Engraissement. J engraisse, je gagne! FERRAND Michel
|
|
- Serge Baril
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Engraissement J engraisse, je gagne! FERRAND Michel
2 Présentation de l exploitation
3 Historique Une exploitation familiale Michel FERRAND s installe en 1989 (DJA) en GAEC avec ses parents GAEC DE LAFOND : 70 ha 40 vaches charolaises production de taurillons et de broutards un poulailler standard de 800 m²
4 Historique Evolution - départ en retraite de son père en 1994 diminution à 1 lot de volaille par an - départ en retraite de sa mère en 2003 en 2003, Michel passe exploitant individuel sur 110 ha et arrête le poulailler
5 Historique Structure actuelle ha : 17 ha céréales, 134 ha herbe - 66 vêlages (50 % d IA), 65 DPVA - 17 génisses de renouvellement par an (vêlage 35 mois) - production (en moyenne) : 60 % JB 40 % broutards 40 % génisses finies 40 % laitonnes 20 % vaches finies - 3 bâtiments (dont une étable entravée)
6 Historique Objectifs - 70 vêlages - renforcer la main d œuvre : embauche d un salarié à mi-temps - finition des animaux produits en s adaptant aux contraintes de MO, bâtiments et parcellaires - pas de gros investissements (bâtiment, matériel) - travailler sur la génétique du troupeau
7 (Groupe Puy De Dôme 730 élevages)
8 Mesure de l efficacité du troupeau A partir d un indicateur pertinent... Nombre de bovins produits / vache présente en moyenne sur 3 campagnes
9 Nombre de bovins produits pour 100 vaches en moyenne sur 3 campagnes
10 Nombre de bovins produits pour 100 vaches en moyenne sur 3 campagnes L efficacité troupeau est maîtrisée dans plus de 1 élevage sur FERRAND Michel : 93 Non Maîtrisé En Cours de Maîtrise Maîtrisé 119 élevages 182 élevages 429 élevages 16% 25% 59% Moyenne départementale 92 bovins produits
11 3 éléments principaux expliquent le niveau de l efficacité troupeau... Le nombre de veaux nés et élevés par vêlage La proportion de vaches et génisses improductives Le taux de perte adultes
12 Nombre de veaux nés et élevés par vêlage FERRAND Michel : 94,5% 440 Moyenne départementale : 95,3% Très dépendant de la mortalité des veaux (8% en moyenne) Critère maîtrisé dans près de 60% des élevages <90% 90-95% >95%
13 Nombre de veaux nés et élevés par vêlage FERRAND Michel : taux de mortalité 10,6% compensé par Prolificité 107,7% Taux de réussite : 94,5 %
14 Proportion de vaches et génisses improductives FERRAND Michel : 5,2% Non Maîtrisé En Cours de Maîtrise 341 Non Maîtrisé 189 En Cours de Maîtrise >10% 10-5% <5% 200 Maîtrisé Moyenne départementale : 15% Taux moyen départemental élevé (15%) et nettement supérieur à la tolérance seuls 27 % des élevages maîtrisent ce critère
15 Taux de perte adultes FERRAND Michel : 0,6% Non Maîtrisé En Cours de Maîtrise
16 Répartition des vêlages FERRAND Michel 25 Vêlages /100jrs : 74% Vêlages tardifs : 10,5% août sept oct nov dec jan fev mars avril mai juin juill Date moyenne de vêlages : 13 janvier
17 Le Renouvellement du troupeau Proportion de 1 er vêlages : 18,5% Taux d élimination après 1 er vêlages : 4,7% Proportion de vaches de plus de 8ans au vêlage : 12%
18 Efficacité troupeau Productivité animale Performances troupeau
19 Production Brute de Viande Vive Catégories Effectifs Poids Prix Ventes Principales Jeunes Bovins kg carc 3,82 /kg carc Taurillons Herbagers kg carc 3,84 /kg carc Broutards primipares kg vif 2,48 /kg Broutards tardifs kg vif 2,49 /kg Vaches Finies kg carc 3,82 /kg Génisse Finie kg carc 4,01 /kg Broutardes kg vif 2,49 /kg Achat + Variation inventaire Production brute de viande vive 46,7 Tonnes
20 Production Brute de Viande Vive Production de viande vive : Productivité animale : FERRAND Michel : 380 kg/ugb Groupe Puy De Dôme : 312 kg/ugb
21 Leviers d amélioration de la productivité animale Production brute de viande vive et efficacité troupeau 320 FERRAND Michel : 380 kg/ugb kg/ugb non maîtrisé en cours de maîtrise maîtrisé < >92 nb de bovins produits pour 100 va Efficacité troupeau : corrélation importante avec la production brute de viande vive FERRAND Michel : 93
22 Productivité et Performance du troupeau Performance : 486 kgc Performance % 28% FERRAND Michel Productivité : Productivité Productivité % Performance 31% Niveau de maîtrise technique élevé en Productivité troupeau (93 bovins produits pour 100 vaches) et Performance troupeau (poids moyen des vaches de réformes 486 kg carcasse)
23 Résultats économiques
24 /100 kg VV Coût de production
25 Coût de production Prix de revient (en / 100 kgvv)
26 Production Brute de Viande Vive Kg bruts VV
27 Coût de production 2013
28 Groupe 2013 en Combrailles COUT DE PRODUCTION et PRODUIT BV TOTAL PAR 100 Kg vifs FERRAND Michel MOYENNE REFERENCE Travail Foncier et Capital Frais divers de gestion Bâtiments Mécanisation Frais d'élevage Appro. Des surfaces Appro. Des animaux Produit total
29 Production brute de Viande Vive (kg/exploitation)
30 La Conduite des mâles
31 La conduite des mâles en broutards ou JB 25 Lot 1 : Broutards Primipares 20 Lot 2 : Jeunes Bovins 15 Lot 3 : Taurillons Herbagers 10 Lot 4 : Broutards tardifs 5 0 août sept oct nov dec jan fev mars avril mai juin juill
