EPANDAGE DES DÉCHETS D SUR LES SOLS AGRICOLES BURKINABÉ

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1 EPANDAGE DES DÉCHETS D SUR LES SOLS AGRICOLES BURKINABÉ NIKIEMA Basile François Ingénieur nieur Environnementaliste Burkina Faso

2 INTRODUCTION Il est commun de constater que l'agriculture et l'espace rural constituent un réceptacle r de premier choix pour les déchets d générés g s par les activités s humaines. Le monde agricole a derrière re lui une longue tradition d'utilisation des déchets, d qu'ils soient d'origine agricole, urbaine ou industrielle. L agriculture burkinabé est avant tout une agriculture de subsistance basée e sur les céréales (sorgho, mil, maïs, riz et fonio) qui occupent à elles seules plus de 88% des surfaces emblavées es annuellement et constituent l alimentation de base de la majorité de la population.

3 L AGRICULTURE BURKINABÉ C est une agriculture extensive dominée e par de petites exploitations familiales de 3 à 6 ha en moyenne. La production est essentiellement pluviale avec les principales spéculations suivantes : les cultures vivrières res constituées des céréales, c du niébé et des tubercules (igname, manioc, patate douce).

4 L AGRICULTURE BURKINABÉ Les cultures de rente sont essentiellement le coton, l arachide, le sésame, s same, les fruits et légumes. l Cependant, il faut relever le développement progressif des cultures irriguées On note une très s faible intensification des productions entraînant nant des rendements Très s bas (inférieurs à 900 kg/ha ).

5 L AGRICULTURE BURKINABÉ En outre la jeunesse de la population agricole (plus de 58% ont moins de 20 ans) constitue un atout non négligeable n pour envisager le renouvellement et la modernisation de l agriculture familiale. La production céréalic alière augmente de 5% an, rythme supérieur au taux d accroissement d démographique (2,4% par an). Elle est essentiellement tirée e par le maïs, dont la progression est remarquable ( +17,2% par an), qui représente maintenant près s de 22% de la production céréalic alière, contre 9% en 1995.

6 L AGRICULTURE BURKINABÉ La croissance des autres cultures(autres cultures vivrière re et culture de rente hors coton) est ferme (+ 6,4% par an), ce qui indique une tendance à la diversification, surtout portée e vers les oléagineux (sésame, same, et arachide). Enfin, le coton apparaît t comme la principale source de croissance du secteur (+11,5%par an), confirmant le succès s de la réorganisation r de cette filière, basée e sur une libération et d organisation interprofessionnelle.

7 Au niveau de la gestion de la fertilité des sols et de la modernisation de l agriculture, l les principales actions conduites au cours des dernières res années concernent : la poursuite des aménagements anti-érosifs, l accélération de la production et de la valorisation de la fumure organique, à travers l opération «fosse fumiers» ( fosses réalisées en 2002 et fosses prévues en 2003), la vulgarisation des pratiques permettant de restaurer la fertilité des sols et d amd améliorer la productivité, la mise à disposition de variétés s amélior liorées et la promotion des semences sélectionns lectionnées, es,

8 RENFORCER LA SECURITE ALIMENTAIRE BURKINA FASO Au niveau de la sécurits curité alimentaire, les bilans céréaliers indiquent que la production nationale a couvert les besoins de la population 9 années sur 11 entre 1993 et Toutefois, cette situation est encore précaire, avec une disponibilité en céréales c (différence entre la production et les besoins de consommation) très s variable, qui fluctue chaque année e entre et tonnes.

9 RENFORCER LA SECURITE ALIMENTAIRE BURKINA FASO L instabilité de la pluviométrie( fluctuation inter- annuelles et variabilité de la répartition r géographique),les difficultés s d ajustement d du marché,, et la pauvreté persistante des populations rurales expliquent les difficultés alimentaire récurrentes r dans certaines zones vulnérables. Malgré les efforts déployd ployés s depuis de nombreuses années pour juguler la faim et la malnutrition, force est de reconnaître que l insl insécurité alimentaire demeure toujours une réalitr alité quotidienne.

