HÉTÉROPHORIES. o BILAN ORTHOPTIQUE o FORMES CLINIQUES o PRISE EN CHARGE

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "HÉTÉROPHORIES. o BILAN ORTHOPTIQUE o FORMES CLINIQUES o PRISE EN CHARGE"

Transcription

1 HÉTÉROPHORIES o BILAN ORTHOPTIQUE o FORMES CLINIQUES o PRISE EN CHARGE F.PRACCA Samedi 21 janvier 2017

2 SOMMAIRE I RAPPELS HETEROPHORIES II BILAN ORTHOPTIQUE III - FORMES CLINIQUES IV - PEC

3 I RAPPELS HETEROPHORIES Définition d une hétérophorie: «Déviation des axes visuels maintenue latente par le réflexe de fusion» (Pr.HUGONNIER) => Elle n apparait qu à la dissociation «Déviation strabique latente, révélée par une dissociation suffisante dont l interruption est suivie de restitution sensorielle et motrice» (P.LANTHONY) => Mouvement de restitution à la levée de la dissociation (qui permet un réalignement des axes visuels et une reprise de la fusion)

4 I RAPPELS HETEROPHORIES Phorie Tropie Tropie : déviation constante, pas de VB Dans une hétérophorie, l effort de fusion parfois difficile à maintenir => passages en Tropie => DECOMPENSATION FUSION = CRN VB généralement normale En cas de décompensation: Neutralisation ++ ou diplopie Dégradation possible de la VB en cas de décompensation fréquente

5 I RAPPELS HETEROPHORIES Le terme hétérophorie s oppose à l orthophorie Un patient est orthophorique si aucun mouvement n est retrouvé à la dissociation Il existe peu de patients orthophoriques, une hétérophorie généralement minime est souvent retrouvée après dissociation De près, il existe normalement une exophorie d environ 6 D => Exophorie physiologique

6 II BILAN D UNE HETEROPHORIE Schéma classique d un BO: 1) Interrogatoire / observation 2) Examen moteur 3) Examen sensoriel 4) Forme clinique 5) Conclusion / CAT

7 INTERROGATOIRE Motif de consultation Médecin prescripteur ATCD Généraux Ophtalmo Orthoptique Rééducation (ancienneté, durée, efficacité) Travail/activité Vision de près (étudiant, W de précision ) Travail sur écran CO (important +++) Cycloplégie? Bien supportée?

8 INTERROGATOIRE Plaintes / signes fonctionnels Céphalées Barre frontale ++ En fin de journée ou après un travail intensif en VP Impression de loucher Vertiges Nausées Difficultés à la lecture Diplopie Traitements Antidépresseurs Observation du patient pendant l interrogatoire

9 EXAMEN MOTEUR Motilité Généralement normale Syndrome alphabétique (V, A) PPC Variable ESE Permet de mettre en évidence l hétérophorie ESE unilatéral puis alterné Associé à une barre de prismes pour mesurer la déviation (méthode objective) La puissance du prisme qui supprime le mouvement donne la mesure de l hétérophorie

10 ESE 1) Reflets centrés Pas de tropie 2) Ecran devant l OD Dissociation l OD prend sa position de repos 3) Retrait de l écran Mouvement de restitution Reprise de la fusion Le sens du mouvement donne le type d hétérophorie : Ici mouvement de l intérieur vers l extérieur => ésophorie

11 EXAMEN SENSORIEL Mise en évidence et mesure de la déviation (méthode subjective) A privilégier chaque fois qu elle est possible (CRN, âge et AV suffisants) Baguette de Maddox (ou verre rouge) Si CRN => Mesure subjective +++ Permet de déterminer le type d hétérophorie en fonction de la position du trait rouge par rapport au point de fixation + barre de prismes => mesure subjective de l angle

12 SYNOPTOPHORE 1 degré (perception simultanée) Principe: mettre le lion dans la cage en déplaçant les bras du synoptophore Ex d écriture: PS à +6D (= E6)

13 VISION BINOCULAIRE Intérêt ++ pour déterminer la qualité de la compensation de la déviation Vision stéréoscopique ++ TNO (dissociant) Wirt Lang (enfant) Amplitudes de fusion ++ Barre de prismes ou synoptophore

14 MESURE DES AMPLITUDES DE FUSION BARRE DE PRISMES En convergence et en divergence, de près et de loin Convention d écriture: Convergence de loin: C convergence de près: C Divergence de loin: D divergence de près: D Valeurs normales: D 8 C20/25 D 10 C 35/40

15 METHODE Faire fixer un point Passer la barre de prismes devant un œil (base temporale pour la convergence, base nasale pour la divergence) Le prisme dévie le rayon lumineux en dedans ou en dehors de la fovéola => diplopie => déclenche une réponse motrice de convergence ou de divergence pour rétablir une fixation bi-fovéolaire Expliquer au patient qu il doit «recoller» les images Attention à la neutralisation! Surveiller les yeux En cas de doute: verres de Bagolini

16 MESURE DES AMPLITUDES DE FUSION SYNOPTOPHORE 2 images avec un élément commun et un élément propre à chaque image (élément de contrôle) A partir de l AS (angle subjectif déterminé avec le 1 degré), déplacer les bras du synoptophore en convergence et en divergence jusqu à la perte de la fusion: 2 images (diplopie) Perte de l un des 2 éléments de contrôle (neutralisation) Ex d écriture: Fusionne de -10 à + 50 D

17 ACUITE VISUELLE Monoculaire Rechercher une amblyopie (rare)

18 COORDIMETRIE Coordimétrie (Lancaster ou Hess-Weiss) Tracés concomitants (symétriques) Sauf en cas de séquelle de paralysie oculomotrice Cf cours coordimétrie

19 DIAGNOSTIC Forme clinique Type d hétérophorie Eléments importants: Signes fonctionnels Neutralisation Limitation oculomotrice

20 III FORMES CLINIQUES DES HETEROPHORIES On peut différencier les phories suivant le sens de la déviation Esophories Exophories Hyper/hypophories Cyclophories Tropies intermittentes ou phories-tropies

21 ESOPHORIE Déviation en convergence Deux formes: Excès de convergence => angle + important de près Insuffisance de divergence => angle + important de loin Etiologies: Anatomique: position de repos en ésophorie Accommodative: hypermétropie mal corrigée Séquelle de paralysie du nerf VI Fatigue, stress, travail trop important en vision de près Signes fonctionnels: Céphalées Impression de loucher Diplopie à la fatigue

