Couche limite atmosphérique
|
|
- Martine Fortin
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Couche limite atmosphérique Bruno Sportisse, CEREA, Joint Laboratory Ecole des Ponts/EDF R&D INRIA/ENPC CLIME project 2007 B. Sportisse Couche limite atmosphérique / 17
2 Définition de la CLA (m) Altitude Température( C) t= 6 heures t= 15 heures t= 24 heures FIG.: Évolution typique du profil de température au cours d une journée. B. Sportisse Couche limite atmosphérique / 17
3 CLA neutre angle(degré) 1 vitesse(ms ) altitude (m) vitesse du vent ou angle du vent FIG.: CLA neutre. B. Sportisse Couche limite atmosphérique / 17
4 CLA instable Atmosphère libre Température potentielle Couche d entraînement Couche mélangée Module du vent Couche de surface FIG.: CLA instable. Source : [DMV]. B. Sportisse Couche limite atmosphérique / 17
5 CLA stable Température potentielle Couche non turbulente Module du vent Jet de basse couche Couche d inversion Couche de surface FIG.: CLA stable. Source : [DMV]. B. Sportisse Couche limite atmosphérique / 17
6 Évolution de la stabilité z atmosphère libre inversion (stable) stable instable isotherme adiabatique nuit matin après midi T FIG.: Profil idéalisé de température et évolution de la stabilité de la CLA au cours d une journée. La température au sol augmente en cours de journée puis diminue au cours de la nuit. Les profils à «gauche» (respectivement à «droite») du profil adiabatique correspondent à des situations stables (respectivement instables). B. Sportisse Couche limite atmosphérique / 17
7 Évolution de la CLA Troposphère libre Couche résiduelle Couche convective Couche convective Couche de surface Couche stable midi coucher du Soleil lever du Soleil temps FIG.: Évolution de la stabilité de la CLA au cours de la journée. Source : [Stu88] (crédit : Vivien Mallet, CEREA). B. Sportisse Couche limite atmosphérique / 17
8 Turbulence FIG.: Visualisation de la turbulence. Écoulement dans la soufflerie de l École centrale de Lyon autour de la maquette de la centrale nucléaire du Bugey. Crédit : École centrale de Lyon et Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (Olivier Isnard). B. Sportisse Couche limite atmosphérique / 17
9 Turbulence Concentration Temps (s) FIG.: Évolution de la concentration d un traceur dans un écoulement turbulent. La concentration est mesurée en un point de l écoulement présenté à la figure 7. Crédit : École centrale de Lyon et Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire. B. Sportisse Couche limite atmosphérique / 17
10 Hauteur de mélange FIG.: Évolution de la hauteur de mélange diagnostiquée par le système POLYPHEMUS sur la base des données de l ECMWF (European Centre for Medium-Range Weather Forecasts). Moyenne sur l Europe à compter du 22 avril Crédit : Vivien Mallet, CEREA. B. Sportisse Couche limite atmosphérique / 17
11 CLS m) (en z cas instable cas neutre cas stable u/u FIG.: Profil adimensionné de vitesse horizontale dans la couche limite de surface (milieu rural : z 0 = 0.1 m). B. Sportisse Couche limite atmosphérique / 17
12 CLS Ville Rural Prairie m) (en z u/u FIG.: Profil adimensionné de vitesse horizontale dans le cas neutre pour diverses hauteurs de rugosité. B. Sportisse Couche limite atmosphérique / 17
13 Brise urbaine brise de mer (jour) brise de terre (nuit) cellule de brise cellule de brise TERRE MER TERRE MER FIG.: Brises de mer et de terre. Les flèches indiquent le sens de la circulation atmosphérique. B. Sportisse Couche limite atmosphérique / 17
14 Sources urbaines s ource (Wm 2 ) Q Gaz Trafic Electricite Total Heure s ource (Wm 2 ) Q Gaz Trafic Electricite Total Heure FIG.: Évolution journalière de Q source pour la ville de Téhéran. À gauche : en été ; à droite : en hiver. Crédit : Hossein Malakooti, CEREA. B. Sportisse Couche limite atmosphérique / 17
15 Îlot de chaleur urbain Ville T Ville T Barcelone 8.2 K Calgary 8.1 K Mexico 9.4 K Montréal 10 K Moscou 9.8 K New York 11.6 K Tokyo 8.1 K Vancouver 11.6 K TAB.: Valeurs mesurées depuis une trentaine d années pour qualifier l îlot de chaleur urbain (écarts maximaux de température). Source : [Qua04]. B. Sportisse Couche limite atmosphérique / 17
