bilan. Une occasion unique pour : Faire un point sur l activité économique de l officine Échanger avec les expertscomptables leaders dans votre univers Bénéficier de conseils et d une connaissance incomparable de votre activité Poser les questions et faire les choix indispensables à l évolution de votre officine 13 OCTOBRE 2015 CGP a créé les Journées de l Installation afin d accompagner tous ceux qui envisagent de faire le grand saut! Depuis l analyse de la situation d une officine qui vous est présentée jusqu aux modalités de finalisation, tous les points clés d une installation réussie sont abordés. Financement, forme juridique, mise en relation, montage financier, assurances 2 - ÉDITO ANALYSE DE LA STRUCTURE FINANCIÈRE - 15 Pour + d informations, rendez-vous sur :

3 SOMMAIRE 1. STATISTIQUES LLA Prix de cession et Apport personnel Prix de cession en multiple de l E.B.E. 2. POPULATION ÉTUDIÉE Répartition par forme juridique 3. ANALYSE DE L ACTIVITÉ Évolution du chiffre d affaires en % et analyse Progression du chiffre d affaires 4. ANALYSE DES MARGES à 7 8 Évolution de la marge en % et analyse 5. LES PRESTATIONS DE SERVICE 9 Évolution de la part des prestations de service dans le C.A. total 6. LES CHARGES EXTERNES 10 Évolution de la part des charges externes dans le C.A. total 7. LES CHARGES DE PERSONNEL 11 Évolution de la part des charges de personnel dans le C.A. total 8. ANALYSE DES RENTABILITÉS 12 à 13 E.B.E., évolution entre 2013 et 2014 Soldes intermédiaires de gestion, où vous situez-vous? 9. ANALYSE DE LA STRUCTURE FINANCIÈRE 14 à 15 Rendement par intervenant à l officine Stock moyen Vitesse de rotation du stock (en nombre de fois) Nombre de jours d achat couverts par le stock Durée des crédits clients (en nombre de jours) Durée des dettes fournisseurs (en nombre de jours) Taux d endettement Fonds de roulement Besoin en fonds de roulement Trésorerie Autonomie financière SOMMAIRE - 3

4 1. STATISTISQUES LLA QUESTION FINANCES, LES CHIFFRES DE TOUT UN SECTEUR. 2. POPULATION ÉTUDIÉE DANS VOTRE RÉGION ET CONCERNANT TOUS TYPES D OFFICINES. PRIX DE CESSION ET APPORT PERSONNEL À partir des transactions réalisées au sein de notre cabinet, nous avons réalisé une étude du niveau des prix de cession pratiqués dans la région et des apports personnels nécessaires à l installation PRIX D ACHAT MOYEN APPORT PERSONNEL % 18 % 22 % 24 % 21 % 20 % 17 % % DU C.A. T.T.C 83 % 88 % 89 % 88 % 91 % 96 % MULTIPLE DE L E.B.E. (1) 7,05 6,95 7,73 7,90 8,66 8,21 (1) E.B.E. retraité déduction faite de la rémunération du titulaire. Le montant significatif des apports personnels est rendu nécessaire pour sécuriser l installation, compte tenu de l absence de croissance de l activité. En 2014, l apport personnel représente 18 % du prix d achat moyen de l officine. Le montant significatif des apports personnels est rendu nécessaire pour sécuriser l installation compte tenu de l absence de croissance de l activité. Le niveau de l apport personnel est en lien direct avec le prix payé. Les officines de centre-ville et de centres commerciaux dégageant une rentabilité plus faible nécessitent également un apport personnel plus élevé. Nous constatons une augmentation du prix d achat moyen en 2014 (1 772 contre 1 669) compte tenu de la désaffection des plus petites officines qui ne trouvent plus facilement preneur ; les cessions des officines dont le C.A. H.T. est inférieur à d euros représentent moins de 5 % des transactions Le prix de cession moyen s établit à 83 % du C.A. H.T. contre 88 % en Les titulaires souhaitant céder sont contraints de