22 BO ESE: Mouvement de restitution de l intérieur vers l extérieur Motilité: Souvent normale Limitation de l abduction (séquelle de paralysie du VI) VB: VS normale en l absence de décompensation Amplitude de fusion: Peut être limitée en convergence et en divergence

23 EXOPHORIE Déviation en divergence Deux formes: Insuffisance de convergence => angle + important de près Excès de divergence => angle + important de loin Etiologies: Anatomique: position de repos en exophorie Accommodative: myopie mal corrigée Antidépresseurs Signes fonctionnels: Céphalées Fatigue en vision de près, gêne ++ lecture, travail sur écran Diplopie à la fatigue

24 BO ESE: Mouvement de restitution de l extérieur vers l intérieur Après décompensation à l écran alterné la restitution peut être difficile voir impossible => tropie Motilité: Syndrome V fréquent PPC moyen ou mauvais VB: VS à tester +++ Amplitude de fusion: Souvent limitation des amplitudes de convergence plus importante de près

25 HYPERPHORIE Déviation verticale Hypophorie = hyperphorie de l autre œil Isolée ou associée à une phorie horizontale Etiologies: Anatomique Séquelle de paralysie Signes fonctionnels: Gêne visuelle ++ en cas de décompensation Diplopie

26 BO ESE: Mouvement de restitution vertical parfois difficile à voir => examen subjectif a privilégier ++ Hyperphorie généralement minime (<5D) Au-delà => tropie (car amplitudes de fusion verticales faibles) Motilité: Généralement normale VB: VS normale Amplitudes de fusion: Souvent limités de près et de loin

27 CYCLOPHORIE Rotation autour de l axe antéro-postérieur Excyclophorie: torsion en dehors Incyclophorie: torsion en dedans EXCYCLO INCYCLO EXCYCLO OD OG

28 CYCLOPHORIE Rare ++, passe souvent inaperçue Etiologie: Rarement isolée Associée à: Strabisme précoce Syndrome alphabétique Paralysie du IV Signes fonctionnels: En cas de paralysie du IV: Déformation des lignes

29 MISE EN EVIDENCE D UNE CYCLOPHORIE Mise en évidence: difficile ESE: généralement imperceptible Baguette de Maddox Trait incliné Synoptophore ++ Barreaux de la cage inclinés Permet une mesure

30 TROPIES INTERMITTENTES = Phorie-tropie Déviation dont la compensation est intermittente Phorie trop importante pour être compensée en permanence => période de «repos» => passage en tropie CRN (neutralisation lors des passages en tropie, rarement diplopie)

31 BO Ne pas dissocier trop tôt!!! VS à tester en premier Bonne VS = bon contrôle de la déviation Tests dissociants donnent de moins bons résultats (TNO) Amplitudes de fusion Souvent limitée en convergence dans les XXT ESE: Le mouvement de restitution permet d évaluer le contrôle de la déviation

32 IV PRISE EN CHARGE La plupart des hétérophories sont minimes et bien compensée => pas de traitement Traitement uniquement si: Plaintes / signes fonctionnels Dégradation de la VB

33 1 ETAPE : CO Pour éliminer un problème accommodatif Permet parfois de supprimer complètement les signes fonctionnels Réfraction sous cycloplégie si nécessaire (même chez l adulte) Bonne CO (récente avec brouillard ou cycloplégie) nécessaire avant tout traitement

34 REEDUCATION ORTHOPTIQUE 12 séances de 20 min (1 à 2 /semaine) BUT: Développer les amplitudes de fusion (surtout en convergence) Indiquée pour: Exophories +++ Esophories Conditions: Uniquement en cas de signes fonctionnels Patient motivé CRN +++

35 DEVELOPPEMENT DES AMPLITUDES DE FUSION Barre de prismes De près et de loin Ordre: D C C D Toujours finir par la divergence! Synoptophore 2 degré ++ 3 degré pour développer la divergence

36 STEREOGRAMMES But: percevoir 3 images Convergence: fixer un stylo entre le stéréogramme et les yeux Divergence: regarder dans le vague/au loin

37 ATTENTION AUX ESOPHORIES Prudence dans le développement des amplitudes en convergence Risque que le patient reste «bloqué» en convergence Dans tous les cas: respecter un équilibre convergence/divergence Ne pas chercher à augmenter la convergence au maximum C/D = 3

38 REEDUCATION DES TROPIES INTERMITTENTES Respecter la neutralisation! Attention à la diplopie physiologique En cas de passage en tropie => arrêt des amplitudes de fusion XXT >> EET Forme à insuffisance de convergence ++

39 PRISMES Principe: compenser l hétérophorie en cas de décompensation fréquente Press-on (collé sur le verre) Prisme incorporé Intérêt différent suivant le type d hétérophorie: Eso / Exo: le patient a tendance à «manger les prismes» => augmentation progressive du prisme Exo: angles souvent importants => prismes trop importants pour être supportés Hyper: Utiles car rééducation difficile Déviation minime donc peut d inconvénients des prismes

40 CHIRURGIE A envisager en cas de décompensation fréquente Surtout pour les XXT A proposer lorsque la rééducation est inefficace Angle trop important Déviation verticale A distance de toute rééducation (minimum 6 mois)

41 CONCLUSION Les hétérophories sont fréquentes mais nécessitent rarement une PEC BO: Recherche et mesure: méthode subjective à privilégier VB ++ PEC: Uniquement en présence de signes fonctionnels Dégradation de la VB

42 TRAITEMENT Vérifier la CO avant toute rééducation! Rééducation: CRN uniquement Travailler les amplitudes de fusion Attention aux phories-tropies! (respecter la neutralisation) La chirurgie est rarement indiquée sauf en cas de tropie intermittente mal compensée

43 BIBLIOGRAPHIE Rapport SFO 2013, STRABISMES, A.PECHEREAU Elsevier-Masson 2013 Manuel de strabologie, Aspects cliniques et thérapeutiques N. et F. JEANROT, Elsevier Masson 2011 Motricité et sensorialité oculaire : l examen M.SANTALLIER, S-Editions 2012

Exophorie-tropie résiduelle symptomatique. J.P. Hardy

Exophorie-tropie résiduelle symptomatique. J.P. Hardy Exophorie-tropie résiduelle symptomatique J.P. Hardy Opération pendant l enfance Protocole non communiqué: Possible recul-résection OG Symptomatologie Patiente suivie depuis plusieurs années pour des symptomes

