L'entretien préalable prévu par l'article L du code des juridictions financières a eu lieu le 15 avril 2003 avec l'ordonnateur.

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "L'entretien préalable prévu par l'article L.272-45 du code des juridictions financières a eu lieu le 15 avril 2003 avec l'ordonnateur."

Transcription

1 RAPPORT D'OBSERVATIONS DEFINITIVES Lycée PAUL GAUGUIN Examen de la gestion Dans le cadre de son programme, la chambre territoriale des comptes de Polynésie française a jugé les comptes et examiné la gestion du lycée GAUGUIN à Papeete, à partir de l'exercice 1996 en application des dispositions des articles LO et LO du code des juridictions financières. L'entretien préalable prévu par l'article L du code des juridictions financières a eu lieu le 15 avril 2003 avec l'ordonnateur. Lors de sa séance du 27 mai 2003, la chambre a formulé des observations provisoires qui ont été adressées le 18 juin 2003 au proviseur, ordonnateur de l'établissement. Cette lettre est restée sans réponse. Le ministre de l'éducation et de l'enseignement technique, président du conseil d'administration, a été destinataire le 18 juin 2003, des observations provisoires précitées et d'une synthèse des observations relatives à l'ensemble des établissements, conformément aux dispositions de l'article 34 du décret n du 22 mars 1983 relatif aux chambres régionales des comptes. Sa réponse est parvenue à la chambre le 30 septembre Lors de sa séance du 23 mars 2004, la chambre a arrêté les observations définitives suivantes. Elles ont essentiellement trait à l'utilisation des réserves de l'établissement, aux procédures suivies pour la réalisation des travaux de rénovation des bâtiments, à l'état du parc immobilier, aux relations entre le lycée et le collège de TIPAERUI et enfin à celles entres le lycée et le foyer socio-éducatif. 1) L'utilisation des réserves Le montant des réserves disponibles au 31 décembre 2000 s'élèvait à F.CFP, ventilés de la façon suivante:

2 En 1998, l'augmentation significative des réserves disponibles du service général est due à un prélèvement de 3 millions F.CFP sur les réserves du service spécial L2 "hébergement", sans délibération du conseil d'établissement. (les différentes demandes faites par le rapporteur pour obtenir la décision du conseil d'établissement sont restées sans réponse). L'affectation fin 1998 de 3 millions F.CFP du service spécial restauration au service général sans décision du conseil d'établissement est irrégulière. Les recettes du service spécial proviennent essentiellement des familles et constituent des ressources affectées, qui n'ont pas vocation à suppléer les insuffisances de la dotation de l'établissement. Sur ce point, le ministre de l'éducation a indiqué dans sa réponse du 30 septembre qu'il avait " l'intention de proposer également en conseil des ministres une modification de l'arrêté 732/CM du 17 juin 1987 pour réglementer l'utilisation d'une partie des fonds de réserves au moment de l'adoption du budget en soumettant ce prélèvement à mon autorisation préalable. S'agissant de l'emploi des réserves du service spécial "hébergement" qui doivent logiquement être réservées à l'amélioration des biens et matériels de ce service, je demanderai également une modification de l'arrêté 732/CM permettant à titre exceptionnel l'utilisation de ces fonds à d'autres destinations avec mon autorisation préalable. Dans tous les cas, ces prélèvements doivent faire l'objet d'une délibération du conseil d'établissement ". 2) La comptabilisation du patrimoine Un bordereau d'observations du Trésorier-Payeur Général du 10 septembre 2001 demandait au comptable du lycée PAUL GAUGUIN de produire un état détaillé du patrimoine de l'établissement. L'actuel agent comptable n'a pu satisfaire cette demande, le travail de réfection de l'inventaire entrepris par son prédécesseur ayant été détruit par des inondations. Il ne dispose à ce jour que de quelques documents partiels, mais pense pouvoir remonter aux années antérieures à 1997 après au moins une année de travail. Lors du contrôle a pu être obtenu de la direction de l'enseignement secondaire l'état des biens meubles du lycée Paul Gauguin transférés par l'etat au Territoire au 31 décembre 1987, document dont l'agent comptable ne disposait pas. Un tel document pourrait être une base de départ pour mettre à jour l'inventaire mobilier de l'établissement. Par ailleurs, jusqu'en 1997, l'établissement procédait à la technique de la dépréciation (ou amortissement pour ordre) décrite dans la circulaire n du 28 mars 1988 du ministère de l'education Nationale et préconisée lorsque l'établissement n'a pas la charge du renouvellement de l'immobilisation. Ce sont en effet les dispositions de la circulaire précitée qui sont appliquées de facto pour les établissements du territoire. Il s'avère que le territoire n'a pas arrêté, en conseil des ministres comme le prévoit la délibération AT du 23 novembre 1995 modifiée portant

3 adoption de la réglementation financière et comptable du territoire et de ses établissements publics, de nomenclature aux établissements publics territoriaux d'enseignement -EPTE-. Aucune disposition ne donne actuellement de base juridique aux opérations comptables effectuées par les EPTE de la collectivité d'outre mer de la Polynésie française puisque celle ci n'a pas fixé de nomenclature qui fasse référence à la circulaire précitée. Au cas d'espèce, tous les équipements acquis par le lycée depuis 1997 ne font plus l'objet de cette procédure de dépréciation. Le comptable a précisé qu'il avait procédé au rattrapage des dépréciations des biens acquis depuis 1997 au cours de l'exercice Enfin, cette même circulaire précise que les durées de dépréciation sont fixées par délibération du conseil d'établissement, par référence aux usages comptables. Dès lors que la délibération AT du 19 août 1993 fixant les règles d'établissement de l'état de l'actif ainsi que les modalités d'amortissement du patrimoine du territoire ne mentionne aucune durée, il serait souhaitable qu'une délibération du conseil d'administration soit prise pour fixer les durées de dépréciation et que l'état du patrimoine soit mené à son terme puisque la régularisation des dotations aux dépréciations pour les biens acquis depuis 1997 est déjà réalisée. 3) Les travaux de rénovation des salles de science L'établissement a réglé sur les exercices 1999 et 2000 plus de 62 MF.CFP au titre de ces travaux dont la réalisation appelle plusieurs remarques. La notion d'opération concernant ces travaux ne semble pas faire de doute, puisqu'une procédure d'appel d'offres a été lancée, "concernant l'opération définie ci-après: réhabilitation des salles de sciences physiques/chimie et des salles SVT du lycée Paul Gauguin" (articles 1er du RPAO - règlement particulier d'appel d'offre- et du CCAP -cahier des clauses administratives particulières- ). Par ailleurs, ces mêmes documents précisent que les travaux sont répartis en 7 lots, et réalisés en une seule tranche (articles 2.4 du RPAO et 1.3 du CCAP). L'article 2 du code des marchés publics passés au nom du territoire et de ses établissements publics précise que "toute dépense publique se rapportant à une opération nettement déterminée, doit donner lieu à l'établissement d'un marché administratif lorsque le montant de ladite opération excède un certain seuil fixé en conseil des ministres (15 MF.CFP jusqu'au 15 septembre 2000)". Comme l'ont précisé maintes fois les juridictions administratives, pour définir une opération, il faut prendre en compte l'unité fonctionnelle du projet, même si les prestations sont de nature différente, car elles concourent à la réalisation du même projet.

4 Le maître d'ouvrage est désigné dans le RPAO (article 2.2) et le CCAP (article 1.4) comme étant le Lycée Paul Gauguin, le conducteur d'opération, le maître de chantier et le maître d'ouvre étant la direction de l'enseignement secondaire. L'avis d'appel d'offres a été établi par le proviseur du lycée, mais le CCAP a été dressé par le conducteur d'opération. Première constatation, le maître d'ouvrage ne pouvait être que le propriétaire des locaux, c'est à dire la collectivité territoriale. Une convention de mandat devait être conclue entre celle-ci et l'établissement scolaire pour permettre au proviseur de mener les opérations pour le compte du territoire et donner ainsi un fondement juridique aux paiements effectués par ce dernier. Sans délégation expresse, le chef d'établissement était incompétent pour passer ledit marché. Une fois les travaux réalisés, leur valeur devait être intégrée dans le patrimoine du territoire. Deuxième constatation, la procédure d'appel d'offres n'apparaît pas avoir été menée à son terme. L'avis d'appel d'offres, signé par le proviseur du lycée, a été envoyé à la publication le 23 avril 1999, les dates de factures des deux journaux locaux le confirment. La date limite de remise des offres avait été fixée au 25 mai Or, toutes les pièces de marché fournies par l'agent comptable du lycée sont vierges (CCAP et actes d'engagement), aucun procès-verbal de la commission consultative des marchés ni de réception des travaux n'a été remis hormis un brouillon d'une séance de la commission d'appel d'offres du 28 mai 2001 où figurent le montant des offres des entreprises. Or ces offres ne correspondent pas aux montants payés. Par contre, les factures correspondent à des devis dont les dates, portées à la fois sur les dites factures et les bons de commande, sont toutes postérieures à la date de remise des offres, le 25 mai En définitive, tous les travaux ont été réalisés sur bons de commande et réglés sur factures. En l'état des pièces communiquées à la chambre, aucun marché n'a été passé, aucun procès verbal de la commission d'appel d'offres ne permet de déterminer comment s'est effectué le choix des entreprises, or celles-ci selon l'avis d'appel d'offres devaient transmettre leurs offres au ministère, division de la maintenance et des constructions, maître d'ouvre et conducteur d'opération. Les documents n'ont cependant pas été retrouvés. Selon les dates des devis, le choix a été réalisé postérieurement à l'appel d'offres mais aucun document ne permet de savoir sur quels critères. En l'absence de marché et en l'état des pièces produites à l'appui des paiements ou communiquées en cours de contrôle, les dispositions de l'article 2 du code des marchés n'ont pas été respectées.

