5 février 2015 N amahoro!
|
|
- Rodolphe Gauthier
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 5 février 2015 N amahoro!
2 Université de Ngozi INSTITUTE UNIVERSITAIRE DES SCIENCES DE LA SANTE Cours de Pathologie Générale et Physiopathologie Générale 3b-INFLAMMATION AIGUE Part B (seulement figures) Les médiateurs Leçons du prof. Paolo Bellavite utilisant aussi les textes du prof. Filippo Rossi Université de Ngozi (BU)
3 MÉDIATEURS CHIMIQUES DE L INFLAMMATION Médiateurs provenant du plasma opsonization Médiateurs provenant du cellules
4 INFLAMMATION AIGUE A - Médiateurs provenant du plasma Système du Complément. Consiste en 20 facteurs protéiques qui sont activés par plusieurs mécanismes. Les plus pertinents sont : la vie classique du complement la vie classique, qui est déclenchée par les complexes immuns (antigène plus anticorps) ; la vie alternée, qui est déclenchée par des substances étrangères, comme celles des surfaces microbiennes, par polysaccharides complexes, par immunoglobulines agrégées, par les tissus nécrotiques, par les corps étrangers, etc.
5 Fonctions du complement C3b et C3bi, lorsqu ils sont fixés à la paroi bactérienne, jouent le rôle d opsonine et favorisent la phagocytose par les neutrophiles et les macrophages, porteurs de récepteurs de surface au C3b. Le facteurs C5-C9 lorsque son liés à la membrane causent sa rupture (cytotoxicité, destruction des bactéries) Les C3a, C4a, C5a entraînent la vasodilatation en libérant l histamine des mastocytes, augmentent la perméabilité vasculaire, sont chimiotactiques
6 Médiateurs provenant du plasma Système des Kinines Le système des kinines fabrique des peptides vasoactifs à partir de protéines plasmatiques appelées kininogènes. Le principal médiateur est un nonapeptide, la bradykinine qui produit vasodilatation, augmentation de la perméabilité vasculaire et douleur. INFLAMMATION AIGUE
7 La cascade de la coagulation est essentiellement un processus culminant dans la formation de la fibrine, protéine fibrillaire insoluble. SCHEMA DU SYSTÈME DE LA COAGULATION Voie intrinsèque Plaquettes Plaquettes Prothrombine Fibrinogène Voie extrinsèque Thrombine Fibrine Activation Inhibition Trasformation Complexe PC-PS: proteine C proteine S (inhibiteur) ATIII: AntiTrombin 3 (inhibiteur) Plasminogène TPA Plasmine Fragments de dégradation de la fibrine (chimiotactiques) COAGULO (O TROMBO) Coagule
8 INFLAMMATION AIGUE PATHOGENESE BIOCHIMIQUE DE L INFLAMMATION AIGUË Médiateurs provenant du plasma Système de la coagulation La cascade de la coagulation est essentiellement un processus culminant dans la formation de la fibrine, protéine fibrillaire insoluble. Dans le foyer inflammatoire, des conditions favorisent l activation de la cascade de la coagulation : ce sont le ralentissement circulatoire, le dommage de l endothélium, l extravasion de facteurs plasmatiques de la coagulation comme le facteur Hageman (XII), qui est activé (XIIa) au contact du collagène et les membranes basales. Puis la fibrine est transformée en peptides qui joue un rôle important dans le processus inflammatoire: ils sont des substances chémoattractantes outrement dites chimiotactiques.
9 B - Médiateurs provenant des cellules INFLAMMATION AIGUE Toutes les cellules qui participent à l inflammation lorsqu elles sont actives peuvent produire des médiateurs.
10 INFLAMMATION AIGUE B - Médiateurs provenant des cellules Amines Vasoactives Deux amines, l histamine et la sérotonine, sont particulièrement importantes. Elles sont disponibles sous forme de stocks préexistants à l inflammation et sont parmi les premiers médiateurs libérés au cours de l inflammation.
11 Libération des granules par le mastocyte Dégranulée Normal HISTAMINE PPT 1.2
12 12
13 Schema de l activation du mastocyte Inflammation Récepteurs Complement C3a Antigènes et anticorps Anticorps IgE (lorsque in excès: allergie) camp, eicosanoides, ecc. Secretion Transduction des signaux Animation ALLERGIE Histamine Inflammation, contraction du muscle lisse (asthme, crampes)
14 INFLAMMATION AIGUE PGE2 B- Médiateurs provenant des cellules Métabolites de l acide Arachidonique : prostaglandines L acide arachidonique (qui dérive directement des sources alimentaires ou par conversion de l acide linoléique) est un acide gras polyinsaturé à 20 carbones, est présent dans les phospholipides membranaires. Il est libéré grâce à l activation de phospholipases cellulaires (phospholipase A2)
15 Formation des Métabolites de l acide Arachidonique Phospholipides Inflammation Aspirine Acide arachidonique Cyclooxygenase Lipooxygenase Phospholipase A2 glucocorticoïdes Prostaglandines Leucotrienes
16 INFLAMMATION AIGUE B-. Médiateurs provenant des cellules Monoxyde d azote (NO) L NO est un gaz soluble qui est produit par les cellules endothéliales, par les macrophages et des neurones spécifiques du cerveau. Le principal effet est la relaxation du muscle lisse vasculaire. L NO est synthétisé par une enzyme, le monoxyde d azote synthase (NOS). La production de NO par inos au niveau des macrophages activés par l endotoxine et par les cytokines est mise en jeu dans la pathogénie du choc septique.