Plus en détail

LEURS SERVICES ET LEUR CADRE DE PRATIQUE LES OPTOMÉTRISTES : LEUR FORMATION, LEURS SERVICES ET LEUR CADRE DE PRATIQUE

LEURS SERVICES ET LEUR CADRE DE PRATIQUE LES OPTOMÉTRISTES : LEUR FORMATION, LEURS SERVICES ET LEUR CADRE DE PRATIQUE ordre des optométristes du québec LES OPTOMÉTRISTES : LEUR FORMATION, LEURS SERVICES ET LEUR CADRE DE PRATIQUE LES OPTOMÉTRISTES : LEUR FORMATION, LEURS SERVICES ET LEUR CADRE DE PRATIQUE VOIR QUI AU

Plus en détail

Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques

Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Dr Solène de Gaalon Service de neurologie- CHU Nantes Société française des migraines et céphalées Céphalées de tension

Plus en détail

7. Exemples de tests pour détecter les différents troubles de la vision.

7. Exemples de tests pour détecter les différents troubles de la vision. 7. Exemples de tests pour détecter les différents troubles de la vision. 7.1 Pour la myopie (mauvaise vue de loin) : Test de vision de loin Sur le mur d un pièce, fixez l illustration ci-dessous que vous

Plus en détail

EPIDEMIOLOGIE: Paralysie du VI Etiologie en fonction de l âge : Paralysie du VI

EPIDEMIOLOGIE: Paralysie du VI Etiologie en fonction de l âge : Paralysie du VI EPIDEMIOLOGIE: Paralysie du PARALYSIES DU NERF OCULOMOTEUR (NERF ABDUCENS) La paralysie du muscle droit latéral est la plus fréquente des paralysies des muscles extra oculaires, et la douzième en fréquence

Plus en détail

Les difficultés scolaires, ou «l Echec scolaire»

Les difficultés scolaires, ou «l Echec scolaire» Les difficultés scolaires, ou «l Echec scolaire» Par le Dr Stéphane BURLOT Plan : Les chiffres de l échec scolaire La spirale de l echec Les points d appels des difficultés scolaires Les Origines «médicales»

Plus en détail

Trousse média 2015. Soyez vu... nous sommes lus! La revue

Trousse média 2015. Soyez vu... nous sommes lus! La revue Trousse média 2015 Soyez vu... nous sommes lus! La revue Imprimé 10 raisons profitables d investir dans la revue l Optométriste 1. Bénéficiez d une excellente visibilité auprès de l ensemble des optométristes

Plus en détail

Pseudotumor cerebri. Anatomie Le cerveau et la moelle épinière baignent dans un liquide clair, appelé le liquide céphalo-rachidien (LCR).

Pseudotumor cerebri. Anatomie Le cerveau et la moelle épinière baignent dans un liquide clair, appelé le liquide céphalo-rachidien (LCR). Hypertension intracrânienne idiopathique Pseudotumor cerebri Votre médecin pense que vous pouvez souffrir d hypertension intracrânienne idiopathique connue aussi sous le nom de «pseudotumeur cérébrale».

Plus en détail

La migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme)

La migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme) La migraine 1/Introduction : Céphalée primaire (sans lésion sous-jacente). Deux variétés principales: Migraine sans aura (migraine commune). Migraine avec aura (migraine accompagnée). Diagnostic: interrogatoire

Plus en détail

LE TRAVAIL SUR ÉCRAN DANS LA BRANCHE DES TÉLÉCOMMUNICATIONS

LE TRAVAIL SUR ÉCRAN DANS LA BRANCHE DES TÉLÉCOMMUNICATIONS LE TRAVAIL SUR ÉCRAN DANS LA BRANCHE DES TÉLÉCOMMUNICATIONS DOCUMENT ÉTABLI PAR LA COMMISSION PARITAIRE SANTÉ ET PRÉVENTION DES RISQUES DES TÉLÉCOMMUNICATIONS LE CONTEXTE Quel que soit le secteur d activité,

Plus en détail

Les bases de l optique

Les bases de l optique Vision to Educate Les 10 pages essentielles Edition 2014 Introduction Edito Si résumer le métier d opticien dans un livret de 12 pages n est pas possible, nous avons essayé dans ce document d apporter

Plus en détail

VI. Aptitudes visuelles

VI. Aptitudes visuelles Sommaire N S6 VI. Aptitudes visuelles Xavier ZANLONGHI A. Aptitude visuelle et conduite 170 1. Les différentes catégories de permis de conduire 2. Réglementation française et aptitudes visuelles 3. Permis

Plus en détail

Le diagnostic de la sclérose en plaques

Le diagnostic de la sclérose en plaques Le diagnostic de la sclérose en plaques par le D r J. Marc Girard, neurologue, FRCP(c) 3 e édition VOUS VENEZ TOUT JUSTE DE RECEVOIR un diagnostic de sclérose en plaques de la part d un neurologue? Vous

Plus en détail

Prise En Charge (PEC) Carte Blanche

Prise En Charge (PEC) Carte Blanche Prise En Charge (PEC) Carte Blanche MANUEL UTIILIISATEUR A L USAGE DES OPTIICIIENS : GUIIDE PRATIIQUE OPTOAMC Site : www.carteblanchepartenaires-pec.fr Fax : 01.42.46.59.50 Email : opticien-conseil@carteblanchepartenaires.fr

Plus en détail

JEU VIDEO : UN NOUVEAU COMPAGNON par Colette KELLER-DIDIER

JEU VIDEO : UN NOUVEAU COMPAGNON par Colette KELLER-DIDIER JEU VIDEO : UN NOUVEAU COMPAGNON par Colette KELLER-DIDIER JEU VIDEO : UN NOUVEAU COMPAGNON par Colette KELLER-DIDIER ALS (séance du 11 mai 2003) 48 Jeu video : un nouveau compagnon (Colette KELLER-DIDIER)

Plus en détail

Santé Offre collective. une couverture santé adaptée aux besoins de votre entreprise et de vos salariés

Santé Offre collective. une couverture santé adaptée aux besoins de votre entreprise et de vos salariés Santé Offre collective une couverture santé adaptée aux besoins de votre entreprise et de vos salariés La Mutuelle Audiens de la presse, du spectacle et de la communication Née de la fusion de la MNPLC,

Plus en détail

Logiciels, dispositifs médicaux et gestion des risques point de vue de l industriel