5 L'ensemble de ces travaux a été intégralement financé sur subventions du Territoire. En 1999, la décision budgétaire modificative du 19 juillet 1999 ouvre les crédits pour F.CFP au chapitre C, entretien. La quasi-totalité des arrêtés de subvention ont été pris fin juillet 1999 ; Ils précisent qu'il s'agit de subventions d'équipement, pour autant les ordres de recettes du lycée sont imputés en section de fonctionnement (compte 7442). En 2000, la décision budgétaire modificative prévoyant le financement a devancé les courriers du ministre annonçant les subventions au proviseur, ainsi que les arrêtés attributifs de subventions. En effet, si la décision budgétaire modificative n 1 prévoyant l'ouverture de crédits au chapitre C "entretien" pour F.CFP est du 25 février 2000 (qui est également la date de règlement par l'agent comptable des factures de 2000 relatives à ces travaux) la lettre du ministre annonçant l'attribution de F.CFP pour subvention exceptionnelle de fonctionnement est du 31 juillet 2000, et les arrêtés attributifs de subvention datent des 5 septembre, 14 novembre et 4 décembre L'établissement fait donc l'avance de trésorerie. Il s'agit là d'une procédure récurrente, puisque le rapport de diagnostic des installations électriques réalisé par le bureau Veritas en novembre 2002, préalablement à l'étude de réhabilitation du bâtiment principal, a été commandée par l'établissement, sur demande de la DES. La prestation a été réglée par le lycée ( F.CFP), mais celui-ci n'a toujours pas obtenu la subvention correspondante du ministère de l'éducation. In fine, bien qu'il s'agisse de travaux d'équipement, les fonds versés par le territoire sont des subventions de fonctionnement et, les décisions budgétaires modificatives ont été votées avant que les avis d'attribution soient notifiés, donc avant que les recettes soient certaines. La chambre constate qu'il y a confusion entre les compétences du maître d'ouvrage et celles de l'établissement public. 4) La comptabilisation des travaux de construction ou de rénovation des bâtiments L'ensemble des travaux décrits supra a été imputé en 1999 et 2000 en section de fonctionnement au chapitre C, article 615, " dépenses d'entretien " Il est manifeste que ces dépenses sont des dépenses d'investissement qui devraient figurer dans la comptabilité de la collectivité territoriale puisqu'il s'agit de travaux dits " immeubles par destination ". Cette pratique est constante puisqu'en 1997, dans le cadre de la rénovation du bâtiment "bleu" entamée en 1996, deux factures de F.CFP et F.CFP respectivement pour des travaux de rénovation électrique et d'installation d'alarme incendie, ont été imputées au compte

6 615 - entretien et réparation du chapitre C - entretien. La même année, une facture de F.CFP concernant la transformation de blocs sanitaires en salle de classe a fait l'objet de la même imputation. La chambre indiquait que pour tous ces travaux d'investissement, de nouvelles procédures comptables devaient être trouvées, en concertation avec les services du ministère, afin de respecter les principes du plan comptable général. Le ministre de l'éducation dans sa réponse du 30 septembre 2003 précise que ces opérations sont désormais clairement formalisés par des conventions établies entre l'établissement et les services du ministère pour déléguer à l'établissement la maîtrise d'ouvrage déléguée : " Sur le plan comptable, les subventions d'investissement attribuées par le Ministère sont comptabilisés au compte 4434 (opérations pour le compte de la collectivité de rattachement) et les factures sont réglées par ordre de paiement. Ces constructions sont ensuite intégrées dans les comptes du Territoire par la Division de la Maintenance et des constructions ". 5) L'état du parc immobilier du lycée Selon l'article D du code de l'aménagement de la Polynésie française, " les établissements soumis aux dispositions du présent titre - établissements recevant du public - doivent faire l'objet, dans les conditions fixées au règlement de sécurité, de visites périodiques de contrôles et de visites inopinées effectuées par la commission de sécurité. " La périodicité pour un établissement tel que le lycée PAUL GAUGUIN est de trois ans si l'on considère que l'établissement dans son ensemble reçoit plus de 1500 personnes ou de cinq ans si l'on prend comme référence chaque bâtiment séparément, conformément à l'article D du code de l'aménagement de la Polynésie française classant ce lycée en première (R1) ou deuxième (R2) catégorie, et à l'article A visites périodiques. Le procès verbal de la dernière visite de la commission de sécurité, demandé au service de l'urbanisme, date du 21 avril L'établissement est alors classé en première catégorie, ce qui implique une visite tous les trois ans. Or les seuls procès verbaux postérieurs à la visite générale précitée et communiqués par le service de l'urbanisme ne concernent qu'un bâtiment déterminé ou la réception de travaux, notamment la rénovation des salles de sciences le 24 février Il y est précisé " qu'un contrôle de l'ensemble de l'établissement devra être effectué, les membres présents ayant constaté ce jour des manquements graves en matière de sécurité (électricité vétuste, porte dortoir condamnée, alarme et détection incendie inappropriées et hors service...). Un courrier sera adressé à ce sujet à la DES par le service de l'urbanisme ".

7 Le rapport de 1993 était déjà alarmant et soulignait notamment les défaillances en matière de détection et d'alarme. L'avis était le suivant : " la commission de sécurité demande de faire connaître un programme de travaux visant la poursuite de la mise en conformité des bâtiments de l'établissement. Les vérifications des installations électriques et de gaz, de l'éclairage de sécurité et du dispositif d'alarme devront être une priorité ". Le 5 mars 2002 le chef d'établissement rappelait au ministre que le système d'alarme était hors service. L'établissement a fait établir des devis pour effectuer les travaux nécessaires de détection alarme incendie du dortoir ( F.CFP). La DES a précisé au proviseur par courrier du 28 mars 2002 que cette opération faisait " l'objet d'une instruction de la division de la maintenance et de la construction. ". Dans son bilan d'étape du 8 novembre 2002, adressé au ministre, le proviseur a à nouveau appelé l'attention sur ces déficiences. La sécurité incendie de l'internat, inexistante, se limite à une corne de brume à disposition du maître d'internat de service et, en ce qui concerne l'externat, la centrale d'alarme n'est pas opérationnelle. Le diagnostic du bâtiment principal réalisé en novembre 2002 par le bureau VERITAS à la demande du ministère (commande faite par l'établissement sur ordre verbal de la DES) dans le cadre de futurs travaux de réhabilitation conclut que " le niveau de sécurité en regard de la réglementation de référence (arrêtés du 25 juin 1980 et du 4 juin 1982) applicable dans le cadre de l'article GN 10, est nettement insuffisant avec de nombreuses non conformités ; ce qui nécessite au moins dans un premier temps des mesures de mise en sécurité à définir en concertation avec la commission de sécurité (installation SSI notamment) ". Aucun plan pluriannuel des travaux de grosses réparations, d'entretien et d'amélioration du cadre de vie, prévu à l'article 7, 3 de l'arrêté 732/CM du 17 juin 1987 n'a été approuvé en conseil d'établissement. La phase d'études préliminaires pour la réhabilitation du bâtiment central vient de commencer, sans que les responsables de l'établissement soient formellement associés. Le rapport de constat du bureau VERITAS de novembre 2002 précité mentionnait également que " les exigences de mise en conformité sécurité et solidité conduisent pratiquement à ne conserver que l'ossature béton armé et la charpente/couverture sous réserves de quelques réparations ou compléments décrits plus haut. Dans ce contexte, une étude de coût doit à notre avis être menée afin de juger de l'opportunité ou non de la création d'un bâtiment neuf en remplacement de l'actuel, avec prise en compte des nouvelles contraintes de fonctionnement en plus des exigences réglementaires. " Dans ces conditions et compte tenu des délais de réalisation inhérents à ce type de travaux, il apparaît urgent de mettre en ouvre des mesures de sécurité pour l'accueil des élèves et des internes en concertation avec les services du ministère.