16 Îlot de chaleur urbain FIG.: Mesures infrarouges (capteur NOAA-AVHRR) de l îlot de chaleur urbain sur l Île-de-France, du 4 au 13 août Température de brillance moyennée à la surface. En haut : à partir de 7 images captées entre 20 et 23 heures (TU). En bas : à partir de 10 images captées entre 12 et 14 heures (TU). Les données n étant pas corrigées pour l absorption et l émission atmosphérique et l émissivité de surface, les valeurs sont relatives (différence de température entre le milieu urbain et le milieu rural). Les échelles de température sont en degrés Celsius. Les étoiles (*) correspondent respectivement à une zone industrielle (au nord), à Paris (au centre) et au bois de Boulogne (à l ouest). Crédit : Bénédicte Dousset (laboratoire Géomer et université d Hawaii). Source : [DGM07]. B. Sportisse Couche limite atmosphérique / 17
17 Références B. Sportisse Couche limite atmosphérique / 17
Colloque des arbitres et des commissaires aux résultats Moulin mer
Colloque des arbitres et des commissaires aux résultats Moulin mer Bernard Simon- janvier 2015 Météorologie Web : Attention aux modèles utilisés dans les prévisions: (maillage / relief pris en compte/
Plus en détailPrincipes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique
Principes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique Rémy BOUET- DRA/PHDS/EDIS remy.bouet@ineris.fr //--12-05-2009 1 La modélisation : Les principes Modélisation en trois étapes : Caractériser
Plus en détailPompes à Chaleur & environnement acoustique. Recommandations pour la mise en œuvre des pompes à chaleur. Fiche technique n 1
Fiche technique n 1 Pompes à Chaleur & environnement acoustique Recommandations pour la mise en œuvre des pompes à chaleur Association Française pour les Pompes A Chaleur 1 1 Puissance et pression acoustique
Plus en détailMonitoring de surface de sites de stockage de CO 2 SENTINELLE. (Pilote CO2 de TOTAL Lacq-Rousse, France) Réf. : ANR-07-PCO2-007
Monitoring de surface de sites de stockage de CO 2 (Pilote CO2 de TOTAL Lacq-Rousse, France) SENTINELLE Réf. : ANR-07-PCO2-007 Ph. de DONATO (INPL-CNRS) (Coordonnateur) PARTENAIRES Durée : 3 ans + 7 mois
Plus en détailPanneau solaire ALDEN
SOMMAIRE 1. Présentation... 1.1. Mise en situation... 1.2. Analyse du besoin... 4 1.. Problématique... 4 1.4. Expression du besoin... 5 1.5. Validation du besoin... 5 2. Analyse fonctionnelle... 2.1. Définition
Plus en détailRosemont- La Petite-Patrie. Îlots de chaleur urbains. Tout. savoir! ce qu il faut
Rosemont- La Petite-Patrie Îlots de chaleur urbains Tout savoir! ce qu il faut Qu est-ce qu un îlot de chaleur? Un îlot de chaleur désigne une élévation localisée des températures, particulièrement des
Plus en détailINSTRUCTIONS D INSTALLATION MODÈLE 300521
INSTRUCTIONS D INSTALLATION MODÈLE 300521 WWW.BURCAM.COM 2190 Boul. Dagenais Ouest LAVAL (QUEBEC) CANADA H7L 5X9 TÉL: 514.337.4415 FAX: 514.337.4029 info@burcam.com Votre pompe a été soigneusement emballée
Plus en détailNOTICE TECHNIQUE SSC : Système Solaire Combiné eau chaude sanitaire / appui chauffage maison / appui eau chaude piscine
NOTICE TECHNIQUE SSC : Système Solaire Combiné eau chaude sanitaire / appui chauffage maison / appui eau chaude piscine «Capteur autonome eau chaude» Choix de la gamme ECOAUTONOME a retenu un capteur solaire
Plus en détailMETEOROLOGIE CAEA 1990
METEOROLOGIE CAEA 1990 1) Les météorologistes mesurent et prévoient le vent en attitude à des niveaux exprimés en pressions atmosphériques. Entre le niveau de la mer et 6000 m d'altitude, quels sont les
Plus en détailProjet SENTINELLE Appel àprojets «CO 2»Déc. 2007
Projet SENTINELLE Appel àprojets «CO 2»Déc. 2007 Philippe de DONATO Université de Lorraine/CNRS Co-auteurs: C. PRINET, B. GARCIA, H. LUCAS, Z. POKRYSZKA, S. LAFORTUNE, P. FLAMANT, F. GIBERT, D. EDOUART,
Plus en détailToits-jardins : de nouvelles possibilités à exploiter! Marie Eisenmann, cofondatrice des Urbainculteurs! BOMA Québec 28 septembre 2011!