Logiciels, dispositifs médicaux et gestion des risques point de vue de l industriel Logiciels, dispositifs médicaux et gestion des risques point de vue de l industriel Pascale COUSIN 2 ème Rencontres internationales de la gouvernance des risques en santé 7 juin 2010 Présentation SNITEM

Plus en détail

Dr Laurence FAYARD- JACQUIN Cœurs du Forez 2008. Mise à jour 24-06-08

Dr Laurence FAYARD- JACQUIN Cœurs du Forez 2008. Mise à jour 24-06-08 Diabète de type 2 et Sport Dr Laurence FAYARD- JACQUIN Cœurs du Forez 2008 Mise à jour 24-06-08 L activité physique est recommandée depuis longtemps aux patients diabétiques Dès la fin du 19 ème siècle,

Plus en détail

Ergonomie dans les services publics Expérience du service Empreva. Christophe Janssens, CP Ergonome - Empreva

Ergonomie dans les services publics Expérience du service Empreva. Christophe Janssens, CP Ergonome - Empreva Ergonomie dans les services publics Expérience du service Empreva Christophe Janssens, CP Ergonome - Empreva SICPPT fédéral AFFILIES Comité de gestion SIPPT 1 SIPPT SIPPT n 2 EMPREVA Management Office

Plus en détail

Migraine et Abus de Médicaments

Migraine et Abus de Médicaments Migraine et Abus de Médicaments Approches diagnostiques et thérapeutiques des Céphalées Chroniques Quotidiennes Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046, Institut de Médecine Prédictive

Plus en détail

l''rl("t l\(1 fiuaf Exigences visuelles règlementaires et professions 562- INTERREGION OUEST UNIVERSITE DE NAI\ITES UFR MEDECINE

l''rl(t l\(1 fiuaf Exigences visuelles règlementaires et professions 562- INTERREGION OUEST UNIVERSITE DE NAI\ITES UFR MEDECINE INTERREGION OUEST UNIVERSITE DE NAI\ITES UFR MEDECINE 562- l''rl("t l\(1 fiuaf MEMOIRE POUR LA CAPACITE EN MEDECINE DE SANTE AU TRAVAIL ET DE PREVENTION DES RISQUES PROFESSIONNELS Dominique Baysset Née

Plus en détail

L'ORDINATEUR ET LA VUE

L'ORDINATEUR ET LA VUE 45 L'ORDINATEUR ET LA VUE On parle beaucoup des troubles liés au travail devant écran d'ordinateur. Qu'en est-il des recherches dans ce domaine? On peut dire que les problèmes de la vision sur écran en

Plus en détail

Recommandation Pour La Pratique Clinique

Recommandation Pour La Pratique Clinique Recommandation Pour La Pratique Clinique Prise en charge diagnostique et thérapeutique de la migraine chez l adulte ( et chez l enfant) : aspects cliniques (et économiques) Octobre 2002 1 La migraine de

Plus en détail

Effets sanitaires potentiels des technologies audiovisuelles en 3D stéréoscopique. Avis de l Anses Rapport d expertise collective

Effets sanitaires potentiels des technologies audiovisuelles en 3D stéréoscopique. Avis de l Anses Rapport d expertise collective Effets sanitaires potentiels des technologies audiovisuelles en 3D stéréoscopique Avis de l Anses Rapport d expertise collective Juillet 2014 Édition scientifique Effets sanitaires potentiels des technologies

Plus en détail

LE CONTRÔLE DU FACTEUR BACTERIEN 3-POUR LE TRAITEMENT DES PARODONTITES

LE CONTRÔLE DU FACTEUR BACTERIEN 3-POUR LE TRAITEMENT DES PARODONTITES LE CONTRÔLE DU FACTEUR BACTERIEN 3-POUR LE TRAITEMENT DES PARODONTITES Le Diagnostic : Il repose sur l écoute du patient, l examen clinique, le sondage, la radiographie. L inflammation gingivale peut être

Plus en détail

Peut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY

Peut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY Peut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY A quoi sert l imagerie conventionnelle dans le diagnostic

Plus en détail

GARANTIES. Étudiants NOUS NOUS ENGAGEONS À ÊTRE PLUS QU UNE MUTUELLE

GARANTIES. Étudiants NOUS NOUS ENGAGEONS À ÊTRE PLUS QU UNE MUTUELLE Étudiants NOUS SOMMES PARCE BIEN QUE PLACÉS VOUS ÊTES POUR PLUS VOUS QU UN COMPRENDRE MÉDECIN, NOUS NOUS ENGAGEONS À ÊTRE PLUS QU UNE MUTUELLE Étudiants 5 raisons de choisir la Mutuelle du Médecin Une

Plus en détail

Cher adhérent, chère adhérente,

Cher adhérent, chère adhérente, Services proposés par Cher adhérent, chère adhérente, Votre carte d adhérent à la Mutuelle des Pays de Vilaine comporte la mention : «Tiers Payant limité aux Professionnels agréés Santéclair et aux centres

Plus en détail

BIEN santé re- gar- aire icit L ub P ctère der cara L à ctue ontra c non Document 704 13 10 t - 10 11/

BIEN santé re- gar- aire icit L ub P ctère der cara L à ctue ontra c non Document 704 13 10 t - 10 11/ santé BIEN regarder LES BONNES La consultation d un professionnel de santé pour les soins optiques n entre pas dans le cadre du parcours de soins. Vous pouvez donc contacter directement un ophtalmologiste

Plus en détail

LASER DOPPLER. Cependant elle n est pas encore utilisée en routine mais reste du domaine de la recherche et de l évaluation.