8 Par ailleurs, la réglementation prévoit des exercices réguliers d'évacuation selon l'article A du code de l'aménagement relatif au règlement de sécurité et qui fait référence aux dispositions de l'arrêté du 25 juin 1980 modifié, telles qu'elles figurent dans la brochure référencée n 1477 IV, établissements d'enseignement.. En dépit des défaillances du système d'alarme, ces exercices doivent être réalisés périodiquement. Le dernier a eu lieu le 18 mai Le ministre dans sa réponse du 30 septembre 2003 précise que " le chef d'établissement est responsable de la sécurité des personnes et des biens, de l'hygiène et de la salubrité dans l'établissement qu'il dirige, par contre il n'a pas compétence pour déterminer et convoquer les visites de la commission de sécurité qui relève du service de l'urbanisme " Il ajoute qu'il incitera " les chefs d'établissements n'ayant pas eu la visite de la commission de sécurité depuis plus de 3 ans à contacter le service de l'urbanisme ". La chambre constate que les dispositions de la réglementation de la Polynésie française en matière de sécurité ne sont pas respectées. 6) les conventions à conclure entre le lycée et le collège de TIPAERUI De nombreuses conventions liant ces deux établissements pour l'usage de locaux ou la fourniture de prestations par le lycée PAUL GAUGUIN n'ont toujours pas été renouvelées, voire mises en place. Ainsi, une convention est à mettre en place prévoyant une participation du collège aux dépenses d'eau du lycée, celui-ci s'étant aperçu en 2001, à la faveur d'une fuite du réseau d'eau, qu'un branchement " sauvage " au profit du collège existait depuis plus de dix ans, représentant une dépense annuelle estimée par le gestionnaire du lycée à près de F.CFP. La chambre prend acte des décisions convergentes (avril et juin 2003) des deux conseils d'établissements qui ont permis la conclusion des conventions entre les deux établissements : utilisation des locaux de demi-pension, du gymnase, des trucks, des ouvriers d'entretien du lycée, utilisation des parkings, de l'infirmerie (ces informations ont été communiquées par le principal du collège de TIPAERUI). 7) Le foyer socio-éducatif et la coopérative scolaire Le lycée PAUL GAUGUIN ne dispose que d'une coopérative, le foyer socio-éducatif " FSE " ayant disparu de facto en 1996, sans pour autant avoir été dissous. Le proviseur, lors d'un entretien, a précisé qu'il envisageait de réunir une assemblée générale, le 16 avril 2003, pour réactiver le

9 FSE. La coopérative du lycée PAUL GAUGUIN est une association créée au sein de l'établissement scolaire le 29 novembre Ses statuts ont été modifiés le 21 novembre 2000 et respectent les dispositions de la loi de 1901 relative aux associations. Cette association a pour buts de contribuer à l'organisation et à la coordination de toutes activités péri et post scolaires, ainsi qu'à l'achat de livres et matériels scolaires mis à la disposition des adhérents contre règlement d'une participation dont le montant est fixé chaque année par le bureau de l'association, avant la rentrée scolaire. L'adhésion à une association est par nature facultative. Or, la fiche " fournitures scolaires " remise lors de l'inscription aux parents d'élèves est équivoque puisqu'il n'est fait aucunement mention du caractère facultatif de l'adhésion à la coopérative pour la location des manuels scolaires (élèves de seconde et première : F.CFP et élèves de terminale : F.CFP dont F.CFP de caution rendus en fin d'année). Dès lors que la liste des manuels, qui permettrait d'acquérir lesdits manuels auprès des commerçants de la ville n'est pas fournie aux élèves, l'adhésion à la coopérative est de facto obligatoire. La seule mention " facultatif " concerne l'adhésion à l'association des parents d'élèves. Par ailleurs, la coopérative ne saurait gérer des activités hors de son objet social, notamment celles qui relèvent des missions propres à l'établissement. Pourtant, le proviseur a reconnu que la coopérative avait " dépanné " l'établissement en lui achetant des ordinateurs et téléviseurs. Par ailleurs, des actions commerciales et le voyage scolaire annuel (San Francisco ou Hawaii ou Québec) étaient également gérés par la coopérative. Toutefois depuis le budget 2003 cette situation est régularisée car ces actions font l'objet d'une ligne budgétaire spécifique au sein du budget de l'établissement, dans le cadre des projets pédagogiques. Enfin, la coopérative a fait des avances au fonds social lycéen, pour des frais de transport, d'aide au paiement de repas ou de frais d'inscription de concours... Là encore, cette pratique d'avance n'a plus cours depuis la rentrée Les comptes de résultat de la coopérative des quatre dernières années ont été produits. Le volume des dépenses et des recettes est de l'ordre de 32 millions F.CFP. On relève en matière de dépenses, des frais de personnels (2,5 millions F.CFP, salaire d'une secrétaire), certaines avances aux assistants de langues, des frais de gardiennage (3 millions F.CFP pour le gardiennage du parking). Dans ce dernier cas, il s'agissait de payer une entreprise

10 pour le gardiennage du parking " deux roues " des élèves et du parking voitures des professeurs, lesquels reversaient une participation de F.CFP/an soit un total de F.CFP/an. Par ailleurs, le territoire a accordé en 2001/2002 une subvention de F.CFP pour l'achat de matériels pour le lycée (20 ordinateurs). Un arrêté n 0448/CM du 9 avril 2001 a autorisé à titre dérogatoire l'attribution d'une subvention d'investissement de F.CFP à la coopérative du lycée PAUL GAUGUIN pour financer l'acquisition de matériel informatique. Le coût d'acquisition de ces ordinateurs ne figure ni au patrimoine de la coopérative, ni à celui du lycée. Pour la clarté des opérations, il convient que toutes les dépenses liées à l'activité pédagogique soient retracées dans le budget de l'établissement. Si l'association entend aider le lycée, elle peut le faire sous forme de fonds de concours. De même le caractère facultatif de l'adhésion à la coopérative doit être explicite. Les responsables de l'établissement ont entrepris un effort de clarification, qui reste à poursuivre, afin que les compétences juridiques de l'établissement et de l'association soient mieux définies et respectées. Le ministre de l'éducation a d'ailleurs préciser dans sa réponse du 30 septembre que ses services avaient formulé des recommandations aux chefs d'établissement et aux gestionnaires et comptables en ce qui concerne les relations entre établissements et associations.

Loi n 41-08 portant création de l'agence marocaine de développement des investissements

Loi n 41-08 portant création de l'agence marocaine de développement des investissements Dahir n 1-09-22 du 22 safar 1430 portant promulgat ion de la loi n 41-08 portant création de l'agence marocaine de développement des investissements. B.O. n 5714 du 5 mars 2009 Vu la Constitution, notamment

Plus en détail

LA COMPTABILITE MATIERE

LA COMPTABILITE MATIERE INFORMATIONS CONSEIL ET ASSISTANCE AUX E.P.L.E. DE LA GUADELOUPE LA COMPTABILITE MATIERE S O M M A I R E 1 - Rappel des dispositions réglementaires page 2 2 - Modalités de mise en œuvre de la comptabilité

Plus en détail

ASSOCIATION LOI DU 1er JUILLET 1901 COMITE DE COOPERATION AVEC LE LAOS ( C.C.L. )

ASSOCIATION LOI DU 1er JUILLET 1901 COMITE DE COOPERATION AVEC LE LAOS ( C.C.L. ) ASSOCIATION LOI DU 1er JUILLET 1901 COMITE DE COOPERATION AVEC LE LAOS ( C.C.L. ) ARTICLE 1 : FORMATION Il est créé entre les adhérents aux présents statuts une association régie par la loi du 1er Juillet

Plus en détail

LE CREDIT-BAIL MOBILIER & IMMOBILIER. Traitements comptables des opérations dans le cadre du crédit-bail mobilier et immobilier. TABLE DES MATIERES

LE CREDIT-BAIL MOBILIER & IMMOBILIER. Traitements comptables des opérations dans le cadre du crédit-bail mobilier et immobilier. TABLE DES MATIERES LE CREDIT-BAIL MOBILIER & IMMOBILIER Objectif(s) : o Pré-requis : o Modalités : o o o Traitements comptables des opérations dans le cadre du crédit-bail mobilier et immobilier. Connaissances juridiques.