10 L insécurité alimentaire devenue assez fréquente, à pour facteurs essentiels : le risque climatique, la faible fertilité des sols, les prédateurs des cultures. le faible niveau de maîtrise de l eau, l la dégradation d des ressources naturelles, l insuffisance et le mauvais état des infrastructures de communication, la faiblesse des revenus notamment en milieu rural, les difficultés s d accd accès s au crédit, la faiblesse de l él éducation nutritionnelle

11 Souscrivant aux directives du sommet mondial sur alimentation tenu en Rome en1996, le Gouvernement s est s fixé les objectifs suivants : augmenter durablement le niveau de la production alimentaire nationale et sa valeur ajoutée ; renforcer les capacités s du marché de façon à permettre l accl accès s des populations aux produits alimentaires ; améliorer durablement les conditions économiques et nutritionnelles des populations pauvres et des groupes vulnérables ; renforcer le dispositif de prévention et de gestion des crises conjoncturelles en cohérence avec la construction de la sécurits curité alimentaire structurelle ; renforcer les capacités s des acteurs et promouvoir la bonne gouvernance de la sécurits curité alimentaire.

12 VALORISATION DES DÉCHETS D SUR SOLS AGRICOLES Le principe est basé sur la transformation du déchet par l'écosyst cosystème sol en biomasse, essentiellement végétale. v Schématiquement, un déchet est composé à la fois de substances directement assimilables par les plantes qui sont dites " biodisponibles " et par des substances biodégradables.

13 VALORISATION DES DÉCHETS D SUR SOLS AGRICOLES Ces substances vont être incorporées dans le sol grâce à l'action des agents biologiques présents dans le sol (la flore microbienne, les champignons, la micro-faune et les plantes) puis seront assimilées par les cultures, soit de façon directe (éléments( fertilisants biodisponibles), soit de façon indirecte après s une dégradation ou transformation biologiques

14 Certains déchets d sont susceptibles également d'avoir une action bénéfique b sur les caractéristiques ristiques physiques du sol (texture, structure, capacité d'échange, porosité,, pouvoir de rétention r d'eau, etc.) à l'image des composts. Ce mode de valorisation permet donc d'utiliser simultanément ment les propriétés agronomiques du déchet d pour la croissance des plantes et de réaliser r son élimination par l'intermédiaire des propriétés épuratrices du sol.

15 Tous ces déchets d présentent une grande hétérogénéité et une variabilité importante dans leur composition. Ils ont en outre des états physiques des plus variés s : granuleux, friables, compacts, pâteux, liquides.

16 On peut néanmoins n distinguer du point de vue pratique deux grandes catégories de déchets d utilisés s en épandage agricole : les déchets d épandus à l'état brut (boues, cendres, déjections d animales, chaux, etc.) et les déchets d qui subissent préalablement un traitement physico-chimique chimique avant l'épandage (compostage simple ou multiple, déshydratation) d comme les ordures ménagm nagères, les déchets d verts, déchets d d'industrie agro- alimentaires, boues, etc

17 Même s'il ne fait aucun doute que les boues urbaines ont une valeur fertilisante bénéfique b grâce aux apports (très variables) d'azote, de phosphore, de calcium et d'oligo-éléments, et éventuellement avec l'augmentation de l'alcalinité.

18 Même s'il ne fait aucun doute que les boues urbaines ont une valeur fertilisante bénéfique b grâce aux apports (très s variables) d'azote, de phosphore, de calcium et d'oligo-éléments, et éventuellement avec l'augmentation de l'alcalinité. Dans les pays enveloppement les techniques traditionnelles sont toujours utilisées avec toutes les conséquences L épandage des excréta et des déchets d urbains, le déversement des boues, les cultures sur brûlis de vidange sont des méthodes m toujours employées es dams ces pays pour accroître les rendements des productions qui du reste ne sont pas sans conséquences sur la santé et l environnement.

19 CONSÉQUENCES DE L ÉPANDAGE DES DÉCHETS D SUR LES SOLS AGRICOLES Les pratiques traditionnelles notamment l épandage des déchets d sur les champs pour l enrichissement des sols ont fait leurs preuves pendant longtemps mais leur utilisation en agricole reste un sujet controversé. Ces pratiques sont source de:

20 Pollution des sols La valorisation des déchets d dans les champs diminue le pouvoir épurateur du sol et la conséquence est les faibles rendements grâce à l accumulation des métaux lourds.