Toits-jardins : de nouvelles possibilités à exploiter! Marie Eisenmann, cofondatrice des Urbainculteurs! BOMA Québec 28 septembre 2011! Introduction! Repenser les toits! Des surfaces à exploiter! Très
Plus en détailPremier principe de la thermodynamique - conservation de l énergie
Chapitre 5 Premier principe de la thermodynamique - conservation de l énergie 5.1 Bilan d énergie 5.1.1 Énergie totale d un système fermé L énergie totale E T d un système thermodynamique fermé de masse
Plus en détailParis-Ile de France Capitale Economique
Greater Paris Investment Agency ETUDE DE BENCHMARK LA QUALITÉ D ACCUEIL DANS LES PRINCIPALES MÉTROPOLES DU MONDE Avec le soutien de : UN BENCHMARK MONDIAL une visite mystère de 2 jours dans chaque métropole
Plus en détailUne brique dans le cartable. Du Plan à l Ouvrage
Une brique dans le cartable Du Plan à l Ouvrage Une brique dans le cartable Du plan à l ouvrage Visites et rencontres possibles - Rencontre avec un architecte o Voir la création des plans (orientation
Plus en détailMETEOROLOGIE. Aéroclub Besançon La Vèze. Cours MTO - Ivan TORREADRADO 1. F-SO au FL65 over LFQM
METEOROLOGIE Aéroclub Besançon La Vèze F-SO au FL65 over LFQM Cours MTO - Ivan TORREADRADO 1 L air L atmosphère terrestre L humidité La stabilité, l instabilité La convection/l advection Les masses d air
Plus en détailT.P. FLUENT. Cours Mécanique des Fluides. 24 février 2006 NAZIH MARZOUQY
T.P. FLUENT Cours Mécanique des Fluides 24 février 2006 NAZIH MARZOUQY 2 Table des matières 1 Choc stationnaire dans un tube à choc 7 1.1 Introduction....................................... 7 1.2 Description.......................................
Plus en détailCerea. Centre d enseignement et de recherche en environnement atmosphérique
Cerea Centre d enseignement et de recherche en environnement atmosphérique Laboratoire commun École des Ponts ParisTech / EDF R&D Université Paris-Est Le Cerea : une cinquantaine de chercheurs sur trois
Plus en détailTABLE DES MATIÈRES. Page
TABLE DES MATIÈRES Page RÉGLAGE DE L HEURE (SECOND FUSEAU) / DATE... 46 CHANGEMENT DE FUSEAU HORAIRE EN VOYAGE... 48 TABLEAU DES FUSEAUX HORAIRES... 49 AFFICHAGE DE L HEURE DANS LE MONDE... 50 AFFICHAGE
Plus en détailChapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure?
Chapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure? Plan : 1. Qu est ce que l atmosphère terrestre? 2. De quoi est constitué l air qui nous entoure? 3. Qu est ce que le dioxygène? a. Le dioxygène dans la
Plus en détailToiture végétale à l ITA, un projet d étudiant qui voit grand
Toiture végétale à l ITA, un projet d étudiant qui voit grand par Brigitte Lavoie, diplomée en TPHE Valéry Simard, diplomée en PCHO Manon Tardif, professeure en Horticulture Institut de Technologie Agro-Alimentaire,
Plus en détailB- Météorologie. En présence de cumulus alignés en bande parallèles vous prévoyez un vent: R : de même direction que les alignements
B- Météorologie Nuages Brouillard Les brouillards côtiers sont du type: R : brouillard d'advection Il y a brouillard dès que la visibilité est inférieure à: R : 1 km Les facteurs favorisant l'apparition
Plus en détail-12. Dispersion atmosphérique (Mécanismes et outils de calcul)
Méthodes pour l évaluation et la prévention des risques accidentels (DRA-006) -1 Dispersion atmosphérique (Mécanismes et outils de calcul) Ministère de l Ecologie et du Développement Durable Direction
Plus en détailRapport. sur l incident survenu le 18 mars 2007 en croisière entre Lyon et Montpellier à l ATR 42-300 immatriculé F-GVZY exploité par Airlinair
N ISBN : 978-2-11-098012-0 Rapport sur l incident survenu le 18 mars 2007 en croisière entre Lyon et Montpellier à l ATR 42-300 immatriculé F-GVZY exploité par Airlinair Bureau d Enquêtes et d Analyses
Plus en détailLe Soleil. Structure, données astronomiques, insolation.
Le Soleil Structure, données astronomiques, insolation. Le Soleil, une formidable centrale à Fusion Nucléaire Le Soleil a pris naissance au sein d un nuage d hydrogène de composition relative en moles
Plus en détailCompte rendu des utilisations du calculateur TITAN au LACy
Le Laboratoire de l Atmosphère et des Cyclones (LACy) UMR (8105) Université de la Réunion CNRS Météo France 15 avenue René Cassin, 97715 Saint Denis messag.,cedex 9 Compte rendu des utilisations du calculateur
Plus en détailÀ TOI DE JOUER! VIVRE EN FRANCE L EXPLORATION DE L ESPACE. 1. Observez ces documents et cochez la bonne réponse.
A B C 1. Observez ces documents et cochez la bonne réponse. 1. Quel est l argument de tous ces documents? 4. Helios est un film L espace traditionnel La Terre en relief Les avions en noir et blanc 2. Dans
Plus en détailGrille de planification Expédition météo. Spécialiste de la cartographie Graffiti de ce que l équipe sait de la météorologie (10 minutes).