Plus en détail

DOCUMENT D'AIDE A L'ETABLISSEMENT D'UN DOSSIER DE DEMANDE DE SUBVENTION

DOCUMENT D'AIDE A L'ETABLISSEMENT D'UN DOSSIER DE DEMANDE DE SUBVENTION DOCUMENT D'AIDE A L'ETABLISSEMENT D'UN DOSSIER DE DEMANDE DE SUBVENTION La Région a inscrit dans ses priorités le soutien aux associations de Provence-Alpes-Côte d'azur. Les différents volets d'interventions

Plus en détail

LA SÉPARATION DE L ORDONNATEUR ET DE L AGENT COMPTABLE

LA SÉPARATION DE L ORDONNATEUR ET DE L AGENT COMPTABLE LA SÉPARATION DE L ORDONNATEUR ET DE L AGENT COMPTABLE 1.1. ENONCÉ DU PRINCIPE 1. LE PRINCIPE DE SÉPARATION Le principe de séparation de l'ordonnateur et du comptable constitue l'une des deux seules règles

Plus en détail

SOMMAIRE DE L'ANNEXE TECHNIQUE. 1 - Le budget (Annexe A)

SOMMAIRE DE L'ANNEXE TECHNIQUE. 1 - Le budget (Annexe A) Circulaire n o 91-132 du 10 juin 1991 (Education nationale ; Economie, Finances et Budget ; Intérieur) Texte adressé aux préfets de région et de département, aux trésoriers-payeurs généraux, aux recteurs,

Plus en détail

CIRCULAIRE N Mesdames et Messieurs les préfets de régions et de départements

CIRCULAIRE N Mesdames et Messieurs les préfets de régions et de départements Paris le, Le ministre de l'intérieur, le ministre de l'économie, des finances et de l'industrie et la ministre de l'aménagement du territoire et de l'environnement CIRCULAIRE N Mesdames et Messieurs les

Plus en détail

GUIDE POUR LA REDACTION D UN REGLEMENT BUDGETAIRE ET FINANCIER POUR LES COLLECTIVITES TERRITORIALES ET LEURS GROUPEMENTS

GUIDE POUR LA REDACTION D UN REGLEMENT BUDGETAIRE ET FINANCIER POUR LES COLLECTIVITES TERRITORIALES ET LEURS GROUPEMENTS GUIDE POUR LA REDACTION D UN REGLEMENT BUDGETAIRE ET FINANCIER POUR LES COLLECTIVITES TERRITORIALES ET LEURS GROUPEMENTS Les régions et les départements ont l obligation de se doter d un règlement budgétaire

Plus en détail

2004-166 du 5 octobre 2004 relative à la simplification du régime d'entrée en vigueur, de transmission et de contrôle des actes des EPLE

2004-166 du 5 octobre 2004 relative à la simplification du régime d'entrée en vigueur, de transmission et de contrôle des actes des EPLE Circulaire du 27 décembre 1985 1 (Intérieur et Décentralisation : Collectivités locales ; Economie, Finances et Budget ; Education nationale ; Budget et Consommation) Texte adressé aux commissaires de

Plus en détail

MANUEL D UTILISATION LOCKIMMO SYNDIC

MANUEL D UTILISATION LOCKIMMO SYNDIC MANUEL D UTILISATION LOCKIMMO SYNDIC LOCKimmo Logiciels de gestion immobilière Table des matières Paramétrage de votre copropriété...4 1ère Étape : Création de votre fiche Syndic...4 2ème Étape : Création

Plus en détail

FICHE PRATIQUE MAISON DES LYCEENS

FICHE PRATIQUE MAISON DES LYCEENS FICHE PRATIQUE MAISON DES LYCEENS La Maison des lycéens (MDL) est une association qui rassemble les élèves qui souhaitent s engager dans des actions citoyennes et prendre des responsabilités au sein de

Plus en détail

OSNY D'UN MAITRE D'OUVRAGE DESIGNE CONVENTION PORTANT DESIGNATION POUR L'OPERATION DE CONSTRUCTION D'UNE MAISON DE L'ENFANCE A OSNY.

OSNY D'UN MAITRE D'OUVRAGE DESIGNE CONVENTION PORTANT DESIGNATION POUR L'OPERATION DE CONSTRUCTION D'UNE MAISON DE L'ENFANCE A OSNY. l'agglomération OSNY VAL DE V IOSNE CONVENTION PORTANT DESIGNATION D'UN MAITRE D'OUVRAGE DESIGNE POUR L'OPERATION DE CONSTRUCTION D'UNE MAISON DE L'ENFANCE A OSNY Convention Maîtrise d'ouvrage désignée

Plus en détail

Guide comptable. Les inscriptions comptables

Guide comptable. Les inscriptions comptables Guide comptable Les inscriptions comptables les ressources d emprunt Les emprunts sont exclusivement destinés à financer des investissements, qu'il s'agisse d'un équipement spécifique ou d'un ensemble

Plus en détail

Recommandation n 11-01 relative aux contrats de syndics de copropriété

Recommandation n 11-01 relative aux contrats de syndics de copropriété C.N.E.C. - Brève... octobre 2011 Contrats de syndics de copropriété Recommandation de la Commission des clauses abusives adoptée le 15 septembre 2011 sur le rapport de Mme Raphaëlle PETIT-MACUR Recommandation

Plus en détail

COPROPRIETE. Principales dispositions du décret 27 mai 2004 (JO du 4.6.04)

COPROPRIETE. Principales dispositions du décret 27 mai 2004 (JO du 4.6.04) COPROPRIETE Principales dispositions du décret 27 mai 2004 (JO du 4.6.04) La loi SRU du 13 décembre 2000 contient de nouvelles dispositions qui ont modifié la loi du 10 juillet 1965 : elles visent à améliorer

Plus en détail

CESSIONS D'ELEMENTS D ACTIF - IMMOBILISATIONS AMORTISSABLES

CESSIONS D'ELEMENTS D ACTIF - IMMOBILISATIONS AMORTISSABLES CESSIONS D'ELEMENTS D ACTIF - IMMOBILISATIONS AMORTISSABLES Objectif(s) : o Conséquences comptables des opérations de cessions, o Aspects fiscaux. Pré-requis : o Maîtrise des amortissements et provisions,

Plus en détail

Comment remplir le dossier de demande subvention?

Comment remplir le dossier de demande subvention? Comment remplir le dossier de demande subvention? Ville de Suresnes année 2015 Le dossier de demande de subvention est à déposer en 3 exemplaires avant le 5 décembre 2014 Au service Vie Associative 6 rue

Plus en détail

2014 - AT4- RESTAURATION ET HEBERGEMENT

2014 - AT4- RESTAURATION ET HEBERGEMENT 2014 - AT4- RESTAURATION ET HEBERGEMENT L article L4424-2 du code général des collectivités territoriales stipule que la collectivité territoriale de Corse assure l'accueil, la restauration, l'hébergement

Plus en détail

NOTE SUR LES SUBVENTIONS. - Récapitulatif des obligations des associations subventionnées

NOTE SUR LES SUBVENTIONS. - Récapitulatif des obligations des associations subventionnées NOTE SUR LES SUBVENTIONS - Récapitulatif des obligations des associations subventionnées - Les produits de la tarification ne sont pas des subventions A. Récapitulatif des obligations des associations

Plus en détail

Sur le rapport du ministre du travail et de la sécurité sociale, Vu la Constitution, notamment ses articles 85-4 et 125 (alinéa 2);

Sur le rapport du ministre du travail et de la sécurité sociale, Vu la Constitution, notamment ses articles 85-4 et 125 (alinéa 2); Décret exécutif n 2006-223 du 25 Joumada El Oula 1427 correspondant au 21 juin 2006 portant création, attributions, organisation et fonctionnement de l'organisme de prévention des risques professionnels

Plus en détail

Depuis 2009, l'éducation nationale s'est déjà mobilisée pour développer des banques de stages et des outils associés.