faire des concessions sur le prix pour trouver acquéreur. La Basse-Normandie reste la région où les prix d acquisition sont les plus élevés. La région Maine enregistre la plus grosse correction à la baisse en termes de prix. Le marché de la transaction en Haute-Normandie reste le plus actif où les prix de cession sont les plus raisonnables. La différence entre le prix d acquisition et la valeur économique de l officine mesurée par le niveau de l Excédent Brut d Exploitation doit être le plus souvent financée par un apport personnel supplémentaire. Les usages ont la vie dure, la référence reste le chiffre d affaires H.T., toutefois notre expertise nous conduit à exprimer le prix de cession en multiple de l Excédent Brut d Exploitation. PRIX DE CESSION EN MULTIPLE DE L E.B.E. À partir des cessions réalisées au sein de notre cabinet, le prix d achat moyen ( euros) représente 7,05 fois l Excédent Brut d Exploitation prévisionnel de l acquéreur déduction faite du coût du travail du titulaire calculé sur la base d un coefficient 600 chargé. Nous assistons à une baisse relative du prix de cession exprimé en pourcentage du C.A. H.T. (83 % contre 88 % en 2013), elle doit être tempérée par l amélioration de l Excédent Brut d Exploitation procurée par l évolution des prestations de services qui sont attachées aux génériques. Le prix d achat moyen ressort à 83 % du dernier chiffre d affaires H.T. et 7,05 fois l E.B.E. Le manque de visibilité par la mise en place de la nouvelle rémunération à l honoraire et de la réforme des remises sur le générique risque de contribuer à une nouvelle baisse des prix de cession. Aujourd hui, la taille de l officine, son environnement médical et commercial, sa rentabilité actuelle et future jouent un rôle de plus en plus déterminant dans la valorisation du fonds de commerce repris. RÉPARTITION PAR FORME JURIDIQUE Entreprise individuelle S.N.C. S.E.L. ZONE RURALE GROS BOURG ZONE URBAINE CENTRE COMMERCIAL TOTAL E.U.R.L. et S.A.R.L. NOMBRE % NOMBRE % < ,17 % De à < ,25 % De à < ,37 % De à < ,89 % >= ,33 % TOTAL % NOMBRE % Entreprise individuelle 22 6,16 % S.N.C. 6 1,68 % S.E.L ,95 % E.U.R.L. et S.A.R.L ,21 % TOTAL % 74 % À partir d un échantillon de 357 officines sélectionnées parmi les pharmacies clientes de notre cabinet, nous avons le plaisir de vous présenter cette nouvelle étude statistiques des bilans clos en Nous avons retenu les pharmacies dont les exercices 2014 et 2013 ont des durées de 12 mois afin de rendre les comparaisons possibles. Une ventilation a été opérée, d une part en fonction de la situation géographique, et d autre part en fonction du chiffre d affaires H.T. réalisé. Les structures I.S. (E.U.R.L., S.A.R.L., S.E.L.) représentent 92 % de l échantillon étudié. La fiscalité I.S. devient la forme majoritairement utilisée aujourd hui facilitant la capacité d endettement de l acquéreur. L ensemble des ratios a été retraité afin de restituer les résultats de cette étude sous forme «entreprise individuelle» facilitant la lecture et les comparaisons % 6 % 2 % 27,45 % 28,01 % 36,69 % 7,84 % 100 % 4 - STATISTIQUES CGP POPULATION ÉTUDIÉE - 5