LASER DOPPLER. Cependant elle n est pas encore utilisée en routine mais reste du domaine de la recherche et de l évaluation. LASER DOPPLER INTRODUCTION La technique qui utilise l effet Doppler à partir d un faisceau laser est l une des seules qui permette d enregistrer en continu le reflet de la perfusion superficielle de tissus

Plus en détail

Le graphisme et l écriture, en lien avec les apprentissages en maternelle

Le graphisme et l écriture, en lien avec les apprentissages en maternelle Le graphisme et l écriture, en lien avec les apprentissages en maternelle Conférence de Marie-Thérèse Zerbato-Poudou : Les apprentissages à l école maternelle 12 novembre 2008, St Etienne de St Geoirs

Plus en détail

Services Techniques de Boston Scientific - Tél. : 0 800 08 2000

Services Techniques de Boston Scientific - Tél. : 0 800 08 2000 Boston Scientific S.A.S 14, place Georges Pompidou BP 32 78184 Saint Quentin en Yvelines Cedex France Tel 33 (0)1 39 30 49 00 Fax 33 (0)1 39 30 49 01 www.bostonscientific.com Objet : Information sur les

Plus en détail

Plan Gérant Majoritaire GENERALI

Plan Gérant Majoritaire GENERALI Dossier fiche_fiscalité_vie particuliers professionnels entreprises Plan Gérant Majoritaire GENERALI Nom de l entreprise : Activité de l entreprise : Nombre de salariés : jusqu à 5 de 6 à 20 plus de 20

Plus en détail

Session Diagnostic. organisme gestionnaire du développement professionnel continu. www.cardiosleep.fr

Session Diagnostic. organisme gestionnaire du développement professionnel continu. www.cardiosleep.fr Session Diagnostic organisme gestionnaire du développement professionnel continu www.cardiosleep.fr UN CONSTAT 1 patient sur 3 est atteint de Troubles Respiratoires du Sommeil (TRS) en cardiologie. Les

Plus en détail

La solution santé et prévoyance modulable de Generali.

La solution santé et prévoyance modulable de Generali. La solution santé et prévoyance modulable de Generali. 2 Pour faire face aux aléas de la vie La Prévoyance Entreprise 6-20 de Generali est un contrat de prévoyance/santé qui vous permet d apporter à vos

Plus en détail

CONDUCTEUR ÂGÉ. Dr Jamie Dow. Medical Advisor on Road Safety Société de l assurance automobile du Québec LLE. Dr Jamie Dow

CONDUCTEUR ÂGÉ. Dr Jamie Dow. Medical Advisor on Road Safety Société de l assurance automobile du Québec LLE. Dr Jamie Dow LLE CONDUCTEUR ÂGÉ Dr Jamie Dow Conseiller médical en sécurité routière Service des usagers de la route Janvier 2011 Dr Jamie Dow Medical Advisor on Road Safety Société de l assurance automobile du Québec

Plus en détail

ENFIN, UN SYSTÈME POLYVALENT D'IMAGERIE ORL ET DENTAIRE

ENFIN, UN SYSTÈME POLYVALENT D'IMAGERIE ORL ET DENTAIRE CS 9300 ENFIN, UN SYSTÈME POLYVALENT D'IMAGERIE ORL ET DENTAIRE Conçu pour de multiples applications cliniques, le système CS 9300 fournit des images panoramiques de très grande qualité, ainsi que des

Plus en détail

Incontinence anale du post-partum

Incontinence anale du post-partum Incontinence anale du post-partum Laurent Abramowitz Unité de proctologie médico-chirurgicale de l hôpital Bichat, Paris Et cabinet libéral Prévalence Inc anale France (1) : 11% > 45 ans Damon et al (2):Pop

Plus en détail

CEPHALEES POST-BRECHE DURALE. Post Dural Puncture Headache (PDPH)

CEPHALEES POST-BRECHE DURALE. Post Dural Puncture Headache (PDPH) CEPHALEES POST-BRECHE DURALE Post Dural Puncture Headache (PDPH) G. Buzançais Dr E. Morau 6 Mars 2013 Plan Introduction Physiopathologie Traitements Conclusion Définitions Brèche durale Ponction de dure-mère

Plus en détail

Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie

Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie Bull. Acad. Natle Chir. Dent., 2007, 50 113 Commission de l exercice professionnel et Groupe de réflexion Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie

Plus en détail

La chirurgie dans la PC

La chirurgie dans la PC La chirurgie dans la PC GF PENNECOT Marchant ou déambulant Grand handicapé Kinésith sithérapie Appareillage Médicaments Chirurgie neuro ortho LESION NEUROLGIQUE STABLE Spasticité Perte de la sélectivit

Plus en détail

Diabète Type 2. Épidémiologie Aspects physiques Aspects physiologiques

Diabète Type 2. Épidémiologie Aspects physiques Aspects physiologiques Diabète Type 2 Épidémiologie Aspects physiques Aspects physiologiques Épidémiologie 90% de tous les cas de diabètes Environ 1 personne sur 20 est atteinte Diabète gras Facteur de risque majeur pour les

Plus en détail

PROGRAMME DE FORMATION CONTINUE DES ORTHOPHONISTES. SDOFOLi ANNEE 2015

PROGRAMME DE FORMATION CONTINUE DES ORTHOPHONISTES. SDOFOLi ANNEE 2015 SDOFOLi Savoirs Des Orthophonistes Formation Ligériens PROGRAMME DE FORMATION CONTINUE DES ORTHOPHONISTES SDOFOLi ANNEE 2015 SDOFOLi - 9 rue de la Calade - 42660 ST-GENEST-MALIFAUX RENSEIGNEMENTS PRATIQUES

Plus en détail

Vertiges et étourdissements :

Vertiges et étourdissements : : comment être à la hauteur? Anthony Zeitouni, MD, FRCSC Présenté à la 71 e édition du Programme scientifique de l Association des médecins de langue française du Canada. Est-ce bien des vertiges? Il n

Plus en détail

Gestion du traitement personnel des patients : Enquête et audit régional

Gestion du traitement personnel des patients : Enquête et audit régional Gestion du traitement personnel des patients : Enquête et audit régional Marion Alpy Jean-Marie Kinowski Journée OMEDIT 3 avril 2014 Contexte La prise en charge du traitement personnel du patient peut

Plus en détail

Création d une SIGNATURE ANIMÉE avec PHOTOFILTRE 7

Création d une SIGNATURE ANIMÉE avec PHOTOFILTRE 7 Création d une SIGNATURE ANIMÉE avec PHOTOFILTRE 7 L animation est obtenue par défilement des images décomposant le mouvement de traçage de la signature. Les étapes successives seront : 1. Choix de la

Plus en détail

INNOVATION De la rééducation au sport santé. LPG crée le Neuro

INNOVATION De la rééducation au sport santé. LPG crée le Neuro INNOVATION De la rééducation au sport santé LPG crée le Neuro Physical Training! Bouger pour sa santé, une évidence pour les français? Bien que Faire du sport soit, chaque année, une des résolutions prioritaires

Plus en détail

Ordonnance du DFI sur les prestations dans l assurance obligatoire des soins en cas de maladie

Ordonnance du DFI sur les prestations dans l assurance obligatoire des soins en cas de maladie Ordonnance du DFI sur les prestations dans l assurance obligatoire des soins en cas de maladie (Ordonnance sur les prestations de l assurance des soins, OPAS) Modification du 14 juin 2010 Le Département