32 La conduite des mâles en broutards ou JB 25 Lot 1 : Broutards Primipares Veaux nés de primipares (10 broutards mâles + 5 femelles) 5 0 août sept oct nov dec jan fev mars avril mai juin juill Naissance Vente Date 06/12/12 15/09/13 Poids GMQ 408 kg 1280 g Alimentation : Complémentation Consommation aliment 15/04/13 15/09/ kg/tête
33 La conduite des mâles en broutards ou JB 25 Lot 2 : Jeunes Bovins Veaux nés de vaches (14 Jeunes Bovins) 5 Naissance Engraissement Vente 0 août sept oct nov dec jan fev mars avril mai juin juill Date 11/12/12 22/10/13 22/04/14 Poids 370 kg 416 kg car GMQ 1030 g 1830 g Ration JB : Foin Pulpe surpressée Céréales Tourteau 28 1,5 kg 17 kg brut 3,5 kg 1,5 kg
34 La conduite des mâles en broutards ou JB Lot 3 : Taurillons Herbagers Veaux nés de vaches (14 Jeunes Bovins) 5 Naissance Sevrage Engraissement Vente 0 août sept oct nov dec jan fev mars avril mai juin juill Date 23/02/13 15/12/13 08/09/14 08/01/15 Poids 310 kg 550 kg 489 kg car GMQ 890 g 890 g 2080 g Ration broutards (hiver 1) : Foin + Enrubannage Ration JB : Foin Pulpe surpressée Céréales Tourteau 28 1,5 kg 17 kg brut 5 kg 1,5 kg
35 La conduite des mâles en broutards ou JB Lot 4 : Broutards tardifs 10 Veaux tardifs (9 broutards + 4 femelles) 5 0 août sept oct nov dec jan fev mars avril mai juin juill Naissance Vente Date 08/05/13 18/02/14 Poids GMQ 414 kg 1295 g Alimentation : Complémentation Consommation aliment 18/09/13 18/02/ kg/tête
36 Acte de production Jeunes bovins à partir de broutards
37 Acte de production Quel est l intérêt économique de produire des jeunes bovins de 425 kg de carcasse vendus d avril à juin à partir de broutards de 360 kg vifs commercialisables d août à octobre?
38 Acte de production Des écarts de prix qui fluctuent selon les évolutions des marchés du maigre (export Italie) et du JB fini.
39 Acte de production Un niveau de charges en lien direct avec le prix des céréales très volatile ces dernières années.
40 Acte de production Forte baisse de l efficacité économique en 2013 en raison de la hausse du coût alimentaire et de la baisse de l écart de prix
41 Acte de production Et si les broutards sont plus tardifs?
42 Acte de production Quel est l intérêt économique de produire des jeunes bovins de 420 kg de carcasse vendus de mai à juillet à partir de broutards de 330 kg vifs commercialisables de septembre à novembre?
43 Acte de production Ecart de prix entre le broutard et le Jeune Bovin Des écarts de prix qui fluctuent selon les évolutions des marchés du maigre (export Italie) et du JB fini.
44 Acte de production Niveau des charges Moyennes : = 416 / tête : 543 / tête Un niveau de charges en lien direct avec le prix des céréales très volatile ces dernières années.
45 Acte de production Indicateur de l intérêt économique de cette finition en EBE / tête L efficacité économique en 2013 retombe à la moyenne de ces 7 dernières années.
46 Acte de production Btd 360 kg (août-oct) JB 425 kg (avril-juin) Btd 330 kg (sept-nov) JB 420 kg (mai-juil) Intérêt économique très dépendant du prix du broutard
47 JB chez Michel FERRAND Calcul de l acte de production de JB chez Michel FERRAND (Lot 2) Quel est l intérêt économique de produire des jeunes bovins de 416 kg de carcasse vendus en avril À partir de broutards de 370 kg vifs commercialisables en octobre?
48 JB chez Michel FERRAND Broutards au sevrage (22 octobre) Poids : 370 kg vif (1030 g de GMQ) Prix de vente : 2,59 /kg vif soit 958 /broutard Taurillons (avril à 16 mois 11 jours) Poids : 416 kg carcasse (700 kg vif, 1830 g de GMQ) Prix de vente : 3,82 /kg carcasse soit 1565 /JB (taux de perte de 1,5 %) Ecart de prix (JB btd) : = 607 Durée d engraissement : 180 j (en moyenne)
49 JB chez Michel FERRAND Ration engraissement Quantité Prix soit sur 180 j Pulpe 4,6 kg MS à 128 /T MS 106 Foin 1,5 kg à 100 /T MS 27 Céréales 3,5 kg à 178 /T 112 Tourteau 1,5 kg à 352 /T 95 Coût alimentation : 340 /JB
50 JB chez Michel FERRAND Niveau des charges Alimentation 340 Paille litière (4,5 kg/j à 50 /T) 40 Anti parasitaire Autres charges opérationnelles (ficelle, commercialisation, taxes, identification) Autres charges de structure (carburant, ent mat, edf, eau, Total impôt des et charges taxes, assurance) : 425,
51 JB chez Michel FERRAND Indicateur de l intérêt économique pour la production de JB vendus de janvier à mai 2014 : = 160 EBE / tête soit 0,89 /j
52 JB chez Michel FERRAND et si les broutards sont plus tardifs? (Lot 3) Quel est l intérêt économique de produire des taurillons herbagers de 489 kg de carcasse vendus en janvier À partir de broutards de 414 kg vifs commercialisables en février? (Lot 4)
53 JB chez Michel FERRAND Broutards au sevrage (1 er Déc) Poids : 370 kg vif (1180 g de GMQ) Prix de vente : 2,57 /kg vif soit 951 /broutard Taurillons (avril à 23 mois 16 jours) Poids : 489 kg carcasse (800 kg vif, 2080 g de GMQ) Prix de vente : 3,84 /kg carcasse soit 1849,59 /JB (taux de perte de 1,5 %) Ecart de prix (JB btd) : = 898 Durée : un hiver au foin, un été au pâturage et 120 j d engraissement (en moyenne)