5 3. ANALYSE DE L ACTIVITÉ UN CHIFFRE D AFFAIRES QUI BAISSE EN VALEUR ABSOLUE, MAIS SE STRUCTURE EN PROFONDEUR. 3. ANALYSE DE L ACTIVITÉ UNE ÉVOLUTION DE L ACTIVITÉ MARQUÉE EN FONCTION DE LA TAILLE DE L OFFICINE. ÉVOLUTION DU CHIFFRE D AFFAIRES EN % ET ANALYSE C.A. H.T , , 6-1,21 % C.A. H.T. 2.1 % 1 448, , 5-2,20 % C.A. H.T. 5,5 et 10 % 255, 1 254, 7 +0,15 % C.A. H.T. 20 % 187, 3 178, 4 +5,01 % ZONE RURALE 1 653, ,1-43,8-2,58 % GROS BOURG 2 084, ,9-32,5-1,53 % ZONE URBAINE 1 756, ,2-4,1-0,23 % CENTRE COMMERCIAL 2 664, ,8-7, 2-0,27 % Chiffre d affaires H.T Chiffre d affaires H.T ,1 % 5,5 et 10 % 20 % 9,91 % 13,49 % 76,60 % 9,32 % 13,31 % 77,37 % < ,0 821,8-54,8-6,66 % De à < , ,7-28,1-2,21 % De à < , ,7-25,3-1,42 % PROGRESSION DU CHIFFRE D AFFAIRES < -5 % -5 à 0 % 0 à 5 % > 5 % De à < , ,9-4,5-0,20 % >= , ,5-12,1-0,37 % 21,7 % 46,5 % 22,5 % 9,3 % Le chiffre d affaires moyen 2014 s établit à euros contre euros en L évolution du chiffre d affaires moyen s établit pour 2014 à -1,21 %. Pour la troisième année, nous enregistrons en 2014 une évolution négative de l activité malgré un bon second semestre Nous constatons une baisse du chiffre d affaires pour les deux tiers de l échantillon étudié. L analyse de l activité par taux de T.V.A. montre une baisse significative (-2,20 %) de la part à 2,1 % (médicaments remboursables) consécutive à la baisse des prix et à la limitation des prescriptions. Le secteur à 20 % enregistre une belle progression (+5,01 % pour les L.P.P.R. et la parapharmacie). Plus inquiétant, le marché de l O.T.C. est stable alors qu il avait été par le passé un facteur de croissance (hausse de T.V.A. non répercutée sur les prix publics, concurrence accrue, absence de nouveaux produits déremboursés, baisse du pouvoir d achat en sont les principales causes). Comme les années précédentes, nous constatons de fortes disparités d une pharmacie à une autre. Seules les officines réalisant un chiffre d affaires supérieur à euros maintiennent leur niveau d activité. Les officines de centres commerciaux et de centre ville tirent leur épingle du jeu car moins tributaires du médicament remboursable. Cette année, les officines en milieu rural ont le plus souffert en matière de chiffre d affaires. Enfin, les petites officines restent les plus vulnérables face aux mesures gouvernementales de maîtrise de dépenses de santé. Les disparités s accentuent entre les officines en fonction principalement de la taille (inférieure à euros) et de l environnement médical et commercial (situation géographique). COMMENT MIEUX STRUCTURER voire réorganiser votre activité pour un avenir plus serein? CGP : UN EXPERT ADAPTÉ À LA TAILLE DE VOTRE OFFICINE! Parce que chaque officine est unique, sa structure mérite une analyse sur-mesure. QUELLES SONT LES TENDANCES À ADOPTER, les futures sources de profit? 6 - ANALYSE DE L ACTIVITÉ ANALYSE DE L ACTIVITÉ - 7

6 4. ANALYSE DES MARGES 5. LES PRESTATIONS LA MARGE, FACTEUR CLÉ DE SUCCÈS ET POUR DE SERVICES LAQUELLE IL FAUT ADAPTER SON ACTIVITÉ. UNE RECETTE POUR UN AVENIR SEREIN? ÉVOLUTION DE LA MARGE EN % ET ANALYSE Marge commerciale Prestations de service 556,6 29,44 % 560,8 29,30 % -4,2-0,75 % 76,5 4,05 % 60,8 3,18 % +15,7 +25,89 % Produit brut total 633,1 33,49 % 621,5 32,48 % +11,5 1,86 % ZONE RURALE 484,9 29,33 % 498,4 29,37 % -13,4-2,70 % GROS BOURG 614,7 29,49 % 619,4 29,26 % -4,7-0,76 % ZONE URBAINE 515,5 29,36 % 513,2 29,15 % +2,4 +0,46 % CENTRE COMMERCIAL 794,6 29,82 % 795,0 29,76 % -0,4-0,05 % < ,2 29,37 % 226,4 27,55 % -1,1-0,50 % De à < ,0 29,25 % 370,0 29,07 % -6,0-1,63 % De à < ,3 29,46 % 524,3 29,38 % -6,0-1,14 % De à < ,1 29,29 % 660,0 29,40 % -3,9-0,59 % >= ,6 29,64 % 963,8 29,60 % -2,1-0,22 % ÉVOLUTION DE LA PART DES PRESTATIONS DE SERVICES DANS LE CHIFFRE D AFFAIRES TOTAL Prestations de service 76,5 4,05 % 60,8 3,18 % +15,7 +25,89 % < ,9 3,90 % 21,7 2,64 % +8,2 +37,99 % De à < ,4 3,81 % 38,0 2,99 % +9,3 +24,58 % De à < ,7 3,68 % 53,2 2,98 % +11,5 +21,67 % De à < ,4 4,52 % 77,9 3,47 % +23,4 +30,09 % ZONE RURALE 76,0 4,60 % 59,6 