Plus en détail

Les fractures de l extrémité inférieure du radius (238) Professeur Dominique SARAGAGLIA Mars 2003

Les fractures de l extrémité inférieure du radius (238) Professeur Dominique SARAGAGLIA Mars 2003 Les fractures de l extrémité inférieure du radius (238) Professeur Dominique SARAGAGLIA Mars 2003 Pré-Requis : Anatomie descriptive et fonctionnelle de l extrémité inférieure du radius Résumé : Les fractures

Plus en détail

DOMAINE 7 RELATIONS ET RÔLES

DOMAINE 7 RELATIONS ET RÔLES DOMAINE 7 RELATIONS ET RÔLES 327 Allaitement maternel inefficace (00104) 327 Allaitement maternel interrompu (00105) 328 Motivation à améliorer l allaitement maternel (00106) 329 Tension dans l exercice

Plus en détail

Admission (Formalités d ) : Formalités médicales ou non-médicales (questionnaire médical, examens

Admission (Formalités d ) : Formalités médicales ou non-médicales (questionnaire médical, examens Par un langage simple et clair pour faciliter la lecture de nos courriers Les Services aux Clients Santé font de la satisfaction de leurs clients une priorité. Pour vous offrir un service de qualité, nous

Plus en détail

Loi pour l Égalité des Droits et des Chances, la Participation et la Citoyenneté des Personnes Handicapées (EDCPCPH)

Loi pour l Égalité des Droits et des Chances, la Participation et la Citoyenneté des Personnes Handicapées (EDCPCPH) 1 Loi pour l Égalité des Droits et des Chances, la Participation et la Citoyenneté des Personnes Handicapées (EDCPCPH) NOUVEAU DISPOSITIF REGLEMENTAIRE ERP Principales nouveautés du décret : «ERP NEUFS»

Plus en détail

Maître de cérémonie Christian Fillatreau, Président du Cluster TIC Aquitaine

Maître de cérémonie Christian Fillatreau, Président du Cluster TIC Aquitaine Challenge start-up Maître de cérémonie Christian Fillatreau, Président du Cluster TIC Aquitaine Sanilea Régulation des transports et des soins Performance, simplicité, connectivité, intuitivité, mobilité

Plus en détail

Leucémies de l enfant et de l adolescent

Leucémies de l enfant et de l adolescent Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE

Plus en détail

Placebo Effet Placebo. Pr Claire Le Jeunne Hôtel Dieu- Médecine Interne et Thérapeutique Faculté de Médecine Paris Descartes

Placebo Effet Placebo. Pr Claire Le Jeunne Hôtel Dieu- Médecine Interne et Thérapeutique Faculté de Médecine Paris Descartes Placebo Effet Placebo Pr Claire Le Jeunne Hôtel Dieu- Médecine Interne et Thérapeutique Faculté de Médecine Paris Descartes Plan Définitions Placebo dans les essais thérapeutiques Effet placebo Médicaments

Plus en détail

Organisation du suivi dans le cadre d un réseau

Organisation du suivi dans le cadre d un réseau Organisation du suivi dans le cadre d un réseau Mandovi Rajguru Pédiatre Maternité Hôpital Bichat Claude Bernard Journée des pédiatres de maternité GENIF 04 Juin 2009 Introduction Constitution d un réseau

Plus en détail

Assurance-maladie complémentaire (LCA)

Assurance-maladie complémentaire (LCA) CC (Conditions complémentaires) Visana Assurances SA Valable dès 2014 Assurance-maladie complémentaire (LCA) Traitements ambulatoires Sommaire Page 3 3 4 6 Assurance complémentaire des frais de guérison

Plus en détail

MUTUELLE DE NATIXIS. l adhésion du salarié au régime est obligatoire, comme par le passé, celle de ses ayants-droit éventuels est facultative ;

MUTUELLE DE NATIXIS. l adhésion du salarié au régime est obligatoire, comme par le passé, celle de ses ayants-droit éventuels est facultative ; MUTUELLE DE NATIXIS Résumé des garanties du contrat obligatoire de complémentaire santé de la Mutuelle de Natixis «Régime unifié» des salariés mis en place le 1 er juillet 2010 Concerne les salariés de

Plus en détail

Votre Réseau est-il prêt?

Votre Réseau est-il prêt? Adapter les Infrastructures à la Convergence Voix Données Votre Réseau est-il prêt? Conférence IDG Communications Joseph SAOUMA Responsable Offre ToIP Rappel - Définition Voix sur IP (VoIP) Technologie

Plus en détail

Une offre globale pour préserver votre niveau de vie

Une offre globale pour préserver votre niveau de vie PROFESSIONNELS Plan Gérant Majoritaire Une offre globale pour préserver votre niveau de vie Nom de l entreprise : Activité de l entreprise : Nombre de salariés : jusqu à 5 de 6 à 20 plus de 20 Nom et prénom

Plus en détail

Publicité Une nouvelle vision de la complémentaire santé

Publicité Une nouvelle vision de la complémentaire santé Publicité Une nouvelle vision de la complémentaire santé Swiss santé, Ma formule Édito Swiss santé, Ma formule Créez votre complémentaire santé personnalisée Rester en bonne santé est ce qu il y a de plus

Plus en détail

Présentation de la Caméra intra-orale KODAK 1500

Présentation de la Caméra intra-orale KODAK 1500 Présentation de la Caméra intra-orale KODAK 1500 Nouvelle version filaire USB et pilote TWAIN Pourquoi utiliser une caméra intra-orale? Communiquez, éduquez, motivez Les patients voient ce que vous observez

Plus en détail

Révision des descriptions génériques Comment monter un dossier?

Révision des descriptions génériques Comment monter un dossier? DISPOSITIFS MEDICAUX Révision des descriptions génériques Comment monter un dossier? Guide pour le dossier déposé par les fabricants/distributeurs Adopté en séance de la CEPP* le 13 juillet 2005 *CEPP

Plus en détail

Prévoyons.com. Vos garanties Santé. Faites calculer votre reste à charge. Réforme des retraites : quelles incidences sur votre régime de prévoyance?