Depuis 2009, l'éducation nationale s'est déjà mobilisée pour développer des banques de stages et des outils associés. Pôles de stages Mise en place dans les académies de pôles de stages NOR : MENE1505070C circulaire n 2015-035 du 25-2-2015 MENESR - DGESCO A2-2 Texte adressé aux rectrices et recteurs d'académie Que ce

Plus en détail

LA COMMISSION DE L'UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE (UEMOA)

LA COMMISSION DE L'UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE (UEMOA) UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE La Commission ~ UEMOA RÈGLEMENT D'EXECUTION N~(t..~.:.~.9.1 RELATIF AUX REGLES PRUDENTIELLES PORTANT SUR LES RISQUES COURTS, AUX MECANISMES DE GARANTIE ET

Plus en détail

ASSOCIATION HISTORIQUE DU TEMPLE DE PARIS. www.templedeparis.fr

ASSOCIATION HISTORIQUE DU TEMPLE DE PARIS. www.templedeparis.fr ASSOCIATION HISTORIQUE DU TEMPLE DE PARIS 40 rue des Blancs Manteaux - 75004 Paris www.templedeparis.fr STATUTS DE L ASSOCIATION Article 1 Titre Il est constitué entre les adhérents aux présents statuts

Plus en détail

Ordonnance concernant la gestion et le contrôle financier et des prestations de la HES-SO Valais/Wallis du 16 décembre 2014

Ordonnance concernant la gestion et le contrôle financier et des prestations de la HES-SO Valais/Wallis du 16 décembre 2014 - 1-414.703 Ordonnance concernant la gestion et le contrôle financier et des prestations de la HES-SO Valais/Wallis du 16 décembre 2014 Le Conseil d'etat du canton du Valais vu l'article 57 de la Constitution

Plus en détail

STATUTS DE L'AGENCE TECHNIQUE DEPARTEMENTALE DU CANTAL

STATUTS DE L'AGENCE TECHNIQUE DEPARTEMENTALE DU CANTAL INGENIERIE. TERRITOIRES STATUTS DE L'AGENCE TECHNIQUE DEPARTEMENTALE DU CANTAL votés lors de la session de l'assemblée Départementale du 30 mars 2012 modifiés par l'assemblée Générale Constitutive du 13

Plus en détail

CONVENTION REGLANT LES MODALITES DE PARTITION DE LA CITE SCOLAIRE

CONVENTION REGLANT LES MODALITES DE PARTITION DE LA CITE SCOLAIRE CONVENTION REGLANT LES MODALITES DE PARTITION DE LA CITE SCOLAIRE ENTRE : le Lycée, représenté par M. André, proviseur le Lycée Professionnel, représenté par Mme, proviseure le Collège, représenté par

Plus en détail

AVIS DE CHANGE N 5 DU MINISTRE DU PLAN ET DES FINANCES RELATIF AUX COMPTES DE NON-RESIDENTS. ( Publié au J.O.R.T. du 5 octobre 1982 )

AVIS DE CHANGE N 5 DU MINISTRE DU PLAN ET DES FINANCES RELATIF AUX COMPTES DE NON-RESIDENTS. ( Publié au J.O.R.T. du 5 octobre 1982 ) AVIS DE CHANGE N 5 DU MINISTRE DU PLAN ET DES FINANCES RELATIF AUX COMPTES DE NON-RESIDENTS ( Publié au J.O.R.T. du 5 octobre 1982 ) Le présent texte pris dans le cadre de l'article 19 du décret n 77-608

Plus en détail

concernant la gestion du SIVOM de SAINT FRANCOIS LONGCHAMP-MONTGELLAFREY

concernant la gestion du SIVOM de SAINT FRANCOIS LONGCHAMP-MONTGELLAFREY Monsieur Patrick PROVOST Président du SIVOM de SAINT FRANCOIS LONGCHAMP-MONTGELLAFREY Hôtel de Ville 73130 SAINT FRANCOIS LONGCHAMP Monsieur le Président, Par lettre en date du 1er octobre 1998, j'ai porté

Plus en détail

I. Description générale du dispositif. 1) date limite de dépôt des dossiers :

I. Description générale du dispositif. 1) date limite de dépôt des dossiers : Fonds de soutien aux collectivités territoriales et à certains établissements publics ayant souscrit des contrats de prêt ou des contrats financiers structurés à risque les plus sensibles I. Description

Plus en détail

REGLES D IMPUTATION DES DEPENSES Fiche de gestion financière

REGLES D IMPUTATION DES DEPENSES Fiche de gestion financière REGLES D IMPUTATION DES DEPENSES Fiche de gestion financière Ce document a pour objet de décrire l ensemble des règles d imputation des dépenses et de préciser les biens pouvant être considérés comme des

Plus en détail

Convention pour la restauration scolaire, la garderie périscolaire et le centre de loisirs sans hébergement de la commune de Villebéon

Convention pour la restauration scolaire, la garderie périscolaire et le centre de loisirs sans hébergement de la commune de Villebéon Convention pour la restauration scolaire, la garderie périscolaire et le centre de loisirs sans hébergement de la commune de Villebéon Article 1: formation de la convention La commune de Villebéon ci après

Plus en détail

RÉNOVATION ET ENTRETIEN DU PARC DE LOGEMENT SOCIAL ET RÉGION WALLONNE: BESOINS EN FINANCEMENT

RÉNOVATION ET ENTRETIEN DU PARC DE LOGEMENT SOCIAL ET RÉGION WALLONNE: BESOINS EN FINANCEMENT Union des Villes et Communes de Wallonie asbl RÉNOVATION ET ENTRETIEN DU PARC DE LOGEMENT SOCIAL ET RÉGION WALLONNE: BESOINS EN FINANCEMENT Avis du Comité permanent des Sociétés de Logement de Service

Plus en détail

Règlement intérieur. de la Commission de surveillance

Règlement intérieur. de la Commission de surveillance Règlement intérieur de la Commission de surveillance L a loi du 28 avril 1816 dote la Caisse des Dépôts et Consignations d un statut particulier destiné à assurer à sa gestion une indépendance complète

Plus en détail

Ressources affectées Selon l instruction n 93-59-M9 du 18 mai 1993 Fiche de gestion financière

Ressources affectées Selon l instruction n 93-59-M9 du 18 mai 1993 Fiche de gestion financière Ressources affectées Selon l instruction n 93-59-M9 du 18 mai 1993 Fiche de gestion financière Date de création : mars 2011 Modification : décembre 2011 SOMMAIRE 1 DEFINITION DES RESSOURCES AFFECTEES 3

Plus en détail

Statuts de l'association loi 1901

Statuts de l'association loi 1901 Statuts de l'association loi 1901 TITRE 1 BUTS ET COMPOSITION DE L'ASSOCIATION ARTICLE 1.1 CONSTITUTION Il est constitué entre les adhérents aux présents statuts une association régie par la loi du 1 er

Plus en détail

FONDATION STANISLAS POUR L EDUCATION - FSPE PROJET DE STATUTS.

FONDATION STANISLAS POUR L EDUCATION - FSPE PROJET DE STATUTS. 10.05.2010 FONDATION STANISLAS POUR L EDUCATION - FSPE PROJET DE STATUTS. I But de la fondation Article 1 L'établissement dit FONDATION STANISLAS POUR L'EDUCATION FSPE fondé en... a pour but d'aider les

Plus en détail

CHARTE DU REPERTOIRE DES INGENIEURS ET DES SCIENTIFIQUES

CHARTE DU REPERTOIRE DES INGENIEURS ET DES SCIENTIFIQUES CHARTE DU REPERTOIRE DES INGENIEURS ET DES SCIENTIFIQUES Préambule Le Conseil national des ingénieurs et des scientifiques de France (IESF), reconnu d utilité publique depuis le 22 décembre 1860, a vocation

Plus en détail

Note sur la simplification de l instruction budgétaire et comptable M14

Note sur la simplification de l instruction budgétaire et comptable M14 Note sur la simplification de l instruction budgétaire et comptable M14 L instruction budgétaire et comptable M14 est appliquée aux collectivités locales depuis 1997 soit bientôt près de dix ans. Elle

Plus en détail

I Buts, Composition et Ressources de l'association

I Buts, Composition et Ressources de l'association I Buts, Composition et Ressources de l'association Article 1. Il est fondé entre les différents adhérents aux présents statuts une association régie par la loi du 1er juillet 1901 et le décret du 16 août

Plus en détail

MARCHE PUBLIC DE TRAVAUX REGLEMENT DE LA CONSULTATION (RC)

MARCHE PUBLIC DE TRAVAUX REGLEMENT DE LA CONSULTATION (RC) MARCHE PUBLIC DE TRAVAUX REGLEMENT DE LA CONSULTATION (RC) Pouvoir adjudicateur exerçant la maîtrise d'ouvrage Ministère de l'intérieur Préfecture de Belfort Représentant du Pouvoir Adjudicateur (RPA)

Plus en détail

Décret 2002-628 du 25 Avril 2002 modifié pris pour l application de la loi 2002-5 du 4 Janvier 2002 relative aux musées de France

Décret 2002-628 du 25 Avril 2002 modifié pris pour l application de la loi 2002-5 du 4 Janvier 2002 relative aux musées de France Décret 2002-628 du 25 Avril 2002 modifié pris pour l application de la loi 2002-5 du 4 Janvier 2002 relative aux musées de France TITRE I er : HAUT CONSEIL DES MUSEES DE FRANCE Art. 1 er. - Le Haut Conseil