Grille de planification Expédition météo Spécialiste de l atmosphère Spécialiste des vents Spécialiste des nuages Spécialiste de la cartographie Graffiti de ce que l équipe sait de la météorologie (10
Plus en détailFUSION PAR CONFINEMENT MAGNÉTIQUE
FUSION PAR CONFINEMENT MAGNÉTIQUE Séminaire de Xavier GARBET pour le FIP 06/01/2009 Anthony Perret Michel Woné «La production d'énergie par fusion thermonucléaire contrôlée est un des grands défis scientifiques
Plus en détailLa Fusion Nucléaire (Tokamak) Nicolas Carrard Jonathan Carrier Guillomet 12 novembre 2009
La Fusion Nucléaire (Tokamak) Nicolas Carrard Jonathan Carrier Guillomet 12 novembre 2009 La matière L atome Les isotopes Le plasma Plan de l exposé Réactions nucléaires La fission La fusion Le Tokamak
Plus en détailRayonnements dans l univers
Terminale S Rayonnements dans l univers Notions et contenu Rayonnements dans l Univers Absorption de rayonnements par l atmosphère terrestre. Etude de documents Compétences exigibles Extraire et exploiter
Plus en détailLa gestion à long terme des déchets de haute activité et/ou de longue durée de vie. Options
La gestion à des déchets de haute activité et/ou de longue durée de vie Options Options possibles pour la gestion à 2 Option zéro ou statu quo : maintien de la situation actuelle Mise en forages profonds
Plus en détailL éclairage naturel première partie : Principes de base
Suzel BALEZ L5C 2007-08 L éclairage naturel première partie : Principes de base Hertzog et Partner Bât. De bureaux à Wiesbaden Plan Notions préliminaires La vision Grandeurs photométriques Le flux lumineux
Plus en détailEtablissement de cartes de vent sur le pourtour méditerranéen par simulation numérique
Etablissement de cartes de vent sur le pourtour méditerranéen par simulation numérique Etude réalisée en 2003 pour le compte de l Office National des Forêts Eric Delboulbé, Docteur en Mécanique des Fluides
Plus en détailDEMYSTIFIONS L EMAGRAMME, LE «TEMP» ET L ECHAUFFEMENT DE L ATMOSPHERE, première partie.
DEMYSTIFIONS L EMAGRAMME, LE «TEMP» ET L ECHAUFFEMENT DE L ATMOSPHERE, première partie. Après parution de mon article sur les modèles numériques dans le «Swiss Glider» d avril, qui parlait entre autres
Plus en détailLE RÉSEAU INTERNATIONAL D IMPLANTATION D ENTREPRISES BIENVENUE DANS VOTRE NOUVEAU BUREAU D AFFAIRES.
LE RÉSEAU INTERNATIONAL D IMPLANTATION D ENTREPRISES BIENVENUE DANS VOTRE NOUVEAU BUREAU D AFFAIRES. NEW YORK SILICON VALLEY ATLANTA SAO PAULO OUAGADOUGOU DUBAI SHANGHAI ISTAMBUL MOSCOU CASABLANCA LYON
Plus en détailInstallations classées pour la protection de l'environnement Campagne de mesure de bruit SOMMAIRE I. OBJET DE L ETUDE... 3
SOMMAIRE I. OBJET DE L ETUDE... 3 II. MODE OPERATOIRE... 3 A. MATERIEL UTILISE... 3 1) Sonomètre... 3 2) Calibreur... 3 B. METHODE DE MESURE... 4 C. POSITIONNEMENT DU MATERIEL... 4 III. CAMPAGNE DE MESURE...
Plus en détailSavoir lire une carte, se situer et s orienter en randonnée
Savoir lire une carte, se situer et s orienter en randonnée Le b.a.-ba du randonneur Fiche 2 Lire une carte topographique Mais c est où le nord? Quel Nord Le magnétisme terrestre attire systématiquement
Plus en détailEnergie solaire www.euroclima.fr
Chaudières françaises fabriquées en Alsace depuis 1973 Energie solaire www.euroclima.fr E U R O C L i M A Un système complet La clé de l efficience solaire réside dans l association et l optimisation des
Plus en détailNota : le présent procès-verbal sera considéré comme accepté de tous s'il n'est fait aucune objection écrite pour le rendez-vous suivant.
Nota : le présent procès-verbal sera considéré comme accepté de tous s'il n'est fait aucune objection écrite pour le rendez-vous suivant. 2/ 7 I GENERALITES CHANTIER 1. PLANNING PREVISIONNEL POUR le 10
Plus en détailThe Tropical Warm Pool-International Cloud Experiment TWP-ICE
The Tropical Warm Pool-International Cloud Experiment TWP-ICE Darwin, Australie Du 20 janvier au 13 fevrier 2006 radiosondages Flux radiatifs de surface Flux turbulents de surface Radar CPOL Forçages déduits
Plus en détailLyon, le 17 septembre 2013
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE DIVISION DE LYON N/Réf. : CODEP-LYO-2013-052873 Lyon, le 17 septembre 2013 Monsieur le Directeur du centre nucléaire de production d'électricité du Bugey Electricité de France CNPE
Plus en détailLE MARCHE FRANCAIS ET EUROPEEN DE L ELECTRICITE. Conférence Centrale Energie, 19 Janvier 2011
LE MARCHE FRANCAIS ET EUROPEEN DE L ELECTRICITE Conférence Centrale Energie, 19 Janvier 2011 SOMMAIRE 01. Les enjeux du marché de électricité 02. L ouverture du marché de l électricité en Europe 03. Le
Plus en détailScience et technologie : Le truc de Newton
Science et technologie : Le truc de Newton Une caractéristique fondamentale de la science c est le lien étroit qui l unit à la technologie. La science cherche les règles du monde matériel et la technologie
Plus en détailAÉRIENNE UNE STRATÉGI. Organisation. n de l aviation. Montréal, 19 1.1. SOMMAIRE et à moyen terme. la surveillance. fusion de. tions du 5.3.