Prévoyons.com. Vos garanties Santé. Faites calculer votre reste à charge. Réforme des retraites : quelles incidences sur votre régime de prévoyance? Prévoyons.com Février 2012 / N 29 Le bulletin d information Prévoyance & Santé des salariés du Groupe France Télécom Faites calculer votre reste à charge Réforme des retraites : quelles incidences sur

Plus en détail

Domaine Santé. Plan d études cadre Modules complémentaires santé. HES-SO, les 5 et 6 mai 2011. 1 PEC Modules complémentaires santé

Domaine Santé. Plan d études cadre Modules complémentaires santé. HES-SO, les 5 et 6 mai 2011. 1 PEC Modules complémentaires santé Domaine Santé Plan d études cadre Modules complémentaires santé HES-SO, les 5 et 6 mai 2011 1 PEC Modules complémentaires santé Plan d études cadre Modules complémentaires santé 1. Finalité des modules

Plus en détail

Publicité. Spécial professionnel indépendant. Swiss santé, Ma formule

Publicité. Spécial professionnel indépendant. Swiss santé, Ma formule Publicité Spécial professionnel indépendant Vulputate Des garanties putamus typi quam personnalisées in claram pour Ma formule vous et votre famille Ma formule Édito Ma formule Créez votre complémentaire

Plus en détail

B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs

B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs B06-1 B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs L ischémie aiguë est une interruption brutale du flux artériel au niveau d un membre entraînant une ischémie tissulaire. Elle constitue

Plus en détail

TRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir?

TRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir? TRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir? H Le Hors-Albouze Urgences pédiatriques Timone enfants Marseille Traumatismes crâniens (TC) de l enfant Grande fréquence même si incidence réelle mal

Plus en détail

o Anxiété o Dépression o Trouble de stress post-traumatique (TSPT) o Autre

o Anxiété o Dépression o Trouble de stress post-traumatique (TSPT) o Autre Page 1 Garantie Responsabilité civile - Lésions corporelles de l assurance automobile - Étude des dossiers de demande d indemnisation fermés en Ontario Descriptions des blessures Élaborées à partir des

Plus en détail

Pas à pas BOB 50 Campagne de rappels de paiement

Pas à pas BOB 50 Campagne de rappels de paiement Pas à pas BOB 50 Campagne de rappels de paiement Table des matières I. Introduction... 3 II. Présentation générale... 4 III. Modalités générales de rappel de paiement... 5 IV. Catégories de rappel de paiement...

Plus en détail

L hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015

L hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015 L hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015 Objectifs de la présentation Décrire l évolution clinique et la prise en charge d

Plus en détail

Céphalées de tension. Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris

Céphalées de tension. Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris Céphalées de tension Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris Céphalée de tension : une maladie hétérogène La plus fréquente des céphalées primaires Diagnostic basé sur l interrogatoire Manque de spécificité

Plus en détail

Rééducation Posturale Globale

Rééducation Posturale Globale Rééducation Posturale Globale R.P.G. Créateur de la méthode : Philippe E. SOUCHARD France Petit guide à l attention de nos patients La Rééducation Posturale Globale est apparue en 1980 à la suite de plus

Plus en détail

Diabète de type 1 de l enfant et de l adolescent

Diabète de type 1 de l enfant et de l adolescent GUIDE - AFFECTION DE LONGUE DURÉE Diabète de type 1 de l enfant et de l adolescent Juillet 2007 Juillet 2007 1 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication

Plus en détail

4.03 Etat au 1 er janvier 2013

4.03 Etat au 1 er janvier 2013 4.03 Etat au 1 er janvier 2013 Moyens auxiliaires de l AI Professionnellement ou au quotidien 1 Les personnes affiliées à l AI ont droit aux moyens auxiliaires professionnellement nécessaires, ou bien

Plus en détail

Maternité et activités sportives

Maternité et activités sportives Maternité et activités sportives L obstétricien est de plus en plus souvent interrogé sur les avantages et les risques de maintenir ou de débuter une APS ou de loisir pendant la grossesse. Transformations

Plus en détail

La facturation à l acte

La facturation à l acte La facturation à l acte Michel Desrosiers, m.d., ll.b. Direction des Affaires professionnelles FMOQ La facturation à l acte Services assurés RAMQ Services assurés CSST Services «assurés» hors province

Plus en détail

OEIL ET TRAVAIL SURVEILLANCE ET PREVENTION DANS UN SERVICE MEDICAL INTERENTREPRISES MEMOIRE EN VUE DE L OBTENTION

OEIL ET TRAVAIL SURVEILLANCE ET PREVENTION DANS UN SERVICE MEDICAL INTERENTREPRISES MEMOIRE EN VUE DE L OBTENTION OEIL ET TRAVAIL SURVEILLANCE ET PREVENTION DANS UN SERVICE MEDICAL INTERENTREPRISES MEMOIRE EN VUE DE L OBTENTION DE LA CAPACITE DE MEDECINE EN SANTE AU TRAVAIL ET DE PREVENTION DES RISQUES PROFESSIONNELS

Plus en détail

PROPRIÉTÉS D'UN LASER

PROPRIÉTÉS D'UN LASER PROPRIÉTÉS D'UN LASER Compétences mises en jeu durant l'activité : Compétences générales : S'impliquer, être autonome. Elaborer et réaliser un protocole expérimental en toute sécurité. Compétence(s) spécifique(s)

Plus en détail

BAREME sur 40 points. Informatique - session 2 - Master de psychologie 2006/2007

BAREME sur 40 points. Informatique - session 2 - Master de psychologie 2006/2007 BAREME ur 40 point Informatique - eion 2 - Mater de pychologie 2006/2007 Bae de donnée PRET de MATERIEL AUDIO VISUEL. Remarque : Le ujet comporte 7 page. Vérifier qu il et complet avant de commencer. Une

Plus en détail

TOUT CE QU IL FAUT SAVOIR SUR LE CONTRAT RESPONSABLE ET LA GÉNÉRALISATION DE LA COMPLÉMENTAIRE SANTÉ

TOUT CE QU IL FAUT SAVOIR SUR LE CONTRAT RESPONSABLE ET LA GÉNÉRALISATION DE LA COMPLÉMENTAIRE SANTÉ TOUT CE QU IL FAUT SAVOIR SUR LE CONTRAT RESPONSABLE ET LA GÉNÉRALISATION DE LA COMPLÉMENTAIRE SANTÉ SOMMAIRE LA GÉNÉRALISATION DE LA COMPLÉMENTAIRE SANTÉ 05 DES GARANTIES MINIMALES... 06... ET DES RÈGLES

Plus en détail

Place et conditions de réalisation de la polysomnographie et de la polygraphie respiratoire dans les troubles du sommeil

Place et conditions de réalisation de la polysomnographie et de la polygraphie respiratoire dans les troubles du sommeil TEXTE COURT DU RAPPORT D ÉVALUATION TECHNOLOGIQUE Place et conditions de réalisation de la polysomnographie et de la polygraphie respiratoire dans les troubles du sommeil Mai 2012 Service évaluation des

Plus en détail

Les céphalées aux urgences. G Demarquay Hôpital Croix-Rousse Service Neurologie

Les céphalées aux urgences. G Demarquay Hôpital Croix-Rousse Service Neurologie Les céphalées aux urgences G Demarquay Hôpital Croix-Rousse Service Neurologie Céphalées et urgences Pathologie très fréquente dans la population générale ; 5 ième motif de consultation aux urgences (Minen

Plus en détail

Garder la tête froide en cas de maladie. Assurance perte de salaire selon la LCA.