17 INFLAMMATION AIGUE Monoxyde d azote (NO), aussi dit «oxyde nitrique»
18 INFLAMMATION AIGUE Cytokines et chimiokines Fonctions. Les cytokines peuvent être regroupées en classes, en dépendance de leurs fonctions principales. Cytokines qui contrôlent l immunité naturelle comme la réaction inflammatoire (IL-1, IL-6, TNF), les chimiokines qui activent la diapédèse des leucocytes, et les interférons α et β, qui inhibent la croissance des virus. Cytokines qui contrôlent la réponse immunitaire. Elles sont par exemple IL-2, IL-4, IL-12, interféron-γ avec effets positifs (stimulation), IL-10, TGF-β avec effets négatifs (inhibition). Cytokines qui stimulent l hémopoièse et la croissance d autres tissus (par exemple IL-3, IL-7, Facteurs de croissance (GF), Transforming Growth Factors (TGF)). Tumor Necrosis Factor
19 INFLAMMATION AIGUE B- Médiateurs provenant des cellules Substance P c est un peptide produit par les cellules des ganglions spinales postérieurs. Il fonctionne comme un neurotransmetteur central en portant la sensation du douleur viscéral profond au moelle spinale et au cerveau. Mais quand le nerve (fibre C) est stimulée par un dommage cellulaire dans les tissues conjonctifs, le nerve va a libérer de la substance P aussi dans le même tissue. La substance P alors va stimuler l inflammation (Inflammation «neurogénique») Cerveau Moelle spinale Ganglion dorsal Fibre C Mastocyte Inflammation réparation Douleur Douleur Dommage céllulaire Vaisseau sanguin Inflammation réparation
20 Control de la douleur Cerveau Moelle spinale Douleur Le fibres A-beta (violet) portent le sensation de la pression (mechanoreceptor) au moelle spinal. Dans le moelle spinale il y a des interneurones inhibiteurs qui vont à supprimer la activité des neurones qui portent la sensation du douleur viscérale profond. In rouge: un interneurone inhibiteur I= inhibition E=excitation La stimulation des senseurs de pression de la peau (par exemple avec le massage) peut diminuer le passage de la sensation du douleur viscérale profond. Plus puissant encore c est l anésthésie produite par la morphine et par les opiates (opioid peptides) (enkephalines and beta-endorphine).
21 RÉSUMÉ DES MEDIATEURS DE L INFLAMMATION AIGUE Leucocytes, plaquettes, cellules endothéliales, mastocytes (Phagocytes) Substance P Neurones + - Vasodilatation, douleur
22 TYPES D INFLAMMATION AIGUË La sévérité et les caractéristiques de la cause, le tissu impliqué et les conditions de l individu apportent des variations biochimiques et morphologiques à la réaction inflammatoire. C est pourquoi il y a de nombreux types d inflammation. Les plus fréquentes sont les inflammations: Séreuse (seulement sérum), ex. brulure Fibrineuse (beaucoup de fibrine), ex. pleurite Catarrheuse (avec catarrhe, sécrétion de la muqueuse), ex. rhinite, bronchite Purulente (formation de pus, suppuration), ex. abcès Nécrosante (nécrose causée par l inflammation), ex. pulpite dentale. 22
23 INFLAMMATION AIGUE 3. EVOLUTIONS DE L INFLAMMATION AIGUË Résolution complète. C est l évolution habituelle d une agression limitée, brève, causée par des agents faibles ou éliminables par la réaction inflammatoire, lorsqu il y a peu de destruction tissulaire et que les cellules parenchymateuses peuvent se régénérer. La résolution suppose la neutralisation ou la disparition spontanée des médiateurs chimiques, avec un retour à la perméabilité vasculaire normale, la fin de la diapédèse et de l infiltration cellulaire, la mort par apoptose des leucocytes et l élimination du liquide d œdème, des protéines, des corps étrangers et des débris nécrotiques du site inflammatoire
24 INFLAMMATION AIGUE 3. EVOLUTIONS DE L INFLAMMATION AIGUË Guérison par remplacement avec le tissu conjonctif (fibrose). Cette évolution survient après une destruction (nécrose) tissulaire franche, lorsque les tissus ne sont pas capables de se régénérer, ou lorsque la teneur en fibrine de l exsudat est abondante, que l exsudat fibrineux à la surface de la plèvre, du péritoine est proinflammatoire et que la fibrine ne peut être résorbée convenablement. Le remplacement du tissu nécrotique ou du caillot de fibrine par du tissu conjonctif néoformé (tissu de granulation, tissu fibreux), est un processus appelé organisation.
25 INFLAMMATION AIGUE 3. EVOLUTIONS DE L INFLAMMATION AIGUË Persistance comme inflammation aiguë. Lorsque l agent étiologique ne peut être éliminé parce qu il est trop fort, ou résistant, ou parce que d autres mécanismes d agression interviennent (par exemple immunologiques) la réaction inflammatoire persiste, active, et se manifeste sous plusieurs aspects, hyperémie et exsudation persistent, aussi même si souvent faibles, et les cellules sont mixtes, lymphocytes, monocytes et granulocytes. C est une forme d inflammation chronique au sens temporel qui conserve les aspects de «l angio-inflammation», c est-à-dire les phénomènes vasculaires et exsudatifs. Une forme particulière d inflammation aiguë chronicisée sont les inflammations provoquées par les germes pyogènes (staphylocoques, streptocoques, méningocoques, gonocoques, etc.) : elles sont dites purulentes. Persistance et progression en inflammation chronique (voir part 4).