54 JB chez Michel FERRAND Ration hivernale foin/enrubannage Quantité Prix soit sur 160 j Foin Enrubannage 7 kg à 120 /T MS 134 Coût alimentation hiver : 134 /JB Ration été pâturage Valorisation de pâtures éloignées et isolées
55 JB chez Michel FERRAND Ration engraissement Quantité Prix soit sur 120 j Pulpe 4,6 kg MS à 128 /T MS 71 Foin 1,5 kg à 100 /T MS 18 Céréales 5 kg à 127 /T 107 Tourteau 1,5 kg à 352 /T 63 Coût alimentation : 259 /JB
56 JB chez Michel FERRAND Niveau des charges Alimentation 259 Paille litière (4,5 kg/j à 50 /T) j 50 Anti parasitaire (2) Autres charges opérationnelles (ficelle, commercialisation, taxes, identification) Autres charges de structure (carburant, ent mat, edf, eau, Total impôt des et charges taxes, assurance) : 425,
57 JB chez Michel FERRAND Indicateur de l intérêt économique pour la production de JB vendus de janvier à mai 2014 : = 370 EBE / tête soit 1,03 /j
58 Merci de votre attention
L intérêt technico-économique. avec simulations à l'appui
L intérêt technico-économique Titre de du l'engraissement diaporama des mâles avec simulations à l'appui Christèle PINEAU Institut de l'elevage Christele.Pineau@idele.fr Matthieu COUFFIGNAL ARVALIS, Institut
Plus en détailConventions de calcul pour la réalisation des cas types en agriculture biologique
Conventions de calcul pour la réalisation des cas types en agriculture biologique Conjoncture retenue pour la construction des cas-types Prix de la viande bovine Conjoncture 1 er trimestre 2012 Prix des
Plus en détailEn zones herbagères, un système spécialisé lait, tout herbe
Cas type HL 1 En zones herbagères, un système spécialisé lait, tout herbe Rouen Évreux Amiens Beauvais Arras Lille Laon Culture à faible densité d'élevage Herbagère à forte densité d'élevage Mixte à moyenne
Plus en détailCAPRINS LAITIERS + BOVINS VIANDE ENSILAGE DE MAÏS
CLBV AQMP02 CAPRINS LAITIERS + BOVINS VIANDE ENSILAGE DE MAÏS 2 UMO sur 39 ha avec 200 chèvres produisant 160 000 litres de lait et engraissement de 40 génisses Ce système se rencontre principalement dans
Plus en détailTrajectoires laitières
Trajectoires laitières Yannick PECHUZAL Lot Conseil Elevage 13 mars 2014 Cantal 2100 producteurs de lait 1000 élevages mixtes 420 ML 5 AOP fromagères Filière Collecte : 360 Ml 60% SODIAAL et assimilés
Plus en détailSystèmes bovins laitiers en Poitou-Charentes
R E F E R E N C E S Systèmes bovins laitiers en Poitou-Charentes Avril 2008 Les cas-types... mode d emploi R E F E R E N C E S Vous avez dit cas-type? Un cas-type est une exploitation représentative d'un
Plus en détailRevue des Marchés. Charles Gagné 2015-04-16
9. Revue des Marchés Charles Gagné 2015-04-16 Les faits saillants 1. Inventaires de porcs aux É.-U. ( Hogs & Pigs) Croissance de 2 % du troupeau reproducteur 2. Baisse des exportations américaines Valeur
Plus en détailRÉSULTATS DE L OBSERVATOIRE TECHNICO-ÉCONOMIQUE DU RAD Synthèse 2011 - Exercice comptable 2010
Les essentiels du Réseau agriculture durable RÉSULTATS DE L OBSERVATOIRE TECHNICO-ÉCONOMIQUE DU Synthèse 2011 - Exercice comptable 2010 Réseau d information comptable agricole du Ministère de l Agriculture,
Plus en détailProduire avec de l'herbe Du sol à l'animal
GUIDE PRATIQUE DE L'ÉLEVEUR Produire avec de l'herbe Du sol à l'animal avril 2011 BRETAGNE PAYS DE LA LOIRE SOMMAIRE Paroles d éleveurs 4 Quelle place donner à l herbe Le choix d un système fourrager 8
Plus en détailCalcul de la marge brute en production laitière
Mode d emploi : Calcul de la marge brute en production laitière Calculez la marge brute en production laitière sur votre exploitation et comparez-la avec celle d autres exploitations du même type. Utilisation
Plus en détailElevage de chevaux de trait Comtois spécialisé en circuit de vente directe Vente de poulains finis 8 à 12 mois
RÉFÉrences - Réseau Économique de la Filière Équine Haute-Loire Elevage de chevaux de trait Comtois spécialisé en circuit de vente directe Vente de poulains finis 8 à 12 mois Cet élevage de trait Comtois
Plus en détailACTION N 1 Réseau d élevages bovins laitiers en Agrobiologie
ACTION N 1 Réseau d élevages bovins laitiers en Agrobiologie Capacité d adaptation des systèmes en Agriculture Biologique aux épisodes de sécheresse AUTONOMIE ALIMENTAIRE Maître d œuvre : Chambres d Agriculture
Plus en détailBovins viande. Effectifs troupeaux et animaux par région en 2013. Total élevages. Nbre de veaux pesés en VA0. Nbre de veaux pesés en VA4
Bovins viande Effectifs troupeaux et animaux par région en 2013 Chif Régions Nbre de Nbre de Nbre de troupeaux troupeaux troupeaux adhérents adhérents suivis en en VA4 en VA0 engraissement Nbre de troupeaux
Plus en détailPOURQUOI VISIOLYS? SOMMAIRE VOUS PROPOSE : Un monde qui bouge COMPRENDRE. Analyses et adaptations SE REPÉRER SE PROJETER ET CHOISIR
POURQUOI VISIOLYS? EXPERTISE STRATÉGIE ÉCONOMIE Visiolys est né de la volonté commune des deux entreprises de conseil en élevage Clasel et Eilyps de se projeter dans un monde en pleine mutation, de permettre
Plus en détailAVEZ-VOUS PENSÉ À L ALIMENTATION À LA DÉROBÉE?