Plus en détail

Arrêtons. Chapitre I er. - Les assemblées générales de copropriétaires

Arrêtons. Chapitre I er. - Les assemblées générales de copropriétaires Règlement grand-ducal du 13 juin 1975 prescrivant les mesures d'exécution de la loi du 16 mai 1975 portant statut de la copropriété des immeubles. - base juridique: L du 16 mai 1975 (Mém. A - 28 du 23

Plus en détail

REGLEMENT REGIONAL DU SERVICE D HEBERGEMENT ET DE RESTAURATION

REGLEMENT REGIONAL DU SERVICE D HEBERGEMENT ET DE RESTAURATION REGLEMENT REGIONAL DU SERVICE D HEBERGEMENT ET DE RESTAURATION Vu le code de l Education, Vu le code général des collectivités territoriales, Vu la loi n 809 du 13 Août 2004 et notamment l article 82,

Plus en détail

(articles L. 1612-2 et L. 2412-1 du code général des collectivités territoriales) VU le code général des collectivités territoriales ;

(articles L. 1612-2 et L. 2412-1 du code général des collectivités territoriales) VU le code général des collectivités territoriales ; CHAMBRE REGIONALE DES COMPTES DE BOURGOGNE SEANCE du 8 juillet 2008 AVIS n 08.CB.08 COMMUNE d ARGILLY Budget principal, budget annexe de la section d ANTILLY (Département de la Côte-d'Or) BUDGET PRIMITIF

Plus en détail

PREFECTURE DE L OISE. Beauvais, le 2 mai 2006. Objet : modification du régime juridique des biens vacants sans maître

PREFECTURE DE L OISE. Beauvais, le 2 mai 2006. Objet : modification du régime juridique des biens vacants sans maître PREFECTURE DE L OISE Direction des Relations avec les Collectivités Locales Bureau de l'urbanisme, des affaires foncières et scolaires Affaire suivie par : M. ABDELLATIF Mme LENGLIN Tel : 03 44 06 12 76/

Plus en détail

UTILISATION DES FONDS ET DES BIENS DES COOPERATIVES ET DES FOYERS COOPERATIFS

UTILISATION DES FONDS ET DES BIENS DES COOPERATIVES ET DES FOYERS COOPERATIFS UTILISATION DES FONDS ET DES BIENS DES COOPERATIVES ET DES FOYERS COOPERATIFS 1) Les coopératives et les foyers ne sont pas des moyens de pallier certaines insuffisances financières ou matérielles : Ce

Plus en détail

CENTRE VIRTUEL DE LA CONNAISSANCE SUR L'EUROPE

CENTRE VIRTUEL DE LA CONNAISSANCE SUR L'EUROPE CENTRE VIRTUEL DE LA CONNAISSANCE SUR L'EUROPE 1 CENTRE VIRTUEL DE LA CONNAISSANCE SUR L'EUROPE Sommaire Loi du 7 août 2002 portant création du Centre Virtuel de la Connaissance sur l'europe.....................

Plus en détail

STATUTS DE L'AGENCE DEPARTEMENTALE DE L ORNE

STATUTS DE L'AGENCE DEPARTEMENTALE DE L ORNE STATUTS DE L'AGENCE DEPARTEMENTALE DE L ORNE CHAPITRE I - CREATION ET DISSOLUTION DE L'AGENCE - DISPOSITIONS GENERALES Article 1 : CREATION DE L AGENCE En application de l'article 32 de la loi n 82-213

Plus en détail

Décrets, arrêtés, circulaires

Décrets, arrêtés, circulaires Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE L ÉCOLOGIE, DU DÉVELOPPEMENT ET DE L AMÉNAGEMENT DURABLES Décret n o 2007-1303 du 3 septembre 2007 fixant les règles nationales d éligibilité

Plus en détail

Norme comptable relative aux placements dans les entreprises d assurance et/ou de réassurance NC31

Norme comptable relative aux placements dans les entreprises d assurance et/ou de réassurance NC31 Norme comptable relative aux placements dans les entreprises d assurance et/ou de réassurance NC31 Objectif de la norme 01 L entreprise d assurance et/ou de réassurance doit disposer à son actif, en couverture

Plus en détail

Améliorer la performance énergétique, les aides de l'état

Améliorer la performance énergétique, les aides de l'état Améliorer la performance énergétique, les aides de l'état Le secteur du bâtiment est un des plus grands consommateurs d'énergie et émetteurs de gaz à effet de serre. C'est donc sur ce secteur que s'est

Plus en détail

- à la forme des délibérations et des contrats d'emprunt (montant, durée, annuité,...) ;

- à la forme des délibérations et des contrats d'emprunt (montant, durée, annuité,...) ; BULLETIN OFFICIEL DU MINISTERE DE L'INTERIEUR Circulaire du 22 FEVRIER 1989. --------------------------------------------------------------------------------- Concours financiers à court terme offerts

Plus en détail

Les degrés de délégations de service public. Typologie des modes de délégation du service public

Les degrés de délégations de service public. Typologie des modes de délégation du service public Il n'existe pas de définition légale ou réglementaire explicite des modes de délégation de service public que représentent la concession, l'affermage, la régie intéressée ou la gérance (Circulaire du 7

Plus en détail

S T A T U T S (Association loi 1901)

S T A T U T S (Association loi 1901) CERCLE DAMIEN KONDOLO (La Fraternelle de la République Démocratique du Congo en Europe) S T A T U T S (Association loi 1901) Nous, membres de diverses institutions philanthropiques, réunis en Assemblée

Plus en détail

STATUTS DU COMITE UGSEL PARIS

STATUTS DU COMITE UGSEL PARIS STATUTS DU COMITE UGSEL PARIS TITRE I - CONSTITUTION Article 1 Il est formé entre les adhérents aux présents statuts, conformément aux dispositions de la loi du 1er juillet 1901, un comité départemental

Plus en détail

COMPTES ETRANGERS EN DINARS ET COMPTES ETRANGERS EN DEVISES CONVERTIBLES. sont subordonnés à l'autorisation de la Banque Centrale de Tunisie (1).

COMPTES ETRANGERS EN DINARS ET COMPTES ETRANGERS EN DEVISES CONVERTIBLES. sont subordonnés à l'autorisation de la Banque Centrale de Tunisie (1). AVIS DE CHANGE N 5 DU MINISTRE DU PLAN ET DES FINANCES RELATIF AUX COMPTES DE NON-RESIDENTS ( Publié au J.O.R.T. du 5 octobre 1982 ) * * * * * Le présent texte pris dans le cadre de l'article 19 du décret

Plus en détail

P O R T AU TONOME DE PAR I S

P O R T AU TONOME DE PAR I S P O R T AU TONOME DE PAR I S REGLEMENT INTERIEUR DU CONSEIL D ADMINISTRATION ANNEXE I ANNEXE II - Délégations au Comité de Direction - Délégations au Directeur Général du Port ANNEXE III - Règlement applicable

Plus en détail

Le nouveau cadre budgétaire

Le nouveau cadre budgétaire Le nouveau cadre budgétaire Le cadre budgétaire actuel des établissements publics locaux d enseignement remonte aux lois de décentralisation de 1983 et à la création des EPLE en 1985 ; il est décrit dans

Plus en détail

Nbr de membres en exercice : 53 Quorum : 27 Date de la convocation : 07/11/2012 Affichée le : 11/12/2012

Nbr de membres en exercice : 53 Quorum : 27 Date de la convocation : 07/11/2012 Affichée le : 11/12/2012 En vertu de l'article L.2131-1 du CGCT, le Maire de Poitiers atteste que le présent acte a été affiché, transmis en Préfecture le.. et/ou notifié le.. et qu'il est donc exécutoire. Pour le Maire, Par délégation

Plus en détail

S T A T U T S. de l'association Suisse pour la Recherche Horlogère BUT, SIÈGE, DURÉE. Article premier - Dénomination

S T A T U T S. de l'association Suisse pour la Recherche Horlogère BUT, SIÈGE, DURÉE. Article premier - Dénomination S T A T U T S de l'association Suisse pour la Recherche Horlogère (successeur dès le 1 er juillet 1985 du Laboratoire Suisse de Recherches Horlogères, fondé le 14 novembre 1924) C H A P I T R E P R E M

Plus en détail

COMMISSION SCOLAIRE DE LA BEAUCE-ETCHEMIN

COMMISSION SCOLAIRE DE LA BEAUCE-ETCHEMIN COMMISSION SCOLAIRE DE LA BEAUCE-ETCHEMIN Page 1 de 7 DIRECTIVE RÉGISSANT LES ACTIVITÉS FINANCIÈRES DÉCOULANT DE LA PERCEPTION DES REVENUS DANS LES ÉTABLISSEMENTS 1.0 FONDEMENTS 1.1 Devoir d'établissement