Organisation n de l aviation civile internationale NOTE DE TRAVAIL AN-Conf/12-WP/146 31/10/12 Français et anglais seulement 1 DOUZIÈME CONFÉRENCE DE NAVIGATION AÉRIENNE Montréal, 19 30 novembre 2012 Point
Plus en détailLA STM: ACTEUR-CLÉ DE L ÉLECTRIFICATION DES TRANSPORTS AU QUÉBEC
LA STM: ACTEUR-CLÉ DE L ÉLECTRIFICATION DES TRANSPORTS AU QUÉBEC Michel Labrecque, Président du conseil d administration Présenté à l Institut de recherche en économie contemporaine Le 10 septembre 2013
Plus en détailBREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR AGRICOLE SUJET
SESSION 2010 France métropolitaine BREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR AGRICOLE ÉPREUVE N 2 DU PREMIER GROUPE ÉPREUVE SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE Option : Génie des équipements agricoles Durée : 3 heures 30 Matériel
Plus en détailOptimiser le. succès. de vos nominations grâce à une solution. fiable, indépendante et globale
Optimiser le succès de vos nominations grâce à une solution fiable, indépendante et globale Recrutements Sélection en vue de nominations (horizon court terme) Transformations impliquant des décisions sur
Plus en détailSéquence 9. Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière
Séquence 9 Consignes de travail Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière Travaillez les cours d application de physique. Travaillez les exercices
Plus en détailRéf. : Loi n 2006-686 du 13 juin 2006 relative à la transparence et à la sécurité en matière nucléaire, notamment son article 40
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE DIVISION DE LYON Lyon, le 30 décembre 2011 N/Réf. : CODEP-LYO-2011-072087 Monsieur le Directeur du centre nucléaire de production d'électricité du Tricastin CNPE du Tricastin BP 40009
Plus en détailFLUIDES EN ÉCOULEMENT Méthodes et modèles
FLUIDES EN ÉCOULEMENT Méthodes et modèles Jacques PADET Professeur Émérite à l Université de Reims Seconde édition revue et augmentée TABLE DES MATIÈRES PRÉSENTATION Préface de la 1 ère édition Prologue
Plus en détailAu revoir, l été! Auteur inconnu
Compréhension de lecture Andrée Otte Au revoir, l été! Auteur inconnu Voilà trois semaines que nous sommes rentrés à l école. Au calendrier, nous lisons : 20 septembre. Demain commence l automne. Au revoir
Plus en détailActivité 1 : Rayonnements et absorption par l'atmosphère - Correction
Activité 1 : Rayonnements et absorption par l'atmosphère - Correction Objectifs : Extraire et exploiter des informations sur l'absorption des rayonnements par l'atmosphère terrestre. Connaitre des sources
Plus en détailFiche-conseil C5 Production d eau chaude sanitaire
Service d information sur les économies d énergie Fiche-conseil C5 Production d eau chaude sanitaire 1 Préparation de l eau chaude sanitaire 2 1) Différents systèmes de production A Chaudière combinée
Plus en détailFiltres pour gaz et air. GF/1: Rp 1/2 - Rp 2 GF/3: DN 40 GF/4: DN 50 - DN 100 GF: DN 125 - DN 200
Filtres pour gaz et air GF/1: Rp 1/2 - Rp 2 GF/3: DN 40 GF/4: DN 50 - DN 100 GF: DN 125 - DN 200 11.02 Printed in Germany Edition 02.13 Nr. 225 676 1 8 Technique Filtres pour l'alimentation en gaz dans
Plus en détailLa cuisine de rue à Montréal : enjeux et réflexions
Commission permanente sur le développement économique et urbain et l habitation La cuisine de rue à Montréal : enjeux et réflexions Consultation publique Octobre 2012 MONTRÉAL : qu est-ce que la cuisine
Plus en détailAuscultation, diagnostic et surveillance des sols, structures et réseaux
Auscultation, diagnostic et surveillance des sols, structures et réseaux Des ingénieurs spécialisés enrichissant depuis plus de 15 ans une expérience unique du Géoradar et des techniques non destructives.