26 EFFETS SYSTEMIQUES DE L INFLAMMATION Fièvre La température corporelle se mesure à l'aide d'un thermomètre médical. T. buccale : thermomètre placé dans la bouche T. rectale : bout du thermomètre placé dans le rectum via l'anus (la méthode la plus précise, traditionnellement conseillée pour les petits enfants) T. axillaire : sous le bras. Cette mesure est moins précise que la mesure rectale. Température tympanique : mesure infrarouge de la température du tympan. La température buccale et la température axillaire étant moins élevées que la température rectale, prise comme référence, des corrections doivent être appliquées (+0,5 C pour la buccale, +0,8 C pour l'axillaire
27 EFFETS SYSTEMIQUES DE L INFLAMMATION Mécanisme de la Fièvre. Les cytokines qui sont produits par les cellules inflammatoires informent le centre hypothalamique qui modifie sa fonction avec la production de prostaglandines. Cela comporte une régulation de la température du corps à un niveau plus élevé avec : la augmentation de la thermogenèse par l activation du métabolisme et les frissons la diminution de la thermo dispersion par la vasoconstriction périphérique (cutanée). Le rôle de la fièvre peut être positif parce que l augmentation de la température de quelques degrés seulement peut augmenter l efficacité des leucocytes dans la fonction bactéricide, bloquer la réplication virale, et favoriser la réponse immunologique.
28 EFFETS SYSTEMIQUES DE L INFLAMMATION Modifications du sang (cellulaires et plasmatiques), Leucocytose,c est-à-dire augmentation du nombre des globules blancs dans le sang circulant. Le nombre des leucocytes total peut augmenter de la valeur normale de mm 3 environ à mm 3 ou plus. La leucocytose peut concerner les neutrophiles dans l inflammation aiguë purulente. La leucocytose peut concerner les éosinophiles( leucocytose éosinophilique ou eosiniphilie) lorsque l inflammation est causée par des réactions allergiques ou par des infestations parasitaires. La leucocytose peut concerner l augmentation des lymphocytes dans les inflammations chroniques et dans les infections virales.
29 EFFETS SYSTEMIQUES DE L INFLAMMATION Une autre modification du sang est l augmentation de la vélocité de sédimentation des globules rouges (erythrosédimentation)
30 EFFETS SYSTEMIQUES DE L INFLAMMATION Bactéries Gram negative Médiateurs de l inflammation
Les cytokines et leurs récepteurs. Laurence Guglielmi laurence.guglielmi@univ-montp1.frli
Les cytokines et leurs récepteurs Laurence Guglielmi laurence.guglielmi@univ-montp1.frli l i@ i 1 Les cytokines et leurs récepteurs 2 mécanismes principaux d interactions cellulaires : - contact membranaire
Plus en détailSéquence 10. Le maintien de l intégrité de l organisme : quelques aspects de la réaction immunitaire. Sommaire
Séquence 10 Le maintien de l intégrité de l organisme : quelques aspects de la réaction immunitaire Sommaire Chapitre 1. Pré-requis Chapitre 2. La réaction inflammatoire, un exemple de réponse innée Chapitre
Plus en détailLa filtration glomérulaire et sa régulation
UE3-2 - Physiologie rénale Chapitre 4 : La filtration glomérulaire et sa régulation Professeur Diane GODIN-RIBUOT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.
Plus en détailAMINES BIOGENIQUES. Dopamine/Noradrénaline/Adrénaline (CATECHOLAMINES) Sérotonine/Histamine/Dopamine
AMINES BIOGENIQUES Dopamine/Noradrénaline/Adrénaline (CATECHOLAMINES) Sérotonine/Histamine/Dopamine Effets physiologiques des bioamines via le systeme nerveux autonome Cardiovasculaire: Augmentation du
Plus en détailExplorations des réponses Immunitaires. L3 Médecine
2012 Explorations des réponses Immunitaires L3 Médecine Rappel sur les réponses Immunitaires DIFFERENTS TYPES DE REPONSES IMMUNITAIRES Naturelle = innée Adaptative Non spécifique Spécifique Immédiate Barrière
Plus en détailL AUTOGREFFE QUELQUES EXPLICATIONS
L AUTOGREFFE QUELQUES EXPLICATIONS Le traitement de votre maladie nécessite une Chimiothérapie intensive. Cette chimiothérapie qui utilise de fortes doses de médicaments antimitotiques est plus efficace
Plus en détailSommaire de la séquence 8
Sommaire de la séquence 8 Nous avons découvert dans la séquence 7 que les micro-organismes sont présents partout dans notre environnement et qu à la faveur d une lésion, ils sont capables de franchir nos
Plus en détailPARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME. Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement
PARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement I- Les microbes dans notre environnement Qu est-ce qu un microbe? Où se trouvent-ils?
Plus en détailDes déficiences présentes
Des déficiences présentes Comment se fait-il que dans certains cas, le système immunitaire ne fonctionne pas convenablement? Problèmes : 1. Pourquoi certains enfants sont-ils mis sous bulle plastique?