Plus en détail

STATUTS de l association «Le Paris des Orgues» Modifiés à l AG ordinaire du 13 novembre 2013

STATUTS de l association «Le Paris des Orgues» Modifiés à l AG ordinaire du 13 novembre 2013 STATUTS de l association «Le Paris des Orgues» Modifiés à l AG ordinaire du 13 novembre 2013 Article 1 Forme Il est fondé entre les adhérents aux présents statuts une association régie par la loi du 1er

Plus en détail

La restauration scolaire

La restauration scolaire La restauration scolaire Dossier documentaire Janvier 2006 I. Fonctionnement et tarification du service de restauration scolaire Le service de restauration scolaire est un service public local facultatif,

Plus en détail

COMPETENCE INFRASTRUCTURES DE CHARGE POUR VEHICULES ELECTRIQUES

COMPETENCE INFRASTRUCTURES DE CHARGE POUR VEHICULES ELECTRIQUES ANNEXE D COMPETENCE INFRASTRUCTURES DE CHARGE POUR VEHICULES ELECTRIQUES Compétence exercée conformément à l article 3.4 des statuts du SDEC Energie autorisés par arrêté inter préfectoral en date du 4

Plus en détail

M.S.P - Direction de la réglementation et contentieux - BASE DE DONNEES. REFERENCE : B.O du 16 mars 1977, page 341

M.S.P - Direction de la réglementation et contentieux - BASE DE DONNEES. REFERENCE : B.O du 16 mars 1977, page 341 REFERENCE : B.O du 16 mars 1977, page 341 DAHIR portant loi n 1-75-168 du 25 safar 1397 (15 février 1977) relatif aux attributions du gouverneur Tel qu'il a été modifié et complété. LOUANGE A DIEU SEUL!

Plus en détail

PROCÈS VERBAL DE LA SÉANCE DU CONSEIL MUNICIPAL DE PEIPIN EN DATE DU 24 Février 2015

PROCÈS VERBAL DE LA SÉANCE DU CONSEIL MUNICIPAL DE PEIPIN EN DATE DU 24 Février 2015 PROCÈS VERBAL DE LA SÉANCE DU CONSEIL MUNICIPAL DE PEIPIN EN DATE DU 24 Février 2015 L an deux mille quinze, le vingt-quatre février à 18 heures 30, le CONSEIL MUNICIPAL de cette Commune, appelé à siéger

Plus en détail

REUNION du CONSEIL MUNICIPAL du VENDREDI 16 DECEMBRE 2011

REUNION du CONSEIL MUNICIPAL du VENDREDI 16 DECEMBRE 2011 REUNION du CONSEIL MUNICIPAL du VENDREDI 16 DECEMBRE 2011 Etaient présents ou représentés : JAN. DESREAC. REHEL. SAMSON. LUCAS. LHERMITTE. MENARD MA. BOURSEUL. ROUVRAIS (proc. à MENARD MA). BOURGET. BERTON

Plus en détail

Section 1 La Spécialité. Section 4 L unité. Section 2 L Annualité. Section 5 L Universalité. Section 3 Le caractère limitatif des crédits

Section 1 La Spécialité. Section 4 L unité. Section 2 L Annualité. Section 5 L Universalité. Section 3 Le caractère limitatif des crédits Section 1 La Spécialité Section 4 L unité Section 2 L Annualité Section 5 L Universalité Section 3 Le caractère limitatif des crédits Section 6 La Sincérité Raymond FERRETTI 2 Raymond FERRETTI 3 art. 7.I

Plus en détail

Règlement Intérieur de l Association des Parents d Elèves de l'enseignement Libre (APEL) de l Assomption Bellevue (69350 La Mulatiere)

Règlement Intérieur de l Association des Parents d Elèves de l'enseignement Libre (APEL) de l Assomption Bellevue (69350 La Mulatiere) ASSOMPTION BELLEVUE Règlement Intérieur de l Association des Parents d Elèves de l'enseignement Libre (APEL) de l Assomption Bellevue (69350 La Mulatiere) Ce règlement intérieur complète et précise les

Plus en détail

CADASTRE DU LOGEMENT SOCIAL. Avis du Comité permanent des Sociétés de Logement de Service public de l'union des Villes et Communes de Wallonie

CADASTRE DU LOGEMENT SOCIAL. Avis du Comité permanent des Sociétés de Logement de Service public de l'union des Villes et Communes de Wallonie CADASTRE DU LOGEMENT SOCIAL Avis du Comité permanent des Sociétés de Logement de Service public de l'union des Villes et Communes de Wallonie Les sociétés de logement de service public gèrent un parc de

Plus en détail

REGLEMENT INTERIEUR DU GIP ALFA CENTRE

REGLEMENT INTERIEUR DU GIP ALFA CENTRE REGLEMENT INTERIEUR DU GIP ALFA CENTRE Préambule Le Conseil d administration établit un règlement intérieur relatif à l organisation et au fonctionnement des services du groupement ainsi qu à la gestion

Plus en détail

* Les personnalités scientifiques : - Mabrouk El Mannai, - El Mouldi Lahmer, - Farouk El Omrani.

* Les personnalités scientifiques : - Mabrouk El Mannai, - El Mouldi Lahmer, - Farouk El Omrani. * Les personnalités scientifiques : - Mabrouk El Mannai, - El Mouldi Lahmer, - Farouk El Omrani. MINISTERE DE L'AGRICULTURE Par décret n 2013-4505 du 6 novembre 2013. Messieurs Ahmed Dhaoui et Khaled Gannouni,

Plus en détail

STATUTS Révisés 23 mars 2012

STATUTS Révisés 23 mars 2012 Association Nationale des Equipes Contribuant à l Action Médico-Sociale Précoce STATUTS Révisés 23 mars 2012 TITRE I - DÉNOMINATION ET BUTS Article 1 - Dénomination Il a été créé le 2 août 1982, conformément

Plus en détail

http://www.legifrance.gouv.fr/affichjurijudi.do?idtexte=juritext000023803694...

http://www.legifrance.gouv.fr/affichjurijudi.do?idtexte=juritext000023803694... Page 1 sur 5 Cour de cassation chambre civile 1 Audience publique du jeudi 31 mars 2011 N de pourvoi: 09-69963 Publié au bulletin M. Charruault, président Mme Richard, conseiller rapporteur Mme Falletti,

Plus en détail

La comptabilité des copropriétés Formation du 16 octobre 2010

La comptabilité des copropriétés Formation du 16 octobre 2010 La comptabilité des copropriétés Formation du 16 octobre 2010 1 Le règlement de copropriété Le règlement de copropriété est avant tout un contrat interne, dont les copropriétaires sont les parties contractantes.

Plus en détail

AVIS. VU le code des juridictions financières, notamment ses articles L. 232-1 et R. 232-1 ;

AVIS. VU le code des juridictions financières, notamment ses articles L. 232-1 et R. 232-1 ; SYNDICAT DE PROMOTION DE L INTERCOMMUNALITE SPORTIVE (Maine-et-Loire) Article L. 1612-5 du code général des collectivités territoriales Déséquilibre réel du budget 2012 Rapport n 2012-0072 Séance du 9

Plus en détail

NC 06 Norme comptable relative aux Immobilisations incorporelles

NC 06 Norme comptable relative aux Immobilisations incorporelles NC 06 Norme comptable relative aux Immobilisations incorporelles Objectif 01. Une entreprise peut acquérir des éléments incorporels ou peut elle-même les développer. Ces éléments peuvent constituer des

Plus en détail

Les points ci-dessous apportent quelques compléments à la note technique.

Les points ci-dessous apportent quelques compléments à la note technique. Croix 1, bâtiment multifonctions 15.012 Rapport du Conseil communal au Conseil général Demande de crédit complémentaire d'un montant de CHF 1'170'000.- dans le cadre de la construction d'un bâtiment multifonctions,

Plus en détail

ASSOCIATION ÉNERGIE PARTAGÉE Assemblée Générale Ordinaire du 24 mai 2013 Rapport financier 2012

ASSOCIATION ÉNERGIE PARTAGÉE Assemblée Générale Ordinaire du 24 mai 2013 Rapport financier 2012 ASSOCIATION ÉNERGIE PARTAGÉE Assemblée Générale Ordinaire du 24 mai 2013 Rapport financier 2012 INTRODUCTION Le premier exercice comptable de l'association Énergie Partagée a couru de la création de association,

Plus en détail

Le gestionnaire de transports reçoit d'importantes responsabilités, ce qui va conduire à en faire un acteur de premier plan au sein de l'entreprise.

Le gestionnaire de transports reçoit d'importantes responsabilités, ce qui va conduire à en faire un acteur de premier plan au sein de l'entreprise. Note relative au gestionnaire de transport 1/ La notion de gestionnaire de transport A) Définition du gestionnaire de transport Transposant la réglementation européenne (règlement n 1071/2009, 21 oct.

