L ENTEROSCANNER DANS LA MALADIE DE CROHN COMMENT & POURQUOI?

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1 L ENTEROSCANNER DANS LA MALADIE DE CROHN COMMENT & POURQUOI? Sixième Rencontre Autour Des Maladies Inflammatoires Chroniques De L intestin 09 novembre 2011 DRS: S.ADMANE/R.SAICHI/H.BOUZIDA/M.MEKHILEF PR A.BENDIB (1) DRS: KECILI / BOUNAB/ GAMAR / BELHOCINE /LAYADA PR T.BOUCEKKINE(2) 1 SERVICE DE RADIOLOGIE CHU MUSTAPHA ALGER 2 SERVICE DE GASTRO ENTEROLOGIE CHU

2 La maladie de Crohn est une maladie inflammatoire granulomateuse chronique du tractus gastro-intestinal. La maladie de Crohn peut atteindre n importe quel segment du tube digestif. Atteinte élective du grêle terminal dans 30 à 40 % des cas. L intestin grêle est pathologique dans 80 % des cas,

3 -Intestin grêle était le segment digestif le plus difficile à explorer. -Technique scanographique nécessitant une distension préalable de l ensemble des anses grêles permettant d explorer l ensemble de la cavité abdomino-pelvienne ( donc les parois et l environnement de l intestin grêle) en une seule -Anciennement exploré par le transit du grêle (02 méthodes : Gdes Qtés ou entéroclyse),jusqu à l arrivée de l entéroscanner.

4 - Il s agit actuellement de la meilleure méthode d exploration radiologique du grêle du fait sa résolution spatiale et sa rapidité de réalisation. -Il est effectivement très performant dans l exploration des pathologies transmurales et extramurales.

5 ? ENTEROSCANNER :COMMENT - Patient à jeun depuis 12 h. - Aucune préparation digestive. - Sonde naso-jéjunale (calibre 8Fr) sous contrôle fluoroscopique. - Administration à la pompe de 1,5-2 L d eau. - (débit ml/mn).

6 1-Préparation du patient: -Le patient doit être à jeun depuis 12 heures en particulier pour les solides. -L eau doit être autorisée afin de réduire le phénomène de réabsorption de l eau par le grêle lors de l infusion intestinale. -Ce phénomène étant majoré en cas de déshydratation. -Aucun régime particulier n est nécessaire avant le jeûne.

7 2-Prémédication: Une prémédication peut être pratiquée. -10 mg de métoclopramide (Primperan ) en IV (juste avant l intubation naso-jéjunale (faciliter sa progression et favoriser le péristaltisme gastrique et grêle). - 3 à 15 mg de diazepam (Valium )par voie IV à visée antalgique.

8 3-Hypotonie médicamenteuse: Un agent anti-spasmodique peut être administré par voie IV le tiémonium (Viscéralgine ) ou du phloroglucinol (spasfon ) 30 minutes avant l acquisition.

9 4-Mise en place d une sonde naso-jéjunale: de -Sous contrôle fluoroscopique. -La sonde doit être placée en aval de l angle Treitz (afin d éviter les reflux gastriques). -Il faut toujours vérifier que la sonde n est pas coudée ou plicaturée.

10 5-Remplissage: -Le remplissage intestinal se fait à l aide d un entéroclyseur permettant une opacification homogène et de bonne qualité. -La quantité 2 L d eau avec un débit de 100 à 180 ml/min -Parfois,on rajoute du mannitol afin de diminuer la réabsorption.

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14 4-Acquisition scanographique: -Passage en SPC. -Étudier les anses à la phase parenchymateuse entre 70 et 80 secondes (APC). -L épaisseur de coupe optimale est de 1 mm afin de privilégier la résolution spatiale et donc la qualité des reformations multiplanaires.

15 Résultat normal

16 AXIALE CORONALE

17 Dans la maladie de crohn POURQUOI?

18 L entéroscanner permet d étudier : -l épaississement pariétal. -la graisse péri-digestive. - les complications de la maladie (fistules ou abcès) avec un fort impact sur la prise en charge des patients. - Évaluation de l activité de la maladie et longueur des segments atteints. - Occlusion incomplète ou de bas grade

19 Il renseignera sur: 1 l épaisseur pariétale. 2 la densité et le degré de rehaussement. 3 la longueur de l atteinte. 4 les sténoses et la dilatation pré-sténotique. 5 les lésions segmentaires. 6 les fistules et les abcès. 7 la transformation sclérolipomateuse. 8 le signe du peigne (vascularisation augmentée) des mésos. 9 des adénopathies mésentériques ; 10 des atteintes extra-intestinales de la maladie.

20 - l intensité du rehaussement est corrélée avec le -La paroi grêlique normale est de 3 mm, sur une anse en bonne réplétion. -L épaisseur pariétale, en général, de 1 à 2 cm est le signe le plus constamment retrouvé de la MC. -Le segment atteint apparait homogène, stratifiée ou différenciée (alternance de couches hypo- et hyperdenses). (images en cible ou en double halo) est souvent vue dans les lésions actives.

21 épaississement pariétal transmural avec réhaussement après injection de produit de contraste et oedème sous-muqueux

22 Sténoses et dilatations présténotiques

23 Sténose iléale

24 Maladie de Crohn iléale au stade actif inflammatoire

25 ENTEROSCANNER Maladie de Crohn iléale

26 Sclérolipomatose et signe du peigne au niveau des vaisseaux droits mésentériques

27 Atteinte de l intestin grêle proximal avec épaississement pariétal, oedème de la sous muqueuse et sclérolipomatose. Multiples ganglions

28 Atteinte de l iléon avec épaississement pariétal, oedème de la sous muqueuse et sclérolipomatose. Aspect peigné du mésentère.

29 Abcès et phlegmons: -Ils peuvent survenir dans le mésentère, les parois abdominales, dans les muscles psoas ou autour de l anus. - localisation précise, et une bonne évaluation de l extension grace aux MPR, facilitant ainsi une prise en charge soit radiologique (drainage percutané ) ou bien un geste chirurgical.

30 Atteinte multifocale (jejunum et ileon distal)

31 collection

32 FISTULES ET ULCÉRATIONS: -Peuvent être Entéro-entérales ( +++), E-V, E G ou E-C. -Mieux analysées sur les MPR. -l IRM reste meilleure pour les mettre en évidence au niveau pelvien.

33 Entéro-TDM(axiales) Epaississement iléale avec SLP

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35 Ganglions mésentériques: Ils sont bien détectés en scanner et ils peuvent atteindre 3 à 8 mm. au-delà de 10 mm, il faut rechercher un lymphome ou un cancer.

36 CROHN???

37 Conclusion

38 -PEC de la MC nécessite un staging complet de sa sévérité,de son extension, de son activité inflammatoire et de la présence ou non de complications extradigestives. -Il doit être un maillon indissociable des autres méthodes d explorations radiologiques, biologiques, et endoscopiques pour cette prise en charge médicale ou chirurgicale. -L entéroscanner intervient aux différentes étapes de l évolution de la maladie.

39 MERCI

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