Plus en détailinterféron ron β 1a dans le traitement des formes rémittentes de sclérose en plaques
Le mécanisme m d action d et les effets de l interfl interféron ron β 1a dans le traitement des formes rémittentes de sclérose en plaques Présentation du domaine de terminologie Fanny Jarnet Le 13 avril
Plus en détailEXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410
EXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410 EXERCICE 1 PAGE 406 : EXPERIENCES A INTERPRETER Question : rôles respectifs du thymus et de la moelle osseuse dans la production des lymphocytes.
Plus en détailTransfusions sanguines, greffes et transplantations
Transfusions sanguines, greffes et transplantations Chiffres clés en 2008 La greffe d organes est pratiquée depuis plus de 50 ans. 4 620 malades ont été greffés. 1 563 personnes ont été prélevées. 222
Plus en détailLES OMEGA 3 OU LES ACIDES GRAS ESSENTIELS D ORIGINE MARINE
LES OMEGA 3 OU LES ACIDES GRAS ESSENTIELS D ORIGINE MARINE Pourquoi les Oméga 3 : Les huiles de poisson riches en EPA et DHA constituent les principaux apports en acides gras poly-insaturés de la famille
Plus en détailLES CORTICOÏDES EN MEDECINE VETERINAIRE
1 ECOLE NATIONALE DE MEDECINE VETERINAIRE SIDI THABET Année 2014-2015 LES CORTICOÏDES EN MEDECINE VETERINAIRE PHARMACIE & TOXICOLOGIE Pr Agrégé Samir BEN YOUSSEF Dr Jamel BELGUITH Dr Rim HADIJI 2 LES CORTICOIDES
Plus en détailLASER DOPPLER. Cependant elle n est pas encore utilisée en routine mais reste du domaine de la recherche et de l évaluation.
LASER DOPPLER INTRODUCTION La technique qui utilise l effet Doppler à partir d un faisceau laser est l une des seules qui permette d enregistrer en continu le reflet de la perfusion superficielle de tissus
Plus en détailF.Benabadji Alger 22.11.13
F.Benabadji Alger 22.11.13 ALLERGIE DANS LE MONDE 4ÉME RANG MONDIAL (OMS) PROBLÈME DE SANTÉ PUBLIQUE LES CAUSES Notre environnement (industriel, technologique, scientifique et climatique) * Allergènes
Plus en détailCONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE
Ministère de l enseignement supérieur et de la recherche Ministère de la santé et des sports CONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE Valeurs biologiques usuelles Edition de Novembre 2009 (6 pages) Conseil
Plus en détailAnticorps, vaccins, immunothérapies allergéniques tout savoir sur les progrès de l immunothérapie en 20 questions
Anticorps, vaccins, immunothérapies allergéniques tout savoir sur les progrès de l immunothérapie en 20 questions De quoi se compose le système immunitaire? Chaque jour, des substances étrangères, appelées
Plus en détailLa lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002.
Le diagnostic de la tuberculose bovine La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002. 1. Tuberculination Dans la première phase d une infection de tuberculose bovine (Mycobacterium
Plus en détailSysmex Educational Enhancement & Development
Sysmex Educational Enhancement & Development Bulletin d information SEED-Afrique No 6 Le rôle du test D-dimères dans le diagnostic clinique. Introduction à la coagulation L objectif de ce bulletin est
Plus en détailCAHIER DE N 35 2005. L'inflammation
CAHIER DE N 35 2005 Biologie médicale L'inflammation Chère Consœur, Cher Confrère, Il est important aujourd hui pour moi de rendre un hommage particulier aux auteurs de ces Cahiers de formation que nous
Plus en détailMécanismes de l alloréactivité, des rejets de greffe et de la réaction du greffon contre l hôte.
Mécanismes de l alloréactivité, des rejets de greffe et de la réaction du greffon contre l hôte. Marcelo de Carvalho Bittencourt, Christophe Baron, Gilles Blancho, Myriam Labalette, Hélène Moins Teisserenc
Plus en détailCordarone et Thyroïde par François Boustani
Physiologie de la thyroïde : l hormonosynthèse thyroïdienne se fait à partir de l iode essentiellement d origine digestive et de la thyroglobuline qui est une protéine synthétisée par la thyroïde à partir
Plus en détailLE CANCER C EST QUOI? QUELLE EST LA DIFFÉRENCE ENTRE UN ORGANE NORMAL ET UN ORGANE ATTEINT PAR LE CANCER? Organe normal Organe précancéreux Cancer
LE CANCER C EST QUOI? Généralement, le cancer se présente sous la forme d une tumeur, d une masse, qui se développe dans un organe. Les tumeurs solides, qui représentent 90% de tous les cancers, se distinguent
Plus en détailLa maladie de Still de l adulte
La maladie de Still de l adulte Syndrome de Wissler-Fanconi La maladie Le diagnostic Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur Cette fiche est destinée
Plus en détailTITRE : On est tous séropositif!
PRÉPARER UNE «SITUATION COMPLEXE DISCIPLINAIRE», SITUATION D APPRENTISSAGE ET/OU D ÉVALUATION TITRE : On est tous séropositif! classe : 3 ème durée : 30 min I - Choisir des objectifs dans les textes officiels.
Plus en détailParasites externes du chat et du chien
Parasites externes du chat et du chien Identification, prévention et traitement Les tiques Les tiques transmettent des maladies parfois mortelles. La prévention est la meilleure arme. 1 - Où les trouve-t-on?