Garder la tête froide en cas de maladie. Assurance perte de salaire selon la LCA. Garder la tête froide en cas de maladie. Assurance perte de selon la LCA. Désormais, tout devient plus simple. Avec Sympany. Sympany. L assurance qui fait la différence. Sympany est la première assurance

Plus en détail

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86 LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT

Plus en détail

Journal de la migraine

Journal de la migraine Sandoz Pharmaceuticals SA Hinterbergstrasse 24 6330 Cham 2 Tél. 041 748 85 85 Fax 041 748 85 86 www.generiques.ch a Novartis company 50001252/mars 2008 Journal de la migraine avec le questionnaire sur

Plus en détail

neurogénétique Structures sensibles du crâne 11/02/10 Classification internationale des céphalées:2004

neurogénétique Structures sensibles du crâne 11/02/10 Classification internationale des céphalées:2004 11/02/10 Structures sensibles du crâne neurogénétique Cheveux Cuir chevelu Tissu sous cutané Périoste Os Dure mère Méninges molles Cerveau vaisseaux MIGRAINE:PHYSIOPATHOLOGIE MIGRAINE:PHYSIOPATHOLOGIE

Plus en détail

My Custom Design ver.1.0

My Custom Design ver.1.0 My Custom Design ver.1.0 Logiciel de création de données de broderie Mode d emploi Avant d utiliser ce logiciel, veuillez lire attentivement ce mode d emploi pour bien l utiliser correctement. Conservez

Plus en détail

Dr FOUGERAIS Guillaume, formateur Génération Implant, Nantes.

Dr FOUGERAIS Guillaume, formateur Génération Implant, Nantes. La photographie intra buccale : méthode de réalisation. Dr FOUGERAIS Guillaume, formateur Génération Implant, Nantes. La photographie numérique est un formidable outil de communication pour nos patients

Plus en détail

Les postes de travail informatisés

Les postes de travail informatisés Les postes de travail informatisés Informations importantes pour votre bien-être Lorsque vous travaillez sur écran, ressentez-vous fréquemment des douleurs? Vous arrive-t-il par exemple d avoir les yeux

Plus en détail

Démarche de prévention des TMS et outils pour l action

Démarche de prévention des TMS et outils pour l action Démarche de prévention des TMS et outils pour l action Ce document a pour objet de présenter de manière synthétique la démarche de prévention des TMS du membre supérieur avec des outils opérationnels permettant

Plus en détail

Lecture critique et pratique de la médecine

Lecture critique et pratique de la médecine 1-00.qxp 24/04/2006 11:23 Page 13 Lecture critique appliquée à la médecine vasculaireecture critique et pratique de la médecine Lecture critique et pratique de la médecine Introduction Si la médecine ne

Plus en détail

Astigmatisme et micro-incision

Astigmatisme et micro-incision 10 119 P. LEVY Clinique Saint-Roch, MONTPELLIER. levy.34@free.fr L e temps où la préoccupation principale, voire unique, du chirurgien était l ablation du cristallin est révolu. Le concept de chirurgie

Plus en détail

- Santé. particuliers professionnels ENTREPRISES

- Santé. particuliers professionnels ENTREPRISES particuliers professionnels ENTREPRISES - Santé Document non contractuel à caractère publicitaire. Les garanties peuvent donner lieu à exclusions, limitations et franchises. Pr connaître le détail, l étendue

Plus en détail

Conseil International d Ophtalmologie Livret d ophtalmologie pour étudiants en Médecine

Conseil International d Ophtalmologie Livret d ophtalmologie pour étudiants en Médecine Conseil International d Ophtalmologie Livret d ophtalmologie pour étudiants en Médecine 2009 Compilé par le comité pour l enseignement Universitaire du Conseil International d Ophtalmologie. Cher étudiant

Plus en détail

Faites l expérience d une meilleure vision

Faites l expérience d une meilleure vision Faites l expérience d une meilleure vision IRIS est le plus grand réseau d optométristes, d opticiens et d ophtalmologistes au Canada répartis dans 160 boutiques et cliniques. Chaque professionnel IRIS

Plus en détail

L indépendance à chaque pas de la vie. Groupe. Votre meilleur allié. Visitez notre site : www.groupe-g2m.com

L indépendance à chaque pas de la vie. Groupe. Votre meilleur allié. Visitez notre site : www.groupe-g2m.com L indépendance à chaque pas de la vie. Votre meilleur allié. Groupe Visitez notre site : www.groupe-g2m.com : Votre meilleur allié. Dispositif médical unique Le système WalkAide est une neuro-orthèse de

Plus en détail

ACTIVTE N 2 CONTRAT D ACTIVITE NIVEAU 6 ème Objets techniques Matériaux Energies Evolution objets techniques Réalisation T.I.C DECOUVERTE DU POSTE INFORMATIQUE PRESENTATION DE L ACTIVITE Cette activité

Plus en détail

Migraine et mal de tête : des "casse-tête"

Migraine et mal de tête : des casse-tête Migraine et mal de tête : des "casse-tête" Tous concernés! De quoi s agit-il? Les migraines ne doivent pas être confondues avec les céphalées de tension, communément appelées les "maux de tête". En effet,

Plus en détail

COMPLEMENTAIRE SANTE GENERALISÉE :

COMPLEMENTAIRE SANTE GENERALISÉE : COMPLEMENTAIRE SANTE GENERALISÉE : SYNAMI S ENGAGER POUR CHACUN AGIR POUR TOUS UNE NEGOCIATION ABOUTISSANT À UNE BONNE COUVERTURE Pourquoi, pour qui? D ici au 1er Janvier 2016, la loi du 14 juin 2013 relative

Plus en détail