21 Pollution des eaux L utilisation des déchets d dans l agriculture l a des effets directs et indirects sur les eaux de surface et souterrains. Les eaux issues de champs sont souvent riches en matière organique entraînant nant une perturbation de l écosystème aquatique.

22 Pollution des eaux L utilisation des déchets d dans l agriculture a des effets directs et indirects sur les eaux de surface et souterrains. Les eaux issues de champs sont souvent riches en matière organique entraînant nant une perturbation de l él écosystème aquatique. En effet, la composition physico chimique et biologique de l eau l change entraînant nant une diminution de la productivité aquatique par suite de la non évolution des larves ou des œufs et cela se répercute r sur la chaîne trophique. Il y a aussi l accumulation des déchets d transportés s par les eaux.

23 Pollution de l airl Le brûlage des déchets d sur les champs rejet des substances dangereuses telles que le gaz carbonique (CO2), le monoxyde de carbone (CO) renfor renforçant l action l des pluies acides, l effet l de serre, la destruction de la couche d ozone d

24 Dégradation de la qualité des produits récoltr coltés Les risques de pollution à long terme des sols liés à l'utilisation de déchets d existent, avec des conséquences sur la qualité des végétaux v et de la chaîne alimentaire. La présence de micropolluants métalliques m (métaux lourds) et organiques (composés s organochlorés s et halogénés s essentiellement) dans ces déchets d constitue un facteur limitant important pour leur emploi dans l'agriculture.

25 Dégradation de la qualité des produits récoltr coltés L épandage des déchets d sur les champs en vue d enrichir les sols n est n pas sans conséquences pour les produits récoltr coltés. Des traces de certaines substances dangereuses se retrouvent dans les produits alimentaires qui se traduisent le plus souvent par le changement du goût, de la couleur, de la forme. Les problèmes liés à l'aspect des produits qui génère parfois d'importantes nuisances visuelles et surtout olfactives (boues, composts urbains).

26 Dégradation des ressources naturelles On observe en effet dans les sols épandus des phénom nomènes nes d'accumulation de métaux m lourds ou de polluants organiques persistants peu biodégradables tels que les PCB (polychlorobiphényles), ainsi que des transferts de ces composés s chez les plantes et les animaux. Les sols trop contaminés s seront incapables de porter la moindre végétation v et la conséquence logique est la disparition de la faune.

27 Dégradation de la santé des populations et des travailleurs L épandage des déchets d urbains sans tri au préalable constitue un danger pour la santé des travailleurs. L hépatite L virale, la typhoïde, les blessures, les max d yeux d sont des risques que cette pratique fait courir aux populations et aux travailleurs. Des risques sanitaires liés à la présence de germes pathogènes (salmonelle, oeufs de ténia, t streptocoques, coliformes) sont également à prendre en considération, même si ceux-ci ci demeurent faibles, surtout pour les produits qui ont été préalablement compostés s ou déshydratés

28 Création d une d décharge d sauvage Le déversement d des déchets d urbains dans les champs sans une sélection s entraîne ne des tas d objets en plastiques, de la ferraille, du verre, des pneus, du bois tous ce qui se retrouve dans une décharge d sauvage

29 CONCLUSION L'agriculture a constitué le premier débouchd bouché d'élimination et de valorisation des déchets d cependant ce recyclage massif de déchets d dans l'agriculture soulève un certain nombre de problèmes et d'inquiétudes. Les risques sanitaires et de pollution des sols préoccupent les industriels, les responsables administratifs et les agriculteurs. L'augmentation de la population, le développement et la diversification de la consommation individuelle ainsi que la concentration urbaine placent la société devant une masse et une hétérogh rogénéité croissantes de déchets à éliminer, ce qui l'amène à modifier ses pratiques de gestion.

30 CONCLUSION Les processus de valorisation sont abandonnés s au profit des techniques d'élimination simples et rapides que sont l'incinération et la mise en décharge. La pratique de l él épandage des déchets d est en baisse au Burkina Faso à la faveur des schémas directeurs d assainissement d des villes qui ont prévu la création de décharges d dans chaque ville

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