Plus en détailSoins Inrmiers aux brûlés
Soins Inrmiers aux brûlés Le 29/04/2009 1 Intro La gravité d'une brûlure dépend essentiellement de sa profondeur, de sa supercie de sa localisation et du ASA. Sa prise en charge doit être rapide pour limiter
Plus en détailMécanisme des réactions inflammatoires
01/04/2014 THOMASSIN Guillaume L2 Revêtement Cutané Dr. Sophie Deplat-Jégo Relecteur 4 8 pages Revêtement cutané Mécanisme des réactions inflammatoires cutanés Mécanisme des réactions inflammatoires Plan
Plus en détailLes anti-inflammatoires non stéro. Les antalgiques non opiacés.
Les anti-inflammatoires non stéro roïdiens et stéro roïdiens. Les antalgiques non opiacés. (bases pharmacologiques) DCEM1 Pr.. Laurent Monassier Pharmacologie DCEMI Ce que nous allons voir 1 ère partie:
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailLe rôle de l endocytose dans les processus pathologiques
UE7 Cours n 9 C. LAMAZE 24.11.11 Elise GODEAU (partie1) Guillaume MERGENTHALER (partie2) Le rôle de l endocytose dans les processus pathologiques SOMMAIRE : I. L endocytose à récepteurs : la voie des clathrines
Plus en détailVaccins du futur Atelier «Croisière dans l archipel des nouveaux vaccins»
Vaccins du futur Atelier «Croisière dans l archipel des nouveaux vaccins» Bernard Duval Institut National de Santé Publique du Québec 18 avril 2002 Objectifs Grands axes de la réponse immunitaire Conjugaison
Plus en détailCytokines & Chimiokines
Cytokines & Chimiokines I. (D après Förster, R. et al. (1999) Cell 99:23) Dans le but d étudier la régulation de la circulation des leucocytes dans l organisme, des souris déficientes pour le récepteur
Plus en détailGRANULOMATOSE SEPTIQUE CHRONIQUE
GRANULOMATOSE SEPTIQUE CHRONIQUE Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement Disponible:
Plus en détailLe psoriasis est une maladie qui touche environ 2 à 3 % de la population et qui se
Le psoriasis est une maladie fréquente Le psoriasis est une maladie qui touche environ 2 à 3 % de la population et qui se traduit le plus souvent par des plaques rouges sur la peau, légèrement surélevées
Plus en détailTableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline
Tableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline (Valeur énergétique : 38 kcal/10 g) Composition nutritionnelle Composition pour 10 g Rôle Protéines (végétales) 55 à 70 % Construction
Plus en détailCOUSIN Fabien KERGOURLAY Gilles. 19 octobre 2007. de l hôte par les. Master 2 MFA Responsable : UE Incidence des paramètres environnementaux
COUSIN Fabien KERGOURLAY Gilles 19 octobre 2007 Inhibition des défenses de l hôte par les bactéries pathogènes Master 2 MFA Responsable : UE Incidence des paramètres environnementaux Gwennola ERMEL I Détection
Plus en détailIMMUNOLOGIE. La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T. Informations scientifiques
IMMUNOLOGIE La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T Informations scientifiques L infection par le VIH entraîne des réactions immunitaires de l organisme qui se traduisent par la production
Plus en détailComplications de la transfusion
Complications de la transfusion Traditionnellement, les accidents transfusionnels sont décrits selon leur cause, immunologique, infectieuse, autre. Il est cependant plus didactique de les étudier selon
Plus en détailExposé sur la Transfusion Sanguine
Sommaire : I Histoire de la transfusion sanguine A/ Découverte des groupes sanguins B/ Premières transfusions sanguines C/ Les journées du sang II Les groupes sanguins A/ Les différents groupes B/ Déterminer
Plus en détailDossier «Maladies du sang» Mieux les connaître pour mieux comprendre les enjeux liés au don de sang
Dossier «Maladies du sang» Mieux les connaître pour mieux comprendre les enjeux liés au don de sang Maladies du sang Objectif de ce dossier Les demandes des médias portent régulièrement sur les usages
Plus en détailCibles et mécanismes d action des traitements par cytokines et anti-cytokines
Cibles et mécanismes d action des traitements par cytokines et anti-cytokines Jean Daniel Lelièvre, Yves Lévy, Pierre Miossec I-Introduction... 2 II-Les interférons... 2 II-1.L interféron... 3 II-1-a.
Plus en détailRisque infectieux et protection de l organisme
Risque infectieux et protection de l organisme 1 La menace microbienne Comment définir les microbes? Activité 1 Les micro-organismes qui nous entourent Q1. Observer la préparation du bacille de Koch ou
Plus en détailDON DE SANG. Label Don de Soi
DON DE SANG Label Don de Soi 2015 SOMMAIRE Les différents types de dons p.3 Le don de sang total Le don de plasma Le don de plaquettes Le don de moelle osseuse Que soigne-t-on avec un don de sang? p.7
Plus en détailAVERTISSEMENT. D'autre part, toute contrefaçon, plagiat, reproduction encourt une poursuite pénale.