3,51 % +16,4 +27,44 % GROS BOURG 88,3 4,24 % 75,5 3,56 % +12,8 +17,01 % ZONE URBAINE 68,6 3,91 % 51,0 2,90 % +17,6 +34,54 % CENTRE COMMERCIAL 69,3 2,60 % 58,0 2,17 % +11,3 +19,48 % >= ,2 4,10 % 107,1 3,29 % +26,1 +24,36 % La marge commerciale s établit pour 2014 à euros (29,44 % du C.A. H.T.) contre euros (29,30 % du C.A. H.T.) en Nous constatons, pour la première fois, une évolution négative de la marge brute en valeur ( euros) (-0,75 %) ; l évolution du taux de marge n a pas compensé la baisse du chiffre d affaires. L absence de nouvelles molécules au répertoire génériques, une politique de prix plus agressive sur le non remboursé en sont les principales explications. Le pharmacien titulaire doit aujourd hui suivre de façon régulière l évolution de sa marge en valeur et non son seul chiffre d affaires, la mise en place d un tableau de bord de suivi de marge devient nécessaire pour suivre les impacts de la nouvelle rémunération à l honoraire et de la réforme des remises sur les génériques. Les prestations de services comprennent principalement les contrats de coopération commerciale sur les génériques et, dans une moindre mesure, la prime à la performance sur le générique et les indemnités de garde. Ces prestations ont augmenté de plus de 25 % en Elles contribuent grandement à la survie des plus fragiles. Sans ce développement, nous aurions constaté une dégradation de la rentabilité et du résultat des officines. Elles représentent à elles seules plus de 27 % de l Excédent Brut d Exploitation. La réforme du mode de rémunération sur le générique par le plafonnement des remises à 40 %, la baisse du montant des T.F.R., la baisse des prix votée par la L.F.S.S auront une incidence directe sur le montant de ces prestations et, par voie de conséquence, sur la marge et la rentabilité des officines. COMMENT MESURER L IMPACT DE L ENVIRONNEMENT SUR VOTRE TAUX DE MARGE? Il s analyse en fonction de votre implantation, votre taille et votre environnement. Pour bien avancer, nous sommes à vos côtés. QUELLES PRESTATIONS DE SERVICES? CONTRATS DE COOPÉRATION GÉNÉRIQUE, PRIMES À LA PERFORMANCE... Pour évoluer positivement il est prépondérant de structurer votre activité dans une vision intelligente du marché. 8 - ANALYSE DES MARGES LES PRESTATIONS DE SERVICE - 9

7 6. LES CHARGES EXTERNES 7. LES CHARGES UN POIDS FINANCIER RELATIF QUI VARIE DE PERSONNEL SUIVANT LE TYPE D IMPLANTATION. UN POIDS FINANCIER DIFFICILE À MAÎTRISER! ÉVOLUTION DE LA PART DES CHARGES EXTERNES DANS LE CHIFFRE D AFFAIRES TOTAL Charges externes 89,9 4,76 % 86,5 4,52 % +3,4 +3,93 % ZONE RURALE 71,3 4,32 % 70,3 4,14 % +1,1 +1,51 % GROS BOURG 95,4 4,58 % 91,3 4,31 % +4,1 +4,54 % ZONE URBAINE 88,8 5,06 % 85,6 4,86 % +3,2 +3,74 % CENTRE COMMERCIAL 136,0 5,10 % 131,3 4,91 % +4,7 +3,60 % ÉVOLUTION DE LA PART DES CHARGES DE PERSONNEL DANS LE CHIFFRE D AFFAIRES TOTAL Charges de personnel 205,0 10,84 % 204,3 10,68 % +0,7 +0,33 % Cotisations TNS 48,1 2,54 % 44,9 2,35 % +3,2 +7,16 % VARIATION ZONE RURALE 166,6 10,08 % 169,0 9,96 % -2,4-1,41 % GROS BOURG 229,5 11,01 % 229,3 10,83 % +0,2 +0,09 % ZONE URBAINE 186,8 10,64 % 186,6 10,60 % +0,2 +0,12 % CENTRE COMMERCIAL 324,7 12,18 % 323,1 12,09 % +1,6 +0,49 % < ,0 7,31 % 50,8 6,18 % +5,2 +10,33 % De à < ,6 5,11 % 61,1 4,80 % +2,5 +4,11 % De à < ,7 4,70 % 81,3 4,56 % +1,4 +1,67 % De à < ,3 4,48 % 95,8 4,27 % +4,5 +4,69 % >= ,3 4,42 % 138,6 4,26 % +4,7 +3,39 % Sous cette rubrique figure l ensemble des fournitures non destinées à la revente et des prestations assurées par des tiers extérieurs. Nous constatons une importance relative