AVEZ-VOUS PENSÉ À L ALIMENTATION À LA DÉROBÉE? Traduit de: PRODUCERS MIGHT WANT TO CONSIDER CREEP FEEDING Auteur: Stephen B. Blezinger, Ph.D., PAS (Copyright 2015 Dr. Stephen B. Blezinger) Adapté en français
Plus en détailLE TRAVAIL EN ÉLEVAGE BOVIN LAIT, BOVIN VIANDE ET OVIN VIANDE
RÉSEAUX D ÉLEVAGE POUR LE CONSEIL ET LA PROSPECTIVE COLLECTION RÉFÉRENCES LE TRAVAIL EN ÉLEVAGE BOVIN LAIT, BOVIN VIANDE ET OVIN VIANDE DES RÉFÉRENCES POUR LE CONSEIL NORD-PAS-DE-CALAIS, PICARDIE ET NORMANDIE
Plus en détailDéfinition des variables présentées dans le RICA
Les termes en gras italique sont définis par ailleurs dans le lexique. Les termes en italique désignent des variables explicitement recueillies dans le Rica. A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V
Plus en détailRéférentiel Diversification 2007
Référentiel Diversification 2007 E L E V A G E D E CHAMBRES D'AGRICULTURE C H E V A U X D E T R A I T LORRAINE A R D E N N A I S CONDITION DE RÉUSSITE DU PROJET DONNÉES GÉNÉRALES Temps de travail Investissement
Plus en détailSPECIAL FINANCEMENT DE L AGRICULTURE
SPECIAL FINANCEMENT DE L AGRICULTURE L installation, la mise aux normes, le renouvellement d un matériel, ou tout autre investissement sont autant de situations ou d évènements qui nécessitent des besoins
Plus en détailProduire des veaux bio de qualité
LOIRE ATLANTIQUE GAB 44 02-40-79-46-57 gab-44@wanadoo.fr MAINE ET LOIRE GABBAnjou 02-41-37-19-39 gabbanjou@wanadoo.fr MAYENNE CIVAM Bio 53 02-43-53-93-93 La filière veaux bio est à la recherche d une certaine
Plus en détail& Que choisir. favoriser le bien-être
Label Rouge & Agriculture Biologique Que choisir pour favoriser le bien-être des animaux? Un guide des tiné au consommateur Protection mondiale des animaux de ferme Ce petit guide a pour objectif d aider
Plus en détailJournée des partenaires de la filière laitière
Journée des partenaires de la filière laitière Grands troupeaux : comment accompagner les éleveurs? Réseau bovins lait Poitou-Charentes 23 Juin 2015 Programme Grands troupeaux : état des lieux en Poitou-Charentes
Plus en détail12 mois pour un budget
12 mois pour un budget Mode d'emploi L'échéancier prévisionnel annuel Le budget mensuel avec sa feuille de route (janvier à décembre) Le bilan annuel La maîtrise du budget est indispensable pour réaliser
Plus en détailLe centre sera fermé du 20 au 31 juillet 2015
Calendrier officiel des 2015-2016 Date des 2 premières Cours de jour : Mercredi 26 août 2015 Mardi 8 septembre 2015 du 1 e juin au 8 juillet ET du 3 au 5 août 2015 Cours de soir : Inscriptions les lundis
Plus en détailIndice de sélection pour les fermes laitières biologiques en Ontario. Paola Rozzi, Ph. D.
Indice de sélection pour les fermes laitières biologiques en Ontario Paola Rozzi, Ph. D. 1. Production laitière dans les fermes biologiques ontariennes...2 1.1 Moyennes en régie biologique et à l échelle
Plus en détailCENTRE DE RECHERCHE EN SCIENCES ANIMALES DE DESCHAMBAULT. Plan HACCP bœuf qualité plus pour les bovins de boucherie
CENTRE DE RECHERCHE EN SCIENCES ANIMALES DE DESCHAMBAULT Plan HACCP bœuf qualité plus pour les bovins de boucherie Voici le Programme de salubrité des aliments à la ferme pour le bœuf- Bœuf Qualité Plus-
Plus en détailles cinq étapes pour calculer les jours d avance
À retenir l expérience, acquise grâce à ces outils, permet également une bonne évaluation de la ressource disponible. une fois les mesures réalisées, la quantité d herbe disponible pour le lot se calcule
Plus en détailRenc. Rech. Ruminants, 2006, 13
Conséquences d une maximisation de la part du pâturage sur les performances techniques d un troupeau ovin allaitant E. POTTIER (1), L. SAGOT (1), L.M. CAILLEAU (2) (1) Institut de l Élevage, Ferme Expérimentale
Plus en détailUN VEAU PAR VACHE ET PAR AN
RÉSEAUX D ÉLEVAGE POUR LE CONSEIL ET LA PROSPECTIVE COLLECTION THÉMA UN VEAU PAR VACHE ET PAR AN Pour les éleveurs allaitants dont la principale activité est de faire naître des veaux, il est primordial
Plus en détailL ensilage de maïs en Ardenne? D un point de vue alimentaire. Isabelle Dufrasne Ferme expérimentale Service de Nutrition FMV Université de Liège