AVERTISSEMENT Ce document est le fruit d'un long travail approuvé par le jury de soutenance et mis à disposition de l'ensemble de la communauté universitaire élargie. Il est soumis à la propriété intellectuelle
Plus en détailLA STOMATITE LYMPHOPLASMOCYTAIRE FELINE
ANNEE 2006 THESE : 06 TOU 3 4103 LA STOMATITE LYMPHOPLASMOCYTAIRE FELINE MECANISMES IMMUNOPATHOLOGIQUES ET APPLICATIONS THERAPEUTIQUES THESE pour obtenir le grade de DOCTEUR VETERINAIRE DIPLOME D ETAT
Plus en détailModule Biologie Humaine S5 Cours d Hématologie du Pr Nouzha Bouamoud TD2
Module Biologie Humaine S5 Cours d Hématologie du Pr Nouzha Bouamoud TD2 Hémoglobinopathies Drépanocytose, Thalassémie Anomalies du nombre de cellules sanguines Augmentation du nombre de cellules Maladie
Plus en détailCytokines ; Chimiokines
Cytokines ; Chimiokines I. Dans le but d étudier la régulation de la circulation des leucocytes dans l'organisme, des souris déficientes pour le récepteur CCR7 de chimiokine ont été générées par recombinaison
Plus en détailTuberculose bovine. Situation actuelle
Tuberculose bovine Situation actuelle 21 mai 2013 Dr G. Peduto Vétérinaire cantonal Service de la consommation et des affaires vétérinaires 1 Tuberculose bovine La Suisse est indemne depuis 1959 Dernier
Plus en détailLe don de moelle osseuse :
DON DE MOELLE OSSEUSE Le don de moelle osseuse : se décider aujourd hui, s engager pour longtemps LA MOELLE OSSEUSE ET SA GREFFE La moelle osseuse C est le tissu mou dans le centre du corps des os qui
Plus en détailChapitre II La régulation de la glycémie
Chapitre II La régulation de la glycémie Glycémie : concentration de glucose dans le sang valeur proche de 1g/L Hypoglycémie : perte de connaissance, troubles de la vue, voire coma. Hyperglycémie chronique
Plus en détailBIOPSIE de MOELLE OSSEUSE
BIOPSIE de MOELLE OSSEUSE Le prélèvement de moelle osseuse? La moelle osseuse, tissu hématopoïétique situé dans la cavité centrale des os, peut être prélevée de deux façons : -par ponction sternale -par
Plus en détailObserver : l'absence de noyau des hématies la petite taille des plaquettes la forme et la taille des noyaux (leucocytes) ACTIVITES ELEVES TS
4.1 La réaction inflammatoire, un exemple de réponse innée 4.1.1 Les cellules de défense au microscope optique : Par l'observation d'une goutte de sang humain au microscope, repérer chaque type de cellule
Plus en détailSérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde
1 ETSL Sérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde TP 1 GABIN-GAUTHIER 13/11/2009 I. LA MALADIE... 2 II. TECHNIQUES QUALITATIVES... 2 1. PRINCIPE... 2 2. MODE OPERATOIRE... 3 2.1. WRST ou Waaler Rose
Plus en détailOs Hyoïde. Cartilage thyroïde. Cartilage Cricoïde. Cartilage Trachéal. S ouvre à la déglutition et à l expiration
MUSCULEUSE OESOPHAGIENNE : 1/3 supérieur : Musculeuse striée longitudinale (Paroi) + S.S.O 1/3 moyen : Musculeuse striée externe longitudinale + circulaire lisse interne 1/3 inférieur : Musculeuse circulaire
Plus en détailBDL2, BDL3 Enviro Liner Part A. Dominion Sure Seal FICHE SIGNALÉTIQUE. % (p/p) Numéro CAS. TLV de l' ACGIH 28182-81-2 70-100 Non disponible
FICHE SIGNALÉTIQUE 1. PRODUIT CHIMIQUE ET IDENTIFICATION DE L'ENTREPRISE Adresse du fournisseur/distributeur : Dominion Sure Seal Group of Companies 6175, chemin Danville, Mississauga (Ontario) Canada,
Plus en détailLes nouveaux traitements du psoriasis
Les nouveaux traitements du psoriasis Ci-après, vous trouverez 3 articles, parus récemment, parmi d'autres tout aussi intéressants, dans notre bulletin trimestriel Pso Magazine: - un extrait de l'exposé
Plus en détailGUIDE DU DONNEUR. Protection santé SERVICE DU SANG
GUIDE DU DONNEUR Protection santé SERVICE DU SANG Introduction 2 Pourquoi donner un peu de Sang? Avant toute chose, les dons de sang, de plasma ou de plaquettes contribuent à sauver des vies humaines.