de ces frais de structure en fonction de la taille de l officine (économies d échelle). Les pharmacies de centres commerciaux et de centre ville ont un ratio plus important, consécutif à un loyer plus élevé. Nous constatons une bonne maîtrise de l évolution de ces frais de structure. COMMENT RÉDUIRE LE POIDS DES CHARGES? COMMENT MUTUALISER CERTAINS POSTES? Lesquels? Externaliser certains? Quels sont les foyers d optimisation? VARIATION < ,2 8,63 % 64,5 7,85 % +1,7 +2,65 % De à < ,7 10,42 % 129,3 10,16 % +0,5 +0,38 % De à < ,3 10,76 % 189,1 10,60 % +0,2 +0,09 % De à < ,3 10,64 % 239,3 10,66 % -1,0-0,44 % >= ,2 11,59 % 373,6 11,47 % +2,5 +0,68 % Les frais de personnel incluent les salaires bruts versés aux salariés et les charges patronales correspondantes. Sont exclues les cotisations sociales du pharmacien titulaire. Cette année les frais de personnel représentent 10,84 % du C.A. H.T. contre 10,68 % en Ils progressent de +0,33 %. Nous constatons une bonne maîtrise de ce poste mais le plus souvent au détriment de la qualité de vie du titulaire (réduction de la période de remplacement). Les officines de centres commerciaux conservent un ratio plus élevé afin de répondre à une plus large amplitude d horaires d ouverture. Les cotisations sociales T.N.S. du pharmacien titulaire représentent 2,54 % du C.A. H.T. Elles progressent de 7,16 %. Cette évolution résulte des différentes mesures intervenues récemment : déplafonnement de la cotisation maladie, suppression de l abattement de 10 % pour frais professionnels calculé sur la base soumise à cotisations, dividendes soumis à cotisations sociales pour les gérants majoritaires. La réforme des cotisations C.A.V.P. au 1er juillet 2015 aura un nouvel impact haussier à venir. QUELS SONT LES SECRETS D UN MANAGEMENT RÉUSSI? Faites appel à un expert pour maîtriser vos charges de personnel LES CHARGES EXTERNES LES CHARGES DE PERSONNEL - 11

8 8. ANALYSE DES RENTABILITÉS 8. ANALYSE DES RENTABILITÉS L EXCÉDENT BRUT D EXPLOITATION, CLÉ DE LA RÉUSSITE ET DE LA SÉRÉNITÉ. SOLDES INTERMÉDIAIRES DE GESTION : OÙ VOUS SITUEZ-VOUS? E.B.E. ÉVOLUTION ENTRE 2013 ET 2014 E.B.E. 281,6 14,90 % 276,9 14,47 % +4,7 +1,68 % Chiffre d affaires H.T ,4 100 % 1 913,6 100 % -23,2-1,21 % Marge commerciale 556,6 29,44 % 560,8 29,30 % -4,2-0,75 % Prestations de service 76,5 4,05 % 60,8 3,18 % +15,7 +25,89 % ZONE RURALE 267,4 16,18 % 262,8 15,48 % +4,7 +1,77 % GROS BOURG 315,7 15,15 % 315,8 14,92 % -0,1-0,03 % ZONE URBAINE 257,9 14,69 % 245,4 13,94 % +12,6 +5,13 % CENTRE COMMERCIAL 339,6 12,74 % 335,7 12,56 % +3,9 +1,17 % Produit brut total 633,1 33,49 % 621,5 32,48 % +11,5 +1,86 % Charges externes 89,9 4,76 % 86,5 4,52 % +3,4 +3,93 % Valeur ajoutée 543,2 28,73 % 535,0 27,96 % +8,1 +1,52 % Impôts et taxes 8,5 0,45 % 8,9 0,46 % -0,4-4,63 % Frais de personnel 205,0 10,84 % 204,3 10,68 % +0,7 +0,33 % Cotisations T.N.S. 48,1 2,54 % 44,9 2,35 % +3,2 +7,16 % < ,2 13,45 % 104,6 12,73 % -1,4-1,39 % De à < ,7 14,20 % 179,2 14,70 % -2,5-1,37 % De à < ,3 14,91 % 262,4 14,70 % -0,0-0,02 % Excédent brut d exploitation Transferts charges Autres produits 281,6 14,90 % 276,9 14,47 % +4,7 +1,68 % 4,8 0,26 % 4,1 0,22 % +0,7 +17,02 % De à < ,7 15,61 % 337,4 15,03 % +12,3 +3,65 % >= ,8 14,94 % 469,2 14,41 % +15,7 +3,34 % Dotations aux amortissements 21,0 1,11 % 19,5 1,02 % +1,5 +7,46 % Résultat financier -24,0-1,27 % -27,3-1,43 % -3,4-12,28 % L Excédent Brut d Exploitation (E.B.E.) est l indicateur de gestion le plus important et le plus significatif pour mesurer la rentabilité nette d une officine. En effet, il prend en compte