Plus en détailAPPLICATION THOMSON HEALTHCARE GUIDE D UTILISATION
APPLICATION THOMSON HEALTHCARE GUIDE D UTILISATION Créer son profil 2 Autorisation Health Kit (sous ios 8 uniquement) Autoriser Thomson Healthcare à écrire et à lire des données de santé 3 Création Profil
Plus en détailPrincipe de fonctionnement de la façade active Lucido. K:\15.Lucido \Dossier d'envoi\annexe\2011_12_explicatif du principe de la façade Lucido.
Principe de fonctionnement de la façade active Lucido K:\15.Lucido \Dossier d'envoi\annexe\2011_12_explicatif du principe de la façade Lucido.doc 0. Préambule Le présent document est élaboré dans le but
Plus en détailContrôle des installations nucléaires de base. Inspection n INSSN-CAE-2012-0634 du 15 février 2012.
REPUBLIQUE FRANCAISE Division de Caen Hérouville-Saint-Clair, le 20 février 2012 N/Réf. : CODEP-CAE-2012-008140 Monsieur le Directeur de l Aménagement de Flamanville 3 BP 28 50340 FLAMANVILLE OBJET : Contrôle
Plus en détailL équilibre offre-demande d électricité en France pour l été 2015
L équilibre offre-demande d électricité en France pour l été 2015 Synthèse Juin 2015 Sommaire Analyse globale 4 1. Prévision de consommation 5 2. Disponibilité du parc de production 7 3. Étude du risque
Plus en détailBachelors Technologiques
Bachelors Technologiques Mines et Carrières - Gestion et Maintenance de Parc de Matériels de Travaux Publics - QHSE Qualité Hygiène Sécurité Environnement www.2ie-edu.org Institut International d Ingénierie
Plus en détailNotions de base sur l énergie solaire photovoltaïque
I- Présentation Notions de base sur l énergie solaire photovoltaïque L énergie solaire photovoltaïque est une forme d énergie renouvelable. Elle permet de produire de l électricité par transformation d
Plus en détailÉtude et modélisation des étoiles
Étude et modélisation des étoiles Étoile Pistol Betelgeuse Sirius A & B Pourquoi s intéresser aux étoiles? Conditions physiques très exotiques! très différentes de celles rencontrées naturellement sur
Plus en détaila. La masse de Jeans b. Le support des nuages moléculaires -Séquence Principale (PMS)
VI. L évolution stellaire (un aperçu) 1. Les polytropes 2. L initialisation de la formation stellaire a. La masse de Jeans b. Le support des nuages moléculaires 3. La contraction pré-s -Séquence Principale
Plus en détailPROJET ACCLIMATE ETUDE SIM-CLIM THEME 3 Etude bilan des possibilités d une simulation climatique régionale
Commission de l Océan Indien Projet ACCLIMATE 1 PROJET ACCLIMATE ETUDE SIM-CLIM THEME 3 Etude bilan des possibilités d une simulation climatique régionale Résumé Commission de l Océan Indien Projet ACCLIMATE
Plus en détailLe but de la radioprotection est d empêcher ou de réduire les LES PRINCIPES DE LA RADIOPROTECTION
LES PRINCIPES DE LA RADIOPROTECTION TOUT PUBLIC 1. Source de rayonnements ionisants 2. Les différents rayonnements ionisants et leur capacité à traverser le corps humain 3. Ecran de protection absorbant
Plus en détailL inégale répartition de l énergie solaire est à l origine des courants atmosphériques
L inégale répartition de l énergie solaire est à l origine des courants atmosphériques I/ Objectif : Dans la partie 2 du programme de seconde «enjeux planétaires contemporains : énergie et sol», sous partie
Plus en détailDes solutions de sécurité pour votre entreprise
Des solutions de sécurité pour votre entreprise Rondes Assistance à l ouverture/fermeture Rondes extérieures et/ou intérieures Ronde 12h-14h Ronde d ouverture/fermeture Intervention sur alarme Installation
Plus en détailLes Cheminements piétons
Les Cheminements piétons 2 Les cheminements Le cheminement usuel doit être le plus court possible. Il lie entre eux tous les maillons de la vie sociale. Domicile Services publics Écoles Transports Travail
Plus en détailLes hotels ne vivent pas que la nuit...