L ensilage de maïs en Ardenne? D un point de vue alimentaire Isabelle Dufrasne Ferme expérimentale Service de Nutrition FMV Université de Liège Plan L ensilage de maïs en général Caractéristiques anatomiques
Plus en détailModèle de budget mensuel
Modèle de budget mensuel Ce modèle de budget a été créé pour vous aider à vous fixer un budget adapté à votre situation. Que vous épargniez en vue de votre mariage ou de l arrivée d un enfant, établir
Plus en détailOrganisation des bâtiments dans les grands troupeaux 5 exemples d organisation spatiale en Europe
Organisation des bâtiments dans les grands troupeaux 5 exemples d organisation spatiale en Europe Avril 2009 FICHES TECHNIQUES Auteur : Jacques CHARLERY Pôle Herbivores Chambres d agriculture de Bretagne
Plus en détailMarc VARCHAVSKY Conseil National CER FRANCE Olivier BOUCHONNEAU Président de CER FRANCE 49
Impact de la variabilité des prix des produits agricoles et des intrants sur les exploitations en France Marc VARCHAVSKY Conseil National CER FRANCE Olivier BOUCHONNEAU Président de CER FRANCE 49 Colloque
Plus en détailEPREUVE ECRITE D ADMISSIBILITE
CONCOURS DE RECRUTEMENT DE PROFESSEURS DE LYCEE PROFESSIONNELS AGRICOLE (PLPA) SESSION 2011 Concours : INTERNE Section : Sciences économiques et sociales et gestion Option A : Sciences économiques et sociales
Plus en détailModèle de budget mensuel
Modèle de budget mensuel Ce modèle de budget a été créé pour vous aider à vous fixer un budget adapté à votre situation. Que vous épargniez en vue de votre mariage ou de l arrivée d un enfant, établir
Plus en détailMode de calcul des critères GTE-TB
Septembre 2009 Mode de calcul des critères GTE-TB Version 1.1 Principales modifications version 1.1 / 1.0 Modification du calcul du montant des charges diverses Saisie distincte des charges Porc / FAF
Plus en détailLa vie du sol : «Les racines de la fertilité de vos cultures»
Donner à la nature les moyens d exprimer son potentiel! La vie du sol : «Les racines de la fertilité de vos cultures» BIO3G : 3 rue Basse Madeleine - BP 22-22230 MERDRIGNAC Tél : 02 96 67 41 41 - Fax :
Plus en détailLe séchage en grange du foin à l énergie solaire PAR MICHEL CARRIER AGR. CLUB LAIT BIO VALACTA
Le séchage en grange du foin à l énergie solaire PAR MICHEL CARRIER AGR. CLUB LAIT BIO VALACTA Séchage du foin en grange Séchage en grange Technique originaire des zones de montagnes Suisse Autriche Jura
Plus en détailCONSERVATION DU PATRIMOINE VIVANT DU MARAIS POITEVIN ENJEUX ET PERSPECTIVES. CREGENE: 2 rue de l église 79510 COULON 05 49 35 15 40 cregene@gmail.
CONSERVATION DU PATRIMOINE VIVANT DU MARAIS POITEVIN ENJEUX ET PERSPECTIVES CREGENE: 2 rue de l église 79510 COULON 05 49 35 15 40 cregene@gmail.com Espèces locales et territoire, un destin commun? Pâturage
Plus en détailÉCONOMIQUES OU PAS LES FOURRAGES, FAUDRAIT SAVOIR!
ÉCONOMIQUES OU PAS LES FOURRAGES, FAUDRAIT SAVOIR! CONFÉRENCIER Doris Pellerin COLLABORATEURS Guy Allard Charles Bachand Raymond Levallois Diane Gilbert Philippe Savoie La rumeur veut que les fourrages
Plus en détailmon maïs fourrage, (GNIS) rassemble toutes les parties prenantes de la filière semences française, soit 72 entreprises de sélection,
Ma vache, mon maïs fourrage, et moi 50 ans de progrès! Depuis maintenant 50 ans, le maïs fourrage a bénéficié avec succès du progrès génétique et de l innovation variétale. Il a su s inscrire durablement
Plus en détailLes systèmes équins du Grand Ouest
Les systèmes s du Grand Ouest Repères techniques et économiques 0 SOMMAIRE SOMMAIRE... PRÉSENTATION... 3 LE DISPOSITIF RÉFÉRENCES ET DE RÉSEAU ÉQUIN... 3 CONTEXTE 0 ET CONJONCTURE... 3 TYPOLOGIE NATIONALE
Plus en détailACTU ÉLEVAGE LES SOLUTIONS DE MONITORING INFO LAIT P. 8-11. INFO viande P. 12-13 N 6 - JUIN 2013. analyser ses fourrages. stratégie de sélection
INFO LAIT P. 8-11 MEILLEURES MOYENNES stratégie de sélection INFO viande P. 12-13 COMplémentation AU pâturage INFO CAPRINE P. 14 analyser ses fourrages ACTU ÉLEVAGE Le magazine d information d Élevage
Plus en détailAutodiagnostic d'exploitation préalable aux demandes d'aides aux investissements
PREFET DE LA REGION LIMOUSIN Autodiagnostic d'exploitation préalable aux demandes d'aides aux investissements A remplir par tous les demandeurs sauf les JA et les CUMA/ASA DEMANDEUR Numéro OSIRIS :...