toutes les charges inhérentes à l activité proprement dite, exception faite, d une part, des charges financières (liées directement à la «surface financière» du pharmacien ou à son ancienneté dans son installation), d autre part, des dotations aux amortissements et aux provisions (dépendant des choix fiscaux et des décisions d investissement du titulaire). Son montant constitue la ressource d exploitation qui doit permettre de rémunérer le titulaire (impôt sur le revenu compris), de rembourser les emprunts engagés, de payer l impôt d activité, et enfin d améliorer le cas échéant le niveau de trésorerie. Il ressort à euros (14,90 % du C.A. H.T.) contre euros (14,47 % du C.A. H.T.) en L E.B.E. a progressé de façon significative pour les officines de plus de d euros. Pour notre officine moyenne, il progresse de 1,68 %, euros. Cette évolution est à rapprocher de celle des prestations de services euros. Il faut garder à l esprit que la progression de l E.B.E. est étroitement liée à l existence de ces prestations. Elles représentent à elles seules plus de 27 % de l E.B.E. Une baisse drastique des prix des génériques conjugée à un plafonnement des remises auront sans aucun doute un impact direct sur le niveau futur de l E.B.E. Résultat exceptionnel -1,8-0,09 % -1,5-0,08 % -0,3 +18,69 % Résultat retraité entreprise individuelle 239,7 12,68 % 232,7 12,16 % +7,0 +3,00 % Au vu de cette synthèse, l économie officinale est toujours dopée par le générique, le terme «générico-dépendant» trouve encore cette année tout son sens. Les baisses de chiffre d affaires et de marge ont été absorbées par l accroissement des seules prestations génériques. Les deux tiers de l échantillon ont connu une nouvelle baisse de leur activité. L évolution des frais de personnel est maîtrisée. L E.B.E. progresse encore cette année ( euros). Le résultat net ressort à euros (12,68 % du C.A. H.T.) contre euros (12,16 % du C.A. H.T.) en Ce ratio démontre une nouvelle fois que l activité officinale reste attractive et n a rien à envier à d autres secteurs économiques. Les difficultés économiques de certains sont surtout liées à leur niveau d endettement consécutif au prix payé lors de l acquisition de l officine ; le désendettement est rendu plus difficile en période de baisse d activité ANALYSE DES RENTABILITÉS ANALYSE DES RENTABILITÉS - 13

9 9. ANALYSE DE LA STRUCTURE FINANCIÈRE QUELQUES RATIOS VALENT MIEUX QU UN LONG DISCOURS. RENDEMENT PAR INTERVENANT À L OFFICINE C.A. T.T.C. E.T.P. 282,4 286,7 La productivité s est quelque peu améliorée compte tenu de la baisse d activité. Le chiffre d affaires réalisé par chaque personne au comptoir s élève en 2014 à euros, et est en léger recul. STOCK MOYEN Stock initial + Stock final 2 163,5 8,65 % 161,1 8,42 % VITESSE DE ROTATION DU STOCK (EN NOMBRE DE FOIS) Coût d achat des marchandises vendues Stock moyen 8,16 8,40 NOMBRE DE JOURS D ACHAT COUVERTS PAR LE STOCK 365 jours Vitesse de rotation 44,75 jours 43,47 jours La durée d écoulement du stock s élève à 45 jours contre 43 jours en DURÉE DES CRÉDITS CLIENTS (EN NOMBRE DE JOURS) Créances clients x 365 jours 39,5 41,1 C.A. T.T.C. 7 jours 8 jours Le délai moyen de l encours client (tiers payant) représente 7 jours de chiffre d affaires. DURÉE DES DETTES FOURNISSEURS (EN NOMBRE DE JOURS) Dettes fournisseurs x 365 jours 150,7 146,7 Achat de marchandises T.T.C. 40 jours 38 jours L encours fournisseurs est de 40 jours d achat et couvre le financement du stock dans sa quasi-totalité ANALYSE DE LA STRUCTURE FINANCIÈRE

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