Plus en détailBien vous soigner. avec des médicaments disponibles sans ordonnance. juin 2008. Douleur. de l adulte
Bien vous soigner avec des médicaments disponibles sans ordonnance juin 2008 Douleur de l adulte Douleur de l adulte Ce qu il faut savoir La douleur est une expérience sensorielle et émotionnelle désagréable,
Plus en détailGUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE
GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les
Plus en détailLA MALADIE DE WALDENSTRÖM expliquée au néophyte
LA MALADIE DE WALDENSTRÖM expliquée au néophyte Comment comprendre sa maladie de Waldenström lorsque l'on est ni médecin, ni biologiste? Bernard Cornillon, biochimiste à l'inserm, a rédigé ce document
Plus en détailwww.gbo.com/bioscience 1 Culture Cellulaire Microplaques 2 HTS- 3 Immunologie/ HLA 4 Microbiologie/ Bactériologie Containers 5 Tubes/ 6 Pipetage
2 HTS 3 Immunologie / Immunologie Informations Techniques 3 I 2 ELISA 96 Puits 3 I 4 ELISA 96 Puits en Barrettes 3 I 6 en Barrettes de 8 Puits 3 I 7 en Barrettes de 12 Puits 3 I 8 en Barrettes de 16 Puits
Plus en détailAnti-Inflammatoires Non stéroïdiens
Pharmacologie Clinique des Anti-Inflammatoires Non stéroïdiens Effets indésirables Aude FERRAN Plan Toxicité digestive Ulcères» Physiopathologie : effets locaux et systémiques» Cas du cheval Augmentation
Plus en détailPRINCIPALES ETAPES DE L'HEMATOPOIESE MEDULLAIRE (lignées, maturation, voies de domiciliation tissulaire) Partie II
Le 23/09/13 SOGHOMONIAN Astrid, L2 Tissu sanguin et système immunitaire Pr Baccini 22 pages PRINCIPALES ETAPES DE L'HEMATOPOIESE MEDULLAIRE (lignées, maturation, voies de domiciliation tissulaire) Partie
Plus en détail«Boire un verre de vin par jour augmente la longévité.»
«Boire un verre de vin par jour augmente la longévité.» Boire peu pour boire longtemps. Marcel Aymé Le vin est dans notre pays synonyme de plaisir (gastronomique) ou de déchéance (alcoolique). Le débat
Plus en détailStress, système immunitaire et maladies infectieuses
Stress, système immunitaire et maladies infectieuses 1 TABLE DES MATIERES 1 LE STRESS... 4 HISTORIQUE... 4 DEFINITION... 4 DIFFERENTIATIONS... 5 Stress aigu, stress chronique... 5 Stress chronique et maladie...
Plus en détailL incompatibilité immunologique érythrocytaire
Fiches techniques des Effets Indésirables Receveurs L incompatibilité immunologique érythrocytaire Qu est ce que l incompatibilité immunologique erythrocytaire et quels en sont les mécanismes physiopathologiques?
Plus en détailRéception du tissus documentation examens sérologiques inspection préparation façonnage
Déroulement du processus Tutoplast Don de tissus accord du patient questionnaire au patient (don vivant) questionnaire aux proches du défunt (don mort) prélèvement du tissus sur le patient (ou en pathologie)
Plus en détailTD de Biochimie 4 : Coloration.
TD de Biochimie 4 : Coloration. Synthèse de l expérience 2 Les questions posées durant l expérience 2 Exposé sur les méthodes de coloration des molécules : Générique Spécifique Autres Questions Pourquoi
Plus en détailEnseignement de Virologie (part. 2) Pr. Y. BAKRI Plan du cours
Université Mohammed V-Agdal Département de Biologie Faculté des Sciences Filière SVI Semestre 4 Année Universitaire : 2004-2005 Module optionnel: Biologie Humaine (M 16.1) Elément : Parasitologie - Virologie
Plus en détailSERVICE PUBLIC FEDERAL, SANTE PUBLIQUE, SECURITE DE LA CHAINE ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT COMMISSION DE BIOLOGIE CLINIQUE RAPPORT GLOBAL
SERVICE PUBLIC FEDERAL, SANTE PUBLIQUE, SECURITE DE LA CHAINE ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT COMMISSION DE BIOLOGIE CLINIQUE SERVICE DES LABORATOIRES DE BIOLOGIE CLINIQUE COMITE DES EXPERTS RAPPORT GLOBAL
Plus en détailACIDES BASES. Chap.5 SPIESS
ACIDES BASES «Je ne crois pas que l on me conteste que l acide n ait des pointes Il ne faut que le goûter pour tomber dans ce sentiment car il fait des picotements sur la langue.» Notion d activité et
Plus en détailDr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires
Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires I. Introduction II. Les microscopes 1. Le microscope optique 2. Le microscope à fluorescence 3. Le microscope confocal 4. Le microscope électronique
Plus en détailFICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION
FICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION Madame, Monsieur, Si votre état de santé nécessite une transfusion sanguine, ce document est destiné à vous informer sur les avantages et les risques de la transfusion,
Plus en détailAcides et bases. Acides et bases Page 1 sur 6
Acides et bases Acides et bases Page 1 sur 6 Introduction Sont réputés acides et bases au sens des règles de sécurité en vigueur en Suisse, les solides ou liquides qui ont une réaction acide ou alcaline
Plus en détailQuelle place pour le test de génération de thrombine au sein du laboratoire de biologie clinique?
Quelle place pour le test de génération de thrombine au sein du laboratoire de biologie clinique? À la recherche du test «idéal» pour diagnostiquer les troubles de l hémostase C. Lecut, P. Peters, A. Gothot
Plus en détailLe sens du goût. Une infinité de saveurs.
Le sens du goût. Que serait le goût sans la vue, la mémoire, la senteur, le plaisir? Lorsqu on parle du goût, on ne pense pas toujours à l ensemble des sensations qui permettent d identifier ce que l on
Plus en détailPRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES. Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière.
PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière. 75 Pas de conflits d intérêts. Définitions Pré éclampsie Définitions
Plus en détailACTUALITES THERAPEUTIQUES. Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012
ACTUALITES THERAPEUTIQUES Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012 Traitement de fond Objectifs: Réduire le nombre de poussées Arrêter ou freiner la progression du handicap Les traitements disponibles
Plus en détailConseils aux patients* Lutter activement. *pour les patients ayant subi une opération de remplacement de la hanche ou du genou
Conseils aux patients* Lutter activement contre la thrombose *pour les patients ayant subi une opération de remplacement de la hanche ou du genou 2 Mentions légales Directeur de la publication : Bayer
Plus en détailLe VIH et votre foie
Le VIH et votre foie Le VIH et votre foie Que dois-je savoir au sujet de mon foie? Votre foie joue un rôle incroyablement important. Il filtre votre sang en éliminant les substances nocives (toxiques)
Plus en détailLes greffes de cellules souches
A qui en parler? Vous cherchez de l aide ou d autres informations? Vous avez besoin de parler? Vous cherchez des informations sur un type de cancer ou ses possibilités de traitement? Vous voulez savoir
Plus en détailFonction de conduction de la moelle épinière. Dr F. TOUMI
Fonction de conduction de la moelle épinière Dr F. TOUMI I. GENERALITES : Communication Moelle avec les centres supra spinaux Communication Intra segmentaire (ipsilatérale / controlatérale) Communication
Plus en détailPremière partie: Restitution + Compréhension (08 points)
Lycée M hamdia Année scolaire : 2011/2012 Prof : Saïd Mounir Date : 17/05/2012 Première partie: Restitution + Compréhension (08 points) EXERCIE N O 1: (4 points) : 1 : a-b 2 : b 3 : a-b 4 : d 5 : d 6 :
Plus en détailLa Greffe de Cellules Souches Hématopoïétiques
La Greffe de Cellules Souches Hématopoïétiques Professeur Ibrahim Yakoub-Agha CHRU de LILLE (Illustration de J. Cloup, extraite du CD-Rom «greffe de Moelle» réalisé par la société K Noë) La moelle osseuse
Plus en détailUNIVERSITE PARIS VAL-DE-MARNE FACULTE DE MEDECINE DE CRETEIL ********************
UNIVERSITE PARIS VAL-DE-MARNE FACULTE DE MEDECINE DE CRETEIL ******************** ANNEE 2008 N THESE POUR LE DIPLOME D ETAT DE DOCTEUR EN MEDECINE Discipline : GYNECOLOGIE OBSTETRIQUE Présentée et soutenue
Plus en détailPICT DOSAGE DES ANTICOAGULANTS 1. PEFAKIT PICT. Dosage chronométrique. PEFAKIT PiCT. PEFAKIT PiCT Calibrateur HNF. PEFAKIT PiCT Contrôles HNF
Dosage chronométrique PICT 1. PEFAKIT PICT Nombre de tests 8-505-01 coffret 80 3 flacons d activateur (2 ml) 3 flacons de réactif Start (2 ml) Mesure des anticoagulants par méthode chronométrique. 1 2
Plus en détailCoombs direct positif (et tout ce qui se cache derrière) : Gestion et interprétation. Dr J.C. Osselaer, Luxembourg, 14.12.2006
Coombs direct positif (et tout ce qui se cache derrière) : Gestion et interprétation Dr J.C. Osselaer, Luxembourg, 14.12.2006 Etiologie d'un Coombs Direct positif 1. Autoanticorps immunisation contre GR
Plus en détailUtilisation des substrats énergétiques
Utilisation des substrats énergétiques Collège des Enseignants de Nutrition Date de création du document 2010-2011 Table des matières I Les organes et les substrats... 3 I.1 Les substrats énergétiques...
Plus en détailQue sont les. inhibiteurs?
Que sont les inhibiteurs? TABLE DES MATIÈRES Publié par la Fédération mondiale de l hémophilie (FMH) Fédération mondiale de l hémophilie, 2010 La FMH encourage la redistribution de ses publications à des
Plus en détailOrientation diagnostique devant une éosinophilie 1
Orientation diagnostique devant une éosinophilie 1 Introduction L hyperéosinophilie est définie par la présence de polynucléaires éosinophiles circulants à plus de 0,5 G/l (500/µl) (quel que soit leur
Plus en détailIntroduction générale
Introduction générale Touchant près de 600 nouvelles personnes chaque année en France, la leucémie myéloïde chronique est une maladie affectant les cellules du sang et de la moelle osseuse (située au cœur
Plus en détailHTA et grossesse. Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice
HTA et grossesse Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice Définition HTA gravidique: Après 20 SA Systole> 140mmHg et/ou Diastole>90mmHg A 2 reprises séparées de plus de 6 heures Résolutive
Plus en détailCahier 7. Le soin des plaies : Principes de bases
Cahier 7 Le soin des plaies : Principes de bases Julie Vézina, Inf, M.Sc. (étudiante) Chantal Saint Pierre, Inf, Ph. D Professeure du département des sciences infirmières, UQO Graphiste : Camille Girard
Plus en détailANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER
ANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER Dr Michael Hummelsberger, Pr Jean-Gabriel Fuzibet, Service de Médecine Interne, Hôpital l Archet, CHU Nice 1. ANEMIE L étiologie de l anémie
Plus en détailTenderWet active, le pansement irrigo-absorbant unique pour une détersion active!
aide à guérir. TenderWet active, le pansement irrigo-absorbant unique pour une détersion active! Soin de plaies Tenderwet active, le pansement irrigopour la détersion efficace et pratique de toutes La
Plus en détail