Plus en détailDAIRYMAN aux Pays-Bas
DAIRYMAN aux Pays-Bas Frans Aarts, Wageningen-UR 15 October 2013 Le secteur laitiers Néerlandais: Une place importante Une production intensive 65% des surfaces agricoles dédiées à la production laitière
Plus en détailLa cohabitation des races ovines Ouled Jellal (OJ) et Beni Guil (BG) et développement de l'élevage ovin dans le système pastoral du Maroc Oriental
Mediterranean biodiversity as a tool for the sustainable development of the small ruminant sector: From traditional knowledge to innovation Institut Agronomique et Vétérinaire Hassan II Rabat, 16 décembre
Plus en détailCollecte et gestion de l information zootechnique
Collecte et gestion de l information zootechnique Erik Rehben (Responsable Systèmes d Information & Traçabilité Animale - Institut de l Elevage) Points abordés Seulement les ruminants, ni les porcins ni
Plus en détailLA DYNAMIQUE DES TROUPEAUX LAITIERS FRANÇAIS À L APPROCHE DE LA FIN DES QUOTAS
> Les synthèses de FranceAgriMer février 2013 numéro LAIT / 1 LA DYNAMIQUE DES TROUPEAUX LAITIERS FRANÇAIS À L APPROCHE DE LA FIN DES QUOTAS 12 12 rue rue Henri Henri Rol-Tanguy / TSA / TSA 20002 20002
Plus en détailFiches techniques : Filière Porc Fleuri
Fiches techniques : Filière Porc Fleuri FICHE TECHNIQUE 1 LE PORC FLEURI SAVOUREUX Méthode de production : RACE ET TYPE DE PORC : La viande doit provenir d un animal de type Piétrain. On entend par «type
Plus en détailLISTE DE TOUS LES CONTRATS
LISTE DE TOUS LES CONTRATS COMPORTANT UNE DÉPENSE DE PLUS DE 25 000 $ ou COMPORTANT UNE DÉPENSE DE PLUS DE 2 000 $ CONCLUS AVEC UN MÊME COCONTRACTANT LORSQUE L ENSEMBLE DE CES CONTRATS COMPORTE UNE DÉPENSE
Plus en détailNOP: Organic System Plan (OSP) / EOS: Description de l Unité Information et documents requis
TITRE NOP: Organic System Plan (OSP) / EOS: Description de l Unité Information et documents requis Selon le règlement NOP de l USDA 205.406(a), un opérateur certifié doit transmettre chaque année à son
Plus en détailPLAN DE CONTRÔLE VIANDE BOVINE ET ABATS DE RACE BLONDE D AQUITAINE LA/17/91
CERTIFICATION DE LABEL : PLAN DE CONTRÔLE Référence : LA1791 / P300-1. VIANDE BOVINE ET ABATS DE RACE BLONDE D AQUITAINE LA/17/91 Indice n 1 Page 1/63 PLAN DE CONTRÔLE VIANDE BOVINE ET ABATS DE RACE BLONDE
Plus en détailRENTABILITÉ ÉCONOMIQUE MODÈLES DE CALCUL
Faits et chiffres de l aviculture CH 2.6 RENTABILITÉ ÉCONOMIQUE MODÈLES DE CALCUL 1. Généralités sur les coûts de production et la rentabilité économique Les modèles de calcul en annexe sont à interpréter
Plus en détailMEDRIA 2013 DOSSIER DE PRESSE MEDRIA INVESTIT LA SANTÉ ANIMALE ET LANCE SON APPLICATION MOBILE
MEDRIA 2013 DOSSIER DE PRESSE MEDRIA INVESTIT LA SANTÉ ANIMALE ET LANCE SON APPLICATION MOBILE 1 2 Retrouvez-nous Au SPACE 2013 HALL 1 STAND E46 COMMUNIQUÉ DE PRESSE Depuis près de 10 ans, MEDRIA met au
Plus en détailMONITORING 100% CONNECTÉ : MEDRIA LANCE LE FEEDPHONE
MEDRIA 2014 DOSSIER DE PRESSE Alimentation-Reproduction-Santé MONITORING 100% CONNECTÉ : MEDRIA LANCE LE FEEDPHONE 1/18 COMMUNIQUÉ DE PRESSE MEDRIA lance au SPACE 2014 sa dernière innovation, le FeedPhone
Plus en détailFiche de renseignements accompagnant la demande de permis de construire en zone agricole dans le Haut-Rhin
Nom - Prénom (ou Nom de la société) : Adresse permanente : Téléphone : Email : Date de naissance: Statut juridique : s exploitation individuelle s GAEC s EARL s Autre (à préciser) Nom et Prénom du Chef
Plus en détailL agriculture luxembourgeoise en chiffres 2013
L agriculture luxembourgeoise en chiffres 2013 (données disponibles au 1 ier avril 2013) MINISTERE DE L AGRICULTURE, DE LA VITICULTURE ET DU DEVELOPPEMENT RURAL SERVICE D ECONOMIE RURALE L agriculture
Plus en détailSorgho grain sucrier ensilage L assurance sécheresses
Sorgho grain sucrier ensilage L assurance sécheresses Sorgho grain sucrier Itinéraire cultural Type de sol et préparation avant semis Le sorgho grain sucrier est relativement peu exigeant par rapport au
Plus en détailDEMANDE DE SUBVENTION 2012 PLAN DE MODERNISATION DES BATIMENTS D ELEVAGE (121 A)
Mise à jour 01 décembre 2011 DEMANDE DE SUBVENTION 2012 PLAN DE MODERNISATION DES BATIMENTS D ELEVAGE (121 A) Cette demande d aide une fois complétée constitue, avec les justificatifs joints par vos soins,
Plus en détailAccès aux services et structuration des éleveurs laitiers du département de Dagana Asstel Dagana Réflexions phase 2 Comité pilotage du 24 avril 2015
Accès aux services et structuration des éleveurs laitiers du département de Dagana Asstel Dagana Réflexions phase 2 Comité pilotage du 24 avril 2015 Un projet soutenu par : Avec la participation de : Quelques
Plus en détailDétail des cultures de l'exploitation en 2007
République et Canton de Genève Département des finances Administration fiscale cantonale Formulaire annexe à la déclaration 2007 servant à déterminer le revenu et la fortune professionnels de l'agriculture
Plus en détailCompétitivité internationale des industries françaises des filières animales
Compétitivité internationale des industries françaises des filières animales Carl Gaigné Directeur de Recherche INRA RMT Economie des filières animales Compétitivité des filières animales françaises 10/12/13
Plus en détailDes territoires laitiers contrastés
Agreste Primeur 308 Numéro 308 - décembre 203 Les exploitations laitières bovines en France métropolitaine Télécharger les données au format tableur Des territoires laitiers contrastés 77 000 exploitations
Plus en détailCALAMITES AGRICOLES GEL PRINTEMPS 2012
PRÉFET DE LA SEINE-MARITIME Direction départementale des Territoires et de la Mer Service d'economie Agricole Rouen, le 8 janvier 2013 Affaire suivie par Laurence MOUTIER Tél. : 02 32 18 94 71 Fax : 02
Plus en détailQUOI DE NEUF DANS LE NOUVEAU NRC?