Plus en détail

Procès verbal de la séance du conseil d administration. Date : Mardi 27 mars 2012 heure de début : 18 h heure de fin : 19 h 30

Procès verbal de la séance du conseil d administration. Date : Mardi 27 mars 2012 heure de début : 18 h heure de fin : 19 h 30 Établissement : 0352760K Collège de La Mézière Biardel N de séance : 4 35520 LA MEZIERE Procès verbal de la séance du conseil d administration Date : Mardi 27 mars 2012 heure de début : 18 h heure de fin

Plus en détail

Délibération n 39 Conseil municipal du 29 juin 2012

Délibération n 39 Conseil municipal du 29 juin 2012 Direction Générale Finances et Gestion Direction du Contrôle Interne Délibération n 39 Conseil municipal du 29 juin 2012 Sociétés publiques locales et sociétés publiques locales d aménagement - Dispositif

Plus en détail

La Cité administrative d'avignon rénovée durablement

La Cité administrative d'avignon rénovée durablement Semaine du développement durable du 1er au 7 avril 2011 La Cité administrative d'avignon rénovée durablement Dossier de presse Lundi 4 avril 2011 Contacts presse : Josiane HAAS-FALANGA : tél : 04 88 17

Plus en détail

Le compte épargne-temps (CET)

Le compte épargne-temps (CET) Le compte épargne-temps (CET) Comment mettre en place le compte épargne-temps? Le compte épargne temps est mis en place par convention ou accord collectif de branche, de groupe, d'entreprise ou d'établissement

Plus en détail

EXTRAIT du REGISTRE des DELIBERATIONS de la COMMISSION PERMANENTE

EXTRAIT du REGISTRE des DELIBERATIONS de la COMMISSION PERMANENTE CONSEIL GENERAL DE TARNETGARONNE EXTRAIT du REGISTRE des DELIBERATIONS de la COMMISSION PERMANENTE Séance du 15 décembre 2014 CP2014_12_4 id. 1387 L'an deux mille quatorze le quinze décembre, les membres

Plus en détail

LA COMPTABILITÉ DU COMITÉ D ENTREPRISE : DE NOUVELLES OBLIGATIONS DE TRANSPARENCE À PARTIR DU 1 er JANVIER 2015

LA COMPTABILITÉ DU COMITÉ D ENTREPRISE : DE NOUVELLES OBLIGATIONS DE TRANSPARENCE À PARTIR DU 1 er JANVIER 2015 Groupement des Métiers de l Imprimerie -------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- DÉCEMBRE 2014 NOTE N 24 LA

Plus en détail

INSTRUCTION CODIFICATRICE M9.6 EPLE

INSTRUCTION CODIFICATRICE M9.6 EPLE INSTRUCTION CODIFICATRICE M9.6 EPLE TOME 1 - BUDGET TOME 2 - CADRE COMPTABLE TOME 3 - COFI RCBCM9_6.doc 1/229 Texte Instruction 11. TITRE 1 : ORGANISATION ET FONCTIONNEMENT DES ÉTABLISSEMENTS PUBLICS LOCAUX

Plus en détail

ARRETE n 1CM du 4 janvier 2001 relatif au plan comptable notarial de Polynésie française. (JOPF du 11 janvier 2001, n 2, p. 78)

ARRETE n 1CM du 4 janvier 2001 relatif au plan comptable notarial de Polynésie française. (JOPF du 11 janvier 2001, n 2, p. 78) 1 ARRETE n 1CM du 4 janvier 2001 relatif au plan comptable notarial de Polynésie française. (JOPF du 11 janvier 2001, n 2, p. 78) Le Président du gouvernement de la Polynésie française, Sur le rapport

Plus en détail

MINISTERE DE LA DEFENSE

MINISTERE DE LA DEFENSE MINISTERE DE LA DEFENSE SECRETARIAT GENERAL POUR L ADMINISTRATION DIRECTION DE LA MEMOIRE, DU PATRIMOINE ET DES ARCHIVES (DMPA) SOUS-DIRECTION DE L ACTION CULTURELLE ET EDUCATIVE DEMANDE DE SUBVENTION

Plus en détail

Parc des Bois de Grasse - 1 rue Louison Bobet - 06130 GRASSE

Parc des Bois de Grasse - 1 rue Louison Bobet - 06130 GRASSE OPERATIONS DE FIN D EXERCICE COMPTABLE Sommaire L INVENTAIRE... 2 LA DETERMINATION DES CHARGES ET DES PROVISIONS... 3 LES IMMOBILISATIONS... 3 LES AMORTISSEMENTS... 4 LES PROVISIONS POUR DEPRECIATION...

Plus en détail

CIRCULAIRE CDG90 PROTECTION SOCIALE COMPLEMENTAIRE

CIRCULAIRE CDG90 PROTECTION SOCIALE COMPLEMENTAIRE CIRCULAIRE CDG90 07-13 PROTECTION SOCIALE COMPLEMENTAIRE Loi n 83-634 du 13 juillet 1983 portant droits et obligations des fonctionnaires, article 22 bis. Loi n 84-53 du 26 janvier 1984 portant dispositions

Plus en détail

La dépréciation d'un élément d'actif représente la différence entre sa valeur brute et sa valeur nette comptable.

La dépréciation d'un élément d'actif représente la différence entre sa valeur brute et sa valeur nette comptable. I - DÉFINITION ET RÔLE DE L'AMORTISSEMENT 1 - Définition de l'amortissement et du plan d'amortissement : L'amortissement est défini comme étant la constatation comptable de la perte subie par la valeur

Plus en détail

Statuts de Paris Region Entreprises

Statuts de Paris Region Entreprises Statuts de Paris Region Entreprises Article 1. Forme et dénomination TITRE I : DISPOSITIONS GENERALES Il est institué entre les adhérents aux présents statuts et ceux qui y adhéreront, une Association

Plus en détail

STATUTS VERSION 2014. Elle est constituée en date du 29 septembre 2009. La liste des membres fondateurs est annexée aux présents statuts.

STATUTS VERSION 2014. Elle est constituée en date du 29 septembre 2009. La liste des membres fondateurs est annexée aux présents statuts. STATUTS VERSION 2014 I. DISPOSITIONS GENERALES Article 1 L Association des Commerçants de Collonge-Bellerive et Vésenaz (ci-après l'association) est une association de droit suisse au sens des articles

Plus en détail

Code de l'éducation. Article L131-1 En savoir plus sur cet article...

Code de l'éducation. Article L131-1 En savoir plus sur cet article... Page 1 sur 5 Code de l'éducation Version consolidée au 31 mars 2011 Partie législative Première partie : Dispositions générales et communes Livre Ier : Principes généraux de l'éducation Titre III : L'obligation

Plus en détail

COMMISSIONS DE SECURITE ET D'ACCESSIBILITE DANS LES ETABLISSEMENTS RECEVANT DU PUBLIC

COMMISSIONS DE SECURITE ET D'ACCESSIBILITE DANS LES ETABLISSEMENTS RECEVANT DU PUBLIC PREFET DU LOIRET COMMISSIONS DE SECURITE ET D'ACCESSIBILITE DANS LES ETABLISSEMENTS RECEVANT DU PUBLIC VOUS ETES MAIRE! QUEL EST VOTRE ROLE ET QUELLES SONT VOS RESPONSABILITES? PREFECTURE DU LOIRET CABINET

Plus en détail

Statuts de la. Communauté d universités et établissements. Université Sorbonne Paris Cité

Statuts de la. Communauté d universités et établissements. Université Sorbonne Paris Cité Statuts de la Communauté d universités et établissements Université Sorbonne Paris Cité 1 / 22 L Université Sorbonne Paris Cité regroupe des établissements d enseignement supérieur et de recherche et des

Plus en détail

LES FRAIS DE SCOLARITE 2012-2013

LES FRAIS DE SCOLARITE 2012-2013 LES FRAIS DE SCOLARITE 2012-2013 Les frais de scolarité fixés annuellement La contribution Minimum correspond au seuil en dessous duquel l'etablissement n'atteint pas son budget. C'est pourquoi, il vous

Plus en détail

Travaux de nettoyage des bâtiments intercommunaux Marché public n 04-2008

Travaux de nettoyage des bâtiments intercommunaux Marché public n 04-2008 1 Département de Seine et Marne Marché public n 04-2008 Date limite de dépôt des offres : 16/06/08 à 12 heures REGLEMENT DE CONSULTATION (R.C.) 2 SOMMAIRE ARTICLE 1 OBJET DE LA CONSULTATION 2 ARTICLE 2

Plus en détail