Les hotels ne vivent pas que la nuit... Lancé à Paris en 2010 par David Lebée, Day Use est la première centrale de réservation d un nouveau genre permettant de louer, pour quelques heures (entre trois
Plus en détailSemestre HPC. Violaine Louvet. Institut Camille Jordan - CNRS louvet@math.univ-lyon1.fr. Labex MILyon, Printemps 2016
Semestre HPC Violaine Louvet Institut Camille Jordan - CNRS louvet@math.univ-lyon1.fr Labex MILyon, Printemps 2016 V. Louvet (ICJ) Semestre HPC Printemps 2016 1 / 9 Présentation du semestre Modélisation
Plus en détailSCP d Architecture et d Aménagement du Territoire DESCOEUR F & C 49 rue des Salins, 63000 Clermont Fd. 7 juin 2010
SCP d Architecture et d Aménagement du Territoire DESCOEUR F & C 49 rue des Salins, 63000 Clermont Fd Commune de Coulandon CONTRATT COMMUNAL D AMENAGEMENT DE BOURG FICHE ACTION 1 Aménagement de la route
Plus en détailPhénomènes dangereux et modélisation des effets
Phénomènes dangereux et modélisation des effets B. TRUCHOT Responsable de l unité Dispersion Incendie Expérimentations et Modélisations Phénomènes dangereux Description et modélisation des phénomènes BLEVE
Plus en détail1 222 rue de l Université 75343 PARIS 07 téléphone 01 56 61 71 01
Questionnaire sur les conditions générales d accueil et de conservation d œuvres dans le cadre d un prêt Institution : Adresse : Téléphone /Fax : Email : Date : Questionnaire rempli par (nom et qualité)
Plus en détailDROUHIN Bernard. Le chauffe-eau solaire
DROUHIN Bernard Le chauffe-eau solaire DROUHIN Bernard Le chauffe-eau solaire Principe de fonctionnement Les Capteurs Les ballons Les organes de sécurité Les besoins L ensoleillement dimensionnement Comment
Plus en détail5 >L énergie nucléaire: fusion et fission
LA COLLECTION > 1 > L atome 2 > La radioactivité 3 > L homme et les rayonnements 4 > L énergie 6 > Le fonctionnement d un réacteur nucléaire 7 > Le cycle du combustible nucléaire 8 > La microélectronique
Plus en détailINTRODUCTION PRÉSENTATION AUX CITOYENS 28 AOÛT. - Propriétaire du 3500 St-Jacques
INTRODUCTION PROJETS DANS LE SUD OUEST - Propriétaire du 3500 St-Jacques Bureau Bureau Commercial - Expertise en développement de projets immobiliers et gestion de propriétés - Équipe formée d architectes,
Plus en détail1- Durant votre vol, vous entrez dans un thermique. Décrivez, par un schéma simple, l incidence sur votre voile.
QUESTIONS OUVERTES POUR LE BREVET DE PILOTE CONFIRME, SUR LES THEMES «Mécanique de vol/aérodynamique», «réglementation/espace aérien», «météo/aérologie», «pilotage». Les questions liées au brevet de pilote
Plus en détailATTESTATION D ACCREDITATION ACCREDITATION CERTIFICATE. N 1-2122 rév. 2
Convention N 3018 Section Laboratoires ATTESTATION D ACCREDITATION ACCREDITATION CERTIFICATE N 1-2122 rév. 2 Le Comité Français d'accréditation (Cofrac) atteste que : The French Committee for Accreditation
Plus en détailFICHE DE POSE FILMS AUTOMOBILES FPP.7.3.2.Auto A 07.07 SOMMAIRE
FICHE DE POSE FILMS AUTOMOBILES FPP.7.3.2.Auto A 07.07 METHODE DE POSE ET DE DEPOSE Film de Protection Solaire FILM AUTOMOBILE MATERIEL NECESSAIRE Un PULVITRE (pulvérisateur (11 litres) Une raclette MARJO
Plus en détailInfluence de la géométrie du conducteur sur la température dans un poste sous enveloppe métallique
SYMPOSIUM DE GENIE ELECTRIQUE (SGE 14) : EF-EPF-MGE 2014, 8-10 JUILLET 2014, ENS CACHAN, FRANCE Influence de la géométrie du conducteur sur la dans un poste sous enveloppe métallique Nesrine REBZANI 1,2,3,
Plus en détailQue suis-je? Plus de 50% des GES sont sous mon contrôle et donc ma responsabilité
Que suis-je? Je détiens près de 60% des infrastructures J accueille aujourd hui plus de 60% de la population mondiale Je réunis l économie du savoir, des services, des finances sur mon territoire 1 Que
Plus en détailSommeil, fatigue au volant et jeunes conducteurs
06 NOVEMBRE 2014 Sommeil, fatigue au volant et jeunes conducteurs Roger Godbout, Ph.D. Laboratoire et Clinique du sommeil, Hôpital Rivière-des-Prairies Département de psychiatrie, Université de Montréal
Plus en détailCelestia. 1. Introduction à Celestia (2/7) 1. Introduction à Celestia (1/7) Université du Temps Libre - 08 avril 2008
GMPI*EZVI0EFSVEXSMVIH%WXVSTL]WMUYIHI&SVHIEY\ 1. Introduction à Celestia Celestia 1.1 Généralités 1.2 Ecran d Ouverture 2. Commandes Principales du Menu 3. Exemples d Applications 3.1 Effet de l atmosphère
Plus en détailQu est-ce qui différencie une bonne photo d une mauvaise? Trois éléments sont importants : La composition L éclairage La qualité et la résolution