QUOI DE NEUF DANS LE NOUVEAU NRC? Daniel LEFEBVRE, Ph.D., agronome PATLQ inc. Sainte-Anne-de-Bellevue Conférence préparée en collaboration avec : Doris PELLERIN, Ph.D., agronome Professeur en sciences
Plus en détailUNE OFFRE MODERNE DE BANQUE À DOMICILE
Le réseau Société Générale UNE OFFRE MODERNE DE BANQUE À DOMICILE Alain Brunet Journée Société Générale - 20 juin 2000 1 Sommaire Une utilisation massive et un impact important sur notre exploitation Une
Plus en détailUn seul système national d étiquetage. pour l industrie laitière canadienne
Un seul système national d étiquetage pour l industrie laitière canadienne Table des matières Un seul système national d étiquetage pour les sujets laitiers. 1 Le système à trois modes de lecture fonctionne
Plus en détailLa qualité des veaux produits est, avec la productivité numérique (le nombre de veaux
CIVO_PLAQUETTE_QUALITE.qxd 28/05/09 14:26 Page 1 ÉLEVEURS DE X SOUS LA POUR BIEN GAGNER VOTRE VIE AVEC VOTRE ÉLEVAGE, UN MOT D ORDRE : FAIRE DE LA QUALITÉ La qualité des veaux produits est, avec la productivité
Plus en détailII. LE PRINCIPE DE LA BASE
II. LE PRINCIPE DE LA BASE Le comportement des opérateurs (position longue ou courte) prend généralement en compte l évolution du cours au comptant et celle du cours à terme. Bien qu ils n évoluent pas
Plus en détailSurveillance des toxi infections alimentaires collectives
Nombre de foyers Surveillance des toxi infections alimentaires collectives Données de la déclaration obligatoire, 2011 En 2011, 1 153 foyers de toxi infections alimentaires collectives (Tiac) ont été déclarés
Plus en détailREUNION INFORMELLE DU BUREAU SYNDICAL SUR LE SUJET DU CENTRE D ENGRAISSEMENT DE ST MARTIAL LE VIEUX
Etaient présents titulaires ou suppléants du Bureau syndical : Christian AUDOUIN, Catherine MOULIN, Gilles PALLIER, Pierre COUTAUD, Jean-Luc LEGER, Bernard POUYAUD, Isabelle GRAND, Gérard SALVIAT, Gérard
Plus en détailCoûts des pratiques viticoles dans le Sud-Ouest en fonction de la typologie de production. Damien AMELINE, CER France Midi-Pyrénées
Coûts des pratiques viticoles dans le Sud-Ouest en fonction de la typologie de production Damien AMELINE, CER France Midi-Pyrénées 10 Damien décembre Ameline 2010 (CER France Toulouse Midi-Pyrénées) Compétitivité
Plus en détailAnnuaire(des(programmes(de(sciences(participatives( (Collectif(national(SPB(
Annuaire(des(programmes(de(sciences(participatives( (Collectif(national(SPB( FICHEDEPRESENTATIOND UNPROGRAMMEDE SCIENCESPARTICIPATIVES Afin de caractériser et présenter les programmes de sciences participatives
Plus en détailBANQUE NATIONALE DE ROUMANIE BANQUE NATIONALE DE ROUMANIE
1 La crise actuelle est caractéris risée e par le grand nombre de marchés affectés s et par la diversité des canaux de contagion Les principaux canaux de contagion pour l ECE: Canal informationnel (sentiment
Plus en détailMINISTERE DE L'AGRICULTURE DE L AGROALIMENTAIRE ET DE LA FORÊT (articles L361-1à 21 et D361-1 à R361-37 du Code rural)
MINISTERE DE L'AGRICULTURE DE L AGROALIMENTAIRE ET DE LA FORÊT (articles L3611à 21 et D3611 à R36137 du Code rural) DEMANDE D INDEMNISATION DES PERTES PROCEDURE DES CALAMITES AGRICOLES PERTES DE RECOLTE
Plus en détailRENTABILITÉ ÉCONOMIQUE MODÈLES DE CALCUL
2. Économie avicole, calculations 2.6 RENTABILITÉ ÉCONOMIQUE MODÈLES DE CALCUL 1. Généralités sur les coûts de production et la rentabilité économique Les modèles de calcul en annexe sont à interpréter
Plus en détailUn niveau de performance moyen est en général calculé à l échelle de la bande
Optimum économique du niveau en acides aminés dans les aliments pour porcs charcutiers Impact du contexte de prix des matières premières et de la conduite d élevage Un niveau de performance moyen est en
Plus en détailAGIRFINANCES. Votre partenaire Budget. Son objectif est de vous permettre d établir votre budget.
Votre partenaire Budget Ce guide vous est offert Son objectif est de vous permettre d établir votre budget. Pourquoi? Parce que sans cette étape, il n est pas possible de bien gérer son compte bancaire
Plus en détailPourquoi est-il important pour une banque de sécuriser le chiffre d affaires des entreprises agricoles?
Pourquoi est-il important pour une banque de sécuriser le chiffre d affaires des entreprises agricoles? Pourquoi est-il important pour une banque de sécuriser le chiffre d affaires des entreprises agricoles?
Plus en détailAgri-stabilité GUIDE DE DÉCLARATION DES UNITÉS PRODUCTIVES 2012
Ce guide contient toutes les informations nécessaires pour déclarer vos unités productives pour l année de participation 2012. Guide de déclaration des unités productives...p. 3 Liste des unités productives...p.
Plus en détailPour une meilleure santé
Pour une meilleure santé LA CONSOMMATION QUOTIDIENNE DE VIANDE APPORTE DES GRAISSES SATURÉES. => AUGMENTATION TAUX DE CHOLESTÉROL ET MALADIES CARDIO-VASCULAIRES. => RISQUE DE SURPOIDS ET D'OBÉSITÉ. LES
Plus en détailAide à l Utilisation du site «Mon Monitoring»
Aide à l Utilisation du site «Mon Monitoring» Mise à jour Aout 2013 Identifiant :... Mot de passe :.. Lorsque vous mettez les colliers aux animaux prenez garde à la petite flèche gravée (colorée en noir
Plus en détailDIAGNOSTIC DE DURABILITE du Réseau Agriculture Durable
DIAGNOSTIC DE DURABILITE du Réseau Agriculture Durable Guide de l utilisateur 2010 Si vous êtes amenés à utiliser cet outil, merci d indiquer votre source. Réseau agriculture durable - Inpact Bretagne
Plus en détailHEBDOMADAIRE D INFORMATIONS AGRICOLES ET RURALES «Je n'aime pas vos idées, mais je me battrai pour que vous puissiez les exprimer» (Voltaire).