PRENDRE DE MEILLEURES PHOTOS 101 Par Lesley Ouimet Rien de plus facile que de prendre une photo numérique, mais c est un peu plus difficile de prendre une bonne photo numérique. Qu est-ce qui différencie
Plus en détailEnergie nucléaire. Quelques éléments de physique
Energie nucléaire Quelques éléments de physique Comment produire 1 GW électrique Nucléaire (rendement 33%) Thermique (38%) Hydraulique (85%) Solaire (10%) Vent : 27t d uranium par an : 170 t de fuel par
Plus en détailNettoyage et entretien de pistolets de laquage
Le guide pour un entretien parfait du pistolet de laquage Nettoyage et entretien de pistolets de laquage www.sata.com Les démarches - Un nettoyage de pistolets professionnel Produits hydrodiluables Attention:
Plus en détail1 Problème 1 : L avion solaire autonome (durée 1h)
Problèmes IPhO 2012 1 NOM : PRENOM : LYCEE : 1 Problème 1 : L avion solaire autonome (durée 1h) Nous souhaitons dans ce problème aborder quelques aspects de la conception d un avion solaire autonome. Les
Plus en détailProjets proposés par le Laboratoire de Physique de l'université de Bourgogne
Projets proposés par le Laboratoire de Physique de l'université de Bourgogne Titre : «Comprendre la couleur» Public : Collégiens, Lycéens. Nombre de participants : 5 à 10 (10 Maxi ) Lieu : Campus Universitaire
Plus en détailNET BOX DATA Télégestion d'équipements via Internet & Intranet
MANUEL SIMPLIFIEDE L UTILISATEUR ------------------------------------------- Système de réservation de place de stationnement VigiPark2.COM Réf. : DT100502 Rév. : A Date : 24/01/2006 Auteur : Christophe
Plus en détailRèglement de participation 2015
et Règlement de participation 2015 Article 1 L Association Française d Astronomie (AFA), dont le siège social est situé au 17, rue Émile Deutsch de la Meurthe 75014 Paris - France, organise la deuxième
Plus en détailL opération étudiée : le SDEF
L opération étudiée : le SDEF Situation géographique 29 Landivisiau Finistére Zone H2a Altitude : 34 m Acteurs de l opération Maitrise d ouvrage Maître d œuvre / Architecte BET Thermique SDEF Atelier 3
Plus en détailTransformation IT de l entreprise OBTENIR ENFIN UNE VUE FIABLE ET UNIFIÉE DE VOS DONNÉES, TOUT EN ALLIANT SÉCURITÉ ET AGILITÉ
Transformation IT de l entreprise OBTENIR ENFIN UNE VUE FIABLE ET UNIFIÉE DE VOS DONNÉES, TOUT EN ALLIANT SÉCURITÉ ET AGILITÉ L a multiplication des données représente une grande opportunité, encore faut-il
Plus en détailNiveaux numériques Leica DNA Des avancées qui vous mènent plus loin
Niveaux numériques Leica DNA Des avancées qui vous mènent plus loin Niveaux numériques Leica DNA l avance grâce à l expérience Avec les niveaux numériques DNA de Leica découvrez un nouveau monde d avantages
Plus en détailles outils les enjeux les applications locales Déchets ménagers : maîtrisons les impacts sur l environnement connaître pour agir
connaître pour agir Déchets ménagers : maîtrisons les impacts sur l environnement les enjeux les outils les applications locales Enjeux d une analyse environnementale et leviers d améliorations QU EST-CE
Plus en détailDYNAMIQUE DE FORMATION DES ÉTOILES
A 99 PHYS. II ÉCOLE NATIONALE DES PONTS ET CHAUSSÉES, ÉCOLES NATIONALES SUPÉRIEURES DE L'AÉRONAUTIQUE ET DE L'ESPACE, DE TECHNIQUES AVANCÉES, DES TÉLÉCOMMUNICATIONS, DES MINES DE PARIS, DES MINES DE SAINT-ÉTIENNE,
Plus en détailLe nouvel immeuble du groupe BEI : Climat interne et environnement
Le nouvel immeuble du groupe BEI : Climat interne et environnement Conçu et équipé pour s adapter aux méthodes de travail et aux exigences de communications des nouvelles technologies, le nouvel immeuble
Plus en détailBREVET D ETUDES PROFESSIONNELLES REPRESENTATION INFORMATISEE DE PRODUITS INDUSTRIELS. Epreuve EP1 Unité : UP1
Doc 1/11 BREVET D ETUDES PROFESSIONNELLES REPRESENTATION INFORMATISEE DE PRODUITS INDUSTRIELS Epreuve EP1 Unité : UP1 Analyser une pièce et produire sa maquette numérique en fonction d'un mode d'élaboration
Plus en détailVanne " Tout ou Rien" à siège incliné Type 3353
Vanne " Tout ou Rien" à siège incliné Type 3353 Application Vanne "Tout ou Rien" avec servomoteur pneumatique à piston Diamètre nominal DN 15 ( 1 2 ) à 50 (2 ) Pression nominale PN Plage de température
Plus en détailPRIME/ESSENTIAL NAVIGATION QUICK START GUIDE
PRIME/ESSENTIAL NAVIGATION QUICK START GUIDE FR Configuration initiale 1. Sélectionnez votre langue préférée, puis touchez pour confirmer la sélection. Vous pourrez la modifier par la suite dans les paramètres
Plus en détail