Toute l équipe MASSY FRGSON BOCHAD SA 87230 CHÂLS HBDOMADAIR D INFORMATIONS AGRICOLS T RRALS «Je n'aime pas vos idées, mais je me battrai pour que vous puissiez les exprimer» (Voltaire). VNDRDI 26 DÉCMBR
Plus en détailCONVENTION. Syndicat des éleveurs limousins de la Vienne. Syndicat des éleveurs charolais de la Vienne
CONVENTION Syndicat des éleveurs limousins de la Vienne Syndicat des éleveurs charolais de la Vienne 1 Préambule La filière viande bovine subit depuis plusieurs années des crises successives, mettant beaucoup
Plus en détailREGLEMENTS POUR LE DIVISION 4- H 1. Afin de participer à la compétition, les concurrents devront être âgés de 9 à 21 ans inclusivement.
REGLEMENTS POUR LE DIVISION 4- H 1. Afin de participer à la compétition, les concurrents devront être âgés de 9 à 21 ans inclusivement. (Votre âge au 1er janvier, 2015). a. Ceux qui veulent participer
Plus en détailBREVES DU GDS 85. ont plutôt tendance
Editorial BREVES DU GDS 85 N 29 - NOVEMBRE 2010 Ne pas confondre le PSE et le SPE (Support Personnalisé d Epidémiosurveillance), ce dernier mis en place avec le GTV (Groupement Technique Vétérinaire) et
Plus en détailCoût de fabrication ou d achat. Calcul des besoins Management Industriel et Logistique (4) (2) (1) (2)
Etude de cas 1 : La société Lebreton fabrique un produit A dont la nomenclature est la suivante (les chiffres entre parenthèses indiquent le nombre de composants dans un composé de niveau immédiatement
Plus en détailConcevoir un libre-service à fourrages en bâtiment pour bovins allaitants
collection l essentiel Concevoir un libre-service à fourrages en bâtiment pour bovins allaitants Fiche technique bâtiment d élevage n 2 Depuis quarante ans, le monde de l élevage voit sa main d œuvre disponible
Plus en détailRéférences technico-économiques Palmipèdes gras. Année 2011
Références technico-économiques Palmipèdes gras Année 2011 FILIERE LONGUE : ELEVAGE 1-Les points clés de «l'atelier type» élevage d'aujourd'hui DESCRIPTIF 36 000 Volume animal /an 6 000 6 Nb de bandes
Plus en détailDe vraies perspectives d avenir Des dispositifs d accompagnement et de financements De multiples complémentarités
De vraies perspectives d avenir Des dispositifs d accompagnement et de financements De multiples complémentarités Organisateurs : Partenaires : Des outils d accompagnement Des outils de financement Zoom
Plus en détailAVANT-PROPOS. Directeur de la Division de la statistique de la FAO
AVANT-PROPOS L Annuaire statistique de la FAO fournit une sélection d indicateurs par pays sur l alimentation et l agriculture. Les données proviennent de FAOSTAT, la base de données statistique de l Organisation
Plus en détailGestion technico-économique d un atelier d engraissement bovins. Réalisateur :EL HOUSSAIN BOUICHOU Ingénieur Zootechnicien diplômé en Gestion.
Gestion Technico-économique d un atelier d engraissement bovins. Réalisateur :EL HOUSSAIN BOUICHOU Ingénieur Zootechnicien diplômé en Gestion. 0 SOMMAIRE APPROCHE SUR LA CONDUITE DES VEAUX AVANT LE SEVRAGE.
Plus en détailDossier Financier. La première partie décrit les hypothèses de fonctionnement retenues que ce soit d un point de vue organisationnel ou financier.
Dossier Financier Ce dossier complète notre dossier économique en apportant un éclairage financier sur notre projet. Il s appuie sur l organisation que nous avons mise en place et sur l expérience de démarrage
Plus en détailDECiDE, un outil pour évaluer les émissions de gaz à effet de serre (GES) et les consommations énergétiques des exploitations agricoles wallonnes
DECiDE, un outil pour évaluer les émissions de gaz à effet de serre (GES) et les consommations énergétiques des exploitations agricoles wallonnes 14 ème journée d étude des productions porcines et avicoles,
Plus en détailYves PYTHON 1, Sylvain MORVAN 2 et Dominique TRISTANT 2, Ferme expérimentale de AgroParisTech - Août 2013
Ferme expérimentale de AgroParisTech 2013 Essai CH 4 COOP DE FRANCE Déshydratation Thiverval-Grignon 78850 Evaluation des effets de deux modalités alimentaires différentes incluant de l ensilage de graminées
Plus en détail6 MARS 2013 RÉUNION D INFORMATION. Réunion d informati on 6 mars 2013
6 MARS 2013 RÉUNION D INFORMATION 1 Réunion d informati on 6 mars 2013 CONTEXTE 2012 PIB 0,0 % CROISSANCE IT +0,7 % SAAS +30 % SOURCE INSEE 2012 +2,7% 0,0% 2012 2012 2010 2011 2012 +3,8% +1,6% +7,0% +2,0%
Plus en détailL INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE ET LES ELEVAGES
L INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE ET LES ELEVAGES L élevage, comme l agriculture dans son ensemble, a connu d importantes mutations depuis le début du XXème siècle. De structures familiales, ce secteur est passé
Plus en détailConjoncture Filière cheval N 15 Juin 2014
Conjoncture Filière cheval N 15 Juin 214 L élevage : premières tendances 214 Course : baisse des juments saillies en galop, contrairement au trot Selle et poneys : la baisse des juments et ponettes saillies
Plus en détailPROCEDURE DES CALAMITES AGRICOLES ANNEE 2012
MINISTÈRE DE L'AGRICULTURE, DE L'AGRO-ALIMENTAIRE ET DE LA FORET (articles L361 1 à 21 et D361 1 à R361 37 du Code rural) DEMANDE D INDEMNISATION DES PERTES DE RECOLTE SUR LES POMMES A COUTEAU ET LES POMMES
Plus en détail